Les véhicules à boîte de vitesses manuelle sont de plus en plus rares sur le marché, mais là où ce type de boîte est proposé, on réalise que plusieurs acheteurs préfèrent toujours ce type de transmission en raison du plaisir accru qu’elle procure à la conduite d’un véhicule.

C’est le cas avec la BMW Z4 et la Toyota Supra, des véhicules jumeaux qui en étaient à leur cinquième année de commercialisation l’an dernier.

Et tant du côté de BMW que de Toyota, on a constaté que 65 % des voitures vendus en 2024 du côté des États-Unis avaient la boîte manuelle.

La BMW Z4 M40i 2024
La BMW Z4 M40i 2024 | Auto123.com

Chez BMW

Chez la marque bavaroise, près de 1400 des 2129 exemplaires vendus en 2024 ont été sélectionnés avec la boîte manuelle à six rapports, qui n’est livrable qu’avec le moteur à 6 cylindres, la mécanique à quatre ne conservant que la boîte automatique à huit engrenages.

Pour la Z4, il s’agissait de la première année où la boîte était livrable avec cette génération de modèles. Cela a permis de faire grimper les ventes de 13,1 %, alors que la compagnie vendait 1883 versions en 2023.

Il est clair que l’option de la transmission a contribué au progrès du modèle, une réalité reconnue par BMW.

La Toyota GR Supra
La Toyota GR Supra | Auto123.com

Chez Toyota

Son de cloche similaire chez Toyota avec un taux d’adoption de 65 % pour la boîte manuelle. Il s’agit d’une hausse par rapport à l’année 2023 où 43 % des acheteurs avaient opté pour la boîte mécanique. En 2024, 1700 des 2615 Toyota Supra vendus ont quitté l’usine avec une troisième pédale.

Il est intéressant de constater, aussi, que Toyota a vendu plus de Supra que BMW a réussi à écouler de Z4. Ça demeure étonnant, considérant que la représentante de BMW peut être livrée en configuration décapotable, ce qui n’est pas possible chez Toyota.

Le site Motor1, qui a partagé ces informations, mentionne que BMW a vu la boîte manuelle être populaire dans sa gamme, là où elle est offerte, bien sûr. Avec la M2, on parle de près de 50 % pour le taux d’adoption. Pour les M3 et M4, les chiffres respectifs ont été de 20 % et de 15 %.

La boîte manuelle n’est pas morte et il y aura toujours des acheteurs pour ce type de configuration… tant que certains modèles vont continuer de l’offrir.

Levier de changement de vitesse dans la Toyota GR Supra
Levier de changement de vitesse dans la Toyota GR Supra | Auto123.com

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Le texte BMW Z4 et Toyota Supra : 65 % des acheteurs optent pour la boîte manuelle provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ça fait plusieurs années qu’on nous la montre, mais enfin, une date concernant son arrivée sur le marché a été annoncée ; l’Afeela 1, la voiture née d’un partenariat entre Sony et Honda, va se pointer sur le marché au milieu de l’année 2026.

L’an dernier, nous avions vu le modèle au CES (Consumer Electronics Show) de Las Vegas, et il est sans surprise de retour là-bas pour l’édition de cette année qui se déroule cette semaine. La différence, c’est que Sony Honda Mobility a dévoilé les prix du modèle, en plus du moment où elle prévoit sa construction et le début de sa commercialisation.

L'Afeela 1 de Sony Honda Mobility
L’Afeela 1 de Sony Honda Mobility | Auto123.com

Les prix de l’Afeela 1 de Sony Honda Mobility

L’Afeela 1 sera offerte à partir de 89 900 $ US, en configuration Origin. Une variante Signature sera aussi au menu, avec une facture de 102 900 $ US. Cette déclinaison va offrir bien sûr plus d’équipement, notamment des jantes de 21 pouces, un système de divertissement pour les passagers arrière, de même qu’un système de surveillance par caméra centrale.

Trois couleurs seront au menu, soit le gris, le blanc et le noir. Pour l’originalité, on repassera.

Les trois couloeurs de l'Afeela 1
Les trois couloeurs de l’Afeela 1 | Auto123.com

Les modèles seront livrés de série avec un abonnement gratuit de trois ans aux services connectés du groupe, ce qui va comprend Afeela Intelligent Drive, un système de conduite semi-autonome de niveau 2 qui utilise 40 capteurs pour fonctionner. Le modèle profitera aussi d’un assistant personnel (Afeela Personal Agent) pour aider avec le contrôle des fonctions de la voiture et, apparemment, pour être capable de converser avec les occupants.

L’abonnement inclut également plusieurs contenus liés au divertissement, des thématiques numériques personnalisables pour les écrans et une connectivité de données 5G. Les propriétaires devront, après les trois premières années, souscrire à un abonnement pour continuer à profiter des services ; les détails sont à venir concernant tout cela.

L'Afeela 1, avant
L’Afeela 1, avant | Auto123.com
L'Afeela 1, arrière
L’Afeela 1, arrière | Auto123.com

Pour ce qui est de caractéristiques entourant la fiche technique du modèle, c’est encore maigre. La voiture sera pourvue du port de recharge NACS (North American Charging Standard) de Tesla, ce qui va permettre aux propriétaires d’avoir accès à un réseau de recharge plus complet.

L’Afeela 1 devrait offrir quelque 500 kilomètres d’autonomie grâce à la présence d’une batterie lithium-ion de 91,0 kWh. La configuration sera à deux moteurs électriques de 241 chevaux, un sur chaque essieu pour offrir le rouage intégral. La berline va aussi profiter d’une suspension pneumatique.

Pour le reste, il faudra attendre qu’on nous livre plus d’informations. Chose certaine, avec une arrivée prévue l’année prochaine, il est clair que d’autres présentations auront lieu pendant l’année en cours.

L’Afeela 1 sera assemblée à l’usine que Honda opère en Ohio. Elle ne sera vendue qu’en Californie dans un premier temps. Il faudra voir pour la suite.

L'Afeela 1 de Sony Honda Mobility, intérieur
L’Afeela 1 de Sony Honda Mobility, intérieur | Auto123.com
L'Afeela 1 de Sony Honda Mobility, première rangée
L’Afeela 1 de Sony Honda Mobility, première rangée | Auto123.com
L'Afeela 1 de Sony Honda Mobility, deuxième rangée
L’Afeela 1 de Sony Honda Mobility, deuxième rangée | Auto123.com
L'Afeela 1 de Sony Honda Mobility, de profil
L’Afeela 1 de Sony Honda Mobility, de profil | Auto123.com
L'Afeela 1 de Sony Honda Mobility, de haut
L’Afeela 1 de Sony Honda Mobility, de haut | Auto123.com

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Le texte CES 2025 : Des débuts en 2026 pour l’Afeela 1 de Sony Honda Mobility provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Du 17 au 26 janvier, le Palais des congrès de Montréal s’animera au rythme de l’automobile alors qu’une trentaine de marques présenteront leurs modèles au 80e Salon de l’auto de Montréal.

Parmi celles-ci, on en dénombre deux, Lucid et Polestar, qui en sont à leur première présence au salon. De plus, presque une dizaine d’autres marques font un retour après avoir boudé l’événement au cours des dernières années passées. Il s’agit de Mercedes-Benz, Subaru, Volvo et des marques de Stellantis : Chrysler, Dodge, Jeep, Ram, Fiat et Alfa Romeo. Par contre, à la dernière seconde, Genesis a annoncé qu’elle se désistait et qu’elle sera également absente du Salon de Toronto, preuve que la fidélité des constructeurs ne tient qu’à un fil.

Depuis un peu plus d’une semaine, des publicités diffusées dans tous les médias nous rappellent l’imminence de l’ouverture de cet événement. Ces messages misent notamment sur une image de marque renouvelée avec un logo tout neuf qui domine; un « A » stylisé accompagné d’un nom abrégé : Salon auto MTL.

Pourquoi adopter ce logo et cette nouvelle appellation pour cet un événement bien connu ? Dans une entrevue exclusive, Denis Dessureault, le vice-président exécutif de la Corporation des concessionnaires automobiles de Montréal et du Salon de l’auto de Montréal, répond à cette question… et à quelques autres !

Nouveau logo, nouveau nom

Luc Gagné — Le Salon international de l’auto de Montréal existe-t-il toujours ?

Denis Dessureault — L’entité commerciale « Salon international de l’auto de Montréal » existe toujours pour l’entreprise, mais pour l’événement, on a retiré le mot « international ». Ça devient simplement : Salon de l’auto de Montréal.

Quand le salon a été créé, en 1969, on jumelait les grandes marques américaines à des marques japonaises et européennes. À l’époque, à Montréal, c’était nouveau et cette mixité justifiait qu’on parle d’un salon international. Mais aujourd’hui, avec la mondialisation de l’industrie, l’usage de ce qualificatif n’est vraiment plus nécessaire.

Et puis, avec ce changement, on pense aller chercher une nouvelle clientèle. Car, à l’ère des réseaux sociaux, où il n’y a plus beaucoup de place pour écrire les messages, un nom plus court c’est mieux.

Quant au logo, le « A » qui évoque le mot auto, en 3D et avec l’effet de chrome, c’est vraiment un beau. Après deux, trois éditions du salon, les gens vont le reconnaître. Ça va devenir notre marque de commerce pour les prochaines années.

Des marques qui reviennent

LG — Pourquoi ne pas avoir profité de l’occasion pour adopter une appellation d’un genre nouveau comme Auto Fest, Salon de la mobilité, Auto Expo, etc. ?

DD — Des focus group nous ont démontré qu’on ne pouvait pas changer le nom, au-delà du mot international. Parmi le grand public, on a une reconnaissance instantanée de 91 % ! Ce serait comme si Coca-Cola changeait de nom !

Cela ne nous empêche pas de vouloir présenter tout ce qui est disponible sur le marché. Malheureusement, depuis la pandémie, aucun salon au monde n’a réussi à rassembler tous les joueurs de l’industrie comme avant. Malgré tout, on se réjouit d’accueillir cette année six constructeurs qui reviennent.

LG — Qu’est-ce qui incite les constructeurs à revenir ?

DD — On ne se le cachera pas, les cours de nos concessionnaires se sont remplies de nouveaux véhicules. Alors, ils ont besoin de visibilité pour les montrer.

Et puis la recette qui mise uniquement sur les réseaux sociaux pour les vendre, en pensant que tout cela va se faire tout seul, ça pouvait fonctionner pendant la pandémie. Mais aujourd’hui, avec les taux d’intérêt qui augmentent et les inventaires qui se gonflent, ça ne suffit plus.

Lorsqu’on parle aux constructeurs qui ne viennent pas au salon, on leur demande comment ils expliquent qu’ils laissent leurs compétiteurs montrer leurs produits à nos 170 000 visiteurs, en sachant qu’entre 35 et 40 pour-cent d’entre eux ont amorcé un processus d’achat. C’est quand même beaucoup de gens qui pourraient voir leurs véhicules et « passer de leur côté ».

LG — À ce sujet, vous m’aviez expliqué qu’un sondage réalisé après le salon, l’année dernière, démontrait que des consommateurs intéressés aux produits Honda, marque qui était absente, avaient changé leurs intentions d’achats après avoir vu les produits de Hyundai et GM. Avec le retour de Mercedes-Benz au salon, cette année, pensiez-vous aussi assister au retour de BMW et d’Audi ?

DD — À notre grande surprise, ils ont dit non. Par contre, ils seront au Salon du véhicule électrique de Montréal (SVÉM).

SVÉM, un deuxième salon en mai

LG — Avec un marché qui compte de plus en plus de véhicules électriques (VÉ) et électrifiés (hybride non branchable et hybrides branchables), cet autre salon a-t-il toujours sa raison d’être ?

DD — Absolument ! Ce sera le deuxième salon de l’auto que notre équipe va organiser cette année. Rappelons que le SVÉM a été racheté par le Salon de l’auto de Montréal en juillet 2024. Or, on tient à le faire malgré les incertitudes actuelles entourant l’électrification des transports, car les VÉ attirent une clientèle différente, tant pour ce qui est des visiteurs que des exposants.

Parmi les visiteurs, il y a les « électromobilistes », ceux qui ne veulent voir que des « batteries à quatre roues », pour reprendre l’expression d’un visiteur, et il y a les consommateurs qui envisagent d’acheter leur premier VÉ.

Et puis, du côté des constructeurs, il y a ceux qui ne veulent pousser que leurs modèles électriques. On le voit avec BMW et Audi. De plus, pour les constructeurs, le fait d’avoir une exposition qui ne dure que 3 jours plutôt que 10, c’est également très important. C’est moins coûteux et, puisqu’on montre moins de véhicules, ça représente moins de transport et moins de logistique.

Voilà pourquoi on a décidé d’aller de l’avant avec le SVÉM, pour les deux prochaines années du moins.

LG — Est-ce que cela pourrait durer plus longtemps ?

DD — On sait qu’environ 80 % des véhicules qui seront exposés au Salon de l’auto de Montréal seront électrifiés (électriques ou hybrides). Alors, par la force des choses, cet événement-là va éventuellement devenir un « salon tout électrique ».

LG — En 2025, le SVÉM déménage, n’est-ce pas ?

DD — Oui. Il aura lieu au Stade IGA le premier week-end de mai : les 2, 3 et 4 mai 2025. On ne change pas la recette. Comme l’année dernière, il y aura des VÉ et des exposants de produits et services connexes (accessoires, électriciens spécialisés, bornes, vélos électriques et trottinettes, etc.). Ça, c’est de la valeur ajoutée !

Lorsqu’on a annoncé ces dates, certaines personnes croyaient que cette exposition aurait lieu à l’extérieur. Absolument pas ! Avec 20 terrains intérieurs et 70 000 pi ca qu’on peut utiliser, il va y avoir assez de place pour présenter le salon à l’abri des intempéries.

De plus, avec trois stations de métro autour du parc Jarry, ce sera facile d’accès. Enfin, les installations du Stade IGA offrent de la place en masse pour garer les véhicules qui serviront aux essais routiers.

Un incontournable : les essais de VÉ

LG — Au sujet des essais routiers de VÉ, Jesse Caron, porte-parole de CAA-Québec, votre partenaire pour cette même initiative organisée dans le cadre du Salon de l’auto de Montréal, nous a confirmé qu’il y aura encore plus de modèles disponibles au Palais des congrès cette année : 28 modèles différents comparativement à 16, l’année dernière. Ces essais sont-ils encore si nécessaires ?

DD — Si l’on considère qu’environ 3 000 personnes (de mémoire) profitent de ces essais parmi nos 170 000 visiteurs, cela représente un faible pourcentage de participation. Mais, pour les constructeurs, les essais de VÉ sont très importants.

Pour eux, c’est souvent l’occasion d’asseoir un consommateur dans un VÉ et de lui offrir une expérience de conduite pour la première fois. C’est un moment crucial qui le rassure et l’inciter à aller plus loin dans son processus d’achat.

Au cours des dernières années, les inventaires de VÉ étaient très limités. Mais aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Voilà pourquoi cette initiative est d’autant plus importante.

Le Salon de l’auto de Montréal s’offre un Sommet

LG — Ces essais constituent en quelque sorte un « événement dans l’événement », au même titre que le gala Avant-première-bénéfice, le retour de la collection de Ferrari de Luc Poirier, les séances de dédicaces de personnalités du petit écran et de la course (Karine Vanasse, Mariloup Wolfe, Marc Dupré et Valérie Limoges) et même la présence du club Tesla Québec. Mais la CCAM prépare autre chose de nouveau et de gros cette année, n’est-ce pas ?

DD — Il s’agit du Sommet de la CCAM, un événement qui s’adresse principalement aux concessionnaires, qui aura lieu à l’hôtel InterContinental, le mercredi 15 janvier. On va y traiter de divers sujets touchant leur quotidien et les dernières tendances de l’industrie.

Le Français Thomas Chieux, fondateur de TCG Conseil, une société d’études spécialisée dans la distribution automobile, sera le conférencier-vedette de cet événement. Il parlera notamment de la transition du marché automobile vers les véhicules électriques et comment cela change la façon de travailler pour un concessionnaire.

On va avoir des panels de concessionnaires pour discuter de la loi 30 et de ce qui va changer au niveau du F&I. Il va y avoir des mises à jour sur certains dossiers de la CCAQ et de la CADA. Bref, ça va ressembler au Sommet de la CADA, qui a lieu dans le cadre du Salon de Toronto, mais avec du contenu francophone.

Cet événement fait partie de la planification stratégique entamée l’année dernière et qui vise à rapprocher la CCAM des concessionnaires en offrant des événements pertinents destinés à les aider. On a créé un happening plus business (B-to-B) en espérant que ça va faire « des p’tits » !

Photos : CCAM, TCG Conseil, Groupe Park Avenue et Luc Gagné

Le texte Salon de l’auto de Montréal 2025 : Pourquoi ce nouveau logo ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

L’annonce de la démission imminente de Justin Trudeau comme chef du Parti libéral, pave la voie à des élections anticipées au printemps, où le Parti conservateur, dirigé par Pierre Poilièvre, est en position favorable pour prendre le pouvoir.

Une incertitude pour la transition zéro émission

Sous la direction de Trudeau, le Canada a soutenu la transition vers les véhicules zéro émission (VZE), imposant des objectifs sérieux: 20 % des ventes de véhicules neufs en 2026, 60 % en 2030 et 100 % en 2035. Toutefois, cette politique fait face à une demande modérée des consommateurs et à une réduction des incitations gouvernementales. En sachant que le Québec perd temporairement sa subvention aux véhicules électrifiés au 1er février est-ce que la probable élection de Poilièvre pourrait entraîner une révision majeure de cette approche. Le chef conservateur, souvent critique envers la taxe carbone des libéraux, pourrait également remettre en question le mandat VZE, jugé trop rigide par l’industrie automobile et éliminé au passage la subvention fédérale de 5 000 $.

Une industrie entre défis et opportunités

Outre les pressions internes, l’industrie automobile canadienne doit composer avec des menaces externes, notamment de possibles tarifs douaniers de l’administration Trump. Par ailleurs, les investissements massifs dans la chaîne d’approvisionnement des batteries EV, réalisés au cours des trois dernières années, risquent d’être remis en cause.

Poilièvre a, jusqu’à présent, gardé le silence sur ses intentions précises en matière de politique automobile. Néanmoins, il a critiqué en 2023 les subventions fédérales qui ont attiré l’usine de batteries du Groupe Volkswagen en Ontario. Cet été, il a appelé à imposer des tarifs sur les véhicules électriques fabriqués en Chine pour protéger les emplois locaux.

Une approche conservatrice incertaine

Bien que les conservateurs soient susceptibles d’assouplir les cibles fixées par les libéraux, Poilièvre pourrait trouver un compromis en maintenant un soutien stratégique à la transition électrique. Par exemple, l’exploitation des minéraux critiques, essentielle à la chaîne d’approvisionnement des batteries, pourrait bénéficier d’un coup de pouce sous sa direction, après avoir été ralentie sous les libéraux.

Quel avenir pour l’automobile canadienne ?

La démission de Trudeau et l’éventuelle arrivée de Poilièvre au pouvoir introduisent une période d’incertitude pour la politique automobile au Canada. Entre révisions potentielles du mandat VZE et soutien limité aux véhicules électriques, le paysage pourrait évoluer vers un équilibre entre pragmatisme et ambition.

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

Le texte La démission de Justin Trudeau et la suite de l’automobile au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

BMW abandonne le moteur thermique avec sa prochaine génération de Série 4. Selon une nouvelle publiée par le site BMW Blog, la Série 4 sera uniquement électrique, incluant sa variante sportive M4. Cette transition s’inscrit dans l’engagement de BMW envers l’électrification, basée sur sa nouvelle plateforme Neue Klasse.

Contrairement à la Série 4, la prochaine Série 3 offrira des options à essence et électriques. Les versions thermiques utiliseront la plateforme actuelle CLAR, tandis que les variantes électriques adopteront la structure Neue Klasse, qui sera inaugurée cette année avec le lancement d’un X3 électrique, probablement nommé iX3.

La plateforme Neue Klasse : un saut technologique

La plateforme Neue Klasse représente une avancée majeure pour BMW. Elle introduira une conception entièrement consacrée aux véhicules électriques, améliorant l’efficacité et les performances. La Série 4 électrique, attendue en 2028, remplacera la gamme actuelle de l’i4, qui repose sur une version modifiée de la plateforme CLAR.

Le Concept 4 de BMW
Le Concept 4 de BMW | Auto123.com

Une M4 électrique avec près de 700 chevaux

La M4 électrique promet des performances impressionnantes. Selon les premières informations, la version de base pourrait développer environ 670 chevaux, grâce à un groupe motopropulseur avancé à quatre moteurs, permettant un contrôle individuel des roues. Ce système, développé par BMW M depuis 2018, optimise la répartition du couple en fonction des conditions de conduite, offrant une adhérence accrue et une stabilité améliorée.

Des technologies inédites pour un contrôle optimal

Avec une puissance potentielle dépassant 1300 chevaux avec les déclinaisons haut de gamme, ce système sera contrôlé par un nouvel ordinateur central. Il analysera en temps réel les données des capteurs, les angles de braquage et les commandes du conducteur pour ajuster le couple. Les M3 et M4 électriques bénéficieront de cette innovation, bien que leur puissance maximale restera plus modeste que les modèles encore plus performants planifiés par la division M.

L’avenir de la gamme BMW M

La BMW M3 électrique, dont un prototype a déjà été présenté, coexistera avec une version thermique. Cependant, aucune variante thermique n’est prévue pour la M4. L’électrification de cette gamme reflète la volonté de BMW d’allier performances sportives et durabilité, tout en s’adaptant aux réglementations environnementales de plus en plus strictes.

Avec la plateforme Neue Klasse et des modèles comme la Série 4 et la M4 électriques, BMW va redéfinir l’avenir de la voiture sportive. Reste à voir comment ces innovations seront accueillies par les amateurs de sensations fortes et les puristes de la marque.

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Le texte La prochaine BMW Série 4 sera exclusivement électrique provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Porsche enrichit sa gamme 911 avec l’arrivée de la Carrera S pour l’année modèle 2025. Se positionnant entre la 911 Carrera et la 911 Carrera GTS, cette nouvelle venue vient combler l’écart entre la version de base et la GTS T-Hybrid, axée sur la performance. La Carrera S est offerte en versions Coupé et Cabriolet.

Motorisation de la Porsche 911 Carrera S 2025

La 911 Carrera S 2025 est propulsée par un moteur Boxer, un 6-cylindres biturbo de 3,0 litres qui a été optimisé pour offrir plus de puissance, tout en réduisant les émissions. Porsche a notamment installé de nouveaux turbocompresseurs et amélioré le refroidissement de l’air de la suralimentation, en s’inspirant de la conception des modèles 911 Turbo précédents.

Avec ses 473 chevaux et son couple de 390 lb-pi, la version offre 30 chevaux de plus par rapport à la génération précédente, atteignant ainsi des niveaux de performance auparavant réservés à la 911 Carrera GTS. Cette puissance est transmise aux roues arrière par l’intermédiaire d’une boîte de vitesses à huit rapports et à double embrayage (PDK). Le sprint de 0 à 100 km/h est réalisé en 3,3 secondes et la vitesse maximale est de 308 km/h.

Porsche 911 Carrera S 2025, avant
Porsche 911 Carrera S 2025, avant | Auto123.com

Une conduite optimisée

Outre les travaux faits avec la motorisation, Porsche a également amélioré la dynamique de conduite de la Carrera S. Le nouveau système de freinage, reconnaissable à ses étriers rouges et à ses disques de 408 mm à l’avant et 380 mm à l’arrière, promet une décélération exceptionnelle, selon Porsche.

Différentes options de personnalisation sont offertes pour améliorer la maniabilité et le confort de la voiture, ou encore son esthétique. Par exemple, les roues arrière directionnelles et la suspension sport PASM (Porsche Active Suspension Management), qui permet d’abaisser la garde au sol de 10 mm, sont au menu.

Porsche 911 Carrera S 2025, intérieur
Porsche 911 Carrera S 2025, intérieur | Auto123.com

À l’intérieur

L’habitacle de la Carrera S est garni de série de cuir noir, alors que les sièges, le tableau de bord et les panneaux de porte sont recouverts de cuir lisse. Pour un intérieur encore plus luxueux, un garnissage en cuir plus étendu est offert en option. Il couvre notamment le couvercle de la boîte à gants et les panneaux latéraux, avec la possibilité d’ajouter des surpiqûres contrastantes de couleur craie. Des sièges arrière rabattables sont offerts en option avec la version coupée.

Les prix canadiens de la Porsche 911 Carrera S 2025

La nouvelle Porsche 911 Carrera S 2025 peut être commandée dès maintenant. Son prix de base est de 159 700 $ pour le coupé, 174 000 $ pour le cabriolet..

Porsche 911 Carrera S 2025, en version décapotable
Porsche 911 Carrera S 2025, en version décapotable | Auto123.com
Porsche 911 Carrera S 2025, de haut
Porsche 911 Carrera S 2025, de haut | Auto123.com
Porsche 911 Carrera S 2025, de profil
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Porsche 911 Carrera S 2025, arrière
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Les Porsche 911 Carrera S 2025
Les Porsche 911 Carrera S 2025 | Auto123.com

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Le texte Porsche 911 Carrera S 2025 : un nouveau membre dans la famille provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Honda a dévoilé au CES (Consumer Electronics Show) 2025 ses prototypes de la Série 0, soit un VUS et une berline futuristes qui promettant une nouvelle ère pour les véhicules électriques (VÉS) de la marque. Prévue pour 2026, cette gamme va marquer un tournant audacieux pour le constructeur japonais.

Une vision audacieuse pour l’avenir

Honda a pris son temps avant d’entrer pleinement sur le marché nord-américain des VÉS. Cependant, le succès du VUS Prologue, écoulé à plus de 30 000 exemplaires depuis son lancement en mars 2024, prouve que l’attente en valait la peine. La gamme de la Série 0 dévoilée à Las Vegas pousse encore plus loin cette ambition, avec un design radical et une technologie de pointe.

Le VUS Honda 0
Le VUS Honda 0 | Auto123.com

Le VUS sera le premier modèle à arriver sur le marché au début de 2026, suivi par la berline, plus tard dans l’année. Les deux véhicules seront produits dans les nouvelles installations de Honda qui est dédié aux VÉS. Ces dernières sont situées en Ohio, là où la compagnie est déjà très active.

À noter que, contrairement aux modèles Prologue, la Série 0 est conçue comme une gamme véritablement mondiale.

La berline Honda 0
La berline Honda 0 | Auto123.com

Un style qui sort du lot

Le design des prototypes ne ressemble à rien de ce qui se trouve actuellement sur le marché. Les lignes audacieuses, les pare-chocs au design complexe à DEL et les vitres arrière à effet miroir infini confèrent aux véhicules une allure futuriste. Bien que certains détails puissent être simplifiés lors de la production, ces véhicules promettent de rester fidèles à l’esprit des prototypes.

Le VUS Honda 0, arrière
Le VUS Honda 0, arrière | Auto123.com

Le VUS de la gamme Série 0 se distingue également par des caractéristiques pratiques, comme un espace arrière à plancher bas facilitant le chargement, et des espaces de rangement intégrés dans les parois.

La berline Honda 0, avant
La berline Honda 0, avant | Auto123.com

La berline intègre des solutions innovantes, comme un volant qui permet de libérer de l’espace pour les jambes du conducteur lors de l’entrée et la sortie du véhicule. Avec une hauteur comparable à celle d’une Civic (140 cm), elle combine allure sportive et praticité.

Le VUS Honda 0, habitacle
Le VUS Honda 0, habitacle | Auto123.com

Une technologie révolutionnaire : l’Asimo OS

Honda introduit un tout nouveau système d’exploitation pour ses VÉS : l’Asimo OS, inspiré de son célèbre robot humanoïde. Ce système promet d’être prédictif et personnalisé, en s’adaptant aux habitudes des conducteurs. Par exemple, il pourrait privilégier les stations de recharge près des grands axes routiers ou suggérer des parcs pour les propriétaires voyageant avec des animaux.

L’Asimo OS sera également compatible avec un système de conduite autonome de niveau 3, bien que son déploiement dépende des régulations locales, particulièrement strictes aux États-Unis.

Les concepts Honda 0
Les concepts Honda 0 | Auto123.com

Performances et avenir

Bien que Honda n’ait pas encore dévoilé de détails techniques ou de prix, les premières impressions des essais laissent entrevoir des performances comparables à celles d’un Hyundai Ioniq 5 à deux moteurs. Ces modèles devraient être compétitifs et répondre aux attentes des consommateurs des marchés mondiaux.

La gamme Série 0 de Honda représente un véritable pari sur l’avenir des VÉS. Avec ses designs audacieux, sa technologie innovante et ses fonctionnalités pratiques, elle pourrait bien redéfinir la perception des véhicules électriques Honda.

Cependant, de nombreux défis restent à relever, notamment en matière de régulations et de compétitivité.

La berline Honda 0, trois quarts arrière
La berline Honda 0, trois quarts arrière | Auto123.com
La berline Honda 0, feux
La berline Honda 0, feux | Auto123.com
Le VUS Honda 0, de profil
Le VUS Honda 0, de profil | Auto123.com
Le VUS Honda 0, avant
Le VUS Honda 0, avant | Auto123.com
Honda innove avec ses nouveaux prototypes électriques de la série 0
Honda innove avec ses nouveaux prototypes électriques de la série 0 | Auto123.com

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Le texte CES 2025 : Honda présente les prototypes de la Série 0 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La maison de design Italdesign, célèbre pour ses créations légendaires, marque les esprits au CES (Consumer Electronics Show) 2025, qui se tient à Las Vegas, avec le concept Quintessenza. Ce dernier est un mélange inédit entre une voiture de grand tourisme italienne et une camionnette électrique.

Le mariage du style et de la fonctionnalité

Fondée en 1968 par Giorgetto Giugiaro, Italdesign est reconnue pour ses designs novateurs, comme ceux de la Maserati Boomerang et de la BMW M1. La Quintessenza, présentée cette année au CES, perpétue cet héritage en combinant des lignes acérées et un style futuriste rappelant le projet GT-R 50 conçu pour Nissan.

La Quintessenza de Italdesign, portes ouvertes
La Quintessenza de Italdesign, portes ouvertes | Auto123.com
La Quintessenza de Italdesign, de haut
La Quintessenza de Italdesign, de haut | Auto123.com

Plus longue qu’un Ford F-150, la Quintessenza affiche un look spectaculaire avec ses pneus imposants montés sur des roues de 24 pouces. Sa carrosserie intègre des matériaux durables, et elle est équipée de moteurs électriques intégrés aux roues. Le toit amovible dévoile un minibar réfrigéré intégré, parfait pour les escapades tout-terrain.

Des données qui impressionnent

Le concept repose sur une batterie de 150 kWh et trois moteurs électriques, développant une puissance totale de 777 chevaux. Le 0 à 100 km/h est abattu en moins de 3 secondes.

La suspension ajustable offre une garde au sol modulable entre 20 cm et 28 cm, idéale pour affronter des terrains variés. Un becquet avant s’abaisse automatiquement à haute vitesse pour améliorer la stabilité, renforçant l’ADN sportif du véhicule.

Avec ses performances, la Quintessenza évoque une interprétation tout-terrain d’une Ferrari F80.

La Quintessenza de Italdesign, intérieur
La Quintessenza de Italdesign, intérieur | Auto123.com
La Quintessenza de Italdesign, volant
La Quintessenza de Italdesign, volant | Auto123.com

Un intérieur modulable et convivial

L’intérieur de la Quintessenza n’est pas en reste. Ce pickup électrique peut accueillir quatre personnes, avec une disposition modulable : les sièges arrière pivotent pour s’orienter vers la boîte, et une console centrale coulissante permet d’étendre le minibar vers les passagers arrière. Ce design ingénieux illustre la capacité d’Italdesign à concilier praticité et luxe.

Un concept, pas une production

Bien que la Quintessenza ne soit pas destinée à la production, elle sert de vitrine pour démontrer le savoir-faire d’Italdesign. La maison, qui ouvre son siège américain à Detroit, ambitionne de collaborer avec des constructeurs établis ou de jeunes pousses émergentes pour des projets innovants.

La Quintessenza de Italdesign, avant
La Quintessenza de Italdesign, avant | Auto123.com
La Quintessenza de Italdesign, avant, portes ouvertes
La Quintessenza de Italdesign, avant, portes ouvertes | Auto123.com

Une célébration de l’excellence italienne

Déjà dévoilé lors du Concours d’élégance de Pebble Beach, le concept Quintessenza prouve que les maisons de design de Turin restent des références dans l’imaginaire automobile. Avec son approche audacieuse, Italdesign célèbre son héritage tout en regardant vers l’avenir, à l’aube de son 60e anniversaire en 2028.

Le concept Quintessenza démontre comment Italdesign continue de repousser les limites du design automobile. Il ne manquera pas d’inspirer l’industrie, même si cette camionnette électrique demeure un rêve réservé aux salons d’auto.

La Quintessenza de Italdesign, arrière, hayon ouvert
La Quintessenza de Italdesign, arrière, hayon ouvert | Auto123.com
La Quintessenza de Italdesign, de haut, arrière
La Quintessenza de Italdesign, de haut, arrière | Auto123.com
La Quintessenza de Italdesign, profil, fig. 1
La Quintessenza de Italdesign, profil, fig. 1 | Auto123.com
La Quintessenza de Italdesign, profil, fig. 2
La Quintessenza de Italdesign, profil, fig. 2 | Auto123.com

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Le texte CES 2025 : Italdesign présente un concept audacieux provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Porsche dévoile la nouvelle 911 Carrera S 2025, un modèle qui promet des performances accrues, une conduite plus agile et un niveau d’équipement supérieur. Avec son moteur Boxer turbocompressé de 473 ch, ce modèle comble l’écart entre la 911 Carrera et la 911 Carrera GTS T-Hybrid. Disponible en version Coupé et Cabriolet, elle offre une expérience de conduite enrichie.

Un moteur optimisé

Le cœur de la nouvelle 911 Carrera S est son moteur Boxer six cylindres biturbo de 3,0 L, qui développe 473 ch et 390 lb-pi de couple. Cela représente une augmentation de 30 ch par rapport à sa devancière ou l’équivalent de l’ancienne version GTS. Porsche a intégré des turbocompresseurs améliorés et un système de refroidissement inspiré de la 911 Turbo précédente, permettant des performances et une efficacité énergétique accrues.

  • 0 à 100 km/h en seulement 3,3 secondes
  • Vitesse de pointe : 308 km/h
  • Transmission : boîte PDK à double embrayage, huit vitesses

Équipements de série enrichis et options exclusives

La nouvelle Carrera S inclut une liste impressionnante d’équipements de série :

  • Roues Carrera S de 20 et 21 pouces avec pneus de tailles différentes
  • Système d’échappement sport avec tuyaux argentés
  • Freins hautes performances inspirés de la 911 Carrera GTS, avec disques de 408 mm à l’avant et 380 mm à l’arrière

Pour les amateurs de sensations fortes, Porsche propose des options comme les freins composites en céramique (PCCB), la suspension sport PASM abaissée de 10 mm, et la direction aux roues arrière pour une maniabilité accrue.

Luxe et personnalisation à l’honneur

L’intérieur de la Carrera S reflète l’attention au détail de Porsche :

  • Sellerie en cuir noir de série, avec options de garnitures étendues
  • Sièges arrière rabattables sans frais supplémentaires (Coupé)
  • Options de personnalisation comme les coutures contrastantes craie

Les équipements de série incluent également des phares à matrice de DEL et un chargeur sans fil . Parmi les options disponibles, le système de levage de l’essieu avant et l’ensemble Sport Chrono sont idéaux pour une utilisation sur circuit.

Un modèle Coupé ou Cabriolet à l’été

La Porsche 911 Carrera S 2025 est disponible à la commande dès maintenant. Les premières livraisons au Canada sont prévues pour l’été 2025.

  • Prix de départ : 159 700 $ (Coupé)
  • Prix de départ : 174 000 $ (Cabriolet)

Conclusion

Avec la 911 Carrera S 2025, Porsche réinvente l’équilibre entre puissance, raffinement et innovation. Ce modèle, à la fois performant et luxueux, séduira les amateurs de conduite sportive et les passionnés de personnalisation. Que ce soit en version Coupé ou Cabriolet, la Carrera S promet une expérience inégalée au volant.

Le texte La Porsche 911 Carrera 2025 est la plus puissante à ce jour provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Présentée au CES 2025, la collaboration entre HERE Technologies et Amazon Web Services (AWS) marque une avancée majeure pour l’automobile. Grâce à un contrat ambitieux de 10 ans et d’un milliard de dollars USD, ces deux géants veulent transformer l’expérience à bord des véhicules autonomes et connectés grâce à des cartes enrichies et des services de navigation de nouvelle génération.

HERE à l’avant-garde de la cartographie automobile

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les cartes haute définition utilisées par nos voitures ne proviennent pas des célèbres véhicules StreetView de Google. Depuis 40 ans, c’est HERE Technologies (anciennement Navtech) qui fournit les données cartographiques utilisées dans les systèmes de navigation et d’aide à la conduite (ADAS) de plus de 220 millions de véhicules à travers le monde. Détenue par des acteurs majeurs comme Volkswagen, BMW et Mercedes-Benz, HERE continue de repousser les limites de la cartographie, en intégrant des technologies basées sur l’intelligence artificielle et le cloud pour des solutions toujours plus performantes.

UniMap : Une cartographie intelligente pour respecter les régulations

La réglementation européenne exige que les véhicules informent les conducteurs des changements de limites de vitesse en temps réel. Grâce à son système UniMap, HERE garantit une conformité totale. Cet outil combine des modèles précis au niveau des voies à une base de données mondiale uniforme, facilitant des fonctionnalités avancées telles que la planification intelligente d’itinéraires, incluant des bornes de recharge disponibles pour les véhicules électriques.

Une navigation immersive avec Sony Honda Mobility

Lors du CES 2025, Sony Honda Mobility (SHM) a dévoilé son cockpit numérique AFEELA intégrant le SDK de navigation de HERE. Offrant une navigation augmentée et des visualisations avancées, ce système connecte de manière fluide la voiture à la vie numérique de son propriétaire. Par ailleurs, SHM exploite une plateforme cloud basée sur AWS appelée Digital Proving Ground pour accélérer le développement des véhicules définis par logiciel (SDV), grâce à un traitement rapide des données et à l’intelligence artificielle générative.

Une assistance personnalisée et intuitive

HERE a également présenté son assistant IA, conçu pour améliorer la sécurité et l’efficacité des trajets. Capable de répondre à des demandes complexes comme « Trouve-moi un café près d’une plage » ou « Ramène-moi à la maison avant 17h en évitant les péages », cet assistant utilise des modèles linguistiques avancés pour offrir une navigation personnalisée et riche en informations.

Des cartes toujours à jour

Inspiré de Waze, le système de HERE accepte les contributions des utilisateurs concernant les limitations de vitesse temporaires, travaux ou routes fermées. Ces données enrichissent en temps réel la base cartographique dans le cloud, garantissant une précision optimale pour tous les usagers.

Une application dédiée à l’efficacité des flottes

Prévue pour fin 2025, l’application WeGo Pro de HERE promet de révolutionner la gestion des flottes. Grâce à des itinéraires optimisés pour les camions et des fonctionnalités de gestion en temps réel, les conducteurs pourront adapter leurs trajets en fonction des contraintes de coûts ou des conditions routières changeantes.

Conclusion

Avec sa collaboration avec AWS et ses innovations comme UniMap ou l’AI Assistant, HERE Technologies transforme la navigation automobile. Ces avancées renforcent l’expérience utilisateur et placent les véhicules connectés et autonomes au cœur de l’avenir de la mobilité. Le CES 2025 n’a fait que confirmer le rôle central de HERE dans cette évolution technologique.

Avec des renseignements de Motor Trend

Le texte Le CES nous démontre comment la technologie va contrôler nos futures voitures provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile