Toyota bouleverse sa hiérarchie de marques : la Century devient désormais la division de luxe suprême du constructeur, surclassant même Lexus. Pour marquer ce tournant, le président du conseil d’administration Akio Toyoda a présenté, dans une vidéo diffusée le 13 octobre, un spectaculaire coupé orange flamboyant, à mi-chemin entre le Rolls-Royce Spectre et le Bentley Continental GT. Le concept, dévoilé à l’approche du Japan Mobility Show, annonce un virage audacieux pour la Century, longtemps associée aux limousines noires et aux chauffeurs discrets des hauts dirigeants japonais.

Century : le sommet absolu de Toyota

Toyota Motor Corp. entend faire de Century une marque à part entière, avec son propre logo — un phénix stylisé — et deux modèles de production : une berline et un crossover. « Lorsque nous montons en gamme, nous avons besoin d’un niveau au-dessus — ni Toyota, ni Lexus — et ce niveau, c’est la Century », a expliqué Toyoda. Selon Simon Humphries, chef de la direction de la marque, cette décision permettra à Lexus de se repositionner juste en dessous, avec une plus grande liberté créative : « Akio parle souvent d’un positionnement “au-dessus de Lexus”. Ce sera désormais le rôle de Century. Lexus pourra explorer des idées plus audacieuses. »

Une tradition d’élégance, mais en quête de passion

Lancée en 1967, la Century s’est imposée comme le symbole du luxe à la japonaise, misant sur la sobriété, la qualité artisanale et une conduite zen. Le modèle a connu très peu d’évolutions, avec seulement deux refontes majeures depuis son lancement. En 2023, Toyota a surpris en introduisant une version VUS de la Century — une alternative japonaise aux Bentley Bentayga et Rolls-Royce Cullinan — propulsée par un V6 hybride rechargeable de 3,5 L, affichée à 25 millions de yens (164 000 $ CA) au Japon. L’arrivée du coupé Century devrait apporter une dose bienvenue de dynamisme et d’émotion à cette gamme jusque-là réputée pour sa réserve.

Le coupé : symbole de renouveau

Les premières images montrent un coupé élancé, à la silhouette haute rappelant la Toyota Crown, doté d’ailes musclées, d’un éclairage arrière enveloppant et d’une calandre pleine, laissant deviner une motorisation possiblement 100 % électrique. Certaines photos révèlent aussi une porte coulissante, un clin d’œil à la tradition japonaise de confort et d’accessibilité. « Je voulais une Century que je puisse conduire moi-même », a confié Toyoda, évoquant sa passion pour la performance et son souhait d’insuffler l’esprit “fun-to-drive” dans la gamme Century.

Une marque de plus en plus visible

Les ventes combinées des berlines et VUS Century ont plus que doublé en 2024, atteignant 383 unités, comparativement à 175 l’année précédente. Le VUS représente près de 80 % des ventes, et le modèle est désormais offert en Chine. Toyota affirme que la Century est désormais officiellement positionnée au-dessus de Lexus, mais n’a pas encore confirmé ses intentions quant à une éventuelle commercialisation internationale.

Une stratégie pour clarifier les identités de marque

Lors du Japan Mobility Show, Toyota mettra l’accent sur la distinction claire entre Toyota, Lexus et Century, afin de mieux définir le rôle et la clientèle cible de chaque marque.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Century sera la nouvelle marque de luxe de Toyota provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Séoul, Corée du Sud- Certains véhicules inspirent confiance aux premiers tours de roues. C’est le cas de l’EV5 qui est l’équivalent culinaire d’une tarte aux pommes. Tout le monde aiment la tarte aux pommes. L’EV5 électrique arrivera seulement au Canada (et pas aux États-Unis) au premier trimestre 2026 et va offrir un VUS qui fait la taille d’un Sportage et qui risque fort de prendre la place de l’EV6 qui n’ewst plus disponible chez nous en raison des contre-tarifs de Mark Carney.

Un EV9 en modèle réduit

L’EV5, c’est un peu comme un EV9 passé à la sécheuse. Même style costaud, même calandre lumineuse « Tiger Face », même posture fière, mais dans un format plus citadin. Les feux avant ont l’air de cligner des yeux, les ailes sont anguleuses, et les jantes de 18 à 20 pouces ajoutent juste ce qu’il faut de prestance pour impressionner le voisin. Nous aurons droit à une version à roues avant motrice et en 4RM. Une version plus abordable, avec plus petite batterie, suivra en fin d’année. Et oui, tout ça sera assemblé à Gwangju, en Corée du Sud et en raison des tarifs de M. Trump n’ira pas sur le marché des États-Unis. Bref, pour une fois, le privilège est de notre côté.

Les fleurs et le pot

L’habitacle du EV5 est un havre de paix écolo, avec matériaux recyclés, cuir végétalien et près de 30 pouces d’écrans panoramiques. Le design minimaliste fait très scandinave — genre salon IKEA avec une prise USB. Mais derrière cette sérénité se cachent quelques frustrations. Il y a ici et là des plastiques durs qui jurent avec le reste du décor. Les boutons de climatisation semblent sortis d’un jouet Fisher-Price et les poignées affleurantes exigent un peu de gymnastique pour l’opération. C’est joli, c’est moderne, mais parfois, on se surprend à regretter un bon vieux bouton physique. Sur une meilleure note, l’espace pour les passagers est généreux à l’avant comme à l’arrière, les rangements nombreux et selon la version choisie vous aurez droit à une recharge sans fil pour votre cellulaire.

Technologie trop intrusive

Notre journée de conduite s’est passée majoritairement sur les routes secondaires de Corée du Sud. Une bonne note au système multimédia ccNC qui est fluide, clair, et compatible avec Apple CarPlay et Android Auto sans fil. Les graphismes sont nets, les menus logiques. Toutefois, je sens que Kia agis comme les parents modernes qui équipent les enfants de protège-genoux, épaulettes, casques, lunettes protectrices et jambières en plus de mettre deux roues supplémentaires avant d’envoyer les enfants faire un tour de vélo dans un parc clôturé. J’exagères à peine. Chez Kia, la sécurité a atteint une dimension qui frôle le ridicule. Pour chaque situation imaginable sur la route correspond un indice sonore. Vous êtes trop près de la ligne médiane : un bip. Vous êtes trop près de l’accotement : un bip, trop près de la voiture devant vous : un bip. Vous dépassez la vitesse permise de 2 km/h : encore un bip. Notre EV5 a passé la journée à faire bip-bip, c’est ridicule. Le système est en alerte rouge , je crois qu’une alerte jaune et une petite tisane donnerait un peu de répit à tous.

Caractéristiques électriques

Sous le capot, l’EV5 propose deux mécaniques. La version 2 roues motrices offre 214 chevaux et 229 lb-pi de couple dans une batterie de 60,3 kWh alors que la version 4RM arrive avec 308 chevaux et 354 lb-pi de couple dans un format de 81,4 kWh. La plateforme de recharge de 400 Volts autorise une vitesse de recharge de 150 kw, ce qui n’est pas aussi bon que l’EV6, mais se retrouve dans la bonne moyenne. Selon la configuration, on parle de 440 à 550 km d’autonomie en mode WLTP. Ce qui veut sans doute dire entre 380 et 475 km chez nous avec une prise NACS compatible avec les bornes Tesla. Pour donner un avant-goût, notre journée d’essai nous a donné une moyenne de 18,2 kWh aux 100 km de consommation en grande partie sur des routes secondaires. Ce qui veut dire que nous aurions été en mesure de frôler les 500 km d’autonomie dans de bonnes conditions.

Une conduite d’abord reposante

L’EV5 roule comme un tapis volant: silencieux, stable et moelleux. Kia a clairement réglé la suspension pour aplanir les mauvaises routes. La direction manque de communications avec la route, mais l’ensemble inspire confiance. On sent que le châssis E-GMP a été travaillé. Pas d’adrénaline, mais beaucoup de sérénité. Mention spéciale au silence de roulement, digne d’un véhicule plus luxueux. Par contre, la régénération au freinage manque de mordant à basse vitesse, et le mode “one-pedal” se réinitialise chaque fois qu’on redémarre la voiture, un petit irritant. L’EV5 offre une prise V2L (Vehicle-to-Load) qui permet d’alimenter des appareils externes jusqu’à 3,6 kW : parfait pour le camping, le chalet ou une panne d’électricité de courte durée. C’est un appoint, pas une génératrice.

Conclusion

Le Kia EV5 2026 est une belle réussite stratégique : design fort, autonomie convaincante, confort soigné. Mais Kia semble avoir gardé les petits irritants pour nous rappeler qu’aucune relation n’est parfaite. Si vous aimez la technologie, la douceur de roulement et l’exclusivité canadienne, le EV5 mérite une place dans votre garage. Mais si vous êtes allergique aux écrans tatillons et aux plastiques durs, préparez-vous à pratiquer la patience zen avant de le conduire. Aucun prix n’a encore été dévoilé. Nous parions qu’il sera très proche de l’EV6 qui se situe entre 53 et 60 000 $. Il y a aussi une certaine capacité de remorquage qui se limite à un maigre 300 kg avec le modèle 2RM et jusqu’à 1 250 kg avec le 4RM si vous avez des freins sur votre remorque. Pour ceux qui veuelent un prix plus abordable dans un format plus cpmpact, Kia nous promet aussi l’EV3 et l’EV4 en 2026.

Forces

  • Design original et réussi
  • Intérieur spacieux et bien pensé
  • Port NACS compatible Tesla
  • Confort et silence exemplaires

Faiblesses

  • Une vitesse qui pourrait être plus rapide
  • Finition inégale
  • Aides à la conduite intrusives

Le texte Kia EV5 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

On va se dire les vraies affaires : dans le monde des voitures anciennes, il y a encore des gars qui pensent que les femmes sont là juste pour « tenir le volant pendant la parade » ou « donner un petit lustre à côté de la bagnole pour la photo ». Eh bien non, mesdames et messieurs : une femme peut très bien aimer l’odeur d’essence, savoir où se cache le fichu filtre à huile sans qu’on lui fasse un dessin, remonter son moteur V8 et en entendre le son qui vibre jusque dans sa colonne vertébrale…

Pourtant, dans les expositions, la scène est toujours la même : les gars se parlent entre eux comme s’ils discutaient de secrets d’État, et quand une femme s’approche pour jaser du moteur, hop ! Silence radio. Comme si une paire de chromosomes différents annulait toute connaissance de mécanique. Ça en devient comique.

Une cliente m’a déjà raconté qu’un homme était venu cogner chez elle pour prendre en photo son pickup antique. Fasciné par le camion … mais pas par ce qu’elle en connaissait. Quand elle a commencé à lui expliquer tout ce qu’il avait été refait dessus —pointeau du carburateur, culasse enlevée pour machinage, problème de surchauffe — le gars, totalement désintéressé a disparu plus vite que son ombre. Eh oui : on dirait que certains croient encore qu’une femme qui parle mécanique, c’est comme un chat qui fait du vélo. Amusant, mais pas crédible.

Mais, nouvelle du jour : une femme qui travaille dans un garage est aussi qualifiée qu’un homme. Une clé 9/16 n’a jamais demandé à avoir un permis de testostérone avant de se laisser tourner.

Je lève donc mon chapeau à toutes celles qui aiment les voitures anciennes, qui les conduisent, les bichonnent, et parfois les rafistolent elles-mêmes avec plus de patience que bien des gars. Ces femmes-là méritent non seulement notre respect, mais aussi notre admiration. Parce qu’entre vous et moi, il faut du cran pour se pointer dans un monde encore plein de clichés et dire : « Oui monsieur, je sais ce qu’un carburateur fait, et non, ce n’est pas une marque de rouge à lèvres. »

Alors la prochaine fois que vous croisez une femme avec une voiture d’époque, arrêtez de penser qu’elle est juste là pour tenir le volant ou que c’est certainement la voiture de son chum. Posez-lui une vraie question, écoutez son histoire. Vous risquez d’apprendre deux ou trois affaires… et qui sait, peut-être même découvrir que son ancienne a plus de vécu que vous!

Et que vous soyez madame ou monsieur, passionné d’antiques ou simple curieux, je vous invite à venir faire un tour à l’atelier! De novembre à février, nos ateliers mécaniques sont ouverts à tous : pour apprendre, jaser, échanger des trucs. Et mesdames, sachez que vous ne serez pas seules : il y a déjà plusieurs femmes qui viennent à nos ateliers, passionnées elles aussi, et qui prouvent chaque fois que la mécanique n’a rien d’une affaire de gars seulement. Ici, pas de clichés, juste du monde qui aime les vieilles bagnoles et qui veulent les garder bien vivantes sur la route.

Le texte Les femmes et les voitures antiques provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le constructeur japonais Toyota Motor Corporation a confirmé, le 7 octobre, qu’il explorait le développement d’un petit système de drone destiné à assister les véhicules sur routes non pavées et sentiers hors route. Selon une déclaration déposée auprès de la Federal Aviation Administration (FAA), ce projet vise à offrir aux conducteurs une meilleure conscience de leur environnement, notamment dans les zones où il est dangereux de sortir du véhicule. La majorité des vols du drone se feraient à proximité immédiate du véhicule, mais il pourrait occasionnellement s’élever au-dessus de la cime des arbres pour aider le conducteur à s’orienter ou évaluer le terrain.

Une réglementation en évolution pour l’usage des drones

Cette annonce survient alors que le département américain des Transports (DOT) a récemment proposé de nouvelles règles afin d’accélérer le déploiement des drones opérant au-delà de la ligne de vue de l’utilisateur. Cette réforme ouvrirait la voie à de nouveaux usages commerciaux, comme la livraison de colis ou l’assistance en zones isolées. Toyota a d’ailleurs soumis des commentaires officiels au DOT, mentionnant ce projet encore confidentiel.

Vers une nouvelle ère du tout-terrain connecté

Le DOT estime que la levée de certaines restrictions « élargira considérablement les applications des technologies de drones » dans plusieurs secteurs, notamment la fabrication, l’agriculture, l’énergie, le cinéma et la logistique — y compris la livraison de médicaments vitaux. Pour Toyota, l’intégration de mini-drones dans ses véhicules tout-terrain pourrait devenir un atout stratégique, surtout dans un marché où la technologie embarquée et la sécurité jouent un rôle déterminant.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Toyota développe un mini-drone pour les véhicules hors route provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le département américain de l’Énergie (DOE) envisage d’annuler près de 1,1 milliard de dollars US de subventions accordées l’an dernier à Stellantis et General Motors, selon un document obtenu par Reuters. Ces fonds faisaient partie du plan de l’administration Biden pour soutenir la conversion d’usines automobiles vers la production de véhicules électriques (VE). La mesure s’inscrit dans une réévaluation de 12 milliards de dollars US de projets fédéraux potentiellement annulés alors que le blocage partiel du gouvernement américain se poursuit.

Des projets majeurs à risque au Michigan, en Illinois et en Indiana

Parmi les subventions menacées :

  • 500 millions $ US accordés à GM pour transformer l’usine Lansing Grand River (Michigan) afin d’y assembler des véhicules électriques;
  • 335 millions $ US destinés à Stellantis pour reconvertir l’usine Belvidere (Illinois), fermée depuis 2023, en site de production de camions électriques de taille moyenne;
  • 250 millions $ US pour moderniser l’usine de transmission de Kokomo (Indiana) en vue de fabriquer des composants pour véhicules électriques.

Cette décision intervient une semaine après que le DOE eut annoncé vouloir annuler 7,56 milliards $ US de financement pour plusieurs centaines de projets énergétiques jugés insuffisamment rentables pour les contribuables.

Aucune réponse de GM ni de Stellantis

Le département de l’Énergie n’a pas encore commenté la situation, et GM comme Stellantis n’ont pas répondu aux demandes de réaction. De son côté, Russell Vought, directeur du budget de la Maison-Blanche, a publié la semaine dernière sur X (anciennement Twitter) que l’administration Biden prévoyait d’éliminer près de 8 milliards $ US en financement climatique dans 16 États dirigés par des démocrates, dont la Californie et New York.

Un revers potentiel pour l’électrification de l’industrie américaine

Si ces coupes sont confirmées, elles pourraient ralentir la transition énergétique de l’industrie automobile américaine, déjà confrontée à une demande en baisse pour les véhicules électriques et à des tensions politiques autour des dépenses publiques liées au climat. Pour Stellantis et GM, ces fonds représentaient une clé essentielle pour adapter leurs infrastructures et accélérer leur virage électrique sur le sol américain.

Avec des renseignements d’Automotive News

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Hyundai Canada et les gens de l’organisation à but non lucratif « L’espoir sur roues » (Hope on Wheels) porteront une attention particulière aux statistiques des matchs de la LNH cet hiver, surtout au nombre de tirs que les équipes dirigent sur les gardiens adverses. Et encore plus sur le nombre d’arrêts effectués par ces derniers.

Pourquoi ? Parce que le constructeur fera un don de 10 $ pour chaque arrêt réalisé en saison régulière par un gardien de la LNH cette saison, dans le cadre de son initiative « Le plus bel arrêt ».

Un peu de calcul

Si l’on estime une moyenne de 55 tirs par match entre les deux équipes sur la glace, cela représenterait un total approximatif de 72 600 tirs au cours des 1320 matchs de la saison, chacun représentant un don de 10 $ de la part de Hyundai Canada pour une très bonne cause. L’entreprise estime d’ailleurs qu’elle amassera plus de 700 000 $ pour la cause. On doit donc espérer une saison médiocre par les défenseurs au chapitre du blocage de tirs, et une de tonnerre des gardiens à travers la ligue !

Hyundai Canada veut beaucoup de lancers dans la LNH cet hiver | Auto123.com

L’espoir sur roues

Lancée en février dernier au Canada (le programme existe aux États-Unis depuis 1998), l’organisation se consacre à l’élimination du cancer pédiatrique. Elle a déjà fait don de trois millions de dollars à six institutions canadiennes dans ce domaine. D’ailleurs, chacun des 225 concessionnaires de Hyundai Canada à travers le pays verse également un pourcentage de chaque véhicule vendu pour financer la recherche et d’autres initiatives.

Les fonds amassés avec chaque arrêt cette saison iront spécifiquement à l’organisation Hockey Fights Cancer.

Hyundai a également des partenaires dans cette initiative : la Ligue nationale de hockey, l’Association des joueurs de la Ligue nationale de hockey (AJLNH) et la Fondation V pour la recherche sur le cancer. L’ancien gardien de la LNH Glenn Healy, aujourd’hui directeur général de l’Association des anciens de la LNH, a déclaré que l’association est « honorée d’être une voix d’espoir et de force pour ceux qui en ont le plus besoin ».

Le mot de la fin revient à Steve Flamand, président et chef de la direction de Hyundai Canada :

« Grâce à notre partenariat avec la LNH et l’AJLNH, nous relions la passion du hockey à la puissance de donner avec Le Plus Bel Arrêt de L’espoir sur roues de Hyundai. Chaque arrêt sur la glace devient un symbole de soutien hors glace, et nous sommes fiers de transformer ces moments en actions concrètes pour les enfants qui en ont le plus besoin. »

Contenu original de auto123.

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Le conseil d’administration de Tesla a approuvé en septembre un plan de rémunération historique pour Elon Musk, évalué à 878 milliards $ US en actions sur dix ans. Officiellement, Musk ne toucherait « rien » sans atteindre des objectifs jugés « incroyablement ambitieux » : révolutionner Tesla, la robotique, la conduite autonome et la société elle-même. Mais selon une analyse de Reuters et de plusieurs experts en rémunération et technologies, Musk pourrait empocher plus de 50 milliards $ US en atteignant seulement quelques cibles modestes — loin d’une « révolution » industrielle.

Des objectifs flous pour des milliards

Certaines cibles du plan de rémunération reposent sur des concepts mal définis. Par exemple, Tesla exige dix millions d’abonnements à son logiciel de conduite semi-autonome “Full Self-Driving”, sans qu’il soit nécessaire qu’il devienne réellement autonome. Des experts notent que Tesla pourrait facilement atteindre ce chiffre en baissant simplement le prix de l’abonnement, actuellement de 8 000 $ US ou 99 $ US par mois. De même, l’objectif d’un million de robotaxis en opération ne précise pas que les véhicules doivent fonctionner sans surveillance humaine à distance, ce qui permettrait à Tesla d’y répondre avec ses tests actuels menés à Austin, Texas.

Enfin, la cible d’un million de robots “Optimus” — supposément humanoïdes — reste volontairement vague, définissant un « bot » comme tout produit doté de mobilité et d’intelligence artificielle.

Des gains colossaux pour des performances limitées

L’analyse démontre que deux objectifs produits atteints, combinés à une valorisation boursière de 2,5 billions $ US, suffiraient à procurer à Musk 26,4 milliards $ US en actions. Trois objectifs et une valorisation de 3 billions $ US porteraient ce chiffre à 54,6 milliards $ US, sans que Tesla ait à produire une seule voiture entièrement autonome. À titre comparatif, cette somme dépasse la rémunération cumulée des huit PDG les mieux payés du monde, dont Mark Zuckerberg (Meta), Tim Cook (Apple) et Jensen Huang (Nvidia).

Une croissance boursière plus facile que les profits

Les cibles de profit sont nettement plus difficiles à atteindre. Le plan prévoit huit paliers de bénéfices, de 50 à 400 milliards $ US de profits avant impôts et amortissement, alors que Tesla n’a réalisé que 16,6 milliards $ US en 2024. Cependant, les objectifs de valorisation boursière pourraient s’avérer beaucoup plus simples : une croissance de 6,4 % par an suffirait pour que Tesla atteigne une valeur de 2 billions $ US d’ici 2035, un rythme inférieur à la moyenne historique du S&P 500.

Selon Seth Goldstein, analyste chez Morningstar, « Tesla pourrait atteindre 3 billions $ US sans performance exceptionnelle, car sa valeur repose déjà sur des produits futurs qui n’existent pas encore ».

Un pari risqué pour Tesla

Le conseil d’administration de Tesla considère Musk comme le seul capable de transformer l’entreprise en géant de l’intelligence artificielle. Mais plusieurs experts en gouvernance d’entreprise jugent que confier autant de pouvoir à un seul individu représente un risque majeur. « Tesla a donné à Musk un monopole sur le poste de PDG », estime Wei Jiang, vice-doyenne de l’école de commerce d’Emory University. Une bonne gouvernance, dit-elle, exige un marché concurrentiel pour les dirigeants.

Avec des renseignements de Reuters

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La nouvelle Subaru Crosstrek e-Boxer 2026 à motorisation hybride non branchable est offerte à partir de 40 595 $. Voilà ce que nous apprend un communiqué publié hier par Subaru Canada. À cela s’ajoutent naturellement des frais de transport et de préparation de 2 295 $, un montant qui reste inchangé pour les Crosstrek comparativement aux versions 2025.

Le constructeur ajoute que cette nouveauté, tout comme les autres versions de la gamme, est disponible dès maintenant chez les concessionnaires de la marque, partout au pays.

Les prix de base (prix de détail suggéré par le fabricant ou PDSF) des différentes versions de la Crosstrek 2026 s’étalent désormais de 30 595 $ à 40 595 $. Par rapport aux versions qui figuraient au catalogue 2025, on observe des augmentations variant de 1,1 à 2,9 %, comme l’illustre le tableau ci-dessous.

Les hausses de prix les plus importantes affectent les deux versions d’entrée de gamme : les Crosstrek Commodité et Tourisme. Ces variations de prix reflètent sans doute le fait que ces modèles changent de moteur. En effet, toutes les Crosstrek 2026 sont désormais dotées du 4-cylindres à plat de 2,5 L, un moteur auparavant réservé aux versions plus cossues. Le moteur de 2,0 L, qui livrait 152 ch et 145 lb-pi aux versions Commodité et Tourisme de 2025, a été retiré du catalogue.

Cela signifie que toutes les Crosstrek « 100 % thermiques » (ce qui exclut l’e-Boxer) disposent désormais d’un moteur nettement plus pimpant, mais aussi marginalement plus gourmand. Jumelé à une boîte de vitesses automatique à variation continue de série, ce moteur produit 180 ch et 178 lb-pi de couple. De plus, sa consommation moyenne (ou « combinée ») de 8,1 L/100 km ne serait que 0,1 L/100 km plus grande que celle du moteur de 2,0 L, selon l’Outil de recherche pour les cotes de consommation de carburant de Ressources naturelles Canada (RNCan).

Notez, par ailleurs, que le communiqué publié hier par Subaru Canada ne fait pas mention du prix d’une Crosstrek Wilderness 2026. Cependant, au moment d’écrire ces lignes, un porte-parole de cette filiale canadienne nous a appris que cette version figure toujours au catalogue 2026 de la marque et que nous en saurons davantage à son sujet dans un avenir rapproché.

Deuxième hybride non branchable

Par ailleurs, la Crosstrek e-Boxer devient le second modèle hybride non branchable inscrit au catalogue 2026 de Subaru. Elle s’ajoute au Forester e-Boxer, dont la commercialisation a débuté durant le printemps dernier.

La Crosstrek hybride partage sa motorisation constituée d’un 4-cylindres à cycle Atkinson de 2,5 L jumelé à deux moteurs électriques (dont un moteur d’entraînement), qui sont alimentés par une batterie au lithium-ion de 1,1 kWh. Cette motorisation qui produit une puissance nette de 194 ch devient la plus puissante de la famille Crosstrek. Le constructeur lui attribue une consommation moyenne de 6,5 L/100 km.

Face à sa rivale

Le prix annoncé pour la Crosstrek e-Boxer s’avère plus élevé que celui de sa rivale directe : la Toyota Corolla Cross à motorisation hybride non branchable. Pour 2026, Toyota offre deux versions à quatre roues motrices de ce modèle : la Corolla Cross SE 2026, qui est offerte à partir de 35 810 $, et la Corolla Cross XSE 2026, plus cossue et dont le prix de base est 38 635 $. Dans les deux cas, il faut ajouter au prix des frais de transport et de préparation du constructeur de 1 930 $, mais aussi des frais du concessionnaire de 899 $, un montant qu’on ne retrouve pas chez Subaru.

Cette rivale est animée par un 4-cylindres à cycle Atkinson de 2,0 L et deux moteurs électriques alimentés par une batterie au lithium-ion de 0,91 kWh. Également jumelée à une boîte de vitesse automatique à variation continue, cette motorisation produit une puissance nette de 194 ch. RNCan lui attribut une cote de consommation moyenne de 5,6 L/100 km à cette rivale.

Photos : Subaru

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General Motors remet la Chevrolet Bolt sur le marché avec un tout nouveau modèle 2027, et une mission claire : redevenir la voiture électrique la plus abordable aux États-Unis. Dès 29 990 $ US, la Bolt se positionne sous la Nissan Leaf S+ (31 485 $ US) et reprend le titre de championne du rapport qualité-prix dans un marché électrique toujours aussi dispendieux. La version Launch Edition arrivera au début de 2026, suivie quelques mois plus tard par une version LT à 28 995 $ US. Ces prix incluent les frais de transport et de manutention. Nous souhaitons un prix sous la barre des 40 000 $ au Canada.

Une batterie LFP plus rapide à recharger

Sous sa silhouette familière qui ne semble pas avoir changé, la nouvelle Bolt abandonne l’appellation « EUV » et adopte une batterie lithium-fer-phosphate (LFP) de 65 kWh, capable de se recharger de 10 % à 80 % en seulement 26 minutes grâce au connecteur NACS de type Tesla. L’autonomie reste la même à 410 km, selon les estimations internes de GM. La puissance de recharge rapide passe de 55 kW à 150 kW, une amélioration majeure pour les longs trajets.

Un moteur plus nerveux et une fabrication locale

La Bolt 2027 reprend le moteur avant de l’Equinox EV, maintenant porté à 210 chevaux (+10 ch). Elle sera assemblée à l’usine GM de Kansas City, confirmant la volonté du constructeur de rapatrier la production sur le sol américain. L’intérieur reçoit un écran numérique de 11 pouces et un système d’infodivertissement central de 11,3 pouces, avec compatibilité Android Auto et Google intégré. Toutefois, Apple CarPlay disparaît, un choix qui risque de faire débat.

Équipement moderne et recharge bidirectionnelle

La nouvelle Bolt offrira en option le système de conduite semi-autonome Super Cruise, une pompe à chaleur de série et la recharge bidirectionnelle, permettant d’alimenter une maison ou d’autres appareils. Une version RS plus sportive est également prévue autour de 32 000 $ US.

Une concurrence encore timide

Pour l’instant, ni Tesla ni Ford n’offrent de véritable rivale directe. Les Model 3 et Model Y de base coûtent toujours plus de 38 000 $ US, tandis que le futur camion électrique à 30 000 $ US de Ford et le pickup économique de la jeune marque Slate sont encore en préparation. En attendant, la Chevrolet Bolt 2027 devient la référence des véhicules électriques abordables, tout en prouvant que l’innovation ne doit pas forcément rimer avec prix exorbitant.

Avec des renseignements de Motor 1

Le texte GM relance la voiture électrique la plus abordable d’Amérique pour 2027 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ferrari vient de lever le voile sur les premières caractéristiques techniques de sa toute première voiture électrique, baptisée pour l’instant Elettrica. Attendue pour le printemps 2026, cette GT 100 % électrique promet de combiner technologie, performance et émotion sonore — une signature chère à la marque italienne.

Plus de 1 000 chevaux et 530 km d’autonomie

Sous sa carrosserie encore secrète, l’Elettrica embarque quatre moteurs électriques — deux par essieu — pour une puissance combinée dépassant les 986 chevaux (735 kW). Le groupe motopropulseur est dérivé de celui de la F80 hypercar, avec un mode “boost” qui permet un 0-100 km/h en seulement 2,5 secondes et une vitesse de pointe de 310 km/h. L’énergie provient d’une batterie de 122 kWh, logée dans le plancher pour abaisser le centre de gravité de 80 mm par rapport à un modèle à essence. Ferrari annonce une densité énergétique record de 195 Wh/kg et une autonomie dépassant 530 km, avec une recharge ultrarapide jusqu’à 350 kW.

Un son mécanique amplifié, pas artificiel

Contrairement à la tendance des sons synthétiques, Ferrari a choisi une approche maison : un capteur sur l’onduleur capte les vibrations du groupe motopropulseur, ensuite amplifiées pour produire un son électromécanique exclusif, censé recréer une connexion émotionnelle entre la voiture et son conducteur.

Châssis sophistiqué et confort de GT

Côté châssis, Ferrari mise sur une structure en aluminium recyclé à 75 %, inspirée de ses berlinettes à moteur central. L’empattement est volontairement court (2 960 mm), et la Elettrica sera dotée d’une suspension active 48V empruntée à la Purosangue et à la F80. Le poids total de 2 300 kg en fait la Ferrari la plus lourde jamais produite, mais la marque assure que le comportement routier demeurera digne d’une GT de Maranello. Les clients pourront choisir parmi cinq types de pneus développés par trois manufacturiers différents.

Un design encore secret, une production à Maranello

Si Ferrari garde le design sous clé, des images d’essais laissent deviner une grande routière à quatre portes et quatre places, combinant performance et polyvalence — dans l’esprit du Purosangue à moteur V12. La production se fera dans le nouveau complexe « E-Building » à Maranello, spécialement conçu pour la gamme électrique. Un aperçu de l’habitacle est prévu au début de 2025, avant la première mondiale au printemps 2026.

Avec des renseignements d’Automotive News Europe

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