Après avoir mis fin à son partenariat exclusif avec Ford, Ken Block se sépare de certaines de ses voitures de la marque à l’ovale bleu. Block vend trois des voitures utilisées dans sa série de vidéos Gymkhana par l’intermédiaire du courtier LBI Limited.

Deux Fiesta et un Focus de Rally

La première voiture est la Ford Fiesta 2011 utilisée dans Gymkhana 3, qui était la première vidéo de Block avec Ford après avoir quitté Subaru. La voiture était au départ une Ford Fiesta ST 2011 de série avant d’être fortement modifiée pour la course. Ces modifications comprenaient un moteur turbo 4 cylindres de 2,0 litres, à la place du turbo 4 cylindres de 1,6 litre de série. Ce moteur produit 600 chevaux et 660 lb-pi de couple, qui sont transmis aux quatre roues par l’intermédiaire d’une boîte de vitesses séquentielle à 6 rapports commandés par palettes. La Fiesta peut passer de 0 à 100 km/h en 2,0 secondes environ, selon le cahier de charge

Une 2e Fiesta

Block vend également une Fiesta de 2013 utilisée dans Gymkhana 6, Gymkhana 8 et Terrakhana. C’est également la voiture qu’il a pilotée lors du championnat mondial de rallycross 2013, qu’il a remporté à Las Vegas. Cette version deux portes européenne est mécaniquement similaire à la version précédente, avec quelques améliorations qui ont fait passer le temps de 0 à 60 mph sous les 2,0 secondes,

Ford RS 200

La troisième voiture est une rare Ford RS200 de

Avec chaque année qui passe, il reste un peu moins de produits Fiat sur la route. Cela a commencé avec l’annonce de la fin de l’aventure pour la petite Fiat 500 qui aura foulé nos routes de 2012 à 2019. En 2020 on annonce aussi la fin de la 124, cette Mazda reconvertie et le 500 L a droit au même sort. Il s’est vendu en 2020 228 unités Fiat au pays, une baisse de 72 % du chiffre de vente par rapport à 2019. Pour le premier trimestre de 2021, Fiat a vendu 32 unités pour tout le pays et 26 de ses 32 unités sont des Fiat 124 qui techniquement n’existent plus. Ce qui laisse seulement 5 unités du seul modèle encore sur le marché le Fiat 500 X qui est un des plus mauvais véhicules sur la route en ce moment sans compter qu’il est beaucoup trop cher. L’autre modèle vendu était une 500 2019 neuve qui traînait dans la cour d’un concessionnaire.

Les 100 jours de Stellantis

Lors de la création de Stellantis le 16 janvier 2021, le grand patron de la marque Carlos Tavares a mentionné qu’il allait présenter un grand plan d’action dans les 100 premiers jours de son règne. Techniquement, cela nous amène au 26 avril. Nous n’aurons pas de nouvelles officielles avant cette date. Tavares a aussi mentionné qu’aucune marque n’allait être sacrifiée. Toutefois, il n’a pas été spécifique. C’est-à-dire qu’une marque comme Fiat peut disparaître de l’Amérique du Nord,

Nissan a déjà montré ses modèles Frontier 2022 haut de gamme, le site américain automedia a surpris sur la route une version de base de ce même Nissan Frontier mais, dans sa version de base S. À l’exception de quelques bandes de rubans et des logos qui sont masqués ont voit très bien le véhicule d’entrée de gamme.

Nous savons que Nissan a changé le moteur qui sera maintenant un V6 de 3,8 litres de 310 chevaux avec 281 lb-pi de couple plus moderne. On constate toutefois qu’une bonne partie de l’ADN de l’ancien modèle est encore présent dans le nouveau. Il y a toujours ce côté costaud et le camion repose toujours sur un châssis à échelle. Les camions de base demeurent d’abord et avant tout des outils de travail et l’allure générale est plus générique comme les garnitures en plastique noir de la calandre, le bouclier avant et le pare-chocs arrière ont l’air un peu bas de gamme, et les poignées de porte perdent leur couleur de carrosserie que l’on retrouve dans les modèles plus haut de gamme au profit du même plastique noir.

Les roues sont de simples roues en acier, peint en argent avec un enjoliveur central couvrant les moyeux. À l’Intérieur toutefois, ce Frontier sera plus moderne avec Apple CarPlay, Android Auto et un écran tactile de 8 pouces. Nissan a aussi ajouté plusieurs systèmes de sécurité. Les premiers modèles vont arriver au courant de l’été.

Avec des renseignements de GM Authority et

Lorsqu’on pense aux concepts historiques du groupe General Motors (GM), il nous vient en tête des modèles pensés par les divisions Chevrolet, Pontiac, Cadillac, Olsdmobile et Buick. Pas GMC. Pourtant, la marque de camion de GM nous en a proposé un particulier en 1955, un de plus singulier de l’histoire de la compagnie.

On fait ici référence à L’Universelle.

La particularité de ce véhicule, outre son design complètement flyé, c’est qu’il proposait une configuration à traction. Si cette dernière a connu ses heures de gloire à partir du début des années 80, elle n’était pas très courante avant, et surtout dans les années 50. Voilà qui rendait L’Universelle unique.

Le GMC L’Universelle était en fait concept radical à l’époque. Outre sa configuration, le véhicule était hautement configurable et pouvait répondre à un large éventail de fonctions spécialisées.

Le vice-président de General Motors à l’époque, Philip Monaghan, avait déclaré ceci à propos de ce véhicule : « Bien que le design de base de L’Universelle soit pensé pour la livraison, des modifications mineures peuvent la transformer en un petit autobus, en véhicule taxi, en familiale ou en grande routière. »

Le design avait été supervisé par le célèbre Harley Earl, ainsi que Charles Jordan qui a ensuite dirigé le département de design de Cadillac. Ensemble, ils ont conçu un fourgon avec des portes-papillon qui, lorsqu’elles s’ouvraient, nous faisait découvrir un espace de chargement de 4898 litres. Les deux créateurs ont réussi ce tour de force en concentrant le groupe motopropulseur de L’Universelle

Toyota accuse un certain retard en ce qui concerne les véhicules électriques. Le géant japonais va faire équipe avec Tesla pour produire à court terme un premier VUS électrique.

Encore peu d’information

Tous les détails ne sont pas connus, mais cette histoire qui émane du site Electrive souligne que Tesla prendrait en charge les batteries, les logiciels et l’électronique alors que Toyota fournirait la plateforme. Toyota bénéficie de la grande connaissance en matière de batteries de Tesla et ce dernier en retour profite de la grande expertise de Toyota en matière de fabrication. Une entente qui visiblement est profitable pour tout le monde. Chaque constructeur aura son propre modèle sur le marché et la porte n’est pas fermée pour de futures associations. Il faut savoir que les deux compagnies ont déjà travaillé ensemble en 2012 pour produire le RAV4 100% électrique qui a été vendu uniquement aux États-Unis.

On peut présumer que ce projet pourrait accoucher du véhicule à 25 000$ US dont Tesla a fait écho depuis l’automne dernier qui serait un petit VUS familial placé sous le modèle Y.
Un projet intéressant à suivre.

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