La célèbre Nissan GT-R s’apprête à franchir une nouvelle étape en passant à l’électrique. Nissan a laissé entendre que ce modèle emblématique pourrait être le premier de la marque à utiliser des batteries à état solide, une technologie de pointe qui pourrait offrir encore plus de puissance à la GT-R électrique.

Dévoilement du concept Hyper Force EV

Le premier aperçu de cette GT-R électrique a été révélé en octobre dernier avec la présentation du concept Hyper Force EV par Nissan. Ce véhicule sportif électrique, qualifié de “hyper EV révolutionnaire” par le constructeur, promet de délivrer plus de 1 000 kW (soit plus de 1 300 chevaux) de puissance. À titre de comparaison, le Cybertruck le plus puissant de Tesla, le Cyberbeast, atteint une puissance maximale de 845 chevaux (621 kW).

Technologie et design : un duo de choc

Cette puissance phénoménale provient d’un nouveau groupe motopropulseur électrique alimenté par des batteries à état solide. En collaboration avec son équipe de course NISMO, Nissan a également travaillé sur l’aérodynamisme extérieur du véhicule. Parmi les éléments optimisés pour une meilleure efficacité, on trouve une lèvre avant à deux niveaux et un diffuseur arrière.

Les batteries à état solide : une révolution pour les voitures sportives

Interrogé sur l’intégration de cette technologie dans les véhicules électriques, Ivan Espinosa, vice-président mondial de la planification produit chez Nissan, a déclaré à Autocar : “Il est facile de l’appliquer à des voitures sportives.” Il a ajouté que les batteries à état solide sont particulièrement adaptées aux voitures sportives électriques, car elles permettent d’emmagasiner autant d’énergie dans un espace réduit de moitié.

L’avenir de la GT-R électrique

Espinosa a laissé entendre que la future GT-R électrique serait le véhicule idéal pour inaugurer les nouvelles batteries à état solide. Bien que Nissan n’ait pas encore officiellement annoncé ce modèle, le concept Hyper Force présente un logo “GT-R” flouté. De plus, ce concept intègre la technologie e-4ORCE AWD de Nissan, offrant un contrôle et une maniabilité accrus sur les circuits et les routes sinueuses. Avec la fin de la production de la R35 GT-R aux États-Unis après 17 ans, la question se pose : Nissan va-t-il enfin dévoiler la GT-R électrique tant attendue ? Pas pour tout de suite. Nissan vise un lancement de ses véhicules électriques équipés de batteries à état solide d’ici 2028.

Avec ces renseignements d’Electrek

Le texte La Nissan GT-R électrique annonce 1 300 chevaux et des batteries solides provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Un Nissan Patrol peut parfois en cacher un autre. Voilà ce que suggère un communiqué et la photo ci-haut diffusés par Nissan North America hier. En le lisant, on peut croire que la prochaine version du Nissan Armada pourrait plutôt s’appeler Patrol.

A priori, ce communiqué décrit un Patrol 1967; un modèle vendu aux États-Unis 9 ans après l’arrivée des premiers produits de la marque en Californie.

Le Patrol est un utilitaire qui existe au sein de la gamme de ce constructeur nippon depuis 1951. Le modèle dont il est question dans le communiqué est un modèle de la seconde génération. Appelée Série 60, elle a été lancée en 1960.

Jusque-là, on croirait lire un document de nature historique. Mais les évocations de liens unissant le Patrol actuel, vendu ailleurs dans le monde, et l’Armada, sa variante nord-américaine, on perçoit un message en sous-texte.

Le sous-titre du communiqué nous met la puce à l’oreille en rappelant que « l’influence du Patrol se retrouve dans toute la gamme de VUS de Nissan, y compris le porte-étendard Armada ». Comme si pour titiller encore davantage le lecteur, la conclusion de ce communiqué nous place dans l’expectative en nous apprenant que « le prochain chapitre de cette histoire passionnante commence le 3 septembre 2024 ».

Le nouvel Armada — ou Patrol ? — s’en vient

Des sources bien informées nous apprennent qu’une nouvelle génération d’Armada sera justement dévoilée le 3 septembre prochain. Il fallait s’y attendre. En mars dernier, la marque Infiniti a dévoilé le QX80 2025, le jumeau endimanché de l’Armada.

L’Armada est vendu au Canada et aux États-Unis depuis l’automne 2003, et le modèle 2024 est la version la plus récente de sa seconde génération, qui a été dévoilée au Salon de Chicago, en février 2016. Après neuf ans, il est plus que temps qu’il y ait du nouveau.

Or, puisque Toyota vient de relancer la commercialisation de son Land Cruiser à la grandeur de l’Amérique du Nord, il paraît plausible que Nissan décide de revamper son rival tout en le renommant, pour ajouter à la nouveauté. Alors, pourquoi ne pas réintroduire le nom Patrol en Amérique du Nord ?

Ailleurs dans le monde, Patrol est l’appellation auréolée d’un modèle vedette de Nissan. Ce nom est associé à plusieurs hauts faits comme, par exemple, une traversée du désert de Simpson en Australie, un exploit réalisé en 1962 et réédité en 2012. À cela s’ajoutent trois records du monde Guinness, de même qu’une popularité si grande au Moyen-Orient qu’elle a poussé les stratèges de Nissan à dévoiler le Patrol 2020 (la version actuelle de l’Armada) à Abu Dhabi, dans les Émirats arabes unis. C’était en septembre 2019.

Tout cela contribue à nourrir la notoriété du Patrol, un attribut qui manque cruellement à l’Armada qui, par ailleurs, voit ses ventes stagner au Canada comme aux États-Unis depuis 2020. Un nouveau nom ayant plus de panache ne ferait pas de tort à cet utilitaire.

Le rendez-vous auquel nous convie le constructeur le 3 septembre nous en apprendra donc davantage sur ce prochain chapitre de l’histoire du… Patrol !

Un 4×4 des années 60 parmi d’autres

Entre-temps, rappelons que le Patrol a été parmi les premiers produits vendus par Nissan sur notre continent. Cet utilitaire a été proposé aux automobilistes étatsuniens de 1961 à 1969. Au Canada, selon toutes vraisemblances, il a été en vente à partir de 1963.

Pour les concessionnaires, le Patrol était le seul véhicule arborant l’écusson Nissan dans leur salle d’exposition où l’on ne trouvait que des autos et de petites camionnettes de marque Datsun, un nom qui disparaîtra du marché nord-américain en 1986 justement au profit de Nissan.

Le Patrol était le rival au Land Cruiser que Toyota avait introduit sur notre continent en 1958. Il devait aussi s’imposer dans une faune de 4×4 très diversifiée réunissant alors le Willys Jeep, l’International Scout, le Land Rover et l’Austin Gipsy.

Un cow-boy pour le Patrol

Pour distinguer ce nouveau venu et susciter l’intérêt de la clientèle étatsunienne, la filiale étatsunienne eut recours à une vedette du cinéma. Yutaka Katayama (Mr. K), premier grand patron de Nissan Motor, la filiale étatsunienne créée en 1959, avait recruté un homme à tout faire nommé John Parker pour diverses tâches promotionnelles. Lorsque ce dernier apprit que Roy Rogers, le plus célèbre des cow-boys de la télévision, conduisait un Patrol, il lui fit une offre : devenir porte-parole de ce 4×4 en échange d’un Patrol neuf et deux camionnettes Datsun (il n’avait, semble-t-il, pas du budget pour le rémunérer en argent).

Rogers accepta l’offre. Parker prit alors des photos destinées aux publicités dans les journaux au ranch familial de Roy Rogers, à Chatsworth en Californie. Il y tourna même une publicité (de qualité amateur, disent certains) pour la télévision. Ces efforts auront sans doute contribué à faire connaître ce 4×4, puisqu’à la fin des années 60 Nissan Motor avait réussi à en vendre environ 2 600.

Au Canada, le Patrol n’a pas eu droit à un porte-parole hollywoodien. La publicité plus factuelle valorisait plutôt les qualités de l’utilitaire pour les amateurs de chasse et pêche, et les travailleurs de chantier.

Débuts humbles au Canada

« Le Nissan Patrol a démontré ses qualités incomparables dans le monde entier par sa grande ténacité et son pouvoir d’accélération sur les routes de gravier, les terrains boueux et les pentes raides », pouvait-on lire dans une publicité publiée en septembre 1966 par le concessionnaire Desbien & Boudreau de la rue Saint-Denis, dans le Montréal-Matin.

Par ailleurs, deux ans plus tôt, Nissan-Datsun Automobile, un autre concessionnaire montréalais logé sur la rue Jean-Talon annonçait cet utilitaire dans le même quotidien à partir de 3 095 $ pour la version décapotable et 3 495 $ pour la version à toit rigide. Vendu avec des pneus d’hiver, l’immatriculation et une assurance-vie et maladie (!), c’est un 6-cylindres de 4,0 L et 145 ch qui l’animait. On est loin du V8 de 5,6 L et 400 ch de l’Armada 2024 !

Photos : Nissan

Le texte Le prochain Nissan Armada (re)deviendra-t-il un Patrol ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Est-ce qu’unir deux négatifs peut provoquer un résultat positif? C’est ce que GM et Uber espèrent, semble-t-il. Après une série d’accidents, General Motors a retiré de la route l’an dernier les taxis robotisés de sa filiale Cruise. Uber de son côté a cessé complètement de développer ses propres taxis robotisés et a vendu sa division responsable de ce projet en 2020.

Il faut dire qu’à l’époque. Uber avait de sérieux problèmes de liquidités. C’est donc en partie pour des raisons financières qu’autre chose qu’on a repoussé à plus tard le lancement d’un parc de véhicules autonomes capables de conduire leurs occupants à bon port. Uber a aussi dû composer avec un accident mortel qui impliquait un de ses véhicules, en 2018.

Bref, maintenant, on sait que «plus tard», ça signifie 2025, et que les véhicules qu’Uber va utiliser sont ceux de la filiale Cruise de GM.

Déjà, Cruise a recommencé ses essais dans trois villes américaines, pendant que l’agence américaine responsable de la sécurité routière, la NHTSA, a conclu son enquête sur les problèmes de conduite passés de certains de ses véhicules. Et tout ça se réglera via une mise à jour du logiciel des quelque 1200 Bolt EV automatisées que Cruise a présentement sur la route.

Et là, General Motors vient d’annoncer que ses véhicules Cruise seront intégrés à la plateforme de taxis sur demande d’Uber, à partir de l’an prochain. On n’a pas précisé dans quelles villes le service sera offert, mais on sait que ce sera limité, puisque les villes et les États qui autorisent ce type de véhicules sont très peu nombreux, à l’heure actuelle.

Cela dit, il faut bien commencer, ou dans le cas de GM et d’Uber, il faut bien recommencer quelque part, et c’est ce qui va se produire l’an prochain. Les deux entreprises ont de la concurrence, et c’est probablement ce qui les pousse à accélérer les choses.

Waymo, la filiale de Google qui offre elle aussi de reconduire les gens à bord de véhicules autonomes, connaîtrait beaucoup de succès dans les villes où le service existe, notamment à San Francisco, où on voit ses véhicules d’ailleurs assez régulièrement sur les routes de la région. En fait, Waymo effectuerait ces jours-ci plus de 100 000 trajets par semaine, aux États-Unis.

On a bien hâte de voir si ces services seront offerts chez nous un jour…

Le texte GM et Uber s’unissent pour relancer les taxis robotisés provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Nissan a publié une photo très peu révélatrice de ce qui sera son tout nouveau Armada 2025, un VUS pleine grandeur qui sera officiellement présenté le 3 septembre prochain. Sur la photo, on voit un Nissan Patrol 1951, le premier du genre, et l’arrière-arrière-arrière-grand-père de l’Armada, vu que le gros VUS s’appelle Armada en Amérique du Nord uniquement.

Même si Nissan en a révélé très peu à propos de ce modèle, on peut déjà deviner une partie de sa fiche technique, étant donné que l’Armada partage l’essentiel de ses composants avec l’Infiniti QX80, qu’on connaît déjà plutôt bien. Sous le capot, donc, on risque d’hériter d’un V6 biturbo de 3,5 litres, toujours basé sur le V6 de 3,5 litres que Nissan affectionne énormément depuis bientôt 40 ans. Ce V6 pourrait fournir 450 chevaux, soit 50 de plus que le V8 très vétuste que Nissan proposait jusqu’ici sous le capot de ses camions les plus gros.

Côté positionnement dans le marché, on s’attend à ce que Nissan essaie de faire de l’Armada un VUS pleine grandeur plus luxueux et plus confortable que ses prédécesseurs, qui étaient plus près de la camionnette Titan, sans la benne, que d’un véhicule axé sur le confort des passagers. D’ailleurs, les médias spécialisés l’on remarqué, le prix de vente de l’Armada a grimpé de plus de 5000$ en 2024, ce qui laisse présager que Nissan pourrait hausser à nouveau le prix de détail de ce modèle.

Nissan devra moderniser son système multimédia, et revoir les matériaux de finition à bord de l’Armada, si la marque japonaise souhaite réellement s’en tirer avec un Armada plus coûteux et plus gros.

En fait, comme Mazda et d’autres constructeurs japonais, Nissan semble elle aussi vouloir devenir une marque un peu plus luxueuse. Outre l’Armada, le Murano aussi est en fin de cycle, et un nouveau VUS intermédiaire plus luxueux et plus cher serait également dans les plans dans son cas pour 2025.

Le texte Nissan Armada : un tout nouveau et très gros VUS pour 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le gouvernement canadien a annoncé l’imposition d’une surtaxe de 100 % sur les véhicules électriques importés de Chine, incluant certains hybrides, camions, autobus et fourgonnettes. Cette nouvelle mesure, qui s’ajoute au tarif existant de 6,1 %, entrera en vigueur le 1er octobre prochain. Cette décision s’inscrit dans le cadre des efforts du Canada pour protéger ses fabricants nationaux et s’aligner avec ses alliés occidentaux.

Nouveaux tarifs sur l’acier et l’aluminium chinois

En plus des véhicules électriques, le gouvernement impose également une surtaxe de 25 % sur l’acier et l’aluminium en provenance de Chine, qui prendra effet à partir du 15 octobre. Une liste initiale de produits concernés a été publiée, et le public aura la possibilité de commenter avant la finalisation des mesures le 1er octobre.

Consultation sur d’autres secteurs stratégiques

En parallèle, le gouvernement de Justin Trudeau lance une consultation de 30 jours sur d’autres secteurs stratégiques, notamment les batteries, les semi-conducteurs, les produits solaires et les minéraux critiques. Cette initiative vise à renforcer la position du Canada en tant que leader mondial dans la construction des véhicules de demain.

Réactions et contexte international

Le Premier ministre Trudeau, en dévoilant cette nouvelle politique à Halifax, a critiqué les pratiques commerciales déloyales de la Chine, affirmant que ces mesures sont nécessaires pour protéger la sécurité des industries critiques du Canada. Le Canada, dont l’économie est fortement dépendante des exportations, suit de près les initiatives similaires des États-Unis et de l’Union européenne, qui ont également proposé de nouveaux tarifs sur les véhicules électriques chinois.

Pression politique et industrielle

Face à la pression politique et industrielle, Trudeau a réagi aux appels du secteur automobile canadien, qui plaide pour des tarifs plus élevés afin de protéger les emplois et les salaires locaux. En réponse, le gouvernement a déjà accordé des subventions de plusieurs milliards de dollars pour soutenir la construction d’usines de véhicules électriques et de batteries par des entreprises comme Stellantis, Volkswagen et Honda.

Des marques directement visées

Des marques comme Tesla qui expédient les véhicules fabriqués à son usine de Shanghai au canada ou encore Polestar ou Volvo qui possèdent des usines en Chine sont directement touché par cette mesure.

Avec des renseignements de Bloomberg

Le texte Le Canada impose un e taxe de 100 % sur les véhicules électriques chinois provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ce week-end, un incendie s’est déclaré dans le parking de l’usine de véhicules électriques Rivian, située à Normal, dans l’Illinois. Plus de 50 véhicules modèles R1S et R1T, qui étaient apparemment prêts à être expédiés aux clients, ont été endommagés.

Une intervention rapide des pompiers

L’alerte a été donnée samedi soir, peu avant 21h45, selon Matt Swaney, porte-parole des pompiers de Normal (NFD), cité par 25NewsNow. L’usine, qui assemble tous les modèles actuels de Rivian et qui se prépare à lancer la production du futur VUS R2, n’a pas été touchée par les flammes, selon Swaney. L’incendie a été maîtrisé peu après minuit dimanche, mais les équipes de secours sont restées sur place pour surveiller la zone. Aucun blessé n’a été signalé.

Des véhicules endommagés en nombre

Une photo aérienne et une vidéo publiées sur un groupe Facebook après l’incendie montrent 57 véhicules, regroupés dans un coin du parking de l’usine, près des rails industriels. Seuls les modèles R1S et R1T semblent avoir été impliqués dans l’incident.

Une cause encore mystérieuse

L’origine de l’incendie reste inconnue. Le porte-parole Swaney a indiqué qu’une enquête a été ouverte pour déterminer les causes du sinistre. Nous avons contacté Rivian pour obtenir plus d’informations sur l’incident et nous mettrons à jour cet article dès que nous aurons des nouvelles de l’entreprise.

Un précédent à Houston

Le mois dernier, trois fourgons de livraison électrique Amazon (EDV) de Rivian ont pris feu dans un centre de distribution de la société à Houston, au Texas. Cet incendie n’était pas lié à la batterie haute tension, selon Rivian.

Les incendies de véhicules électriques, un danger mal compris

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les incendies de véhicules électriques sont moins fréquents que ceux des véhicules à combustion. Cependant, lorsqu’un véhicule électrique prend feu, il peut être beaucoup plus dangereux et nettement plus difficile à éteindre pour les pompiers, surtout s’ils ne disposent pas des outils nécessaires. De plus, il existe un risque que le feu reprenne après avoir été éteint, ce qui explique pourquoi les équipes de secours restent souvent sur place après avoir éteint un incendie de véhicule électrique.

Conclusion

Cet incendie soulève des questions sur les défis spécifiques que posent les véhicules électriques en matière de sécurité incendie. Les enquêtes en cours devraient apporter des réponses sur l’origine de cet incident et les mesures à prendre pour éviter de tels sinistres à l’avenir.

Avec des renseignements d’Inside EV’s

Le texte Incendie dans le stationnement de l’usine Rivian provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le Bronco Sport présente son tout premier ensemble tout-terrain Sasquatch. Cet ensemble offre une capacité tout-terrain de niveau supérieur. Disponible pour les modèles Bronco Sport Outer Banks de 1,5 litre et Badlands de 2,0 litres, l’ensemble Sasquatch offre une conduite tout-terrain encore plus confiante grâce à une unité de transmission arrière à double embrayage ultra-robuste et un différentiel arrière bloquant, désormais disponibles pour la première fois sur les modèles Bronco Sport Outer Banks.

Des pneus plus grands

L’ensemble Sasquatch roule sur des pneus Goodyear Territory tout-terrain de 29 pouces, les plus grands de leur catégorie. Ces pneus, développés spécifiquement pour le Bronco Sport, ont été adaptés du modèle Bronco avec un design de bande de roulement ouverte et des flancs renforcés pour fournir une traction sur une variété de surfaces.

Conduite tout-terrain de haut niveau

Le Bronco Sport Badlands et le Badlands avec le l’ensemble Sasquatch sont particulièrement performants grâce à un nouveau mode de gestion du terrain nommé « Rallye ». Ce mode offre plus de confiance à des vitesses plus élevées dans le sable en maintenant les vitesses de la transmission plus longtemps pour une puissance accrue à la demande, affinant ainsi la réponse de l’accélérateur et augmentant le retour d’information par la direction. En plus des modes de gestion du terrain, le Bronco Sport ajoute des technologies tout-terrain exclusives à la catégorie, inspirées de la famille de véhicules tout-terrain haute performance Bronco et Raptor. La conduite à une pédale sur sentier, combinée au système de contrôle de sentier, offre un comportement plus précis et plus confiant lors de la montée en terrain rocheux.

Arrivée prévue en fin d’année

Les modèles Bronco Sport Big Bend, Outer Banks et Badlands 2025 seront disponibles chez les concessionnaires en novembre. Le Bronco Sport avec le pack Sasquatch arrivera au premier trimestre 2025. Les prix seront annoncés à l’approche de la date de mise en vente.

Le texte Capacité hors-route accrue pour le Bronco Sport 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

L’apparition d’une édition « 60e anniversaire » de la Mustang dans le catalogue des produits 2025 de Ford donne l’impression que le premier pony car de l’histoire a été lancé en 1965. Mais c’est bien en 1964 qu’il a fait ses débuts. Et Walt Disney était de la partie !

Dans un communiqué diffusé le 6 février 1964, Lee Iacocca, alors vice-président de la Ford Motor Company, annonce : « La division Ford a confirmé aujourd’hui qu’elle lancera une nouvelle gamme de voitures ce printemps … [qui] s’appellera Mustang. … Aucun autre détail sur la nouvelle gamme de voitures ne sera révélé avant son lancement public. »

Ce qui a suivi a été l’un des plus grands projets de mise en marché d’une nouvelle auto de l’histoire. En développement depuis 1961, la Mustang a été montrée présentée au grand public à partir du début de 1964 à l’aide de panneaux d’affichage routiers, d’émissions spéciales à la télévision, de publicités dans les médias imprimés, sans oublier les présentations privées servant à l’exposer à des acheteurs potentiels.

Puis, celle qui est devenue une icône de Ford a été dévoilée en avril 1964 : d’abord à la presse le 14 avril, puis au grand public le 17 avril. Ces dévoilements officiels ont eu lieu dans le cadre de l’Exposition universelle de New York, au pavillon Ford qu’on surnommait aussi Wonder Rotunda — la Rotonde des merveilles. Des Mustang exposées sous des arches, à l’extérieur du pavillon, donnaient d’ailleurs à ses visiteurs un avant-goût des nouveautés qu’ils découvriraient à l’intérieur.

Projet titanesque réalisé par l’entreprise de Disney

C’est là que Walt Disney et son entreprise entrent en scène. Un des communiqués de l’épais dossier de presse remis par Ford aux journalistes, le 14 avril, explique que ce « maître du spectacle » est celui qui a imaginé les attractions de la Rotonde.

« La touche Disney est présente presque partout dans le pavillon Ford. Dès l’entrée, les visiteurs sont entourés de « jardins internationaux » créés par Disney : des reproductions miniatures provenant de toutes les nations, avec des touches d’animation qui donnent vie aux légendes et aux monuments. Puis, le Magic Skyway mène les visiteurs de l’aube de l’histoire au seuil de l’avenir dans un tunnel du temps, à bord de nouvelles décapotables de Ford. Tableau après tableau, de l’âge des dinosaures à l’ère de l’homme des cavernes, jusqu’à la Cité spatiale, ce voyage dans le temps est rendu possible par une technologie moderne appelée ‘‘audioanimatronique’’ ».

La Magic Skyway a été sans contredit l’attraction vedette de ce pavillon. Sur cette route automatisée circulaient de manière autonome une variété de voitures décapotables du constructeur. Un communiqué publié avant l’inauguration du pavillon nous apprenait que des Ford Galaxie, Falcon, Thunderbird et Fairlane, des Mercury Comet et des Lincoln Continental serviraient à cette attraction, mais ce n’est qu’à la dernière minute qu’on a annoncé qu’il y aurait également des Mustang.

Un kilomètre et demi en Mustang décapotable

Douze Mustang, dont quatre des premiers modèles de série, faisaient partie de cette attraction conçue par l’entreprise de Disney. Confortablement assis à bord de ces décapotables, les visiteurs se déplaçaient sur un parcours de près d’un kilomètre et demi en douze minutes pour voir les robots animatroniques s’animaient avec des mouvements fluides dans des décors élaborés. Une bande sonore synchronisée diffusée par la radio AM de la voiture décrivait les différents tableaux au son de la voix de Walt Disney. Cette vidéo donne une impression du spectacle auquel assistaient les visiteurs.

Trois années ont été nécessaires à l’entreprise de Disney pour construire le pavillon et ses attractions, et près de 15 millions de visiteurs en ont fait l’expérience. Pour plusieurs d’entre eux, c’était la première occasion de se familiariser avec la Mustang, son intérieur et ses différents accessoires.

Même si le pavillon Ford offrait aux visiteurs l’occasion d’admirer plusieurs voitures-concepts — à l’époque, on les surnommait dream cars ou voitures de rêves — comme la Mustang I, la Cougar, la Cougar II , l’Allegro et l’Aurora, la Magic Skyway a néanmoins volé la vedette. Ce fut d’ailleurs l’une des cinq attractions les plus fréquentées de l’Exposition universelle de New York, et ce jusqu’à sa fermeture en octobre 1965.

Photos : Ford

Le texte Walt Disney a participé au lancement de la Ford Mustang en 1964 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les constructeurs automobiles en Europe sont si obsédés par les véhicules hybrides et électriques? Certes, ils souhaitent aussi protéger notre planète fragile en réduisant les émissions, mais il y a également d’importantes répercussions financières s’ils ne réduisent pas le nombre de voitures gourmandes en carburant. Pour chaque gramme dépassant l’objectif d’émissions de flotte établi par l’UE, les constructeurs doivent payer une amende de 95 € (143$).

L’Impact Financier des Amendes d’Émissions

Cela peut sembler peu pour un géant de l’automobile aux poches bien remplies comme le groupe Volkswagen ou Stellantis. Cependant, ces amendes s’accumulent rapidement, car la pénalité s’applique à chaque voiture vendue. Cela peut se traduire par des amendes massives s’élevant à des centaines de millions d’euros si l’entreprise ne vend pas suffisamment de véhicules hybrides et électriques pour compenser ses ventes de moteurs à combustion interne (ICE). Un exemple probant vu en France en avril 2024: une Volkswagen Golf R vendu à 60 000 Euros ( 90 700$) se voit affubler d’une taxe de 65 000 Euros avec 204 g/km de co2. La facture s’élève donc à 125 000 Euros où 188 962 $. Vous comprenez maintenant pourquoi on vend des moteurs 3 cylindres où des véhicules électriques qui n’ont pas de taxe environnementale.

La Réduction de la Taille des Moteurs en Europe

C’est également l’une des raisons pour lesquelles le downsizing est en plein essor et les moteurs trois cylindres deviennent la norme plutôt que l’exception en Europe. La prolifération des moteurs plus petits et électrifiés a un impact mondial, car l’Europe est l’une des régions les plus importantes pour l’industrie automobile. Les constructeurs doivent s’adapter aux réglementations strictes de l’UE, ce qui influence le développement de nouvelles voitures et moteurs.

Les Objectifs de Réduction des Émissions et leurs Conséquences

L’objectif actuel de la flotte est de 115,1 g/km (basé sur le cycle WLTP), mais il va diminuer d’environ 19 % en 2025 pour atteindre 93,6 g/km, mettant en péril la plupart des constructeurs automobiles. Selon une étude de Dataforce, l’avenir s’annonce inquiétant pour de nombreuses entreprises qui vendent des voitures en Europe. Jusqu’en juin 2024, seuls Tesla et Geely étaient en dessous de l’objectif d’émissions de flotte pour 2025.

L’Influence des Ventes de VUS sur les Objectifs d’Émissions

Selon la Commission européenne, chaque constructeur a son propre objectif, calculé en fonction de la masse moyenne de sa flotte. En d’autres termes, les entreprises qui vendent plus de VUS ont des objectifs plus élevés que celles qui vendent des véhicules plus petits. En 2020, les constructeurs automobiles ont payé environ 510 millions d’euros pour ne pas avoir respecté ces objectifs.

Le Dilemme des Constructeurs Automobiles : essence ou électrique?

Les constructeurs automobiles sont actuellement à un carrefour. Continuer à produire des moteurs à combustion interne (ICE) ou se concentrer uniquement sur les véhicules électriques (EV)? La tentation est grande pour la seconde option, mais les subventions des gouvernements à travers l’Europe ont été considérablement réduites, voire supprimées, ce qui a un impact sur la demande des consommateurs. Au premier semestre de l’année, les voitures purement électriques ne représentaient que 12,5 % du marché de l’UE, selon les chiffres publiés par l’Association des constructeurs automobiles européens (ACEA). C’est en fait légèrement pire que lors de la première moitié de 2023, où les EV représentaient 12,9 % des ventes totales.

Les Tendances du Marché : Hybrides, PHEV et Diesel

C’est la même histoire pour les hybrides rechargeables dont la part de marché est passée de 7,4 % à 6,9 %. En revanche, les hybrides classiques sont passés de 25 % à 29,2 %, selon l’ACEA. L’analyse de Dataforce mène à la même conclusion : les voitures à essence dominent toujours le marché en Europe. L’analyse de l’ACEA montre même que le diesel, bien que décrié, devance encore les EVs au cours des six premiers mois de l’année, avec une part de marché de 12,9 % contre 12,5 % pour les EVs. Cela dit, les ventes de diesel sont en baisse par rapport à janvier-juin 2023, où elles représentaient 14,5 % des nouvelles immatriculations en Europe.

Vers un Avenir Électrifié en Europe

Nous verrons certainement plus d’hybrides et de véhicules électriques de la part des constructeurs actifs en Europe, compte tenu des objectifs d’émissions pour 2025. Les choses se compliqueront encore pour les constructeurs à partir de 2030, lorsque la limite sera encore abaissée, passant des 93,6 g/km de l’année prochaine à 49,5 g/km.

Collaborations entre Constructeurs pour Répondre aux Objectifs d’Émissions

Il existe une certaine marge de manœuvre pour les constructeurs, car ils peuvent “agir conjointement pour atteindre leurs objectifs d’émissions.” La Commission européenne ne permet pas ce type d’accord entre les fabricants de voitures et de fourgonnettes. Automotive News Europe a examiné les archives de la CE et n’a pas pu découvrir de nouveaux accords majeurs entre les entreprises pour 2025.

Le Futur de la Motorisation : Synthétique ou Électrique?

En regardant plus loin, l’UE interdira effectivement la vente de nouvelles voitures à émissions à partir de 2035, mais les carburants synthétiques pourraient maintenir en vie le moteur à combustion. Reste maintenan t à savoir si le Canada doit emprunter le même chemin pour i mposer les véhicules électriques chez nous.

Avec des renseignements d’Automotive News Europe

Le texte Comment l’Europe s’y prend pour mettre les véhicules électriques de l’avant provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

L’huile moteur circule à l’intérieur des canalisations du moteur, dans le but bien sûr, de le lubrifier. Mais pas seulement ça, elle aide beaucoup au refroidissement.

Le Rôle de l’Huile dans le Refroidissement

Un petit mot sur le refroidissement, l’huile récupère la chaleur des pièces qui ne sont pas en contact avec le liquide de refroidissement. Le liquide de refroidissement récupère la chaleur surtout des cylindres, et des canalisations de l’échappement dans la culasse, pour la plupart des moteurs. L’huile va s’occuper de réguler la chaleur des organes comme le vilebrequin, l’arbre à cames, les bielles et les pistons.

Matériaux et Conduction de la Chaleur

Généralement, le carter moteur est en tôle mince, ce qui contraste avec la construction en fonte du reste du moteur. La tôle va transférer la chaleur de l’huile plus rapidement et efficacement, à l’air ambiant.

Importance de la Pression d’Huile

Cela dit, l’huile circule partout (ou presque) c’est vrai, mais elle doit le faire non seulement avec un peu de débit, mais avec de la pression aussi. La pression est une force appliquée. Dans notre cas, l’huile est forcée par la pompe à pousser sur les parois des canalisations, et sur les pièces mobiles, comme les coussinets du vilebrequin, de l’arbre à cames, etc. Cette force est nécessaire pour garder éloigné les coussinets du vilebrequin, des bielles et de l’arbre à cames. Sans cette pression, les coussinets toucheraient les organes rotatifs, et forcément les endommageraient rapidement.

Comment Fonctionne la Pression d’Huile?

Comment se fait la pression? Comme exemple, on commencera avec le boyau d’arrosage à la maison. Quand on l’ouvre, de l’eau en sort instantanément. Pourquoi? Simplement parce qu’une pression dans le réseau est appliquée par une ou des pompes, et au moment où vous avez besoin d’arroser le jardin, vous n’avez pas à attendre que l’eau arrive, elle est déjà là, car la pression générale du réseau pousse l’eau jusqu’au robinet.

Comparaison avec le Circuit d’Huile Moteur

Dans le moteur c’est pareil, la pompe aspire l’huile du fond du carter, la projette dans les canalisations, qui elles, sont dessinées pour amener l’huile aux organes à lubrifier et refroidir. Les coussinets du vilebrequin, de l’arbre à cames, et autres organes du moteur qui ont besoin d’une pression pour bien fonctionner, ont une particularité toute semblable : le jeu libre entre les pièces mobiles est très très fin. Ce qui s’apparente presqu’à un bouchon au bout d’une canalisation.

Limitation des Pertes d’Huile

Ce «bouchon», en fait, il y en a plusieurs, permet de limiter les pertes grossières d’huile. Si nous n’avons pas, ou plutôt avons peu de perte, la pompe pourra monter une pression dans le système de lubrification. À chaque coussinet, le jeu libre est très fin, mais laisse échapper tout de même un peu d’huile. Cette perte n’a pas d’influence lorsque le moteur est neuf. Et cette légère perte permet de lubrifier les parois des cylindres, par exemple, par projection.

Contrôle de la Pression d’Huile

Le moteur ne tourne pas toujours à la même vitesse, bien sûr. Il est logique de penser que la pompe tourne avec la vitesse du moteur, logique aussi. Mais qu’est-ce qui contrôle la pression puisqu’à un certain régime, elle plafonne? Il y a une simple valve qui est placée sur le circuit des canalisations. Cette valve est toujours fermée au début, mais lorsque la pression prévue par le manufacturier est atteinte, la valve, fermée par un ressort, se déplace, se bat contre son ressort, et laisse échapper de l’huile. Cette huile retourne au carter. De cette façon, la pression est contrôlée.

Mise en Situation : Pression d’Huile et Température

Alors, on fait une mise en situation : Le moteur est mis en route, la pression monte autour de 50 psi. On peut en déduire facilement que toutes les issues pour l’huile sont bouchées et le moteur est en bon état. En réchauffant, il est normal que la pression baisse, dû à l’huile qui s’amincit avec la chaleur. Choisir le bon grade est certainement la meilleure chose à faire pour aider le moteur à être bien lubrifié.

Baisse de Pression et Usure du Moteur

Si la pression baisse avec le temps et l’usure du moteur, certains petits coquins sur les forums internet vont dire avant tout le monde de changer le ressort de la valve de décharge, et d’en mettre un plus fort. Erreur, ça ne changera rien. Si la pression est basse, c’est qu’un des «bouchons» dans les canalisations est ouvert, soit partiellement ou complètement. Sur le vilebrequin, un exemple de bouchon est les coussinets, même chose pour ceux de l’arbre à cames.

Conséquences de l’Usure des Coussinets

Si un ou des coussinets s’usent beaucoup, ils laisseront échapper l’huile plus que prévu, et la pression baissera. La valve de décharge ne pourra rien faire pour corriger la situation.

Le texte Circulation et rôle de l’huile moteur provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile