General Motors rappelle plus de 330 000 Chevrolet Silverado et GMC Sierra car un court-circuit électrique peut se produire dans le ou les câbles de chauffage du bloc-moteur, pouvant provoquer un incendie moteur. GM a reçu plus de 120 plaintes aux États-Unis incluant 24 cas potentiels d’incendie. Les modèles concernés sont les

Chevrolet Silverado 2500 et 3500 2017 à 2019 et les GMC Sierra 2500 et 3500 2017 à 2019 équipés d’un moteur diesel Duramax de 6,6 litres et d’un cordon chauffant du bloc-moteur en option.
Un fournisseur de l’Ontario
Electronics Components International basé en Ontario fournit l’élément chauffant du bloc moteur et le cordon d’alimentation. Si le problème se produit, les propriétaires de véhicules peuvent remarquer “de la fumée ou une odeur de brûlé, une mauvaise performance du chauffe-moteur, des disjoncteurs déclenchés ou des fusibles de véhicule grillés, des dommages au chauffe-moteur, au câble de chauffage ou aux composants du moteur, et une accumulation de liquide de refroidissement du chauffe-moteur sous le véhicule”, indique le document.

Les propriétaires recevront un avis de leur concessionnaire pour le rappel à compter du 16 août prochain

 

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Un rappel de 330 000 camions Silverado et Sierra HD provient de L'annuel de l'automobile – Actualité automobile

La Commission européenne a déclaré que trois constructeurs automobiles allemands avaient enfreint les règles antitrust de l’Union européenne en restreignant la concurrence dans le domaine du nettoyage des émissions des nouvelles voitures diesel particulières, et a infligé à BMW et au groupe Volkswagen une amende totale de 875 millions d’euros (1,3 milliard de dollars).
C’est Mercedes qui a vendu la mèche
L’exécutif européen a déclaré que le trio s’était entendu sur le développement technique dans le domaine du nettoyage des oxydes d’azote, mais Daimler n’a pas été condamné à une amende parce qu’il a révélé l’existence du cartel.
“Les cinq constructeurs automobiles Daimler, BMW, Volkswagen, Audi et Porsche possédaient la technologie permettant de réduire les émissions nocives au-delà de ce qui était légalement requis par les normes d’émission de l’UE. Mais ils ont évité de se faire concurrence pour utiliser tout le potentiel de cette technologie afin de nettoyer mieux que ce qui est exigé par la loi”, a déclaré Margrethe Vestager, responsable de la politique antitrust de l’UE.
BMW accepte l’amende, mais Volkswagen veut aller en appel
Volkswagen a déclaré qu’il envisageait d’intenter une action en justice contre l’amende imposée, affirmant que la sanction concernant des discussions techniques sur la technologie des émissions avec d’autres constructeurs automobiles créait un précédent douteux. « La commission juge qu’un accord technique est une collusion et Volkswagen affirme que non. La commission impose une sanction même si le contenu des pourparlers n’a jamais été mis en œuvre et qu’aucun client n’ait subi de

Cela fait bientôt 10 ans que l’Aventador occupe le haut du pavé chez Lamborghini et la firme Italienne va dévoiler demain lors du Goodwood Festival of Speed en Angleterre ce qui sera la dernière Avantador avec uniquement un moteur à essence. Baptisée l’Aventador LP 780-4 Ultimae (pour ultime) cette voiture exotique à essence va laisser sa place d’ici peu à un modèle qui sera propulsé par un V12 hybride.
Un son inimitable
Ce dernier hommage met en vedette le moteur V12 de 6,5 litres qui développe 780 chevaux selon les critères européen et 769 chez nous pour 531 lb-pi de couple. Cet ultime hommage au V12 sera offert en très petites quantités. Lamborghni va fabriquer 350 unités en modèle coupé et 250 en modèles cabriolet. Les informations sur les prix n’ont pas encore été annoncées.
Toujours 4 roues motrices
La puissance est transmise aux quatre roues par l’intermédiaire de la boîte de double embrayage à 7 rapports et Lamborghini cite un temps de 0 à 100 km/h de 2,8 secondes pour le coupé et de 2,9 secondes pour le roadster. Le V12 tourne jusqu’à 8 500 tr/min et est en mesure de rouler jusqu’à 354 km/h si vous trouvez une route pour aller aussi vite. Physique, l’Aventador Ultimea ressemble aux versions précédentes de l’Aventador mais se distingue par ses embouts d’échappement élargis et son diffuseur arrière plus prononcé. Le bouclier avant arbore également un diffuseur plus agressif qui favorise l’appui au sol sur l’essieu avant. Les roues mesurent 20 pouces à l’avant et 21

En ce jour de 1953, Fuji Heavy Industries Co., Ltd (FHI) a créé la marque Subaru, qui est le nom donné à l’amas d’étoiles (Pléiades) représenté sur le logo Subaru. Les six étoiles représentent les six sociétés qui ont fusionné pour créer FHI. La première voiture Subaru, la 1500, a été lancée l’année suivante, mais n’a été produite qu’à 20 exemplaires.
Un premier modèle de 16 chevaux
La première Subaru produite en série, la 360, était équipée d’un moteur de 16 chevaux avec une cote de consommation inférieure à 4,5 litres aux 100 km. La voiture était connue au Japon comme la « voiture du peuple », car elle était le premier véhicule personnel abordable offert dans le pays. À la fin des années 1970, la 360, qui avait gagné le surnom de « coccinelle », a été améliorée avec un moteur de 36 chevaux qui pouvait atteindre les 80 km/h en 37 secondes. On ne parlait même pas d’un 0-100 km/h.
Le Brat
Le succès de Subaru en Amérique du Nord est arrivé avec la Brat en 1977. Ce véhicule de style El Camino comportait deux sièges dans l’habitacle, ainsi que deux sièges orientés vers l’arrière dans la caisse. La raison des deux sièges supplémentaires dans la caisse était simplement pour diminuer le prix des assurances. Les modèles deux places sont considérées comme des voitures sport et coûtent plus cher. En ajoutant deux sièges dans la caisse, on diminuait le coût d’assurance en rendant le véhicule plus abordable.

Le texte 7 juillet 1953: Subaru voit le jour

C’est hier, au siège social de la marque à Hethel, en Grande-Bretagne que Lotus a présenté son plus récent modèle l’Emira. L’Emira emprunte son style sportif à sa récente compagne tout électrique l’Evija. Un style moderne avec des lignes à la fois sportive et plus haut de gamme pour la marque.
Châssis en aluminium
L’Emira a été développée sur un nouveau châssis léger en aluminium collé, une technologie mise au point par Lotus et qui reste une partie intrinsèque de l’ADN des voitures de sport de la société. Les principales dimensions de l’Emira sont les suivantes : longueur 4 412 mm, largeur 1 895 mm, hauteur 1 225 mm et empattement 2 575 mm. Ce biplace succède dans la famille à l’Evora qui était là depuis très longtemps déjà.
Moteur Toyota ou Mercedes
Les clients qui débourseront au minimum 60 000 livres (103 000 $) auront le moteur V6 3,5 litres de Toyota qui a fait ses preuves depuis longtemps chez Lotus et qui se trouvait déjà dans les modèles Exige et Evora. À partir de l’été 2022, un moteur AMG 4 cylindres de 2,0 litres va élire domicile en position centrale et faire grimper le prix à 72 000 livres (124 000 $). Lotus va modifier le système d’admission d’air et un nouvel échappement pour s’adapter au caractère de l’Emira. Lotus annonce une puissance de 360 à 400 chevaux avec une accélération de 0 à 100 km/h en moins de 4,5 secondes et une vitesse de pointe pouvant atteindre 290 km/h. Le couple maximum sera de 317 lb-pi et le

Plusieurs concessionnaires automobiles commencent à être nerveux. Autoforecast aux États-Unis estime qu’il va y avoir un manque à gagner de près de 1,9 million de véhicules qui ne seront pas fabriqués pour l’Amérique du Nord en 2021 alors que ce chiffre dépasse les 2 millions pour l’Europe. En tout, la planète sera en manque d’un peu plus de 6 millions de véhicules.
Il faudra s’habituer aux attentes plus longues
La pénurie de modèles en raison du manque de puces électroniques a déjà commencé, mais risque de s’aggraver avec plusieurs annonces de fermetures d’usines en juillet et août. Il ne faut pas se demander si on pourra avoir le produit que l’on désire, mais plutôt que va-t-il rester comme produits ? Les quelques rares constructeurs automobiles qui pourront traverser cette crise sans trop de dégâts vont sans doute connaître des ventes exceptionnelles, mais les autres vont souffrir.
Une demande, mais pas d’offre
Bien des acheteurs attendaient la fin de la pandémie pour faire un achat dans le domaine automobile. Après la pandémie, le manque de puces électroniques a plombé les constructeurs. Les gens sont prêts à acheter, mais les inventaires sont au plus bas.

Le prix moyen d’un véhicule neuf au Canada est susceptible d’augmenter dans les mois à venir, car les constructeurs automobiles donnent la priorité à la construction de leurs véhicules à marge plus élevée et aux versions les mieux équipés par rapport à ceux à marge plus faible et aux versions de base. Le prix moyen d’un véhicule

Les rumeurs couraient depuis quelques mois déjà. Le groupe Volkswagen a finalement confirmé la conclusion d’un partenariat officiel entre sa marque Bugatti et l’entreprise croate de véhicules électriques Rimac.
Un contrôle à Rimac
Selon l’accord annoncé, Bugatti sera transféré à une nouvelle coentreprise détenue à 55 % par Rimac et à 45 % par Porsche, l’unité du groupe VW actuellement responsable de Bugatti et propriétaire d’une participation de 24 % dans Rimac. La nouvelle entreprise qui prendra officiellement son envol à la fin de l’année portera le nom de Bugatti- Rimac, et son siège social sera situé dans des bâtiments tout neufs en construction dans la région de Zagreb, en Croatie. Le PDG et fondateur de Rimac, Mate Rimac, sera également PDG de la coentreprise et supervisera environ 430 employés.
Le site de Mulhouse reste ouvert
Le siège de Bugatti à Mulhouse reste ouvert et la compagnie va produire ses châssis légers et son très haut savoir-faire artisanal sur place. Bugatti apporte également un réseau mondial de concessionnaires bien établi. La production de Bugatti restera en France, tandis que celle de Rimac se fera en Croatie, où sera également assurée la production des principaux composants utilisés par Bugatti.
Bugatti n’abandonne pas les moteurs à essence
En dépit de son partenariat avec une compagnie qui fabrique uniquement des véhicules électriques, Bugatti n’abandonne pas pour autant le moteur à combustion interne. Des modèles hybrides et purement électriques sont prévus au cours de la deuxième moitié de la décennie. C’est à ce moment que l’on verra

Tesla fait face à plusieurs obstacles dans la construction de la Gigafactory, près de Berlin en Allemagne. Le plus récent problème venait de deux ONG, Grüne Liga et Nabu qui contestaient le permis délivré temporairement par les autorités de Brandebourg pour permettre au constructeur californien de tester certains de ses équipements. Les deux organismes accusaient Tesla de polluer l’environnement pendant ses essais et également d’avoir modifié certains documents sans avoir reçu les autorisations requises pour commencer à produire des batteries.

Le tribunal a donné raison à Tesla
Le tribunal administratif de Francfort a rejeté aujourd’hui le recours déposé par les deux ONG précisant qu’il n’est pas évident que les tests de fonctionnalité, limités dans le temps, auraient été dangereux », car la quantité de substances rejetées dans l’environnement étaient minimes et non-dangereuses. Une victoire importante pour Tesla qui peut maintenant continuer ses travaux.

Plusieurs mois de retard
Originalement, la Gigafactory devait ouvrir le 1er juillet dernier. Mais la pandémie de COVID-19 suivie par l’intervention des associations environnementales qui ont nuit au développement de l’usine. Les deux ONG qui viennent de perdre leur cause ont aussi promis de revenir à la charge. Il y a même des groupes extrémistes qui se sont physiquement attaqués à l’usine. En principe l’usine qui va fabriquer les modèles Tesla pour l’Europe devrait ouvrir d’ici la fin de l’année ou au début de l’an prochain

Avec des renseignements de Inside EV’s

Le texte Elon Musk remporte une bataille contre les écologistes allemands provient de L'annuel

Lorsque vous présenter un nouveau dans une arène aussi compétitive que les VUS de luxe d’entrée de gamme où des modèles comme l’Acura RDX, l’Audi Q5 et BMW X3 et le Mercedes GLC se font la lutte, la marge d’erreur est inexistante. Genesis arrive avec un nouveau joueur qui risque de donner quelques sueurs froides aux concurrents.
Un style accrocheur

Toutes les histoires d’amour commencent par un coup de foudre et le GV70 fait tourner les têtes partout où il passe. Bien que ce dernier partage un lien de parenté avec le plus grand GV80, ses proportions plus ramassées, son style plus distinctif (surtout dans les modèles haut de gamme) lui confère une personnalité de membre de bonne famille. Il est sportif, mais, élégant, athlétique avec de la classe. Sa ligne de toit fuyante lui donne presque qu’un style de voiture familiale. Il est à la fois discret et unique dans sa silhouette. Il possède ce style assumé des gens qui sont en plein contrôle de la situation. Les quadruples phares à DEL (une première dans ce segment) sont disposés en deux traits horizontaux et donne une signature unique au GV70. De plus, les plaques de protection sous les parechocs ont été élargies afin de déborder sur les flancs du véhicule, renforçant ainsi l’image sportive.
Technologie omniprésente

Qui dit véhicule de luxe dit sécurité élevée. Le GV70 rassemble une foule de nouvelles technologies visant à protéger les passagers. Parmi celles-ci, on retrouve : l’assistance à la conduite sur

Au moment où les constructeurs automobiles sont dans une course à l’électrification des transports et ont engagé des sommes qui dépassent les 300 milliards de dollars à l’échelle mondiale, certains contemplent l’idée d’aller vers l’hydrogène. Toyota avec la Mirai et Hyundai avec le Nexo ont déjà des modèles en vente en ce moment et d’autres constructeurs travaillent sur certains projets.
Une solution coûteuse
Les plus récentes études démontrent qu’une station à hydrogène coûte au minimum 2 millions de dollars (la station de Québec a coûté 5 millions). Il y a en ce moment un peu plus de 11 900 stations à essence au Canada. Pour faire un chiffre rond disons 12 000. À terme, pour avoir un réseau viable il faudrait donc un nombre équivalent de stations à hydrogène. Cela veut dire une dépense de 24 milliards de dollars uniquement en infrastructure. Pour réussir une implantation de cette technologie, les États-Unis ont évalué qu’un minimum de 100 000 stations serait nécessaire, c’est presque 10 fois plus que nous. On parle ici de 200 milliards de dollars simplement pour la construction d’un réseau d’approvisionnement. Il faut également mettre sur pied ce même réseau pour l’Europe, l’Asie et le reste du monde.
Pas de réseau, pas de ventes
Si le carburant n’est pas livrable en premier, les ventes ne décolleront jamais. Aucun acheteur potentiel, compte tenu de l’absence d’un réseau, n’achètera un véhicule à hydrogène pour décorer sa pelouse en attendant que les stations arrivent. Il n’y a pour le moment qu’une seule station à