Le grand marché aux puces automnal de Hershey, en Pennsylvanie, est connu de par le monde. Organisé depuis 1955 par l’Antique Automobile Club of America (AACA), il attire des centaines de milliers de visiteurs dans la Ville du chocolat pour les trouvailles qu’on peut y faire en matière de pièces, de services, de contacts et, naturellement, de véhicules. Et souvent, certains de ces véhicules sont aussi rares qu’inusités, comme ce géant mécanique.

Cet ancêtre sans nom est une vedette de la vente aux enchères qui sera présentée par RM Sotheby’s au Hershey Lodge, les 8 et 9 octobre prochains. Ce grand hôtel se trouve à cinq kilomètres du vaste espace champêtre qu’occupe le marché aux puces.

À l’instar du Kissmobile Cruiser de Hershey, de la Goldfish Mobile de Pepperidge Farm ou encore du Wienermobile d’Oscar Mayer, cet imposant véhicule des années 20 a été construit pour faire la promotion d’une brasserie de Milwaukee. Et un Québécois en est à l’origine.

Créé par un Québécois expatrié

Sans le pantin animé qui le précède, ce véhicule ne serait rien. Ce moustachu casqué mesure plus de deux mètres cinquante de haut et semble tirer un chariot de cirque. En réalité, c’est le moteur du véhicule auquel il est arrimé qui fournit la force motrice aux roues arrière, pendant que les membres du géant bougent pour donner l’illusion qu’il marche et vit.

Millésimé 1922, ce véhicule a été réalisé par un duo originaire de North Tonawanda, une petite ville du sud de l’État de New York : l’inventeur Louis-Philip Perew (1862-1946), un québécois né à Trois-Rivières (Louis-Philippe Proulx, de son vrai nom) ayant émigré aux États-Unis en 1879, et son partenaire, Joseph-Albert Dischinger (?-1937), alors détaillant et réparateur d’automobiles.

Pour le construire, ils ont utilisé le châssis d’une Overland, marque que représentait Dischinger durant la décennie de 1910. Quant à la carrosserie, construite sur mesure, elle ressemble à celle d’une roulotte de cirque. Car il faut savoir qu’à l’époque, la ville de North Tonawanda était un haut lieu de la fabrication d’équipements circassiens et de divertissement.

À l’intérieur du corps géant, des mécanismes font pivoter sa tête et bouger ses bras et ses jambes. La hauteur libre sous ses pieds est d’ailleurs réglable afin de l’adapter à différents terrains. Enfin, un microphone dans la cabine et un mégaphone sur le toit lui permettent de « parler » aux badauds.

Pas le premier géant du genre

Le véhicule qui sera offert par RM Sotheby’s n’est pas le premier géant mécanique fabriqué par Perew et Dischinger. En 1900, la presse étatsunienne fait déjà état d’un véhicule hétéroclite aux traits humains sur lequel Perew aurait travaillé durant une dizaine d’années.

L’édition de novembre 1900 du magazine The Strand le surnomme « l’Homme automatique ». Pour sa part, le quotidien The St Louis Republic de St Louis, au Missouri, le présente comme un « géant mécanique de forme humaine » et nous apprend, dans son édition du 9 septembre 1900, qu’il « remorquera » une automobile de New York à San Francisco sous peu.

L’article ne précise pas la marque de l’auto, mais il décrit ainsi le fonctionnement du pantin ainsi : « Non seulement il marche et court, mais il roule ses yeux d’un côté à l’autre d’une manière naturelle et, plus extraordinaire encore, il parle ». D’autres sources affirment, de plus, que les concepteurs lui attribuent une vitesse de pointe de 20 mi/h (32 km/h).

Un géant motorisé

Bien entendu, comme pour le fourgon proposé par RM Sotheby’s, le géant de 1900 ne remorque pas vraiment le véhicule. C’est plutôt le véhicule auquel il est arrimé qui le fait avancer, grâce au moteur qui entraîne les roues arrière. Mais ça, le journal n’en fait pas mention puisque l’inventeur (Perew) a refusé de décrire le fonctionnement de son géant.

Le voyage transcontinental n’aura pas lieu. Par contre, la couverture médiatique générée par son annonce assure aux deux inventeurs une précieuse notoriété.

Le 15 février 1910, le duo obtient le brevet numéro 949,287 qui leur attribue la paternité de ce concept qualifié de « machine publicitaire ». Une machine dont la conception astucieuse fait en sorte que les pieds du géant semblent toucher le sol sans vraiment le faire, ce qui ajoute à l’illusion.

On ignore si Perew et Dischinger ont fabriqué d’autres véhicules de ce genre entre 1900 et le début des années 20. Le modèle 1922 est peut-être le seul autre !

Par contre, Perew qui foisonne d’idée ne chôme pas et durant cette période il obtient une foule d’autres brevets pour un manège, un briquet avec ciseau à cigares, un dispositif servant à remorquer les bateaux dans le canal Érié, un « hydro-aéroplane » et même un jouet mécanique réutilisant le concept de son géant. Par contre, cette fois, la machine qui marche représente une fillette et elle pousse un carrosse !

L’acheteur frappe un os

Ironie du sort, la brasserie qui avait commandé le géant mécanique ne pourra pas l’utiliser, puisqu’elle se voit incapable de le faire immatriculer. Dischinger va alors l’adapter à ses propres besoins en décorant la carrosserie pour promouvoir son garage et son atelier d’usinage.

Plus tard, la carrosserie et l’homme mécanique sont adaptés à un châssis de Plymouth 1932 et, par la suite, le véhicule est vendu à Michael (Mickey) Percell de Rochester, le propriétaire new-yorkais de Pioneer Shows, une entreprise de fête foraine itinérante.

Dès lors, rebaptisé Oscar, le véhicule devient une attraction de son spectacle. Une coupure de presse d’époque qu’on retrouve dans les archives accompagnant ce véhicule relate d’ailleurs comment, un jour, le géant a surpris le résident d’un quartier où il a passé, ce qui a alors valu Pioneer Shows une publicité d’une valeur inestimable !

Des fêtes foraines au musée

Puis, après avoir vendu son entreprise de fêtes foraines, Percell ouvre un parc d’attractions où le fourgon sera exhibé pour le plus grand plaisir des visiteurs, avant d’être vendu de nouveau. Cette fois, c’est un collectionneur étatsunien nommé Howard Crain qui en fait l’acquisition pour le Musée Tee-To-Tum, l’institution que lui et son épouse ont fondée dans la petite ville de Wysox, en Pennsylvanie, au début des années 80. Voilà où sera le géant mécanique jusqu’à la dispersion de la vaste collection du musée, à la fin des années 2000.

RM Sotheby’s affirme que ce véhicule inusité a conservé son charme original, malgré le fait que sa motorisation d’antan ait fait place à un 4-cylindres AMC-Jeep de 2,5 litres millésimé 1984. Il dispose aussi désormais d’une chaîne audio Pioneer et d’une planche de bord avec une instrumentation moderne. En outre, l’acheteur de ce géant mécanique recevra un épais dossier de photos, de correspondance, de coupures de presse, sans oublier divers objets d’époque. Les experts de l’encanteur estiment sa valeur entre 50 000 $ et 80 000 $ USD (entre 70 000 $ et 110 000 $ CAN).

Photos : RM Sotheby’s

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Fort du succès de son programme L’espoir sur roues, lancé plus tôt en 2025, Hyundai Canada annonce une nouvelle initiative baptisée « Le Plus Bel Arrêt de L’espoir sur roues ». En collaboration avec la LNH, l’AJLNH, l’AALNH et Hockey Fights Cancer propulsé par la V Foundation for Cancer Research, l’automobiliste redouble d’efforts pour soutenir la recherche contre le cancer pédiatrique.

10 $ pour chaque arrêt de gardien de but en 2025-2026

En tant que partenaire automobile officiel de la LNH, Hyundai versera 10 $ pour chaque arrêt effectué par un gardien de but durant la saison régulière 2025-2026. Avec une moyenne de 70 000 arrêts par saison, cette campagne pourrait générer plus de 700 000 $ en dons remis via L’espoir sur roues de Hyundai à Hockey Fights Cancer.

Un programme déjà actif à travers le Canada

Depuis son lancement, L’espoir sur roues de Hyundai a remis 3 millions $ à six institutions canadiennes spécialisées dans la recherche et les soins liés au cancer pédiatrique. Les 225 concessionnaires Hyundai du pays participent au programme en versant une partie des revenus de chaque véhicule vendu. D’ici la fin de 2025, un million $ supplémentaire devrait s’ajouter aux dons déjà versés.

Hyundai et la LNH parlent d’unir passion et espoir

Steve Flamand, président et chef de la direction de Hyundai Canada, a souligné que l’initiative « relie la passion du hockey à la puissance de donner ». De son côté, Kim Davis, vice-présidente principale de la LNH, a insisté sur l’impact national : « Chaque arrêt effectué cette saison aidera à faire progresser la lutte contre le cancer pédiatrique. »

Marty Walsh (AJLNH) et Glenn Healy (AALNH) ont eux aussi salué cette mobilisation, rappelant le rôle symbolique des gardiens comme « dernière ligne de défense », mais aussi celui de la communauté du hockey pour offrir un message d’espoir aux enfants et familles touchés.

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Le Ford Explorer est l’un des VUS les plus populaires au Canada. Il se situe d’ailleurs au deuxième rang de sa catégorie pour les ventes des deux premiers trimestres de 2025, avec plus de 1 470 unités vendues, soit près du double de l’année dernière. Son confort, sa polyvalence et son histoire marquent le paysage automobile depuis des décennies.

Mais cet engouement a une conséquence inattendue : le Ford Explorer figure désormais parmi les véhicules les plus « clonés » du pays, selon une récente analyse de Carfax Canada.

Le Ford Explorer est une cible de choix pour le clonage de NIV | Auto123.com

Le clonage de NIV

Le clonage de NIV (VIN cloning ou re-vinning) consiste à copier le numéro d’identification d’un véhicule (NIV) légitime sur une voiture volée. Cette fraude donne au véhicule volé une apparence de légalité aux yeux des acheteurs, des assureurs et même des autorités.

Ce phénomène touche principalement des modèles populaires. Le Ford F-150, véhicule le plus vendu au Canada, trône au premier rang de ce triste palmarès. Les Ram 1500, Jeep Wrangler, Ford Escape et Ford Explorer se classent aussi dans le top 10 des véhicules les plus ciblés.

D’après Carfax, près de 372 000 véhicules circuleraient actuellement au Canada avec un NIV frauduleux. Cette statistique est d’autant plus alarmante que les conséquences pour les acheteurs sont lourdes : refus d’assurance, impossibilité de revente, et potentiellement la saisie du véhicule par les autorités.

Pour lutter contre ce problème, Carfax propose désormais un outil de détection, le VIN Fraud Check, conçu pour aider les acheteurs à vérifier l’authenticité d’un numéro avant de conclure une transaction. L’entreprise répond ainsi à une demande grandissante des consommateurs qui cherchent des moyens de se protéger contre l’augmentation des vols et des fraudes.

Le résultat de cette enquête est un signal d’alarme pour les consommateurs, qui doivent, plus que jamais, faire preuve de prudence lors de l’achat d’un véhicule.

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L’entreprise américaine 24M Technologies affirme avoir mis au point une nouvelle génération de batteries pour véhicules électriques (VÉ) pouvant offrir jusqu’à 50 % d’autonomie supplémentaire, sans augmenter la taille du bloc. Sa technologie, appelée ETOP (pour Electrode-to-Pack), simplifie la conception et réduit les coûts de production.

Un design plus simple et plus efficace

Contrairement aux batteries traditionnelles qui utilisent des cellules regroupées en modules, le système ETOP intègre directement les électrodes dans le bloc-batterie. Fini le métal et le plastique superflus : cette conception maximise la densité énergétique. Selon 24M, alors que les électrodes ne représentent que 30 à 60 % du volume d’une batterie classique, la technologie ETOP permet d’atteindre jusqu’à 80 %.

Une nouvelle batterie promet jusqu’à 50 % d’autonomie en plus | Auto123.com

Une technologie polyvalente

Autre avantage : cette technologie est compatible avec plusieurs chimies de batteries, comme les NMC, LFP, NCA et sodium, ainsi qu’avec les blocs lithium-ion traditionnels. De plus, sa fabrication simplifiée — une seule machine suffit pour sceller, empiler et connecter les électrodes — rendrait les lignes de production plus rapides et plus économiques.

Déjà en test chez un constructeur majeur

Bien que la technologie ne soit pas encore commercialisée, 24M confirme qu’un grand constructeur automobile (dont le nom n’a pas été dévoilé) recevra des prototypes dans les prochains mois pour des tests en conditions réelles. L’entreprise est également en discussion avec des acteurs de l’aviation, de la micromobilité et du stockage d’énergie.

Percée réelle ou simple annonce?

Comme pour plusieurs avancées annoncées dans le domaine des batteries, la prudence reste de mise. La technologie ETOP pourrait bien marquer un tournant pour l’autonomie des VÉ et la compétitivité nord-américaine, mais seuls les essais et la mise en marché confirmeront si elle est réellement viable.

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Tesla a activé sa première station de Superchargeurs V4, marquant une étape clé dans le développement de son réseau. Après une première implantation en Europe, ces nouvelles bornes commencent maintenant à apparaître en Amérique du Nord.

Plus de vitesse et une meilleure accessibilité

Par rapport à la génération précédente (V3), les bornes V4 offrent une puissance allant jusqu’à 325 kW, avec une préparation technique pour atteindre éventuellement 500 kW. C’est une évolution majeure, notamment avec l’arrivée de véhicules plus gourmands en énergie comme le Cybertruck.

Parallèlement, les nouveaux Superchargeurs intègrent des câbles plus longs et la compatibilité avec l’adaptateur CCS, ce qui facilite l’accès aux véhicules électriques (VÉ) d’autres marques et répond à l’ouverture du réseau.

Tesla déploie ses Superchargeurs V4 : plus rapides, plus accessibles et prêts pour 500 kW | Auto123.com

Une stratégie liée au marché et à la réglementation

Tesla continue de miser sur son réseau comme avantage compétitif, surtout à l’heure où de plus en plus de constructeurs adoptent la norme NACS. En déployant le V4, l’entreprise cherche à consolider sa domination face à la concurrence et aux évolutions réglementaires.

Fait intéressant, Tesla a jumelé ce lancement à une offre marketing : un an de recharge gratuite pour les acheteurs de Cybertruck. Il s’agit d’une incitation qui agit autant comme un avantage pour le client que comme un outil promotionnel.

Un réseau qui reste l’atout majeur de Tesla

La force du réseau de Superchargeurs a toujours été au cœur du succès de Tesla. Avec le V4, la marque mise sur la rapidité, la polyvalence et la préparation aux plateformes à haute tension de nouvelle génération. Alors que la compétition s’intensifie, l’écosystème de recharge de Tesla demeure l’une de ses plus grandes forces pour rester en tête du marché nord-américain des VÉ.

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Polestar a annoncé une mise à jour de haute puissance pour sa Polestar 3 en 2026. Le VUS tout électrique hérite d’une architecture plus robuste de 800 volts et livrera beaucoup plus de puissance, tout en livrant des vitesses de recharge plus rapides.

Polestar 3 2026 – quoi de neuf ?

Selon le chef de la direction de Polestar, Michael Lohscheller : « Les améliorations apportées à la Polestar 3 sont si importantes que c’est comme une toute nouvelle voiture. … La Polestar 3, déjà incroyable, est maintenant meilleure que jamais. »

Nous verrons bien au moment d’effectuer les essais routiers. Mais en attendant, voici les faits : la plateforme SPA2 du Polestar 3 accueille désormais une architecture de 800 volts. Cela signifie une recharge plus rapide et une capacité de vitesse de pointe de 350 kW. Polestar promet maintenant que la recharge de 10 à 80 % peut se faire en aussi peu que 22 minutes (environ 25 pour cent plus rapide qu’auparavant).

Polestar 3 2026, de profil
Polestar 3 2026, de profil | Auto123.com

Pour 2026, le 3 profite également d’un nouveau moteur arrière synchrone à aimant permanent développé par Polestar, qui se combine au moteur avant pour livrer un maximum de 500 kW (671 chevaux) (avec la version Performance). Le nouveau moteur arrière a également pour effet de proposer une conduite davantage axée sur la propulsion.

Le moteur avant dispose désormais d’une fonction de désaccouplement (vue avec la Polestar 2) qui s’active automatiquement lorsque le moteur n’est pas nécessaire, ce qui devrait permettre des gains d’efficacité (que l’entreprise estime à 6 %).

Polestar 3 2026, trois quarts arrière
Polestar 3 2026, trois quarts arrière | Auto123.com

Autonomie

Les chiffres fournis par Polestar jusqu’à présent concernent le cycle européen WLTP, plus généreux. La version à deux moteurs promet une autonomie de 635 km selon ce cycle, ce qui pourrait se traduire par environ 550 km en Amérique du Nord selon l’EPA (Environmental Protection Agency). Pour la version Performance, on parle de 593 km en Europe, soit environ 510 km ici.

Polestar 3 2026, intérieur
Polestar 3 2026, intérieur | Auto123.com

Technologie du Polestar 3 2026

Polestar dit avoir affiné le logiciel régissant la direction. Avec le nouveau moteur arrière et les barres antiroulis modifiées, l’entreprise promet une « expérience de conduite plus directe et engageante avec toutes les variantes du modèle ».

L’entreprise vante également la grande puissance de calcul du nouveau processeur Nvidia, et il est à noter que cette mise à niveau sera offerte gratuitement aux propriétaires actuels de Polestar 3. Elle devrait être accessible au début de 2026.

Polestar 3 2026 – prix canadiens

Pour le moment, nous n’avons pas d’autres détails concernant les prix canadiens ; ceux-ci devraient être communiqués à l’approche de la date de lancement du Polestar 3 2026. La date exacte de ce lancement n’est pas non plus connue. Polestar prévoit de mettre en vente le nouveau 3 d’abord au Royaume-Uni, où la demande serait la plus forte, avant de l’étendre plus tard à d’autres marchés.

Polestar 3 2026, avant
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Polestar 3 2026, sur la piste
Polestar 3 2026, sur la piste | Auto123.com
Polestar 3 2026, trois quarts avant
Polestar 3 2026, trois quarts avant | Auto123.com
Polestar 3 2026, habitacle
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Polestar 3 2026, arrière
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Porsche prépare le lancement de son Cayenne Électrique, un nouveau modèle qui viendra compléter la gamme aux côtés des versions à essence et hybrides rechargeables. Bien que la présentation officielle soit prévue pour la fin de 2025, la marque de Stuttgart vient de lever le voile sur son intérieur futuriste, dominé par une série d’écrans OLED.

Flow Display et écran passager en vedette

Au centre du tableau de bord, on retrouve le Flow Display, un grand écran incurvé OLED, accompagné d’un combiné numérique de 14,25 pouces et, en option, d’un gigantesque affichage tête haute en réalité augmentée de 87 pouces. Les passagers avant, eux, pourront profiter d’un écran de 14,9 pouces permettant de gérer des applications ou de visionner du contenu vidéo. Malgré cette avalanche de technologies, Porsche conserve des commandes physiques pour les fonctions essentielles comme la température, la ventilation et le volume audio.

Confort, personnalisation et matériaux inédits

Le Cayenne Électrique promet plus de personnalisation que jamais : 13 combinaisons de couleurs intérieures, cinq ensembles d’accents, quatre forfaits de finition et un éclairage d’ambiance étendu avec plusieurs thèmes numériques. De nouveaux matériaux sont proposés, comme le cuir Magnesium Grey, Lavender ou Sage Grey, ainsi qu’un intérieur Race-Tex écoresponsable avec motif Pepita, clin d’œil au patrimoine Porsche.

Parmi les innovations on retrouve le plus grand toit vitré jamais installé sur une Porsche, avec contrôle de transparence variable, des zones de chauffage de surface sur les accoudoirs et panneaux de porte et des sièges arrière électriques ajustables pour optimiser espace ou volume de chargement.

Plus de 1 000 chevaux et près de 600 km d’autonomie

Sous la carrosserie, le Cayenne Électrique repose sur une version évoluée de la plateforme PPE. La version phare devrait dépasser les 1 000 chevaux, surpassant largement les 730 chevaux de l’actuel Cayenne Turbo S E-Hybrid. Une batterie de 113 kWh lui assurera une autonomie estimée à 595 km (370 milles), avec une capacité de recharge rapide à 400 kW et même une fonction de recharge sans fil. Le modèle offrira aussi une capacité de remorquage de 3 500 kg (7 716 lb), comparable à celle de plusieurs camionnettes intermédiaires à essence.

Un lancement prévu fin 2025

Des prototypes camouflés confirment que le Cayenne Électrique sera offert en version VUS traditionnel et coupé-VUS. Le style reprend les proportions actuelles, avec des influences du Macan Électrique et une touche aérodynamique plus marquée. Avec son arrivée prévue à la fin de 2025, Porsche devrait progressivement dévoiler d’autres détails techniques au cours des prochains mois.

Avec des renseignements de The Drive

Le texte L’intérieur de la Porsche Cayenne électrique vous amène à Las provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Depuis longtemps, certains observateurs reprochent à Audi de ne pas s’attaquer directement au segment des gros VUS trois rangées de luxe, dominé par des modèles comme le BMW X7 ou le Mercedes-Benz GLS. Certes, le Q7 offre trois rangées, mais il reste plus petit que ses rivaux allemands.

Cela pourrait bientôt changer. Selon la presse spécialisée en Allemagne, Audi travaillerait sur un tout nouveau VUS pleine grandeur, possiblement baptisé Q9. Celui-ci serait développé sur la plateforme Premium Platform Combustion (PPC), partagée avec la prochaine génération du Q7. Tout indique qu’il serait animé par un moteur à essence, probablement avec une forme d’hybridation légère, plutôt qu’une motorisation 100 % électrique, compte tenu du ralentissement de la demande pour les VÉ.

Volvo viserait le marché haut de gamme avec l’EM90 hybride

De son côté, Volvo préparerait une approche bien différente pour séduire les familles nord-américaines fortunées. Le constructeur suédois songerait à lancer une version hybride rechargeable (PHEV) de son luxueux fourgon EM90, déjà commercialisé en Chine en version 100 % électrique.

Des dépôts de brevets aux États-Unis montrent des dessins du véhicule avec deux trappes de remplissage – l’une pour l’essence et l’autre pour la recharge électrique –, confirmant ainsi la possibilité d’une déclinaison PHEV. Ajoutons à cela que Volvo a déjà annoncé vouloir produire un nouveau modèle hybride dans son usine américaine d’ici 2030, ce qui renforce la plausibilité du projet.

Un positionnement très haut de gamme

Ne vous attendez toutefois pas à voir Volvo se lancer dans une guerre de prix avec des minifourgonnettes hybrides populaires comme la Chrysler Pacifica PHEV. Si l’EM90 débarque ici, ce sera en tant que véhicule de luxe, pensé pour des clients fortunés cherchant à voyager « classe affaires » sur quatre roues.

On parle davantage d’un salon roulant pour PDG, vedettes ou voyageurs privés, rappelant le concept Mercedes Vision V, qui proposait notamment un écran de 65 pouces et un système audio 42 haut-parleurs.

Une tendance forte vers les véhicules familiaux premium

Ces rumeurs confirment une tendance croissante : la demande pour des véhicules familiaux de luxe à trois rangées est en forte hausse en Amérique du Nord. Entre Audi qui pourrait muscler son offre avec un Q9 et Volvo qui réinvente le fourgon haut de gamme avec l’EM90 hybride, les familles aisées auront bientôt de nouvelles options pour concilier confort, statut et mobilité.

Avec des renseignements de Driving.ca

Le texte Une fourgonnette Volvo ou Audi: ça vous intéresse ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les véhicules hybrides reprennent du terrain au Canada. Pour la première fois depuis plusieurs années, les ventes d’hybrides complets (HEV) ont surpassé celles des véhicules zéro émission (VZE) au premier semestre de 2025, selon les données de S&P Global Mobility. Les hybrides ont capté environ 13 % du marché, contre 9,5 % pour les VZE.

Cette tendance renverse plusieurs années de domination des véhicules électriques à batterie. Elle s’explique notamment par la fin de la subvention fédérale de 5 000 $ pour l’achat de VZE, combinée à une recherche de solutions « pratiques et abordables » de la part des consommateurs.

Un compromis apprécié des acheteurs
Contrairement aux véhicules 100 % électriques (VÉ), qui nécessitent de s’adapter à un réseau de bornes de recharge, les hybrides offrent une solution rassurante pour les consommateurs.

Pour Ryan Robinson, spécialiste en recherche automobile chez Deloitte, l’hybride constitue « une étape intermédiaire » pour les acheteurs ouverts à l’électrification, mais pas encore prêts à abandonner entièrement le moteur à essence.

Honda et Toyota en tête de la poussée hybride
Le succès des hybrides repose en grande partie sur des modèles populaires. Honda Canada produit déjà le CR-V hybride et la Civic hybride en Ontario. En 2025, 58 % des ventes de CR-V et 64 % des ventes de Civic étaient des modèles hybrides.

Chez Toyota Canada, l’hybride devient graduellement la norme. Le RAV4, son modèle le plus vendu, passera à une motorisation de base entièrement hybride dès 2026, suivant les traces des modèles Sienna, Sequoia et Camry. Grâce à cette stratégie, près de la moitié des ventes de Toyota sont désormais des véhicules électrifiés.

Un marché en mutation, toujours dominé par l’essence
Les moteurs à combustion interne conservent 73 % du marché canadien en 2025. Toutefois, leur part s’effrite à mesure que les hybrides, les hybrides rechargeables (VHR) et les électriques purs gagnent du terrain.

Rappelons que les VHR sont considérés comme des VZE par Ottawa, puisqu’ils offrent une autonomie électrique significative, alors que les hybrides non rechargeables (HEV) n’utilisent leur moteur électrique qu’en assistance.

Politiques fédérales : incertitude pour les VZE
Alors que le gouvernement fédéral avait fixé un objectif de 20 % de ventes de VZE pour 2026, le premier ministre Mark Carney a annoncé au début du mois de septembre que cette cible serait suspendue. Ottawa lance plutôt une révision complète de son mandat sur les VZE, qui durera 60 jours.

Selon Deloitte, cette décision risque de repousser encore davantage l’adoption massive des VZE, laissant la voie libre aux hybrides.

« Une bonne partie de ce marché sera absorbée par les hybrides, le temps que les consommateurs s’habituent à la transition vers l’électrification », précise Ryan Robinson.

Le Québec, toujours plus électrique
Le Québec demeure l’exception à la règle : les ventes de véhicules électriques purs y ont légèrement devancé celles des hybrides au deuxième trimestre de 2025, avec une part de marché de 11,8 % contre 9,4 %.

Malgré cela, toutes les provinces constatent un recul des ventes de VZE en raison de la fin des incitatifs. Pour plusieurs analystes, la progression des hybrides est appelée à se poursuivre, mais l’avenir dépendra directement des orientations que prendra Ottawa d’ici la fin de sa période de révision.

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Le texte Les ventes d’hybrides dépassent celles des véhicules zéro émission au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Oubliez les collaborations avec BMW ou même Subaru. Toyota a confirmé que sa prochaine voiture sport serait une réalisation entièrement interne, sans aucune intervention extérieure.

Dans une entrevue accordée au site australien Drive, le responsable des ventes et du marketing de Toyota en Australie, Sean Hanley, a été clair : « La réponse est oui, nous pouvons le faire par nous-mêmes. Pourquoi? Parce que c’est exactement la raison d’être de GR », a-t-il expliqué.

GR, l’abréviation de Gazoo Racing, est la division qui a conçu les véhicules les plus sportifs de la gamme Toyota à ce jour. Ses ingénieurs sont derrière le retour de la Supra et ont contribué au développement de la GR 86 et de la GR Corolla.

Pas une Lexus

Depuis cette déclaration, les rumeurs vont bon train. Le projet le plus souvent mentionné, la supervoiture LF-R, ne sera cependant pas une Toyota, mais bien une Lexus. Elle prendra la relève de la LFA, dont la courte vie a été couronnée de succès, les 500 unités produites ayant trouvé preneur très rapidement.

Le concept FT-Se de Toyota
Le concept FT-Se de Toyota | Auto123.com

D’autres spéculations concernent des concepts présentés par Toyota, comme la FT-Se, une supervoiture électrique dont l’arrivée est annoncée au Japon pour la fin de 2026. La division GR ne serait toutefois pas impliquée dans son développement.

Une future Celica?

Bien entendu, le nom de Celica a aussi refait surface. Depuis plusieurs années, Toyota laisse entendre qu’une nouvelle version de ce modèle pourrait être offerte, mais rien n’a jamais été formellement annoncé.

La Toyota Celica est un coupé sport, disparu en 2006 après une carrière de 35 ans. Sept générations de la voiture ont été offertes sur le marché nord-américain.

Rappelons que la décision de créer une nouvelle voiture sport entièrement par Toyota fait suite à l’annonce de la fin de la production de la Toyota Supra actuelle, construite en collaboration avec BMW, à la fin de l’année-modèle 2026.

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