Cet été, je n’ai participé qu’à une activité. Devant un kiosque du marché aux puces de l’endroit, j’entends une conversation entre un père et son fils d’environ 13 ans. Ce dernier lui demande en pointant du doigt “un plat rond” avec un couvercle: “À quoi ça sert papa.”
Le père lui répond: “C’est un filtre à air à bain d’huile. Ça sert à filtrer l’air qui entre dans le moteur.”
Le garçon ouvre le couvercle et ne voit pas de filtre en papier plié en accordéon, comme on est habitué de voir aujourd’hui dans nos voitures aseptisées.
La conversation continue: “Papa où est le filtre?”
Et le père de répondre: “Il n’y en a pas mon garçon, c’est l’huile qui filtre l’air”.
Fiston: “Comment l’huile peut-elle filtrer l’air papa?”
Père: “Écoute bien. Lorsque le couvercle est enlevé, tu remarques un trou au centre du filtre. L’air aspiré par le moteur passe par ce trou pour s’engouffrer dans le carburateur. Autour de ce trou il y a une rigole creuse que l’on remplit d’huile moteur jusqu’à la ligne juste ici. On replace ensuite le couvercle, la pièce la plus importante du filtre. “Ce couvercle a un rôle de premier plan car il dirige l’air vers le fond du filtre sur la surface de la réserve d’huile. M’écoutes-tu mon garçon?”
Fiston: “Oui papa.”
Père: “Lâches ton cellulaire, tu verras que c’est intéressant. Je disais que l’air entre par la fente entre le dessus du filtre et le bord du couvercle, pour se diriger vers le fond et rejoindre la surface d’huile. Le trou au centre du filtre, est entouré d’un tube plus haut que le niveau d’huile. Cela permet d’éviter que l’huile ne descende dans le carburateur lorsque la voiture est en mouvement et force l’air à remonter le long de ce tube pour frapper le dessous du couvercle et enfin s’engloutir dans le carburateur”.
Fiston: “Papa pourquoi l’air fait-il comme les montagnes russes? Il descend par la fente sur le dessus, frappe l’huile, remonte le long du tube au milieu, ricoche sur le dessous du couvercle et redescend dans le carburateur. Ça fait des zigzags pour rien, non?”
Père: “Ces zigzags sont nécessaires car c’est de cette façon que l’air se nettoie. Quand l’air pénètre par la fente du dessus, il entre à très grande vitesse. Lorsqu’il frappe l’huile au fond, les saletés étant plus lourdes que l’air, passent tout droit et ne remontent pas avec l’air. Elles se collent à l’huile et tombent au fond. Ensuite l’air propre remonte le long du tube au centre et redescend dans le carburateur. Comprends-tu mon gars?”
Fiston: “Ouais, je ne suis pas certain de tout me rappeler. Mon Iphone est moins compliqué papa.”
Père: “Tu trouves toi? Il n’y a pas longtemps j’ai voulu accéder à ton application de course vintage sur ton Iphone pendant que tu n’étais pas là. Après 15 minutes je n’avais pas encore trouvé le moyen de partir une course….. Vive l’auto ancienne mon gars!”
Je les ai vus s’éloigner vers un autre kiosque. Le fils fier d’avoir un père qui a le goût de répondre à ses questions et le père fier d’avoir un fils, tout simplement. Se faisant l’accolade, ils se penchent tous les deux au-dessus d’une autre pièce d’allure rétro et voilà que le jeune semble s’interroger à nouveau.
Le texte Filtre à air à bain d’huile provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile
Il y a du neuf chez Karma Automotive. La gamme de ce petit constructeur californien s’enrichit de son premier coupé : l’Amaris, un prénom féminin aux racines indo-européennes signifiant « Promise à Dieu », selon divers sites internet spécialisés en étymologie. Dévoilé le 20 mars dernier, ce coupé est le deuxième modèle de série lancé par cette marque depuis 2016 et l’avènement de la berline Revero (aussi appelée GS-6 brièvement).
Son dévoilement a eu lieu dans le cadre de « Create Karma 2025 », un forum organisé au siège social du constructeur, à Irvine, en collaboration avec la Chambre de commerce locale. Cet événement, qui en était à sa troisième édition annuelle, réunissait des innovateurs de l’industrie, des éducateurs, de même que des dirigeants d’entreprises et de villes du sud de la Californie pour leur permettre d’échanger sur l’avenir des technologies automobiles et leur impact sur cette région des États-Unis.
Ce coupé biplace a naturellement été le clou de l’événement. Il entrera en production au cours du dernier trimestre de 2026, affirme le constructeur, ce qui permettra de combler un vide engendré par un nouveau changement de sa stratégie.
Changement de cap pour Karma
Lors de cet événement, le constructeur a annoncé le réalignement de la stratégie entourant le développement de ses motorisations. Alors qu’il devait électrifier sa gamme de voitures avec l’arrivée anticipée de deux nouveautés, on parle désormais de plutôt miser sur des motorisations hybrides branchables, une technologie que maîtrise Karma.
Ce changement de cap serait une « réponse aux changements à court terme dans la demande des consommateurs pour les véhicules électriques; changements qui ont provoqué des réévaluations similaires chez plusieurs constructeurs de modèles haut de gamme et ultra-luxueux », explique le constructeur.
Bref, la future berline à quatre portes Gyesera, qui devait arriver sur le marché à la fin de 2024, pour remplacer la Revero, fera ses débuts plus tard cette année, mais avec une motorisation hybride branchable plutôt que d’une motorisation électrique, comme prévue initialement. Quant au coupé de haute performance électrique Kaveya, qui devait faire ses débuts d’ici la fin de 2025, sa commercialisation a été repoussée à 2027.
Nouveau 4-cylindres turbo
L’Amaris servira donc à combler cet intérim tout en faisant usage d’une nouvelle motorisation hybride branchable. Pour cette nouveauté, Karma utilisera un 4-cylindres à turbocompresseur, dont l’origine reste inconnue. Ce moteur aura une cylindrée plus importante que le 3-cylindres BMW TwinPower de 1,5 L de la Revero. De plus, ses moteurs électriques lui permettront d’accélérer de 0 à 100 km/h en moins de 3,5 secondes environ, en plus d’atteindre une vitesse de pointe estimée à 265 km/h.
Rappelons que la motorisation hybride branchable de Karma reprend le principe de celles qu’avaient la Chevrolet Volt et la BMW i3. Celle de la plus récente Revero, par exemple, a deux moteurs électriques de 400 kW qui entraînent la voiture et qui sont alimentés par une batterie de 28 kWh. Cette dernière peut être rechargée à l’aide d’une prise de courant ordinaire ou d’une borne de recharge, ou encore en roulant par le moteur BMW TwinPower, qui joue en quelque sorte le rôle d’une génératrice.
Pour cette Revero, avec des conditions optimales, ce genre de motorisation procure une autonomie électrique d’environ 130 kilomètres à laquelle l’action du moteur thermique peut ajouter jusqu’à 450 kilomètres. Le conducteur se retrouve ainsi avec une autonomie totale pouvant atteindre 580 kilomètres.
Par ailleurs, Karma a également annoncé que l’Amaris aura une carrosserie en fibre de carbone et en aluminium dont la silhouette s’inspire du design « Comet Line » imaginé pour la Kaveya. Elle aura des roues Constellation de 22 po en alliage, une voie arrière plus large et ses portières en « ailes de cygne » s’ouvriront comme celles d’une Aston Martin Vantage, en se déployant latéralement tout en se soulevant légèrement. Les prix de ses différentes versions seront annoncés ultérieurement.
De Fisker à Karma, une histoire mouvementée
Les fanatiques d’histoire se souviendront que la Revero est le modèle qui a succédé à la Fisker Karma. Produite à tout juste 2 000 exemplaires, cette berline à motorisation hybride branchable avait été mise au point par Fisker Automotive, l’entreprise fondée par le designer danois Henrik Fisker en 2007. À la suite de problèmes financiers engendrés notamment par la faillite de A123, son fournisseur de batteries, l’entreprise a été revendue au Groupe Wanxiang, un équipementier chinois établi à Hangzhou, en 2014. Puis, en septembre 2015, l’entreprise a été rebaptisée Karma Automotive.
Rappelons, par ailleurs, que c’est le même Henrik Fisker qui a fondé Fisker Inc. en 2016, une nouvelle entreprise qu’il destinait à commercialiser une imposante gamme de véhicules électriques. Malheureusement, elle a été emportée par une faillite fracassante en 2024, après qu’environ 10 000 exemplaires de l’utilitaire Ocean, son premier modèle de série, aient été assemblés.
Photos : Karma
Le texte Karma dévoile son premier coupé hybride branchable : l’Amaris provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile
Mercedes-Benz met en place un programme de départs volontaires généreusement indemnisés dans le cadre d’un plan visant à économiser 7,8 milliards de dollars d’ici 2027. L’entreprise cherche à réduire ses effectifs administratifs et à supprimer des postes de direction, tout en conservant ses talents clés.
Des indemnités à six chiffres selon l’ancienneté
Selon des rapports des médias allemands, les indemnités varient en fonction du salaire et des années de service. Par exemple, un chef d’équipe de 55 ans, avec un salaire mensuel d’environ 14 000 $ et 30 ans d’ancienneté, pourrait percevoir jusqu’à 778 000 $ pour quitter son poste.
Un employé de 45 ans, travaillant depuis 20 ans et gagnant 11 700 $ par mois, pourrait recevoir une offre de 324 000 $. Même un salarié dans la trentaine, avec un salaire mensuel de 9 375 $, pourrait repartir avec 156 000 $ en poche.
Qui est concerné par ces offres de départs ?
Le programme concerne environ 30 000 employés, principalement ceux hors production, qui recevront une offre individuelle d’ici fin avril. Les salariés auront jusqu’au 31 juillet pour répondre, sans obligation d’accepter. Toutefois, Mercedes se réserve le droit de refuser certains départs si l’employé occupe un poste stratégique.
Pourquoi Mercedes-Benz offre-t-il ces indemnités ?
Ce programme s’inscrit dans un cadre légal : les employés administratifs sont protégés contre les licenciements jusqu’en 2034 grâce à des accords passés. Mercedes cherche donc à réduire ses effectifs de manière volontaire et prévoit également de diminuer le nombre de postes de direction.
Avec des renseignements de Carscoops
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Stellantis a annoncé une nouvelle vague de départs volontaires pour certains de ses ouvriers aux États-Unis. L’offre concerne des travailleurs de Detroit, de l’Ohio et de l’Illinois, alors que l’entreprise cherche à réduire ses coûts après une année 2024 compliquée.
Un accord négocié avec le syndicat UAW
Le United Auto Workers (UAW), qui représente la majorité des ouvriers de Stellantis, a confirmé avoir négocié un accord avec la nouvelle direction du constructeur. “Pour ceux qui souhaitent prendre leur retraite, un cadre clair est en place. Pour les autres, une rupture volontaire est désormais envisageable”, a indiqué le syndicat.
Une relation tendue entre Stellantis et le UAW
Les tensions entre Stellantis et le UAW ne datent pas d’hier. Sous la direction de l’ex-PDG Carlos Tavares, le constructeur a été accusé de ne pas avoir respecté ses engagements pris lors des négociations de 2023. Le climat s’est envenimé au point que Stellantis a intenté un procès fédéral contre le syndicat.
Le départ soudain de Carlos Tavares en décembre 2024, après une chute des ventes aux États-Unis, a ajouté aux incertitudes. Aujourd’hui, John Elkann, président de Stellantis, est chargé de trouver un nouveau PDG, dont la nomination est prévue au premier semestre 2025.
Un plan de restructuration en cours
Cette nouvelle vague de départs volontaires n’est pas une première. En mars 2024, Stellantis a licencié 400 employés aux États-Unis, après avoir déjà proposé deux séries de rachat de contrats en 2023.
Les travailleurs concernés ont jusqu’au 8 mai pour accepter cette dernière offre, a précisé l’entreprise.
Avec des renseignements de Reuters
Le texte Stellantis propose de nouveaux départs volontaires pour ses ouvriers américains provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile
Mazda a lancé l’année dernière une version hybride de son VUS CX-50. On se doutait bien que le cousin CX-5 était pour suivre et c’est ce qu’a confirmé la compagnie cette semaine.
Il faudra cependant attendre à la prochaine génération du modèle pour en profiter, et ce sera pour l’année 2027. Assurément, ça va accroître l’engouement pour le véhicule utilitaire, qui est déjà très populaire auprès des consommateurs.
Un nouveau système, développé par Mazda
Plutôt que d’utiliser le système hybride du Toyota RAV4, comme le fait le CX-50, le CX-5 hybride 2027 va profiter d’une technologie développée en interne.
Pour le moment, on n’en connait pas trop du système attendu, mais il est permis de croire qu’il va mettre à profit un 4-cylindres Skyactiv-Z développé par la compagnie, et que deux moteurs électriques lui seront associés, du moins en ce qui a trait aux versions à quatre roues motrices.

Concernant le moteur Skyactiv-Z, il va venir remplacer les groupes motopropulseurs Skyactiv-G dans la gamme. Ce que cette nouvelle génération propose, c’est un mélange air/essence qui est parfaitement équilibré sur toute la plage de régime moteur, ce qui va avoir pour effet de réduire les émissions à l’échappement lorsque la puissance est exploitée.
Cette mécanique va donc être en mesure de respecter les règles environnementales plus longtemps.
Nous allons bien sûr suivre ce dossier de près. Le CX-5 est un rouage majeur dans la gamme de Mazda et l’arrivée d’une nouvelle cuvée, combinée à une offre hybride, pourrait bien faire bondir les ventes de façon intéressante pour la compagnie.
Contenu original de auto123.
Le texte Le Mazda CX-5 2027 sera offert avec un moteur hybride provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile
Eddie Jordan, l’ancien propriétaire d’écurie de Formule 1 et analyste charismatique, est décédé à l’âge de 76 ans.
Né en 1948 à Dublin, Jordan n’était pas destiné au sport automobile : il a d’abord travaillé dans le domaine bancaire avant de découvrir sa passion pour la course. Il fait ses débuts en karting dans les années 1970, avant de progresser vers la Formule Ford et la Formule 3.

Jordan Grand Prix : une écurie audacieuse
En 1991, il fonde Jordan Grand Prix, une écurie qui marquera la Formule 1 jusqu’à son rachat en 2005. Son équipe est célèbre pour avoir lancé la carrière de Michael Schumacher, qui a disputé son premier Grand Prix avec Jordan en 1991 en Belgique, avant de rejoindre Benetton et de devenir un septuple champion du monde.
Sous sa direction, son écurie a remporté quatre victoires en Grand Prix et s’est imposée comme une équipe dynamique et haute en couleur, autant par ses performances que par son style flamboyant dans les paddocks.
Une reconversion réussie dans les médias
Après avoir vendu son écurie, Eddie Jordan embrasse une carrière de consultant et commentateur F1, d’abord pour la BBC dès 2009, puis sur d’autres plateformes. Il a également coanimé, brièvement, l’émission Top Gear aux côtés de Matt LeBlanc, Chris Evans, Chris Harris, Rory Reid et Sabine Schmitz.
Eddie Jordan s’est éteint paisiblement à Cape Town, en Afrique du Sud, entouré de sa famille. Il laisse derrière lui son épouse Marie et leurs quatre enfants.

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Le texte Eddie Jordan : décès d’un personnage qui a marqué la F1 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile
Il a déjà été question dans le passé d’un partenariat entre General Motors (GM) et Hyundai. On comprend maintenant que les deux entreprises seraient sur le point de finaliser une entente, selon ce que rapporte le site Reuters qui cite une source bien au fait des pourparlers.
L’accord verrait Hyundai partager deux de ses fourgons commerciaux électriques avec GM, alors que le géant américain pourrait fournir à Hyundai des camionnettes qu’elle pourrait vendre sur notre continent avec un logo Hyundai.
Ce partenariat pourrait mener à d’autres échanges entre les deux géants, toujours selon ce qu’a déclaré la source. On parle de développement conjoint, d’achats de puces informatiques, de développement de batteries, etc.
Ce genre de partage n’est pas nouveau à travers l’industrie. En raison du contexte actuel, où la concurrence chinoise prend de l’importance, et où une incertitude règne en Amérique du Nord avec les menaces de tarifs de l’administration Trump, les fabricants tentent par tous les moyens de réduire leurs dépenses afin d’être plus concurrentiels.

Les modèles
Pour les modèles qui seraient partagés, Hyundai produirait des fourgons qui seraient vendus sous sa bannière et sous celle de GM. Les modèles seraient importés de Corée du Sud. Concernant les camionnettes de General Motors, Hyundai envisagerait de les assembler en Amérique du Nord d’ici à 2028. Le tout pourrait se faire à l’intérieur d’une nouvelle usine nord-américaine ou d’une installation déjà existante. Il faut comprendre qu’on est encore loin de la première version de production.
Pour les camionnettes, les discussions ont porté sur les modèles intermédiaires de GM, soit les Chevrolet Colorado et GMC Canyon. Apparemment, Hyundai aimerait aussi vendre un modèle pleine grandeur, mais GM n’aurait pas offert cette solution au fabricant coréen.
D’autres véhicules
Les constructeurs discutent également de la possibilité pour Hyundai de fournir à GM des VUS compacts qu’elle pourrait ajouter à sa gamme de produits au Brésil, toujours selon ce qu’a déclaré la source.
GM n’a pas voulu trop s’avancer sur ce dossier qui est encore embryonnaire, mais la compagnie a quand même déclaré que « les deux entreprises continuent d’explorer des domaines de collaboration potentiels. » Hyundai y est allé d’une déclaration similaire.
Des avantages évidents pour les deux entreprises
On le devine, si un tel partenariat voit le jour, c’est qu’il sera profitable aux deux fabricants. Avec deux nouveaux fourgons électriques, GM pourra mieux concurrencer Ford et Ram qui proposent déjà des solutions du genre, le tout sans avoir à investir massivement.
Les deux modèles attendus sont de formats différents, sans surprise. Le plus petit serait assemblé par Hyundai à son usine d’Ulsan à partir de l’été de 2027. En 2028, un fourgon plus imposant serait ajouté à la famille. GM, incroyablement, propose toujours les Chevrolet Express et GMC Savana, mais leurs jours seraient comptés.
Pour Hyundai, l’avantage saute aux yeux. Un modèle intermédiaire lui permettrait d’offrir une solution de rechange aux acheteurs du Nissan Frontier, du Toyota Tacoma et des produits américains, entre autres.
D’autres partages feraient partie des discussions entre les deux fabricants.
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Le texte Un partenariat bientôt entre GM et Hyundai pour des fourgons et des camionnettes en Amérique du Nord provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile
Audi semble enfin prêt à entrer dans l’arène des VUS pleine grandeur, un univers occupé par les BMW X7, Cadillac Escalade et Mercedes-Benz GLS, entre autres. Un prototype du futur Q9 a été aperçu lors de tests, avec une révélation attendue pour le début de 2026, ce qui suggère une commercialisation en 2027 aux États-Unis.
Un SQ9 en préparation ?
Les indices laissent penser qu’il s’agit d’une version sportive « S », probablement SQ9. Parmi les éléments distinctifs, on note la présence de quatre sorties d’échappement rondes, signature des modèles S d’Audi. Comme ses homologues, le SQ9 devrait être équipé d’une suspension pneumatique avec amortisseurs adaptatifs pour une conduite plus dynamique.

Des dimensions généreuses pour plus d’espace
Bien que le SQ9 partage certains traits avec le futur Audi Q7, plusieurs différences sautent aux yeux. Un empattement allongé et un porte-à-faux arrière plus long laissent entrevoir un habitacle plus spacieux, notamment pour accueillir une troisième rangée de sièges et un volume de chargement plus important.
Un projet attendu depuis des années
Les rumeurs autour d’un Audi Q9 circulent depuis un moment. La marque a déjà déposé le nom « Q9 », et des informations récentes indiquent que les concessionnaires américains ont été informés de l’arrivée imminente d’un VUS pleine grandeur à trois rangées.
Si Audi n’a encore rien confirmé officiellement, la demande pour les VUS pleine grandeur reste forte aux États-Unis et en Chine, ses deux plus grands marchés.
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Le texte Audi prépare un SQ9 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile
Voici un bel exemple du non-sens des tarifs que veut imposer Donald Trump. En 2024, Ford a produit près de 400 000 camions Super Duty aux États-Unis. Mais il y a un hic : tous les moteurs proviennent du Canada ou du Mexique. Avec les nouvelles menaces de tarifs douaniers de 25 % promises par Donald Trump, cela pourrait bien coûter une fortune au constructeur américain.
Jusqu’ici, l’administration Trump a imposé des tarifs de 25 % sur l’acier et l’aluminium qui affecte déjà le prix des véhicules fabriqués aux États-Unis sachant que la majorité de l’Aluminium provient du Québec et promet désormais des taxes similaires sur les importations automobiles dès le 2 avril. De quoi mettre Ford dans une situation compliquée, car le constructeur a structuré sa chaîne d’approvisionnement en fonction de l’Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM).
Le Mustang aussi concerné
Le moteur 5.0L V8 du légendaire Ford Mustang est également produit à Windsor, au Canada. En 2024, 44 003 Mustangs ont été vendus aux États-Unis, dont plus de la moitié équipés de ce moteur. Selon Sam Fiorani, analyste automobile, il est peu probable que Ford déplace la production aux États-Unis malgré les tarifs. Mais si ces taxes durent, le prix des versions V8 du Mustang et du F-150 risque d’augmenter, ventraînant une chute des ventes des modèles GT.
Super Duty : le problème majeur
Le plus gros casse-tête concerne toutefois les Super Duty, qui nécessitent des moteurs V8 importés :
- 39 % des moteurs viennent de Windsor (7.3L V8 essence)
- 61 % des moteurs viennent de Chihuahua, au Mexique (6.7L V8 diesel Power Stroke)
Produire ces moteurs aux États-Unis demanderait des centaines de millions de dollars et plus d’un an pour lancer une nouvelle ligne de production. Ford a donc choisi une autre stratégie : stockage massif de pièces détachées et embauche de transporteurs pour accélérer l’importation avant l’entrée en vigueur des tarifs.
Un impact sur l’emploi américain ?
John D’Agnolo, président de Unifor Local 200, représentant les ouvriers de l’usine de Windsor, estime que ces tarifs sont une attaque injustifiée contre le Canada et pourraient avoir des répercussions négatives sur l’industrie américaine elle-même. Ford emploie 5 500 travailleurs horaires au Canada contre 57 000 aux États-Unis. Si les pièces ne peuvent plus traverser la frontière, les usines Ford du Kentucky, du Michigan et de l’Ohio (près de 20 000 emplois) pourraient être mises à l’arrêt.
“Trump dit vouloir protéger l’industrie américaine, mais en réalité, il met en danger des milliers d’emplois aux États-Unis”, conclut D’Agnolo.
Avec des renseignements d’Automotive News
Le texte Le Ford Super Duty pris dans la tourmente des tarifs douaniers provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile