L’Annuel de l’automobile célèbre ses 25 ans cette année. Nous avons concocté un savant mélange de rétrospective, de reconnaissance et d’innovation pour marquer l’événement auprès des lecteurs :

Nous vous proposons comme à l’habitude des reportages unique

La place des femmes dans les courses de voitures d’époque

Notre collègue Isabelle Havasy se lance dans cette belle aventure. Elle va nous raconter comment une conductrice sans expérience de la course fait le saut de la voiture de route à la voiture de piste.

Comment l’IA va venir en aide aux constructeurs automobiles

L’intelligence artificielle révolutionne la conception, la production et même l’entretien des véhicules. De l’optimisation des chaînes de montage à l’analyse prédictive des pannes, l’IA s’impose comme un levier de performance et d’innovation pour l’industrie automobile.

Un essai comparatif des fourgons électriques vendus au Québec

Avec les restrictions environnementales et la hausse du coût du carburant, les fourgons électriques deviennent un atout incontournable pour les professionnels. Gain financier, accès aux centres-villes et image écologique renforcée : ces véhicules offrent des avantages stratégiques aux commerçants.

Des conseils pour maximiser la location d’une voiture en Europe

Louer une voiture en Europe peut vite devenir un casse-tête entre assurances, péages et réglementations locales. Connaître les bons plans, éviter les frais cachés et choisir le bon modèle sont autant de clés pour un voyage sans accroc.

L’évolution du métier de journaliste automobile au cours des 25 dernières années

Avec l’avènement du numérique et des réseaux sociaux, le journalisme automobile a connu une transformation radicale. De la presse écrite aux vidéos YouTube, en passant par l’analyse des données de véhicules connectés, les journalistes d’aujourd’hui doivent jongler entre expertise technique et communication digitale.

Nous allons aussi revenir sur les modèles qui nous ont le plus marqués l’industrie automobile depuis 25 ans.

LE PALMARÈS

Les meilleurs véhicules des 26 catégories. En prime, chaque auteurs nous révèlent ses coups de cœurs et ses coups de masse.

La rubrique anniversaire

Un document fouillé qui fait le tour de tous les anniversaires importants qui seront soulignés en 2026.

LES ESSAIS

L’Annuel de l’Automobile demeure est une véritable bible pour passionnés et experts. Il couvre l’histoire, les modèles emblématiques, les innovations technologiques et les tendances actuelles. Avec des fiches détaillées, des essais approfondis et des analyses pointues, il offre une vision exhaustive de l’univers automobile, d’hier à aujourd’hui. Encore une fois 736 pages qui débordent d’informations

L’Annuel de l’automobile arrive en magasin en août

Le texte L’Annuel de l’automobile célèbre ses 25 ans provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

On peut dire que les amateurs de camions n’ont pas tardé à réagir. Dès l’annonce officielle du retour du moteur HEMI V8 de 5,7 litres dans le Ram 1500 2026, plus de 10 000 commandes ont été enregistrées… en une seule journée. Une réponse fulgurante qui donne raison à Tim Kuniskis, PDG de Ram, qui a reconnu sans détour : « On a fait une erreur en abandonnant le HEMI. »

Un moteur iconique, une clientèle fidèle

Retiré du catalogue pendant une seule année modèle, le HEMI manquait cruellement à une clientèle fidèle – parfois surnommée « les compteurs de cylindres ». Le V8 développe 395 chevaux et 410 lb-pi de couple, et coûte environ 1 200 $ US en option sur la majorité des versions du Ram 1500. Même s’il est moins puissant que le nouveau six cylindres en ligne biturbo de 3,0 litres (420 ch et 460 lb-pi), le HEMI a une valeur émotionnelle que ne peut égaler la fiche technique.

Une décision stratégique pour contrer la concurrence

En coulisses, Stellantis craignait de voir ses clients déserter vers Ford ou GM, deux constructeurs qui continuent d’offrir des moteurs V8 dans leurs camionnettes. « Une fois qu’ils sont partis, bonne chance pour les ramener », a lancé Kuniskis. Et à en juger par le raz-de-marée de commandes, le programme F15 visant à ressusciter le HEMI a réussi au-delà des attentes.

Un succès… qui pourrait causer des délais

Reste que ce succès met une pression sur la chaîne d’approvisionnement. Kuniskis a déjà prévenu que les débuts du HEMI 2026 pourraient être un peu chaotiques tant que la production ne suit pas la demande. Mais une chose est claire : Ram a retrouvé son rugissement… et ses clients.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte Le retour du HEMI dans le Ram 1500 déclenche une avalanche de commandes provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Une simple erreur de fabrication pourrait bien rapporter gros à certains propriétaires de véhicules Nissan et d’Infiniti. Le constructeur japonais vient d’annoncer le rappel de 443 899 véhicules aux États-Unis en raison de problèmes potentiels avec les moteurs 3 et 4-cylindres VC-Turbo de 1,5 litre et 2,0 litres, respectivement, qui pourraient mener à des bris catastrophiques.

Les modèles concernés sont les suivants :

  • – Nissan Rogue 2021 à 2024
  • – Nissan Altima 2019 et 2020
  • – Infiniti QX50 2019 à 2022
  • – Infiniti QX55 2022

On ne sait pas pour l’instant combien de véhicules seraient touchés par le rappel au Canada.

Infiniti QX55
Infiniti QX55 | Auto123.com

Le problème

Certains moteurs auraient été assemblés avec des coussinets de bielles mal usinés, ce qui risque de contaminer l’huile à moteur de débris métalliques… et de réduire la mécanique à néant.

La solution

Pas question pour Nissan de remplacer les moteurs à l’aveuglette. Chaque véhicule visé passera d’abord par une inspection chez le concessionnaire, où le carter d’huile sera retiré pour déceler la présence de débris. Si des fragments métalliques sont trouvés, le moteur sera remplacé gratuitement.

Pour les moteurs sains, un simple changement d’huile suffira, accompagné pour les versions de 1,5 litre d’un nouveau joint de carter et d’une mise à jour du module de gestion du moteur. Une procédure minutieuse, mais bien moins coûteuse qu’un remplacement préventif massif.

Nissan évite de justesse un rappel encore plus important

Ce rappel, bien que très important, aurait pu être bien pire. Le mois dernier, la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration), l’équivalent américain de Transports Canada a fermé une enquête sur les bras de suspension corrodés de certains modèles Altima et Maxima, grâce à une action proactive de Nissan.

L’organisme a jugé que les signes avant-coureurs étaient suffisants pour éviter des accidents, épargnant ainsi au constructeur un rappel de deux millions de véhicules.

Nissan joue donc à la fois la carte de la prudence et de l’économie, tout en s’assurant de protéger sa réputation dans un marché nord-américain sensible aux questions de fiabilité.

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Le texte Problème de moteur : 443 000 véhicules Nissan et Infiniti seront rappelés provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Stellantis vient d’annoncer une réorganisation d’envergure : Tim Kuniskis est nommé à la tête des marques américaines et de la stratégie de marketing et de vente au détail pour l’Amérique du Nord. Il relèvera directement d’Antonio Filosa, chef de la direction et des opérations de Stellantis pour l’Amérique du Nord.

Dans ce rôle nouvellement créé, Kuniskis aura pour mission de renforcer les liens entre les consommateurs, les produits des marques et les concessionnaires du groupe. Il conservera en parallèle son poste de PDG de la division Ram, tandis que les autres chefs de marque conservent leurs fonctions respectives.

« Se rapprocher des clients et livrer les produits qu’ils désirent est essentiel pour atteindre notre plein potentiel », a déclaré Antonio Filosa. « Tim est un bâtisseur de marque hors pair, et son énergie va propulser notre portefeuille vers de nouveaux sommets. »

Stellantis confie les rênes des marques américaines à Tim Kuniskis | Auto123.com

Le grand retour de la division SRT

Mais la nouvelle qui enflammera les passionnés, c’est le retour de la mythique division SRT (Street and Racing Technology) sous la direction directe de Kuniskis. Cette entité regroupera le meilleur du génie en performance provenant de Dodge, Ram, Jeep et Chrysler, sous une seule bannière.

SRT aura comme mandat de créer des véhicules qui repoussent les limites de la puissance, de l’aérodynamisme, de la tenue de route et de la technologie, tant sur route que sur piste. En plus de piloter les initiatives de sport motorisé (NHRA, et le retour de Ram dans la série des camionnettes NASCAR dès 2026), SRT supervisera aussi le programme Direct Connection destiné aux amateurs de performance.

« C’est comme remettre sur pied son vieux groupe de musique. Le retour de SRT était une chose qu’il fallait absolument faire pour accompagner la vague de produits de performance qui s’en vient. »

– Tim Kuniskis

Une stratégie axée sur l’émotion et la performance

Cette restructuration vise à unifier les efforts des marques américaines autour d’une vision cohérente et passionnée. Dans un marché où l’émotion et l’ADN de performance font vendre autant que les données techniques, Stellantis mise sur un visage bien connu des amateurs pour canaliser son énergie. Tim Kuniskis, l’homme derrière le succès des Dodge Hellcat et autres monstres de la route, semble le choix tout désigné pour donner le ton à cette nouvelle offensive.

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• Le système BlueCruise de Ford comprend maintenant les changements de voie automatiques.

Lorsqu’il est question de systèmes de conduite semi-autonome, les références dans l’industrie sont les dispositifs Autopilot de Tesla, ainsi que Super Cruise de General Motors.

Le système BlueCruise de Ford prend du galon, mais il demeure à la traîne vis-à-vis ses rivaux. La compagnie travaille à l’améliorer cependant, et à ce titre, la plus récente version, BlueCruise 1.5, qui est désormais livrable avec le VUS électrique Mustang Mach-E 2025, ajoute le changement de voie automatique à sa liste de fonctionnalités.

Certains diront que le système était déjà capable de le faire. C’est en partie vrai. En fait, il fallait que le conducteur lance la manœuvre en activant le clignotant. Maintenant, le système peut le faire sans l’intervention de celui ou celle qui se trouve derrière le volant.

Ford estime que cette nouvelle fonction va automatiser jusqu’à 45 % des changements de voie. Elle va du coup réduire de façon importante la quantité de fois où le conducteur se verra forcer de remettre les mains sur le volant lorsque le système BlueCruise est activé.

Le système BlueCruise de Ford ajoute les changements de voie automatiques | Auto123.com

Autre ajout

En plus de l’ajout de cette fonction de changement de voie automatique, l’interface utilisateur fournit plus d’informations sur le comportement du système, avec par exemple un message au bloc d’instruments qui explique pourquoi le système se désactive, ou encore pour prévenir le pilote d’un changement de voie à venir.

Pour pouvoir profiter de la nouvelle version du modèle, le Mustang Mach-E 2025 est servi par une nouvelle cuvée de capteurs et de caméras, ainsi que par une unité de traitement plus rapide. Cela signifie que les propriétaires de modèles plus anciens ne pourront pas profiter d’une mise à jour pour jouir du système mis à niveau.

N’empêche, il s’agit d’un pas en avant pour la technologie de Ford qui cherche à combler l’écart qui le sépare du dispositif Super Cruise de General Motors. Ce dernier peut être utilisé sur environ cinq fois plus de routes et d’autoroutes au Canada et aux États-Unis, et il peut aussi fonctionner en situation de remorquage.

Quant à l’utilité d’une telle fonction, ça dépend des goûts personnels des conducteurs. Sur de longs tronçons d’autoroutes, ou lorsqu’on se sent fatigué, ce type de système a ses avantages.

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Le 10 juillet prochain, Mazda va dévoiler la prochaine génération de son modèle le plus populaire, le VUS CX-5. En prévision de cet événement, le constructeur a donné un aperçu du modèle en publiant trois images nous montrant des bribes de ce qui nous attend.

Comme vous pouvez le constater, il n’y aura rien de révolutionnaire en matière de design, alors qu’on est toujours plus évolutif qu’autre chose chez Mazda.

Design du Mazda CX-5 2026

Ce qu’on peut voir, c’est une calandre qui semble avoir la même mine qu’auparavant, avec quelques touches de modernité, notamment pour ce qui est de la signature des phares. Idem à l’arrière où le traitement des feux a été revu, ainsi que l’ensemble du style.

Mazda offre un aperçu de son CX-5 2026 | Auto123.com

Pour avoir une très bonne idée, il suffit de regarder ce qui a été fait avec les CX-90 et CX-70 pour trouver les lignes, la signature et la personnalité du prochain CX-5.

À l’intérieur

Mazda promet un habitacle plus spacieux et plus fonctionnel, ce qui devrait aider le modèle. Le côté plus compact du cocon et l’espace de chargement plus limité ont toujours été le talon d’Achille du modèle.

La compagnie promet aussi une « technologie centrée sur l’humain » et une « approche de premier plan en matière de sécurité. »

Mazda offre un aperçu de son CX-5 2026 | Auto123.com

Motorisations du Mazda CX-5 2026

Mécaniquement, on peut s’attendre à retrouver la même mécanique de base, un 4-cylindres de 2,5 litres, ainsi que la version turbo à 250 chevaux, mais on sait qu’on va aussi avoir droit à une approche hybride, comme avec le CX-50. Attention, toutefois, car contrairement à ce dernier, la solution électrifiée du CX-5 ne sera pas la même. En effet, plutôt que de faire appel à Toyota, on compte utiliser un design fabriqué en interne.

Nous allons bien sûr vous revenir avec plus de détails le 10 juillet, le jour où nous sera présentée la prochaine cuvée du Mazda CX-5.

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Porsche ajoute du muscle et de la polyvalence à sa famille 911 pour 2026, en dévoilant trois nouvelles versions de la Carrera 4S à transmission intégrale : le Coupé, le Cabriolet et la très attendue Targa 4S. Positionnés juste sous les modèles GTS, ces nouveaux venus doublent le nombre de variantes à traction intégrale offertes au sein de la gamme. Au Canada, la majorité des acheteurs de 911 S privilégient la traction intégrale, une configuration prisée pour sa stabilité accrue en conditions hivernales. Grâce au système Porsche Traction Management (PTM), le comportement demeure sportif, avec un biais vers l’essieu arrière, mais le couple est redistribué à l’avant au besoin. Le tout est géré par une transmission à double embrayage PDK à huit rapports, avec un embrayage avant refroidi à l’eau pour une efficacité optimale.

Performances en hausse

Sous le capot, les nouvelles 911 Carrera 4S reprennent le six cylindres biturbo de 3,0 litres, désormais optimisé pour produire 473 chevaux — un gain de 30 ch comparé à la génération précédente. Grâce à un système de refroidissement repensé, inspiré de la 911 Turbo, les performances s’envolent. Le Coupé réalise le 0 à 100 km/h en seulement 3,3 secondes avec l’ensemble Sport Chrono, et la vitesse de pointe atteint 308 km/h.

La Targa fête 60 ans d’histoire avec élégance

Icône intemporelle, la 911 Targa célèbre 60 ans d’innovation en alliant le meilleur des mondes coupé et décapotable. Née en 1965 pour répondre aux préoccupations de sécurité du marché américain, elle a depuis évolué vers un chef-d’œuvre d’ingénierie. Depuis 2014, son toit se déploie automatiquement en 19 secondes avec une chorégraphie spectaculaire. Le célèbre arceau de sécurité et la lunette arrière enveloppante demeurent les signatures visuelles du modèle, auquel s’ajoutent désormais quatre couleurs de toit.

Équipement enrichi et personnalisation accrue

Les modèles 2026 arrivent avec un équipement de série nettement plus généreux : jantes 20/21 pouces redessinées, système de freinage GTS (étriers rouges et disques 408 mm à l’avant), PTV+, échappement sport, roues arrière directrices (de série sur la Targa) et un ensemble cuir complet à l’intérieur. La technologie embarquée inclut les phares DEL matriciels, la recharge sans fil pour téléphone intelligent, ainsi que de multiples aides à la conduite. Quant à l’aménagement intérieur, les versions Coupé sont livrées en configuration deux places de série, mais des sièges arrière sont offerts sans frais. Les options de personnalisation sont nombreuses : teintes exclusives, matériaux raffinés, systèmes audio haut de gamme, et choix de toits vitrés ou panoramiques.

Tarifs canadiens des modèles 911 Carrera 4S 2026

  • 911 Carrera 4S Coupé : à partir de 173 400 $ CAD

  • 911 Carrera 4S Cabriolet : à partir de 187 700 $ CAD

  • 911 Targa 4S : à partir de 189 600 $ CAD

Avec ces nouveautés, Porsche renforce la position de la 911 comme référence absolue dans le segment des voitures sport de luxe, tout en répondant aux attentes climatiques et dynamiques de la clientèle nord-américaine.

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Ferrari dit adieu à la Roma et accueille avec panache la Ferrari Amalfi 2027, une toute nouvelle GT à moteur V8 avant-central et configuration 2+2. Baptisée en hommage à la célèbre ville côtière d’Amalfi, cette nouvelle venue prend le relais de la Roma, tout en injectant une dose de fraîcheur… et de controverse. Contrairement à la tendance actuelle, aucun V6 ni aucune assistance électrique au programme. Ferrari mise sur la pureté mécanique avec une version améliorée du V8 biturbo de 3,9 litres (type F154 BH), développant 640 chevaux. Le tout s’envole jusqu’à 7 500 tr/min, avec un 0 à 100 km/h expédié en 3,3 secondes. La vitesse de pointe ? 320 km/h.

Design intérieur repensé, mais extérieur polarisant

À l’intérieur, Ferrari fait un pas en avant en abandonnant les commandes tactiles mal aimées de la Roma. Le volant redessiné revient à des boutons physiques, incluant un superbe bouton de démarrage rouge. L’interface multimédia comprend désormais un écran central de 10,25 pouces et un écran passager de 8,8 pouces, dans une présentation plus épurée, plus moderne… et mieux finie selon Maranello. Mais à l’extérieur, le museau de l’Amalfi divise. Inspiré à la fois des F80 et 12Cilindri, le design avant semble déconnecté du reste de la carrosserie, avec cette pièce noire centrale reliant les phares qu’on surnomme déjà le « bandeau aveugle ». Pas sûr que tous les puristes mordent à l’hameçon du premier coup.

Une GT performante et équilibrée

Pesant 1 470 kg à sec avec une répartition de masse parfaite 50/50, l’Amalfi cache un aileron actif à trois positions, capable de générer 110 kg d’appui à 250 km/h. Elle passe les 200 km/h en seulement 9,0 secondes et respecte les normes antipollution les plus récentes grâce à une nouvelle configuration d’échappement.

Future rivale de l’Aston Martin DB12

En Italie, la Ferrari Amalfi sera proposée à 240 000 €, soit environ 384 000 $ au taux actuel. Les livraisons en Europe débuteront début 2026, et les modèles nord-américains suivront peu après en tant que modèles 2027. La Ferrari Amalfi ne plaît pas à tous au premier regard, mais sur le plan technique et dynamique, elle s’annonce comme une remplaçante supérieure à la Roma, et une véritable rivale de l’Aston Martin DB12 dans le segment des GT de luxe à haute performance.

Avec des renseignements d’Auto Evolution

Le texte L’Amalfi sera le modèle d’entrée chez Ferrari pour 2027 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Chevrolet promettait que la Corvette ZR1 2025 serait « aussi rapide que l’enfer vert » — en référence au Nürburgring — et jusqu’ici, tout porte à croire qu’elle tient parole. Plus rapide que bien des hypervoitures européennes, capable d’abattre le quart de mille à des vitesses fulgurantes et vendue à une fraction du prix d’une Bugatti ou McLaren, la ZR1 a déjà conquis les amateurs de performance. Mais voilà qu’un facteur imprévu pourrait propulser cette Corvette dans la légende : sa production limitée à une centaine d’exemplaires seulement. Selon CorvetteBlogger, qui dit avoir obtenu une lettre interne de GM adressée aux concessionnaires, Chevrolet n’arrivera pas à produire toutes les ZR1 prévues pour l’année-modèle 2025, et demande déjà à certains de repousser leur commande à 2026.

Une production au compte-gouttes et un été à l’arrêt

Même si l’assemblage de la ZR1 a commencé fin avril à l’usine de Bowling Green, seulement 65 unités avaient été construites au 27 juin, à un rythme de deux ou trois voitures par jour. Or, la production 2025 s’arrêtera le 4 août, et l’usine fermera complètement du 4 au 14 juillet. En clair, pas plus d’une centaine de ZR1 2025 seront assemblées, tout au plus. Ceux qui seront forcés de reporter leur commande à 2026 verront le prix grimper de 7 200 $ US, sans compter des frais de transport en hausse. Et comme la première vague de commandes 2026 est déjà passée sans inclure de ZR1, certains devront aussi patienter un bon moment.

Un futur objet de convoitise

La Corvette ZR1 2026 bénéficiera d’un nouvel habitacle modernisé, avec finition revue, nouveaux matériaux et couleurs asymétriques, et l’abandon du fameux mur de boutons. Mais cette mise à jour pourrait justement rendre la ZR1 2025 encore plus unique. Elle deviendra la seule ZR1 C8 avec l’ancien intérieur, un détail qui, combiné à une production ultra limitée, pourrait la faire entrer au panthéon des Corvettes de collection, au même titre que la célèbre Corvette C2 à lunette fendue de 1963, produite une seule année. Ce n’est peut-être pas encore le moment d’encadrer votre bon de commande… mais d’ici quelques décennies, cette ZR1 “one-year-only” pourrait valoir son pesant d’octane sur le marché des collectionneurs.

Avec des renseignements de GM authority

Le texte La Corvette ZR1 2025 sera si rare qu’elle deviendra peut-être une voiture de collection provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le 1er juillet 1860, Charles Goodyear, inventeur américain du caoutchouc vulcanisé, s’éteint à l’âge de 59 ans… dans la pauvreté la plus totale. Ironique destin pour un homme dont l’invention allait générer des milliards de dollars dans les décennies suivantes — mais jamais pour lui.

Une obsession née d’une faillite

Après l’échec du commerce familial de quincaillerie en 1830, Goodyear se passionne pour un problème bien particulier : rendre le caoutchouc utilisable en toutes conditions. À l’époque, le produit colle, fond à la chaleur et gèle au froid. En 1837, il décroche un contrat pour fabriquer des sacs postaux en caoutchouc traité à l’acide nitrique, mais l’échec est cuisant — littéralement.

Le coup du hasard et du soufre

C’est en collaborant avec Nathaniel Hayward, qui avait découvert que le soufre améliorait la texture du caoutchouc, que Goodyear fera une découverte accidentelle majeure. Un jour de 1839, il échappe un mélange de caoutchouc et de soufre sur un poêle chaud. Résultat : une matière souple, résistante et stable. La vulcanisation venait de naître.

Il obtient son premier brevet en 1844, mais passe ensuite des années à défendre son invention en cour contre des contrefacteurs. Il remporte finalement un jugement en 1852, mais trop tard pour amasser une fortune.

Des échecs en série en Europe

Goodyear tente sa chance en Angleterre et en France, sans succès. À Paris, une tentative de production tourne au fiasco, et il finit emprisonné pour dettes en 1855. Il perd aussi ses droits de brevet en Europe pour des raisons légales et techniques.

Un héritage colossal… pour les autres

Pendant que d’autres s’enrichissent, Goodyear meurt endetté à hauteur de 200 000 $. Pourtant, sa découverte est devenue la pierre angulaire de l’industrie du pneu, des joints, des bottes, des courroies et de l’automobile. Il aura tout de même laissé un témoignage de sa lutte et de son génie dans son ouvrage Gum-Elastic and Its Varieties (1853–1855). Ironie du sort, la compagnie Goodyear Tire & Rubber, fondée 38 ans après sa mort, portera son nom — sans aucun lien juridique avec lui.

Le texte 1er juillet 1860 : Charles Goodyear meurt ruiné malgré une invention révolutionnaire provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile