C’est hier que Porsche a présenté la version Cross Turismo de sa Taycan. À l’instar de la berline, la Cross Turismo profite de la même technologie 100 % électrique. Avec 36 mm de plus de dégagement à la tête aux places arrière, une capacité de charge de 1 200 litres et un grand hayon à l’arrière, la Cross Turismo est réellement très polyvalente.

Quatre versions au menu

La Taycan Cross Turismo se décline en quatre versions dès son lancement. La batterie Performance Plus, d’une capacité totale de 93,4 kWh, fait partie de l’équipement de série. Les versions sont les suivantes :

Taycan 4 Cross Turismode 375 ch, 469 ch en mode Surpuissance avec assistance au départ arrêté, 0 à 100 km/h en 5,1 secondes, vitesse de pointe de 220 km/h

 

Taycan 4S Cross Turismode 482 ch, 562 ch en mode Surpuissance avec assistance au départ arrêté, 0 à 100 km/h en 4,1 secondes, vitesse de pointe de 240 km/h

 

Taycan Turbo Cross Turismode 616 ch, 670 ch en mode Surpuissance avec assistance au départ arrêté, 0 à 100 km/h en 3,3 secondes, vitesse de pointe de 250 km/h

 

Taycan Turbo S Cross Turismode 616 ch, 750 ch en mode Surpuissance avec assistance au départ arrêté, 0 à 100 km/h en 2,9 secondes, vitesse de pointe de 250 km/h

La transmission intégrale et la suspension pneumatique adaptative est livré de série sur les quatre versions. L’ensemble tout terrain

Un drôle de nom pour une voiture qui dépasse les 7 millions de dollars (sans les options). Bugatti a présenté en 2018 la Divo, un proche dérivé de la Chiron qui sera construite à seulement 40 unités, pas plus, pas moins. Ne sortez pas votre chéquier, tous les modèles sont déjà vendus. Bugatti est maintenant à l’étape des premières livraisons. Ce modèle la « Lady Bug » est destiné à un client américain qui voulait quelque chose de spécial, un motif de bibitte à patate sur sa voiture. Une demande qui peut paraître simple, mais qui a failli avoir raison de la patience des gens de Bugatti. La compagnie à mis 18 mois à trouver la bonne recette.

Plus facile à dessiner qu’à réaliser

Le collectionneur américain avait en tête un motif géométrique strict composé de formes en diamant dans un contraste de couleur unique. En collaboration avec le collectionneur, l’équipe de conception et de développement de Bugatti a ensuite entrepris de développer les couleurs spéciales “Customer Special Red” et “Graphite” – deux tons métalliques – pour obtenir l’effet de contraste. Le motif en losange a été conçu pour passer avec précision de l’avant vers l’arrière en passant par les côtés, ce qui correspond à la silhouette de la Divo. Le tout était de rendre la forme jolie et agréable à l’œil. Les modèles numériques ne ressemblaient guère à la réalité : en raison de la forme tridimensionnelle et sculpturale de la Divo avec ses contours, ses courbes

Il semble que le géant Stellantis formé du groupe PSA et FCA, devenu le 4e plus grand constructeur automobile de la planète s’éveille à des ambitions électriques. Il faut dire que ce n’est pas simple d’accouche d’une si grande compagnie en pleine pandémie. Le grand patron Carlos Tavares doit d’abord mettre de l’ordre dans la maison avec 14 marques différentes à gérer y compris des marques comme Jeep, Ram, Peugeot, Maserati, Fiat et Alfa Roméo. La compagnie comme beaucoup d’autres est aussi confrontée en ce moment à une pénurie de semi-conducteurs qui ralentit la cadence de production. Mais, malgré tout cela, la compagnie va de l’avant dans ses projets

Une fusion qui ouvre de nouveaux horizons

Stellantis vise à réaliser plus de 7,5 milliards de dollars d’économies par an grâce à la fusion, ainsi qu’à se renforcer pour faire face aux défis de l’industrie. Ce n’est un secret pour personne, l’avenir est à l’électrique. Stellantis a annoncé qu’elle prévoit proposer des versions entièrement électriques ou hybrides de tous ses véhicules en Europe d’ici 2025, ce qui correspond globalement aux plans de ses principaux rivaux tels que Volkswagen et Renault-Nissan. La différence est que Stellantis a plus de travail à faire que ses concurrents pour atteindre la ligne d’arrivée. Cela dit, aucun échéancier n’a été donné pour le continent américain et pour cause. On compte pour le moment sur les bénéfices générés par la marque Jeep et Ram en Amérique du Nord pour mettre de l’argent en banque en

C’est le titre d’un article paru dans le quotidien britannique The Guardian en début de semaine. En ce moment le débat fait rage entre partisans des véhicules à combustion interne et les amateurs de véhicules électriques. Les premiers admettent qu’un VÉ pollue moins à l’utilisation, mais le minerai que l’on extrait pour la fabrication des batteries a de fortes répercussions sur l’environnement.

Une étude britannique

Un groupe d’étude nommé T&E (Transport and Environment) s’est penché sur la question en Angleterre et arrive à la conclusion que les véhicules électriques à batterie sont supérieurs à leurs homologues à essence et diesel. Selon cette étude, les voitures à carburant fossile gaspillent des centaines de fois plus de matières premières que leurs équivalents électriques à batterie, confirmant ainsi que l’abandon des voitures à essence et diesel apportera d’importants avantages environnementaux nets.

Des pertes, mais pas énorme

L’Étude a comporté sur différents aspects de la fabrication et de l’utilisation des véhicules. Par exemple, environ 30 kg de matière première seront perdus au cours du cycle de vie d’une batterie au lithium-ion utilisée dans les voitures électriques une fois le recyclage pris en compte, contre 17 000 litres de pétrole, selon une analyse de Transport & Environment (T&E) vue par le Guardian. Un calcul des ressources utilisées pour fabriquer les voitures par rapport à leur poids montre qu’elle est au moins 300 fois supérieure pour les voitures au pétrole.

Et les coûts d’extraction

Le groupe d’étude admet que l’accélération

Le 4 septembre 1957 devait être un grand jour dans l’histoire de Ford. En effet, la firme à l’ovale bleu lançait une nouvelle marque, l’Edsel. Pour l’industrie, il s’agit toujours d’un moment excitant.

Ford avait parlé du E-Day pour décrire la journée du grand dévoilement de sa nouvelle division, reprenant à sa façon l’expression V-Day utilisée pour signifier le jour de la victoire à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Les réclames publicitaires annonçaient le E-Day comme la huitième merveille du monde.

En tout, quelque 1300 concessionnaires Edsel attendaient avec impatience l’arrivée des nouveaux modèles. On en comptait quatre, soit Pacer, Ranger, Citation et Corsair.

Tout était en place. La marque Edsel devait révolutionner la façon dont les gens voyaient l’automobile.

Le reste de l’histoire est bien connu. Les modèles n’ont pas eu l’effet escompté sur le marché et en novembre 1959, l’aventure cessait aussi rapidement qu’elle avait débuté.

La qualité

Les raisons sont multiples. La qualité d’assemblage et des problèmes de fiabilité, notamment, n’ont aidé en rien aux premiers pas du produit sur le marché. Concernant cette qualité de construction qui était plutôt ordinaire, il faut savoir qu’à l’époque, les relations de travail n’étaient pas au beau fixe à l’intérieur des usines où était fabriquée l’Edsel. En effet, Ford n’a jamais consacré un lieu propre à la production d’Edsel. Plutôt, on cessait la production de modèles Ford ou Mercury à certains moments pour assembler une quantité déterminée d’Edsel. Les outils n’étaient pas toujours les

Ford fait tous les efforts pour rendre le Bronco aussi modulable et débridé que le Jeep Wrangler. Ford explique que la construction modulaire du Bronco permet aux propriétaires de changer facilement les pièces comme les pare-chocs, les grilles et même le toit en quelques minutes.

Tout habillé ou tout nu

Les panneaux de toit sont conçus pour être enlevés par une seule personne. Les vitres sont amovibles avec un seul loquet. Les ailes peuvent être retirées en faisant sauter quelques boulons, ce qui vous permet de monter des pneus plus larges ou de protéger votre peinture contre les rayures. Pour savoir quelles pièces peuvent être retirées de la carrosserie et de l’intérieur, Ford les a estampillées avec un logo Bronco.

Beaucoup de pièces pour personnaliser votre Bronco

Pour ceux qui veulent profiter du plein air au maximum, le Bronco offre un emplacement pour ranger les portes à l’arrière, et chacune d’entre elles peut être retirée à l’aide de deux fixations et d’un connecteur électrique. Selon Ford, cela prendra de deux à quatre minutes selon les compétences, ce qui correspond à peu près à ce qu’il faut pour un Wrangler. La différence est que les miroirs restent attachés au Bronco. Si vous cherchez à ajouter des accessoires à votre Bronco, il y a des insertions filetées aux points de fixation pour des pièces comme les feux à DEL et les barres de toit. Même les pare-chocs modulaires disponibles ont des supports filetés pour les treuils et d’autres

Après une faillite (1978) et trois changements de propriétaire, Lamborghini est passé sous les mains de Chrysler en 1987. C’est Lee Iacocca qui était derrière la transaction. Coût de la transaction : 33 millions. La compagnie a été rachetée des frères Mimran.

 

L’aventure Chrysler ne sera pas de tout repos. Plusieurs divergences d’opinions dans la façon de fonctionner, de concevoir des voitures. La Diablo, qui devait apparaître pour le 25e anniversaire de la marque, sera retardée, ce qui allongera la vie de la Countach qui sera le modèle 25e anniversaire.

 

Cependant, lors de l’arrivée de la Diablo, c’est le succès. La compagnie enregistre même un profit. Cependant, l’année suivante, les ventes plongent et à ce moment, Chrysler se doute que l’aventure ne lui rapportera pas et commence à chercher pour trouver un acheteur.

 

Le nom de la voiture, Diablo, respecte la tradition Lamborghini de nommer des voitures du nom de taureaux. Le Diablo était un taureau élevé et entraîné par le duc de Veragua, au 19e siècle, taureau connu pour sa bataille célèbre contre El Chicorro, à Madrid, le 11 juillet 1869.

 

Production de la voiture entre 1990 et 2001.

Au moment de son introduction, c’est la voiture de production la plus rapide au monde, 2884 modèles seront produits.

Première Lamborghini capable d’atteindre plus de 200 miles à l’heure (320 km/h). Le projet de la Diablo commence en 1985 alors que les frères Mimram sont à la

Le groupe Mercedes a annoncé hier un 3e modèle 100 % électrique pour l’année qui vient. Donc après l’EQA qui roule présentement en Europe et l’EQS qui arrive bientôt, Mercedes a annoncé la venue de l’EQE qui sera de taille taille de la Classe E actuelle et le plus sérieux concurrent à la Tesla S.

Un prix plus accessible que l’EQS

Même si Mercedes n’a pas révélé de gamme de prix pour l’EQE, cette dernière sera plus abordable que l’EQS qui se veut le vaisseau amiral dans les modèles électriques. L’EQE sera toutefois construite sur la même plateforme que l’EQS. Le grand patron de Mercedes

Ola Kallenius, a récemment déclaré à Automotive News que la grande berline haut de gamme à émissions zéro fera sa première apparition publique lors de l’IAA à Munich. Il s’agit d’un nouvel événement qui remplacera le salon que nous connaissions auparavant sous le nom de Salon de l’automobile de Francfort. Nous ne voulons pas gâcher la fête, mais étant donné la situation actuelle dans le monde, une révélation uniquement en ligne ne devrait pas être exclue des options.

Construite en Chine et en Allemagne

L’EQE sera construite dans un premier temps à l’usine de Brême en Allemagne pour ensuite se transporter du côté de la Chine qui aura aussi une usine pour ce modèle. La production en Asie devrait débuter au printemps de 2022. Alors que l’offensive électrique de Mercedes débute avec trois voitures, la compagnie a précisé que la

Après le XC40 recharge, voici maintenant le C40 Recharge. Si vous voyez des similitudes, vous ne rêvez pas. Le C40 est à peu de chose près un XC40 qui re rapproche plus de la voiture que du VUS, question d’aller chercher une autre clientèle. Le C40 repose sur la même plateforme que le XC40, offre le même groupe de batterie que le XC40 et les mêmes caractéristiques. Il s’agit essentiellement d’une version “coupé” du XC40 Recharge, dont la production devrait commencer cet automne.

Uniquement en modèle électrique

Là où le XC40 et la C40 diffèrent, est dans l’offre de modèles. Alors que le XC40 offre des modèles avec moteurs à combustion internes, la C40 est uniquement offerte en version purement électrique. Un moteur électrique alimente chaque essieu, ce qui confère à la C40 une traction intégrale. Vous avez une puissance équivalente de 402 chevaux et 486 livres-pieds de couple.

Une batterie de 78 kWh offre une autonomie annoncée de 418 km sur le cycle WLTP européen. L’essai récent du XC40 en hiver indiquait une charge pleine de 320 km et un peu moins de 300 une fois la batterie vide, ce qui n’est pas terrible.

Même système embarqué

Comme le XC40 Recharge, la C40 Recharge sera dotée d’un système d’exploitation Android, avec des applications comme Google Maps et Google Assistant servant de paramètres par défaut pour la navigation et la commande vocale.

Vendue uniquement en ligne

Volvo a déclaré que la C40 Recharge sera vendue exclusivement

Les vrais modèles Shelby sont de plus en plus rares. Un de ces modèles sera proposé en vente les 23 et 24 avril prochain par Worldwide Auctioneers à Auburn en Indiana. Il s’agit

d’une Daytona Coupé 1965 achetée par le propriétaire actuel directement auprès de Carroll Shelby, qui avait commandé la voiture construite par Shelby American en 1965 avec une carrosserie McCluskey Daytona Coupé. La Daytona est entièrement documentée et inscrite au registre Shelby, selon Worldwide.

Une riche histoire

La Shelby Daytona a vu passer nombres de grands pilotes à son volant : Phil Hill, Derek Bell, Danny Sullivan, et Brian Redman pour en nommer quelques-uns. Cette voiture a été conçue à l’origine par Peter Brock pour l’équipe de course Shelby/Ford, afin de participer en 1964 aux 24 heures du Mans, propulsée par le gros bloc 427 V8. La carrosserie très aérodynamique a été conçue pour augmenter la vitesse de pointe des Cobras, une conception dont se moquaient certains membres de l’équipe Shelby qui trouvaient l’arrière trop bizarre, jusqu’à ce qu’elle fasse ses preuves sur la piste en compétition d’endurance.

Le nom de Daytona a été appliqué au coupé en reconnaissance de sa victoire dans la course de 12 heures en Floride lors d’une de ses premières sorties. Elle reste la seule voiture de fabrication américaine à avoir remporté le championnat mondial des constructeurs de voitures de course de grand tourisme. Cette Cobra Daytona ne fait pas partie du premier lot de six coupés qui ont