Spyker était au départ une compagnie automobile néerlandaise fondée en 1898 qui a fusionné en 1914 avec une compagnie d’aviation. La compagnie a ensuite fait faillite en 1929 durant la grande dépression. Le néerlandais Victor Muller reprend les droits d’utilisations de la marque Spyker en 1999.
Des modèles à moteurs Audi
En 2000, Spyker Cars construit présente des voitures de sport haut de gamme entièrement en aluminium et construites à la main comme la C8 et la C8 Laviolette. La mécanique est est un V8 4,2 litres empruntés à Audi. Le moindre détail des véhicules, en plus du logo, évoque le passé de motoriste aviation de la marque Spyker. La C8 et ses 400 chevaux arrive sur le marché américain en 2005.
Un retour en 2021

Depuis 2010 et le rachat raté de Saab, Spyker est resté sous les feux de la rampe. L’an dernier, une nouvelle compagnie Spyker soutenue financièrement par des hommes d’affaires russes Boris Rotenberg et Michail Pessis. Rotenberg a cofondé la SMP Bank en Russie et est connu dans le domaine du sport automobile pour être propriétaire de SMP Racing et BR Engineering. Spyker prévoit de produire trois modèles dès cette année, le C8 Preliator, le Spyker B6 Venator et le VUS Spyker D8 Peking-to-Paris. Il s’agit des modèles que le constructeur avait initialement prévu de produire en 2021.
Un retour en sport automobile
L’annonce indiquait également que Spyker allait revenir au sport automobile. Avec les investisseurs impliqués, il ne serait pas trop scandaleux de

Je vous le mentionnais lors de notre article portant sur le modèle de quatrième génération de la Chevrolet Corvette, ce dernier était celui de mon enfance, celui qui m’a fait rêver lorsque j’étais adolescent. La génération qui a suivi n’a pas eu le même effet sur moi et au moment où elle a fait carrière, soit de 1998 à 2004, j’étais moi-même ailleurs, devant mes premières classes alors que s’amorçait ma première carrière, celle d’enseignant.

Je vous l’avoue, l’automobile occupait moins mes pensées à ce moment. Ça tombe bien, je trouvais les propositions des années 90 moribondes dans l’ensemble. Quant à la Corvette, je savais bien qu’elle progressait et que sur le plan du comportement, elle avait reçu les outils pour éclipser sa devancière, mais elle me laissait de glace.

Considérant ce contexte, important à surligner ici, vous comprendrez qu’il fut un peu particulier de m’installer au volant d’un exemplaire pour en prendre le pouls. Le verdict un peu plus loin.
C5
La cinquième génération de la Corvette voit le jour en 1997 et elle subit plusieurs transformations, dont le remplacement du valeureux moteur V8 de 350 pouces cubes par une nouvelle unité, cette fois de 346 pouces cubes. En fait, on va commencer à parler de litres plutôt que de pouces cubes. L’ironie, c’est qu’avec cette mesure, il n’y a pas de différence entre les deux mécaniques ; la taille est de 5,7 litres dans chaque cas.

En 1997, comme c’est souvent ce qui se produit lors de la première année d’un

La publicité automobile va prendre une nouvelle forme en France à compter du 1er mars prochain. Tout juste avant la fin de l’année 2021, un arrêté du ministère de la Transition écologique a été inscrit au journal officiel. Ce dernier demande que les fabricants automobiles fassent la promotion des mobilités plus douces dans leurs publicités. Pour chaque publicité automobile qui sera produite, on devrait voir une des trois phrases suivantes : “Pensez à covoiturer”, “Prenez les transports en commun”, “Pour les trajets courts, privilégiez la marche ou le vélo”.
Il faudra aussi indiquer le taux de pollution
De plus, les constructeurs automobiles devront également indiquer le niveau d’émissions de CO2 du véhicule en question. Une démarche qui va dans le sens de ce que demande Équiterre au gouvernement du Québec depuis mars 2021. Le rapport de l’organisme québécois recommande aux gouvernements de mettre en place des politiques publiques restrictives et ambitieuses vis-à-vis l’industrie automobile s’il veut freiner la hausse des véhicules énergivores sur ses routes : un phénomène aux conséquences néfastes pour la société et l’environnement. Les recommandations d’Équiterre vont dans le sens de ce que va se faire en France en encadrant plus efficacement la publicité automobile.
D’autres pays l’ont fait
Le Royaume-Uni, la Belgique et la Nouvelle-Zélande ont aussi pris des mesures en ce sens en réglementant la publicité. Reste maintenant à savoir si le gouvernement fédéral ou provincial va donner suite aux demandes d’Équiterre.

Avec des renseignements d’autonews.fr

 

Le texte Vers des changements dans la manière

L’électrification des véhicules permet désormais d’envisager l’utilisation d’un VÉ en guise de source d’alimentation en électricité. Voilà justement ce que la filiale suédoise de Hyundai a voulu démontrer avec la nouvelle Ioniq 5 dans le cadre de son projet « Today’s Office ».

Ce projet met en valeur la technologie de chargeur inversé V2L (pour Vehicle-to-Load) de l’Ioniq 5 en l’utilisant pour électrifier un petit pavillon baptisé « Space of Mind ».

Conçu par les architectes du studio Puisto de Helsinki, en Finlande, ce pavillon modulaire est construit en bois. Puisqu’il a une superficie de 9 mètres carrés, ses concepteurs architectes parlent de « micro hospitalité ».

Le Space of Mind est offert à partir d’environ 40 000 $. Il a été conçu pour s’adapter à une foule d’usages et peut servir de chambre pour deux, de gym, de salle de travail, etc.
S’installer et s’électrifier n’importe où
Ce pavillon préfabriqué est également très léger, ce qui permet de le transporter pratiquement n’importe où. On l’installe à l’aide d’une grue avec un impact minimum sur l’environnement. On peut même l’héliporter !

Loin de tout, le chargeur inversé d’une Ioniq 5 permet d’électrifier ce pavillon. Le V2L peut alimenter ou recharger une foule d’appareils électriques, qu’il s’agisse d’une tablette, d’une console de jeu portable, d’un vélo, d’un scooter ou d’accessoires de camping. La recharge peut d’ailleurs s’effectuer à l’arrêt ou lorsque le véhicule est en mouvement.

Dans le cas de ce petit pavillon, ce système permettrait tout aussi bien d’utiliser une chaîne audio, une pompe à chaleur ou même

Musk a la réputation d’en dire beaucoup plus et d’en faire beaucoup moins. Cela fait partie du personnage. À une certaine époque, il avant promis qu’en 2020, un million de robotaxis parcourraient les rues des grandes villes. On promet aussi le Cybertruck depuis des lunes, le projet du prochain roadster est aussi remis aux calandres grecques. Il faut comprendre l’enthousiasme du personnage qui est un idéateur, mais il a moins de talent pour les calendriers et les échéances.
Les idées continuent pourtant de sortir
La résolution du Nouvel An d’Elon Musk est d’amener un niveau 4 d’autonomie à ses véhicules en 2022. Il a donné cette information lors d’un balado avec l’animateur Alex Fridman. Musk a déclaré “il semble assez probable que ce sera l’année prochaine” (en parlant de 2022) lorsqu’il a été interrogé sur l’autonomie de niveau 4. Cette déclaration est surprenante, étant donné que le système autonome de Tesla est encore au niveau 2 et que seules la Honda Accord au Japon et la Mercedes-Benz Classe S en Allemagne sont des voitures certifiées de niveau 3.
Le système FSD
Musk a poursuivi en expliquant ce qui l’a amené à penser que ce serait le cas avec le système Tesla FSD (Full Self-Driving). Les technologies Autopilot et Full Self-Driving ont été entourées de controverses dès le début. Elon Musk a affirmé que les gens ont tendance à devenir plus critiques lorsqu’il s’agit de conduite automatisée, bien que des accidents de voiture mortels se produisent chaque jour à cause des conducteurs humains. Mercedes et

Le pont de Manhattan, d’une portée de 1 470 pieds, qui traverse l’East River, à New York, est officiellement ouvert à la circulation. Ce pont était le quatrième du genre entre Manhattan et les banlieues situés de l’autre côté du fleuve. Il comporte quatre voies de circulation au niveau supérieur (réparties entre deux chaussées). Le niveau inférieur comporte trois voies, quatre voies de métro, une passerelle et une piste cyclable. Le pont est plus récent que le pont de Brooklyn et le pont de Williamsburg, les deux autres ponts suspendus qui enjambent l’East River .
Toujours très occupé après plus de 100 ans
Près de 80 000 véhicules et 320 000 personnes l’empruntent (via les transports en commun) chaque jour. La construction du pont a commencé en 1901 sous la direction de Gustav Lindenthal, commissaire du département des ponts de la ville de New York, et de l’ingénieur en chef R.S. Buck. Cependant, trois ans plus tard, les deux hommes ont été remplacés par George E. Best et Othniel Foster Nichols, pour des raisons politiques locales. La conception du pont était basée sur la théorie de la déflexion, un nouveau concept à l’époque, développé par Joseph Melan et appliqué au pont par l’ingénieur en chef Leon Moisseiff. Cette conception a permis de réaliser des économies en termes de coûts, de matériaux et de temps de construction. Les rénovations effectuées en 1940 ont révélé une usure importante de la structure, dont les rames de métro étaient en partie responsables. Ces trains, lorsqu’ils entraient

Le constructeur japonais Subaru rappelle plus de 210 000 véhicules en Amérique du Nord pour corriger un problème de perte de puissance soudaine.

Le rappel 2021-745 de Transports Canada publié à la veille du Temps des Fêtes vise trois modèles populaires : l’Ascent 2019 et 2020, l’Outback 2020 et la Legacy 2020.

Sur certains de ces véhicules, un problème de logiciel dans le module de commande de la transmission (transmission control unit ou TCU en anglais) pourrait causer un glissement ou une rupture de la chaîne d’entraînement.

Lorsque le véhicule est en mouvement, un bris pareil pourrait causer une perte de puissance aux roues motrices. Une situation pareille pourrait naturellement accentuer les risques d’accident.
Près de 13 000 véhicules rappelés au Canada
Au total, 211 333 véhicules pourraient être affectés par ce problème en Amérique du Nord. De ce nombre, 13 078 sont entre les mains d’automobilistes canadiens, nous apprend Transports Canada. Les autres 198 255 sont aux États-Unis, selon la NHTSA.

Subaru Canada doit maintenant annoncer aux propriétaires de ces véhicules par courrier la situation et le risque qu’il engendre. Il demandera d’amener le véhicule chez un concessionnaire. Ce dernier inspectera le guide de la chaîne de transmission et fera une mise à jour du module de commande de la transmission. Si nécessaire, l’ensemble de la transmission sera remplacé.

Les consommateurs canadiens qui souhaitent en apprendre davantage sur ce rappel peuvent appeler au 1-800-894-4212.

Photos : Subaru.

Le texte Subaru rappelle plus de 210 000 véhicules pour un problème de perte de

Tesla rappelle plus de 475 000 de ses voitures électriques Model 3 et Model S pour remédier à des problèmes de caméra de recul et de coffre qui augmentent le risque d’accident, a déclaré le régulateur américain de la sécurité routière., le NHTSA.
Un plus grand nombre de modèles 3
Du nombre total de rappels, 356 309 véhicules sont des modèles 3 de 2017 à 2020 pour des problèmes de caméra de recul et 119 009 véhicules Model S en raison de problèmes de capot avant, a indiqué la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA).

Le nombre total de véhicules rappelés est proche du demi-million de véhicules livrés par Tesla l’année dernière.
Faisceau de câbles endommagé
Pour les modèles 3, “le faisceau de câbles de la caméra de recul peut être endommagé par l’ouverture et la fermeture du couvercle du coffre, empêchant l’image de la caméra de recul de s’afficher”, a déclaré la NHTSA.

Pour les modèles S, des problèmes de verrouillage du capot avant peuvent entraîner l’ouverture du coffre “sans avertissement et obstruer la visibilité du conducteur, ce qui augmente aussi le risque d’accident”, a déclaré Tesla.

Selon Tesla, il n’y a pas eu d’accidents, de blessures ou de décès liés à ces problèmes sur ses voitures Model 3 et Model S, a déclaré la NHTSA.
Fini la diffusion de jeux vidéo sur l’écran central en roulant
Dans un autre dossier, le NHTSA avait aussi ouvert une enquête sur 580 000 véhicules Tesla en raison de

Selon une information provenant du site américain, Car and Driver, Honda aurait déposé une demande de marque auprès du United States Patent and Trademark Office (USPTO) pour le nom ADX, qui serait sûrement destiné à un modèle Acura. Nous ne savons pas actuellement si ce nom sera effectivement utilisé ou pour quel type de véhicule, mais il serait logique qu’Acura utilise un nouveau nom pour son premier véhicule électrique.
En partenariat avec GM
C’est à compter de 2024 que la compagnie Honda va partager la technologie Ultium de GM dans ses produits. Cette collaboration ne donnera pas seulement naissance à des modèles portant le nom de Honda, mais aussi à des modèles portant le nom d’Acura.
Basé sur une plateforme GM
Nous savons que la première Acura électrique sera basée sur une plateforme General Motors avec des batteries du groupe Ultium. Et même si le nom ADX s’avère être utilisé pour un autre modèle, la version Acura du nouveau Honda HR-V est un prétendant, le constructeur automobile de luxe travaille certainement sur un modèle électrique. Le premier véhicule électrique d’Acura sera exclusivement destiné au marché nord-américain et tous les rapports indiquent qu’il s’agira d’un petit multisegement. Honda a déjà confirmé que son premier véhicule électrique sera un petit VUS qui fera revivre le nom Prologue et arrivera en 2024 (le même calendrier pourrait s’appliquer à l’Acura EV également).

Honda vise à vendre environ 70 000 VUS Prologue EV par an et même si le véhicule sera construit par GM,

Ravon, c’est le nom d’un village d’environ 6 000 âmes dans le Fergana, une région rurale de l’est de la République d’Ouzbékistan. Autrefois sous la férule de l’URSS, cet État désertique est encerclé par le Kazakhstan au nord, le Kirghizistan à l’est, Turkménistan au sud-est, l’Afghanistan au sud et le Tadjikistan au sud-ouest. Ravon, c’est aussi le nom qu’ont choisi en 2015 General Motors et Uz-Daewoo Auto, son partenaire ouzbek, pour désigner les véhicules assemblés dans ce pays et vendus en Russie et dans certains pays de la CEI. Une nouvelle appellation qui ne servira cependant que brièvement, car Ravon fait partie des nombreuses marques éphémères de GM.

On ne peut cependant parler de Ravon sans d’abord évoquer le lien qui a uni son fabricant à Daewoo Motors. En 1992, quelques mois après la dissolution de l’URSS, le nouveau gouvernement autonome de ce pays d’Asie centrale fait des pieds et des mains pour attirer des multinationales sur son territoire. Il conclut alors une entente avec le constructeur sud-coréen Daewoo qui a le vent dans les voiles.
Une usine tout près de Ravon
Uz-Daewoo Auto voit alors le jour. Cette entreprise construit une usine d’assemblage à Asaka, ville d’environ 100 000 habitants située à 6 heures de route à l’est de Tachkent, la capitale (et à 30 minutes de route à l’est de Ravon). L’usine entre en production en 1996 et livre bientôt ses premiers véhicules. Ce sont des clones des Daewoo Tico, Nexia et Damas d’alors.

La crise économique qui secoue l’Asie