L’étincelle que la bougie permet, arrive à un moment bien précis. Cependant, cette précision varie selon la vitesse du moteur et des besoins.

Je m’explique, faut savoir d’abord que contre la logique, l’étincelle jaillit un peu avant que le piston soit tout en haut. On aurait tendance à penser que l’étincelle doit s’exécuter quand le piston commence à redescendre. Et bien non.

Ça s’explique de cette façon, la combustion prend un certain temps à s’accomplir, et au début, comme à la fin, la combustion n’est pas aussi forte en puissance qu’au centre. Pour profiter du maximum de puissance, on allume le mélange un peu avant, et au moment d’avoir la puissance de combustion maximum, le piston est parfaitement à la bonne place pour redescendre avec force.

Vous aurez compris, il y a un peu de gaspillage. Mais on n’a pas le choix.

La combustion prend un temps X pour s’accomplir, le problème est que ce temps X varie pas ou que de très peu.

Quand le moteur tourne au ralenti, on saisit bien que le piston reste un temps Y en haut, et que ce temps Y est plus court si le moteur tourne 5000RPM. Son délai de repos change avec les tours minutes du moteur qui changent aussi. Cela est simple à saisir. Si la période de temps du piston au point mort haut change selon les tours minutes du moteur et que le temps X de combustion lui ne change pas (ou presque) alors on a un problème.

C’est là que l’avance de l’allumage arrive comme un sauveur

Par rapport à la vitesse du moteur et la position du piston, l’étincelle va scintiller à des degrés de rotation du vilebrequin différents, ou bien, plus simplement, l’étincelle se fera avec une position de monté du piston différente.

La mesure est prise en degré par rapport au vilebrequin. Si le piston est au point mort haut, on dira que le vilebrequin est à 0 degré. Si on tourne un peu plus loin pour faire descendre le piston, on dira que le vilebrequin est dans les degrés côté positif, et avant le 0 du point mort haut, sera en côté négatif.

Si l’on souhaite que l’étincelle se fasse avant la montée complète du piston, le vilebrequin sera en côté négatif.

Maintenant voici, les ajustements de base pour le réglage de l’avance de l’allumage se fait en tournant le distributeur. Selon les fabricants, c’est soit à gauche, ou pour d’autres à droite.

Pour la plupart des moteurs, il y a deux types d’avance, un centrifuge (mécanique) et l’autre au vacuum. Les deux ont le même but, mais pas pour les mêmes raisons. À noter que les 2 sont cumulatifs pour le nombre de degrés total.

Mise en situation, lorsque le moteur est à l’arrêt, la position hypothétique d’allumage de l’étincelle est autour de -2 ou -3 degrés. Au ralenti, il est possible que l’avance centrifuge n’ai pas bougé ou peut-être un peu, et toujours du côté négatif. En accélérant le moteur, les masselottes qui font bouger l’avance, ( situées dans le fond du distributeur généralement) font bouger le rotor et avance l’allumage autour des -12 degrés. Ce n’est pas suffisant pour un rendement maximum. On doit aller plus loin dans les degrés. À ce moment, ou autour de ce moment, le système au vacuum fait son entrée. Si vous roulez disons à 60 MPH, de façon constante, le vacuum du moteur se sera stabilisé et sera puissant. Cette source d’énergie servira à faire déplacer le plateau des pointes à l’intérieur, et augmentera l’avance jusqu’autour des -28 degrés (tout dépend des types de moteur bien sûr).

Mécaniquement parlant, on aurait pu utiliser le système mécanique par centrifuge pour étirer la plage d’ajustement de l’avance du -2 du début jusquà -28 si les fabricants l’avaient souhaités. La différence entre la fin du centrifuge et la fin du système au vacuum doit être variable selon les besoins du moteur.

Pour être économique à 60 MPH, le moteur n’a pas besoin d’avoir la pédale d’accélérateur enfoncée. Une fois lancée, la voiture n’utilise pas la même puissance qu’en accélération. Dans ce cas, le vacuum est au maximum, et l’avance aussi. Si à ce moment vous accélérer à fond pour, par exemple, dépasser une autre voiture, l’avance doit impérativement être «retardée» pour éviter de l’auto allumage. L’accessoire du distributeur qui réagit au vacuum a un ressort à l’intérieur, et en accélération, le vacuum tombe près du 0, et le ressort qui devient plus fort, déplace le plateau des pointes et retarde l’allumage. Une fois que le vacuum se stabilise à nouveau à 60 MPH, le vacuum est plus fort que le ressort dans l’accessoire du distributeur, et avance l’allumage à nouveau, jusqu’au prochain coup d’accélérateur.

Certains moteurs ont seulement un avance centrifuge, comme les moteurs stationnaires, ou ceux qui tournent à la même vitesse, comme les génératrices. Certains moteurs de performances aussi, puisque sur ces moteurs le vacuum est bas, et qu’en principe, avoir la pédale toujours au fond est un but, il n’est donc plus nécessaire d’avoir un accessoire qui fonctionne avec vacuum lorsque celui-ci n’est pas disponible. Dans ces cas, le centrifuge fait tout le travail.

Très important d’avoir ces deux organes, avance centrifuge et au vacuum en bon état de marche. Le moteur ne peut durer longtemps et offrir de bonnes performances sans ces 2 particularités du distributeur. De vérifier si tout fonctionnent bien, fait partie d’une mise au point professionnelle de qualité.

Le texte L’AVANCE DE L’ALLUMAGE provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Une petite révolution esthétique se prépare chez BMW. Le constructeur allemand va appliquer son tout nouveau langage de design Neue Klasse à l’ensemble de ses modèles, tant ceux à essence que tout électrique, et ce, beaucoup plus rapidement que prévu.

Et quel sera le premier modèle à adopter cette signature visuelle ? Le BMW iX3 de deuxième génération, qui fera ses débuts en septembre au Salon de l’auto de Munich.

Un virage esthétique majeur amorcé par le iX3

Le iX3 lancera donc l’offensive, suivi de la future Série 3, qui sera proposée en deux variantes distinctes : à essence et électrique. Puis, ce sera au tour de modèles existants comme la Série 5, lancée à peine en 2023, de subir une métamorphose audacieuse.

Plusieurs prototypes camouflés de cette dernière ont déjà été aperçus à l’essai, arborant des pare-chocs redessinés et des optiques revues. Le site Autocar avance que l’habitacle pourrait également adopter le tout nouveau système Panoramic iDrive, sans pour autant abandonner la plateforme CLAR ni la gamme actuelle de moteurs.

Même la M5 recevra la touche Neue Klasse, tout en conservant son V8 hybride rechargeable de 4,4 litres.

Le concept Neue Klasse Vision de BMW (2023)
Le concept Neue Klasse Vision de BMW (2023) | Auto123.com

Tous les modèles y passeront, pas d’exception

Selon Adrian van Hooydonk, patron du design chez le groupe BMW, cette refonte complète vise à donner une identité cohérente et moderne à toute la gamme : Série 2, X2, Série 7, X7… aucun n’échappera à cette transformation. L’objectif ? Créer une continuité visuelle forte pour refléter la rapidité avec laquelle la technologie évolue et la société exige du renouveau.

Pourquoi ce virage rapide ?

BMW ne cache pas que cette accélération stylistique est motivée par la soif de modernité. « L’appétit de la société pour le changement s’est accéléré », affirme van Hooydonk. En d’autres mots, les consommateurs s’attendent à voir du nouveau, souvent, et partout.

Préparez-vous : la révolution visuelle de BMW est en marche et elle pourrait bien redéfinir ce que signifie le « luxe allemand » au XXIe siècle.

Le concept Neue Klasse Vision de BMW
Le concept Neue Klasse Vision de BMW | Auto123.com

Le concept Neue Klasse X de BMW
Le concept Neue Klasse X de BMW | Auto123.com

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Le texte BMW s’apprête à changer le style de toute sa gamme provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

• Hyundai se préparerait à hausser le prix de tous ses véhicules aux États-Unis.

La situation des tarifs a beau être différente entre le Canada et les États-Unis, il est important de suivre ce qui se passe chez nos voisins du sud, car à long terme, cela peut avoir une incidence chez nous.

Après avoir vu Subaru annoncer des hausses de prix pour pratiquement tous les modèles qu’elle vend aux États-Unis, voilà qu’on apprend que Hyundai se prépare à faire la même chose, le tout dans le but de diminuer l’impact des tarifs douaniers décrétés par le président américain Donald Trump.

Comme le rapporte le site Automotive News, des personnes près du dossier affirment que Hyundai envisage d’augmenter le prix de détail de tous ses véhicules de 1 %, et ce, dès la semaine prochaine.

La mesure toucherait les modèles qui arrivent en concession et non ceux qui se trouvent déjà dans les cours des établissements.

Hyundai Santa Fe
Hyundai Santa Fe | Auto123.com

La compagnie étudierait aussi la possibilité d’augmenter les frais de transports et de préparation, ainsi que le prix de certaines options, afin de ne pas trop faire grimper le prix de base annoncé des véhicules. On discuterait toujours de la chose à l’intérieur des murs de l’entreprise, donc rien ne serait coulé dans le béton.

Et il est important de le rappeler, tout cela ne touche pas le Canada en ce moment.

Hyundai a déclaré que sa stratégie de prix est conçue pour s’assurer qu’elle reste concurrentielle, mais qu’aucune décision définitive n’a été prise. Comme la plupart des autres constructeurs, elle évite de parler des tarifs pour justifier des ajustements de prix, mais plutôt de la « dynamique du marché et la demande des consommateurs ». Elle a aussi déclaré, par voie de communiqué, qu’elle continuerait à s’adapter à « l’évolution de l’offre et de la demande et des réglementations, grâce à une stratégie de tarification flexible et à des programmes d’incitation ciblés. »

L’augmentation des prix et des frais aura pour effet d’ajouter plusieurs centaines de dollars, au minimum, à chacun des véhicules offerts par la marque.

Hyundai construit des véhicules aux États-Unis, ce qui va l’aider à amoindrir le choc. Néanmoins, la compagnie a importé 1,1 million de véhicules aux États-Unis l’année dernière.

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Le texte Hyundai prépare des hausses de prix aux États-Unis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Alors qu’elle cherche à redresser la barre face à des performances financières décevantes, Nissan travaille à une réduction majeure de ses coûts à l’échelle mondiale.

Selon des courriels internes obtenus par Reuters, le constructeur japonais offre maintenant des départs volontaires à ses employés aux États-Unis et impose un gel des augmentations salariales fondées sur le mérite partout à travers le monde.

Coupures radicales : sept usines et 20 000 emplois touchés

Le chef de la direction de l’entreprise, Ivan Espinosa, a lancé une nouvelle série de compressions ce mois-ci, incluant la fermeture de sept usines et la suppression de 11 000 postes supplémentaires, ce qui portera à près de 20 000 le total des emplois éliminés.

Aux États-Unis, l’usine de Canton, au Mississippi, est particulièrement visée, tout comme plusieurs secteurs administratifs : ressources humaines, finances, technologies de l’information et planification.

« Un passage obligé pour revenir en force. »

– Christian Meunier, président de Nissan Amériques

Dans un message adressé aux employés américains, Christian Meunier a justifié ces mesures comme stratégiques et nécessaires : « Le travail que nous faisons aujourd’hui est crucial pour le retour de Nissan — livrer des véhicules, générer des revenus et satisfaire nos clients. »

Le nombre exact d’employés qui ont reçu ou accepté les offres de départ volontaire demeure inconnu à ce stade.

Le chef de la direction de Nissan, Ivan Espinosa
Le chef de la direction de Nissan, Ivan Espinosa | Auto123.com

Des augmentations salariales suspendues… partout

Une communication interne distincte confirme que toutes les hausses de salaire basées sur le rendement sont suspendues pour l’année fiscale en cours. Nissan a confirmé la nouvelle, sans toutefois fournir plus de détails, indiquant que le processus est toujours en cours.

Une stratégie qui va à l’encontre des politiques américaines

Ces coupes vont à l’encontre des efforts politiques visant à relancer la production automobile américaine, surtout dans un contexte où l’administration américaine mise sur les droits de douane pour encourager la fabrication locale.

Même si les ventes ont augmenté en Amérique du Nord pour l’exercice terminé en mars, la marge bénéficiaire de Nissan a chuté, un signe clair que les volumes ne suffisent plus à compenser l’essoufflement de l’offre de produit.

Des problèmes structurels en arrière-plan

Les analystes pointent du doigt un catalogue vieillissant, un retard sur les modèles hybrides pour le marché américain, et un héritage trop axé sur le volume, un héritage de Carlos Ghosn. Depuis son départ en 2018, Nissan cherche une nouvelle identité.

D’autres restructurations en cours

Nissan a confirmé la fermeture d’une usine en Thaïlande d’ici juin et l’intention de regrouper la production de camionnettes du Mexique et de l’Argentine sur un seul site mexicain. De plus, Renault rachètera la part de Nissan dans leur coentreprise indienne. Au Japon, les usines d’Oppama et une autre installation sont aussi sous la loupe.

Enfin, selon Bloomberg, Nissan envisagerait de percevoir plus de 1000 milliards de yens par la vente d’actifs et l’émission de dettes, incluant un prêt syndiqué garanti par le gouvernement britannique.

Nissan traverse donc une période charnière, entre rigueur budgétaire, recentrage stratégique et refonte de son image, espérant un retour durable sur les rails du succès.

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Le texte Nissan offre des départs volontaires à ses employés américains provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Malgré le fait que de plus en plus de consommateurs se tournent vers des véhicules électriques, plusieurs constructeurs voient que la transition en cours risque de prendre plus de temps à se réaliser que ce qui était initialement prévu.

Dans ce contexte, auquel contribue l’incertitude économique, la guerre des tarifs, la réduction des incitatifs gouvernementaux à l’achat d’un véhicule électrique, ainsi que les hausses de prix, le fabricant vietnamien VinFast a décidé de fermer la moitié de ses succursales au Canada, afin de consacrer ses ressources au bon endroit et améliorer ses performances à long terme.

La compagnie possédait 10 magasins au pays, soit quatre en Ontario, trois en Colombie-Britannique, trois au Québec. VinFast a assuré qu’elle allait continuer d’être présente dans chaque province, mais qu’elle allait fermer ses boutiques situées dans les centres commerciaux de trois villes, soit Vancouver, Toronto et Laval. Deux autres emplacements verront leurs opérations se terminer, mais ils n’ont pas été précisés pour le moment.

« Il est essentiel que nous continuions à nous adapter et à faire évoluer notre entreprise afin de nous assurer que nous sommes bien positionnés pour la croissance future », a déclaré VinFast Canada via un communiqué que la compagnie a fait parvenir à la division canadienne du site Automotive News.

On ne sait pas pour le moment combien d’employés sont concernés par la mesure.

Le VinFast VF 8 au Salon de l'auto de Montréal en 2023
Le VinFast VF 8 au Salon de l’auto de Montréal en 2023 | Auto123.com

VinFast a fait ses débuts en 2022 au pays. Les premiers pas ont été boiteux, mais la compagne a pris son air d’aller par la suite, malgré que ses volumes soient demeurés marginaux (environ 2000 unités du VF 8 en 2024). Avec la suppression des rabais gouvernementaux au début de l’année, on a vu un ralentissement de l’intérêt, comme partout ailleurs.

Malgré son annonce concernant les fermetures, VinFast a déclaré qu’elle restait déterminée à vendre des véhicules au Canada. La compagnie a même indiqué qu’elle prévoyait d’annoncer cette année une expansion de son réseau de service après-vente.

VinFast continue également d’évaluer la possibilité d’introduire des concessionnaires franchisés dans son réseau de vente, comme elle l’a fait aux États-Unis.

Contenu original de auto123.

Le texte VinFast Canada ferme 5 de ses 10 succursales provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Après avoir laissé Kia faire cavalier seul avec le Tasman (qui est vendu sur d’autres marchés), Hyundai annonce enfin qu’un véritable pickup est en préparation. Plus robuste et de format plus généreux que le Santa Cruz, ce futur modèle vise directement les poids lourds du segment intermédiaire comme les Chevrolet Colorado, Ford Ranger et Toyota Tacoma.

Hyundai sort de l’ombre de Kia

Alors que Kia a déjà lancé son Tasman, Hyundai n’a pas encore tranché sur le type de plateforme qui sous-tendra son pickup.

Don Romano, président de Hyundai Australie (ancien patron de Hyundai et de Mazda Canada), a confirmé que le projet est bel et bien en marche, mais que l’échéancier dépendra de l’architecture choisie : « Le moment du lancement dépendra du type de modèle que nous allons développer. »

Deux voies s’offrent à Hyundai : un châssis à longerons de type carrosserie sur cadre, ou une structure monocoque. Le premier offre des capacités hors route accrues et une meilleure résistance, mais il exige des couts de développement plus élevés et un travail plus complexe.

Le Kia Tasman
Le Kia Tasman | Auto123.com

Une plateforme GM à l’horizon ?

Hyundai pourrait même faire appel au récent partenariat qu’elle a signé avec General Motors pour concrétiser ce projet. Les deux constructeurs ont amorcé une collaboration en 2024 pour développer certains véhicules conjointement. Don Romano ne cache pas que GM fait partie des options explorées :

« On pourrait regarder ce que GM a à offrir. Mon objectif est d’avoir un modèle en production dans les trois prochaines années. »

Cela ouvre la porte à l’utilisation d’une plateforme de camionnette Chevrolet, ce qui accélérerait le processus et permettrait à Hyundai de s’implanter rapidement dans un segment qui reste lucratif, surtout en Amérique du Nord.

L’option électrique ? Pas prioritaire… pour l’instant

Hyundai possède une nouvelle plateforme pour véhicules électriques qui serait capable de supporter une camionnette, mais la demande pour ce type de véhicule demeure marginale — notamment en Australie. Si un pickup 100 % électrique voit le jour, il serait plus gros que le Tasman et vraisemblablement réservé à d’autres marchés comme le nôtre.

Un pickup Hyundai crédible avant 2030 ?

L’engagement est clair, mais la forme reste floue. Cette camionnette ne sera pas une simple déclinaison du Santa Cruz ; il s’agira d’un véhicule utilitaire sérieux, costaud et concurrentiel. Si tout se déroule comme prévu, Hyundai pourrait présenter son pickup d’ici la fin de la décennie, et éventuellement l’offrir au Canada et aux États-Unis.

Contenu original de auto123.

Le texte Hyundai confirme l’arrivée d’un vrai pickup provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Pour exposer aux passionnés le travail des spécialistes en restauration œuvrant chez ses concessionnaires, Porsche Canada lance une quatrième édition du Concours de restauration Porsche Classic. Et cette année, ce concours est centré sur le modèle le plus vendu de la marque à l’échelle planétaire : l’utilitaire Cayenne.

En effet, un communiqué publié par Porsche AG le 13 janvier dernier nous apprend que, des 310 718 véhicules livrés par le constructeur à ses acheteurs en 2024, à la grandeur de la planète, 102 899 étaient des Cayenne, ce qui représente un peu plus de 33 % de l’ensemble de ses ventes.

Le choix du Cayenne pour cette nouvelle édition du concours de restauration va donc de soi. C’est sans oublier que cet événement rappellera sans doute aux consommateurs qu’en mai 2024, le constructeur de Stuttgart a lancé les Cayenne et Cayenne GTS 2025, des versions remises au goût du jour.

Réinventer le Cayenne « E1 »

Cette quatrième édition du concours oppose de nouveau les concessionnaires de la marque d’un océan à l’autre (le constructeur les désigne par l’expression « Centres Porsche »). Leur défi consistera à restaurer et à réinventer l’image d’un Cayenne de première génération. Appelés « E1 » à l’interne, ces véhicules sont millésimés 2003 à 2010.

Les restaurateurs pourront donc transformer l’utilitaire qu’ils restaureront en tout-terrain musclé, en montagnard audacieux ou même en faire un puissant véhicule de course.

Le Centre Porsche Québec, concessionnaire de la marque dans la grande région de la Vieille Capitale, a déjà annoncé son intention de revamper un Cayenne 2004, sans toutefois dévoiler l’orientation qu’ils adopteront. Là comme ailleurs, les réseaux sociaux permettront aux internautes de suivre cette aventure pancanadienne.

La grande finale et le choix du gagnant auront lieu en septembre 2025. Un groupe d’experts évaluera alors les finalistes au Centre d’expérience Porsche de Toronto, qui aura ouvert ses portes en juin.

Déjà la quatrième édition

Le Concours de restauration Porsche Classic de Porsche Canada en est déjà à sa quatrième édition. La première remonte à 2019. Cette année-là, dans le cadre de l’événement Destination Porsche organisé à Mont-Tremblant, le concessionnaire Porsche Centre Saskatchewan avait remporté les honneurs grâce à une restauration méticuleuse effectuée sur une Porsche 356 1964; un ouvrage qui avait nécessité plus de 1 800 heures de travail acharné.

Par la suite, l’édition 2020–2021 avait opposé des spécialistes de douze Centres Porsche de partout au pays. Une fois de plus, le concessionnaire saskatchewanais avait remporté les honneurs, cette fois avec la restauration d’un cabriolet Porsche 356 B 1960 surnommé affectueusement « Louise ». Pour sa part, le Centre Porsche Québec, qui avait également pris part à cette compétition, s’était distingué par le travail de restauration réalisé pour la 911 SC 1982 d’un client.

En septembre 2023, enfin, c’est dans le cadre du prestigieux concours d’élégance de Cobble Beach, en Ontario, que l’issue de la troisième édition de cette compétition a été connue. Parmi les dix Centres Porsche qui y avaient pris part, Porsche Centre Edmonton avait été couronné vainqueur grâce à la restauration d’une 911 Carrera 1987.

Photos : Porsche

Le texte Le Cayenne se retrouve au cœur du Concours de restauration Porsche Classic 2025 de Porsche Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

General Motors frappe un grand coup en dépassant Tesla pour devenir le vendeur numéro un de véhicules électriques (VE) au Canada au premier trimestre de 2025. Avec une hausse de 252 % de ses ventes électriques, GM a vendu 5 750 VE entre janvier et mars, surpassant les résultats canadiens de Tesla.

Chevrolet et Cadillac en tête du peloton

Le Chevrolet Equinox EV s’est imposé comme locomotive des ventes avec 1 892 unités écoulées, suivi du Silverado EV (894 unités). Côté luxe, Cadillac a surpris avec son nouveau modèle d’entrée de gamme, l’OPTIQ, qui a trouvé 615 preneurs, presque autant que le LYRIQ (720 unités). Même les gros calibres ont progressé : les GMC Hummer EV Pickup et SUV ont vu leurs ventes grimper respectivement de 232 % (186 unités) et 88 % (252 unités).

Tesla s’effondre au Québec

Selon des données de l’immatriculation au Québec, Tesla n’a enregistré que 524 véhicules au premier trimestre — un plongeon de 87 % par rapport à 2024. Ce recul s’explique en partie par la suspension temporaire des incitatifs fédéraux et provinciaux à l’achat de VE, notamment le programme iZEV, interrompu en janvier. GM n’a pas été épargné : les immatriculations d’Equinox et de Blazer EV au Québec sont restées modestes, malgré une performance solide à l’échelle nationale.

Un portefeuille électrique qui continue de s’élargir

GM n’a pas l’intention de ralentir. En plus du Cadillac Escalade IQL, du LYRIQ-V et du VISIQ, d’autres modèles verront le jour d’ici la fin de l’année. Le très attendu Chevrolet Bolt EV de nouvelle génération est également prévu pour 2026.

Conclusion : GM prend le volant de la transition électrique

Avec 13 modèles électriques déjà en vente, couvrant presque tous les segments du marché, GM capitalise sur un momentum solide. Après avoir devancé Ford et Hyundai-Kia aux États-Unis en 2024, le constructeur américain s’impose maintenant comme un joueur dominant au Canada.

Avec des renseignements d’electrek

Le texte GM dépasse Tesla pour les ventes de véhicules électriques au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

General Motors frappe un grand coup en dépassant Tesla pour devenir le vendeur numéro un de véhicules électriques (VE) au Canada au premier trimestre de 2025. Avec une hausse de 252 % de ses ventes électriques, GM a vendu 5 750 VE entre janvier et mars, surpassant les résultats canadiens de Tesla.

Chevrolet et Cadillac en tête du peloton

Le Chevrolet Equinox EV s’est imposé comme locomotive des ventes avec 1 892 unités écoulées, suivi du Silverado EV (894 unités). Côté luxe, Cadillac a surpris avec son nouveau modèle d’entrée de gamme, l’OPTIQ, qui a trouvé 615 preneurs, presque autant que le LYRIQ (720 unités). Même les gros calibres ont progressé : les GMC Hummer EV Pickup et SUV ont vu leurs ventes grimper respectivement de 232 % (186 unités) et 88 % (252 unités).

Tesla s’effondre au Québec

Selon des données de l’immatriculation au Québec, Tesla n’a enregistré que 524 véhicules au premier trimestre — un plongeon de 87 % par rapport à 2024. Ce recul s’explique en partie par la suspension temporaire des incitatifs fédéraux et provinciaux à l’achat de VE, notamment le programme iZEV, interrompu en janvier. GM n’a pas été épargné : les immatriculations d’Equinox et de Blazer EV au Québec sont restées modestes, malgré une performance solide à l’échelle nationale.

Un portefeuille électrique qui continue de s’élargir

GM n’a pas l’intention de ralentir. En plus du Cadillac Escalade IQL, du LYRIQ-V et du VISIQ, d’autres modèles verront le jour d’ici la fin de l’année. Le très attendu Chevrolet Bolt EV de nouvelle génération est également prévu pour 2026.

Conclusion : GM prend le volant de la transition électrique

Avec 13 modèles électriques déjà en vente, couvrant presque tous les segments du marché, GM capitalise sur un momentum solide. Après avoir devancé Ford et Hyundai-Kia aux États-Unis en 2024, le constructeur américain s’impose maintenant comme un joueur dominant au Canada.

Avec des renseignements d’electrek

Le texte GM détrône Tesla comme premier vendeur de véhicules électriques au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

General Motors frappe un grand coup en dépassant Tesla pour devenir le vendeur numéro un de véhicules électriques (VE) au Canada au premier trimestre de 2025. Avec une hausse de 252 % de ses ventes électriques, GM a vendu 5 750 VE entre janvier et mars, surpassant les résultats canadiens de Tesla.

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Le Chevrolet Equinox EV s’est imposé comme locomotive des ventes avec 1 892 unités écoulées, suivi du Silverado EV (894 unités). Côté luxe, Cadillac a surpris avec son nouveau modèle d’entrée de gamme, l’OPTIQ, qui a trouvé 615 preneurs, presque autant que le LYRIQ (720 unités). Même les gros calibres ont progressé : les GMC Hummer EV Pickup et SUV ont vu leurs ventes grimper respectivement de 232 % (186 unités) et 88 % (252 unités).

Tesla s’effondre au Québec

Selon des données de l’immatriculation au Québec, Tesla n’a enregistré que 524 véhicules au premier trimestre — un plongeon de 87 % par rapport à 2024. Ce recul s’explique en partie par la suspension temporaire des incitatifs fédéraux et provinciaux à l’achat de VE, notamment le programme iZEV, interrompu en janvier. GM n’a pas été épargné : les immatriculations d’Equinox et de Blazer EV au Québec sont restées modestes, malgré une performance solide à l’échelle nationale.

Un portefeuille électrique qui continue de s’élargir

GM n’a pas l’intention de ralentir. En plus du Cadillac Escalade IQL, du LYRIQ-V et du VISIQ, d’autres modèles verront le jour d’ici la fin de l’année. Le très attendu Chevrolet Bolt EV de nouvelle génération est également prévu pour 2026.

Conclusion : GM prend le volant de la transition électrique

Avec 13 modèles électriques déjà en vente, couvrant presque tous les segments du marché, GM capitalise sur un momentum solide. Après avoir devancé Ford et Hyundai-Kia aux États-Unis en 2024, le constructeur américain s’impose maintenant comme un joueur dominant au Canada.

Avec des renseignements d’electrek

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