Après l’arrivée remarquée de l’ID.Buzz, Volkswagen pourrait bien préparer un modèle plus petit, plus abordable et tout aussi familial. Selon des sources proches du constructeur allemand, une nouvelle fourgonnette électrique viendrait prendre la relève de la défunte Volkswagen Touran, avec un lancement envisagé autour de 2027 ou de 2028.

Une suite logique au succès de la Touran

Lancée en 2003, la Volkswagen Touran s’est écoulée à plus de 2,6 millions d’exemplaires en 20 ans, devenant une des fourgonnettes compactes les plus populaires en Europe.

Or, face à la domination croissante des VUS, Volkswagen a graduellement retiré ce modèle de l’avant-scène. Le retour d’une version électrique basée sur le même format pourrait rallumer la flamme.

Le concept Volkswagen BUDD-e (2016)
Le concept Volkswagen BUDD-e (2016) | Auto123.com

Un style inspiré du passé… et du futur

Volkswagen aurait ressorti de ses cartons plusieurs concepts oubliés, dont le BUDD-e de 2016 et le Bulli de 2011, pour façonner l’identité de cette nouvelle fourgonnette. L’objectif ? Créer un véhicule jouant la carte de la nostalgie, moderne et ultra-pratique, capable de rivaliser avec les marques chinoises comme Zeekr, qui investissent agressivement dans ce créneau.

Une architecture moderne, une autonomie prometteuse

Sous la carrosserie, cette nouvelle fourgonnette reposerait sur une version revue des plateformes MEB+ ou SSP, avec des batteries de 60 à 80 kWh et une motorisation à traction ou à rouage intégral. Un prix inférieur à celui de l’ID.Buzz serait visé (près de 60 000 $ CA), ce qui en ferait un choix intéressant pour les familles canadiennes en quête d’un véhicule électrique spacieux.

Un segment en pleine effervescence

Volkswagen n’est pas seul dans la course. Hyundai, par exemple, prépare la Staria EV, sa première fourgonnette électrique. Et en Chine, plusieurs marques locales proposent déjà ce type de véhicule en version branchée.

Verra-t-on ce modèle au Canada ?

Si le projet va de l’avant, Volkswagen pourrait bien revenir en force dans le marché des fourgonnettes compactes, avec un véhicule électrique polyvalent, accessible et pensé pour les familles. Une idée qui devrait séduire bien des Canadiens nostalgiques des modèles comme le Mazda 5 ou le Kia Rondo, mais désireux de passer à l’électrique.

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Le texte Volkswagen mijote une fourgonnette électrique plus petite et plus abordable provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

General Motors (GM) a annoncé qu’elle allait investir près de 4 milliards USD à l’intérieur de trois usines d’assemblages qu’elle opère aux États-Unis, le tout au cours des deux prochaines années. L’objectif est d’augmenter la production de véhicules à ces endroits, autant des modèles à essence que d’autres qui sont à venir et qui seront tout électriques.

La compagnie n’a pas mentionné quels montants seraient octroyés à chacune des trois usines, mais on sait que ce sont les plans d’Orion (Michigan), de Fairfax (Kansas) et de Spring Hill (Tennessee) qui vont les recevoir.

« Nous sommes convaincus que l’avenir des transports passera par l’innovation et l’expertise manufacturière américaines. L’annonce d’aujourd’hui démontre notre engagement continu à construire des véhicules aux États-Unis et à soutenir les emplois américains. Nous nous commettons à donner le choix aux clients et à leur proposer une large gamme de véhicules qu’ils apprécient. »

– Mary Barra, la cheffe de la direction de GM

GM annonce 4 milliards d’investissements dans 3 usines américaines | Auto123.com

Et à quoi s’attendre de chacune des usines, en matière de production ?

Pour le plan d’Orion, qui subit des rénovations depuis la fin de 2023 en prévision d’une production de camionnettes électriques, va désormais assembler des VUS et des camionnettes à partir de 2027. L’usine Factory Zero va pour sa part assurer la continuité de la production des VUS et camionnettes électriques, soit Chevrolet Silverado EV, GMC Sierra EV, GMC Hummer EV et Cadillac Escalade IQ.

À l’usine de Fairfax, on va préparer le terrain pour la production de la nouvelle Bolt. Puis, à partir du milieu de 2027, c’est la version à essence du Chevrolet Equinox qui va prendre forme à cet endroit. Le modèle est actuellement construit au Mexique et la production va se poursuivre là-bas. On devine que l’usine de Fairfax va fournir le marché américain, afin d’éviter les tarifs de Donald Trump.

GM a aussi déclaré que des véhicules électriques plus abordables seraient assemblés à l’usine de Fairfax. Ça va servir à remplacer la production des Chevrolet Malibu et du VUS compact XT4 de Cadillac qui était construit là-bas.

À l’usine de Spring Hill en 2027, le Chevrolet Blazer à essence va s’ajouter au Cadillac XT5 et aux VUS électriques Lyriq et Vistiq de Cadillac.

Évidemment, tous ces gestes sont difficiles à dissocier de la guerre des tarifs lancés par le président américain. General Motors estime que les tarifs vont lui coûter entre 4 et 5 milliards USD cette année. La compagnie n’a pas le choix de bouger.

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La cheffe de la direction de Ford du Canada, Bev Goodman, a déclaré hier que le gouvernement fédéral devrait éliminer ses cibles relatives à la vente de véhicules électriques, car l’appétit des consommateurs ne correspond pas du tout aux exigences du gouvernement.

« Les objectifs concernant les véhicules électriques doivent être alignés sur ce que veulent les consommateurs, et ceux-ci se sont exprimés », a-t-elle déclaré lors du Sommet automobile canadien (Canada Automotive Summit), organisé à Vaughan, en Ontario, par l’Association des fabricants de pièces automobiles.

Bev Goodman a déclaré que les ventes de véhicules électriques de Ford ont fondu de manière importante au début de l’année 2025, après que le rabais fédéral de 5000 $ à l’achat ait été éliminé

Ford Canada ne publie pas les résultats de ses ventes mensuels ou trimestriels, mais les chiffres montrent que les ventes de véhicules zéro émission ont chuté à 20 878 véhicules en février et en mars à travers l’industrie, ce qui représente une baisse de 44,2 % par rapport aux deux mêmes mois de l’année précédente, selon Statistique Canada.

Les ventes de véhicule zéro émission pour février et mars ont représenté 6,6 % des ventes totales de véhicules au Canada, ce qui est loin de répondre aux exigences du gouvernement en matière d’adoption.

Il faut spécifier que plusieurs avaient devancé leurs achats en raison de la réduction du rabais qui était prévue au Québec au début de janvier, ce qui gonfle peut-être un peu les chiffres, mais n’empêche, il est évident que le retrait des incitatifs a fait mal.

Une borne Electrify Canada
Une borne Electrify Canada | Auto123.com

Les objectifs du gouvernement fédéral imposés par la loi exigent que les véhicules zéro émission représentent 20 % des ventes des constructeurs pour l’année modèle 2026, 60 % en 2030 et 100 % en 2035.

C’est là que Ford voit la chose impossible, et elle n’est pas la seule entreprise à le croire, selon ce que d’autres nous ont confié sous le couvert de l’anonymat.

Bev Goodman a déclaré que sans les incitatifs et autres mesures qui permettent et aident les Canadiens à passer à l’électricité, comme l’infrastructure de recharge, Ottawa n’est pas en mesure d’atteindre ses objectifs « très ambitieux ». Il en va de même pour les mandats provinciaux en matière de véhicules électriques en vigueur au Québec et en Colombie-Britannique.

« En fin de compte, si ces mandats sont maintenus, ils auront un impact négatif sur l’industrie. Cela exercera une pression à la baisse sur les ventes de véhicules, une pression à la hausse sur les prix, et ce sont là de réelles préoccupations pour les consommateurs et l’industrie dans son ensemble ».

Comme le rapporte le site Automotive News, Bev Goodman a déclaré que Ford et d’autres constructeurs qui fabriquent des véhicules au Canada collaborent avec Ottawa pour obtenir l’abrogation de la législation.

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Le texte Ford Canada souhaite que le fédéral élimine ses cibles pour véhicules électriques provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Une troisième crise de la chaîne d’approvisionnement en vue

Après la pandémie et la pénurie de puces électroniques, l’industrie automobile fait maintenant face à un nouveau choc majeur : la crise des terres rares. Depuis avril, la Chine a restreint l’exportation de plusieurs métaux critiques essentiels à la fabrication de composants automobiles, causant des retards de production et des fermetures temporaires d’usines en Amérique du Nord et en Europe.

Les terres rares : un maillon invisible, mais essentiel

Les terres rares regroupent 17 métaux lourds comme le samarium, le dysprosium ou le terbium, utilisés notamment dans les moteurs électriques, transmissions automatiques, capteurs, haut-parleurs et directions assistées. Les véhicules électriques et hybrides sont particulièrement touchés, puisque leurs moteurs dépendent fortement d’aimants haute puissance à base de ces métaux.

Même les véhicules à essence utilisent des pièces contenant des terres rares : alternateurs, boîtiers de papillon, capteurs de sécurité, etc.

La Chine serre la vis… et contrôle le marché

Le 4 avril, Pékin a restreint l’exportation de sept métaux rares, exigeant des approbations spéciales pour leur sortie du pays. Cette mesure fait partie d’un bras de fer commercial avec les États-Unis, à la suite de l’imposition de tarifs douaniers jusqu’à 145 %. Or, la Chine contrôle 65 % de la production mondiale et 88 % du raffinage des terres rares — un quasi-monopole.

Conséquences concrètes : arrêts d’usines déjà en cours

Ford a temporairement fermé son usine de Chicago en mai, faute de pièces pour les servofreins. En Europe, plusieurs fournisseurs ont dû suspendre leurs activités, et les approbations de licences d’exportation restent lentes, opaques et inégales, selon le regroupement européen CLEPA. Mathias Miedreich, de ZF, résume : « Il y a tellement de terres rares dans une voiture qu’il suffit qu’un composant manque pour stopper toute la chaîne. »

Les constructeurs canadiens et nord-américains en mode survie

Certains fournisseurs envisagent de déplacer la production de pièces vers la Chine, car les composants complets ne sont pas soumis aux restrictions. D’autres cherchent à modifier leurs produits pour éliminer les aimants permanents, au prix d’une baisse de performance et de longs délais de validation.

Un espoir diplomatique?

Des négociations entre les États-Unis et la Chine ont eu lieu les 9 et 10 juin à Londres. Washington souhaite accéder de nouveau aux exportations chinoises de terres rares, mais aucun accord n’a encore été annoncé.

Une urgence stratégique pour le Canada?

Alors que le Canada cherche à développer sa propre filière de terres rares, cette crise met en lumière la nécessité de diversifier les sources d’approvisionnement. En attendant, l’industrie automobile demeure vulnérable à chaque secousse géopolitique.

Avec des renseignements d’automotive news

Le texte Les restrictions chinoises sur les terres rares menacent la production automobile provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Dans une volte-face stratégique, les constructeurs revoient leurs plans d’électrification. Selon le rapport Car Wars 2025 de la Bank of America, pas moins de 58 nouveaux modèles hybrides verront le jour en Amérique du Nord entre 2026 et 2029. Une tendance nette qui confirme le ralentissement de la transition vers les véhicules 100 % électriques.

L’électrification totale prend du recul

Les ambitions électriques ont frappé un mur : la demande qui stagne, les coûts élevés, l’incertitude politique, sans oublier celle tarifaire. Le résultat ? Les véhicules électriques, qui représentaient 44 % des nouveaux modèles lancés en 2023, ne compteront que pour 34 % des nouveautés d’ici 2029. Pendant ce temps, la part des hybrides grimpe à 28 %, contre 17 % en 2023.

Pourquoi ce changement ?

Les consommateurs hésitent face aux véhicules électriques : prix, infrastructure de recharge, autonomie. Les modèles hybrides, eux, offrent une solution pragmatique : ils n’exigent pas besoin de borne, mais des économies d’essence sont quand même au rendez-vous. Ils sont aussi moins chers, plus simples à adopter et ils plaisent aux acheteurs réticents.

Kia Sorento HEV
Kia Sorento HEV | Auto123.com

Qui mène la danse ?

General Motors prépare neuf modèles hybrides, y compris des versions électrifiées du Cadillac Escalade, du GMC Yukon et du Chevrolet Tahoe. Stellantis, Hyundai et Toyota suivent avec chacun huit à neuf nouveaux modèles. Nissan et Mercedes-Benz, à l’inverse, restent timides avec seulement un véhicule hybride prévu chacun.

Une stratégie pour survivre ?

Avec la fin annoncée des incitatifs fédéraux pour les véhicules électriques et un relâchement des normes environnementales, les constructeurs n’ont plus l’obligation (ni l’urgence) d’investir massivement envers des modèles qui nuisent encore à leur rentabilité. Les hybrides deviennent une planche de salut… et un compromis acceptable entre économie et environnement.

Vers une part de marché significative

En 2028, les ventes de véhicules hybrides aux États-Unis devraient atteindre 3,4 millions d’unités, soit 20 % du marché. Et Bank of America croit que ce n’est qu’un début.

Mercedes-Benz GLC 350e PHEV
Mercedes-Benz GLC 350e PHEV | Auto123.com

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Le texte L’avenir (proche) est hybride : les constructeurs changent de stratégie aux États-Unis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

• Mazda doit rappeler quelque 12 000 MX-5 des années 2024 et 2025 pour un problème avec le système de contrôle de la stabilité.

La Mazda MX-5 est l’une des voitures les plus agréables à conduire sur le marché. Ceux qui aiment la conduite sportive peuvent même profiter de son incroyable équilibre pour faire danser son popotin en virage, un plaisir qui devient vite une addiction au volant de ce modèle.

Les gens moins habitués à ce genre de dérapage contrôlé peuvent aujourd’hui compter sur les systèmes de contrôle de traction et de stabilité qui équipent les véhicules d’aujourd’hui. En cas de dérapage trop intense, ils interviennent pour garder le véhicule sur le droit chemin, généralement en appliquant les freins sur une roue précise afin de replacer le modèle.

Le problème

Eh bien, ça pourrait ne pas se produire en raison d’un problème avec le système de contrôle de la stabilité, dont le voyant pourrait ne pas s’allumer dans le cas d’un dérapage. Et puisque le logiciel qui gère le système fonctionne mal, les systèmes pourraient ne pas intervenir pour empêcher un conducteur trop agressif de déraper vraiment et de perdre le contrôle.

En tout, 12 000 MX-5 des années 2024 à 2025 sont rappelées.

Mazda MX-5 2024
Mazda MX-5 2024 | Auto123.com

Selon les documents remis par Mazda à la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) américaine, l’équivalent de Transports Canada, le problème est attribuable à une erreur de programmation du logiciel de diagnostic du système de contrôle de la stabilité.

La solution

Pour régler le problème, Mazda va demander aux propriétaires d’amener leur véhicule chez un concessionnaire qui remplacera la pièce défectueuse par un logiciel mis à jour.

Il y a un hic, toutefois. Mazda explique que cela pourrait prendre un certain temps, car les composants nécessaires pour effectuer le travail ne seront pas tous accessibles rapidement, ce qui fait que la réparation pourrait seulement être terminée au deuxième trimestre de 2026.

Les propriétaires seront informés de la disponibilité ou de l’indisponibilité des pièces pour leur MX-5 avant le 21 juillet 2025.

On ne parle pas d’un grave problème, mais ceux qui aiment pousser leur MX-5 doivent être conscients que leur bolide pourrait ne pas agir comme prévu dans le cas d’un dérapage trop important.

Nous avons contacté Mazda Canada afin de savoir combien d’unités sont concernées au Canada. Nous mettrons cette nouvelle à jour lorsque l’information nous aura été transmise.

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Le texte Mazda rappelle 12 000 MX-5 qui oublient de vous avertir… si vous dérapez trop provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le populaire VUS compact Audi Q3, qui est en vente depuis 2019, aura bientôt droit à une refonte. Et avec des rivaux comme le BMW X1 et le Mercedes-Benz GLA qui ont récemment été renouvelés, il était temps qu’Audi riposte. Deux images nous donnant un aperçu du modèle viennent d’être publiées, avec une date de lancement officiel prévu pour le lundi 16 juin à 15 h 30 (HAE).

Design plus sculpté et éclairage évolutif

Les premières images dévoilent une carrosserie tendue et bien définie, avec des lignes de caractère marquées. L’éclairage diurne, à DEL, semble très mince et évolutif, à l’image des nouveaux modèles Audi comme la future A6 de 2026. À l’arrière, on peut s’attendre à des feux adaptatifs eux aussi. Les blocs optiques principaux, eux, sont logés plus bas, suivant les codes stylistiques des modèles plus imposants de la marque.

Audi Q3 2026 : un nouveau souffle pour le VUS compact de luxe | Auto123.com

Un Q3 qui prend du coffre

Selon des photos-espionnes, le nouveau Q3 prendra un peu de volume, proche des dimensions du premier Audi Q5. Un mouvement fréquent dans l’industrie : rappelons que le BMW X3 de troisième génération a presque la taille d’un X5 de première cuvée.

Habitacle modernisé

À l’intérieur, Audi devrait intégrer une interface multimédia unifiée, fusionnant le combiné d’instruments et l’écran central en une seule dalle. La console centrale sera épurée, avec un sélecteur de vitesse compact et la plupart des fonctions transférées à l’écran. Certains boutons resteront pour conserver un contact physique minimal. Un nouveau volant au logo plat unidimensionnel sera aussi de la partie, une décision critiquée pour son aspect bon marché.

Motorisation attendue et lien avec Volkswagen

Sous le capot, Audi devrait reprendre la base mécanique du nouveau Volkswagen Tiguan, notamment le moteur 4-cylindres turbo de 2,0 litres que l’on connaît bien. D’autres détails sur la gamme de motorisations, les performances et les versions à traction intégrale devraient être confirmés lors du dévoilement officiel.

Rendez-vous le 16 juin

On en saura plus sur le nouveau Q3 2026 lundi prochain. Ce lancement marquera une étape clé pour Audi dans la guerre des VUS compacts de luxe, un segment plus compétitif que jamais.

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L’entreprise EcoPro BM a annoncé qu’elle allait suspendre la construction de son usine de batteries prévue dans la municipalité de Bécancour, au Québec. La raison invoquée est reliée aux tarifs douaniers américains, mais aussi au fait que la vitesse à laquelle la transition électrique se fait n’est pas en lien avec les estimations prévues.

La compagnie a précisé que cette pause était temporaire, mais elle n’a pas fourni d’échéancier concernant le moment où les activités de construction reprendraient. Selon elle, la décision de prendre une pause, qui a été réfléchie au cours des dernières semaines, est la résultante des circonstances actuelles.

« Les incertitudes continuent de planer sur les secteurs des véhicules électriques et des batteries, aggravées par les défis posés par les droits de douane imposés par les États-Unis. Ces facteurs ont un impact significatif sur les processus décisionnels clés de l’entreprise », a précisé la compagnie par voie de communiqué.

Ce n’est pas la première fois que la construction est interrompue à l’usine de Bécancour. Les travaux ont été arrêtés pendant deux longues périodes l’année dernière. Le projet a démarré à l’automne 2023. La production devait être lancée au début de l’année 2026, selon l’échéancier initial.

EcoPro suspend temporairement la construction de son usine de batterie au Québec | Auto123.com

On se souviendra que Ford était partenaire de ce projet d’usine au départ, mais le constructeur s’est retiré du dossier l’année dernière, citant des changements dans la technologie et les coûts des véhicules électriques. Malgré le retrait de Ford, EcoPro a déclaré qu’elle croyait toujours en la viabilité de l’usine et elle s’est engagée à en poursuivre la construction.

Pour le Québec, voilà un deuxième dossier épineux après celui de Northvolt. Souhaitons que la pause d’EcoPro ne soit vraiment que temporaire.

La firme a déclaré qu’elle restait « activement engagée » avec les constructeurs et les fabricants de batteries « pour naviguer efficacement à travers cette situation complexe. »

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Face à une demande en baisse pour les véhicules 100 % électriques, Volkswagen revoit sa copie. Le constructeur allemand, qui planifiait depuis des années le déploiement de sa nouvelle plateforme Scalable Systems Platform (SSP) dédiée aux VÉ, annonce maintenant qu’elle accueillera aussi des moteurs à essence… mais comme prolongateurs d’autonomie. Ce revirement survient alors que VW est en pleine restructuration, avec une ambitieuse feuille de route incluant neuf nouveaux modèles dans les prochaines années. Mais des problèmes logiciels, notamment chez Cariad, et une réception plus tiède que prévue des VÉ incitent la marque à adoucir sa transition.

Le prolongateur d’autonomie : une bouée de secours

VW insiste : la SSP reste une plateforme électrique avant tout. Toutefois, elle sera désormais compatible avec des moteurs thermiques servant uniquement à recharger la batterie, sans lien mécanique avec les roues. Ce principe, déjà utilisé par Nissan avec e-Power ou Mazda avec le MX-30 rotatif, vise à rassurer les consommateurs réticents à la recharge. Le prolongateur d’autonomie n’est pas une simple passerelle : c’est une stratégie de transition douce. Elle permettra à Volkswagen de proposer des modèles électriques sans contrainte de recharge rapide, particulièrement sur des marchés comme la Chine, où l’intérêt pour les VÉ purs fléchit et les hybrides rechargeables et VÉ à prolongateur gagnent du terrain.

Le cas du Golf : l’électrification se précise

Un des modèles phares de cette offensive sera la Volkswagen Golf de neuvième génération, attendue vers 2029. Ce modèle sera 100 % électrique, utilisant la plateforme SSP, et coexistera quelque temps avec la Golf Mk8 actuelle. Bien qu’aucune version à prolongateur ne soit confirmée pour l’instant, la flexibilité de la plateforme laisse la porte ouverte à ce type de motorisation selon les marchés.

L’Europe mise à part

Selon le PDG de Volkswagen, Thomas Schäfer, l’Europe ne serait pas prioritaire pour les modèles à prolongateur d’autonomie. Sur ce marché, les hybrides rechargeables demeurent une solution plus conforme aux politiques environnementales locales. Mais en Amérique du Nord et en Asie, cette approche pourrait bien renforcer l’offre VW face au ralentissement des ventes de VÉ.

Avec des renseignements d’Autoblog

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Cadillac hausse le ton dans le segment des VUS électriques de performance avec l’arrivée de l’OPTIQ-V 2026. Membre à part entière de la série V, cette version électrifiée vise directement Mercedes-AMG, Lexus F, BMW M et compagnie. Et avec 519 chevaux sous le capot, elle ne vient pas pour faire de la figuration.

Un système à deux moteurs et une autonomie costaude

Sous son élégante carrosserie, l’OPTIQ-V abrite deux moteurs électriques livrant un total de 519 chevaux et 650 lb-pi de couple. Résultat : le 0 à 96 km/h est abattu en seulement 3,5 secondes grâce au mode Velocity Max. Une batterie de 85 kWh permet une autonomie estimée à 443 km, de quoi faire des envieux… et des jaloux.

Recharge simplifiée avec la norme NACS

C’est aussi le premier modèle GM à intégrer un port de recharge au format NACS (North American Charging Standard), donnant accès au vaste réseau de recharge Tesla et simplifiant la vie des conducteurs nord-américains.

Super Cruise et V-Mode : technologie à bord

L’OPTIQ-V 2026 est livré avec Super Cruise de série, le système de conduite mains libres sur autoroute de Cadillac. Pour les amateurs de performance, le mode V personnalisable permet d’ajuster traction, réponse et sonorité, avec le Launch Control et un mode Compétition pour les moments plus corsés.

Un style agressif et raffiné

On retrouve des jantes en alliage de 21 pouces satin graphite, une grille exclusive en V, un séparateur noir lustré et des éléments aérodynamiques en fibre de carbone en option. Deux couleurs exclusives – Magnus Metal Frost et Deep Ocean Tintcoat – ajoutent une touche de distinction.

Habitacle sport et techno

L’intérieur propose des combinaisons de couleurs deux tons avec accents bleu Santorini, sièges sport et incrustations en fibre de carbone. Un écran incurvé de 33 pouces regroupe l’info-divertissement (incluant l’appli Drive Mode), le tout amplifié par un système audio AKG à 19 haut-parleurs avec Dolby Atmos. Google intégré complète l’offre.

Disponibilité

La production de l’OPTIQ-V commencera à l’automne 2025, avec un lancement prévu au Canada, aux États-Unis, au Mexique, au Moyen-Orient et en Israël. Les prix pour le Canada seront communiqués à l’approche de la mise en marché.

Le texte Cadillac OPTIQ-V 2026 : un VUS électrique sportif avec du mordant provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile