Toyota a officiellement lancé aujourd’hui une nouvelle sous-marque de produits 100 % électrique, la gamme BZ pour Beyond Zero et le premier fruit de cette récolte est le bZ4X, la première voiture entièrement électrique de Toyota qui va aussi se retrouver chez Subaru. Elle utilise la plateforme e-TNGA qui va servir de base à d’autres modèles électrique tant chez Toyota que Subaru. La rumeur veut que cette bZ4X porte le nom d’Evoltis chez Subaru.

Peu d’information

Toyota est resté avare de commentaires à propos des spécifications du véhicule. Selon les rumeurs, cette plateforme pourrait supporter des batteries de 50 à 100 kilowattheures. Toyota n’a pas précisé la vitesse de charge de la BZ4X, mais nous savons que le véhicule est équipé de freins régénératifs typiques ainsi que de panneaux solaires qui peuvent aider à recharger la batterie (très lentement).

Nous savons également que la BZ4X est équipée d’un système de transmission intégrale développé conjointement par Toyota et Subaru. On voit un lien de parenté avec le RAV4, mais avec un toit plus bas, un hayon plus râblé, et un empattement allongé. Les porte-à-faux sont également très courts. La carrosserie présente un grand nombre de lignes angulaires et de plis qui la rendent intéressante, même si elle est un peu chargée. L’intérieur est assez futuriste et aéré. L’affichage des instruments en hauteur, placé au fond du tableau de bord, est assez distinctif, tout comme le tableau de bord recouvert de tissu et la console centrale flottante qui fait

Les gens connaissent bien l’histoire des modèles Cobra de Carroll Shelby, mais un peu moins celle de la Sunbeam Tiger. La petite compagnie anglaise offre à l’époque une voiture du nom de Sunbeam Alpine et son 4 cylindres enjoué. Mais, dans le monde naissant des muscle cars aux États-Unis, la compagnie veut plus. Le groupe Rootes qui gère Sunbeam fait donc appel à Shelby pour ajouter de la performance à ce petit modèle. On construit donc un modèle Alpine avec un V8 de 260 pouces cubes qui remplace le 4 cylindres. Le modèle Tiger II offrait un V8 de 289 pouces cubes. Le premier V8 offrait 164 chevaux et le 289, 200 chevaux. Les deux modèles venaient avec une boîte manuelle à 4 rapports Borg Warner et un carburateur Holley à double corps.

Ken Miles qui fait les essais

C’est le bras droit de Carroll Shelby Ken Miles qui fait les premiers essais de cette petite sportive. Les premiers essais ne sont pas concluants. Le moteur V8 plus lourd a trop de poids à l’avant et rend la voiture malhabile. Les quelques semaines que l’on devait accordé à la conversion deviendront quelques mois avant de trouver un équilibre dans la conduite.

Les défauts du prototype Shelby ont été trouvés et corrigés. Le façonnage de l’acier étant confié à Pressed Steel et l’assemblage à Jensen Motors. Ainsi, les Tigers ont été construites comme des Tigers dès le départ.

Jensen était sous-traitant de Rootes pour le travail de

Dans notre série A à Z, nous sommes déjà rendus à la lettre H alors que l’année 2021 amorce son deuxième trimestre. Pour l’occasion, et aussi parce qu’on ne peut pas vraiment voyager par les temps qui courent, on va se déplacer en Angleterre cette semaine pour découvrir une voiture méconnue, la Imp qui fut proposée par Hillman de 1963 à 1976.

Voiture économique d’abord et avant tout, elle a laissé sa marque en raison d’innovations franchement intéressantes pour l’époque, mais aussi en raison de sa piètre fiabilité qui a fini par mener à sa disparition.

Et il y a cette gueule sympa qui a marqué l’imaginaire. Retour sur une oubliée.

Origines

Désireux de concevoir une nouvelle voiture économique pour rivaliser avec l’emblématique Mini, le groupe Rootes (qui regroupait plusieurs compagnies, dont Hillman) avait à l’époque reçu une généreuse subvention de l’État pour construire une nouvelle usine dans une région où le taux de chômage était élevé. Une région ravagée par le déclin de l’industrie lourde.

En 1963, la Hillman Imp était prête à sortir de la chaîne de montage de Linwood dans le Renfrewshire, mais l’aventure n’avait pas été facile. L’expertise avait été un problème à dénicher. La main-d’œuvre de Linwood était principalement composée d’anciens employés des chantiers navals et de quelques vétérans de Rootes, mais dans de nombreux cas, les nouvelles recrues devaient être envoyées dans le sud pour recevoir une formation. La hâte de mettre la voiture sur le marché signifiait que la

La gestation aura duré six ans, mais Hyundai a finalement présenté son Santa Cruz 2022 aujourd’hui. Il a fière allure ce camion un peu différent basé sur le Tucson et qui sera construit à ses côtés à l’usine de Hyundai près de Montgomery en Alabama.

Empattement long et encombrement minimal

Alors que son empattement est un peu plus long que le Palisade. Le Santa Cruz est plus petit que ses concurrents immédiats comme le nouveau Frontier et le Ranger chez Ford. Il est près de 30 cm plus court que la majorité des camionnettes de son segment. Il faudra aussi faire avec une boîte qui fait à peine plus de 4 pieds, 4,3 pieds pour être précis. Pour compenser son manque de longueur, le Santa Cruz va offrir comme le Honda Ridgeline un coffre fermé dans la boîte

La boîte est également équipée d’un couvre-tonneau intégré, qui augmente considérablement la capacité de chargement couverte et verrouillée. Quant à la quantité que vous pouvez transporter, le Santa Cruz a une capacité de charge utile de 1,300 livres.

Un seul moteur au Canada

Alors que les Américains auront droit à un moteur 4 cylindres de base de 2,5 litres qui fait 10 chevaux et 180 lb-pi de couples, le Canada se voit offrir uniquement le moteur 4 cylindres 2,5 litres turbo emprunté au Santa Fe qui offre 275 chevaux et 310 lb-pi de couple. Seul le rouage intégral est offert avec une boîte automatique double embrayage à huit rapports. Ce

Le X6 a toujours été une curiosité dans le monde automobile. Un VUS qui n’en a pas les caractéristiques. Un modèle qui s’est délibérément coupé d’une partie de la clientèle traditionnelle des VUS pour jouer aux épicuriens et contre attente, cette approche a bien fonctionné pour BMW. Après le renouvellement du modèle en 2020, BMW ramène cette année la bête, le X6M en version compétition SVP. On retrouve le même moteur de 617 chevaux et 553 lb-pi de couple que dans le M5 et la M8. Une drôle de combinaison dans un camion de 2300 kg.

On ne sent pas le poids

Même avec 5 mètres de longueur et 2,3 tonnes, vous mettrez seulement 3,8 secondes pour atteindre les 100 km/h à l’aide du «launch control ». Impossible sur nos routes à basse vitesse de même commencer à flairer le potentiel de cette mécanique qui adore tourner à haut régime. Avant même de passer le 4e rapport vous êtes à près de 150 km/h. La vitesse maximale sur ce modèle est fixée à 290 km/h. Cela vous donne une petite idée de la cavalerie. Bien sûr pour tenir tout ce métal sur la route, BME a doté ce X6 d’une suspension M spécifique avec une rigidité exemplaire. Le modèle est chaussé sur des pneus de 22 pouces qui font dans le 315/30 à l’arrière. Croyez-moi, ça tient la route. BMW a aussi élargi les voies face au modèle X6 régulier. Vous avez droit à une suspension M spécifique au modèle et la stabilisation active