Malgré l’annonce de la fin des V-8, le Jeep Wrangler 392 fait son retour.

Jeep répond à la demande des passionnés en relançant le modèle emblématique.

Un retour attendu pour les amateurs de puissance

Malgré l’annonce d’une édition finale à six chiffres pour 2024, qui devait marquer la fin des Jeep Wrangler équipés de moteurs V-8, la marque Jeep a décidé de réintroduire le Wrangler 392 pour l’année modèle 2025. Jeep, la marque de véhicules légers du groupe Stellantis, avait déclaré en mars qu’elle ferait ses adieux aux Wrangler V-8 avec une édition spéciale de 2024, appelée “Final Edition”. Cependant, la demande étant trop forte pour abandonner ce modèle emblématique, la décision a été prise de prolonger sa production. La version 2025 sera également désignée comme une “Final Edition”.

Une situation similaire à celle du Dodge Durango Hellcat

Cette décision rappelle celle de Stellantis concernant le Dodge Durango Hellcat. Initialement prévue pour être produite pendant une seule année modèle, la production de ce VUS haute performance a été prolongée face à la demande des consommateurs, certains ayant même poursuivi le constructeur en justice pour tromperie en croyant qu’ils n’auraient qu’une seule occasion de l’acheter.

Détails de la nouvelle édition

Les prix de la version 2025 n’ont pas encore été annoncés. Pour rappel, le modèle 2024 était proposé à partir de 129 00 $ avec les frais de transport. La production de cette nouvelle édition commencera au premier trimestre 2025, avec l’ouverture des commandes prévue pour la fin de 2024. Le Jeep Wrangler 392 est équipé d’un moteur V-8 de 6,4 litres, capable de délivrer 470 chevaux et un couple de 470 lb-pi. Il peut passer de 0 à 100 km/h en seulement 4,5 secondes, offrant une puissance impressionnante pour un véhicule de cette catégorie.

Une transition vers l’électrique

Stellantis continue néanmoins à réduire ses offres de moteurs V-8 à mesure qu’elle se prépare à lancer plus de 25 véhicules électriques aux États-Unis d’ici 2030. Les moteurs V-8 ont déjà été retirés de la gamme 2025 des Ram 1500, ainsi que des SUV premium Jeep Wagoneer et Grand Wagoneer, et du Jeep Grand Cherokee à deux rangées. De même, la prochaine génération de Dodge Charger ne proposera pas non plus de version avec un moteur V-8.

Avec des renseignements d’automotive News

Le texte Le Jeep Wrangler 392 Hemi revient en 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La RS E-Tron GT Performance affiche une puissance impressionnante de 912 chevaux

En réponse à la mise à jour complète de la Porsche Taycan plus tôt cette année, il est logique que le modèle sœur suive le même chemin. Voici donc la nouvelle Audi E-Tron GT 2025, qui se dote de nombreuses améliorations pour offrir plus de puissance, de vitesse de charge et d’autonomie. Désormais, trois versions distinctes seront disponibles : la S E-Tron GT, la RS E-Tron GT et le modèle phare, la RS E-Tron GT Performance.

La plus puissante des Audi : une révolution électrique

Le nouveau modèle RS E-Tron GT Performance se positionne comme le véhicule de production le plus puissant jamais conçu par Audi. Avec ses 912 chevaux, il reste toutefois derrière la Taycan Turbo GT de Porsche qui développe 1 019 chevaux. En plus d’être la voiture la plus puissante arborant les Quatre Anneaux, elle est également la plus rapide. Il ne lui faut que deux secondes et demie pour atteindre les 100 km/h, bien que ce soit deux dixièmes de seconde de plus que la Porsche.

Les autres versions ne sont pas en reste. La RS E-Tron développe 845 chevaux et passe de 0 à 100 km/h en 2,8 secondes, tandis que la version de base E-Tron affiche 671 chevaux pour un temps de 3,4 secondes. Les modèles badgés RS atteignent une vitesse maximale de 250 km/h, contre 245 km/h pour la version d’entrée de gamme. Toutes les versions sont équipées d’un système à deux moteurs permettant une transmission intégrale. Audi a précisé qu’une configuration à moteur unique et propulsion arrière n’est pas prévue.

Une batterie plus performante et une autonomie améliorée

En plus de l’augmentation de la puissance et de la vitesse, la berline électrique bénéficie d’une batterie améliorée. La capacité énergétique utilisable a augmenté de 84 kWh à 97 kWh, tout en réduisant le poids de 9 kg. Toutefois, la batterie pèse toujours 625 kg. Autre bonne nouvelle, la batterie supporte désormais une puissance de charge maximale de 320 kW contre 270 kW auparavant. Dans des conditions de charge idéales, la batterie passe de 10 à 80 % en 18 minutes, et il suffit de 10 minutes pour ajouter 280 km d’autonomie. La batterie n’est pas la seule à avoir perdu du poids, puisque le moteur électrique arrière est environ 10 kg plus léger qu’auparavant. Si vous recherchez l’efficacité, il est préférable d’opter pour la version de base S. Audi annonce une autonomie maximale de 608 km, mais il est important de noter que ce chiffre est basé sur le cycle WLTP. L’équivalent EPA sera probablement inférieur.

Même la version d’entrée de gamme bénéficie d’une suspension pneumatique active à deux chambres et deux valves récemment développée. Ce système peut abaisser la voiture de 5,3 à 7,6 cm en quelques secondes pour maximiser le confort lors des passages sur des bosses. Pour la RS E-Tron GT Performance, la suspension dispose d’un mode de performance dédié adapté à une utilisation sur circuit.

Un design futuriste avec un clin d’œil au passé

Bien que la E-Tron GT ait un design futuriste, elle comporte également quelques hommages au passé. Par exemple, les jantes forgées de 21 pouces rappellent celles du concept Audi Avus Quattro de 1991. À l’intérieur, le tableau de bord numérique de la RS E-Tron GT Performance présente un thème blanc en référence à la RS2 Avant de 1994. En attendant les prix pour le marché canadien, Audi indique que la S E-Tron GT 2025 démarre à 126 000 € en Allemagne, où la RS E-Tron GT est proposée à 147 500 €. La RS E-Tron GT Performance est quant à elle commercialisée à 160 500 €.

Avec des renseignements de Motor 1

Le texte La plus puissante Audi à ce jour provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

  • La Volvo S60 2024 ne sera plus produite aux États-Unis après cinq années de production.

  • La production s’arrêtera fin juin à l’usine de Ridgeville, en Caroline du Sud.

  • Volvo se concentre sur la production de SUV, suivant une tendance observée chez d’autres constructeurs.

Le marché nord-américain va bientôt dire adieu à une autre berline. Volvo Cars met fin à la production de la berline S60 à son usine de Ridgeville, en Caroline du Sud, à la fin juin 2024, après cinq années de production sur ce site. La S60 continuera à être produite à Daqing, en Chine, pour les marchés chinois et australien,” a déclaré un porte-parole de Volvo.

Une transition vers les VUS et les véhicules électriques

Cette annonce coïncide avec le début de la production du Volvo EX90 2025 en Caroline du Sud, le premier véhicule électrique de Volvo fabriqué aux États-Unis. Ce modèle sera produit aux côtés du Polestar 3, qui partage beaucoup de pièces. L’ajout de ce VUS à trois rangées à la gamme électrique de Volvo est une étape importante pour la marque, mais cela se fait au détriment de la S60, actuellement le deuxième modèle le moins cher de la marque aux États-Unis.

La disparition des berlines

La disparition de la S60 n’est pas une surprise, car ce modèle n’était pas le plus vendu Comme partout ailleurs, les VUS sont clairement des modèles plus importants pour la marque. Même en Europe, où les ventes de berlines et de familiales sont plus solides, Volvo a eu du mal à maintenir ces modèles en vie. Le marché britannique n’offre désormais plus que des multisegments, les V60, V90 et S60 ayant tous été retirés du marché l’année dernière. Nous nous attendions à une stratégie similaire en Amérique du Nord, et nous ne serions pas surpris de voir les modèles S90, V90 et V60 suivre le même chemin.

Avec des renseignements de Carbuzz

Le texte La fin de production pour la Volvo S60 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le constructeur de véhicules électriques Fisker a déposé une demande de protection contre les créanciers en vertu du Chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites le 17 juin. Cette décision intervient après des mois de difficultés financières et de qualité avec son crossover Ocean, ainsi qu’une tentative infructueuse de partenariat avec un grand constructeur automobile.

Des pertes importantes et des tentatives de partenariat infructueuses

Fisker a été confronté à divers obstacles sur le marché des véhicules électriques, notamment des problèmes de distribution et de qualité pour son modèle Ocean. La société a tenté sans succès de former un partenariat avec un grand constructeur automobile, ce qui a entraîné des pertes de plusieurs centaines de millions de dollars. « Comme d’autres entreprises du secteur des véhicules électriques, nous avons fait face à divers vents contraires sur le marché et des défis macroéconomiques qui ont affecté notre capacité à opérer efficacement », a déclaré Fisker dans un communiqué. « Après avoir évalué toutes les options pour notre entreprise, nous avons décidé que la vente de nos actifs sous le Chapitre 11 était la voie la plus viable pour l’avenir de l’entreprise. »

Actifs et passifs estimés

Fisker Group Inc., la filiale opérationnelle de Fisker Inc., a estimé ses actifs entre 500 millions et 1 milliard de dollars et ses passifs entre 100 millions et 500 millions de dollars. La société a déposé une requête en vertu du Chapitre 11 devant le tribunal des faillites des États-Unis à Wilmington, dans le Delaware, après avoir demandé une protection similaire en Autriche en mai.

Opérations réduites et continuation des activités

Selon le site web de la société, Fisker compte une douzaine de concessionnaires franchisés aux États-Unis. L’entreprise a annoncé qu’elle prendra les mesures habituelles auprès du tribunal des faillites pour garantir la poursuite de ses opérations réduites, y compris le paiement des salaires de ses employés, la préservation de certains programmes clients et la rémunération de certains fournisseurs. Fisker a également indiqué que sa suspension antérieure de la production resterait en vigueur.

Une fierté malgré tout

Malgré les difficultés, Fisker a exprimé sa fierté pour ses réalisations. « Fisker a réalisé des progrès incroyables depuis notre fondation, en mettant sur le marché le SUV Ocean deux fois plus rapidement que prévu dans l’industrie automobile et en tenant notre promesse de livrer le véhicule le plus durable au monde », a déclaré la société.

Des avertissements financiers dès février

En février, Fisker avait déjà averti d’un doute substantiel quant à sa capacité à poursuivre ses activités, après avoir enregistré une perte nette de 463 millions de dollars au quatrième trimestre et annoncé des licenciements. Le PDG Henrik Fisker avait également mentionné des négociations en cours avec un grand constructeur automobile pour un partenariat stratégique, mais ces discussions ont échoué en mars. Des rapports ont suggéré que ce constructeur était Nissan, bien que Fisker et Nissan n’aient pas commenté.

Chutes de prix et problèmes de production

En mars, Fisker a réduit le prix de son modèle Ocean, baissant le prix de la version haut de gamme de 24 000 dollars, pour atteindre 37 499 dollars hors frais de livraison. Toutefois, les difficultés de production et de distribution ont persisté, avec seulement 2 561 enregistrements de véhicules aux États-Unis entre janvier et avril 2023, et une production totale de plus de 10 000 véhicules, mais seulement environ 4 700 livraisons.

Problèmes de logiciels et enquêtes de sécurité

L’Ocean a été vendu avec des logiciels incomplets, et l’entreprise a eu des difficultés à déployer des mises à jour, ce qui a conduit à des enquêtes préliminaires de la NHTSA pour des problèmes de sécurité présumés, y compris des préoccupations concernant les freins et les loquets de porte.

Un avenir incertain et des pertes financières

Les pertes financières et les problèmes de livraison ont culminé en février avec un avertissement de Fisker concernant sa capacité à poursuivre ses activités. La société avait engagé un conseiller financier et un cabinet d’avocats pour préparer une éventuelle déclaration de faillite. En juin, la valeur des actions de Fisker avait chuté de 99 % par rapport à l’année précédente et les actions avaient été retirées de la Bourse de New York en mars pour non-respect du seuil de prix minimum. Avec ses défis actuels, l’avenir de Fisker reste incertain alors qu’il tente de restructurer ses opérations et de se relever de cette crise financière.

Avec des renseignements d’Auotomotive News

Le texte Fisker dépose une demande de protection contre les créanciers aux États-Unis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Je tiens à vous avertir tout de suite, je suis propriétaire d’une Boxster S depuis huit et je n’ai connu que du plaisir au volant de cette petite sportive qui représente à mes yeux la quintessence de la conduite sportive dans les petites sportives. La Boxster qui était vu comme un sous-produit de la marque à ses débuts revêt aujourd’hui une place de choix dans la famille. Elle mérite amplement sa place aux côtés de la légendaire 911 dans les salles d’exposition.

Il faut se dépêcher

Les jours de la Boxster à essence sont comptés. La version électrique arrive à grand pas et 2025 sera la dernière année de production de ces fabuleux modèles. Ceux qui mettent le plaisir avant tout sur leurs listes de priorités seront tellement heureux, même avec le moteur 4 cylindres 2,0 litres turbo de notre version d’entrée de gamme qui se pointe à 300 chevaux. Aucune voiture dans cette brochette de prix ne vous procure autant de belles sensations au volant. Peu de roadster offre deux coffres et sont aussi pratiques en procurant d’aussi belles sensations sur la routes

Le modèle Style Edition

Nous n’avons pas manqué de faire tourner les têtes lors de notre semaine d’essai. Pour 2024, la Boxster accueille une nouvelle variante : la Style Edition. Ce modèle embellit la version de base avec des jantes de 20 pouces, des graphiques sur le capot et les portières, des tapis de sol spéciaux avec des surpiqûres couleur craie, des seuils de porte illuminés, et des logos Porsche embossés sur les appuie-têtes. La Style Edition sert également de tremplin pour une nouvelle couleur de peinture, Ruby Star Neo ou si vous préférez : rose. Les commentaires positifs provenant de mes voisines m’a fait comprendre que ce modèle a trouvé une place dans le cœur de plusieurs.

Un intérieur qui n’a pas changé

En général, dans notre métier on doit faire connaissance avec un nouveau modèle à chaque semaine. Nous avons en général besoin de quelques heures, voire de quelques jours, pour trouver nos repères. Dans le cas de la 718 Boxster, rien n’a bougé en huit ans. Tous les boutons, toutes les commandes sont exactement aux mêmes endroits. J’ai pris place à bord comme s’il s’agissait de ma voiture. J’apprécie beaucoup le fait que l’électronique n’a pas encore envahit la voiture, qu’elle demeure simple à opérer. Les deux porte-gobelets un peu fragiles montés sur le tableau de bord qui Porsche a installé pour répondre à une demande des conducteurs nord-américain ne sont toujours pas très utiles. Il manque toujours de place de rangement dans l’habitacle, mais vous avez droit à un coffre à l’avant et un autre à l’arrière. Nous nous plaindrions généralement de n’avoir que deux ports USB, mais étant donné que cette voiture ne peut accueillir que deux personnes, combien de ports supplémentaires sont nécessaires ? Les acheteurs peuvent opter pour la navigation et un point d’accès Wi-Fi. Porsche propose désormais l’intégration Apple CarPlay de série, mais Android Auto n’est toujours pas disponible.

Bien assez pour avoir du plaisir

J’avoue être un disciple du moteur H6 de 3,4 litres et de ses 315 chevaux. Ce qui caractérise ce moteur est le chant mélodieux de la cylindrée entre 5 000 et 8 000 tours. J’ai encore des frissons après huit ans. Le moteur turbo de notre version de base fourni un généreux 300 chevaux, mais la puissance arrive à plus bas régime et l’envolée lyrique dans les tours n’est manque de grâce. Pour faire jouir vos oreilles, il faudra sortir votre carnet de chèque et aller dans la version GTS et son moteur 4 litres H6 de 394 chevaux qui donne la chair de poule. Cela dit, la puissance est bonne. La tenue de route et la direction inspirent notre plus grande admiration et bien sûr nous vous conseillons fortement la boîte manuelle à six rapports, même si la PDK est sans reproche. Elle est toujours équilibrée et stable dans les virages, et la direction, remarquablement communicative, réagit rapidement et avec précision à chaque mouvement. Le châssis de la Boxster vous parle comme si les pneus étaient connectés directement à votre corps, mais le confort de conduite reste suffisant pour les longs trajets. Des options telles que les amortisseurs adaptatifs de Porsche et un différentiel arrière à vectorisation de couple disponible ne font qu’améliorer la maniabilité de cette voiture. Nous avons aimé le fait que les béquilles électroniques ne nous cassent constamment les pieds. À l’exception de la caméra de recul et des capteurs de stationnement de série et de la surveillance des angles morts en option, c’est vous qui s’occupe du reste. Le régulateur de vitesse qui n’était pas intelligent dans mon modèle 2015 l’est devenu.

Conclusion

La Porsche 718 Boxster 2024, avec ses performances époustouflantes et son design élégant, continue de captiver les passionnés de conduite. Elle offre une expérience de conduite pure et inégalée, confirmant sa place parmi les meilleures sportives sur le marché. Notre consommation a tourné autour de 10 litres aux 100 km dans notre semaine d’essai. Pas mal pour une sportive de ce calibre. Sachez que vous devrez allonger 100 000 $ pour un modèle bien équipé dans sa version de base et plus de 150 000 $ si votre coeur penche vers une version GTS.

Forces

Une maniabilité et une sensation de direction exceptionnelles

Le moteur six cylindres en option offre des performances remarquables

Large gamme d’options de personnalisation

Faiblesses

Moteur quatre cylindres peu raffiné et bruits d’échappement

Le prix grimpent vite avec les options

Pas d’espace de rangements à l’intérieur

Le texte Porsche 718 Boxster provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le constructeur automobile Stellantis, en collaboration avec la société chinoise Leapmotor (9863.HK), a démarré la production de véhicules électriques (VE) à son usine de Tychy en Pologne, selon des analystes de Jefferies, citant la direction de Leapmotor. Ce partenariat stratégique marque une avancée significative pour Leapmotor, en permettant la production européenne de son modèle compact, la Leapmotor T03, avec un objectif de production de masse fixé pour septembre.

Une production européenne pour réduire les coûts

D’après des informations obtenues par Reuters en mars, Stellantis a choisi son usine polonaise pour la production des véhicules Leapmotor, principalement pour des raisons économiques. La fabrication à Tychy est estimée entre 400 et 500 euros par voiture, un coût comparable à celui de la Chine, mais bien inférieur aux coûts de production en Italie, qui s’élèvent à environ 1 000 euros par véhicule.

Un partenariat exclusif

Stellantis et Leapmotor ont créé une coentreprise, Leapmotor International, dans laquelle Stellantis détient une participation majoritaire de 51%. Ce partenariat offre à Stellantis des droits exclusifs pour construire, exporter et vendre les produits Leapmotor en dehors de la Chine, une première pour un constructeur automobile occidental.

Ce partenariat s’inscrit dans une coopération plus large entre les deux entreprises, incluant une prise de participation de 21% de Stellantis dans Leapmotor, pour un montant de 1,6 milliard de dollars. En plus du modèle T03, la coentreprise prévoit de fabriquer le SUV Leapmotor A12 à l’usine polonaise dès le premier trimestre 2025.

Des ambitions mondiales malgré les nouvelles taxes européennes

Leapmotor prépare également la production localisée de composants, visant ainsi à renforcer sa présence sur le marché européen. En parallèle, la société chinoise envisage de produire son SUV C10 en Chine et de l’exporter en Europe, où il pourrait se vendre à des prix plus élevés.

Cependant, cette expansion en Europe fait face à de nouveaux défis. La semaine dernière, la Commission européenne a annoncé l’instauration de droits de douane supplémentaires de 21% sur les véhicules électriques importés de Chine, ce qui affectera directement les plans de Leapmotor.

Conclusion

Avec ce partenariat, Stellantis et Leapmotor s’affirment comme des acteurs clés dans l’industrialisation des véhicules électriques en Europe, tout en offrant une alternative compétitive aux constructeurs traditionnels grâce à une production plus économique. Les deux entreprises devront toutefois naviguer dans un contexte réglementaire européen de plus en plus strict pour continuer à se développer sur le marché.

Le texte Stellantis et Leapmotor lancent la production de voitures électriques en Pologne provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Un changement radical vers les véhicules électriques haut de gamme Jaguar prévoit un virage vers la vente de véhicules électriques haut de gamme directement aux consommateurs en ligne. Ce changement pousse le constructeur à exiger que les concessionnaires abandonnent leurs franchises, en échange de ce que ces derniers considèrent comme une compensation inadéquate. Réduction drastique […]

Après 17 ans à captiver les amateurs de vitesse et d’excellence automobile, la production de la Nissan GT-R pour le marché nord-américain s’arrêtera en octobre prochain. Depuis son lancement, la GT-R R35 a offert des performances comparables à celles des supercars à un prix abordable, séduisant une nouvelle génération de passionnés d’automobiles au Canada. Ce modèle a surpassé de nombreuses voitures de sport plus coûteuses sur les circuits, établissant un nouveau standard dans l’industrie.

L’héritage mémorable de la GT-R

Introduite pour la première fois en 1968 comme symbole de l’innovation technologique de Nissan, la GT-R a fait sensation lors de son dévoilement au Salon de l’auto de Tokyo. Sa version de production a été lancée en 1969, capable de parcourir 400 mètres en 16,1 secondes et d’atteindre une vitesse maximale de 200 km/h.

Près de 40 ans plus tard, en 2008, la sixième génération, connue sous le nom de R35, a fait son entrée sur le marché canadien. Malgré plusieurs mises à jour et restylages, la GT-R est restée fidèle à ses racines en offrant des performances et une maniabilité exaltantes. Devenue une icône dans le monde automobile, la GT-R a également laissé sa marque dans la culture populaire, apparaissant dans des films à succès et des jeux vidéo.

Le futur de la légendaire GT-R

Avec la fin de la production de la R35 en Amérique du Nord, l’avenir de la GT-R s’oriente vers de nouvelles directions. Nissan a confirmé son intention de développer un successeur, potentiellement électrique, pour cette légendaire série de voitures de sport. Le concept Hyper Force, présenté au Salon de l’auto de Tokyo 2023, offre un aperçu de ce futur avec une puissance impressionnante de 1 341 chevaux grâce à une combinaison de batteries à l’état solide et de moteurs électriques.

François Bailly, vice-président senior de Nissan, a révélé que le développement de la R37, une potentielle première GT-R électrique, est en cours. Cette nouvelle génération pourrait utiliser des batteries à l’état solide, technologie que Nissan espère introduire d’ici 2028. La sortie de cette nouvelle GT-R pourrait donc ne pas avoir lieu avant plusieurs années, mais promet de maintenir la tradition de performance et d’innovation qui a fait la renommée de ce modèle.

Conclusion

La Nissan GT-R, après avoir marqué l’histoire de l’automobile et conquis de nombreux fans, se retire du marché nord-américain. Cependant, avec des projets ambitieux pour son successeur, la GT-R pourrait bien continuer à incarner l’innovation et la performance pour les années à venir.

Le texte C’est la fin pour la Nissan GT-R provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La transmission automatique est un mystère pour plusieurs, et pour cause. La transmission automatique est arrivée de série sur les voitures au tournant des années 40. Elle était déjà très perfectionnée pour «son âge», et elle gagna en popularité rapidement, comme Muriel Milard ou Fernand Gignac quoi..

Il y a deux sections distincte dans une transmission automatique, la première section est l’accouplement entre le moteur et la transmission, soit «l’embrayage» ou plutôt ce qui remplace l’embrayage. Son nom général est le convertisseur de couple. On ne va pas trop rentrer dans les détails, mais cette pièce permet de faire tourner le moteur avec la transmission engagée. Impossible à faire avec un embrayage classique. La deuxième section est la transmission elle-même avec ses engrenages. Très différentes de la transmission régulière à changement manuel, la transmission automatique est pourvue d’engrenages bien sûr, mais ces engrenages ne bougent pas les uns sur les autres comme dans une classique. C’est plutôt dans une forme de tambour dans lequel plusieurs disques sont empilés.

Ces «tambours» très souvent nommé «clutch pack» mesure approximativement, 5 pouces de diamètre par 2.5 pouces d’épais. Dans ces tambours, il y a deux types de disques, un style en fibre, et l’autre en métal. Un des deux styles de disques a des encoches sur l’extérieur de sa circonférences, et l’autre style a des encoches aussi, mais sur l’intérieur.

Imaginé le tambour vide, puis on va le remplir avec les disques. On commence avec un modèle, ensuite on ajoute l’autre, on revient par la suite avec le premier, et ainsi de suite, jusqu’à ce que le tambour soit plein. On peut installer environ 5 à 6 disques de chaque dans un tambour, qui ont sensiblement le même diamètre que l’intérieur du tambour.

Une fois plein, il y a un couvercle, bloqué par une barrure, style de barrure en C. Une fois monté, les disques sont libres de tourner les uns sur les autres. Par contre, dans la transmission, ces disques vont accomplir une tâche intéressante, soit de faire bouger la voiture.

Les disques ne sont pas libres de mouvement tout le temps. Lorsqu’ils sont libre, on est au neutre, ou à une autre vitesse que celle du tambour non-utilisé. L’extérieur du tambour et l’intérieur sont rattaché à un engrenage, ou un arbre à faire tourner à un certain moment.

Pour ce faire, il faut coincer ensemble les disques, comme un embrayage de moto.

Pour coincer ces disques ensemble, on va se servir de la pression d’huile fourni par une pompe, qui est entraînée par le convertisseur de couple, vous aurez compris, par le moteur.

Dans le fond de chaque tambour, il y a un piston qui couvre la surface du fond du tambour. Lorsque nous avons placé les disques à l’intérieur, on les a placés sur le piston. Ce piston revient automatiquement à sa place lorsque la pression est à 0 grâce à un ressort.

Vous aurez saisi maintenant. Quand vous, ou la transmission elle-même (par son cerveau hydraulique) aura choisi de bloquer un tambour pour engager une vitesse, ce sera la pression de l’huile qui poussera le piston à l’intérieur du tambour, qui lui pressera tous les disques les uns contre les autres, et empêchera les disques de tourner sur eux-mêmes, et par le fait même, entraînera un engrenage, car lui-même aura été entraîné à tourner par un autre.

Il y a plusieurs tambours dans une transmission automatique. Certains sont « bloqués » de deux façon, par le piston intérieur, et parfois par une grande bague qui l’entoure. Chacun des tambours fonctionne à tour de rôle, suivant les besoins et la vitesse. Tout ça est géré par le pilote au volant, et par le cerveau hydraulique dans la transmission.

Faut savoir que plusieurs transmissions on des ajustements de rapprochements des bagues de tambours, et qu’elles doivent être ajustées à l’occasion. Vous avez une transmission qui glisse, ou ses passages sont long? C’est peut-être simplement un réglage des bagues qui lui faut.

Aussi, n’hésitez pas à changer l’huile régulièrement, c’est la meilleure défense contre l’usure.

N’oubliez pas nos cours sur la mécanique de voiture ancienne, renseignez-vous à l’atelier.

Le texte La Transmission automatique provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Porsche Canada a annoncé avoir signé une entente avec ChargePoint, un important fournisseur de solutions de recharge pour véhicules électriques (VE), qui permettra l’accès à son réseau de bornes de recharge avec le service de recharge Porsche. Grâce à cette collaboration, les clients de Porsche auront maintenant accès à plus de 20 000 bornes de recharge au Canada.

Ce nouveau partenariat renforce notre intégration avec Electrify Canada, permettant aux clients de véhicules électriques et hybrides rechargeables Porsche de trouver et d’utiliser les bornes de recharge de ChargePoint et de nos partenaires, puis de payer au moyen de l’application My Porsche. Les nouvelles bornes de recharge seront accessibles au 4e trimestre de 2024.

« Nous sommes ravis d’offrir plus d’options de recharge à nos clients, a déclaré John Cappella, président-directeur général d’Automobiles Porsche Canada, Ltée. Il s’agit d’une autre occasion d’améliorer considérablement notre expérience client, alors que nous attendons avec impatience, plus tard cette année, l’arrivée du Taycan révisé et du tout nouveau Macan entièrement électrique. »

« ChargePoint est honoré d’aider Porsche à offrir aux conducteurs une expérience de recharge au niveau de sa réputation, a déclaré Rick Wilmer, président-directeur général de ChargePoint. Nous sommes heureux d’offrir plus d’options de recharge aux conducteurs de Porsche, et le logiciel ChargePoint améliorera leur expérience grâce à une solution de recharge intégrée et harmonieuse. »

À la fin de 2023, Porsche a annoncé qu’elle prévoyait intégrer le port de recharge de la norme de recharge nord-américaine (NACS) à ses futurs véhicules dans la région de l’Amérique du Nord. De plus, l’entreprise envisage l’installation d’adaptateurs dans les véhicules existants pour leur donner accès au réseau Supercharger de Tesla en 2025.

Source: Porsche

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