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L’an dernier, on a vu une foule de constructeurs, à commencer par Ford, annoncer qu’ils allaient utiliser la norme de recharge NACS (North American Charging Standard) de Tesla, afin de donner accès aux propriétaires de leurs véhicules à plus de 12 000 bornes de recharge additionnelles.

Dans la plupart des cas, les modèles de 2025, au pire de 2026, vont être équipés à la sortie de l’usine du connecteur de Tesla. Incidemment, le Hyundai Ioniq 5 de 2025 est devenu le premier modèle n’appartenant pas à Tesla, et vendu aux États-Unis, à être équipé de la prise NACS dès sa sortie de l’usine.

D’ici là, avec tous les autres modèles, un adaptateur doit être mis à leur disposition, afin qu’ils puissent se connecter aux bornes de Tesla.

Chez Ford, c’est possible depuis quelques mois déjà. Et voilà que la même chose vient d’être annoncée chez General Motors (GM).

Des véhicules GM et des bornes Tesla
Des véhicules GM et des bornes Tesla | Auto123.com

Le nouvel adaptateur NACS de GM est compatible avec tous ses véhicules électriques, y compris la Chevrolet Bolt EV, dont la production a été abandonnée à la fin de 2023 (sous sa forme actuelle, car une suite est dans les plans pour ce modèle). Un porte-parole de GM a déclaré au magazine Car and Driver que certaines Bolt pourraient avoir besoin d’une mise à jour logicielle pour fonctionner de manière fluide avec le réseau de Tesla.

Mais maintenant, la Bolt EV, le Chevrolet Blazer EV, le Cadillac Lyriq, et tous les autres modèles électriques de la marque pourront effectuer des opérations de recharge dans les quelque 18 000 stations de Tesla. En tout, GM affirme que ses clients ont accès à plus de 231 800 chargeurs publics aux États-Unis, y compris des bornes rapides à courant continu et des unités de niveau 2.

GM travaille avec plusieurs fournisseurs pour fabriquer l’adaptateur NACS, qui se vend 225 $ US.

Les applications de chaque marque de GM permettent aux utilisateurs de localiser les chargeurs de Tesla, de démarrer la recharge et de payer pour une séance.
Les applications de chaque marque de GM permettent aux utilisateurs de localiser les chargeurs de Tesla, de démarrer la recharge et de payer pour une séance. | Auto123.com

GM n’a pas parlé d’offrir gratuitement son adaptateur, comme ce fut le cas au début chez Ford. La compagnie a précisé que ledit adaptateur pouvait être acheté via l’application mobile de chacune de ses marques respectives du groupe.

Ces mêmes applications permettent aux utilisateurs de localiser les chargeurs de Tesla, de démarrer la recharge et de payer pour une séance.

Notez que pour le moment, les adaptateurs ne sont disponibles qu’aux États-Unis. Ça viendra au Canada où ce sera accessible avant la fin de l’année.

Contenu original de auto123.

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Le texte L’adaptateur NACS de Tesla est prêt chez General Motors provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le géant de la technologie Alphabet, via sa filiale spécialisée dans les véhicules autonomes Waymo, serait en discussions avancées avec Hyundai Motor pour externaliser la fabrication de ses véhicules autonomes, selon un rapport du journal sud-coréen Electronic Times. Ces discussions pourraient marquer un tournant pour l’avenir des technologies autonomes.

Trois rencontres entre Waymo et Hyundai

Les représentants de Waymo et de Hyundai Motor se seraient rencontrés à plus de trois reprises pour discuter d’un plan visant à utiliser le modèle électrique Ioniq 5 de Hyundai pour intégrer la technologie autonome de sixième génération de Waymo. Ce plan inclurait potentiellement le remplacement des véhicules de la marque chinoise Zeekr par ceux de Hyundai dans la flotte de Waymo, selon les sources du journal.

Un contexte tendu avec les importations chinoises

Cette nouvelle arrive alors que l’administration du président américain Joe Biden a récemment renforcé les taxes douanières sur les importations chinoises. À partir du 27 septembre, une taxe de 100 % sera appliquée aux véhicules électriques en provenance de Chine, une mesure qui pourrait pousser des entreprises comme Waymo à chercher des alternatives pour réduire leur dépendance aux fournisseurs chinois.

Des incertitudes sur le partenariat avec Zeekr

Malgré ce rapport, Waymo a refusé de confirmer cette rumeur et a déclaré à l’agence Reuters : « Nous ne commentons pas les spéculations, mais nous pouvons partager que nous continuons de valider la technologie du chauffeur autonome de sixième génération sur la plateforme Zeekr, et nous avons l’intention de l’introduire dans notre flotte une fois prête. »
De son côté, Zeekr a affirmé que leur partenariat avec Waymo n’avait pas changé, soulignant qu’ils « travaillent activement ensemble pour déployer les véhicules ».

Hyundai reste vague

Pour sa part, Hyundai Motor Group a précisé que « rien n’est encore déterminé à ce stade concernant de nouveaux partenariats commerciaux », en référence à l’éventuelle vente de sa plateforme de véhicules à des entreprises spécialisées dans la technologie autonome. En début d’année, la filiale Motional, dédiée à la technologie autonome au sein du groupe Hyundai, a reporté le lancement de son service de robotaxi avec des véhicules Ioniq 5 de nouvelle génération à 2026, après avoir licencié des centaines de travailleurs aux États-Unis.

Waymo diversifie ses partenariats

Waymo a déjà acquis des véhicules auprès de Stellantis et Jaguar Land Rover, intégrant sa technologie autonome pour offrir des services de transport à la demande à Phoenix, San Francisco et Los Angeles. En parallèle, la société continue de tester ses technologies de nouvelle génération sur des véhicules fournis par Zeekr, marque appartenant au groupe chinois Geely Automobile Holdings. En juillet dernier, Alphabet a annoncé un investissement de 5 milliards de dollars dans Waymo sur plusieurs années, montrant ainsi son ambition d’étendre ses services de mobilité autonome à plus grande échelle.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte Hyundai et Waymo préparent des robots-taxi provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le syndicat United Auto Workers (UAW) prépare plusieurs grèves aux États-Unis contre le constructeur franco-italien Stellantis, environ un an après qu’un arrêt national ait coûté des milliards de dollars aux trois grands constructeurs de Détroit, mettant au chômage 50 000 travailleurs. Shawn Fain, président de l’UAW, a accusé Stellantis de ne pas avoir tenu ses promesses contractuelles. Mardi soir, il a averti que plusieurs sections locales du syndicat posaient les bases de grèves qui pourraient paralyser l’entreprise.

Un impact financier déjà bien connu

Ces nouvelles menaces interviennent après la grève de six semaines de l’année dernière, qui avait coûté à Stellantis plus d’un milliard en bénéfices. Le syndicat avait également ciblé General Motors et Ford lors de cet arrêt historique en 2023, marquant un événement clé avec le soutien visible du président américain Joe Biden.

Une période stratégique pour l’UAW

Avec les opérations nord-américaines de Stellantis en difficulté, l’ombre d’une nouvelle grève plane à un moment critique, alors que la course à la Maison-Blanche s’intensifie. La vice-présidente Kamala Harris, qui a reçu l’appui de l’UAW, affronte Donald Trump dans cette bataille politique. Fain a expliqué que 28 sections locales, représentant des dizaines de milliers de travailleurs, avaient déposé des plaintes contre Stellantis, dont certaines étaient prêtes à demander des votes pour l’autorisation de grèves.

Stellantis sous le feu des critiques

Stellantis a répondu aux accusations en déclarant que les attaques publiques de Fain nuisent à la réputation de l’entreprise, affirmant qu’un dialogue productif serait plus bénéfique à toutes les parties. De son côté, Fain a riposté en critiquant la gestion de Carlos Tavares, PDG de Stellantis, en citant des retards dans les engagements d’investissements, notamment dans une nouvelle usine de batteries à Belvidere, Illinois.

Les enjeux pour Stellantis aux États-Unis

Les difficultés de Stellantis sur le marché américain se sont aggravées, avec des ventes en baisse et des stocks en hausse. Pourtant, avec des inventaires suffisants pour 77 jours, Stellantis pourrait ne pas ressentir immédiatement les effets d’une grève. Toutefois, des arrêts ciblés dans des usines produisant des véhicules très demandés, comme les SUV Jeep, pourraient infliger des pertes plus directes.

Une élection qui s’annonce décisive

Un mouvement de grève collectif maintenant attirerait l’attention de la Maison-Blanche, à l’approche de l’élection présidentielle américaine du 5 novembre. Michigan, un état clé dans cette élection, est au cœur des visites de Kamala Harris et Donald Trump. Si une autorisation de grève est obtenue, cela pourrait redéfinir les relations entre l’UAW et les constructeurs américains en cette période électorale.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte Menace de grève massive chez Stellantis aux États-Unis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Newport Beach, Californie – À la fin du mois d’août dernier, j’ai eu la chance de participer au lancement du très attendu VUS électrique EX90 de Volvo. Pour l’occasion, la compagnie suédoise recevait la planète en Californie afin qu’elle puisse faire l’essai de son nouveau modèle phare, un véhicule construit en sol américain (Charleston, Caroline du Nord).

Le modèle est important pour la marque, car il représente le passage vers une nouvelle étape dans son plan d’électrification, un plan qui a récemment été revu à la baisse en raison des demandes actuelles du marché.

En fait, Volvo, qui ne devait que proposer des modèles électriques en 2030, risque de commercialiser des véhicules hybrides et hybrides rechargeables parallèlement. N’empêche, la compagnie est engagée envers l’électrification. D’ailleurs, l’EX90 est le premier modèle électrique de la marque à adopter la nouvelle nomenclature utilisant les lettres EX.

Et dire que ce produit était attendu est faible ; sa première présentation nous ramène deux ans en arrière.

Et comment s’est produit ce premier contact avec ce véhicule ? Disons, pour être poli, que les choses n’ont pas été comme prévu… pour Volvo.

Voici 10 choses à retenir concernant les débuts du EX90 sur notre marché.

1 — Nouvelle signature et façon de faire

En matière de conception, on entre dans une nouvelle ère avec ce Volvo EX90. Sa structure a été pensée pour être électrique seulement, et la compagnie a été agressive avec le choix des matériaux. Par exemple, en fait de matières recyclées, l’EX90 en compte 15 % pour ce qui est de l’acier, 25 % pour l’aluminium et quant au plastique qui est utilisé à travers le véhicule, 105 livres, soit 15 % du plastique total, proviennent de matériaux d’origine biologique.

Volvo souhaite atteindre la carboneutralité en 2040. Voilà le genre d’efforts nécessaires pour y parvenir, et ce n’est qu’un début.

2 — Design

Le design du EX90 est très épuré, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. On comprend pour la robe, car l’aérodynamisme est crucial avec un véhicule électrique, si on le souhaite le moindrement efficace. Avec la version Ultra, on retrouve même des poignées de porte affleurantes.

À l’intérieur, c’est aussi très léché, mais pour une simple raison de préférence. C’est bien joli, et c’est visuellement attrayant, mais ça manque cruellement de boutons. En fait, il y en a un, pour le volume, gros comme une rondelle de hockey, à la console centrale.

C’est bien beau, mais un juste milieu aurait été souhaitable. Par exemple, pour ouvrir le coffre à gant, il faut se rendre à l’écran du système multimédia pour trouver la touche qui active le mécanisme.

Et bien sûr, tout ce qui est contrôle de la climatisation, de la ventilation, des sièges chauffants, de la température, est à l’écran. Oui, il y a la reconnaissance vocale, mais il est où le problème avec quelques boutons bien disposés et bien intégrés ?

Sérieux ?

3 — Prix et versions

Ici, une bien drôle de stratégie de la part de Volvo. Il y a deux versions au menu. La première, nommée Plus, offre un équipement complet à 110 000 $. Si vous souhaitez quelques éléments additionnels, comme la suspension pneumatique et le châssis actif (avec amortisseurs qui peuvent s’ajuster 500 fois par seconde), ainsi que des sièges plus enveloppants avec fonction de massage, des roues de 21 pouces plutôt que de 20 pouces, et la chance d’ajouter la chaîne audio Bowers & Wilkins à 24 haut-parleurs en option, vous devez opter pour la déclinaison Ultra… à 115 600 $.

Bien franchement, si vous avez 110 000 $ à cracher sur un modèle, vous devriez en avoir 116 000 $ ; ou 120 ou 130…

4 — La technologie

Sur le plan technologique, le Volvo EX90 2025 est impressionnant. Et je ne parle pas seulement du système multimédia qui offre toutes les fonctions imaginables. En fait, on regarde vers l’avenir avec ce modèle, notamment avec l’intégration de puissants systèmes (lidar par Luminar technologies et NVIDIA Orin en ce qui a trait au processeur) qui vont faire en sorte que votre EX90 va apprendre de votre comportement, et de ceux des autres sur la route, pour ensuite développer des démarches adaptées en conduite autonome.

Plusieurs choses restent à définir de ce côté, mais on doit parler d’un véhicule intelligent qui sera en mesure de nous étonner. Pour le moment, tout est dormant. Les capacités seront ajoutées plus tard au modèle, via les voies hertziennes.

5 — Les problèmes

Sur papier, tout cela est bien beau. Cependant, en pratique, on est encore loin de la coupe en raison d’un facteur bien précis ; la fiabilité. Oui à la technologie, lorsqu’elle fonctionne et se montre sans faille.

Or, au lancement de ce modèle, ce n’était pas tout à fait le cas. Même que Volvo en était gênée par moment. Trop de bogues avec trop de véhicules différents, un signe que le produit ne semble pas fin prêt pour une commercialisation.

Deux exemples. Certains de nos collègues, en essayant d’ouvrir le coffre à gant, ont découvert une touche qui ne répondait pas à l’écran du système multimédia. En ce qui nous concerne, notre véhicule a vu ses systèmes d’aides à la conduite faillir à plusieurs reprises (avec message à l’écran central). Pire, la clef du modèle, qui prend la forme d’une carte de chambre d’hôtel, n’était pas toujours reconnue par le système, nous empêchant parfois de redémarrer après un arrêt.

Volvo avait déclaré en 2022 que son EX90 « ne serait pas simplement un nouveau véhicule, mais un ordinateur sur roues très perfectionné. » Quelle prédiction !

A-t-on besoin d’en ajouter ? La seule bonne nouvelle, c’est que les problèmes devraient pouvoir être réglés avec des mises à jour logicielles. À quand la fin des bogues, toutefois ?

6 — La quincaillerie

L’EX90 est pourvu d’une batterie de 111 kWh, pour une autonomie annoncée à 499 km. La puissance est à 510 chevaux et 671 livres-pieds de couple grâce à la présence de deux moteurs électriques à aimants permanents qui assurent du coup le rouage intégral.

Notez que le modèle va offrir la recharge bidirectionnelle, si bien qu’il sera possible d’alimenter votre demeure ou quantité d’appareils en cas de panne de courant.

Volvo annonce un temps de 30 minutes pour la recharge de 10 % à 80 %. Et un ingénieur rencontré sur place conseille aux futurs propriétaires de ne pas dépasser 80 %, lorsque possible, pour assurer la durée de vie de la batterie.

7 — L’insonorisation

Une des choses qui s’est avérée le plus impressionnant lors de l’essai du modèle, c’est le niveau d’insonorisation. C’est simple, on peut chuchoter à bord, même à vitesse d’autoroute.

J’en ai essayé des véhicules au fil des années, et voici l’un des cinq meilleurs habitacles rencontrés à ce chapitre ces 20 dernières années. Volvo côtoie Bentley et Rolls-Royce ici.

8 — Le poids

Avec tout véhicule électrique, la question du poids revient sur la table. Un jour, la technologie fera en sorte que la taille et la masse des batteries diminueront, mais d’ici là, il faut vivre avec cet irritant. L’EX90 pointe à 6118 livres (2775 kg).

On a vu pire, mais cet embonpoint est difficile à cacher.

9 — La conduite

La bonne nouvelle, c’est que grâce à la technologie avec le châssis et la suspension pneumatique (version Ultra), le tout est bien distillé et le modèle demeure « agile ». La conduite est stable et très rassurante. On a parfois l’impression que l’EX90 est plus petit qu’il ne l’est, en raison de la sensation conférée par la direction.

Le freinage régénérateur se dose très bien derrière le volant, si bien qu’il est facile pour le conducteur d’éviter les à-coups qui donnent envie à vos passagers de vomir.

Et la douceur de roulement est exceptionnelle.

Je suis très curieux d’essayer la version Plus, sans le châssis plus intelligent de la variante Ultra. J’ai l’impression que ce dernier va faire toute la différence.

10 — Consommation

Enfin, pour ce qui est de la consommation d’énergie, nous avons maintenu une moyenne de 21,9 kWh au 100 km, ce qui est très bien considérant le poids du modèle. Les routes parfaites de la Californie, combinées à une température sublime, ont assurément contribué à ce bon résultat.

Voilà pour ce qui est de nos premières impressions de ce modèle. L’EX90 ne sera pas le meilleur vendeur de la famille électrique de Volvo, mais il se veut le porte-étendard de la marque en matière de technologie. Ce qu’il propose va migrer vers les produits plus abordables, comme l’EX30 qui est attendu avec impatience.

On ne peut que souhaiter une sérieuse amélioration sur le plan de la fiabilité, car ce premier contact nous a laissés perplexes. Le potentiel est là, toutefois.

Forces

Douceur de roulement

Insonorisation exceptionnelle

Niveau de technologie impressionnant

Chaîne Bowers & Wilkins (option)

Faiblesses

Véhicule qui ne semble pas à point

Fiabilité à long terme

Facture très salée

Poids important

Le texte Volvo EX90 2025 : le meilleur… et le pire provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Après Aston Martin qui a souligné le 60e anniversaire de « Goldfinger », troisième film de la série « James Bond », par une exposition spéciale à Londres en juillet, un second constructeur braque à son tour les projecteurs sur un véhicule vedette de cette célèbre production cinématographique. On comprendra toutefois que, cette fois, on n’évoque nullement le bolide conduit par le héros qu’interprétait Sean Connery, mais plutôt la limousine servant au… vilain !

On a vu des Rolls-Royce dans une douzaine de films de James Bond. Cependant, la vedette motorisée la plus mémorable de la marque demeure celle qu’on a vue dans Goldfinger : cette exquise Phantom III sedanca de ville de 1937. Elle servait au vilain éponyme, Auric Goldfinger (Gert Fröbe), qui était conduit par Oddjob (Toshiyuki Sakata, alias Tosh Togo), son homme de main qu’il disait coréen, alors que cet acteur était en fait un Japonais !

Plan machiavélique

L’intrigue de ce film place la Rolls-Royce au cœur de l’histoire, puisque sa carrosserie cache un secret. En effet, cette voiture sert à passer de l’or en contrebande de l’Angleterre à la Suisse, où se trouve le repère de Goldfinger.

Pour ce faire, le vilain utilise une fausse carrosserie fabriquée avec deux tonnes d’or massif 18 carats. Une fois arrivé à destination, après avoir traversé l’ouest de l’Europe et le col routier de la Fourche (le quatrième plus haut des Alpes suisses), Goldfinger fait démonter la carrosserie pour faire fondre ses panneaux en lingots d’or dans sa fonderie. La carrosserie d’origine est alors remise en place pour lui permettre de répéter ce stratagème.

Les cinéphiles avertis se souviendront que le vilain prépare en même temps un plan machiavélique baptisé « Opération grand chelem » grâce auquel il veut irradier l’or stocké à Fort Knox, aux États-Unis, à l’aide d’un dispositif atomique. Ainsi, l’or des Américains n’aurait plus de valeur, alors que ses propres réserves d’or le rendraient richissime et très puissant. Naturellement, ce plan sera déjoué à temps par James Bond.

Idéale pour un vilain

Selon Rolls-Royce, le choix de la Phantom III convenait parfaitement à ce scénario, puisque le poids de l’or ainsi transporté n’aurait pas affecté les performances de cette voiture, même dans les ascensions les plus exigeantes des routes alpines. La Phantom III a été la première Rolls-Royce de l’histoire équipée d’un V12 (et la seule jusqu’à l’arrivée de la Silver Seraph, en 1998). Son moteur de 7,3 L lui procurait 165 ch, soit 37,5 % plus de puissance que le 6-cylindres de 7,7 :L de la Phantom II, qui ne livrait que 120 ch.

La Phantom III fut également la dernière voiture dont le moteur a été mis au point sous la direction de Henry Royce, avant qu’il ne décède en 1933. Outre sa motorisation, cette voiture disposait également de raffinements propres à rendre la contrebande de Goldfinger plus… agréable. On pense, notamment, à la suspension à amortisseurs hydrauliques réglables que le chauffeur — Oddjob, en l’occurrence — pouvait contrôler depuis son siège. Ce système lui aurait permis d’ajuster la qualité du roulement, que la voiture soit alourdie par de l’or ou non !

Véritable histoire de cette voiture

Bien avant de servir au tournage de ce film, cette Phantom III avait été commandée par Urban Huttleston Rogers Broughton (1896-1966), un Étatsunien qui s’était installé en Angleterre et qui est même devenu le premier Lord Fairhaven de l’abbaye d’Anglesey.

Défiant les conventions de l’époque, sa voiture avait été peinte presque entièrement en noir, y compris le boîtier des phares, les pare-chocs, les roues et même le cadre du rétroviseur. Seul un filet blanc donnait un maigre relief à ses flancs et au capot. Les volets chromés de radiateur avaient même été décapés au jet de sable pour donner une allure plus sobre à la voiture !

Les cadrans du tableau de bord affichaient des mesures impériales et métriques afin de faciliter la conduite sur les routes de Grande-Bretagne autant que celles de l’Europe continentale.

La finition bicolore, jaune et noire, a été adoptée par la suite pour son apparition dans Goldfinger. Elle donnait plus fière allure à la carrosserie de type « sedanca de ville » construite par le carrossier londonien Barker & Co. Ce type de carrosserie, qu’on surnommait « coupé de ville » en France et en Allemagne, et « Town Car » aux États-Unis, a un habitacle découvrable pour le chauffeur et un habitacle entièrement clos pour les passagers.

Il est intéressant de noter que, dans le film, cette Phantom III porte la plaque d’immatriculation « AU 1 ». Naturellement, on pourrait croire qu’elle évoque le symbole de l’or du tableau périodique des éléments. Mais, il n’en rien. À l’époque, AU étaient les lettres des plaques d’immatriculation britanniques désignant les véhicules immatriculés à Nottingham. D’ailleurs, la plaque « AU 1 » avait été attribuée à l’un des premiers véhicules de cette région, en 1901. Par ailleurs, après le tournage du film, cette immatriculation a servi à d’autres Rolls-Royce.

Une suite à l’histoire de cette Rolls-Royce… et à celle de James Bond ?

Dans un communiqué publié hier par Rolls-Royce, on apprend qu’une annonce sera faite le 25 octobre prochain au sujet d’un nouveau chapitre dans l’histoire de la Phantom « AU 1 ». Est-ce qu’on en apprendra davantage ce jour-là sur le 26e volet de la franchise cinématographique James Bond ? C’est ce que nous verrons !

Photos : Rolls-Royce/Goldfinger© 1964 Danjaq, LLC et Metro-Goldwyn-Mayer Studios Inc.

Le texte Le 60e anniversaire du film « Goldfinger » célébré par… Rolls-Royce provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les propriétaires de véhicules électriques GM peuvent désormais utiliser le réseau de Superchargeurs de Tesla grâce à un adaptateur qui coûte 225 USD. À partir du 18 septembre, les propriétaires de véhicules électriques General Motors (GM) peuvent se connecter aux Superchargeurs de Tesla grâce à un adaptateur de 225 $. Ce réseau, qui compte plus de 17 800 stations de recharge rapide, sera d’abord accessible aux clients américains avant d’être déployé au Canada d’ici la fin de l’année.

Un adaptateur pour accéder aux Superchargeurs

Les conducteurs de véhicules électriques Chevrolet, GMC et Cadillac peuvent acheter cet adaptateur via l’application mobile de leur marque, qui leur permet également de localiser les Superchargeurs, vérifier leur disponibilité et payer la recharge. Buick, pour sa part, ne propose pas encore de véhicule électrique aux États-Unis. Tesla utilise le connecteur propriétaire North American Charging Standard (NACS), mais GM prévoit d’intégrer ce port dans ses futurs véhicules électriques à partir de l’année-modèle 2026, selon Wade Sheffer, vice-président de GM Energy.

Une initiative pour égaliser les conditions d’accès

GM avait déjà annoncé en 2022, via sa PDG Mary Barra, un accord avec Tesla pour permettre l’accès de ses véhicules électriques au réseau de recharge. Pour l’instant, les véhicules GM utilisent le système de charge combiné (CCS), nécessitant un adaptateur pour se connecter aux bornes Tesla. Ford, qui a conclu un accord similaire avec Tesla, permet à ses clients de réserver un adaptateur NACS gratuitement jusqu’au 30 septembre, avec un coût de 230 $ après cette date. GM a choisi de vendre l’adaptateur à 225 $ pour tous ses clients afin d’assurer une équité.

Accompagnement des concessionnaires

Les concessionnaires GM pourront également aider les acheteurs de véhicules électriques à obtenir un adaptateur lors de l’achat de leur véhicule.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte GM accède aux Superchargeurs Tesla avec un adaptateur à 225 $ provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ram prépare son entrée dans la course aux pick-ups électriques avec deux versions distinctes de son célèbre modèle 1500.

Ram lancera son tout premier pick-up 100 % électrique, le 1500 REV, dès le début de l’année 2025, selon la PDG de Ram, Christine Feuell. En parallèle, la marque proposera également une version électrifiée de ce véhicule emblématique, le Ramcharger 1500, équipé d’un moteur prolongateur d’autonomie, destiné aux conducteurs qui ne sont pas encore prêts à adopter un véhicule entièrement électrique.

Une technologie à la hauteur des attentes

Le lancement du pick-up électrique suit de près celui de la première camionnette électrique de Ram, le ProMaster EV, commercialisé en 2024. « Nous avons le savoir-faire technologique pour concevoir des produits électriques capables d’accomplir les tâches », a déclaré Bob Broderdorf, ancien responsable des opérations mondiales de Ram, récemment promu à la tête de Jeep Amérique du Nord. Broderdorf insiste sur le fait que Ram cherche à offrir des performances solides, même en conditions réelles avec des charges utiles et lors du remorquage. « Tout le monde peut parler d’une grande autonomie, mais nous voulons prouver que cela fonctionne aussi en conditions réelles. »

1500 REV : autonomie et performances impressionnantes

Le 1500 REV, version entièrement électrique du célèbre pick-up de Ram, sera équipé d’une batterie standard de 168 kWh offrant une autonomie allant jusqu’à 350 miles (environ 563 km). Ram vise encore plus haut avec une option de batterie de 229 kWh, promettant une autonomie de 500 miles (environ 805 km). Ce pick-up révolutionnaire devrait faire son entrée dans les concessions début 2025.

Avec des renseignementsa d’Automotive News

Le texte Le premier pick-up électrique de Ram arrivera début 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Un inventeur visionnaire, Marcus a marqué l’histoire avec ses innovations dans le domaine de l’automobile.

Le 18 septembre 1831 marque la naissance de Siegfried Samuel Marcus, un inventeur germano-autrichien et véritable pionnier de l’automobile. Vers 1870, Marcus réalise une avancée majeure en installant un moteur à combustion interne sur un simple chariot à main. Ce dispositif, conçu pour des combustibles liquides, fait de lui le premier à propulser un véhicule à l’aide d’essence. Ce prototype est aujourd’hui connu sous le nom de « Première voiture Marcus ».

L’innovation révolutionnaire de Marcus

En 1883, Marcus dépose un brevet en Allemagne pour un magnéto d’allumage à basse tension, une invention qui sera utilisée dans tous ses moteurs ultérieurs, y compris dans la célèbre « Deuxième voiture Marcus » de 1888-1889. Ce véhicule est une avancée majeure grâce à l’association de cet allumage avec un « carburateur à brosse rotative », un design novateur pour l’époque.

La Deuxième voiture Marcus, un chef-d’œuvre technique

Construite par Märky, Bromovsky & Schulz en 1888-1889, la Deuxième voiture Marcus est un jalon dans l’histoire de l’automobile. Ce véhicule peut encore être admiré au Musée Technique de Vienne. C’est cette voiture qui a assuré la renommée internationale de Marcus. En reconnaissance de sa contribution, la voiture a été désignée comme un Monument historique de l’ingénierie mécanique par l’American Society of Mechanical Engineers.

Le texte 18 septembre 1831 : Naissance de Siegfried Marcus, pionnier de l’automobile provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La Trabant est considérée par la grande majorité des experts et historiens de l’automobile comme l’une des pires voitures jamais produites. Elle a cependant marqué une époque. Dans mon livre sur les voitures anciennes de la Californie, je vous ai raconté son histoire, ainsi que celle d’un jeune propriétaire croisé lors d’un rassemblement automobile.

J’ai eu l’occasion de retourner lui serrer la pince en avril dernier lors d’un autre voyage dans la région, où j’ai découvert sa deuxième Trabant.

Je vous invite à lire mon texte originalement écrit dans un premier temps, pour ensuite découvrir pourquoi il est propriétaire d’une deuxième copie.

Trabant 601S 1986: Simplicité involontaire

L’histoire de l’automobile est fascinante en soi. Elle le devient encore plus lorsqu’on analyse la création de tel ou tel modèle en s’intéressant aux contextes en vigueur à l’époque, qu’ils soient sociaux, économiques ou carrément politiques. Dans cette optique, la Trabant est plus qu’une voiture ; c’est un phénomène socioéconomique culturel et politique.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’Allemagne est scindée en deux. Quelques usines subsistantes tombent sous le régime soviétique de la République démocratique d’Allemagne, la RDA. L’une d’elles, qui appartenait au groupe Auto Union (un des ancêtres d’Audi), prend le nom de Sachsenring et va produire des automobiles à compter de 1949. Les produits qui vont naître là vont changer de noms quelques fois pour finalement adopter celui de Trabant à compter de 1959. Ils vont aussi refléter la réalité de la Reconstruction. Les matières premières étaient rares, et le régime communiste ne voulait pas dépendre des pays capitalistes. C’est ainsi que la Trabant 601 profite d’une carrosserie fait d’un nouveau matériau nommé Duroplast. De fait, c’est toute la conception de la voiture qui est minimaliste. Par exemple, ne cherchez pas de trappe pour mettre du carburant. Parce que la Trabant 601 n’a pas de pompe à essence, on a placé le réservoir sous le capot, au-dessus du moteur, si bien que tout se fait par gravité. À l’intérieur, aucune jauge ne vous indique le niveau d’essence. Pour savoir ce qui vous reste, il faut insérer une tige dans l’espace où l’on fait le remplissage. Quant à la mécanique au service du modèle, ça ne pourrait être plus simple. Il s’agit d’un moteur 2-cylindres à deux temps de 595cc, un bloc qui proposait 26 chevaux en 1986.

L’objectif était d’offrir une voiture abordable et simple à réparer avec un minimum d’outils. À ce chapitre, la Trabant a rempli sa mission. Elle a été très populaire, aussi. Entre 1964 et 1990, 2 819 000 exemplaires ont été assemblés. Fait amusant, si sa longévité a été impressionnante, le temps qu’il fallait compter pour obtenir une version est aussi légendaire. Entre le moment où la réservation du modèle était faite et celui de la livraison, il pouvait s’écouler entre 10 et 15 ans. Vous l’aurez deviné, la chute du mur de Berlin et la réunification de l’Allemagne vont mettre fin à l’histoire de la Trabant qui aura servi sa mission à merveille. Il est seulement difficile de trouver des modèles en condition honorable aujourd’hui. La qualité de construction et la fiabilité n’étaient pas une force.

Le modèle croisé est l’exception qui confirme la règle. Son histoire est absolument extraordinaire. Son propriétaire, Steven, n’est âgé que de 26 ans. D’origine hongroise, il a promis à son père, lors d’un voyage au pays de ses ancêtres, qu’il était pour un jour ramener une voiture à la maison. Ça s’est produit en juin 2020 alors qu’il a déniché ce qui est peut-être la plus belle Trabant d’origine. Elle avait été importée par un citoyen américain d’origine allemande en 2014. Ce dernier ne l’a pas vraiment utilisé ici. Il l’avait acquise du propriétaire original qui ne la sortait qu’occasionnellement et jamais sous la pluie. Conséquemment, le compteur de cette Trabant n’affiche que 15 000 km. Impensable !

Concernant la plaque du Montana que vous voyez à l’avant, la pratique n’est pas rare en Californie, car elle permet de contourner les règles sévères en matière d’émissions polluantes. Ça ne s’applique pas aux voitures anciennes conçues avant 1976. Puisque cette Trabant est une 1986…

Une deuxième Trabant

Peu après ma première rencontre avec Steven Nádaskai, il m’a confié qu’il avait chez lui une deuxième Trabant. La raison est bien simple. L’exemplaire décrit dans le texte plus haut est tellement dans une condition exceptionnelle qu’il ne souhaitait pas le rouler de façon régulière, et ainsi l’abîmer davantage, surtout qu’il s’agit de l’une des Trabant les mieux conservées sur la planète.

Voilà pourquoi il s’est offert un deuxième exemplaire, en bonne condition, mais pas comme celui qu’il a décidé de préserver.

J’ai sauté sur l’occasion pour aller faire une balade avec lui, pour réaliser à quel point cette voiture est hautement rudimentaire. Tout ce que je peux vous dire, c’est que la mauvaise réputation du modèle n’est pas surfaite. On a l’impression d’être assis dans une boîte en tôle dépourvue d’insonorisation. Mon siège se balançait comme une chaise berçante, et la sonorité de la mécanique nous donnait l’impression que des pièces étaient sur le point de sortir du capot.

Et c’est bruyant ; très bruyant.

Mais vous savez quoi ? On ne peut qu’être charmé. J’ai souri tout du long. Surtout, ça nous fait revivre cette époque incroyable qu’était la vie à l’intérieur du Bloc de l’Est. Et dire que l’attente pour mettre la main sur ce modèle était interminable.

Si vous avez l’occasion de faire une balade en Trabant, ne la manquez pas ; il s’agit d’un cours d’histoire extraordinaire.

J’éviterais seulement les boulevards achalandés et les autoroutes ; la sécurité à bord de ce modèle est inexistante.

Mais quelle expérience !

Le texte Pourquoi avoir une Trabant lorsqu’on peut en avoir deux ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

L’année 2024 marque un tournant dans la transformation des voitures en véritables ordinateurs sur roues, mais les véritables SDV (software defined vehicles) ne seront accessibles aux consommateurs que dans environ trois ans.

La révolution des véhicules définis par logiciel est en marche

Les constructeurs automobiles commencent à récolter les fruits des véhicules définis par logiciel (SDV), qui ouvrent la voie à des revenus récurrents grâce aux abonnements et à des avantages stratégiques.

Consolidation et défis techniques

Le défi majeur pour les constructeurs est de prouver qu’ils possèdent les compétences nécessaires pour fabriquer des SDV, en fusionnant la capacité d’un téléphone intelligent avec la robustesse et la durabilité d’une voiture. Les SDV présentent un avantage clé : leur valeur est préservée grâce à des mises à jour logicielles régulières, permettant de répondre aux attentes des consommateurs. Par exemple, Stellantis prévoit de générer environ 20 milliards d’euros de revenus via des produits et abonnements basés sur des logiciels d’ici 2030.

Comment réussir avec les SDV

Renault prévoit de lancer son premier SDV en 2026. Pour réussir, les constructeurs doivent abandonner les anciens schémas de réussite et redéfinir leur relation avec les fournisseurs en adoptant une approche plus ouverte et flexible, multipliant les partenariats pour éviter l’intégration verticale complète en interne. Cela nécessitera un changement de mentalité au niveau des dirigeants, avec de nouvelles compétences à acquérir.

Une approche flexible et une collaboration étroite

« Le modèle traditionnel, qui consistait à concevoir un produit une fois et à le laisser en place pendant trois à cinq ans, est remplacé par un modèle nécessitant des améliorations continues », selon les experts. Même si l’innovation est principalement motivée par les logiciels, il ne faut pas sous-estimer l’importance de l’expertise en ingénierie. Les constructeurs doivent garantir que les véhicules restent sûrs, conformes aux réglementations et capables de durer des décennies. La différence, aujourd’hui, est que le monde du logiciel, des plateformes et de l’automobile doivent désormais collaborer étroitement.

Vers une standardisation et une évolution rapide

Les constructeurs doivent également créer une vision claire en matière d’architecture et de processus de développement. Bien que les plateformes technologiques évoluent, elles restent souvent fragmentées. Le passage des concepts de logiciel à la route s’accélère considérablement. Un exemple récent est la rapidité avec laquelle les constructeurs intègrent ChatGPT dans leurs véhicules.

Conclusion : Les SDV, l’avenir de l’automobile

Les véhicules définis par logiciel sont en passe de transformer l’industrie automobile. Alors que certains constructeurs avancent à grands pas, d’autres doivent encore s’adapter à cette nouvelle réalité. La flexibilité, l’innovation continue et la collaboration seront essentielles pour réussir dans cette nouvelle ère, où les voitures évolueront au même rythme que nos smartphones.

Avec des renseignements d’Automotive News Europe

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