Le Tesla Cybertruck, présenté comme une révolution électrique, rencontre un premier défi important après avoir profité d’un lancement médiatisé. Alors que les commandes semblaient initialement prometteuses, des signaux récents laissent entrevoir un déclin de la demande.

Une pause forcée pour les employés de l’usine d’Austin

Selon un communiqué révélé et partagé par Business Insider, les employés de la chaîne de production du Cybertruck à l’usine Tesla d’Austin, au Texas, ont été informés qu’ils pouvaient rester chez eux pendant trois jours, du 3 au 5 décembre. Bien qu’ils soient rémunérés pour ces jours d’absence, cette décision alimente les spéculations sur une baisse de la demande.

Certains employés, cependant, continueront à travailler selon des ajustements précis, mais Tesla n’a pas fourni de commentaires officiels pour clarifier la situation.

Le Tesla Cybertruck
Le Tesla Cybertruck | Auto123.com

Une production irrégulière depuis plusieurs mois

Depuis la fin du mois d’octobre, plusieurs employés affectés à la ligne de production du Cybertruck ont signalé avoir réalisé des tâches connexes, allant de la formation supplémentaire au nettoyage, au lieu de l’assemblage de véhicules. Cette variabilité dans les horaires s’ajoute à une réduction des heures de travail notée dès avril, lorsque les quarts des travailleurs ont été raccourcis.

Un employé a même déclaré ceci :

« Quand j’ai commencé chez Tesla, il était facile d’avoir des heures supplémentaires. Maintenant, je m’estime chanceux si j’atteins 40 heures. »

Des ventes solides suivies d’un essoufflement rapide ?

Malgré un début prometteur, où le Cybertruck a dépassé ses concurrents tels que le Rivian R1T et le Ford F-150 Lightning, la demande semble s’essouffler. En neuf mois cette année, Tesla aurait vendu et immatriculé moins de 30 000 Cybertruck aux États-Unis, selon les données des groupes Cox Automotive et Kelley Blue Book. Le tout se lit comme suit :

  • • 1er trimestre de 2024 : 5789 unités vendues
  • • 2e trimestre de 2024 : 5769 unités vendues
  • • 3e trimestre de 2024 : 16 692 unités vendues

Si ces chiffres montrent une augmentation au fil des trimestres, le rythme de la production actuel pourrait dépasser la demande, poussant Tesla à ralentir le tout pour éviter une accumulation de stocks dans ses centres de livraison.

Une stratégie à ajuster ?

Le passage aux modèles qui n’appartiennent pas à la « Foundation Series », plus abordables, avec une réduction d’environ 27 000 CAD, semble avoir temporairement soutenu les ventes. Cependant, Tesla aurait déjà contacté des clients ayant réservé leurs véhicules en 2023, suggérant que l’arriéré tant vanté pourrait ne pas être aussi important qu’annoncé.

Quel avenir pour le Cybertruck ?

Alors que le quatrième trimestre de 2024 s’annonce déterminant, il reste à voir si Tesla pourra maintenir son élan ou devra s’adapter davantage. Une chose est certaine : le Cybertruck continue de polariser les opinions, tant sur la route que dans l’industrie automobile.

Le Tesla Cybertruck, trois quarts arrière
Le Tesla Cybertruck, trois quarts arrière | Auto123.com

Contenu original de auto123.

Le texte Tesla Cybertruck : des employés renvoyés chez eux provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Genesis frappe un grand coup dans le monde du sport automobile avec le lancement de son équipe Genesis Magma Racing et de sa toute nouvelle voiture de course, la GMR-001. En s’engageant dans les championnats d’endurance les plus prestigieux, la marque vise non seulement la victoire, mais aussi une place de choix parmi les constructeurs de performance.

Une entrée remarquée en endurance

Présentée aujourd’hui, la GMR-001 est conçue selon les règles de la catégorie LMDh, ce qui la rend admissible pour les classes GTP de l’IMSA SportsCar Championship et Hypercar du FIA World Endurance Championship. Genesis prévoit de débuter sa campagne en 2026 dans le championnat FIA et en 2027 en IMSA.

La Genesis GMR-001, de profil
La Genesis GMR-001, de profil | Auto123.com

Avec cette voiture, Genesis affrontera des géants tels qu’Acura, Cadillac, Ferrari, Porsche et Toyota, avec pour objectif des victoires aux prestigieuses courses des 24 Heures de Daytona et aux 24 Heures du Mans.

Une équipe de pilotes d’élite

Pour sa première saison, Genesis Magma Racing alignera deux voitures par série. Parmi les premiers pilotes confirmés figurent André Lotterer, vainqueur du Mans et actuel champion du monde d’endurance, et Pipo Derani, spécialistes des courses d’endurance. Ces deux pilotes contribueront également au développement de la GMR-001 jusqu’en 2025.

Détails techniques et influence pour l’avenir

La GMR-001 utilise un châssis signé Oreca, l’un des quatre fournisseurs homologués pour la catégorie LMDh. Genesis garde le mystère sur le groupe motopropulseur, mais selon les règles LMDh, la puissance maximale est limitée à 670 chevaux.

Le concept Genesis X Gran Racer Vision Gran Turismo, au Salon de Busan 2024, en Corée du Sud
Le concept Genesis X Gran Racer Vision Gran Turismo, au Salon de Busan 2024, en Corée du Sud | Auto123.com

Le prototype Genesis X Gran Racer Vision Gran Turismo, dévoilé en juin, présente une configuration hybride similaire à celle utilisée avec de nombreux véhicules LMDh et pourrait influencer directement les futures créations de la sous-marque Magma.

Un projet ambitieux supervisé par Hyundai Motorsport

L’équipe sera dirigée par Cyril Abiteboul, un vétéran de la Formule 1. Elle bénéficiera également du soutien de IDEC Sport, une équipe française réputée. Dès 2025, Genesis Magma Racing alignera une LMP2 dans l’European Le Mans Series pour préparer son entrée en LMDh. Parmi les pilotes confirmés pour cette campagne, on retrouve Logan Sargeant, récemment libéré de Williams en F1, Jamie Chadwick et Mathys Jaubert.

La performance au cœur de la stratégie

Le programme LMDh s’inscrit dans une stratégie plus large visant à promouvoir la sous-marque Magma, développée comme une réponse à BMW M et Mercedes-AMG. Genesis prévoit de lancer une version Magma pour chaque modèle de sa gamme, avec les améliorations notables suivantes :

• Puissance accrue

• Suspension optimisée pour la piste

• Aérodynamisme fonctionnel

La légende du sport automobile Jacky Ickx contribue également au développement des modèles Magma.

Jacky Ickx et Luc Donckerwolke, lors de l'introduction de la sous-marque Magma, lors du Salon de l'auto de New York en 2024
Jacky Ickx et Luc Donckerwolke, lors de l’introduction de la sous-marque Magma, lors du Salon de l’auto de New York en 2024 | Auto123.com
La Genesis GMR-001, trois quarts arrière
La Genesis GMR-001, trois quarts arrière | Auto123.com
La Genesis GMR-001, avant
La Genesis GMR-001, avant | Auto123.com

Contenu original de auto123.

Le texte Genesis se lance dans la course d’endurance provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Des hybrides d’abord, des prolongateurs d’autonomie ensuite

Genesis Motors revoit sa stratégie d’électrification. Contrairement à son plan initial qui prévoyait uniquement des véhicules électriques après 2025, la marque introduira des motorisations hybrides dans ses modèles thermiques dès l’année prochaine. Ces hybrides seront suivis par des véhicules à prolongateur d’autonomie (EREV), une technologie particulièrement prometteuse pour le marché nord-américain.

Les VUS d’abord

Le premier modèle hybride de Genesis sera basé sur le populaire GV70 et est attendu dès l’année prochaine. La marque cible d’abord les VUS, segments prioritaires pour les consommateurs. Les EREV, eux, arriveront en 2027, débutant avec le GV70, qui deviendra le premier modèle Genesis à proposer quatre types de motorisation : thermique, hybride, prolongateur d’autonomie et électrique pur.

Le prolongateur d’autonomie (EREV) ?

Les EREV combinent une petite batterie électrique et un moteur thermique utilisé uniquement pour recharger la batterie, offrant ainsi une autonomie prolongée. Contrairement aux hybrides classiques, ils sont perçus par les régulateurs nord-américains comme proches des véhicules électriques. Hyundai estime que ses EREV pourront atteindre jusqu’à 900 km d’autonomie (batterie et réservoir plein). Leur coût de fabrication est réduit grâce à une batterie plus petite, ce qui les rendra financièrement attractifs, notamment pour les marchés américains et chinois.

Production locale et ambition mondiale

Le GV70 hybride sera fabriqué en Alabama, tandis que l’EREV sera produit dans l’usine de Hyundai en Géorgie, aux côtés des modèles Ioniq 5 et Ioniq 9. Genesis prévoit de vendre 40 % de véhicules hybrides d’ici 2028, soit environ 1,33 million d’unités à l’échelle mondiale.

Une vision élargie de l’électrification

En offrant des options allant de la motorisation thermique à l’électrique pur, Genesis élargit son attractivité pour répondre à une demande de marché diversifiée. Cette approche pourrait également s’étendre aux marques Hyundai et Kia, consolidant ainsi la position du groupe sur différents segments de l’électrification. Alors que certains constructeurs comme Porsche ou Mercedes-Benz revoient eux aussi leur stratégie EV, Genesis confirme une tendance : la voie vers l’électrification totale passera par une gamme diversifiée et progressive, répondant aux réalités du marché.

Avec des renseignements de Inside EV’S

Le texte Un changement de stratégie électrique chez Genesis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les ventes de véhicules neufs au Canada ont atteint leur plus haut niveau pour un mois de novembre depuis 2017, selon DesRosiers Automotive Consultants (DAC). Avec une augmentation de 8,8 % par rapport à l’année précédente, environ 156 000 unités ont été vendues, marquant une forte reprise du marché cet automne. DAC souligne que cette croissance est partiellement attribuable à une journée de vente supplémentaire en novembre cette année par rapport à 2022.

Les meilleures ventes depuis 2017

En novembre 2017, les ventes avaient culminé à 159 072 unités, contribuant à un record annuel de 2,04 millions de véhicules vendus. Bien que les chiffres de 2023 restent inférieurs à ceux d’avant la pandémie, la forte demande cet automne a permis de dépasser les ventes des trois dernières années. Andrew King, associé directeur chez DAC, a confirmé que les ventes annuelles de 2023 ont déjà surpassé les 1,72 million de l’année précédente, avec un mois restant à comptabiliser.

Prévisions pour 2024 et facteurs de croissance

Selon AutoForecast Solutions, les ventes canadiennes pourraient atteindre 1,89 million en 2024. L’assouplissement des problèmes liés aux chaînes d’approvisionnement a été un facteur clé dans la reprise des ventes cette année.
“C’est incroyable de voir ce qui se passe lorsque les véhicules sont réellement disponibles à la vente,” a déclaré King.

Performances par marque : gagnants et perdants

Marques performantes

  • Honda : Meilleur résultat parmi les 10 marques rapportant des chiffres mensuels, avec une augmentation de 28 % à 11 298 unités. Cependant, les ventes d’Acura, sa marque de luxe, ont chuté de près de 8 %, ce qui a réduit le total de Honda Canada à 12 332 unités (-24 %).
  • Hyundai : Hausse de 21,8 % à 11 521 unités, tandis que sa marque Genesis a progressé de 16,9 % à 633 unités.

Marques en difficulté

  • Toyota : Les ventes de la marque ont reculé de 9,3 % à 16 565 unités. Toutefois, Lexus, sa division luxe, a enregistré une hausse de près de 3 % à 2 504 unités. Globalement, Toyota Canada a connu une baisse de 7,9 % à 19 069 unités.

Les véhicules électrifiés gagnent en popularité

Malgré la baisse globale, Toyota a rapporté une augmentation de 21,4 % des ventes de véhicules électrifiés en novembre, atteignant un record de 10 785 unités. Ces véhicules représentent désormais 56,6 % des ventes mensuelles de Toyota Canada, reflétant une demande croissante pour des options plus durables.

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

Le texte Novembre : Mois record pour les ventes automobiles au Canada depuis 7 ans provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

En juin 2023, Telo, un énième nouveau constructeur californien de VÉ, faisait miroiter l’arrivée prochaine de sa camionnette électrique nouveau genre : la MT1. Bien qu’elle n’ait toujours pas atteint le stade de la production, un communiqué nous apprenait hier que sa version d’entrée de gamme coûterait 41 520 $ US.

À ce prix-là, l’acheteur obtiendra une camionnette à deux roues motrices dotée d’une motorisation de 300 ch et d’une batterie d’une capacité inconnue permettant de parcourir près de 420 kilomètres.

Le constructeur offre également une version bimoteur à quatre roues motrices et 500 ch à partir de 46 019 $. De plus, une batterie de plus grande capacité (106 kWh) offrant une autonomie supérieure à 560 kilomètres figure parmi les options et ajoute 3 980 $ US aux prix des deux versions.

En outre, la version à quatre roues motrices aurait une charge utile de 726 kg (1 600 lb) et une capacité de remorquage de 3 000 kg (6 600 lb).

Contrairement à Rivian et Tesla qui ont choisi de lancer des camionnettes grand format destinées à rivaliser avec les F-150 Lightning, Silverado EV et 1500 REV, Telo a plutôt choisi de développer un véhicule de taille compacte à vocation urbaine; une camionnette à quatre portes et cinq places qui a la même empreinte au sol qu’une Mini Cooper !

Longue de 3,9 mètres, sa carrosserie monocoque a néanmoins une caisse très polyvalente. Elle permet, en effet, de transporter une planche de surf ou des feuilles de contre-plaqué de 4×8 dans une caisse dont la surface utile peut être modulée en abaissant le hayon arrière et en exploitant l’espace arrière de l’habitacle, auquel on accède grâce à une cloison de type « Midgate », un concept novateur qu’avait imaginé General Motors pour la Chevrolet Avalanche 2001.

Dans son communiqué, Telo promet un lancement médiatique pour la MT1 au début de 2025. Une camionnette sur laquelle ont sait encore très peu de chose.

Entre-temps, le constructeur se targue d’avoir reçu plus de 3 700 réservations pour sa camionnette depuis qu’il a ouvert son carnet de commandes. Sans doute placées par des automobilistes nostalgiques de l’époque des « p’tites camionnettes japonaises », ces réservations auront été complétées en versant un acompte aussi petit que la MT1 : 152 $ US seulement; un montant qui correspond à sa longueur en pouces !

Photos : Telo

Le texte La camionnette électrique Telo MT1 est offerte à partir de 41 520 $ US provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Une révolution pour les conducteurs de Nissan ARIYA

À partir du 10 décembre, les propriétaires de Nissan ARIYA aux États-Unis et au Canada auront accès à 17 800 Superchargeurs Tesla grâce à l’intégration de ces bornes au sein du réseau de recharge NISSAN ENERGY (NECN). Cette expansion porte le total du NECN à plus de 100 000 bornes publiques aux États-Unis et 25 000 au Canada.

Un adaptateur pour accéder aux Superchargeurs Tesla

Pour utiliser ces bornes, les conducteurs de Nissan devront se procurer un kit adaptateur NACS (norme nord-américaine de recharge), disponible dès maintenant auprès des concessionnaires Nissan au prix de 309,99 CAD. Ce kit sera aussi bientôt accessible en ligne sur Nissan.ca. À noter : À partir de 2025, tous les nouveaux véhicules électriques Nissan destinés aux marchés nord-américains seront équipés d’un port NACS.

Un réseau étendu et diversifié

En plus des Superchargeurs Tesla, le NECN offre l’accès à plusieurs autres réseaux de recharge :

  • Au Canada : ChargeHub, FLO, Shell Recharge, Circuit Électrique, BC Hydro et IVY.
  • Aux États-Unis : Electrify America, Shell Recharge, ChargePoint et EVgo.

Simplification grâce à l’application MyNISSAN

Les propriétaires d’ARIYA peuvent utiliser l’application MyNISSAN pour :

  • Rechercher en temps réel les bornes disponibles.
  • Surveiller l’état de la recharge.
  • Payer directement via un mode de paiement pré-enregistré.

Une simple pression sur un bouton dans l’application suffit pour démarrer une session de recharge sur une station compatible du réseau NISSAN ENERGY.

Exception : Cette fonctionnalité n’est pas encore disponible pour les propriétaires de Nissan LEAF, qui peuvent toutefois rechercher des bornes via l’application NissanConnect EV et Services.

Une étape vers une expérience de recharge simplifiée

Avec cet accès élargi et les nouvelles fonctionnalités de l’application, Nissan renforce son engagement envers une adoption simplifiée des véhicules électriques. L’intégration des Superchargeurs Tesla et la compatibilité future avec le NACS marquent une avancée significative pour les utilisateurs de Nissan en Amérique du Nord.

Le texte Nissan ajoute plus de 17 000 chargeurs à son réseau provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Lexus a confirmé que sa prochaine génération de véhicules électriques, offrant des autonomies nettement supérieures à celles des modèles actuels, arrivera avec un retard. Initialement prévue pour 2026, la production débutera désormais à mi-2027, selon un rapport de NHK.

Un retard pour des technologies avancées

Le développement prolongé de ces modèles a pour objectif l’intégration de technologies de pointe. Lexus a dévoilé un aperçu de cette future génération lors du Salon de l’auto de Tokyo 2023, avec les concepts LF-ZC, un liftback compact, et LF-ZL, un VUS pleine grandeur. Lexus avait alors annoncé que le LF-ZC serait lancé en 2026. Ces modèles utiliseront une nouvelle plateforme modulaire développée par Toyota, intégrant la technologie gigacasting. Ce procédé, popularisé par Tesla, consiste à remplacer l’assemblage de petites pièces soudées par la coulée de quelques grandes sections principales (avant, centre et arrière). Cela simplifie la production tout en augmentant la rigidité des véhicules.

Lexus et Toyota réévaluent leur stratégie électrique

Le retard des nouveaux modèles électriques de Lexus intervient peu après l’annonce par Toyota d’un report pour son VUS électrique à trois rangées, initialement prévu pour 2025 dans l’usine de Kentucky, à 2026. Toyota a également annulé la production de certains VUS Lexus électriques aux États-Unis d’ici 2030, préférant les produire au Japon pour les exporter.

La montée des hybrides freine les EV

Un autre facteur pourrait expliquer ce retard : la demande pour les véhicules électriques montre des signes de ralentissement, tandis que celle pour les hybrides et hybrides rechargeables continue de croître. Toyota envisage désormais de transformer toute sa gamme de véhicules à essence en modèles hybrides. En 2023, Toyota a vendu environ 11,2 millions de véhicules à travers le monde, dont un tiers étaient hybrides et moins de 1 % des EV. Cette proportion devrait augmenter en faveur des hybrides en 2024.

Vers un avenir hybride-électrique ?

Lexus et Toyota semblent ajuster leurs priorités pour répondre aux tendances du marché. En combinant des hybrides efficaces et des EV avancés à venir, ces marques visent à maintenir leur pertinence sur un marché où la transition complète vers l’électrique prend plus de temps que prévu.

Avec des renseignements de Motor Authority

Le texte Lexus retarde la prochaine génération de ses véhicules électriques provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La situation financière de General Motors (GM) en Chine continue de se détériorer, poussant l’entreprise à enregistrer des charges non monétaires dépassant 6,8 milliards CAD liées à une restructuration de son activité locale et à la dépréciation de sa coentreprise avec SAIC Motors.

La fin d’une époque florissante

Anciennement moteur de profit pour GM, le marché chinois est désormais un terrain difficile où la concurrence féroce des constructeurs locaux, soutenus par des subventions gouvernementales, a éclipsé les marques américaines et européennes.

Pour le quatrième trimestre 2024, GM prévoit :

  • 3,6 à 4,0 milliards CAD de coûts de restructuration, liés notamment à la fermeture d’usines et à l’optimisation de son portefeuille.
  • 3,7 milliards CAD liés à la dévaluation de sa coentreprise avec SAIC Motors.

Ces pertes non monétaires affecteront les bénéfices nets de l’entreprise, mais pas ses résultats ajustés, a précisé un porte-parole de GM.

Un marché “intenable” selon Mary Barra

La PDG de GM, Mary Barra, a averti en juillet que le marché chinois devenait insoutenable pour de nombreuses entreprises. En 2024, GM a perdu environ 480 millions CAD dans la région sur les trois premiers trimestres. Le constructeur a vu ses ventes s’effondrer de 59 % sur les 11 premiers mois de l’année, avec seulement 370 989 véhicules vendus, contre plus de 3,8 millions pour le leader chinois des véhicules électriques BYD sur la même période. vBarra a promis une réduction significative des stocks chez les concessionnaires et une légère amélioration des ventes d’ici la fin de l’année, mais la tâche s’annonce difficile dans un contexte de guerre des prix et de domination des marques locales.

Restructuration et avenir incertain

Malgré ces difficultés, GM ne prévoit pas de nouveaux investissements en liquidités pour réorganiser sa coentreprise. Cette stratégie vise à éviter un effondrement financier, mais l’absence de détails sur la restructuration laisse planer des incertitudes. De son côté, Volkswagen, également en difficulté, renforce ses partenariats locaux pour compenser ses ventes déclinantes, tandis que Ford transforme sa présence en Chine en hub d’exportation. Certains analystes conseillent toutefois aux constructeurs américains de se retirer du marché chinois, jugé trop risqué.

Une concurrence locale redoutable

Alors que GM et d’autres acteurs internationaux peinent à s’imposer, des marques chinoises comme BYD ou Xpeng gagnent du terrain grâce à leurs véhicules électriques et à une technologie avancée. Ces entreprises bouleversent le marché mondial, forçant les géants historiques à revoir leurs stratégies.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte Une restructuration coûteuse de 6,8 milliards pour GM en Chine provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le journal de Montréal publie ce matin un article intéressant sur les taux d’intérêt avantageux en ce moment au Québec pour les véhicules électriques. L’année 2024 se termine sur une abondance sans précédent de modèles électriques au Québec. En plus d’avoir faits des réserves, les concessionnaires du Québec ont hérité de pleins de modèles invendus dans les provinces frontalières Avec une quarantaine de nouveaux modèles lancés cette année, les consommateurs ont maintenant accès à une gamme variée qui touche tous les segments, des voitures économiques aux véhicules de luxe. Cependant, cette effervescence survient alors que des changements importants se profilent à l’horizon, notamment la réduction des subventions gouvernementales pour les véhicules électriques (VE) au 1er janvier 2025. La subvention provinciale passera de 7 000 à 4 000 $. Il vous reste donc un mois pour profiter des pleins tarifs pour les subventions.

Des taux d’intérêt intéressants

L’offre de véhicules électriques n’a jamais été aussi bonne. Toutefois, les prix demeurent élevés. Les constructeurs ont donc fait un effort du côté des taux d’intérêt qui sont avantageux chez la plupart des constructeurs. Le Journal de Montréal a fait une compilation des taux les plus avantageux qui se retrouvent sur le marché québécois en ce moment et il faut admettre que les offres sont bonnes et d’ajoute dans certains cas à des rabais sur le prix, rendant l’offre encore plus alléchante.

Tableau des offres actuelles selon le Journal de Montréal

Modèle Taux d’intérêt Rabais supplémentaire
Chevrolet Blazer EV 2024 0% sur 72 mois Aucun
Chevrolet Equinox EV 2024 0% sur 48 mois, 0,99% sur 60 mois Aucun
Chevrolet Blazer et Equinox EV 2025 3,49% sur 60 mois Aucun
Fiat 500e 2024 0% sur 36 mois, 2,99% sur 60 mois 1 000 $
Ford Mach-E 2024 3,99% sur 60 mois 5 000 $
Honda Prologue 2024 1,88% sur 84 mois Aucun
Hyundai Ioniq 5 et 6 2024 0,99% sur 48 mois*, 2,49% sur 84 mois* Aucun
Hyundai Ioniq 6 2025 3,49% sur 72 mois* Aucun
Kia EV6 2024 1,49% sur 48 mois*, 2,49% sur 84 mois* Aucun
Kia Niro EV 2024 2,49% sur 60 mois* Aucun
Kia Niro EV 2025 2,99% sur 60 mois* Aucun
Mazda MX-30 2024 1,50% sur 36 mois, 3,45% sur 72 mois 4 000 $
Nissan Leaf 2024 2,99% sur 48 mois Aucun
Nissan Ariya 2024 0,99% sur 36 mois, 2,49% sur 84 mois 2 000 à 5 000 $
Subaru Soltera 2024 0,99% sur 36 mois, 2,99% sur 84 mois 5 000 $ au comptant
Polestar 2 1,90% sur 84 mois 5 000 $
Tesla 3 et Y* 0% sur 48 mois, 0,99% sur 72 mois Option conduite supervisée à 11 000 $
Toyota bZ4X 2024 0,69% sur 36 mois, 2,69% sur 84 mois 3 500 $
VinFast VF8 2,49% sur 84 mois Aucun
Volkswagen ID4 2024 0,99% sur 60 mois Aucun

* Inclut des rabais fidélité spécifiques au constructeur.

Une opportunité à saisir

Les constructeurs misent sur des incitatifs agressifs pour accélérer les ventes en cette fin d’année, avant l’entrée en vigueur des nouvelles politiques. C’est donc le moment idéal pour les acheteurs prêts à franchir le pas vers l’électrique. Les choix sont nombreux et les offres, variées, mais elles pourraient devenir moins avantageuses en 2025.

Avec des renseignements du Journal de Montréal

Le texte Les taux d’intérêt en baisse sur les véhicules électriques provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

General Motors (GM) a émis un rappel touchant 132 037 camions Chevrolet Silverado HD 2500 et 3500, ainsi que GMC Sierra HD 2500 et 3500. Selon la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA), ce problème concerne les modèles équipés de hayons à déverrouillage électrique, exposés à un dysfonctionnement potentiel.

Pourquoi ce rappel ?

La NHTSA a signalé que l’intrusion d’eau peut provoquer un court-circuit dans le commutateur électronique de déverrouillage du hayon. Ce défaut pourrait entraîner un déverrouillage accidentel du hayon lorsque le véhicule est en stationnement.

Modèles concernés :

  • Chevrolet Silverado HD : 2500 et 3500 (année-modèle 2024)
  • GMC Sierra HD : 2500 et 3500 (année-modèle 2024)

Recommandations de la NHTSA

L’agence américaine de sécurité routière recommande aux propriétaires :

  1. De vérifier que le hayon est correctement fermé et verrouillé avant de conduire.
  2. De surveiller les notifications de rappel envoyées par GM ou leurs concessionnaires.

Mesures de correction par GM

Les concessionnaires de General Motors remplaceront gratuitement les assemblages des commutateurs tactiles extérieurs du hayon sur les véhicules concernés.

Ce rappel concerne pour le moment les États-Unis, mais le même rappel devrait suivre bientôt au Canada.

Impact pour GM

Ce rappel s’ajoute aux récents défis rencontrés par le constructeur américain, notamment en matière de fiabilité et de satisfaction client. Bien que GM n’ait pas encore commenté officiellement ce rappel, l’entreprise s’efforce de corriger rapidement ces problèmes pour éviter des incidents plus graves.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte GM rappelle plus de 132 000 camions pour un problème de hayon provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile