Les batteries à l’état solide pourraient bouleverser le marché des véhicules électriques (VÉS), promettant un stockage d’énergie plus sûr, plus petit et plus dense en énergie, permettant ainsi aux fabricants de voitures et camions électriques d’offrir une plus grande autonomie à moindre coût.

Les scientifiques encore sceptiques

Toyota annonce ces batteries en concession d’ici 2027-2028. « La technologie fonctionne à petite échelle, mais l’augmenter aux capacités nécessaires pour les voitures est un défi », a déclaré Andrew Colclasure, un scientifique en recherche sur les batteries au National Renewable Energy Laboratory à Golden au Colorado.

Pourquoi les batteries à état solide ?

L’objectif est de développer une batterie pour VE qui puisse offrir une grande autonomie, des temps de charge ultra-rapides et une durée de vie plus longue que les batteries actuelles. Les batteries à état solide peuvent accomplir tout cela. Elles sont appelées « à état solide » car leur électrolyte — le composant qui transfère les particules chargées, ou ions, entre les électrodes de la batterie — est fait de matière solide, contrairement aux électrolytes liquides des batteries lithium-ion actuelles.

Avantages et promesses

  • Les batteries à lithium à état solide sont beaucoup plus denses en énergie que les batteries à électrolyte liquide. Elles peuvent emmagasiner la même quantité d’énergie dans un ensemble beaucoup plus petit et plus léger ou, dans un boîtier de même taille, fournir plus d’énergie, ce qui se traduit par une autonomie bien plus grande.
  • En éliminant les solutions d’électrolyte liquide hautement inflammables, la technologie à état solide améliore également la sécurité des VE et permet des temps de charge plus rapides.
  • L’objectif de l’industrie est de réduire à moins de 15 minutes le temps de charge des batteries offrant environ 480 kilomètres (300 miles) d’autonomie. Les batteries à état solide pourraient permettre d’atteindre cet objectif, se rapprochant ainsi de la session de recharge idéale pour VE, qui ne durerait pas plus longtemps qu’un arrêt dans une station-service pour les voitures et camions à moteur à combustion classique.

Défis à surmonter

La science existe déjà. Les batteries à état solide alimentent déjà des dispositifs médicaux, des produits RFID et des montres intelligentes. Cependant, augmenter la taille de la batterie et la rendre assez robuste pour survivre à l’environnement automobile exige beaucoup plus de développement et de production.

  • Parmi les défis majeurs, on trouve la dégradation des électrodes de la batterie, la réduction de la complexité de fabrication et l’établissement d’une chaîne d’approvisionnement sécurisée et stable. Les batteries à état solide utilisent les mêmes chimies que les batteries lithium-ion conventionnelles et sont donc soumises aux mêmes contraintes en matières minérales critiques.
  • Un problème de fiabilité majeur réside dans la tendance des batteries à état solide avec des anodes en graphite — le type le plus courant — à former des structures en forme d’aiguilles appelées dendrites lorsque le lithium se déplace vers l’anode depuis la cathode. Les dendrites peuvent s’accumuler et croître dans le métal de lithium qui recouvre l’anode à chaque cycle de charge, l’affaiblissant et risquant de court-circuiter la cellule en perçant la barrière séparant l’anode et la cathode.
  • Un deuxième problème est que le matériau de l’électrolyte utilisé pour les batteries à état solide a tendance à se fissurer, gonfler et se désagréger à mesure que le nombre de cycles de charge augmente. La fabrication et le maintien de l’électrolyte sous haute pression est la solution la plus courante, mais cela nécessite un équipement de fabrication extrêmement sophistiqué et coûteux.

Nombreux joueurs

Toyota coopèrent sur le développement des batteries à état solide depuis 2013 et ont récemment ciblé la sortie d’une batterie de qualité commerciale pour 2027 ou 2028.C’est quelques années après leur objectif initial de 2025, mais toujours plus tôt que les autres objectifs annoncés pour une production commerciale en faible volume.

Une production réduite au départ

Toyota précise qu’élaborer une batterie prête pour le marché ne signifie pas en produire immédiatement en masse. Ce n’est qu’après que le partenariat aura produit des batteries à état solide de qualité commerciale qu’il commencera à augmenter une chaîne d’approvisionnement et les installations nécessaires à la production de masse. D’autres constructeurs automobiles, dont BMW, Ford, General Motors, Honda, Hyundai, Mercedes-Benz, Nissan, Stellantis et Volkswagen, travaillent également avec des partenaires de développement de batteries sur les batteries à état solide. Nissan a annoncé un objectif de production de masse pour 2028 et Honda a fixé un objectif de 2030 pour son premier produit de qualité commerciale, avec une production de masse à suivre.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Les batteries à l’état solide sont en route provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Tout nouveau et doté de plus de fonctionnalités que jamais, le Nissan Kicks 2025 offre une valeur exceptionnelle avec une utilité de VUS impressionnante. Le Kicks est désormais disponible à la vente avec un prix de détail suggéré par le fabricant (PDSF) à partir de 27 199 $ CA.

Nouveautés : Traction Intégrale et Technologie Avancée

Pour la première fois, toutes les versions du Kicks sont équipées de la traction intégrale intelligente, offrant une confiance accrue sur la route. Le modèle 2025 introduit également des technologies avancées, incluant en option le système ProPILOT Assist, qui facilite la conduite sur autoroute. De plus, le Kicks offre le meilleur espace de chargement arrière et la meilleure économie de carburant de sa catégorie pour les modèles à traction intégrale.

Équipement de Série : Du Confort et de la Sécurité

Avec un design audacieux, le Kicks est bien équipé à tous les niveaux de prix. La version de base S comprend de série le système Nissan Safety Shield® 360, le régulateur de vitesse intelligent, un éclairage extérieur entièrement à DEL, et un système d’infodivertissement avec écran tactile de 12,3 pouces, compatible avec Android Auto™ sans fil et Apple CarPlay®. En montant en gamme avec la version SV, vous obtenez un tapis de recharge sans fil pour téléphone, la clé intelligente Nissan, un volant chauffant et un démarrage à distance du moteur.

La Version SR : Un Design Plus Audacieux et Plus de Technologie

La version SR du Kicks 2025 se distingue par ses jantes en alliage de 19 pouces, des phares à signature LED unique, des surpiqûres intérieures bicolores, et des rétroviseurs extérieurs noirs brillants. Elle intègre également un tableau de bord numérique de 12,3 pouces, le système ProPILOT Assist, et le moniteur Intelligent Around View® qui offre une vue d’ensemble à 360 degrés autour du véhicule. Parmi les options disponibles, vous trouverez un toit ouvrant panoramique et un système audio Bose® à 10 haut-parleurs.

Spécifications et Tarification

Les spécifications complètes de toutes les versions du Nissan Kicks 2025, ainsi que les détails sur l’économie de carburant, les photos et les vidéos, sont disponibles dans le dossier de presse complet.

Prix de Détail Suggérés par le Fabricant pour le Nissan Kicks 2025 :

Modèle PDSF
Kicks S TA 27 199 $ CA
Kicks S TI 29 199 $ CA
Kicks SV TA 28 749 $ CA
Kicks SV TI 30 749 $ CA
Kicks SR Premium TI 34 899 $ CA

Frais de transport et de préparation : 2 030 $ CA.

Options Installées en Usine :

Option S SV SR
Ensemble Premium SV 800 $
Ensemble de Jantes Sport SR 800 $

Source: Nissan Canada

Le texte Le Nissan Kicks débute à 27,199 $ au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Nous avons assisté à une première, l’hiver dernier : pendant un instant, acheter un véhicule électrique a coûté moins cher qu’acheter un véhicule à essence. Dans le marché des véhicules d’occasion, cela dit, puisque du côté des véhicules neufs, on n’y est pas encore tout à fait. Mais c’est un scénario qui pourrait se répéter dans les mois à venir, puisque la tendance à la baisse dans les prix des véhicules d’occasion est plus forte du côté de l’électrique que de l’essence.

C’est en février dernier que le prix des véhicules électriques d’occasion a baissé sous celui des véhicules à essence. Le prix moyen payé aux États-Unis pour un véhicule électrique âgé tout au plus de 5 ans était 265$ moins élevé que celui payé pour un véhicule à essence. C’est tout un recul, puisque l’été dernier, le prix moyen pour un véhicule électrique d’occasion était 8000$ plus élevé que pour véhicule à essence.

Cela dit, ça n’a duré que le temps d’un hiver. En mai dernier, il a fallu débourser 2500$ de plus pour s’électrifier. C’est donc plutôt variable, d’une saison à l’autre, ce qui s’explique par des inventaires et une demande qui varient beaucoup durant l’année.

La bonne nouvelle, pour les consommateurs, est que la tendance à la baisse du prix des véhicules électriques d’occasion semble vouloir se prolonger. En un an, le prix moyen a chuté de 30% chez nos voisins du sud, et on a pu observer sensiblement la même chose chez nous.

C’est une bonne nouvelle dans la mesure où ça permet d’acheter un véhicule électrique à un prix raisonnable, puis d’économiser ensuite sur l’essence, puisqu’il n’y a plus de pleins d’essence à faire. Pendant ce temps, d’autres études tendent à démontrer que la durée de vie des véhicules électriques – y compris celle de leur batterie – est au moins aussi bonne, sinon supérieure à celle de la plupart des véhicules à essence, même s’il coûte moins cher de les entretenir d’une année à l’autre.

S’ils sont si merveilleux, qu’est-ce qui explique la chute accélérée du prix des véhicules électriques d’occasion? La réponse à cette question est étonnamment banale. Il semblerait selon les experts que c’est simplement qu’on trouve de plus en plus de véhicules sur le marché. Ça ne fait pas très longtemps qu’on peut acheter des véhicules électriques neufs, et ça fait donc encore moins longtemps qu’on peut en trouver de seconde main.

Là, on voit le marché commencer à s’ouvrir. Il sera intéressant de suivre l’évolution des prix, mais si la tendance se maintient, payer le même prix pour l’électrique que pour l’essence pourrait devenir la norme, dans l’usagé à tout le moins.

Le texte Des véhicules électriques moins cher que des véhicules à essence? Ça se peut provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les consommateurs qui sont à la recherche d’une auto qui ne coûte pas trop cher ont peut-être trouvé une solution intéressante : des autos usagées âgées de 10 ans ou plus. En tout cas, il semble que les autos d’occasion les plus âgées n’ont jamais été aussi populaires, ce qui, non sans ironie, provoque une hausse de leur prix de vente.

C’est en tout cas ce que conclut l’organisme iSeeCars, qui constate que les véhicules âgés de 10 ans et plus ont vu leurs parts du marché des véhicules d’occasion bondir aux États-Unis de 30 pour cent, entre 2014 et 2024. Ce n’est donc pas seulement un effet de la hausse accélérée du coût de la vie des dernières années qui a provoqué cette tendance, même si l’inflation assez importante des derniers mois joue aussi en faveur des véhicules plus âgés, puisqu’ils coûtent moins cher et qu’ils sont donc plus attrayants.

Cela dit, le prix moyen des véhicules usagés plus âgés a augmenté de 60 pour cent en dix ans, ce qui est tout aussi remarquable que leur gain de popularité. Le prix moyen d’un véhicule âgé de 10 ans ou plus aux États-Unis est passé de 7583 $US en 2014, à 12 194 $US aujourd’hui.

Malgré cela, la part de marché de ces véhicules est passée d’environ 17 pour cent, où elle se maintenait de façon plus ou moins stable avant la pandémie, à près de 25%, aux États-Unis, depuis le début de l’année. C’est tout un rebond et la courbe de croissance de leur popularité coïncide depuis 2022 avec celle de l’inflation.

Ça coïncide aussi avec une hausse vertigineuse du prix des véhicules neufs et usagés vendus en Amérique du Nord. Le prix moyen pour une auto neuve au Québec est présentement de 66 000 $, alors que celui payé pour une voiture d’occasion est de 36 000 $.

Pour la petite histoire, iSeeCars a aussi relevé les dix modèles de véhicules 2014 les plus populaires aux États-Unis en ce moment. On trouve deux modèles Hyundai, trois Subaru, deux Mercedes-Benz, une BMW, une Nissan et une Honda.

On vous laisse deviner les marques de quel continent sont complètement absentes de ce portrait…

https://www.iseecars.com/vehicle-age-study

Le texte Les autos de 10 ans et plus combattent l’inflation provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le premier ministre Justin Trudeau et le premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, ont annoncé aujourd’hui, en partenariat avec des représentants de la Goodyear Tire and Rubber Company, un projet d’agrandissement et de modernisation de l’usine de Goodyear à Napanee, en Ontario. Cet investissement de plus de 575 millions de dollars permettra à l’entreprise de mettre en place un processus de fabrication écoénergétique complet et d’augmenter sa capacité de production, notamment pour les pneus tout-terrain et les pneus pour véhicules électriques.

Création de 200 Nouveaux Emplois

Ce projet créera 200 nouveaux emplois hautement qualifiés dans le secteur de la fabrication d’ici 2027, tout en maintenant plus de 1 000 emplois à Napanee. L’objectif est d’atteindre la carboneutralité de l’usine d’ici 2040, contribuant ainsi à l’ambition du Canada de bâtir une économie carboneutre d’ici 2050.

Soutien Financier des Gouvernements

Goodyear Canada bénéficiera d’un financement pouvant atteindre 44,3 millions de dollars du gouvernement fédéral, par l’entremise du Fonds stratégique pour l’innovation, pour soutenir ce projet d’agrandissement. Le gouvernement de l’Ontario, via Investissement Ontario, apportera également une contribution de 20 millions de dollars, destinée à l’implémentation de technologies novatrices et à des programmes de formation professionnelle.

Renforcement de la Position du Canada dans le Secteur des Véhicules Électriques

Grâce à des programmes de collaboration déjà en place, Goodyear profitera de cet investissement pour renforcer la position du Canada en tant que leader mondial dans le secteur des véhicules électriques. Le projet de modernisation de l’usine de Napanee reflète la confiance continue dans l’économie canadienne, en particulier dans le secteur des véhicules électriques, en plein essor. Cet investissement permettra non seulement de créer des emplois de qualité et de stimuler l’économie, mais aussi de placer le climat au cœur de l’activité économique canadienne. Ces initiatives renforcent le rôle du Canada comme partenaire de confiance pour les entreprises internationales et comme destination de choix pour les investissements mondiaux.

Le texte Goodyear Canada Inc. Investit Plus de 575 Millions de Dollars pour Agrandir son Usine en Ontario provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

À plus de 250 000 $, vous ne serez pas surpris d’apprendre que l’AMG GT est un modèle d’exception. Le V8 4,0 litres turbo sous le capot est un monstre de performance. Mais, à la fin de notre essai d’une semaine, il nous restait un petit goût d’amertume dans la bouche que nous avons mis un certain temps à comprendre.

Une base connue

La deuxième génération partage désormais la plupart de ses fondations avec la décapotable SL et prend donc des proportions plus généreuses, ce qui n’est pas nécessairement une bonne chose. Elle a grandi dans presque toutes les dimensions, et bien qu’elle reste toujours une bête de plaisir, l’expérience de conduite a évolué. Alors que la première GT se moulait littéralement au conducteur, la nouvelle

Un gabarit en plein essor

L’ancienne GT s’enveloppait littéralement autour du conducteur, mais cette Allemande semble avoir succombé aux tentations des bratwursts au fil des générations. La nouvelle GT est plus longue de 17 cm, plus large de 4,5 cm et plus haute de 6,6 cm que son prédécesseur. Elle a également pris du poids, avec 248 kg de plus que le modèle de base précédent, atteignant désormais les 1925 kg. Un poids difficile à justifier pour une voiture de sport, même aussi performante. C’est vrai qu’il y a certains avantages à cette nouvelle stature. L’habitacle est moins compact et offre désormais suffisamment d’espace pour un siège arrière optionnel de style Porsche 911 pratique pour un surplus de bagages. Le coffre passe de 283 à 311 litres, et peut même atteindre 680 litres avec la banquette arrière rabattable, sans frais supplémentaires. Un espace surprenant pour une voiture de ce type.

On passe en 4 roues motrices

L’embonpoint passe aussi en 2024 par le choix d’une transmission intégrale. Bien qu’elle n’ait jamais été proposée sur la première génération, elle est désormais de série, tout comme la direction de l’essieu arrière. Sous le capot, le V8 biturbo de 4,0 litres développe toujours 577 chevaux et 590 lb-pi de couple, comme sur la SL63, et il est couplé à la même transmission automatique à neuf rapports. L’ajout de toute cette technologie dans la conduite se traduit par une tenue de route qui transcende les lois de la gravité. En plus de vous amener dans un tonnerre mécanique de 0 à 100 km/h en 3 secondes tout juste, la voiture prend une courbe comme si vous étiez sur un rail. Il faut toutefois s’habituer à l’accélérateur qui semble monter sur un bloc en ciment. Les réactions des turbos sont aussi brutales que soudaines. Il faudra aussi vous faire à l’inconfort constant de la suspension très sèche, même en mode confort. Si la route que vous fréquentez n’est pas du calibre d’une table de billard, votre dos prendra les coups. Disons qu’à notre 3e journée, nous avions appris à gérer l’accélérateur et à faire un peu de slalom entre les imperfections de la route pour ménager la colonne vertébrale. Il faut aussi apprendre à gérer le caractère fougueux de la bête. Si l’accélérateur n’est pas enfoncé avec modération, vous allez constamment vous écrasez dans le fond de votre siège, ce qui admettons le, n’est pas désagréable en soi.

Comportement routier et sensations contrastées

La direction est également plus lourde que l’ancien modèle, et la suspension déjà limite en mode confort, devient inconfortable en mode sport et nous n’avons pas encore abordé les mode sport + et Race. Cependant, la vraie déception dynamique vient de la boîte automatique à neuf rapports qui est la même que la SL. C’est un peu comme si vous donniez une paire de sandale à André De Grasse pour courir un 100 mètres. Un peu lente à régir à la mise en marche, elle devient violente une fois lancée. Mercedes par le passé avait des boîtes à rapports courts, plus sportives pour ses modèles AMG. On se demande pourquoi cette approche n’a pas été privilégié dans ce cas-ci. Cela dit la performance demeure hors-norme. Vous allez atteindre 1,06 g dans les virages, avec une répartition du poids plus axée sur l’arrière, mais désormais, la balance est inversée avec 54 % du poids sur l’avant. Sentir l’avant tirer en sortie de virage est une expérience nouvelle.

Un habitacle à l’image de la SL

Sans surprise, la GT l’essentiel des éléments de la SL. La faible hauteur et les portes longues rendent l’entrée et la sortie un peu acrobatiques, mais cela fait partie du charme des sportives. Notre modèle à l’essai n’avait pas de banquette, mais un surplus d’espace pour un sac de plage ou deux. Il faut quelques minutes pour trouver une bonne position de conduite en raison du capot interminable devant. Heureusement, les caméras panoramique rendent le stationnement ou les manœuvres dans des espaces restreints relativement faciles.

Une techno à la hauteur

Vous avez droit à la plus récente version MBUX de la marque, calquer sur la SL. Tout est relié à l’écran tactile, et ce n’est pas le système le plus intuitif, alors prévoyez du temps pour vous y faire. Le système en soi est assez bon, mais il peut être lent à se charger au démarrage de la voiture. Le système de navigation du coupé AMG GT est impressionnant. L’écran large permet d’afficher une carte grande et facile à lire. Les indications tournant par tournant sont simples à entrer et faciles à suivre, et vous pouvez afficher la carte sur l’écran central ou sur le tableau de bord. Les commandes vocales permettent de faire des choses comme entrer des adresses ou rechercher des stations-service pour fournie en carburant ce goinfre de V8. L’AMG GT est équipée de la connexion sans fil Apple CarPlay et Android Auto. Il y a quatre ports USB-C et un chargeur sans fil, ce qui est plus que ce qu’offrent la plupart des coupés. Le système audio Burmester de série établit une référence pour la catégorie. Nous passerons sous silence les nombreuses aides à la conduite qui sont toujours redoutable d’efficacité chez Mercedes

Conclusion

La nouvelle AMG GT est à la fois aussi sauvage et plus civilisée que l’ancienne, ce que certains apprécieront et d’autres déploreront. Son espace intérieur accru et quelques mises à jour technologiques sont les bienvenues. Cette deuxième génération est bien plus vivable au quotidien que sa prédécesseure, mais elle son tempérament rebel.

Forces

Performance décoiffante,

allure diaboliquement séduisante

quatre roues motrices.

Faiblesses

Plus grande et plus lourde qu’avant,

transmission lente

Dieu que c’est cher

Le texte Mercedes AMG GT 2024 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Retour potentiel de MG aux États-Unis

Les plus anciens d’entre nous se souviennent de Morris Garages (MG). Cette petite compagnie britannique devenue Chinoise est absente marché nord-américain depuis un certain temps, mais il se pourrait que l’ancienne marque britannique y fasse son retour. Selon un rapport récent d’Automotive News, MG envisage de construire des installations au Mexique, le plus grand partenaire commercial des États-Unis en 2023. Le constructeur du roadster électrique Cyberster a annoncé cette semaine son intention de construire une usine de fabrication et un centre de recherche et développement dans le pays. Cependant, le constructeur détenu par SAIC n’a pas spécifiquement mentionné la possibilité de vendre des voitures aux États-Unis ou au Canada ; les installations mexicaines serviront à renforcer la présence de la marque en Amérique latine et centrale.

L’importance du Mexique

Le Mexique est une base de production clé pour les constructeurs de véhicules électriques, en particulier pour ceux qui souhaitent vendre des voitures dans la région. Il est également un site stratégique pour les entreprises qui n’ont pas encore de présence aux États-Unis, servant de pont entre les deux marchés. De plus, les véhicules électriques fabriqués au Mexique ont un avantage lorsqu’ils franchissent la frontière nord. En vertu de l’Inflation Reduction Act de Biden, les véhicules électriques construits au Mexique (si toutes les conditions sont remplies) peuvent bénéficier de crédits d’impôt qui contribuent à réduire leur prix, les rendant ainsi plus attractifs pour les acheteurs américains. Il est évident que les constructeurs automobiles veulent tirer parti de cet avantage fiscal – Audi en est un exemple, ayant récemment annoncé un investissement important dans son usine mexicaine. Le constructeur chinois BYD a également annoncé plus tôt cette année la construction d’une usine au Mexique, bien qu’il ait immédiatement démenti toute rumeur de vente de voitures aux États-Unis.

La connexion chinoise

Il reste à voir si MG utilisera son investissement mexicain pour revenir sur le marché nord-américain. Ce mouvement permettrait également au constructeur de contourner la campagne de Biden contre les produits fabriqués en Chine, en particulier le tarif de 102 % imposé aux produits importés de la République populaire. Il est également important de noter que MG est essentiellement un constructeur chinois. Bien que la marque ait des racines britanniques, elle est gérée et exploitée par SAIC Motor – l’un des plus grands constructeurs d’État chinois – depuis 2007. Son siège est à Shanghai, bien qu’elle dispose également d’installations de production en Chine, en Thaïlande et en Inde. Un projet de production de voitures en Europe est également en préparation.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte MG prévoit de construire des installations au Mexique provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Stellantis, la maison mère de Chrysler, prévoit de supprimer jusqu’à 2 450 postes à son usine de Warren Truck, située près de Détroit, alors que la production du célèbre camion Ram 1500 Classic touche à sa fin.

Réduction des effectifs dès le 8 octobre

Les licenciements entreront en vigueur dès le 8 octobre, a annoncé l’entreprise. L’usine passera d’un fonctionnement en deux équipes à une seule pour l’assemblage général. La production du Jeep Wagoneer, également fabriqué sur ce site, se poursuivra sur une seule équipe.

Nouveau focus sur le Ram 1500 Tradesman

Alors que la production du Ram 1500 Classic se termine, Stellantis concentre désormais ses efforts sur le Ram 1500 Tradesman, fabriqué dans son usine de Sterling Heights. “Nous avons lancé le nouveau Ram 1500 Tradesman 2025 avec une valeur exceptionnelle et des technologies adaptées aux flottes commerciales, améliorant ainsi le suivi et les systèmes de sécurité,” a déclaré une porte-parole de l’entreprise.

Mesures d’accompagnement pour les salariés concernés

L’usine compte environ 3 700 travailleurs représentés par le syndicat United Auto Workers (UAW). Les membres du syndicat touchés par les suppressions d’emplois recevront 52 semaines d’indemnités de chômage complémentaire et 52 semaines d’assistance à la transition, financées par l’entreprise, ainsi que deux ans de couverture santé.

Contexte et mesures de réduction des coûts

Stellantis avait signé de nouveaux accords avec le UAW l’automne dernier, après une grève historique de six semaines. La semaine dernière, la société a également proposé une nouvelle série de départs volontaires à ses salariés aux États-Unis, dans le cadre des mesures de réduction des coûts mises en place par le PDG Carlos Tavares.

Lors de la Journée des investisseurs en juin, Tavares avait évoqué des faiblesses dans au moins deux usines américaines, sans toutefois les nommer.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte La fin du Ram Classic amènera la suppression de 2 450 emplois provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

L’année 2024 marque le 60e anniversaire de l’arrivée de Toyota au Canada. C’est en effet en 1964 que le constructeur japonais octroyait à la Canadian Motor Industries les droits de distribution de ses produits Toyota au pays.

En 1965, Toyota va écouler 755 modèles, un chiffre qui sera appelé à croître rapidement avec l’arrivée de modèles comme la Corolla en 1967, une année après son lancement au Japon.

La Canadian Motor Industries va devenir Toyota Canada en 1980.

Nous aurons l’occasion de revenir sur l’histoire de Toyota au Canada lors des prochaines semaines. Aujourd’hui, on s’intéresse à la façon dont la compagnie va célébrer ses 60 ans au pays, soit avec un périple qui va la mener de Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick, à Victoria, en Colombie-Britannique.

Au passage, le convoi va s’arrêter à Halifax, Montréal, Toronto, North Bay, Sault Sainte-Marie, Thunder Bay, Winnipeg, Saskatoon, Edmonton, Calgary, Vancouver et Victoria, entre autres.

Et si l’on prend le temps de vous en parler, c’est que nous allons prendre la route avec Toyota, en compagnie de représentants de l’entreprise, et d’autres journalistes répartis à travers le pays. En tout, six segments ont été prévus, avec une rotation du personnel et des membres des médias.

Nous aurons l’occasion de faire le trajet entre Saint-Jean et Halifax (segment 1, du 12 au 14 août), puis entre Montréal et Winnipeg (segments 3 et 4, du 18 au 24 août). Le tout va se faire au volant de véhicules Toyota, bien entendu, y compris certaines des nouveautés de la marque, dont le Land Cruiser et la familiale Crown Signia.

Nous allons évidemment profiter de l’événement pour vous livrer de courts essais routiers de ces modèles, afin d’analyser leur comportement lors de notre périple (confort, consommation, qualité de la chaîne audio, espace de chargement, etc.).

Ce que nous allons également faire, c’est vous offrir un compte rendu quotidien de ce voyage, afin surtout de vous faire découvrir certaines régions du pays où vous n’avez peut-être pas eu la chance de mettre les pieds.

Le ton sera léger.

Cependant, il le sera moins par moment, car on compte également s’asseoir avec les représentants de la compagnie pour examiner certains dossiers plus épineux avec eux. Le parcours de Toyota n’a pas été sans faille depuis quelques années, notamment en matière de fiabilité et de pratiques, et vous méritez des précisions.

Bref, il sera beaucoup question de Toyota au cours des prochaines semaines. Et si vous avez des questions que vous aimeriez que l’on pose aux dirigeants, n’hésitez pas à nous les transmettre ; nous allons agir comme courroie de transmission.

On se donne rendez-vous en début de semaine.

Le texte Toyota Canada entreprend la traversée du pays pour fêter ses 60 ans provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Enquête préliminaire sur les modèles aux États-Unis

Les régulateurs américains de la sécurité automobile ont annoncé vendredi l’ouverture d’une évaluation préliminaire concernant environ 332 288 véhicules utilitaires sport (VUS) Hyundai aux États-Unis, en raison d’un possible défaut de ceinture de sécurité. L’enquête porte spécifiquement sur certains modèles Hyundai Palisade des années 2020 à 2023.

Risque potentiel lié au déclenchement accidentel des ceintures de sécurité

Selon la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA), les ceintures de sécurité de ces véhicules pourraient se détacher involontairement et sans avertissement, augmentant ainsi le risque de blessure en raison de la perte totale de protection.

Prochaines étapes : vers une analyse technique?

Suite à cette évaluation préliminaire, la NHTSA devra décider s’il est nécessaire de faire progresser l’enquête vers une analyse technique approfondie. Ce n’est qu’après cette étape que l’agence pourrait exiger un rappel si cela est jugé nécessaire. On va aussi faire la lumière sur les mêmes modèles vendus au Canada.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte La NHTSA ouvre une enquête pour 332 000 Hyundai Palisade provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile