• Kia vient d’ajouter son nom à une longue liste de constructeurs qui ne présenteront pas de publicités lors du prochain Super Bowl.

Chaque année à pareille date, à l’approche du Super Bowl, la grande fête sportive du football américain qui aura lieu le 9 février prochain, on commence à surveiller les publicités que préparent les constructeurs.

Ces derniers y mettent généralement le paquet, compte tenu de la visibilité dont ils profitent lors de la diffusion du match.

Or, le portrait risque d’être très différent cette année, alors que le mot d’ordre est la prudence. Hier, Kia a confirmé qu’elle ne serait pas de la partie. La firme coréenne ajoute son nom à ceux de Toyota, Volkswagen, BMW, Nissan, General Motors, Hyundai, Audi, Honda, Ford, Mercedes et Lexus.

Jusqu’à maintenant, une seule marque a confirmé sa présence : Jeep.

Le Kia EV3 est le prochain nouveau modèle que doit lancer la marque coréenne
Le Kia EV3 est le prochain nouveau modèle que doit lancer la marque coréenne | Auto123.com

Dans le cas de Kia, la compagnie a expliqué qu’elle avait pris cette décision, car elle ne lance pas un nouveau véhicule lors du premier trimestre de l’année. Kia a été du Super Bowl lors des trois dernières années. Elle avait pris une pause en 2021, après onze participations consécutives.

En 2018, onze constructeurs avaient diffusé des publicités lors du match.

Ces dernières années, on a pu voir plusieurs marques faire la promotion de leurs modèles électriques. Avec l’arrivée à la Maison-Blanche de Donald Trump, qui a déjà mis la hache dans les budgets réservés à ce type de véhicule, on comprend la prudence des constructeurs.

Ce qu’il faudra surveiller, c’est la réaction lors des prochaines années. Est-ce qu’on est en train d’assister à une nouvelle tendance, ou au contraire, verra-t-on les constructeurs revenir en grand nombre lors des prochains Super Bowl ?

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Le texte Plusieurs constructeurs ne présenteront pas de publicités au Super Bowl provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Jeep a annoncé le rappel de 63 082 VUS Cherokee produits entre 2017 et 2019 en raison d’un problème lié au module de transfert de puissance (PTU). Ce dernier pourrait entraîner un décrochage de la transmission, causant soit une perte de puissance, soit un risque que le véhicule se mettre à bouger (avancer ou reculer) lorsqu’il est stationné.

Selon les autorités, le problème provient d’un anneau de retenue de l’arbre d’entrée qui pourrait ne pas être correctement fixé. Avec le temps, cela peut provoquer une usure des composants internes, compromettant le fonctionnement de la transmission et du différentiel. Résultat : le véhicule pourrait avancer ou reculer de façon incontrôlée en position « Park » ou perdre sa capacité à accélérer.

Jeep Cherokee Latitude 2019
Jeep Cherokee Latitude 2019 | Auto123.com

Une longue série de rappels pour le Jeep Cherokee

Ce n’est pas la première fois que Jeep traite ce problème. En 2020, un rappel similaire avait été effectué sur les modèles 2014 à 2017. Après une nouvelle enquête en 2023 sur les modèles 2016 et 2017, l’entreprise a élargi ses recherches aux années 2017 à 2019. Ces enquêtes ont révélé que 1064 réclamations de garantie avaient été déposées en lien avec ce défaut, en plus de 43 rapports d’incidents sur le terrain et 55 dossiers de service.

Toujours pas de solution définitive

Malheureusement, une solution pour la réparation est encore en cours de développement. Jeep prévoit d’envoyer des notifications aux propriétaires dès le mois prochain. En attendant, les conducteurs sont encouragés à rester attentifs aux signes avant-coureurs tels que des bruits inhabituels, des vibrations ou des changements dans la qualité de conduite.

Parallèlement, Mopar rappelle également 6979 modules de transfert de puissance affectés par le même problème, des unités fabriquées par la firme American Axle & Manufacturing. Là encore, aucune solution n’a encore été annoncée.

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Le texte Jeep rappelle plus de 63 000 Cherokee des années 2017 à 2019 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Après des années de rumeurs, Ram a confirmé la production d’un nouveau pick-up intermédiaire prévu pour 2027. Cette nouvelle provient d’un mémo interne du United Auto Workers (UAW) divulgué par Automotive News. Le modèle sera fabriqué à l’usine de Belvidere, en Illinois, actuellement mise en pause.

Ce véhicule vient répondre à un besoin stratégique dans la gamme Ram, face à des concurrents établis comme le Ford Ranger et le Toyota Tacoma. La relance de l’usine créera environ 1 500 emplois, permettant aux employés syndiqués UAW de reprendre le travail.

Un projet ambitieux pour Stellantis

Le mémo révèle plusieurs annonces importantes de Stellantis :

  • Pick-up intermédiaire Ram : Production à Belvidere dès 2027.
  • Nouveau Dodge Durango : Assemblé au complexe de Detroit.
  • Investissements à Toledo, Ohio : Améliorations pour les Jeep Wrangler et Gladiator.
  • Kokomo, Indiana : Développement du moteur GME-T4 Evo pour Jeep et Alfa Romeo.

L’usine de Belvidere, autrefois dédiée à l’assemblage du Jeep Cherokee, avait cessé ses activités en février 2023 pour des rénovations en vue de produire des camions électriques. Cependant, face à une demande d’EV plus faible qu’espéré et des changements dans l’administration politique, Stellantis a réorienté ses priorités.

Une stratégie tournée vers le marché américain

Ce pick-up intermédiaire marque un tournant pour Ram. Bien que le modèle Rampage soit déjà produit au Brésil, sa possible arrivée sur le marché américain semble imminente. Des prototypes de la Ram Rampage ont d’ailleurs été aperçus en test au Colorado.

Avec cette annonce, Ram s’apprête à relancer la Dakota ou une nouvelle gamme conçue spécifiquement pour les États-Unis.

Conclusion

Stellantis mise sur ce projet pour revitaliser sa présence dans le segment des pick-up intermédiaires, en alignant sa stratégie sur les attentes des consommateurs américains et en renforçant l’industrie locale.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Ram confirme la production d’un nouveau pick-up intermédiaire pour 2027 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le constructeur automobile américain a discrètement mis à jour son site web pour avertir les acheteurs potentiels qu’il augmentera les prix le mois prochain.

Tesla augmentera le prix de toutes ses voitures au Canada le mois prochain.

Les clients devront payer jusqu’à 6 200 dollars de plus à partir du 1er février L’augmentation la plus importante concernera la berline Model 3, dont le prix de vente conseillé augmentera jusqu’à 9 000 $. Par ailleurs, toutes les variantes des modèles Y, S et X subiront des augmentations de 4 000 dollars. Le Cybertruck n’est pas concerné.

Et pourquoi cette augmentation de prix

La raison de ces augmentations de prix n’est pas claire, car Tesla ne l’a pas expliquée. Cela dit, il pourrait y avoir un lien avec la guerre tarifaire imminente entre les États-Unis et le Canada. En début de semaine, le Premier ministre canadien Justin Trudeau a clairement indiqué que son gouvernement prévoyait de réagir en conséquence si le président américain Donald Trump imposait des droits de douane de 25 % sur les importations en provenance du Canada et du Mexique à partir du mois prochain.

Des prix et la hausse et plus de subventions

Quelle qu’en soit la raison, il est clair que les acheteurs canadiens de VE – en particulier ceux qui souhaitaient acquérir une nouvelle Tesla – doivent réévaluer leur budget. La semaine dernière, le programme fédéral d’incitation à l’achat de VE, iZEV, a été complètement interrompu après épuisement des fonds. Le programme offrait 5 000 $ pour l’achat d’un nouveau VE et devait durer jusqu’au 31 mars, mais il a été interrompu en raison d’une « vague d’intérêt ».

Une deuxième hausse en un mois

Au début du mois, Tesla a augmenté le prix de toutes les versions du modèle Y au Canada de 1 000 $. Avec les dernières hausses de prix et la disparition de l’incitation fédérale pour les véhicules électriques, les acheteurs pourraient commencer à regarder ailleurs pour leur prochaine voiture à batterie. Cela dit vous avez encore droit au rabais de 4 000$ dollars du gouvernement du Québec jusqu’au 1 er février.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte Tesla prépare des augmentations de prix significatives au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) américaine, l’équivalent de Transports Canada, a ouvert une enquête sur des rapports d’incidents faisant état de présumées défaillances du moteur V8 de 6,2 litres de General Motors (GM), une mécanique qui sert une panoplie de camionnettes et d’utilitaires pleine grandeur au sein de l’empire américain.

En tout, 877 710 véhicules seraient visés par l’enquête. Rappelons qu’à cette étape du processus, la NHTSA n’a pas encore exigé un rappel. Ce sont les résultats des analyses en court qui déboucheront ou non sur une campagne.

La cause

L’organisme américain a reçu 39 plaintes faisant état d’un ennui avec le moteur. Le problème est apparemment causé par la défaillance d’un palier/roulement (bearing) qui, à son tour, « peut entraîner soit une saisie du moteur, soit une rupture du bloc moteur à partir de la bielle ».

C’est évidemment un problème aux conséquences majeures. Comme le souligne la NHTSA, « la défaillance ou le dysfonctionnement du moteur entraîne une perte de la force motrice du véhicule, ce qui peut augmenter le risque d’accident entraînant des blessures et des dégâts matériels ».

Le Cadillac Escalade
Le Cadillac Escalade | Auto123.com

Plusieurs modèles

Étant donné que cette mécanique est utilisée avec plusieurs véhicules, les produits visés sont nombreux. On parle des Chevrolet Silverado 1500, Suburban et Tahoe, du Cadillac Escalade, ainsi que des GMC Sierra 1500 et Yukon. La plupart des véhicules figurant sur la liste des produits concernés ont été construits entre 2021 et 2024, mais les camionnettes Silverado et Sierra 1500 assemblées en 2019 et 2020 sont également surveillées.

Il sera intéressant de savoir (si l’on finit par l’apprendre) c’est ce qui a changé avec cette mécanique avec le temps, car elle est au menu depuis longtemps, et le problème allégué n’a pas été identifié auparavant.

Rappelons que si l’enquête de la NHTSA révèle un problème, un rappel important pourrait suivre.

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Le texte La NHTSA enquête sur 877 710 véhicules General Motors provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La Chevrolet Chevette n’est pas la voiture qui a marqué l’histoire pour les bonnes raisons. Elle a servi quantité de propriétaires au mieux de ses compétences, mais ces dernières étaient limitées.

Commercialisée une dizaine d’années, elle a été rapidement oubliée par ceux qui ont eu un modèle, et par tout le reste de l’industrie.

Cependant, comme ça semble être le cas avec tous les véhicules qui ont déjà été mis sur la route, on finit toujours par retrouver des exemplaires en bonne condition, voire des modèles avec très peu de kilomètres au compteur.

C’est ce que l’on a pu voir récemment alors qu’une version 1987 est apparue à un encan du groupe Mecum. Le compteur de la variante en question n’affiche que 48,4 miles, soit 77,9 km. Elle avait été vendue 4995 $ US en 1987. Au Canada, son prix à l’époque était autour de 7000 $.

La Chevrolet Chevette 1987
La Chevrolet Chevette 1987 | Auto123.com

Pour tout amateur de voitures, il est intéressant de voir un tel modèle ressurgir et être offert dans le cadre d’une enchère. Ce qui a renversé tout le monde, c’est le prix de vente, soit 30 000 $ US, avant les frais de 10 % qui ont fait gonfler la facture à 33 000 $ US.

C’est ahurissant, car ce véhicule ne vaudra jamais ce prix ; l’acheteur doit avoir les poches pleines, ou encore avoir eu un exemplaire plus jeune et souhaiter revivre une période de sa vie.

Le hic, c’est qu’on s’attend à trouver un véhicule en parfaite condition à ce prix, mais ce n’est pas tout à fait le cas. La voûte de toit est décollée, le pare-chocs arrière est égratigné et les logos sont quelque peu picotés. Pour le reste, la condition est exceptionnelle, on s’entend.

La Chevrolet Chevette 1987, intérieur
La Chevrolet Chevette 1987, intérieur | Auto123.com
La Chevrolet Chevette 1987, sièges
La Chevrolet Chevette 1987, sièges | Auto123.com

L’équipement de cette Chevette comprenait une radio AM, un allume-cigarette, un plafonnier, ainsi qu’une barre stabilisatrice à l’avant. Une boîte manuelle à quatre rapports est peut-être la chose la plus intéressante sur la liste des caractéristiques.

Ceux qui ont déjà conduit une version à boîte automatique (c’est le cas de l’auteur de ces lignes) savent à quel point l’expérience était pénible.

Et qu’est-ce qui attend cette Chevrolet Chevette ? Il serait étonnant qu’elle se retrouve sur la route, car rapidement, sa valeur, déjà surestimée, va fondre comme neige au soleil. L’acheteur souhaite assurément l’ajouter à sa collection, espérant peut-être voir sa valeur croître au fil des années.

Nous ne parierions pas là-dessus, mais encore, nous n’aurions pas parié sur le fait qu’une Chevette puisse se vendre 30 000 $ US.

La Chevrolet Chevette 1987, moteur
La Chevrolet Chevette 1987, moteur | Auto123.com
La Chevrolet Chevette 1987, écusson Chevrolet
La Chevrolet Chevette 1987, écusson Chevrolet | Auto123.com

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Le texte Quelqu’un a payé 30 000 $ US pour une Chevrolet Chevette 1987 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Après des décennies d’absence, Citroën prévoit de faire renaître sa légendaire 2CV, cette fois en version électrique. Selon Autocar, la marque travaille sur un projet visant à moderniser l’iconique « deux-chevaux » en la transformant en une voiture électrique abordable, prête à rivaliser avec des modèles comme la Dacia Spring.

Ce lancement serait prévu pour 2028, marquant ainsi le 80e anniversaire de ce symbole automobile.

Pourquoi maintenant ? Le rôle de la Renault 5 EV

Le succès de la Renault 5 EV, avec son design rétro et son prix attractif, semble avoir incité Stellantis, maison mère de Citroën, à revoir sa stratégie. La Renault 5 a non seulement séduit un large public en France, mais elle a également été couronnée comme Voiture européenne de l’année, surpassant la Citroën e-C3.

Le projet de 2CV électrique, bien qu’à ses débuts, pourrait utiliser la plateforme Stellantis Smart Car, déjà exploitée sur l’e-C3 et d’autres modèles compacts comme la Fiat Grande Punto. Mais cette nouvelle version se démarquera par des éléments de design rappelant son ancêtre : les phares en forme d’yeux d’insecte, une ligne de toit arrondie et peut-être même des roues arrière cachées sous des ailes couvertes.

La Citroën 2CV 1963
La Citroën 2CV 1963 | Auto123.com

La « deux-chevaux » : une histoire d’amour

Entre 1948 et 1990, plus de 3,8 millions de 2CV ont été produites, le modèle devenant un symbole universellement reconnu pour son charme et sa simplicité. Pourtant, contrairement à des produits comme la Mini, la Fiat 500 ou encore la Volkswagen Beetle, la 2CV n’a jamais eu droit à une renaissance rétro au tournant des années 2000.

En 2019, Citroën avait pourtant affirmé qu’un retour de la 2CV n’était pas à l’ordre du jour. Le changement de cap souligne l’importance de rester compétitif face à des rivaux comme Renault, en tirant profit sur la nostalgie et l’accessibilité.

Une version utilitaire pour séduire

En plus de sa version classique, le projet pourrait inclure une déclinaison utilitaire, inspirée de l’ancienne fourgonnette 2CV. Une telle offre viserait à intéresser les professionnels, un segment stratégique où Citroën pourrait se démarquer grâce à un design unique et des coûts opérationnels réduits.

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Le texte Citroën veut réinventer sa 2CV pour l’ère électrique provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le gouvernement du Mexique a lancé un projet visant à concevoir et fabriquer des véhicules électriques bon marché baptisés Olinia. La présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum, a affirmé que, si tout va bien, un dévoilement aura lieu durant la 23e Coupe du monde de football de la FIFA, en juillet 2026. Cette compétition sera disputée au Mexique, au Canada et aux États-Unis.

C’est dans le cadre d’une « conférence de presse matinale du peuple » que la présidente a fait cette annonce, le 6 janvier dernier. « Les Mexicains ont de la créativité, de la détermination et des capacités à revendre. C’est pourquoi nous allons produire l’Olinia, de petits véhicules 100 % électriques abordables, conçus par des jeunes et assemblés dans notre pays », a-t-elle déclaré.

Ce projet s’inscrit dans la Stratégie nationale d’industrialisation et de prospérité partagée adoptée par son gouvernement. Cette stratégie a identifié les secteurs de l’automobile et de l’électromobilité, mais aussi ceux des semi-conducteurs et des drones, comme des pôles de développement prioritaires du pays.

Réduire la dépendance aux VÉ chinois

Avec ce projet, l’administration Sheinbaum souhaite favoriser l’électrification des véhicules en permettant aux Mexicains d’accéder à des VÉ plus abordables. On veut aussi développer une chaîne d’approvisionnement robuste au Mexique en renforçant les capacités de fabrication locales afin de réduire la dépendance aux véhicules importés, notamment ceux venant de la Chine.

Ça ne se limite toutefois pas à cela. Grâce à ce projet, on voudrait faire du Mexique un acteur clé de la mobilité future, en tirant parti de l’industrie automobile déjà établie dans ce pays. Le plan s’aligne également sur d’autres initiatives, comme l’accroissement de l’extraction du lithium et le développement de solutions d’énergie renouvelable, bien que les détails sur tout cela n’aient pas encore été entièrement élaborés.

Le développement d’Olinia sera géré par le Secrétariat des Sciences, des Lettres, de la Technologie et de l’Innovation du Mexique, alors que l’Institut polytechnique national (IPN) et l’Institut technologique national du Mexique (TecNM) seront maîtres d’œuvre du développement des véhicules.

Mme Sheinbaum a dit qu’une équipe est déjà à l’œuvre et que son travail est avancé. « À un certain moment, des entreprises privées impliquées depuis longtemps dans la production de moteurs électriques au Mexique seront invitées à se joindre à elle », a-t-elle ajouté.

Nom emprunté à une langue aztèque

Le nom Olinia signifie « mouvement ». Il est emprunté au náhuatl, une langue aztèque. Il désignera une gamme constituée de trois modèles très différents : une minivoiture servant aux déplacements personnels, une citadine plus grande adaptée aux voyages urbains et un fourgon conçu pour les livraisons de proximité selon le concept du « dernier kilomètre ».

Lors de la conférence de presse, le coordinateur du projet, l’ingénieur Roberto Capuano, qui a dirigé le système de transport en commun de Mexico City Metrobús, a affirmé que son objectif consiste à lancer les trois véhicules d’ici six ans. Ils seront conçus et assemblés dans une usine à Puebla, où quatre grands constructeurs sont déjà présents : Volkswagen, Mazda, Kia et Audi.

Le coordinateur a ajouté qu’un budget de 25 millions de pesos (1,7 M$) a été alloué à l’IPN et à TecNM pour 2025, afin de promouvoir ce projet, dont le jeune ingénieur Rafael Garayoa sera le responsable technique.

On ignore toujours à quoi ressembleront ces trois véhicules. Les images projetées durant la conférence de presse (photos ci-haut) montraient des illustrations de synthèse servant seulement à illustrer les propos des différents présentateurs. En revanche, actuellement, le prix de ces véhicules est estimé entre 90 000 et 150 000 pesos (6 300 $ et 10 500 $), selon le modèle.

La… seconde marque mexicaine de VÉ

Olinia ne sera toutefois pas la première marque mexicaine à proposer des VÉ. Cet honneur revient à Zacua. Ce petit fabricant dont les origines remontent à 2017 achète des composants de Chatenet, une entreprise française qui produit de petits VÉ, puis assemble à la main deux jolies citadines appelées MX®2 et MX®3 dans une usine située à… Puebla !

Photos : Gouvernement du Mexique et Zacua

Le texte Le Mexique va fabriquer des VÉ abordables sous la marque Olinia provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

D’après le rapport 2025 de Brand Finance, Toyota domine toujours le classement des marques automobiles les plus précieuses avec une valeur estimée à 86,5 milliards CAD, soit une augmentation de 23 % par rapport à l’année précédente. Mercedes suit au deuxième rang avec 70,8 milliards CAD, malgré une baisse de 11 %, tandis que Hyundai occupe la troisième place. Tesla, autrefois en tête du secteur électrique, chute au quatrième rang avec une valeur estimée à 57,5 milliards CAD, une baisse de 26 %.

Les causes du déclin de Tesla

Selon l’étude, le recul de Tesla s’explique par une gamme de véhicules vieillissante et les controverses entourant son PDG, Elon Musk. Ce dernier polarise l’opinion publique, ce qui influence négativement l’image de la marque. David Haigh, PDG de Brand Finance, explique : « Si vous achetez un véhicule électrique, la personnalité de Musk peut fortement impacter votre perception de Tesla, mais ce n’est qu’un des nombreux facteurs. »

En Europe, l’indice de considération de Tesla (probabilité d’achat) est passé de 21 % à 16 %, se faisant surpasser par Mercedes et le constructeur chinois BYD. Toutefois, aux États-Unis, Tesla conserve une image plus favorable.

Une compétition intense

Le rapport souligne que les marques automobiles sont loin derrière les leaders mondiaux comme Apple (766,3 milliards CAD), Microsoft (615,6 milliards CAD) et Google (551,4 milliards CAD). Toyota, malgré sa première place parmi les constructeurs, se classe seulement 18e au niveau mondial.

Tesla, qui était 9e en 2023, chute désormais à la 36e place. De leur côté, Mercedes et Hyundai gagnent des parts de marché, grâce à une stratégie mieux adaptée aux attentes des consommateurs.

Conclusion

L’évolution du classement des marques automobiles reflète une industrie en transformation. Alors que Toyota consolide son leadership, Tesla doit relever de nombreux défis, notamment le renouvellement de sa gamme et la gestion de la réputation de son PDG, pour regagner sa position.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte Toyota est la marque automobile la plus prestigieuse provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Quoi de plus réconfortant l’hiver qu’un bon chocolat chaud, celui qui est à base de vrai chocolat et de lait. Ce que nous offre l’Equinox RS est de la poudre de Cacao avec de l’eau. Ce n’est pas mauvais, mais, il manque quelque chose.

Commençons par les bonnes nouvelles

La version 2025 arrive avec des améliorations notables. Son style extérieur modernisé et son habitacle moderne impressionnent, mais son moteur manque de punch pour justifier l’emblème « RS ». Chevrolet semble avoir fait un pas en avant, mais pas assez pour rivaliser avec les Honda CR-V et Toyota RAV4, dominants dans ce segment.

Conduite et tenue de route

Sous le capot, on retrouve un moteur turbo de 1,5 litre emprunté au modèle précédent, jumelé à une nouvelle boîte automatique à 8 rapports. En conduite quotidienne, la transmission est fluide à faible régime, mais dès qu’on appuie sur l’accélérateur, l’ensemble manque de dynamisme malgré les 175 chevaux annoncés. Le 0-100 km/h se fait en 9,2 secondes, moins rapide que le CR-V actuel. Le moteur est relativement discret, sauf lors des démarrages à froid où il devient bruyant jusqu’au moment où il monte en température. Sur la route, la direction manque de vie et les freinages d’urgence manquent de raffinement. Si l’Equinox offre un comportement docile en usage normal, ses performances en conduite sportive sont loin de ce que son badge RS pourrait suggérer. Vous avez le choix de plusieurs modes de conduite qui s’adapte aux conditions de la route. Notre essai dans une semaine très froide s’est passée en mode neige ou le système passe automatiquement des deux roues motrices en mode normal à 4 roues motrices dans le mode neige.

Motorisation décevante pour un RS

Malgré un gain en fluidité grâce à la nouvelle boîte automatique, le moteur reste bruyant et vibre sous forte accélération. Les dépassements demandent de la planification, surtout sur l’autoroute. Chevrolet aurait pu offrir une motorisation plus puissante pour mieux justifier le positionnement sportif du modèle RS.

Technologie et habitacle : un vrai point fort

L’intérieur présente un écran tactile de 11,3 pouces intégré à un tableau de bord numérique de 11 pouces, avec une interface Google OS fluide et intuitive. Contrairement à la version électrique, Apple CarPlay est disponible. Les sièges arrière chauffants, offerts en option, ajoutent une touche de confort. L’envers de la médaille touche aux matériaux plastiques qui ternissent l’ambiance, bien que des coutures bleues et rouges viennent agrémenter l’ensemble. L’espace intérieur est correct, bien que légèrement inférieur à certains concurrents comme le CR-V. Les options de rangement, comme le plancher plat à l’arrière et les nombreux compartiments, sont bien pensées.

Style extérieur : moderne et élégant

L’Equinox 2025 arbore un design plus affirmé et séduisant, avec des lignes épurées qui lui donnent une allure moderne. La finition RS ajoute une touche sportive avec des accents noirs et des jantes spécifiques, mais ce look n’est pas totalement en phase avec ses performances.

Rapport qualité/prix

Le modèle RS AWD débute à 42 570 $. Notre version d’essai, équipée de plusieurs options (caméra 360°, sièges avant ventilés, rétroviseur caméra), fait grimper le prix.

Une évolution mais pas une révolution

Le Chevrolet Equinox RS AWD 2025 marque une nette amélioration par rapport au modèle précédent surtout au chapitre de la transmission. On se doit aussi d’apprécier le style et la technologie embarquée. Cependant, son manque de dynamisme et de raffinement mécanique l’empêche de se démarquer dans ce segment ultra-compétitif.

Points forts

  • Écran tactile intuitif et performant
  • Nombreux espaces de rangement
  • Bon rapport équipement/prix

Points faibles

  • Motorisation peu raffinée
  • Performances décevantes pour un modèle RS
  • Habitacle perfectible en termes de matériaux

Le texte Chevrolet Equinox RS AWD 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile