La première Laffite LM1 a été vendue pour la somme de 2,6 millions de dollars US lors d’une vente aux enchères au profit de la fondation One Drop créée par le Québécois Guy Laliberté, fondateur du Cirque du Soleil. Cet encan a eu lieu durant la soirée « One Night for One Drop », un événement caritatif organisé le 15 novembre dernier dans le cadre de la fin de semaine de Formule 1 à Las Vegas.

Dans un communiqué publié aujourd’hui par Laffite, M. Laliberté se dit ravi des résultats de cette vente et rappelle que « le but de l’événement était d’amasser des fonds pour donner un accès durable à l’eau potable, à l’assainissement et à l’hygiène dans les communautés les plus pauvres. Notre partenariat avec Laffite Automobili pour cette semaine à Las Vegas a été un vrai succès ! »

Pour sa part, Bruno Laffite, cofondateur de Laffite Automobili, se dit satisfait du partenariat avec cette fondation, dont le message a séduit toute son équipe : « One Drop et Laffite Automobili avaient besoin d’un cadre et d’un événement exceptionnels pour lancer leur collaboration. Nous pouvons tous être fiers de nous. Cette semaine à Las Vegas a été incroyable ! »

Un événement qui a attiré les vedettes

Coprésidé par le fondateur de la fondation One Drop et du Cirque du Soleil, Guy Laliberté, par le PDG de MGM Resorts Internaonal, Bill Hornbuckle, et par le président de la division des spectacles résidents et affiliés du Cirque du Soleil, Eric Grilly, cet événement a naturellement attiré une pléthore de vedettes et de personnalités.

Parmi ceux-ci, on a vu, notamment, Perez Hilton, des membres du groupe de rock Journey, Kevin O’Leary de l’émission Shark Tank, l’acteur britannique Damian Lewis, la chanteuse et compositrice Alison Mosshart, le président du Groupe de divertissement du Cirque du Soleil Stéphane Lefebvre, de même que quelques grands pilotes : le champion d’IndyCar Dario Franchi, l’ancien pilote de Tyrrell Danny Sullivan et Jack Doohan, pilote réserviste de BWT Alpine.

La Laffite LM1 a été vendue en présence des cofondateurs de la marque : Pascal Cohen et Bruno Laffite, neveu du grand pilote de Formule 1 Jacques Laffite. Ils étaient en compagnie d’une autre célébrité de la F1 : Sir Jackie Stewart. Vainqueur de 27 Grand Prix et de 3 titres de Champion du monde des pilotes, celui qu’on surnommait l’Écossais volant agissait à titre de président d’honneur de cette soirée-bénéfice.

Grosse goutte d’eau pour One Drop

Depuis sa création en 2013, l’événement « One Night for One Drop » a permis à la fondation One Drop d’amasser plus de 40 millions de dollars US pour divers projets servant à améliorer les conditions de vie des communautés confrontées à des changements extrêmes et pour soutenir des projets liés à l’accès à l’eau potable dans le monde. Un communiqué de la fondation nous apprend, par ailleurs, que cet événement alimente également des initiatives en matière d’eau potable à Las Vegas même !

Or, sur la base de toutes ces informations, on peut conclure que le résultat de la vente de la Laffite LM1 ne représente pas une simple goutte d’eau (!) pour les projets de cette fondation. En revanche, on peut s’interroger sur l’endroit où cet argent sera investi : dans un pays défavorisé… ou à Las Vegas ?

Premier modèle de série promis par Laffite

Rappelons qu’en mai dernier, Laffite Automobili a dévoilé ses trois premiers véhicules à l’occasion du Grand Prix de Formule 1 de Miami. On a alors vu pour la première fois la LM1, mais aussi deux voitures-concepts L: l’utilitaire de haute performance Atrax Stradale et le coupé de performance Barchetta. Tous ces véhicules ont en commun un design signé GFG Style, l’entreprise fondée par Giorgetto et Fabrizio Giugiaro en 2015.

Créé sous la direction de Laffite et Cohen, la LM1 ne pèse que 1 250 kg et elle est animée par une V8 hybride non branchable de 1000 ch. Mis au point par Autotecnica Motori pour Laffite, ce moteur lui permettrait d’atteindre une vitesse de pointe de 350 km/h. Qualifiée « d’hypercar de style Le Mans » par son constructeur, cette biplace vise la clientèle intéressée par des voitures comme la Koenigsegg Regera et la Mercedes-AMG One.

Fabriquée au compte-gouttes

Construite à Turin, à l’instar des deux autres modèles Laffite qui sont en devenir, la LM1 sera produite en qualité très limitée (24 exemplaires).

Un communiqué publié par l’entreprise italienne lors du dévoilement qui a eu lieu à Miami promettait la livraison des premiers modèles de série au cours de l’hiver 2024. On ignore si cette information tient toujours.

Laffite Automobili nous apprend, par contre, que sa première LM1 fera une apparition publique à l’occasion du Grand-Prix historique de Monaco, en mai 2024; une principauté où l’entreprise ouvrira d’ailleurs sa première salle d’exposition au début de l’année prochaine.

Photos : Laffite et Greg Doherty/Getty Images pour One Night for One Drop

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  • Le moteur diesel Duramax est plus puissant.

  • Le système d’infodivertissement est associé à un nouvel écran tactile de 17,7 pouces.

  • La suspension et l’intérieur ont été retravaillés.

En 2021, Chevrolet a présenté la cinquième génération de Tahoe et la douzième génération de Suburban. Pour 2025, Chevrolet annonce une série d’améliorations et d’ajouts afin d’enrichir son offre dans le domaine des SUV de grande taille. dans le segment des SUV de grande taille.

Un moteur diesel moteur diesel plus efficace

Parmi les nouveautés attendues pour 2025 est un moteur turbodiesel Duramax de 3,0 litres à six cylindres en ligne à six cylindres en ligne. Pour l’essentiel, il reçoit le même traitement que celui réservé au Silverado 1500 un peu plus tôt. La puissance passe de 277 à 305 chevaux et le couple de 460 à 495 lb. de 460 à 495 lb-pi. Il est toujours associé à une boîte de vitesses automatique à dix rapports Pour la première fois, il sera possible de combiner ce groupe motopropulseur avec la version Z71.

Les V8 toujours au poste

Le moteur V8 de 5,3 litres reste de série sur les versions LS, LT, RST, Z71 et Premier. Le moteur V8 de 6,2 litres est de série sur la version High Country, mais en option sur les versions RST Z71 et Premier.

Nouveau style

D’un point de vue visuel, le duo Chevrolet Tahoe et Suburban a droit à un certain nombre de nouveautés, le duo Chevrolet Tahoe et Suburban a droit à quelques nouveautés. Comme vous pouvez le voir sur les photos, de nouvelles jantes de 24 pouces ont été ajoutées au catalogue. Les concepteurs ont également retravaillé l’avant du véhicule. Les designers ont également redessiné les phares et les feux arrière. Les couleurs suivantes ont été ajoutées à la palette de couleurs : Cypress Gray et Lakeshore Metallic Blue.

Un intérieur revu et corrigé

General Motors a également modernisé l’intérieur des Chevrolet Tahoe et Suburban 2025. De série, les VUS sont équipés d’un écran tactile de 17,7 pouces pour naviguer dans le système d’infodivertissement. Sous les yeux du conducteur se trouve un tableau de bord numérique de 11 pouces. de 11 pouces. Le volant et la console ont également été redessinés.

La suspension

Avec la génération actuelle des modèles Tahoe et Suburban, Chevrolet a introduit des suspensions arrière multibras indépendantes. Celles-ci ont été refaites pour le nouveau modèle. De plus, le constructeur mentionne que les suspensions adaptatives et les suspensions magnétiques sont de retour au catalogue.

Capables de remorquer

Pour 2025, le duo Chevrolet Tahoe et Suburban continuent d’offrir la même capacité de remorquage. Elles sont respectivement de 8400 et 8200 livres. Cependant, General Motors a a ajouté une série de nouvelles caractéristiques pour faciliter le remorquage pour les utilisateurs. Les caractéristiques suivantes suivantes sont nouvelles pour 2025 : un moniteur de pression des pneus de la remorque, une application le poids de la charge de la remorque en temps réel, des lignes de guidage pour le de la remorque, l’aide au recul d’un bateau en descente, et un système de navigation conçu par Google qui propose un itinéraire en fonction de l’état du véhicule. qui suggère un itinéraire en fonction de la remorque tractée.

Avec des renseignements de Motor Illustrated

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Hyundai Auto Canada a officiellement dévoilé les prix de la Kona Électrique 2024. Dernier ajout à leur gamme de véhicules électriques, la Kona Électrique 2024 est proposée à 46 399 $ pour la version Preferred et à 51 199 $ pour la version Ultimate. Ces modèles devraient être disponibles dans les concessions Hyundai à travers le Canada durant la prochaine saison hivernale.

La Kona Électrique 2024 de Hyundai est équipée d’une batterie de 64,8 kWh et est propulsée par un moteur électrique de 150 kW (201 chevaux). Selon les estimations de Ressources Naturelles Canada, le véhicule devrait offrir une autonomie de 420 kilomètres. Le prix de départ M.S.R.P. au Canada pour la Kona Électrique est fixé à 46 399 $, avec la version plus équipée, Ultimate, débutant à 51 199 $, hors frais et PDI de 1 925 $.

Ce modèle de la Kona Électrique comprend un écran tactile de 12,3 pouces avec un système d’infodivertissement mis à jour et les fonctionnalités de sécurité Hyundai SmartSense. De plus, il est équipé de jantes en alliage de 17 pouces et prend en charge la connectivité sans fil pour Android Auto et Apple CarPlay.

Des caractéristiques uniques spécifiques à la Kona Électrique comprennent un espace de rangement avant appelé “frunk”, des volets de calandre actifs, un mode de conduite i-PEDAL et un Système de Régénération Intelligent qui s’ajuste aux conditions de circulation en temps réel. La finition Ultimate ajoute des fonctionnalités telles qu’un système audio premium Bose, un affichage tête haute, un chargeur sans fil pour appareils et la technologie de clé numérique.

Le véhicule est doté de fonctionnalités adaptées aux climats froids, notamment des sièges avant chauffants, un volant chauffant et une pompe à chaleur conçue pour optimiser les performances de charge. La capacité de charge rapide de la Kona Électrique 2024 lui permet de se recharger de 10 % à 80 % en environ 43 minutes en utilisant une station de charge de 400V.

L’intérieur de la Kona Électrique a été repensé, notamment avec le déplacement du sélecteur de vitesse électrique. Ce changement permet une augmentation de l’espace de rangement dans la console. Le véhicule est également doté d’un éclairage d’ambiance intérieur, de sièges avant plus fins pour un espace aux jambes arrière amélioré et d’une banquette arrière Curveless. Le volume de chargement est de 723 litres avec les dossiers de sièges arrière relevés et de 1 803 litres avec les dossiers abaissés.

Depuis son lancement en 2018, la Kona est devenue un choix populaire au Canada, avec plus de 100 000 unités du modèle essence et 20 000 unités du modèle électrique vendues. Le véhicule a régulièrement figuré parmi les trois modèles les plus vendus de Hyundai au Canada depuis 2019.

La Kona Électrique 2024 de Hyundai devrait être disponible chez les concessionnaires canadiens à partir de décembre 2023.

Avec des renseignements de MotorIllustrated

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Difficile de dire quel besoin précisément le Grand Highlander vient combler, au sein de la gamme Toyota, que d’autres modèles déjà présents dans son catalogue ne comblaient pas avant. Quelque part entre le Venza et l’éventuel Crown Signia, la Sienna, le 4Runner, le Land Cruiser et le Sequoia, le Grand Highlander ajoute essentiellement un nouveau nom à l’ensemble, un nom bien connu par ailleurs, le Highlander, qui incarne une idée d’un VUS urbain confortable et, disons-le comme ça, «rationnel».

Le Grand Highlander est d’ailleurs très rationnel. Il est long, il est large, il a trois rangées de sièges, et il est animé, dans toutes ses versions sauf le modèle d’entrée de gamme, par un moteur hybride qui réduit sa consommation à celle d’un petit VUS sous-compact. Durant la semaine d’essai, dans un contexte de conduite très banlieusard entre la maison et le centre-ville, la consommation moyenne que j’ai obtenue s’est établie à environ 8 litres aux 100 kilomètres, ce qui est tout à fait acceptable. Pour un véhicule à moteur à essence, à tout le moins.

Notez, d’ailleurs, que Toyota propose deux moteurs hybrides distincts sous le capot du Grand Highlander. Ça fait trois choix de motorisations au total, si on inclut le 4 cylindres turbo du modèle d’entrée de gamme, qui à mon avis ne vaut pas la peine d’être considéré si vous décidez d’acheter un Grand Highlander.

Les versions intermédiaires sont animées par un 4 cylindres de 2,5 litres jumelé à un petit groupe électrique et à une boîte CVT à variation continue, tout ça pour une puissance totale de 243 chevaux. La version Platinum a droit à un peu de tout : un 4 cylindres turbo de 2,4 litres est jumelé à un groupe électrique et à une boîte automatique à six rapports. Il produit 362 chevaux et sa consommation d’essence est plus élevée, probablement autour des 10 litres aux 100 kilomètres.

Évidemment, tout ça n’est pas donné. Le Grand Highlander Platinum coûte 68 401 dollars. Le prix de base démarre à 53 441$, mais le modèle le plus attrayant va vous soulager de 56 741$, plus les taxes et tout le reste. Bref, on parle d’un VUS pour toute la famille qui coûte entre 60 000 et 65 000 $.

Et là, on revient à la question suivante : est-ce que le Grand Highlander est un meilleur véhicule que les autres VUS de la marque Toyota? Vu qu’il s’agit d’un VUS à vocation plus urbaine et familiale, est-ce qu’il surpasse même la fourgonnette Sienna en termes d’utilité et de confort?

Personnellement, je ne pense pas. Pour une raison simple : le Grand Highlander est mal conçu pour la famille. D’abord, il est très, très large. Dans un stationnement, il occupe en largeur à peu près toute la place entre les deux lignes jaunes au sol. Déjà, ouvrir les portières à l’arrière est un casse-tête. Ensuite, si vous avez des sièges pour enfants à l’arrière, vous ne pourrez pas rabattre les sièges pour accéder à la troisième rangée. Un autre souci. Enfin, la troisième rangée de sièges, elle est pratique, mais elle n’est pas conçue pour être utilisée par un adulte, c’est trop serré.

Au moins, il y a du rangement. Ça, le Grand Highlander n’en manque pas. Disons que c’est un VUS hyper spacieux pour quatre personnes qui ont besoin de plus de place qu’à bord d’un Highlander tout court.

Pour le conducteur, le Grand Highlander se conduit très calmement. Ce n’est pas excitant, ce n’est pas intéressant, c’est simplement une tâche à accomplir pour se rendre du point A au point B. La console centrale est minimaliste, et l’écran tactile fait la job, côté multimédia, mais rien là-dedans est conçu pour être excitant.

Le Grand Highlander est donc, en gros, une Sienna, pour les gens qui ne veulent pas d’une Sienna. Avec tous les compromis que ça sous-entend, mais avec un super moteur hybride.

Le texte Essai routier: Toyota Grand Highlander provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Si l’acceptation des véhicules électriques est au beau fixe chez nous, la situation est très différente au sud de la frontière. Dans une lettre envoyée mardi, 4 000 concessionnaires demandent au président Joe Biden de reconsidérer la proposition de réglementation fédérale qui, selon eux, imposerait un passage irréaliste aux véhicules électriques à batterie aux États-Unis.

Citer une lettre de l’EPA

Dans une lettre envoyée mardi, les concessionnaires demandent à M. Biden de “ralentir”, citant une proposition de l’EPA datant d’avril qui pourrait faire passer les véhicules à batterie à 60 % des ventes de véhicules neufs d’ici l’année modèle 2030 et à 67 % d’ici 2032.

Aller moins vite

“Ces véhicules sont idéaux pour de nombreuses personnes et nous pensons que leur attrait augmentera avec le temps”, peut-on lire dans la lettre. “La réalité, cependant, c’est que la demande de véhicules électriques aujourd’hui ne suit pas le rythme de l’afflux important de BEV qui arrivent chez nos concessionnaires en raison des réglementations actuelles. Les BEV s’empilent sur nos terrains”.

Toutes les marques impliquées

Les concessionnaires couvrent un large éventail de marques de voitures vendues dans des États tels que la Californie, le Michigan, le Colorado et New York. Ils affirment que les clients ne sont pas prêts à passer aux véhicules entièrement électriques en raison de problèmes non résolus tels que l’accès à des réseaux de recharge fiables, l’accessibilité financière des véhicules et l’anxiété liée à l’autonomie.

Des incitatifs qui n’ont pas vraiment aidé

Certes, des lois telles que l’Infrastructure Investment and Jobs Act de 2021 et l’Inflation Reduction Act de 2022 cherchent à relever ces défis, avec des milliards de dollars de financement fédéral pour la construction d’un réseau national de recharge des VE, l’augmentation de la production nationale de batteries et la réduction des coûts d’achat des VE pour les consommateurs. Toutefois, les concessionnaires souhaitent que M. Biden “laisse du temps” pour que la technologie des batteries s’améliore, que les VE deviennent plus abordables et que l’infrastructure de recharge soit construite, parmi d’autres actions qui pourraient contribuer à l’adoption par les consommateurs.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Près de 4 000 concessionnaires demandent à Joe Biden de « ralentir » la promotion des véhicules électriques provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Mercedes-Benz prévoit de retirer la production VUS EQS des États-Unis et de le remplacer par un modèle à plus fort volume. Selon des sources industrielles de la chaîne d’approvisionnement, Mercedes délocalisera la production du SUV EQS à Brême, en Allemagne, au lieu de l’Alabama, au cours de la seconde moitié de la décennie.

Remplacer par la GLC EV

Le remaniement des produits vise à faire de la place dans l’usine d’Alabama, d’une superficie de 6 millions de pieds carrés, pour la GLC EV, dont le volume est plus élevé et qu’une source a décrit comme une “vache à lait”. La production de GLC EV aux États-Unis devrait commencer au premier trimestre 2026, selon AutoForecast Solutions. Le cabinet d’études estime que les volumes du GLC EV atteindront 50 000 véhicules au cours de la première année de production, soit plus du double du volume de production actuel du VUS EQS.

Nouveau modèle

Le GLC EV succède au EQC, qui devait être le premier véhicule électrique de masse de Mercedes aux États-Unis. Mais le constructeur a abandonné ce projet car l’autonomie limitée a été jugée inadéquate pour ce marché. Selon les détaillants informés du nouveau modèle en mai dernier, le GLC EV aura une autonomie d’environ 500 km et un tout nouveau design.

Une seconde chance

Le VUS EQS représente environ 7 % de la capacité annuelle de 305 000 véhicules de l’usine américaine en Alabama. La production d’un plus grand volume de GLC EV augmentera également la rentabilité en créant des économies d’échelle, en particulier pour les batteries. “L’augmentation du volume des batteries aux États-Unis stimule la rentabilité de la production de batteries alors que l’entreprise cherche à atteindre le seuil de rentabilité des véhicules électriques”, selon AutoForecast Solutions.

Un marché clé pour les VE

Mercedes fait un pari audacieux sur les VE, en s’engageant à passer au tout électrique sur les marchés qui le permettent d’ici le début de la prochaine décennie. Lors d’une réunion avec les concessionnaires nord-américains à Vancouver, à la mi-mai, Britta Seeger, responsable mondiale des ventes et du marketing de Mercedes-Benz, a déclaré que l’entreprise s’attendait à ce que les VE représentent 40 % des ventes de voitures neuves aux États-Unis d’ici 2026 et 70 % d’ici 2030, selon les détaillants.

Les États-Unis en tête

Les États-Unis sont le premier marché de Mercedes pour les véhicules électriques au niveau mondial, a indiqué Mme Seeger. La marque a livré environ 12 000 véhicules électriques aux États-Unis jusqu’en avril, soit presque autant que ce qu’elle a vendu en 2022. Mais la baisse de la demande de véhicules électriques aux États-Unis pourrait obliger Mercedes à recalibrer ses objectifs de vente. Reste maintenant à savoir si ce modèle va survivre au Canada s’il disparaît des États-Unis.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Mercedes Benz retire le EQS VUS du marché américain provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Il y a des sujets qui attirent l’attention plus que d’autres. Par exemple, le Projet Titan, la fameuse voiture électrique et autonome sur laquelle Apple aurait travaillé il y a quelques années, continue d’alimenter la machine à rumeurs. Elle inspire aussi ses concurrents, notamment le fabricant chinois de téléphones Xiaomi, qui se lance dans l’automobile en faisant une jambette à Apple.

On connaît peu la marque au Canada, mais Xiaomi est le deuxième plus grand vendeur de téléphones intelligents dans le monde après la marque coréenne Samsung. En termes de nombre de téléphones vendus chaque année, elle surpasse Apple depuis 2021, surtout parce que les marques chinoises d’appareils électroniques sont super populaires dans leur marché domestique, la Chine.

D’ailleurs, on dirait qu’on voit justement émerger une nouvelle tendance, en Chine ces jours-ci : la ligne entre l’électronique et l’automobile se brouille. On parlait à Ça tient la route la semaine dernière de la marque de téléphone Meizu, qui travaillait avec Polestar pour développer un logiciel pour véhicules électriques. Voilà que Xiaomi va directement au but et propose carrément des véhicules électriques sous sa propre marque.

D’ici trois mois, donc, Xiaomi devrait commencer à vendre en Chine une berline électrique appelée SU7. Selon de l’information du ministère chinois de l’Industrie qui aurait coulé sur des blogues chinois spécialisés, il s’agirait d’une berline à quatre portes plein format vendue en deux modèles. Le modèle de base aurait un moteur de 295 chevaux et deux roues motrices. L’autre ferait 660 chevaux et aurait quatre roues motrices. Celle-ci aurait aussi un système avancé d’aide à la conduite basé sur la technologie lidar.

Mais surtout, et c’est là où on revient à Apple, le site CarNewsChina rapporte que Xiaomi compterait vendre sa berline SU7 en trois versions. Leur nom : la SU7, la SU7 Pro et la SU7 Max.

Il n’en fallait pas plus pour faire réagir la communauté des fans d’Apple. Parce que les appellations « Pro » et « Max » sont utilisées par Apple pour différencier ses iPhone, ainsi que ses Mac (ou en tout cas, leurs processeurs). Il faut dire aussi que Xiaomi a une réputation depuis quelques années de copier allègrement les produits d’Apple.

Les produits chinois copiés de produits occidentaux, on le sait, ne sont pas rares.

Et là, évidemment, on ne parle pas d’une voiture signée Apple, mais d’une voiture chinoise qui s’en inspire beaucoup.

Maintenant, est-ce qu’Apple va finir par produire sa propre voiture, pour vrai? On a déjà eu cette discussion à propos d’un téléviseur Apple, et il n’a jamais vu le jour, mais les rumeurs, encore elles, pensent qu’on verra une Apple Car pour vrai quelque part au courant de la prochaine décennie.

Le texte Des nouvelles de l’Apple Car (ou presque) provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le PDG du groupe Volkswagen, Thomas Schäfer a confirmé que des suppressions d’emplois allaient avoir lieu chez Volkswagen, après avoir déclaré que l’entreprise n’était “plus compétitive” en raison de ses coûts élevés et de sa faible production.

Des coupures de près de 15 milliards de dollars

La nouvelle, qui aurait été annoncée aux cadres ce matin, s’inscrit dans le cadre d’un vaste programme d’économies de 10 milliards d’euros (14,86 milliards de dollars) sur trois ans que M. Schäfer a annoncé au début de l’année, tout en proclamant que “le toit est en feu”.

Briser une promesse

Le géant de la fabrication s’était précédemment engagé à ne pas procéder à des licenciements avant 2029, mais au cours de la réunion de ce matin, Gunnar Kilian, membre du conseil des ressources humaines, a déclaré qu’il profiterait de la “courbe démographique” pour réduire les effectifs en proposant des retraites partielles ou anticipées, rapporte l’agence Reuters.

Faire face à la réalité

“Nous devons enfin être suffisamment courageux et honnêtes pour jeter par-dessus bord les choses qui font double emploi au sein de l’entreprise ou qui constituent simplement un lest dont nous n’avons pas besoin pour obtenir de bons résultats”, a déclaré M. Kilian.

Avec des renseignements d’Autocar

Le texte Le patron de Volkswagen annonce 15 milliards de coupures provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Selon des documents fédéraux américain rendus publics ce mois-ci, Honda et Ford Motor Co. sont confrontés à des problèmes de sécurité distincts concernant des ceintures de sécurité potentiellement défectueuses.

Des rappels en vue

American Honda Motor Co. rappelle plus de 300 000 Accord et HR-V aux États-Unis en raison de l’absence d’un rivet dans les prétensionneurs des ceintures de sécurité avant. Le rappel concerne certaines berlines intermédiaires Honda Accord 2023-24 et certains HR-V. Honda n’a pas précisé combien de véhicules pourraient être concernés au Canada et au Mexique.

Le problème

Les prétensionneurs de ceinture de sécurité de ces véhicules pourraient manquer d’un rivet qui fixe le connecteur rapide et la plaque de fils et, par conséquent, ne pas être conformes aux normes de sécurité fédérales relatives à la protection des occupants en cas de collision, aux assemblages de ceintures de sécurité et aux ancrages des assemblages de ceintures de sécurité. Les concessionnaires ont été informés le 22 novembre. Les propriétaires de véhicules seront informés à partir du 8 janvier.

Chez Ford maintenant

Dans une autre affaire concernant les ceintures de sécurité, la NHTSA enquête sur environ 20 000 Ford Expeditions 2019 aux États-Unis après des rapports faisant état de prétendeurs de ceintures de sécurité se déployant par inadvertance.

Le problème

L’Office of Defects Investigation de la NHTSA a déclaré avoir reçu 10 plaintes concernant ce problème, certaines alléguant qu’il y avait “un bruit fort, semblable à une explosion, immédiatement suivi par le resserrement de la ceinture de sécurité autour du torse de l’occupant”. Les plaintes font également état d’une odeur de brûlé et de fumée dans l’habitacle du véhicule après l’incident.

Une enquête est ouverte

La NHTSA a ouvert une enquête de sécurité afin de déterminer l’ampleur et la gravité du problème et d’évaluer tout problème lié à la sécurité. Maria Buczkowski, porte-parole de Ford, a déclaré à Automotive News que le constructeur “soutient la NHTSA dans son enquête”. Mme Buczkowski n’a pas précisé quelle entreprise fournit le prétensionneur de ceinture de sécurité, mais a confirmé qu’il ne s’agissait pas de Joyson Safety Systems.

Avec des renseignements d’Automotive News

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Selon un rapport récent provenant du groupe VW (Auto News via Kleine Zeitung), ce dernier vient de passer une commande d’une valeur de 500 millions de dollars avec Magna Steyr pour aider au développement de ces nouveaux modèles. Basé a Graz en Autriche, Magna Steyr est la propriété de l’homme d’affaires Canadien Franck Stronach.

Sous license avec Mercedes et Ineos

Si ce nom de fournisseur vous semble familier, c’est parce que cette entreprise autrichienne est responsable du développement de la Mercedes-Benz G Class. Elle continue d’ailleurs à produire ce modèle pour Mercedes dans son usine à Graz.

Plus gros contrat à ce jour

Le journal autrichien qui a révélé l’information a déclaré que ce contrat est le plus important en termes de développement pour Magna Steyr jusqu’à présent. Magna Steyr a également joué un rôle crucial dans le développement de l’Ineos Grenadier et du BMW X3, ainsi que dans le système de transmission intégrale 4Matic utilisé par Mercedes-Benz.

Historique de performance

Cependant, Magna Steyr ne se limite pas aux tout-terrains. L’entreprise a participé au développement de l’Aston Martin Rapide, de l’Audi TT, entre autres. Elle assemble actuellement les modèles Jaguar E et I-Pace ainsi que la Fisker Ocean.

Scout sur la route en 2026

Selon le rapport, les deux modèles Scout en cours de développement dans le cadre de cet accord seront prêts pour la production d’ici la fin de 2026. Ils seront fabriqués dans une nouvelle usine que le groupe VW est en train de construire près de Columbia, en Caroline du Sud. Cette usine sera capable de produire environ 200 000 véhicules par an.

Avec des renseignements de Carbuzz

Le texte C’est Magna Steyr qui développera les modèles Scout de Volkswagen provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile