Dans mon métier, je n’ai pas seulement la chance de mettre les mains dans de belles ancienne : je rencontre surtout des passionnés. Et comme dans mon garage, il y en a de toutes les couleurs. Avec les années, j’ai fini par remarquer certains “styles” de propriétaires de voitures anciennes. Vous allez sûrement vous reconnaître… ou reconnaître quelqu’un que vous connaissez !

Il y a celui qui aime économiser, le bricoleur créatif. Toujours à trouver une astuce pour prolonger la vie d’une pièce: un peu de duct tape ici, un tie-wrap là. Faut lui donner ça : son sens pratique est imbattable… même si parfois, ça finit par lui coûter un remorquage.

À l’autre bout, on retrouve le perfectionniste. Sa voiture est plus propre que la cuisine de ta grand-mère avant Noël. Pas un grain de poussière, pas une trace de doigt. Le moteur, c’est une œuvre d’art! Il roule un 100 points et chaque petit détail sera remis à neuf si un bruit douteux survient.

On a aussi le prudent. Il a un bijou dans son garage, mais il ne roule jamais avec. “Il pourrait pleuvoir…”, “L’asphalte est poussiéreuse…”, “Y’a du sel dans l’air !” Bref, la voiture sort trois fois par été, par temps sec, soleil garanti, et pas plus loin que le Dairy Queen du coin.

Puis vient le passionné des expositions. Lui, sa vie c’est les rassemblements. Tous les week-ends, il astique et il cire. Il sort sa chaise pliante et son chapeau, fier comme un coq à côté de son trésor. Son plus grand plaisir ? Voir les passants s’arrêter, les yeux brillants, et lancer un : “Wow, beau bolide, c’t’une quelle année?”

Et comment oublier le sentimental. Pour lui, sa voiture, c’est une histoire de cœur. C’était le char de son père, le modèle que son grand-père conduisait, ou celui dans lequel il a eu son premier baiser. Quand il en parle, on sent que le carburant, c’est surtout l’émotion.

Il y a aussi l’autodidacte : Il a démonté son auto jusqu’au dernier boulon grâce à une vidéo en ligne et l’a remontée tout seul. Respect, vraiment. Mais depuis, il ne parle QUE de ça. Tu n’as même pas fini ta bière qu’il t’a déjà raconté trois fois comment il a ajusté son carburateur avec un tournevis d’époque.

Et que dire du collectionneur. Il ne s’arrête jamais à une seule voiture. Dans sa cour ou dans son entrepôt, c’est presque un musée. Des Dodge, des Chevrolet, des Buick… il connais plus leurs histoires que l’arbre généalogique de sa famille.

Pour terminer il y a le spéculateur rêveur. Lui, il est persuadé que sa voiture vaut “une fortune”. Selon lui, c’est une “pièce rare”, “impossible à trouver”, “comme neuve”. La réalité ? Le marché dit 15 000$, lui il en demande 40 000$. Il attend encore l’acheteur… depuis dix ans.

Bref, peu importe le style, il y a une chose qui nous unit tous : la passion des vieilles voitures. Mais avant de plonger dans l’aventure et d’acheter votre coup de cœur, laissez-moi vous donner un petit conseil de mécano : faites toujours inspecter la voiture avant de signer. Comme une vieille maison, une ancienne peut cacher des mauvaises surprises sous sa belle apparence. Une inspection, c’est la meilleure façon d’éviter un mauvais achat… et de garder le sourire au volant. Parce qu’au final, peu importe si vous êtes un perfectionniste, un bricoleur ou un sentimental, ce qui compte, c’est de profiter de votre passion en toute tranquillité. Et si vous avez besoin d’un coup de main ou d’un conseil… les portes de l’atelier sont toujours ouvertes !

Le texte Quel genre de propriétaires de voitures ancienne êtes-vous ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La marque de luxe de General Motors (GM) mise sur une refonte pour prolonger la vie de ses berlines à essence. Cadillac prévoit de cesser la production de sa berline compacte CT4 à l’été 2026, tout en préparant une seconde génération pour la CT5, sa berline intermédiaire.

Cette décision prolonge donc la production de véhicules à essence à l’usine Lansing Grand River, au Michigan, un site qui devait initialement accueillir des modèles électriques de GM.

La CT4 tire sa révérence, la CT5 poursuit son chemin
Selon Cadillac, la production de la CT4 se poursuivra jusqu’en juin 2026, tandis que celle de l’actuelle CT5 se maintiendra jusqu’à la fin de cette même année. Par la suite, l’usine assemblera une nouvelle génération de CT5 destinée au marché nord-américain.

La Cadillac CT5 actuelle
La Cadillac CT5 actuelle | Auto123.com

Aucune date de lancement n’a encore été annoncée, mais selon Automotive News, l’arrivée de cette nouvelle CT5 pourrait se faire d’ici 2028. Rappelons que le modèle actuel a déjà bénéficié d’un rafraîchissement pour l’année-modèle 2025.

Un investissement de 1,25 milliard de dollars à Lansing Grand River
Dans le cadre de son entente de 2023 avec le syndicat UAW, GM s’est engagé à investir 1,25 milliard de dollars américains dans l’usine de Lansing Grand River. Initialement, cette somme devait soutenir la conversion du site vers la production de véhicules électriques.

Le département de l’Énergie des États-Unis avait d’ailleurs approuvé un financement de 500 millions de dollars américains pour appuyer cette transformation. Or, ce financement figurerait aujourd’hui sur une liste de subventions que l’administration Trump envisagerait d’annuler, bien que le Département n’ait pas confirmé cette information.

GM maintient le cap malgré les incertitudes
Malgré cette possible perte de financement, GM affirme poursuivre son investissement au Michigan. « La fin de la production actuelle permettra à GM d’entreprendre d’importants travaux de rénovation et d’amélioration dans le cadre de son investissement de 1,25 milliard de dollars américains », a déclaré un porte-parole du constructeur.

Ces améliorations incluront une modernisation complète de l’atelier de peinture, de nouveaux convoyeurs, des mises à jour des systèmes de contrôle, ainsi que des équipements de soudage et d’étanchéité à la fine pointe de la technologie.

Une transition électrique repoussée
Ce prolongement de la production à essence démontre que Cadillac — tout comme plusieurs marques de GM — ralentit sa transition vers l’électrification complète de sa gamme. Alors que la marque avait initialement prévu de devenir 100 % électrique d’ici 2030, le retard de la demande et la révision des investissements forcent désormais une approche plus graduelle.

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Le texte La CT4 de Cadillac tire sa révérence, la CT5 survit provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Cette semaine, l’heure est aux célébrations chez Honda Canada. Si Stellantis connaît des enjeux importants en apprenant que le nouveau Compass ne sera finalement pas bâti dans les installations de Brampton, l’atmosphère est très différente chez Honda qui souligne le onze millionième véhicule fabriqué au pays.

Par voie de communiqué, Honda rappelle qu’en 2023, le manufacturier avait souligné le dix millionième véhicule assemblé. Il ajoute que les festivités se poursuivront dès le début de l’année prochaine, alors que l’usine d’Alliston en Ontario atteindra l’âge de 40 ans.

Comme on peut le voir sur la photo, le onze millionième véhicule de la marque Honda à être assemblé au Canada est une Civic berline hybride 2026 de couleur rouge rallye. On se souviendra qu’en juin 2024, Honda a lancé la production de la Civic berline hybride à l’usine d’Alliston en Ontario.

Pour 2026, la Honda Civic berline hybride Sport affiche un prix d’entrée de 36 948 $. Le prix monte à 40 448 $ pour une déclinaison Sport Touring.

L'usine d'Alliston, en Ontario
L’usine d’Alliston, en Ontario | Auto123.com

« Onze millions de véhicules plus tard, les associés de Honda of Canada Mfg. et nos partenaires de la chaîne d’approvisionnement continuent de démontrer ce qu’il y a de mieux en matière de fabrication en Amérique du Nord, grâce à la fabrication flexible qui fait la renommée de Honda », a partagé Dave Jamieson, président-directeur général, Honda Canada).

« […] En tant que deuxième constructeur automobile en importance au Canada, Honda maintient ses activités de fabrication depuis 1986. Nous restons attachés au Canada et à son solide écosystème manufacturier, alors que l’environnement favorable aux entreprises de l’Ontario continue de favoriser notre croissance et notre innovation », a-t-il ajouté alors que le contexte économique actuel est fragilisé notamment par la crise tarifaire qui le Canada aux États-Unis.

25 ans pour l’Acura MDX
La production du onze millionième véhicule au Canada n’est pas la seule raison de festoyer pour le constructeur. L’Acura MDX fêtera au mois d’octobre fêtera son 25e anniversaire. Ce modèle a été assemblé à ses débuts au Canada.

La Honda Civic hybride
La Honda Civic hybride | Auto123.com

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Le texte Honda a maintenant fabriqué 11 millions de véhicules au canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les rumeurs entourant le retour du Toyota FJ Cruiser reprennent de plus belle. Selon de nouvelles informations provenant du Japon, le constructeur s’apprêterait à dévoiler un nouveau modèle compact qui reprendrait l’esprit robuste et rétro de l’original, disparu du catalogue en 2022.

D’après le magazine japonais Mag-X, Toyota présentera un FJ Land Cruiser lors d’un événement exclusif appelé Japan Mobility Show Prologue le 20 octobre 2025, suivi d’un dévoilement mondial le lendemain.

Ce nouveau venu serait décrit comme le « plus jeune membre de la famille Land Cruiser », un VUS compact et carré, fidèle au style de l’ancien FJ Cruiser, mais modernisé selon la signature visuelle actuelle de Toyota.

Fait intéressant : le modèle ne serait pas exposé au kiosque officiel de Toyota pendant le Japan Mobility Show, ce qui renforce le mystère entourant son arrivée.

Le retour du Toyota FJ Cruiser serait imminent | Auto123.com

Un design déjà aperçu dans des brevets

Même si Toyota reste muet, plusieurs indices permettent d’imaginer ce futur FJ Cruiser. Un brevet de design déposé aux Philippines en 2024 montre un petit VUS au style fortement inspiré du concept Compact Cruiser EV, présenté il y a deux ans.

Ce nouveau FJ reposerait sur la plateforme IMV-0 à châssis en échelle, partagée avec le Hilux Champ vendu en Asie du Sud-Est. Cette base polyvalente peut accueillir plusieurs types de motorisations, allant de l’hybride à l’électrique, mais Toyota privilégierait d’abord un moteur thermique pour le lancement.

Un moteur simple et éprouvé pour les marchés émergents

Selon un rapport récent, ce futur FJ Cruiser serait propulsé par un moteur quatre cylindres atmosphérique à essence de 2,7 litres, le même que celui du Land Cruiser Prado vendu hors Amérique du Nord. Une mécanique simple, robuste et économique à entretenir — parfaitement adaptée aux marchés asiatiques et en développement, où la fiabilité prime sur la puissance.

Toyota pourrait toutefois envisager une version hybride ou électrique pour d’autres marchés, notamment les États-Unis, si la demande et les normes d’émissions l’exigent.

À prendre avec prudence… pour l’instant

Pour le moment, Toyota n’a rien confirmé officiellement, et la marque est réputée pour garder ses cartes bien cachées. Toutefois, la convergence des fuites et des dépôts de brevets rend cette rumeur plus crédible que jamais.

Si la date du 21 octobre 2025 se confirme, les amateurs de 4×4 n’auront plus longtemps à patienter avant de découvrir le retour tant attendu du FJ Cruiser, modernisé mais fidèle à son héritage.

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Le texte Le retour du Toyota FJ Cruiser serait imminent provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le coup de frein sur la filière batterie se poursuit au Québec. Après le fiasco Northvolt, c’est maintenant General Motors (GM) et son partenaire sud-coréen Posco Future M qui annoncent la suspension de la deuxième phase de leur projet commun d’usine de matériaux pour batteries, évaluée à plus d’un milliard de dollars.

Une pause stratégique en raison du ralentissement du marché

Le complexe Ultium CAM, actuellement en construction à Bécancour, doit toujours commencer la production de matériaux actifs de cathode pour batteries électriques en 2026. Mais contrairement au plan initial, GM et Posco ne passeront pas immédiatement à la phase d’expansion du projet. « En raison de l’évolution du marché, GM et ses partenaires mettront sur pause la deuxième phase du projet », a indiqué Marie Binette, porte-parole de GM Canada, dans un courriel cité par Radio-Canada.

Un projet de plus d’un milliard mis sur la glace

L’usine, dont la construction avait débuté en 2022, représentait un investissement initial de 600 millions de dollars canadiens. L’année suivante, GM et Posco avaient annoncé une expansion intégrée pour inclure une usine de matériaux précurseurs, portant la valeur totale du projet à plus d’un milliard de dollars américains. Cette mise sur pause a également des répercussions sur d’autres projets dans la région, notamment la future usine de sulfate de nickel que devait construire Vale Base Metals, partenaire de GM.

Vale annule à son tour son usine de sulfate de nickel

Le 16 octobre, Vale a confirmé avoir annulé son projet de 325 millions $ à Bécancour. L’entreprise minière avait déjà franchi plusieurs étapes de planification, mais n’avait pas encore débuté la construction. « GM n’aura pas besoin de nickel sulfate au Québec pour l’instant », a précisé Stuart Weinberg, porte-parole de Vale, ajoutant que la société continue de travailler à fournir du nickel canadien à GM.

Une série de revers pour la filière batterie québécoise

Ces reculs successifs s’ajoutent à une série de contretemps majeurs pour la stratégie batterie du Québec.

En juin 2024, Ford a suspendu les travaux d’une usine de matériaux cathodiques à Bécancour, un projet conjoint évalué à 1,2 milliard $. Sur la rive-sud de Montréal, le méga-projet Northvolt de 7 milliards $ a officiellement été abandonné en septembre 2025, à la suite de la faillite du groupe suédois.

Québec mise toujours sur la reprise du secteur

La ministre de l’Économie, Christine Fréchette, se veut toutefois rassurante. Elle parle d’un ralentissement global du développement de la chaîne d’approvisionnement des batteries, mais affirme que plusieurs projets demeurent actifs au Québec.

GM sous pression face à la transition électrique

Cette annonce survient alors que GM ralentit sa stratégie d’électrification en Amérique du Nord. Le 14 octobre, le constructeur a reconnu une charge de 1,6 milliard $ US liée à la réduction de ses ambitions en matière de production de véhicules électriques. GM cite notamment la fin du crédit d’impôt fédéral américain de 7 500 $ US pour les acheteurs de véhicules électriques en septembre, ainsi que le tarissement du programme canadien de 5 000 $ CA en janvier dernier. Ottawa a promis de le relancer, sans préciser de date.

Une pause symbolique pour la filière québécoise

Avec la mise sur pause de GM et la disparition de Northvolt, Bécancour perd temporairement son statut de “capitale canadienne de la batterie”. La filière, qui devait propulser la province au cœur de la transition énergétique nord-américaine, entre dans une phase d’incertitude — en attendant de meilleurs vents économiques.

Avec des renseignements de la presse canadienne.

Le texte Après Northvolt, GM lève le pied à Bécancour provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Elle est partie et elle reviendra bientôt… à un prix qui devrait intéresser beaucoup, beaucoup d’acheteurs. La Bolt EV 2027 sera vendue au Canada à un prix de démarrage de 39 999 $. En version de base, bien entendu. Mais quand même, pour une citadine capable de parcourir 410 km par charge, c’est tout à fait acceptable.

Rappelons, pour la petite histoire, que le prix moyen payé au Canada ces jours-ci pour un véhicule neuf, avec ou sans moteur à essence, est supérieur à 60 000 $. Une électrique de 40 000 $ devient donc une aubaine, dans le contexte…

À ce prix, il faut toutefois ajouter transport et préparation, et tout ça, ce qui fait grimper la facture à 43 470 $.

Visuellement, la nouvelle venue a des airs de famille avec ses prédécesseures. On reconnaît ses proportions et ses dimensions de voiture compacte. Son moteur fait 210 chevaux et sa batterie est plus moderne, avec une capacité de 65 kilowatts-heure. Sa recharge rapide de 150 kilowatts lui permettra de récupérer jusqu’à 80 % de sa charge en moins de 30 minutes. En fait, la Bolt pourra aussi alimenter des appareils, puisqu’elle a une recharge bidirectionnelle.

À bord, un écran tactile de 11,3 pouces apparaît sur le tableau de bord. On s’attend à la fameuse interface Android Automotive qu’on trouve presque partout ces jours-ci, sans la compatibilité avec CarPlay sans fil d’Apple. Et selon ce que rapportent les espions, la Bolt n’a pas de bouton de démarrage. Probablement qu’elle réagira à la proximité d’une clé ou d’un téléphone configuré pour agir comme la clé.

Bref, plein de petites nouveautés à bord de la Bolt EV 2027, qui, contrairement à ce que dit son année-modèle, devrait arriver sur nos routes d’ici la fin 2026, soit d’ici un an environ.

Le texte La Chevrolet Bolt EV 2027 à 39 999 $ provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Face aux incertitudes du marché électrique et aux tensions commerciales entre le Canada et les États-Unis, Volkswagen Canada se prépare à élargir son offre avec des modèles hybrides.

Le président de VW Canada, Edgar Estrada, a confirmé cette stratégie lors du Forum du commerce de détail d’Automotive News Canada, tenu à Toronto ce mardi 14 octobre. Selon lui, le message du marché canadien est clair : les consommateurs veulent des véhicules plus propres, mais dont l’adoption est simple.

« L’investissement est approuvé, les annonces sont faites, et nous travaillons activement à introduire ces hybrides sur le marché canadien le plus rapidement possible », a déclaré M. Estrada.

Les hybrides prennent l’avantage

Les données de S&P Global Mobility révèlent qu’au premier semestre de 2025, les ventes de véhicules hybrides ont dépassé celles des véhicules 100 % électriques (VÉ), devenant ainsi la motorisation alternative la plus populaire au pays avec environ 13 % des ventes totales.

Jusqu’à présent, Volkswagen n’offrait au Canada que des modèles à essence ou entièrement électriques, malgré la croissance constante de la catégorie hybride ces cinq dernières années. Edgar Estrada n’a pas précisé quels modèles bénéficieront de cette technologie, mais il a confirmé que deux véhicules sont déjà en cours d’adaptation pour recevoir une motorisation hybride.

Bien qu’aucune date officielle ne soit fixée pour le Canada, leur introduction sur le marché américain ne serait pas attendue avant deux ans.

Des hybrides en transition vers le tout électrique

Malgré les défis du marché des VÉ, Volkswagen continue de voir l’électrification comme l’avenir de la mobilité. Toutefois, Edgar Estrada reconnaît que les hybrides offrent aux clients « une transition plus familière et rassurante » vers cette nouvelle ère.

En attendant l’arrivée des hybrides, VW mise sur des modèles à essence renouvelés pour soutenir ses ventes à court terme. Le nouveau Tiguan est déjà sur le marché, tandis qu’un Atlas redessiné suivra en 2026.

Volkswagen Tiguan
Volkswagen Tiguan | Auto123.com

Maintenir l’élan malgré un recul des ventes

Après une année record en 2024, VW Canada vise à surpasser ses résultats en 2025, 2026 et 2027. Cependant, les ventes de la marque ont fléchi de 1,7 % au cours des neuf premiers mois de 2025, selon l’Automotive News Research & Data Center. Le principal responsable est une chute de 50 % des ventes de l’ID.4, le VÉ vedette de Volkswagen. L’Atlas, le Tiguan et la Golf enregistrent aussi des baisses à deux chiffres, partiellement compensées par la bonne performance de la Jetta et du Taos.

Des tarifs douaniers sous surveillance

La guerre commerciale entre le Canada et les États-Unis, qui dure depuis plus de six mois, pèse sur plusieurs constructeurs, dont Volkswagen. Les modèles ID.4, Atlas et Atlas Sport, assemblés à Chattanooga, au Tennessee, sont désormais soumis à une surtaxe canadienne de 25 %.

Malgré tout, M. Estrada affirme que l’impact demeure limité, car la majorité des ventes de VW Canada provient de modèles fabriqués au Mexique et en Europe, qui ne sont pas touchés par ces tarifs.

Pour limiter la hausse des prix, VW cherche à répartir équitablement le coût des tarifs entre le constructeur, ses concessionnaires et les consommateurs, tout en s’efforçant de garder ses véhicules aussi abordables que possible.

Entre les tensions commerciales, la pression tarifaire et la transition énergétique, Volkswagen Canada ajuste habilement sa stratégie. L’arrivée prochaine des hybrides représente une étape clé pour maintenir sa croissance et rassurer une clientèle encore prudente face au tout-électrique.

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Le texte Volkswagen prépare une offensive hybride pour soutenir sa croissance au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Alors que le marché canadien des voitures exotiques a chuté de 25 % au premier semestre de 2025, Lamborghini parvient à maintenir ses ventes stables. Selon le PDG d’Automobili Lamborghini, Stephan Winkelmann, la marque italienne a même gagné des parts de marché malgré un contexte économique incertain.

Des ventes stables malgré la fin de la Huracán

Au cours des six premiers mois de 2025, 150 Lamborghini ont été livrées au Canada, contre 166 à la même période en 2024. La marque rappelle toutefois que la production de la Huracán a cessé en 2024, en attendant l’arrivée de sa remplaçante, la Temerario, prévue pour le printemps 2026.

Depuis 2022, les constructeurs automobiles au Canada doivent composer avec la taxe fédérale sur les véhicules de luxe de plus de 100 000 $, ce qui affecte directement les marques de prestige.

Le modèle le plus vendu de Lamborghini demeure le Urus SE hybride, affiché à environ 305 000 $ (plus 5000 $ de frais de transport). La compagnie ne publie pas de chiffres détaillés par modèle ou par région, mais Toronto reste son plus grand marché, suivi de Vancouver, Montréal et Calgary.

Une concession de Vancouver repensée

Présente à Vancouver depuis 2005, Lamborghini a rouvert les portes de sa concession dans un espace presque deux fois plus grand pour mieux servir sa clientèle fortunée, tout comme John Scotti à Montréal, qui a récemment rénové entièrement ses installations.

À Vancouver, la nouvelle salle d’exposition, exploitée par le groupe Dilawri, peut accueillir neuf véhicules (contre sept auparavant). L’atelier passe de deux à six baies de service, et l’espace de stockage de pièces a été agrandi de 97 m². Au total, la superficie atteint désormais 594 m², incluant des bureaux et des salons haut de gamme à l’étage.

« Vancouver abrite la plus forte concentration de grandes fortunes au pays », souligne M. Winkelmann pour expliquer la pertinence de cet investissement.

Lamborghini Urus
Lamborghini Urus | Auto123.com

Des tarifs américains qui bousculent les prix

À l’échelle mondiale, Lamborghini a connu une année record en 2024, avec une hausse de 6 % de ses ventes. Dans les Amériques, la marque a livré 3 712 véhicules, dont plus de 1 500 aux États-Unis au premier semestre de 2025.

L’entreprise reste toutefois prudente : « Nous ne sommes pas à l’abri des fluctuations économiques, et l’incertitude actuelle influence les décisions d’achat de nos clients », reconnaît Stephan Winkelmann.

Les modèles Lamborghini importés d’Europe vers les États-Unis sont désormais soumis à un tarif douanier de 27,5 %, contre seulement 2,5 % auparavant. Des négociations entre l’Union européenne et Washington pourraient toutefois ramener cette taxe à 15 %.

Hausse des prix pour absorber les coûts

Pour limiter l’impact des tarifs, Lamborghini a ajusté les prix de toute sa gamme hybride :

  • • Temerario : +7 %
  • • Urus SE : +7 %
  • • Revuelto : +10 %

Stephan Winkelmann n’a pas révélé l’impact sur les marges, mais admet que « cela affecte nos affaires ». Il estime cependant que les clients du segment de l’ultra-luxe s’adapteront : « Ce sera la nouvelle normalité, et nos acheteurs finiront par l’accepter. »

Malgré une conjoncture difficile et des taxes qui alourdissent la facture, Lamborghini démontre une remarquable résilience. En misant sur des modèles hybrides comme le Urus SE et sur l’arrivée imminente de la Temerario, la marque consolide sa présence au Canada tout en préparant la prochaine phase de son électrification.

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Le texte Lamborghini garde le cap malgré la tempête économique provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

“RTR”. Ces trois lettres signifient Ready To Rock et forment le nom de l’entreprise Vaughan Gittin Jr. Histoire de proposer une Mustang à moteur EcoBoost plus radicale que jamais, Ford s’est associé à RTR et présente le résultat de leur collaboration.

Motorisation de la Ford Mustang RTR 2026

Sur le plan mécanique, la Ford Mustang RTR 2026 est propulsée par le moteur EcoBoost turbocompressé à quatre cylindres de 2,3 litres. Il développe autant de puissance et de couple (315 chevaux et 350 lb-pi).

Toutefois, il importe de noter que la mécanique profite du système anti-décalage. Cette technologie, brevetée avec la Ford GT dans le cadre du développement pour l’épreuve des 24 Heures du Mans, vise à accroître la réactivité de l’accélérateur en s’assurant que le turbocompresseur soit en mesure de fournir la suralimentation nécessaire en accélération.

Grâce à une reprogrammation par logiciel, il est possible de faire passer la puissance à 350 chevaux et le couple à 400 lb-pi.

Elle profite aussi d’un réglage de suspension lui permettant d’être plus agile en piste ainsi que d’amortisseurs MagneRide.

Malgré les nombreuses modifications apportées à la Mustang RTR, elle continue d’être assemblée du début à la fin à l’usine Flat Rock au Michigan, tout en conservant sa pleine garantie.

Ford Mustang RTR 2026, trois quarts arrière
Ford Mustang RTR 2026, trois quarts arrière | Auto123.com

Design de la Ford Mustang RTR 2026

Sur le plan esthétique, la Mustang RTR se distingue entre autres grâce à son bouclier avant emprunté à la Mustang GT, ses prises d’air éclairées distinctives RTR, sa calandre RTR, les rétroviseurs au fini foncé, les jantes de 19 po x 9,5 po au fini foncé, les étriers de frein de couleur lime, l’écusson RTR sur le coffre et les ailes, le graphisme de capot, de bas de caisse et de custode au fini foncé, le becquet arrière et l’ensemble hautes performances de la Mustang GT.

Un habitacle qui se démarque

À bord, la Mustang RTR se démarque également des autres versions proposées dans le catalogue. Elle est facilement reconnaissable grâce aux accents et surpiqûres de couleur lime sur le tableau de bord, la console centrale, les vide-poches et le levier de frein.

Ford Mustang RTR 2026 – prix canadiens

Au moment d’écrire ces lignes, le constructeur n’a pas précisé l’échelle de prix de la Mustang RTR. Cet ensemble priorisant la performance est disponible uniquement avec le modèle coupé de base avec le groupe haut de gamme et la déclinaison Premium.

Il est prévu que les livraisons de la Mustang RTR 2026 débutent au courant de l’été prochain.

Ford Mustang RTR 2026, de profil
Ford Mustang RTR 2026, de profil | Auto123.com
Ford Mustang RTR 2026, roue
Ford Mustang RTR 2026, roue | Auto123.com
Ford Mustang RTR 2026, de haut
Ford Mustang RTR 2026, de haut | Auto123.com
Ford Mustang RTR 2026, écusson RTR
Ford Mustang RTR 2026, écusson RTR | Auto123.com
Ford Mustang RTR 2026, arrière
Ford Mustang RTR 2026, arrière | Auto123.com
Ford Mustang RTR 2026, trois quarts avant
Ford Mustang RTR 2026, trois quarts avant | Auto123.com
Ford Mustang RTR 2026, avant
Ford Mustang RTR 2026, avant | Auto123.com

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Le texte Ford Mustang RTR 2026 : s’inspirer de la Dark Horse provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Subaru entend faire sensation au Salon de la mobilité de Tokyo 2025 en présentant deux concepts STI qui illustrent sa nouvelle orientation : allier performance et électrification.

Au moment où l’industrie automobile est en pleine mutation, le constructeur japonais affiche clairement son intention de préserver son image de performance et de plaisir de conduite tout en misant sur l’électrification.

À Tokyo, la présentation de Subaru se divisera en deux volets. Les deux univers, nommés Performance et Aventure, seront développés sous le thème « Driving the Subaru Difference ».

Performance

Côté sport, les concepts Performance-E et Performance-B seront à l’avant-scène. Ces deux premières mondiales annoncent peut-être la direction que prendra la division STI au cours des prochaines années.

Le Performance-E, entièrement électrique, exprime les ambitions de Subaru dans le domaine des véhicules haute performance zéro émission. Ce prototype mise sur des lignes dynamiques, un aérodynamisme très poussé et une silhouette à hayon. Ses phares à DEL et ses prises d’air généreuses lui confèrent une allure agressive.

À bord, l’accent est mis sur la simplicité et l’efficacité : un cockpit épuré, spacieux et centré sur le plaisir de conduire, avec une technologie entièrement repensée.

Aucune information n’a filtré quant à une éventuelle mise en production de ces concepts, mais il est permis de rêver.

Subaru dévoilera deux concepts STI à Tokyo | Auto123.com
Subaru dévoilera deux concepts STI à Tokyo | Auto123.com

L’essence toujours dans le mix

En parallèle, le Performance-B STI conserve une approche plus traditionnelle. Doté d’un moteur à essence et de la transmission intégrale symétrique à prise constante, il perpétue l’héritage des sportives Subaru.

Sa carrosserie à cinq portes, inspirée de la WRX actuelle, affiche des ailes élargies, un capot ventilé et un aileron proéminent. Tout indique qu’il vise le créneau des compactes sportives, où il affronterait des rivales comme la Toyota GR Corolla.

Ce concept marque le retour d’un véritable pocket rocket signé Subaru, qui renoue ainsi avec son inspiration du rallye.

Aventure

Dans l’univers Aventure, Subaru mettra en avant le Trailseeker, un multisegment électrique inspiré de l’Outback. Il sera accompagné du Forester Wilderness et de la plus récente Outback Wilderness, deux modèles destinés aux amateurs de plein air. Des accessoires de toit, des porte-vélos et des équipements de camping seront mis en valeur pour souligner la polyvalence et la robustesse propres à la marque.

En clin d’œil à son héritage, Subaru présentera aussi la Family Huckster, une transformation spectaculaire d’une GL Wagon 1983, revisitée avec des améliorations techniques et aérodynamiques.

Le dévoilement officiel aura lieu le 29 octobre, lors de la conférence d’ouverture animée par le président de Subaru, Atsushi Osaki.

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