Le marché québécois des véhicules électriques, jadis un terrain de jeu stratégique pour Tesla, est en chute libre. Selon des données de la SAAQ obtenues par Le Devoir, seulement 524 Tesla ont été immatriculées au Québec au premier trimestre 2025, une baisse de 87 % par rapport à la même période en 2024.

Le Québec, ancien bastion de Tesla

Le Québec, reconnu comme chef de file canadien en électrification des transports, offrait jusqu’à récemment un terreau fertile pour Tesla : subventions généreuses, électricité bon marché, population technophile. Résultat : la province représentait une part significative du marché nord-américain de Tesla. Mais cette époque est bel et bien révolue.

Subventions gelées, image écornée et guerre commerciale

Plusieurs facteurs expliquent cette dégringolade :

  • La pause des programmes d’incitatifs fédéraux et provinciaux en début d’année a provoqué une ruée vers les livraisons, mais aussi un vide commercial.

  • Tesla a été accusée d’avoir soumis des milliers de demandes douteuses pour 42 millions de dollars en subventions. L’entreprise a plaidé qu’il s’agissait d’un simple retard administratif.

  • L’image de marque de Tesla se détériore rapidement au Canada, particulièrement au Québec, notamment en raison de l’appui public d’Elon Musk à Donald Trump, qui a récemment évoqué l’annexion du Canada.

Tesla se retire du marché canadien… temporairement?

Selon des sources bien informées, Tesla ne prévoit pas importer de nouveaux véhicules au Canada pour le deuxième trimestre 2025, évoquant une demande trop faible. La décision intervient après une hausse des prix en avril, causée par l’imposition de tarifs douaniers de 25 % sur les véhicules américains, en riposte à la guerre commerciale déclenchée par Trump.

Une chute plus sévère que celle du marché des VÉS

Bien que le marché canadien des véhicules électriques ait reculé de 45 % au T1 en raison de l’arrêt des subventions, la baisse de Tesla est presque deux fois plus importante, révélant des problèmes bien plus profonds que le simple retrait des incitatifs.

Tesla en piteux état au nord de la frontière

La situation de Tesla au Canada est pire qu’en Europe. Même si le Canada n’est pas son plus gros marché en volume, son taux d’adoption de véhicules électriques dépasse celui des États-Unis et a longtemps été un moteur stratégique pour la marque. Tant que les tarifs punitifs et les tensions politiques persisteront, l’avenir de Tesla au Canada – et au Québec – demeure sombre.

Avec des renseignements d’Electrek

Le texte Tesla s’effondre au Québec : une chute de 87 % des ventes au premier trimestre 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Tesla s’apprête à lancer sa plateforme de transport autonome Robotaxi, et tout indique que ce sera le 12 juin prochain à Austin. C’est ce que révèle un rapport exclusif de Bloomberg, appuyé quelques heures plus tard par Elon Musk, qui a confirmé sur X (anciennement Twitter) que des Model Y autonomes roulent déjà sans conducteur sur les routes publiques texanes depuis quelques jours.

Un lancement plus rapide que prévu

Le projet Robotaxi avait été évoqué durant l’appel aux investisseurs du premier trimestre, Musk promettant un lancement « avant la fin juin ». Or, selon Bloomberg, le déploiement commercial pourrait débuter dès le 12 juin, bien que cette date reste sujette à changement. Il s’agirait du premier service de transport sans conducteur actif à grande échelle pour Tesla, devançant ses concurrents comme Waymo et Cruise sur ce terrain technologique.

Des Model Y… sans personne au volant

Selon Bloomberg, Tesla a récemment commencé à tester ses VUS Model Y modifiés sur les routes d’Austin sans personne derrière le volant. Un ingénieur de Tesla prend place à bord comme passager, tandis que le véhicule fonctionne de manière totalement autonome – sans intervention humaine ni contrôle à distance. Jusqu’ici, les tests impliquaient toujours un conducteur de sécurité. Cette fois, ce sont des employés de Tesla qui ont servi de clients lors des essais internes.

Musk : des tests sans incident

Dans un message sur X, Musk a confirmé que les tests avaient débuté un mois plus tôt que prévu, et qu’aucun incident n’avait été rapporté jusqu’ici. Il a également mentionné que Tesla prévoit de tester la livraison autonome de véhicules neufs, du centre de production jusqu’au client final – une première. Reste à voir comment Tesla traitera les risques de dommages en cours de route.

Aucune date officielle… mais beaucoup d’indices

Fidèle à son style flou, Musk n’a pas confirmé officiellement la date du 12 juin, ni expliqué si le service sera accessible à tous ou sur invitation. À un internaute qui lui demandait s’il pourrait essayer un trajet sans conducteur en juin, Musk a simplement répondu : « sure ».

Les tests s’étendent à la Californie

Des observations récentes indiquent que Tesla teste également ses robotaxis en Californie, notamment avec des Model Y portant un numéro TCP, signe que Tesla détient une licence d’exploitation de service rémunéré dans cet État.

Conclusion

Si tout se déroule comme prévu, Tesla s’apprête à bouleverser le monde du transport urbain dès le mois prochain. Le Robotaxi, longtemps rêvé par Elon Musk, est en passe de devenir réalité sur les routes d’Austin… et bientôt ailleurs.

Avec des renseignements d’Auto evolution

Le texte Tesla Robotaxi : lancement prévu le 12 juin à Austin, au Texas provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

• Lexus a réservé le nom de LBX auprès des autorités américaines.

Les réservations de noms effectuées par les constructeurs auprès de l’Office américain des brevets et des marques (USPTO : United States Patent and Trademark Office) peuvent être significatives, ou pas du tout. Cela pourrait présager l’arrivée éventuelle d’un modèle, ou du moins nous indiquer que la compagnie réfléchit à la chose. Pour un fabricant, la réservation d’un nom lui évite aussi de se le faire piquer.

Avec le nom LBX qui vient d’être réservé par Lexus du côté des États-Unis, on peut espérer une suite intéressante. La nouvelle de la réservation a été rapportée par le site Justia Trademarks.

Le LBX est un petit VUS que la compagnie commercialise du côté européen et sur d’autres marchés. Il est basé sur la Yaris vendue là-bas et met à profit son moteur 3-cylindres de 1,5 litre qui, avec sa configuration hybride, propose 134 chevaux et 137 lb-pi de couple.

Le Lexus LBX (Europe)
Le Lexus LBX (Europe) | Auto123.com

Si jamais Lexus nous proposait ce modèle, il serait très étonnant de retrouver cette configuration. Cependant, la variante LBX Morizo RR est éeuipée du 3-cylindres turbo de 1,6 litre de la variante GR, un bloc qui offre une puissance de 300 chevaux et un couple de 295 lb-pi. Si jamais on devait voir un modèle, ça pourrait être celui-là.

Évidemment, nous sommes dans la plus grande des spéculations, mais il est permis de rêver, surtout que lors d’un événement tenu la semaine dernière au Texas, on a vu Toyota présenter des modèles ayant plus de caractère, et même introduire l’approche GR Sport, qui va venir ajouter un peu de chien à certains produits.

Bref, vous comprenez un peu pourquoi la réservation de ce nom du côté des États-Unis suscite de l’intérêt. On ne retiendra pas notre souffle, mais ce serait une belle surprise.

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Le texte Lexus réserve le nom LBX pour l’Amérique du Nord provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ford procède à un rappel massif de 1 075 299 véhicules aux États-Unis, ainsi que de 159 135 modèles au Canada, en raison d’un problème logiciel qui peut empêcher la caméra de recul d’afficher correctement l’image qu’elle capte à l’arrière.

Selon la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) américaine, l’équivalent de Transports Canada, cette défaillance augmente les risques de collision lors des manœuvres en marche arrière.

Modèles touchés : du F-150 à la Mustang

Le rappel concerne une vaste gamme de modèles Ford et Lincoln des années 2021 à 2025 :

Ford

  • – Bronco (2021-2024)
  • – F-150 (2021-2024)
  • – Edge (2021-2024)
  • – Escape (2023-2024)
  • – Ranger (2024)
  • – Expedition (2022-2024)
  • – Transit (2022-2024)
  • – Mustang (2024)
  • – F-Series F-250 à F-600 (2022-2024)
  • – Mach-E (2021-2023)

Lincoln

  • – Corsair (2023-2024)
  • – Nautilus (2021-2023)
  • – Navigator (2022-2024)

Le Lincoln Corsair
Le Lincoln Corsair | Auto123.com

Le problème

Le défaut est attribué à un bogue dans le module d’interface du protocole d’accessoires (APIM), qui agit comme le système d’exploitation du tableau de bord, contrôlant les applications, la navigation et surtout l’image de la caméra de recul. En cas de défaillance, l’image peut geler, ne pas être synchronisée avec la manœuvre ou ne pas s’afficher du tout.

La solution

Ford prévoit de corriger le problème gratuitement par mise à jour logicielle sans fil par transmission hertzienne. Toutefois, la solution ne sera disponible qu’au troisième trimestre de 2025, selon les documents de la NHTSA.

D’ici là, une première lettre d’avis sera envoyée aux propriétaires d’ici le 16 juin 2024, suivie d’une seconde communication une fois que le correctif sera prêt.

Sécurité en marche arrière : vigilance requise

Ce rappel soulève des préoccupations majeures en matière de sécurité routière, particulièrement pour les conducteurs qui se fient sur la caméra de recul pour effectuer leurs manœuvres. En attendant la mise à jour, la prudence est de mise lors des stationnements et déplacements en marche arrière.

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Le texte Ford rappelle plus d’un million de véhicules pour un problème de caméra de recul provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ceux qui souhaitent faire l’acquisition d’une Toyota GR Corolla savent que les temps d’attentes sont longs. La demande est bonne pour la sportive du constructeur japonais, ce qui représente une bonne nouvelle pour le fabricant.

Cependant, si les délais d’attente sont trop longs, certains consommateurs pourraient décider de regarder ailleurs. Pour éviter la prolifération de tels scénarios, Toyota a pris la décision de déplacer la production de GR Corolla vers l’Angleterre. Les unités qui seront produits là-bas seront destinés au marché nord-américain, selon ce que rapporte le site Reuters.

Notez que c’est une partie de la production qui est déplacée vers le Japon et non l’entièreté du volume de production. Toyota investirait 56 millions USD pour ajouter une chaîne de montage à l’usine de Burnaston, qui ne fonctionne présentement pas à 100 % de sa capacité.

La Toyota GR Corolla
La Toyota GR Corolla | Auto123.com

En ce moment, toutes les GR Corolla sont assemblées à l’usine Toyota de Motomachi, à Toyota City, au Japon. La production ne pouvait pas être accrue là-bas.

Toujours selon ce qui est rapporté, la production des GR Corolla en Angleterre commencerait au milieu de l’année 2026. La forte demande en modèles hybrides aux États-Unis expliquerait pourquoi Toyota ne pouvait pas déplacer la production de la GR Corolla aux États-Unis.

Et avec l’épineuse question des tarifs douaniers américains, Toyota, comme chaque entreprise, doit bien calculer où elle produit chaque modèle pour minimiser les pertes attendues en raison de ces droits de douane. Cela dit, les sources qui se sont confiées à Reuters auraient mentionné que Toyota n’avait pas l’intention d’augmenter les prix de la GR Corolla, ce qui signifie qu’elle absorberait les frais. En raison de l’entente signée entre le Royaume-Uni et les États-Unis, ces derniers sont présentement à 10 %.

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Le texte Toyota déplace la production de nos GR Corolla du Japon vers l’Angleterre provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

L’ambitieux partenariat entre Amazon et Stellantis visant à transformer l’expérience à bord des véhicules grâce à une plateforme logicielle connectée est en train de s’éteindre tranquillement, ont confirmé les deux entreprises au site Reuters.

Le projet SmartCockpit, lancé en 2022, promettait de faire de l’habitacle une véritable extension de la maison, avec la détection du conducteur, la personnalisation du système de climatisation, des réglages de navigation, et même le contrôle de la domotique. Mais comme plusieurs initiatives technologiques des constructeurs traditionnels, le projet cale devant la complexité du développement logiciel automobile.

Un rêve de cockpit connecté qui s’estompe

Lors de son lancement, Carlos Tavares, alors PDG de Stellantis, voyait dans le SmartCockpit un outil pour faire de ses véhicules l’endroit « le plus convoité, même à l’arrêt ». Amazon y voyait un tremplin vers d’autres partenariats automobiles.

Mais depuis le départ de Carlos Tavares, et avec la nomination cette semaine d’Antonio Filosa à la tête du groupe, les priorités semblent avoir changé, d’autant plus que le titre de Stellantis a chuté de 40 % en 2024, plombé par des ventes nord-américaines anémiques.

Le projet de cockpit intelligent entre Amazon et Stellantis prend fin | Auto123.com

L’impasse des vieux constructeurs face au logiciel

L’expérience démontre une fois de plus que les constructeurs traditionnels peinent à intégrer des systèmes numériques de nouvelle génération. Tandis que des firmes plus modernes comme Tesla et BYD innovent à vitesse grand V, Stellantis doit composer avec des dizaines de modèles répartis sur 14 marques, une chaîne d’approvisionnement complexe et une architecture logicielle peu uniforme.

Même Ford a récemment mis fin à son architecture électrique de nouvelle génération, évoquant des coûts excessifs. De leur côté, GM et Volkswagen tentent de recruter des talents au sein de la Silicon Valley pour rattraper leur retard.

Une fin prévisible, mais sans fracas

Aucune raison précise n’a été donnée pour justifier la fin du projet SmartCockpit, si ce n’est une volonté mutuelle de se concentrer sur des solutions plus alignées avec les nouvelles stratégies de chaque entreprise. Le lien entre Amazon et Stellantis demeure toutefois actif avec d’autres initiatives.

La voiture du futur devra peut-être attendre encore un peu avant de devenir aussi intelligente qu’on l’espérait.

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Le texte Le projet de cockpit intelligent entre Amazon et Stellantis prend fin provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les hausses de prix en milieu d’année n’étaient pas une pratique courante il y a quelques années, mais on voit de plus en plus de fabricants y aller de réajustements à l’arrivée de l’été.

Ajoutez Subaru à cette liste du côté des États-Unis.

Évidemment, avec le contexte actuel, marqué par les tarifs douaniers de Donald Trump, il est difficile de ne pas établir de liens entre les hausses annoncées et la réalité sur le terrain. Subaru est prudente avec ces propos. Un porte-parole de la marque mentionne que les ajustements sont le reflet des « conditions actuelles du marché ».

On vous laisse tirer vos propres conclusions, mais en voyant la hausse des prix avec certains modèles, il est difficile de ne pas lier les deux réalités. Concrètement, les produits américains de Subaru vont voir leur prix grimper de 750 $ à 2055 $, selon le modèle.

Un réajustement de 2000 $ en milieu d’année, ce n’est pas habituel.

Nous avons contacté Subaru Canada afin de savoir si des hausses peuvent être attendues au pays. Nous mettrons cette nouvelle à jour lorsque nous aurons eu une réponse de la compagnie.

Le Subaru Forester e-Boxer, au Salon de Chicago 2025
Le Subaru Forester e-Boxer, au Salon de Chicago 2025 | Auto123.com

Au site Car and Driver, la compagnie a mentionné ceci concernant les hausses de prix : « Les changements ont été effectués pour compenser l’augmentation des coûts tout en maintenant une proposition qui est solide pour le client en fait de valeur. Les prix Subaru ne sont pas basés sur le pays d’origine de ses produits. »

Concernant les augmentations, certaines sont modestes, d’autres moins, et seul le modèle tout électrique Solterra est épargné. Voici le détail :

  • – Crosstrek / Impreza – 750 $ US
  • – Ascent – 2055 $ US
  • – BRZ / WRX – 2000 $ US
  • – Outback – 1715 $ à 1820 $ US
  • – Forester – 1075 $ à 1600 $ US

Il est intéressant de noter que Ford a aussi augmenté les prix de trois de ses modèles au début du mois. C’était cependant très clair que c’était en raison des tarifs douaniers imposés par Donald Trump.

En bout de piste, qu’importe la raison, c’est le consommateur qui devra payer plus.

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Le texte Subaru augmente le prix de presque tous ses modèles aux États-Unis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Toyota, longtemps champion incontesté des motorisations hybrides, s’est retrouvé en retrait dans la course aux véhicules 100 % électriques. Après le lancement pour le moins tiède du bZ4X, plombé par une autonomie moyenne et une recharge capricieuse par temps froid. Le constructeur japonais revient avec une version profondément remaniée. Rebaptisé simplement Toyota bZ 2026, ce nouveau modèle veut effacer les erreurs du passé en proposant un VUS électrique bien plus convaincant, moderne et adapté aux réalités climatiques canadiennes. Toyota passe en mode « rattrapage » avec le bZ 2026, une refonte majeure de son VUS électrique après le faux départ du bZ4X. Nouveau nom plus digeste, autonomie en hausse, recharge rapide, compatibilité NACS (merci Elon), préchauffage de batterie, et jusqu’à 338 chevaux en version AWD. Bref, ce n’est pas un simple lifting : c’est un reboot complet.

Un style revu

La première chose qui frappe, c’est son design revu en profondeur. Le bZ 2026 arbore une nouvelle silhouette plus affirmée, avec une calandre en forme de museau de requin-marteau qui donne au véhicule un air déterminé, sans verser dans l’exagération. Les ailes avant redessinées, les nouveaux phares à DEL et les proportions équilibrées contribuent à une signature visuelle distincte, moderne et élégante, à mi-chemin entre le concept urbain et le véhicule d’aventure.

Un habitacle plus zen

À l’intérieur, le bZ 2026 marque des points avec un habitacle épuré mais richement équipé, dominé par un écran central de 14 pouces qui sert de cerveau numérique à bord. L’ambiance est personnalisable grâce à un éclairage d’ambiance 64 couleurs, et les finitions, bien que discrètes, témoignent d’un souci de confort et de raffinement. Les occupants bénéficient d’un espace généreux à l’avant comme à l’arrière, avec une panoplie d’éléments de confort allant des sièges chauffants et ventilés au volant chauffant, en passant par un chauffage radiant aux pieds pratique pour nos hivers. L’option JBL avec ses 9 haut-parleurs, un amplificateur HiD de 800 watts et un caisson de basse de 9 pouces ajoute une touche de prestige pour les audiophiles.

Tout ce qu’il faut pour rester branché

Côté technologie, le Toyota bZ 2026 est à la hauteur des attentes les plus modernes. Commandes vocales via l’assistant « Bonjour Toyota », compatibilité sans fil avec Apple CarPlay et Android Auto, navigation infonuagique basée sur les données Google, et gestion complète du véhicule via une application mobile qui fait office de clé numérique : l’environnement numérique est fluide, intuitif et omniprésent. Les services connectés tels que Safety Connect et Remote Connect permettent de surveiller, gérer et même partager l’accès au véhicule à distance, une fonctionnalité idéale pour les familles ou les flottes.

Deux options de puissance

Sous le capot, ou plutôt sous le plancher, la motorisation a été repensée pour répondre à une clientèle plus exigeante. La version à traction offre 168 chevaux, suffisants pour une conduite urbaine apaisée. Mais c’est la déclinaison à rouage intégral qui fait tourner les têtes avec une cavalerie de 338 chevaux, propulsant le bZ de 0 à 100 km/h en 5,1 secondes. Cette montée en puissance s’accompagne d’une meilleure efficacité grâce à de nouveaux eAxle, à l’introduction de semiconducteurs en carbure de silicium et à un système de gestion thermique plus avancé, incluant un échangeur de chaleur eau-eau et une pompe à chaleur. Côté autonomie, Toyota propose deux batteries : une de 57,7 kWh pour environ 378 km et une de 77 kWh permettant jusqu’à 460 km en version AWD XLE. Le passage à un chargeur embarqué de 11 kW accélère la recharge domestique, tandis que le port NACS et une capacité de recharge rapide jusqu’à 150 kW permettent de passer de 10 à 80 % en 30 minutes dans des conditions idéales. Le préconditionnement automatique de la batterie, essentiel pour les hivers québécois, est désormais intégré de série.

Silencieux et confortable

La tenue de route s’en trouve nettement améliorée, notamment grâce à la rigidité accrue de la plateforme e-TNGA et à un centre de gravité abaissé. Le système X-MODE optimise la traction dans des conditions difficiles, tandis que la conduite à une pédale, rendue possible par un freinage régénératif ajustable au volant, renforce le plaisir de conduite au quotidien. Le confort n’est pas en reste, avec une insonorisation soignée et une suspension bien calibrée qui absorbe efficacement les imperfections de la route.

Conclusion

En conclusion, le Toyota bZ 2026 n’est pas une simple mise à jour : c’est un virage clair vers un futur électrique plus sérieux et plus crédible. Toyota a écouté ses clients, corrigé les lacunes de la première génération et propose maintenant un VUS électrique compétitif, adapté au marché nord-américain. Le design est plus convaincant, la technologie est enfin à jour, la motorisation AWD procure de vraies sensations, et les améliorations en recharge et autonomie rendent le modèle pertinent pour un usage quotidien, même par temps froid. Cela dit, tout n’est pas parfait. L’interface multimédia peut demander une période d’adaptation, la version à traction demeure peu enthousiasmante, et l’absence d’un coffre avant est une occasion manquée. Mais globalement, Toyota mérite qu’on lui accorde cette deuxième chance, et cette fois, l’offre est suffisamment solide pour convaincre les sceptiques.

Forces

Autonomie jusqu’à 460 km en AWD
Recharge rapide (150 kW) + port NACS
Intérieur spacieux, bien équipé
Design plus affirmé
Technologie à jour et intuitive
Puissance convaincante en version intégrale

Faiblesses

Interface multimédia un peu complexe au départ
Pas de coffre avant (frunk), dommage

Le texte Toyota bZ 2026 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

James Dean était un acteur anticonformiste promis à un brillant avenir. Son regard mélancolique et ses manières rudes constituaient sa marque de commerce. Mais à l’automne 1955, alors qu’il conduisait sa petite Porsche, un destin funeste attendait cette icône de Hollywood.

Cet acteur de 24 ans aimait les Porsche. Leur silhouette élégante, leur conception pragmatique, leurs performances, tout correspondait au nouveau style de vie que son statut de star hollywoodienne nouvellement acquis lui permettait désormais d’adopter. Car quelques années plus tôt, pour lui, c’était la disette.

Mais voilà qu’au milieu des années 50, les choses ont changé, tout particulièrement à cause de quelques films qui l’ont élevé au rang de célébrité. Un statut engendré par ses rôles marquants dans les films À l’est d’Eden (1955), La fureur de vivre (1955) et Géant (1956).

Ses biographes le décrivent comme un personnage obstiné qui voulait vivre intensément. Écarté des sports extrêmes par ses producteurs, James Dean s’est alors tourné vers la course automobile. Il prend part à des épreuves, parfois avec succès, avec une Porsche 356 Speedster 1500 Super achetée en mars 1955. Elle remplace une MG TD 1953, une voiture d’occasion achetée un peu plus tôt.

Mais dans cette histoire, l’action se déroule vite. En quête d’un peu plus de puissance (et sans doute de griserie), alors qu’il vient de terminer le tournage du film Géant, le 21 septembre 1955, il échange sa Speedster contre une Porsche 550 Spyder. Plus performante, il baptise cette sportive sans compromis Little Bastard (petite bâtarde).

Accro des courses, activité qu’il a dû mettre sur pause durant ce tournage, il souhaite maintenant aller s’éclater un peu en participant à des épreuves organisées à Salinas, les 1er et 2 octobre.

Alors, le 30 septembre 1955, James Dean quitte Hollywood pour s’y rendre. À ses côtés, l’Allemand Rolf Wütherich, son mécanicien, profite du vent qui caresse leur visage. Rolf qui lui avait recommandé de roder sa Spyder avant la course admet que les quelque 500 kilomètres séparant Hollywood de Salinas, plus au nord, conviendront parfaitement.

Avec sa petite biplace à moteur central, qui arbore déjà le numéro 130 sur sa carrosserie argentée, Dean emprunte la route 46, dans la vallée de Cholame Creek. Ce chemin qui serpente à souhait est peu fréquenté. C’est le scénario idéal pour s’amuser avec cette puce musclée. Après tout, son 4-cylindres Boxer qui produit 110 ch permet à cette poids plume (550 kg) d’atteindre 230 km/h, le pied au plancher !

Mais le duo n’atteindra jamais Salinas.

Un peu avant 18 heures, alors que la 550 Spyder approche d’un carrefour, où l’autoroute 41 bifurque vers Fresno, un jeune universitaire de 23 ans nommé Donald Turnupseed leur coupe la route avec la grosse berline Ford 1950 qu’il conduit. La collision est inévitable.

Le jeune acteur rebelle meurt en route pour l’hôpital, alors que son passager qui a subi de graves blessures survivra.

Soixante-dix ans plus tard, la légende de cette vedette perdure grâce, entre autres, à une affiche routière désignant le « Carrefour mémorial James Dean », là où les routes 46 et 41 se croisent. À quelques kilomètres de là, un autre mémorial érigé à Cholame en bordure la route offre un lieu plus substantiel pour s’arrêter quelques instants.

Par ailleurs, après l’accident, certaines anecdotes alimenteront une rumeur qui subsiste à l’effet que la petite Porsche était… maudite ! D’abord, après l’accident, un dénommé William Eschrich achète les restes de la voiture et donne certains éléments de suspension à un pilote amateur, Troy McHenry, qui va mourir peu après dans un accident. Par la suite, George Barris, carrossier bien connu des producteurs de films à Hollywood, achète à son tour des pièces de cette Porsche. Toutefois, elles vont disparaître sans laisser de traces !

Photos : Porsche

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Ram prépare quelque chose de gros et bruyant pour le 8 juin 2025, et les rumeurs les plus folles circulent. Tout porte à croire que le constructeur veut ramener le V8 Hemi dans sa gamme, après un virage électrifié qui a laissé bien des amateurs sur leur faim. Le teaser vidéo publié récemment ne dit pas grand-chose, mais il suffit à enflammer les spéculations : le TRX renaîtrait pour 2026.

Un teaser mystérieux… et évocateur

Dans une courte vidéo diffusée en ligne, Ram affiche : « Faites rugir les moteurs — De grandes choses s’en viennent. 06.08.25 ». On y voit Tim Kuniskis, PDG fraîchement réinstallé chez Ram, en discussion avec Dave Sparks, vedette de l’émission Diesel Brothers. Un personnage en combinaison de pilote de chasse interrompt leur conversation pour prendre un biscuit… étrange, mais intrigant.

Aucun détail technique, aucun visuel de véhicule. Juste une ambiance chargée de tension. Et quand on sait que Ram prévoit de lancer 25 nouveaux modèles ou versions d’ici 18 mois, il y a de quoi s’attendre à quelque chose de majeur.

Le TRX avec V8 Hemi de 5,7 L en route ?

Selon plusieurs sources industrielles, dont des fuites relayées par le YouTuber ButtaDaInsider, un nouveau TRX avec moteur V8 Hemi de 5,7 litres serait déjà en développement pour l’année-modèle 2026. Un retour aux sources qui plairait aux amateurs de performance et de sonorité musclée. On évoque également la possibilité d’un gros diesel haute performance, peut-être avec un nom « préhistorique » dans la lignée du TRX (T-Rex ?).

Ram redonne la parole aux passionnés

Après avoir tenté de tourner la page sur les V8, Ram semble avoir entendu les critiques. Le constructeur pourrait chercher à récupérer sa clientèle de puristes, avec des camions puissants et bruyants — exactement ce que ce teaser semble promettre. Réponse le 8 juin prochain, mais une chose est sûre : quelque chose de sauvage se prépare chez Ram.

Avec des renseignements de carscoops

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