Chaque année impaire depuis 1981, la planète automobile se déplace à Francfort pour voir ce que le marché nous offre de plus récent et innovant. C’était le plus grand salon automobile de la planète. Une 12e de halls d’exposition que se partageaient les constructeurs automobiles. La plus grande par du gâteau allait aux compagnies allemandes qui avaient droit à leur propre édifice. Pour tout voir à Francfort, vous aviez besoin de deux, voire trois journées complètes. Quiconque avait quelque chose d’important à présenter en automobile devait être présent à Francfort.
L’ère de la mobilité
Chez nous comme ailleurs, l’automobile a amorcé un grand virage. Les Salons de l’auto comme on les connaît depuis 100 ans sont condamnés. Détroit a transformé son grandiose salon en une exposition moitié plein air, moitié intérieure qui se tient du 23 au 26 septembre prochain. Francfort dans la même approche a cédé le pas à Munich et le Salon de l’auto devient le Salon de la mobilité. Un centre des congrès où il y a plus de vélos électriques que de véhicules. On déplace aussi le centre d’Intérêt vers quelques parcs populaires au centre-ville de Munich ou expose certains constructeurs allemands comme Mercedes, Porsche et Audi. D’ailleurs seulement 6 constructeurs automobiles présents au Munich Masse. Mercedes, Hyundai, Ford (avec un seul véhicule), BMW, MINI et Renault. Aucun constructeur américain ou japonais. Les différentes aires d’exposition sont un mélange d’équipementiers, de fournisseurs automobiles et deux ailes complètes de vélos. Ce salon est maintenant dans l’esprit du
Munich, Allemagne, Lors de notre passage à Munich, nous avons eu la chance de conduire la nouvelle Mercedes Benz EQS
C’est en novembre que la berline EQS va se pointer sur nos routes en versions 580. Ce modèle offre un moteur électrique sur chaque essieu, ce qui se traduit par une transmission intégrale et une puissance totale de 516 chevaux et un couple de 611 lb-pi. Mercedes estime qu’il faut seulement 4,3 secondes pour un 0-100 km/h. Pour ceux qui en veulent plus une version AMG avec 750 chevaux et 750 lb-pi va se joindre à la 580 au début 2022.
Chaque EQS est dotée d’une suspension pneumatique adaptative et roule sur des roues de 19 à 21 pouces. Les roues arrière directrices sont de série et sont capables de s’orienter jusqu’à 4,5 degrés, et une mise à niveau optionnelle permet de les orienter de 10 degrés. Cette technologie est destinée à rendre la berline, qui dépasse les cinq mètres, plus facile à manœuvrer dans les stationnements ou les rues étroites et à accroître sa stabilité à grande vitesse. Grâce à son absence de moteur thermique et à un coefficient de traînée de 0,20 qui fait de l’EQS la voiture de série la plus aérodynamique au monde, il y a fort à parier que l’habitacle sera très silencieux.
On vous propose un essai un peu plus complet plus tard cette semaine
https://www.youtube.com/watch?v=wGNC6t5Mk3E
Le texte Un premier contact avec la Mercedes Benz EQS provient de L'annuel
Ne cherchez pas de Panhard les routes du Québec. Ces voitures d’origine française n’ont pas été commercialisées chez nous et si une apparaît quelque part, c’est qu’elle a été importée.
En revanche, assistez à un rassemblement d’anciennes en France et vous allez en voir plusieurs. Cependant, elles deviennent plus rares, car cette compagnie, qui a été prise par Citroën en 1965 (le géant français en détenait 25 % depuis 1955), allait produire sa dernière voiture en 1967.
Dans les faits, Citroën voyait Panhard comme un inconvénient et ne voulait pas que ce dernier vienne jouer sur son territoire. Voilà pour la petite histoire. D’ailleurs, au moment de la conception de la voiture qui allait devenir cette 24CT, l’idée d’une berline fut rejetée, car Citroën ne voulait pas que le modèle fasse ombrage à sa future Ami 6, ainsi que l’ID (version simplifiée de la DS).
Aussi, cette dernière création des bureaux de Panhard, la 24CT, devait à l’origine recevoir un moteur plus puissant que le 2-cylindres de 848cc (51 pouces cubes) dont elle a hérité, mais c’est Citroën qui s’y était opposée. Les penseurs chez Panhard voyaient cette voiture avec un 4-cylindres plus performant.
C’est donc un coupé peu puissant qui voyait le jour en 1963, pour l’année 1964. Heureusement, il était suffisamment stylisé pour retenir l’attention. Quant à son temps de 22,3 secondes pour le 0-97 km/h, et bien, il permettait d’admirer le paysage.
Avec le pied au plancher, on pouvait atteindre 143 km/h avec cette voiture.
Fait intéressant, cette voiture mettait l’accent
Le plus grand Salon de l’auto allemand qui se tient depuis des lunes à Francfort est déménagé à Munich cette année. En avant-première de ce salon un peu spéciale qui ne regroupe que des constructeurs allemands (ou presque) qui portent sur la mobilité et se tiennent majoritairement en plein air (pandémie oblige). Mercedes présentait chez le plus grand concessionnaire de la ville, des premières mondiales axées sur la voiture électrique.
L’EQE
Par rapport aà la grande EQS, l’EQE est plus profilé, avec un empattement et des porte-à-faux plus courts et des flancs plus en retrait. L’EQE 350 4MATIC de 288 chevaux sera lancé en premier sur le marché canadien en 2022. D’autres versions suivront. La EQE 350 4MATIC est équipée d’un groupe motopropulseur électrique (eATS) sur l’essieu avant et arrière. Les moteurs électriques sont des moteurs synchrones permanents. La batterie lithium-ion se compose de dix modules et possède un contenu énergétique utilisable de 90 kWh. Le logiciel innovant de gestion de la batterie, développé en interne, permet des mises à jour par voie aérienne (OTA). Ainsi, la gestion énergétique de l’EQE reste à jour tout au long de son cycle de vie.
En ce qui concerne la batterie, une étape importante a été franchie en termes de durabilité de la chimie des cellules : la matière active optimisée se compose de nickel, de cobalt et de manganèse dans un rapport de 8:1:1. La teneur en cobalt est ainsi réduite à moins de dix pour cent. L’optimisation continue de la
Mercedes accélère le pas dans la présentation de ses modèles électriques. L’EQB 350 4 Matic entièrement électrique va offrir une puissance de 288 chevaux et une autonomie de 419 km selon la norme WLTP qui se traduit sans doute par environ 350 km chez nous.
Petit, mais spacieux
Le coffre est spacieux : le volume de chargement est de 495 à 1710 ou 465 à 1620 litres (chiffres pour les cinq et sept places respectivement). Tout comme la version à essence, l’EQB dispose de 7 places en option. La bande lumineuse continue à l’avant et à l’arrière constitue un autre élément distinctif de l’univers tout électrique des véhicules Mercedes-EQ. Une bande horizontale en fibre optique relie les feux de jour des projecteurs à DEL, assurant un haut niveau de reconnaissance de jour comme de nuit.
En exclusivité pour ce modèle, des jantes en alliage léger au design bicolore ou tricolore, d’une taille maximale dallant jusqu’à 20 pouces.
Tableau de bord avant-gardiste
Le conducteur fait face à un écran large avec commande et affichage via MBUX (Mercedes-Benz User Experience). Selon la version choisie, vous avez droit à une garniture rétroéclairée et des éléments décoratifs de couleur or rosé sur les bouches d’aération. Les instruments, avec leurs affichages spécifiques aux voitures électriques, reprennent le même schéma de couleurs avec des reflets bleus et or rosé. Parmi les mesures aérodynamiques les plus importantes, citons le système de contrôle de l’air de refroidissement entièrement fermé dans la partie supérieure, les jupes avant et
Après avoir annoncé il y a quelques jours seulement que la vente de son très rapide roadster est reportée à 2023, Elon Musk a annoncé hier à ses employés (via une conférence téléphonique) que la vente du Cybertruck se fera maintenant à la fin de 2022. On repousse ainsi d’une autre année la date de commercialisation.
Une autre année de retard
La production de la camionnette devrait débuter modestement à la fin de l’année 2022 et ne sera pas fabriquée en quantité intéressante avant la fin de l’année 2023, a indiqué le site Electrek, citant des sources non identifiées qui ont participé à l’appel avec Musk. Le PDG a déclaré aux employés que la montée en puissance de la production sera compliquée par la quantité de nouvelles technologies que l’entreprise intégrera dans le pick-up.
Tesla a rencontré plusieurs défis
Tesla qui veut intégré une nouvelle génération de piles plus performantes dans son camion et sa semi-remorque rencontre beaucoup de difficultés à la fabrication et annonce qu’il sera difficile, voire impossible, de produire ses nouvelles piles en grande quantité avant 12 à 18 mois. Tesla a également récemment mis à jour son configurateur en ligne où les clients peuvent réserver leur pick-up pour faire référence à une production proche de 2022 plutôt que de la fin de cette année.
Ce nouveau retard risque d’envoyer les clients ailleurs et mine la crédibilité de Tesla.
Le texte La vente du Cybertruck est repoussé à la fin 2022 provient de L'annuel de l'automobile –
Vous avez peut-être regardé cet épisode des Simpson ou Homer devient consultant par la compagnie automobile de son frère qui lui demande de concevoir la voiture de l’américain. Sachez que quelqu’un l’a fait. Cette voiture de conception maison est en vente sur Craiglist pour 75 000 $ et le vendeur dit qu’il est négociable.
Inspiration Mercedes
La voiture est librement inspirée des voitures de course Mercedes Sauber C8, C9 et C11 des années 1980 et 1990. Visuellement, le résultat n’est pas heureux. Nous ne sommes pas certains que Mercedes serait très fière de voir son logo qui trône sur la calandre avant. Le vendeur l’appelle une Mercedes-Benz AMG C8 GTR 2011. Le constructeur maison offre quelques caractéristiques exotiques comme les portes-papillon
Un moteur V8 350
Sous le capot se trouve un V8 Chevrolet 350 en position centrale, associé à une boîte de vitesses manuelle à quatre rapports. L’annonce ne mentionne pas de statistiques, mais le moteur est équipé d’un carburateur Edelbrock alimenté par un réservoir de 25 gallons US et d’une paire de silencieux chromée pour assurer une note d’échappement digne d’une voiture de course. La puissance de freinage est assurée par des freins à disques aux quatre roues. Le vendeur demande 75 000 $ pour la construction, mais il est ouvert aux échanges.
Un intérieur sans cérémonie
Dans l’esprit des voitures de course, l’intérieur est en fibre de carbone. Ce matériau léger est également utilisé pour le volant et le pommeau de levier de vitesse. Son apparence dépouillée n’est pas dépourvue de certaines
Elle va s’appeler l’Emilia GT. Elle sera construite à seulement 22 exemplaires. Elle sera seulement pour l’Europe et coûtera 400 000 euros.
Une Alfa Romeo Giulia GT en restomod
Alfa Romeo a repris l’idée de la Giulia GT des années 60 et 70 ont ajouté le moteur V6 2,9 litres turbo de la giulia quadrifoglio et vous avez une ouvre du passé avec 505 chevaux sous le capot. Voilà la nouvelle voiture du préparateur allemand Emilia auto.
Un châssis moderne pour encaisser le coup
Pour être en mesure de supporter avec élégance toute cette puissance, Emilia Auto a doté cette sportive d’une structure à toute épreuve. Vous avez droit à des voies élargies, une suspension à quatre roues indépendantes avec double triangulation à l’avant et essieu multibras à l’arrière et des freins de chez Brembo. Un différentiel arrière à blocage électronique, un antipatinage, un système ABS et même une direction assistée adaptative ont également été installés. Donc, même si on devine un style d’origine, la structure est très moderne. La beauté c’est que la compagnie a réussi à garder le style d’origine sans dénaturer la beauté sensuelle de cette voiture. Il faut aussi noter que les panneaux de carrosserie sont en fibre de carbone donnant à la voiture un poids de seulement 1250 kg.
La voiture sera officiellement dévoilée au 2e trimestre de 2022 et la compagnie prévoit uniquement une homologation pour les routes européennes.
Le texte Un bijou du passé à la sauce moderne
La machine à rumeurs s’est remise en marche hier à propos de la voiture Apple. Cette fois, le site Digitimes et Macrumors affirme que Apple serait actuellement en discussion avec Toyota pour discuter d’un partenariat potentiel. L’objectif d’Apple est de trouver un partenaire de confiance et solide dans le secteur automobile pour lancer son premier véhicule de série prévu en 2024.
Toujours au stade embryonnaire
Nous savons qu’Apple a rencontré Toyota pour discuter de la faisabilité du projet tout comme elle l’avait fait avec Hyundai auparavant. MacRumors rapporte également que des représentants d’Apple ont rencontré les sociétés sud-coréennes SK Group et LG Electronics au mois d’août, et qu’il soit fort probable que la technologie des batteries ait également été au centre des discussions car la voiture Apple sera électrique. Parmi les autres entreprises contactées par Apple au cours des derniers mois figurent Nissan, Magna, Hyundai et d’autres, mais sans grand succès.
Début de la production dans moins de trois ans
Selon différentes sources, Apple veut commencer à construire son véhicule électrique semi-autonome en 2024 et se concentre actuellement sur la mise en place de la chaîne d’approvisionnement nécessaire. Reuters a même rapporté que l’entreprise technologique est en train de développer une nouvelle génération de batteries, qui devrait devenir une révolution comme l’a été l’iPhone original. Plusieurs spécialistes croient que cette date de 2024 est un peu optimiste considérant l’ampleur de la tâche et le fait que Apple commence à zéro. Chose certaine, cette voiture fait beaucoup parler d’elle.
Après le Outback, c’est maintenant au tour du Forester de recevoir le traitement Wilserness. Après tout si cette formule a si bien fonctionné avec le petit Crosstrek, pourquoi ne pas l’employer pour les autres modèles de la famille ?
Prêt pour l’aventure, mais si vous n’allez pas plus loin qu’un centre commercial
Alors que bien des gens possèdent des VUS avec de bonnes compétences hors route, très peu vont réellement s’en servir. Tout comme l’Outback, le Forester Wilderness offre un style plus robuste avec pare-chocs avant et arrière exclusifs, une plaque en aluminium pour le moteur et une autre en acier pour le différentiel arrière qui assurent une protection supplémentaire en conduite hors route. À l’avant, le Wilderness se démarque par ses garnitures noir mat sur la calandre et ses phares antibrouillard à DEL de forme hexagonale. Des enjoliveurs noirs au design exclusif contribuent à distinguer encore plus la Wilderness des autres modèles de la gamme.
Le goût de l’aventure à bord
On retrouve à bord des éléments exclusifs comme les sièges résistant aux intempéries et ornés du logo Wilderness en relief sur les appuie-têtes des sièges avant. Les surpiqûres de couleur cuivre contrastante sur les sièges et le volant chauffant gainé de cuir sont assorties aux éléments extérieurs et aux enjoliveurs couleur cuivre sur le levier de vitesse, le volant et les cercles des instruments.
Boue en option
À l’instar de toutes les versions Forester 2022, la version Wilderness est équipée de série de la technologie d’aide à la conduite