Après avoir laissé Kia faire cavalier seul avec le Tasman (qui est vendu sur d’autres marchés), Hyundai annonce enfin qu’un véritable pickup est en préparation. Plus robuste et de format plus généreux que le Santa Cruz, ce futur modèle vise directement les poids lourds du segment intermédiaire comme les Chevrolet Colorado, Ford Ranger et Toyota Tacoma.

Hyundai sort de l’ombre de Kia

Alors que Kia a déjà lancé son Tasman, Hyundai n’a pas encore tranché sur le type de plateforme qui sous-tendra son pickup.

Don Romano, président de Hyundai Australie (ancien patron de Hyundai et de Mazda Canada), a confirmé que le projet est bel et bien en marche, mais que l’échéancier dépendra de l’architecture choisie : « Le moment du lancement dépendra du type de modèle que nous allons développer. »

Deux voies s’offrent à Hyundai : un châssis à longerons de type carrosserie sur cadre, ou une structure monocoque. Le premier offre des capacités hors route accrues et une meilleure résistance, mais il exige des couts de développement plus élevés et un travail plus complexe.

Le Kia Tasman
Le Kia Tasman | Auto123.com

Une plateforme GM à l’horizon ?

Hyundai pourrait même faire appel au récent partenariat qu’elle a signé avec General Motors pour concrétiser ce projet. Les deux constructeurs ont amorcé une collaboration en 2024 pour développer certains véhicules conjointement. Don Romano ne cache pas que GM fait partie des options explorées :

« On pourrait regarder ce que GM a à offrir. Mon objectif est d’avoir un modèle en production dans les trois prochaines années. »

Cela ouvre la porte à l’utilisation d’une plateforme de camionnette Chevrolet, ce qui accélérerait le processus et permettrait à Hyundai de s’implanter rapidement dans un segment qui reste lucratif, surtout en Amérique du Nord.

L’option électrique ? Pas prioritaire… pour l’instant

Hyundai possède une nouvelle plateforme pour véhicules électriques qui serait capable de supporter une camionnette, mais la demande pour ce type de véhicule demeure marginale — notamment en Australie. Si un pickup 100 % électrique voit le jour, il serait plus gros que le Tasman et vraisemblablement réservé à d’autres marchés comme le nôtre.

Un pickup Hyundai crédible avant 2030 ?

L’engagement est clair, mais la forme reste floue. Cette camionnette ne sera pas une simple déclinaison du Santa Cruz ; il s’agira d’un véhicule utilitaire sérieux, costaud et concurrentiel. Si tout se déroule comme prévu, Hyundai pourrait présenter son pickup d’ici la fin de la décennie, et éventuellement l’offrir au Canada et aux États-Unis.

Contenu original de auto123.

Le texte Hyundai confirme l’arrivée d’un vrai pickup provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Pour exposer aux passionnés le travail des spécialistes en restauration œuvrant chez ses concessionnaires, Porsche Canada lance une quatrième édition du Concours de restauration Porsche Classic. Et cette année, ce concours est centré sur le modèle le plus vendu de la marque à l’échelle planétaire : l’utilitaire Cayenne.

En effet, un communiqué publié par Porsche AG le 13 janvier dernier nous apprend que, des 310 718 véhicules livrés par le constructeur à ses acheteurs en 2024, à la grandeur de la planète, 102 899 étaient des Cayenne, ce qui représente un peu plus de 33 % de l’ensemble de ses ventes.

Le choix du Cayenne pour cette nouvelle édition du concours de restauration va donc de soi. C’est sans oublier que cet événement rappellera sans doute aux consommateurs qu’en mai 2024, le constructeur de Stuttgart a lancé les Cayenne et Cayenne GTS 2025, des versions remises au goût du jour.

Réinventer le Cayenne « E1 »

Cette quatrième édition du concours oppose de nouveau les concessionnaires de la marque d’un océan à l’autre (le constructeur les désigne par l’expression « Centres Porsche »). Leur défi consistera à restaurer et à réinventer l’image d’un Cayenne de première génération. Appelés « E1 » à l’interne, ces véhicules sont millésimés 2003 à 2010.

Les restaurateurs pourront donc transformer l’utilitaire qu’ils restaureront en tout-terrain musclé, en montagnard audacieux ou même en faire un puissant véhicule de course.

Le Centre Porsche Québec, concessionnaire de la marque dans la grande région de la Vieille Capitale, a déjà annoncé son intention de revamper un Cayenne 2004, sans toutefois dévoiler l’orientation qu’ils adopteront. Là comme ailleurs, les réseaux sociaux permettront aux internautes de suivre cette aventure pancanadienne.

La grande finale et le choix du gagnant auront lieu en septembre 2025. Un groupe d’experts évaluera alors les finalistes au Centre d’expérience Porsche de Toronto, qui aura ouvert ses portes en juin.

Déjà la quatrième édition

Le Concours de restauration Porsche Classic de Porsche Canada en est déjà à sa quatrième édition. La première remonte à 2019. Cette année-là, dans le cadre de l’événement Destination Porsche organisé à Mont-Tremblant, le concessionnaire Porsche Centre Saskatchewan avait remporté les honneurs grâce à une restauration méticuleuse effectuée sur une Porsche 356 1964; un ouvrage qui avait nécessité plus de 1 800 heures de travail acharné.

Par la suite, l’édition 2020–2021 avait opposé des spécialistes de douze Centres Porsche de partout au pays. Une fois de plus, le concessionnaire saskatchewanais avait remporté les honneurs, cette fois avec la restauration d’un cabriolet Porsche 356 B 1960 surnommé affectueusement « Louise ». Pour sa part, le Centre Porsche Québec, qui avait également pris part à cette compétition, s’était distingué par le travail de restauration réalisé pour la 911 SC 1982 d’un client.

En septembre 2023, enfin, c’est dans le cadre du prestigieux concours d’élégance de Cobble Beach, en Ontario, que l’issue de la troisième édition de cette compétition a été connue. Parmi les dix Centres Porsche qui y avaient pris part, Porsche Centre Edmonton avait été couronné vainqueur grâce à la restauration d’une 911 Carrera 1987.

Photos : Porsche

Le texte Le Cayenne se retrouve au cœur du Concours de restauration Porsche Classic 2025 de Porsche Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

General Motors frappe un grand coup en dépassant Tesla pour devenir le vendeur numéro un de véhicules électriques (VE) au Canada au premier trimestre de 2025. Avec une hausse de 252 % de ses ventes électriques, GM a vendu 5 750 VE entre janvier et mars, surpassant les résultats canadiens de Tesla.

Chevrolet et Cadillac en tête du peloton

Le Chevrolet Equinox EV s’est imposé comme locomotive des ventes avec 1 892 unités écoulées, suivi du Silverado EV (894 unités). Côté luxe, Cadillac a surpris avec son nouveau modèle d’entrée de gamme, l’OPTIQ, qui a trouvé 615 preneurs, presque autant que le LYRIQ (720 unités). Même les gros calibres ont progressé : les GMC Hummer EV Pickup et SUV ont vu leurs ventes grimper respectivement de 232 % (186 unités) et 88 % (252 unités).

Tesla s’effondre au Québec

Selon des données de l’immatriculation au Québec, Tesla n’a enregistré que 524 véhicules au premier trimestre — un plongeon de 87 % par rapport à 2024. Ce recul s’explique en partie par la suspension temporaire des incitatifs fédéraux et provinciaux à l’achat de VE, notamment le programme iZEV, interrompu en janvier. GM n’a pas été épargné : les immatriculations d’Equinox et de Blazer EV au Québec sont restées modestes, malgré une performance solide à l’échelle nationale.

Un portefeuille électrique qui continue de s’élargir

GM n’a pas l’intention de ralentir. En plus du Cadillac Escalade IQL, du LYRIQ-V et du VISIQ, d’autres modèles verront le jour d’ici la fin de l’année. Le très attendu Chevrolet Bolt EV de nouvelle génération est également prévu pour 2026.

Conclusion : GM prend le volant de la transition électrique

Avec 13 modèles électriques déjà en vente, couvrant presque tous les segments du marché, GM capitalise sur un momentum solide. Après avoir devancé Ford et Hyundai-Kia aux États-Unis en 2024, le constructeur américain s’impose maintenant comme un joueur dominant au Canada.

Avec des renseignements d’electrek

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General Motors frappe un grand coup en dépassant Tesla pour devenir le vendeur numéro un de véhicules électriques (VE) au Canada au premier trimestre de 2025. Avec une hausse de 252 % de ses ventes électriques, GM a vendu 5 750 VE entre janvier et mars, surpassant les résultats canadiens de Tesla.

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Le Chevrolet Equinox EV s’est imposé comme locomotive des ventes avec 1 892 unités écoulées, suivi du Silverado EV (894 unités). Côté luxe, Cadillac a surpris avec son nouveau modèle d’entrée de gamme, l’OPTIQ, qui a trouvé 615 preneurs, presque autant que le LYRIQ (720 unités). Même les gros calibres ont progressé : les GMC Hummer EV Pickup et SUV ont vu leurs ventes grimper respectivement de 232 % (186 unités) et 88 % (252 unités).

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Un portefeuille électrique qui continue de s’élargir

GM n’a pas l’intention de ralentir. En plus du Cadillac Escalade IQL, du LYRIQ-V et du VISIQ, d’autres modèles verront le jour d’ici la fin de l’année. Le très attendu Chevrolet Bolt EV de nouvelle génération est également prévu pour 2026.

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Avec des renseignements d’electrek

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General Motors frappe un grand coup en dépassant Tesla pour devenir le vendeur numéro un de véhicules électriques (VE) au Canada au premier trimestre de 2025. Avec une hausse de 252 % de ses ventes électriques, GM a vendu 5 750 VE entre janvier et mars, surpassant les résultats canadiens de Tesla.

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Un portefeuille électrique qui continue de s’élargir

GM n’a pas l’intention de ralentir. En plus du Cadillac Escalade IQL, du LYRIQ-V et du VISIQ, d’autres modèles verront le jour d’ici la fin de l’année. Le très attendu Chevrolet Bolt EV de nouvelle génération est également prévu pour 2026.

Conclusion : GM prend le volant de la transition électrique

Avec 13 modèles électriques déjà en vente, couvrant presque tous les segments du marché, GM capitalise sur un momentum solide. Après avoir devancé Ford et Hyundai-Kia aux États-Unis en 2024, le constructeur américain s’impose maintenant comme un joueur dominant au Canada.

Avec des renseignements d’electrek

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Le 30 mai 1911, Ray Harroun inscrit son nom dans l’histoire en remportant la toute première édition de l’Indianapolis 500, au volant de la légendaire Marmon Wasp. Avec une vitesse moyenne de 74,6 mi/h (120 km/h), Harroun triomphe sur le célèbre ovale de 2,5 milles fraîchement pavé de briques, une innovation à l’époque.

Carl Fisher : l’homme derrière l’Indy 500

Le génie derrière ce monument du sport automobile est Carl Fisher, visionnaire et fondateur de l’Indianapolis Motor Speedway. En 1909, il transforme la surface en gravier écrasé de son circuit en une piste en briques, la plus grande et la plus moderne des États-Unis à l’époque. Il prend ensuite deux décisions clés : organiser une seule course par an, et y offrir la bourse la plus généreuse du sport motorisé.

Résultat ? Dès sa deuxième édition en 1912, l’Indy 500 devient l’événement sportif d’une journée le mieux payé au monde, attirant les projecteurs médiatiques et les plus grands pilotes.

Une course devenue industrie

En 1911, les voitures de course n’étaient encore que des châssis de voitures de luxe allégés, avec des moteurs géants à quatre cylindres, des freins uniquement à l’arrière, des réservoirs tubulaires, et aucune suspension. Ces bolides rudimentaires, construits avec des planches de bois et des roues en frêne, filaient pourtant à près de 80 mi/h sur une piste glissante d’huile. Mais en seulement une décennie, tout change. En 1922, les voitures sont désormais conçues exclusivement pour la course : carrosseries aérodynamiques, freins hydrauliques aux quatre roues, moteurs V8 en aluminium, et pneus modernes. Harroun, avec sa vitesse de 1911, n’aurait terminé que 10e.

L’Indy 500 : berceau du sport automobile moderne

Grâce à l’Indy 500, la course automobile passe de spectacle dangereux à sport organisé. L’arrivée des constructeurs comme Miller et Duesenberg dans les années 1920 élève encore le niveau. L’Indy devient alors le théâtre des bolides les plus sophistiqués de la planète, attirant les meilleurs talents et une couverture médiatique mondiale. La recette de Carl Fisher — argent, prestige, et spectacle — a façonné ce qui deviendra l’une des compétitions les plus emblématiques et lucratives du sport motorisé.

Avec des renseignements de Days of motoring

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Selon trois sources proches du dossier, les constructeurs espèrent qu’une entente pourrait être conclue dès juin, en échange d’engagements d’investissements significatifs en sol américain.

Des investissements stratégiques pour convaincre Washington

Les constructeurs veulent faire valoir leur contribution à l’économie américaine. Mercedes-Benz prévoit assembler le GLC, son VUS vedette, dans son usine d’Alabama dès 2027. BMW envisage d’augmenter la cadence à son usine de Spartanburg, en Caroline du Sud. Du côté de Volkswagen, sa filiale Audi projette également une production locale, même si cette décision précède l’arrivée de Donald Trump au pouvoir.

BMW, premier exportateur de véhicules en volume depuis les États-Unis, a aussi plaidé auprès de l’Union européenne pour une réduction des tarifs sur les véhicules américains, de 10 % à 2,5 %. Mercedes-Benz, qui exporte massivement depuis son usine américaine, renforce également son argumentaire autour de sa présence manufacturière dans le pays.

Obtenir des crédits d’exportation pour compenser les tarifs

Une piste étudiée serait d’accorder aux constructeurs allemands des crédits pour chaque véhicule exporté à partir des États-Unis. Ces crédits pourraient ensuite servir à réduire les coûts liés aux tarifs imposés sur les importations en provenance d’Europe.

Cette approche aurait pour but d’équilibrer les échanges et de calmer les tensions commerciales. Le journal économique Handelsblatt a été le premier à révéler l’existence de ces négociations. Les trois constructeurs ont refusé de commenter la chose officiellement, mais ils avaient auparavant confirmé des échanges réguliers avec les autorités américaines.

Dans l'usine de BMW à Spartanburg, en Allemagne
Dans l’usine de BMW à Spartanburg, en Allemagne | Auto123.com

L’Europe sur le qui-vive

La Commission européenne cherche également à conclure une entente commerciale pour éviter une escalade tarifaire. Elle a demandé aux grandes entreprises européennes de détailler leurs projets d’investissement aux États-Unis afin de renforcer sa position dans les pourparlers.

Mais Bruxelles prépare aussi des mesures de représailles si les négociations échouent. Une liste de produits potentiels visés, publiée récemment, inclut les véhicules et pièces automobiles, qui représentent une part importante des échanges transatlantiques.

Une pression de plus pour l’industrie allemande

Déjà fragilisée par un marché européen en berne et une concurrence féroce, l’industrie automobile allemande subit une pression supplémentaire. Néanmoins, les investisseurs ont bien accueilli la nouvelle des pourparlers : l’action de BMW a bondi de 3,3 %, celle de Mercedes de 2,6 %, et celle de Volkswagen a brièvement grimpé de 2,2 %.

Dans l'usine de Volkwagen à Puebla, au Mexique
Dans l’usine de Volkwagen à Puebla, au Mexique | Auto123.com

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Le texte Les constructeurs allemands négocient avec Washington pour limiter les tarifs à l’importation provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

• Un nouveau sondage confirme que de moins en moins de consommateurs canadiens considèrent Tesla pour l’achat d’un véhicule électrique.

Depuis le détour d’Elon Musk à la Maison-Blanche où il a œuvré auprès du président Donald Trump pour mener le nouveau département de l’efficacité gouvernementale (DOGE : Department of Government Efficiency), la popularité des véhicules de Tesla, la marque dont il est le grand patron, est en baisse un peu partout à travers la planète.

Un nouveau sondage, réalisé par J.D. Power Canada, vient mettre des chiffres là-dessus. Selon l’étude, qui s’est intéressée à l’intérêt des consommateurs envers une marque lorsqu’ils considèrent l’achat d’un véhicule électrique, on apprend que seulement 13 % des gens mettraient Tesla sur leur liste d’achats. À pareille date l’an dernier, on parlait de 29 %.

Tesla est donc passé de la deuxième à la huitième place des marques considérées par les consommateurs. Chez J.D. Power Canada, on mentionne qu’il s’agit du plus grand écart observé d’une année à l’autre depuis les débuts de cette étude il y a quatre ans.

En tout, 3979 acheteurs de véhicules neufs en mars et en avril ont été sondés. On n’a pas demandé aux gens d’expliquer la raison de leurs choix, mais il est facile de comprendre que les frasques d’Elon Musk y sont pour quelque chose, surtout que la tendance n’est pas unique au marché canadien.

Elon Musk avec le président américain à la Maison Blanche
Elon Musk avec le président américain à la Maison Blanche | Auto123.com

Les commentaires d’Elon Musk sur le Canada n’ont pas aidé la cause de sa compagnie non plus. En février, sur son compte X, il avait déclaré, à la suite des commentaires de Donald Trump sur la possibilité de faire de notre pays le 51e État américain, que « Le Canada n’est pas un vrai pays. »

Il est aussi clair que les hausses de prix de certains modèles et le fait que trois provinces canadiennes (Nouvelle-Écosse, Manitoba et Colombie-Britannique) ont retiré leurs rabais à l’achat de véhicules électriques a pu jouer dans la balance.

Bref, la compagnie et son grand patron semblent maîtriser l’art de se faire des amis.

Ironiquement, tout cela survient au moment où Elon Musk quitte son poste au sein de l’administration Trump.

Le malheur des uns fait le bonheur des autres

Si l’intérêt envers Tesla est en recul, Automotive News nous rappelle que cela profite à d’autres entreprises. Ainsi, l’étude de J.D. Power conclut que Hyundai est désormais la marque la plus populaire lorsqu’on considère l’achat d’un modèle électrique, avec 36 % des intentions. Kia, Toyota, Ford et Chevrolet complètent les cinq premières places.

Quant à l’intérêt général pour l’achat d’un modèle électrique, les intentions demeurent stables d’une année à l’autre. En tout, 28 % des gens sondés considèrent l’achat d’un véhicule tout électrique. Cependant, 42 % d’entre eux ont mentionné que le retrait des rabais au fédéral aurait une incidence négative sur leurs intentions d’achat.

Le nouveau premier ministre du pays, Mark Carney, a mentionné que le programme serait relancé, mais on ne sait pas à quel moment pour l’instant. On peut deviner que ce sera à l’annonce du budget, ce qui devrait normalement être cet automne.

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Jeep vient de publier une image que plusieurs attendaient, soit celle du modèle de prochaine génération de son VUS Cherokee. On se souviendra que ce dernier est disparu du catalogue il y a quelques années, laissant un vide dans la gamme pour un utilitaire de taille compacte.

La compagnie confirme qu’il fera ses débuts à la fin de la présente année.

On ne possède pas une foule d’informations pour le moment, mais on sait que le produit a été entièrement repensé et que surtout, il va proposer une motorisation hybride, ce qui va lui permettre de mieux concurrencer ses rivaux sur le marché.

Bob Broderdorf, le directeur général de Jeep, avait ceci à mentionner à propos du nouveau venu :

« Il s’agit d’une année historique pour la marque Jeep, avec plus de produits, d’innovation, de choix et de contenu de série pour les clients que jamais auparavant. Le tout nouveau Jeep Cherokee jouira d’un prix concurrentiel qui frappe au cœur du segment de véhicule le plus vaste et qui s’insère parfaitement entre le Jeep Compass et le Jeep Grand Cherokee pour renforcer notre gamme principale. »

Le Jeep Cherokee 2026
Le Jeep Cherokee 2026 | Auto123.com

Design du Jeep Cherokee 2026

Les images partagées nous font voir un Cherokee aux formes plus carrées et aux lignes foncièrement différentes de celles du produit d’ancienne génération. On peut s’attendre à retrouver plusieurs variantes au menu, dont une version Trailhawk pensée pour la conduite hors route.

Motorisations du Jeep Cherokee 2026

Il faudra voir pour les motorisations. En plus de la version hybride, il serait intéressant de pouvoir profiter d’une variante hybride rechargeable (4xe). Nous verrons bien jusqu’où les dirigeants pousseront l’audace avec cette nouvelle cuvée.

Plus de détails suivront.

Jeep confirme le retour du Cherokee pour la fin de 2025 | Auto123.com

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Chaque année, le concours d’élégance de Pebble Beach met en vedette des automobiles historiquement significatives dans le cadre d’expositions thématiques. Cette année, aux côtés des Duesenberg, Bugatti, Bentley et autres classiques d’avant-guerre, on verra une poignée de Cobra se répandre sur le l’allée du 18e trou du Pebble Beach Golf Links, ce terrain du golf huppé situé à quelques kilomètres de Monterey, sur la côte californienne, où se tient cette prestigieuse exposition.

En 2021, les organisateurs du concours avaient souligné le 50e anniversaire de la Lamborghini Countach, alors que l’année dernière ce sont les 125 ans de Packard qu’on a célébré. Cette année, c’est la Shelby Cobra qui sera à l’honneur, notamment parce que sa version la plus intimidante, la Cobra 427, fête ses 60 ans.

Ce ne sera pas la première fois où le nom de Carroll Shelby a été associé à ce concours. Plusieurs participants ont décroché des prix dans différentes catégories grâce à leurs Shelby. Et puis, il y a eu cette exposition de 2016 qui était consacrée aux GT40, ou encore à celle de 2018 qui soulignait les 50 ans de la Mustang Shelby GT 350. C’est sans compter qu’en 1956, le célèbre Texan à l’origine de cette marque a remporté la septième et dernière course annuelle qui était disputée sur les routes entourant ce petit village côtier.

Dans un communiqué publié plus tôt ce mois-ci, la présidente du concours, Sandra Button, a affirmé que ce sera un honneur cette année de mettre ainsi en valeur les Cobra, dans le cadre de cet événement.

Rappelons que la Cobra de Shelby a vu le jour en 1962 lorsque lui et ses équipiers ont jumelé le châssis et la carrosserie d’une AC Ace britannique à un V8 Ford de 289 po cu (4,7 L). Cette voiture, la première produite en Californie par Shelby, est devenue la CSX2000, le prototype d’une série de modèles qu’on appelle aujourd’hui Cobra Mark I.

Cependant, le modèle qui fascine le plus les passionnés de cette sportive demeure la Cobra Mark III. Mise en production en janvier 1965 avec un nouveau châssis et une suspension à ressorts hélicoïdaux, qui remplaçait une suspension à lames, elle était animée par un V8 de 427 po. cu. (7,0 L). Seulement 56 exemplaires ont été fabriqués.

Carroll Shelby a produit des Cobra jusqu’en 1967 et, durant ces cinq années, quatre variantes ont été proposées : « Comp » (compétition), « S/C » (semi-compétition), « Street » et « Narrow Hip ». À Pebble Beach, on pourra voir un exemplaire de chacune de ces versions, en plus de la première et de la dernière Cobra de production.

Après plus de 60 ans d’existence, la Shelby Cobra demeure une icône du monde automobile, se réjouit Aaron Shelby, petit-fils de Carroll Shelby, membre du conseil d’administration de la société Carroll Shelby International et ambassadeur de la marque. « Peu d’automobiles ont atteint sa renommée et sa longévité. Créée avec audace et détermination, elle incarne non seulement la performance, mais aussi l’ingéniosité américaine », conclut-il.

La 74e édition du concours d’élégance de Pebble Beach aura lieu le 17 août 2025.

Photos : Concours d’élégance de Pebble Beach

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