L’électrification des transports ne vise pas uniquement les véhicules de promenade ou de transport de marchandises. Winnebago l’a démontré cette semaine en dévoilant le véhicule-concept électrique e-RV au Florida RV Super Show à Tampa, en Floride. Ce serait le premier prototype à motorisation électrique (à batterie) réalisé par un grand constructeur de véhicules récréatifs, selon Winnebago.

L’e-RV est la première réalisation du Groupe de technologies avancées de Winnebago présentée au public. Créé en 2019, ce département de recherches a pour mission d’identifier et de développer des technologies émergentes qui serviront aux futurs VR.

Fruit de deux années de travaux, cette autocaravane de classe B est un prototype fonctionnel entièrement électrifié, contrairement, par exemple, au Winnebago Ekko. Ce modèle de série, qui a été lancé cette année, profite d’une électrification d’appoint servant uniquement aux accessoires de l’espace intérieur, afin de permettre aux voyageurs de prolonger un séjour loin des sources d’électricité.
Partenariat avec Lightning eMotors
Reprenant l’architecture d’un fourgon Ford Transit, ce prototype a été doté d’une motorisation électrique de Lightning eMotors, un équipementier qui se spécialise dans l’électrification des camions légers et poids moyen depuis 2018.

Curieusement, Winnebago révèle peu de détails techniques de l’e-RV. On ne connaît que la capacité de sa batterie, 86 kWh, et l’autonomie limitée qu’elle procure : 200 kilomètres, dans les meilleures conditions.

La capacité de cette batterie paraît cependant plus prometteuse que celle de 67 kWh qui sert aux fourgons E-Transit de série. Que nenni ! Ford promet aussi 200 km d’autonomie pour son fourgon. On

Voilà une statistique plutôt impressionnante qui vient de Turo Canada, une plateforme d’autopartage qui publiait hier une étude qui analyse l’état de la propriété automobile au Canada, en partenariat avec la firme de sondage Léger.
83 % des canadiens possèdent un véhicule
Le rapport révèle que 83 % des Canadiens possèdent ou louent un véhicule, mais leur voiture reste inutilisée 95 % de l’année. En moyenne, les propriétaires de voitures Canadiens sont donc derrière le volant pendant seulement 400,6 heures par an. Il s’agit d’une légère baisse par rapport à une étude similaire menée par Turo en 2019, étude qui révélait que les voitures restaient inutilisées 96 % de l’année et qu’elles étaient conduites pendant seulement 380 heures par an.
Un mal nécessaire
Bien qu’ils n’utilisent pas souvent leur véhicule, 81 % des propriétaires de voiture estiment qu’il leur serait impossible de ne pas posséder de voiture. Le même pourcentage de répondants n’envisage pas non plus de cesser d’en posséder une à l’avenir. Parmi les raisons qui poussent les conducteurs à posséder une voiture, la commodité est la plus importante (31 %), suivie par les déplacements quotidiens (30 %) et le désir de liberté (17 %). Cependant, les dépenses reliées à la possession d’une voiture continuent de représenter une somme importante pour les Canadiens, occasionnant des frais d’en moyenne 4 937 $ par année.
Impact de la COVID-19 sur la possession d’une voiture et la mobilité

La COVID-19 n’a pas eu d’impact significatif sur les intentions d’achat de voitures

C’est plus que jamais l’hiver et on l’a déjà dit, l’hiver n’est pas la saison préférée des véhicules en général et des véhicules électriques en particulier. Surtout quand il fait sous les -20 degrés Celsius… Ça s’entend, d’ailleurs : les portes grincent, les essuie-glaces couinent, les roues pleines de glaces grattent et sautillent… bref, c’est l’enfer, version ère de glace.

Et quand on a une voiture électrique, ça permet de faire certaines découvertes pas toujours très heureuses.

Je vous en ai parlé avant Noël : je fais l’essai pour l’hiver entier d’un Mazda MX-30 tout électrique. Mon but était de tester la motorisation électrique par temps froid mais à long terme, pour avoir une idée plus concrète de son comportement dans un climat assez typique du Québec mais rarement rencontré là où on trouve les studios de design des grands groupes automobiles.

Les dix derniers jours ont été particulièrement instructifs à cet égard. D’abord, il faut savoir que le MX-30 est un croisement entre une Mazda3 et un CX-30. Il a deux roues motrices à l’avant et surtout, il a une autonomie plutôt courte de 110 kilomètres par charge. À -20 degrés, je vous confirme que ça descend plus près des 80 kilomètres, ce qui est très peu, en fin de compte. Pour étirer au maximum l’autonomie, il faut réduire l’utilisation du chauffage et des dégivreurs et miser sur les sièges et le volant chauffants.

Mais surtout : l’hiver, il se peut que la batterie ne suffise pas à

Montebello, Québec. Combien d’entre nous doivent régulièrement prendre un chemin de gravier, un sentier forestier balisé ou un bout de route qui n’est pas entretenu pour aller au chalet. Si vous avez répondu oui à une de ses questions, la version Wildertness du Subaru Forester pourrait vous intéresser.
Ce que vous connaissez, mais en mieux
Tout comme Subaru l’a fait avec son modèle Outback, le Forester a aussi droit pour 2022 à la version Wilderness. C’est tout ce que l’on connaît du Forester, mais en mieux. Subaru met l’accent sur l’orientation tout-terrain du modèle en accentuant certaines caractéristiques. Vous avez par exemple des pneus tout-terrain spécifiques au modèle et une suspension à ressorts hélicoïdaux améliorée pour faire passer sa garde au sol de 8,7 pouces à 9,2 pouces. Subaru a également réglé la transmission qui fournit plus de couple plus tôt dans la plage de régime, ce qui vous grimper les pentes mieux attaquer les surfaces glissantes. Le réglage X-Mode – qui maximise la traction en ajustant plusieurs paramètres de répartition de la puissance – s’active également plus tôt lors d’une descente. Il reste en mode veille au-dessus de 40 km/h, jusqu’à ce que vous ralentissiez à nouveau et qu’il reprenne automatiquement. D’autres améliorations apportées au Wilderness visent à rehausser l’aventure hors route. Il s’agit notamment de phares antibrouillard à DEL, d’un autocollant antireflet noir mat sur le capot pour empêcher le soleil de vous éblouir si vous faites du hors-route, d’une caméra frontale et d’une utilisation accrue des revêtements de

Vous ne serez sans doute pas surpris d’apprendre que la demande est forte pour le Volkswagen ID.4 et que la demande dépasse largement l’offre. Volkswagen a donné la priorité au modèle ID.4 Pros S avec l’ensemble Statement qui ajoute 8 000$ à la voiture et comprend des caractéristiques comme des garnitures plus haut de gamme, notamment des seuils de porte et des logos éclairés, des sièges de massage haut de gamme, des jantes haut de gamme, etc.
Une seule usine en ce moment
Le géant allemand vient d’informer ses détenteurs de réservations que les ID.4 Pro S spécifiés sans le groupe Statement seront produits qu’en 2023. Plus précisément, Volkswagen Canada a utilisé les mots « devrait probablement être construite » en 2023… Si, par contre, le forfait est inclus dans votre précommande, votre construction sera prioritaire. Nombreux sont ceux qui détiennent une place pour le modèle ID.4 de 2021, et si celui-ci n’est pas assemblé à temps, la réservation sera automatiquement échangée pour un 2022. Pour le moment, une seule usine en Allemagne produit tous les modèles ID.4. L’usine de Chattanooga au Tennessee va venir en renfort et commencer la production du ID.4 en 2022. La disponibilité du modèle devrait être meilleure à compter de l’an prochain.
La chance sourit à ceux qui ont commandé tôt
Enfin, ceux qui ont été les plus rapides sur le « bouton de précommande maintenant » pour une ID.4 2021 devraient recevoir leur véhicule dans les trois prochains mois. Volkswagen met actuellement la dernière main à l’usine