La division électrique Scout de Volkswagen nous a dévoilé en 2024 l’identité des deux premiers modèles qu’elle allait offrir au public, soit la camionnette Terra et le VUS Traveler.

Cette semaine, l’entreprise partage la réaction initiale de la clientèle visée en nous apprenant que jusqu’à maintenant, 50 000 réservations avaient été placées pour l’un des deux produits de la compagnie. Du lot, 70 % sont pour le VUS.

Le Scout Traveler
Le Scout Traveler | Auto123.com

Les modèles électriques seront offerts avec deux configurations mécaniques ; une qui sera tout électrique, ainsi qu’une autre à prolongateur d’autonomie, là où un moteur-générateur à essence vient prendre la relève pour recharger la batterie. Cela permet la poursuite de sa route une fois l’énergie de la batterie d’entraînement épuisée.

Dans ce dernier cas, on parle d’une autonomie de 805 km. Pour Scott Keogh, le chef de la direction de Scout, cette approche explique en grande partie pourquoi les véhicules attirent autant l’attention.

« Cela nous permet de disposer d’un véhicule pour les 50 États », a-t-il déclaré lors d’une entrevue accordée à Bloomberg, comme le rapporte le site Carscoops. Au groupe CNBC, il a ajouté que les dirigeants étaient très satisfaits.

Oliver Blume, le grand patron de Volkswagen, a commenté le succès initial de Scout au CES (Consumer Electronics Show) de Las Vegas qui se tient cette semaine : « La réaction du marché a été très, très positive », a-t-il déclaré. Pour lui, les gens voient ce retour comme un hommage à l’héritage de la marque, comme une histoire d’amour entre elle et le public.

Avec 70 % des acheteurs qui s’intéressent à la version à autonomie prolongée, il est clair que la décision de Scout a été la bonne. L’accès à un vaste réseau de bornes de recharge demeure un enjeu pour quantité d’acheteurs en plusieurs endroits aux États-Unis (et aussi au Canada), et le fait de pouvoir profiter d’un modèle qui élimine le stress relié à cela est un élément majeur.

Et compte tenu des changements de politiques possibles du côté de Washington alors qu’on attend un nouveau locataire à la Maison-Blanche, Scout se positionne pour être flexible afin d’être en mesure de répondre à tous les besoins du marché.

Volkswagen construit actuellement une usine de deux milliards pour Scout en Caroline du Sud. Selon Scott Keogh, elle n’aura pas besoin de modifications importantes pour fabriquer les versions à autonomie étendue.

Le Scout Terra
Le Scout Terra | Auto123.com

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Le texte Déjà 50 000 réservations pour les deux modèles de Scout provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ford vient de présenter la Mustang GTD Spirit of America, une version qui célèbre l’ingéniosité américaine et les performances record de la Mustang sur circuit.

Une voiture née pour défier les limites

En 1962, une petite équipe d’ingénieurs ambitieux a transformé une berline compacte (la Ford Falcon) en une voiture sportive révolutionnaire : la Mustang. Dès sa première course, elle a défié les plus grandes marques européennes. Plus tard, elle a marqué l’histoire en devenant la première voiture d’un constructeur américain à boucler le Nürburgring en moins de 7 minutes.

Aujourd’hui, Ford célèbre cette épopée avec le lancement de la Mustang GTD Spirit of America, une version hommage à l’ingéniosité et au courage qui ont toujours caractérisé la Mustang depuis 1964.

La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, de profil
La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, de profil | Auto123.com

Un ingénieur aéronautique avant-gardiste

La Mustang GTD Spirit of America n’honore pas seulement le patrimoine de performance de la marque, mais aussi l’esprit audacieux de pionniers comme Craig Breedlove. Cet ingénieur en aéronautique a transformé un moteur à réaction, acheté pour 500 $, en un bolide, devenant ainsi le premier homme à dépasser les barrières des 500 et 600 miles à l’heure (805 à 965 km/h) sur terre.

Craig Breedlove a inspiré des générations de concepteurs et d’ingénieurs américains, dont l’équipe derrière la Mustang GTD.

« La Mustang GTD incarne le sommet de la performance Mustang. La Spirit of America célèbre l’audace qui la rend possible, » a déclaré Jim Owens, responsable de la marque Mustang GTD.

La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, avant
La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, avant | Auto123.com
La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, arrière
La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, arrière | Auto123.com

Un design inspiré et chargé de symbolisme

Le design de la Mustang GTD Spirit of America reflète les couleurs nationales américaines : une carrosserie Performance White ornée de bandes de course Race Red et Lightning Blue, rappelant l’emblématique bande verticale à trois couleurs de Mustang de 1964. Les bandes s’étendent sur toute la longueur de la voiture, évoquant également la tenue portée par Breedlove lors de ses records.

Les éléments aérodynamiques, comme les diffuseurs avant et arrière et l’aileron, sont en fibre de carbone apparente. L’aileron arbore des plaques latérales rouges et les lettres « MUSTANG ».

La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, intérieur
La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, intérieur | Auto123.com
La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, bouton de changement de rapport
La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, bouton de changement de rapport | Auto123.com

Un intérieur haut de gamme et personnalisé

L’habitacle de la Mustang GTD Spirit of America met en avant des sièges en cuir avec des accents en Dinamica, un coloris Black Onyx, et une bande centrale rouge dégradé. Le contraste est renforcé par des surpiqûres Victory Blue.

Les palettes de changement de vitesse et certains éléments du tableau de bord sont en titane imprimé en 3D, soulignant toute l’attention accordée aux petits détails.

Des performances sans précédent

La Mustang GTD Spirit of America fait partie de la nouvelle génération 2025 de Mustang GTD, le modèle le plus puissant jamais conçu par Ford. Avec 815 chevaux, un couple de 664 lb-pi et une vitesse maximale de 325 km/h, elle redéfinit le standard des performances pour une Mustang homologuée pour la route.

La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, de haut
La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, de haut | Auto123.com
La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, trois quarts arrière
La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, trois quarts arrière | Auto123.com
La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, diffuseur
La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, diffuseur | Auto123.com
La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, sur la piste
La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025, sur la piste | Auto123.com
La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025 a été présentée hier à Détroit
La Ford Mustang GTD Spirit of America 2025 a été présentée hier à Détroit | Auto123.com

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La nouvelle qui suit est embryonnaire, car l’information vient à peine d’être publiée sur le site du gouvernement du Canada ; le programme de rabais à l’achat d’un véhicule électrique au niveau fédéral sera mis sur pause avant le 31 mars 2025.

C’est donc dire que le crédit de 5000 $ ne sera plus disponible, du moins temporairement. Avec l’incitatif qui est passé de 7000 $ à 4000 $ au Québec le 1er janvier dernier, et qui disparaîtra temporairement à compter du 1er février 2025, cela signifie que bientôt, aucun montant ne sera offert en rabais à l’achat d’un modèle électrique sur la plupart du territoire canadien.

Au Québec, le programme pourrait revenir en avril, mais c’est à confirmer et l’on sait aussi qu’il est condamné à long terme. Le rabais va passer à 2000 $ en janvier 2026 avant d’être éliminé en janvier 2027, s’il est conservé, bien entendu.

Du côté des concessionnaires, on va devoir travailler fort pour écouler les modèles en stock, car les prix ne seront plus les mêmes pour les consommateurs.

Ce matin, le Conseil ZEV a annoncé ‘hui à ses membres que « lorsque tous les fonds seront épuisés, le programme fera une pause et les Canadiens ne pourront plus recevoir d’incitatifs lors de l’achat ou de la location de nouveaux véhicules admissibles dans le cadre du programme iZEV. Auparavant, les demandes des concessionnaires et des vendeurs autorisés pourront être soumises comme d’habitude jusqu’à ce que d’autres mises à jour soient communiquées. »

D’autres informations suivront concernant cette annonce qui vient d’être faite.

Le Hyundai Ioniq 5
Le Hyundai Ioniq 5 | Auto123.com

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Hyundai, le troisième plus grand constructeur automobile mondial, mise sur l’électrification pour s’imposer comme chef de file dans l’industrie. Avec un investissement sans précédent de plus de 16,6 milliards USD en Corée du Sud en 2025, Hyundai prépare le terrain pour surpasser ses concurrents comme Volkswagen et Toyota.

Le quartier général du Hyundai Motor Group, à Séoul en Corée du Sud
Le quartier général du Hyundai Motor Group, à Séoul en Corée du Sud | Auto123.com

Un investissement historique dans le contexte d’une crise

Le groupe Hyundai, qui inclut Kia et Genesis, a annoncé son intention d’investir 24,3 billions (billion = mille milliards) de KRW (16,6 milliards USD) en 2025, soit une hausse de 19 % par rapport à son précédent record de 2024.

Cet investissement massif intervient dans un contexte politique délicat en Corée du Sud, marqué par une crise déclenchée après la destitution du président Yoon Suk Yeol en décembre 2024. Cette instabilité a freiné la consommation domestique, entraînant une baisse des ventes locales de Hyundai de 7,5 % en 2024.

Pour contrer ce ralentissement, Hyundai vise à renforcer son innovation technologique et à accélérer la transition vers l’électrification.

Hyundai mise sur l’électrification et les véhicules à conduite autonome (SDV = Self Driving Vehicle).

Hyundai prévoit d’investir :

  • • 11,5 billions de KRW (7,9 milliards USD) dans la recherche et le développement pour améliorer la compétitivité des produits, l’électrification, les SDV et les technologies à hydrogène.
  • • 12 billions de KRW (8,2 milliards USD) pour accroître la production de véhicules électriques (EV) et moderniser les installations manufacturières en Corée.
  • L’objectif est de développer des produits de nouvelle génération et de construire des usines consacrées à la production de véhicules électriques.

Des projets concrets pour accélérer la production de véhicules électriques

En 2025, Hyundai prévoit l’ouverture d’une usine consacrée aux VUS électriques pleine grandeur à Ulsan, marquant une étape clé dans la production nationale de modèles électriques. Kia, de son côté, a déjà commencé la production du EV3 dans son usine Gwangmyeong EVO et prévoit de lancer la fabrication en série de ses fourgons électriques PBV.

Aux États-Unis : un marché prioritaire

Hyundai a récemment inauguré une usine pour modèles électriques de 7,6 milliards en Géorgie. Le premier modèle produit est une version améliorée de l’Ioniq 5 2025, avec une autonomie accrue, un design modernisé et une compatibilité avec les chargeurs de Tesla grâce au port NACS (North American Charging Standard).

Le Hyundai Ioniq 9
Le Hyundai Ioniq 9 | Auto123.com

En 2025, Hyundai va également lancer la production de l’Ioniq 9, son premier VUS électrique trois rangées, destiné au marché américain et coréen. Ce modèle, admissible au crédit d’impôt fédéral américain de 7500 $, constitue un atout stratégique pour Hyundai face à ses concurrents.

Objectif : surpasser Volkswagen et Toyota

Avec ses investissements record en Corée, Hyundai vise à augmenter ses parts de marché dans l’électrification, et renforcer sa compétitivité avec les SDV et les technologies émergentes. Plus généralement, le géant de l’automobile et de l’économie coréenne veut maintenir une croissance stable malgré les crises.

Les efforts combinés en Corée et à l’international positionnent Hyundai comme un acteur clé dans la transformation de l’industrie automobile.

Le mot de la fin

L’investissement massif de Hyundai en 2025 marque une étape décisive pour l’avenir de l’automobile. En misant sur l’électrification et l’innovation, le constructeur sud-coréen se prépare à rivaliser avec les leaders mondiaux comme Toyota et Volkswagen. Avec des projets ambitieux en Corée et aux États-Unis, Hyundai s’impose comme un pionnier de la mobilité durable.

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Le texte Hyundai investit un montant record de 16,6 milliards en Corée du Sud provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le gouvernement canadien a publié aujourd’hui une mise à jour sur le programme iVZE. Au 10 janvier 2024, il reste 71 817 104 $ de financement (environ 16 000 ZEV). L’avis indique que « Lorsque tous les fonds seront épuisés, le programme sera mis en pause et les Canadiens ne pourront plus recevoir d’incitatifs à l’achat ou à la location de nouveaux véhicules admissibles dans le cadre du programme iVZE.

Le même sort que le programme Roulez vert au Québec

En deux mots, tant à Ottawa qu’à Québec, les coffres sont vides. Ce qui veut dire que quelque part au mois de mars, il n’y aura plus un cent de subventions pour faire l’achat d’un véhicule électrique au Canada. Le programme Roulez vert au Québec, qui a joué un rôle clé dans l’adoption des véhicules électriques dans la province, sera interrompu le 1er février. À l’échelle nationale, le programme iVZE (Incitatifs pour les véhicules zéro émission), instauré par le gouvernement du Canada en mai 2019, cessera également lorsque les fonds disponibles seront épuisés ou à la date prévue de fin, soit le 31 mars 2025. Mobilité électrique Canada (MEC) n’appuie pas cette décision, car le pays est en bonne voie d’atteindre et même de dépasser son objectif de 20 % de ventes de VZE d’ici 2026. Nous espérons que le gouvernement envisagera de renouveler le programme dans des conditions nouvelles et plus durables pour tous les Canadiens, comme nous l’avons proposé souligne son PDG Daniel Breton

Un bon coup de pouce à l’achat

Depuis son lancement, le programme iVZE a permis de subventionner plus de 546 000 véhicules zéro émission (VZE), faisant passer leur part de marché de 3,1 % en 2019 à 14,2 % en 2024. Cependant, le programme sera mis en pause une fois les fonds épuisés, ce qui mettra fin aux incitatifs financiers pour les consommateurs et entreprises canadiens achetant ou louant des VZE admissibles.

Bien que le programme iVMLZE (incitatifs pour les véhicules moyens et lourds zéro émission) se poursuive jusqu’au 31 mars 2026, les conséquences de la fin du programme iVZE sont préoccupantes pour l’avenir de l’électrification des transports au Canada.

Analyse et opinion

Sans ces subventions, le marché des véhicules électriques pourrait ralentir considérablement. Les incitatifs financiers ont été des leviers majeurs pour surmonter les barrières économiques liées au coût élevé des véhicules électriques. La fin des subventions risque d’exacerber ces défis, surtout en l’absence d’infrastructures de recharge suffisantes et d’une baisse des prix des batteries.

Cependant, cette transition pourrait inciter les constructeurs à réduire davantage les coûts de production et les gouvernements à miser sur des politiques alternatives, telles que des normes strictes d’émissions ou des investissements accrus dans les bornes de recharge.

L’avenir des VZE dépendra également de la capacité des provinces et du secteur privé à prendre le relais. Le Québec, par exemple, pourrait instaurer des politiques locales pour maintenir son leadership en électrification.

Conclusion

La fin des programmes Roulez vert et iVZE marque un tournant dans l’adoption des VZE au Canada. Bien que cette décision puisse freiner l’élan actuel, elle pourrait également forcer l’industrie automobile à innover davantage, tout en plaçant les gouvernements devant la responsabilité de soutenir la transition énergétique autrement.

Le texte Ottawa met fin aux programmes de subventions sur les véhicules électriques provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Lamborghini a confirmé ce que les rumeurs laissaient entendre depuis quelque temps : les Urus S et Urus Performante vont tirer leur révérence. C’est dans un communiqué célébrant ses ventes records en 2024 que la marque italienne a enterré cette nouvelle, annonçant que ces modèles thermiques seront remplacés par l’Urus SE hybride rechargeable.

Présenté pour la première fois en avril 2024 lors du Salon de l’Auto de Pékin, l’Urus SE s’impose comme le nouveau pilier de la gamme Lamborghini.

L’Urus SE : une révolution hybride

Le nouveau Lamborghini Urus SE combine une motorisation thermique et électrique pour offrir des performances impressionnantes tout en intégrant des technologies de pointe.

Caractéristiques principales :

  • Moteur V8 biturbo de 4,0 litres : 611 chevaux
  • Moteur électrique intégré à la boîte automatique à huit rapports : 189 chevaux supplémentaires
  • Puissance totale : 789 chevaux (588 kW)
  • Batterie de 25,9 kWh offrant une autonomie électrique de 60 km

Avec une accélération de 0 à 100 km/h en 3,4 secondes, l’Urus SE rivalise avec les variantes thermiques, tout en offrant une vitesse de pointe légèrement supérieure : 312 km/h contre 306 km/h pour la Performante et 305 km/h pour l’Urus S.

Performances et polyvalence

En plus de ses performances fulgurantes, l’Urus SE propose une alternative écologique avec sa capacité à rouler en mode 100 % électrique. Cette autonomie de 60 km est un avantage décisif pour les trajets urbains, tout en conservant l’esprit sportif et agressif qui caractérise la gamme Urus.

Comparaison avec les versions thermiques :

  • Urus Performante : 657 chevaux, vitesse maximale 306 km/h
  • Urus S : 657 chevaux, vitesse maximale 305 km/h
  • Urus SE hybride : 789 chevaux, vitesse maximale 312 km/h

L’Urus SE conserve l’esthétique audacieuse des versions thermiques, avec quelques ajustements pour marquer sa différence.

Adieu au thermique : une étape inévitable

Lamborghini n’a pas précisé la date exacte de l’arrêt de production des Urus S et Performante, mais il est clair que ces modèles laisseront bientôt place à l’Urus SE. Ce changement marque une étape importante dans la transition de la marque vers des motorisations plus durables.

Un futur électrique pour Lamborghini

Avec l’Urus SE, Lamborghini ouvre un nouveau chapitre dans l’histoire de ses super VUS. Bien que les puristes puissent regretter les versions thermiques, cette évolution hybride combine puissance, polyvalence et conscience environnementale. Regretterez-vous les Urus S et Performante, ou êtes-vous prêt à embrasser cette nouvelle ère de performance électrifiée ?

Avec des renseignement d’Auto evolution

Le texte Lamborghini met fin aux Urus S et Performante provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Un retour à la normale après des années difficiles

Le marché canadien des véhicules neufs semble avoir retrouvé un certain équilibre en 2024, après des années marquées par la pandémie de COVID-19 et une pénurie mondiale de semi-conducteurs. Selon DesRosiers Automotive Consultants (DAC), 1,86 million de véhicules ont été vendus, soit une augmentation de 8,2 % par rapport à 2023.

C’est le plus haut total depuis 2019, où 1,91 million de véhicules avaient été vendus. “2024 a enfin apporté un certain niveau d’équilibre … au grand soulagement des consommateurs et de l’industrie,” a déclaré DAC.

La montée en puissance des véhicules électriques

Les véhicules électriques ont été un moteur important de la croissance, notamment au Québec, où l’annonce de la réduction des incitatifs du programme Roulez Vert a poussé les consommateurs à se précipiter sur les modèles électriques.

Les chiffres marquants des ventes EV en 2024 :

  • Toyota : 117 528 véhicules électrifiés vendus (+17,7 %), représentant 49,2 % de ses ventes totales.
  • Ford : 21 153 véhicules électriques vendus (+66,1 %), un record pour la marque.
  • General Motors : Les ventes de Chevrolet Equinox EV ont atteint 16 989 unités, soit plus de la moitié des ventes totales de ce modèle.

Cependant, l’avenir des incitatifs pour les véhicules électriques reste incertain, tant au Canada qu’aux États-Unis, ce qui pourrait ralentir cette tendance.

Les VUS dominent toujours le marché

Les segments des SUV compacts et sous-compacts continuent de surpasser les voitures traditionnelles, avec des ventes atteignant plus de 560 000 unités en 2024.

Selon Michael MacGillivray, PDG de Century Auto, cette transition s’explique par la disparition progressive des voitures compactes au profit des VUS “Les VUS sous-compacts sont similaires aux berlines en termes de prix, ce qui séduit les consommateurs,” a-t-il ajouté.

L’incertitude politique et économique en 2025

Alors que 2024 a été une année de reprise, 2025 s’annonce incertaine. Avec le départ de Justin Trudeau de son poste de Premier ministre et les tensions commerciales entre le Canada et les États-Unis, le marché pourrait être affecté par des tarifs douaniers.

Donald Trump, président élu aux États-Unis, a menacé d’imposer un tarif de 25 % sur les importations canadiennes, ce qui inquiète les acteurs de l’industrie. “C’est une menace réelle pour notre économie,” a déclaré Michael Carmichael, PDG d’UpAuto.

Prévisions pour 2025

Malgré ces défis, les experts prévoient une croissance modérée :

  • DesRosiers Automotive Consultants table sur 1,84 million de véhicules vendus.
  • AutoForecast Solutions envisage un retour au seuil des deux millions de ventes, bien que cet objectif soit revu à la baisse.

Sam Fiorani, vice-président d’AutoForecast Solutions, a déclaré : “La croissance est attendue, mais atteindre deux millions d’unités sera difficile.”

Une reprise fragile

Si 2024 marque une année de reprise pour le marché automobile canadien, les incertitudes politiques, économiques et liées aux incitatifs pour les véhicules électriques pourraient peser sur 2025. Les VUS et les véhicules électriques resteront probablement au centre des tendances.

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

Le texte Ventes de voitures neuves au Canada en 2024 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les véhicules à boîte de vitesses manuelle sont de plus en plus rares sur le marché, mais là où ce type de boîte est proposé, on réalise que plusieurs acheteurs préfèrent toujours ce type de transmission en raison du plaisir accru qu’elle procure à la conduite d’un véhicule.

C’est le cas avec la BMW Z4 et la Toyota Supra, des véhicules jumeaux qui en étaient à leur cinquième année de commercialisation l’an dernier.

Et tant du côté de BMW que de Toyota, on a constaté que 65 % des voitures vendus en 2024 du côté des États-Unis avaient la boîte manuelle.

La BMW Z4 M40i 2024
La BMW Z4 M40i 2024 | Auto123.com

Chez BMW

Chez la marque bavaroise, près de 1400 des 2129 exemplaires vendus en 2024 ont été sélectionnés avec la boîte manuelle à six rapports, qui n’est livrable qu’avec le moteur à 6 cylindres, la mécanique à quatre ne conservant que la boîte automatique à huit engrenages.

Pour la Z4, il s’agissait de la première année où la boîte était livrable avec cette génération de modèles. Cela a permis de faire grimper les ventes de 13,1 %, alors que la compagnie vendait 1883 versions en 2023.

Il est clair que l’option de la transmission a contribué au progrès du modèle, une réalité reconnue par BMW.

La Toyota GR Supra
La Toyota GR Supra | Auto123.com

Chez Toyota

Son de cloche similaire chez Toyota avec un taux d’adoption de 65 % pour la boîte manuelle. Il s’agit d’une hausse par rapport à l’année 2023 où 43 % des acheteurs avaient opté pour la boîte mécanique. En 2024, 1700 des 2615 Toyota Supra vendus ont quitté l’usine avec une troisième pédale.

Il est intéressant de constater, aussi, que Toyota a vendu plus de Supra que BMW a réussi à écouler de Z4. Ça demeure étonnant, considérant que la représentante de BMW peut être livrée en configuration décapotable, ce qui n’est pas possible chez Toyota.

Le site Motor1, qui a partagé ces informations, mentionne que BMW a vu la boîte manuelle être populaire dans sa gamme, là où elle est offerte, bien sûr. Avec la M2, on parle de près de 50 % pour le taux d’adoption. Pour les M3 et M4, les chiffres respectifs ont été de 20 % et de 15 %.

La boîte manuelle n’est pas morte et il y aura toujours des acheteurs pour ce type de configuration… tant que certains modèles vont continuer de l’offrir.

Levier de changement de vitesse dans la Toyota GR Supra
Levier de changement de vitesse dans la Toyota GR Supra | Auto123.com

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Le texte BMW Z4 et Toyota Supra : 65 % des acheteurs optent pour la boîte manuelle provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ça fait plusieurs années qu’on nous la montre, mais enfin, une date concernant son arrivée sur le marché a été annoncée ; l’Afeela 1, la voiture née d’un partenariat entre Sony et Honda, va se pointer sur le marché au milieu de l’année 2026.

L’an dernier, nous avions vu le modèle au CES (Consumer Electronics Show) de Las Vegas, et il est sans surprise de retour là-bas pour l’édition de cette année qui se déroule cette semaine. La différence, c’est que Sony Honda Mobility a dévoilé les prix du modèle, en plus du moment où elle prévoit sa construction et le début de sa commercialisation.

L'Afeela 1 de Sony Honda Mobility
L’Afeela 1 de Sony Honda Mobility | Auto123.com

Les prix de l’Afeela 1 de Sony Honda Mobility

L’Afeela 1 sera offerte à partir de 89 900 $ US, en configuration Origin. Une variante Signature sera aussi au menu, avec une facture de 102 900 $ US. Cette déclinaison va offrir bien sûr plus d’équipement, notamment des jantes de 21 pouces, un système de divertissement pour les passagers arrière, de même qu’un système de surveillance par caméra centrale.

Trois couleurs seront au menu, soit le gris, le blanc et le noir. Pour l’originalité, on repassera.

Les trois couloeurs de l'Afeela 1
Les trois couloeurs de l’Afeela 1 | Auto123.com

Les modèles seront livrés de série avec un abonnement gratuit de trois ans aux services connectés du groupe, ce qui va comprend Afeela Intelligent Drive, un système de conduite semi-autonome de niveau 2 qui utilise 40 capteurs pour fonctionner. Le modèle profitera aussi d’un assistant personnel (Afeela Personal Agent) pour aider avec le contrôle des fonctions de la voiture et, apparemment, pour être capable de converser avec les occupants.

L’abonnement inclut également plusieurs contenus liés au divertissement, des thématiques numériques personnalisables pour les écrans et une connectivité de données 5G. Les propriétaires devront, après les trois premières années, souscrire à un abonnement pour continuer à profiter des services ; les détails sont à venir concernant tout cela.

L'Afeela 1, avant
L’Afeela 1, avant | Auto123.com
L'Afeela 1, arrière
L’Afeela 1, arrière | Auto123.com

Pour ce qui est de caractéristiques entourant la fiche technique du modèle, c’est encore maigre. La voiture sera pourvue du port de recharge NACS (North American Charging Standard) de Tesla, ce qui va permettre aux propriétaires d’avoir accès à un réseau de recharge plus complet.

L’Afeela 1 devrait offrir quelque 500 kilomètres d’autonomie grâce à la présence d’une batterie lithium-ion de 91,0 kWh. La configuration sera à deux moteurs électriques de 241 chevaux, un sur chaque essieu pour offrir le rouage intégral. La berline va aussi profiter d’une suspension pneumatique.

Pour le reste, il faudra attendre qu’on nous livre plus d’informations. Chose certaine, avec une arrivée prévue l’année prochaine, il est clair que d’autres présentations auront lieu pendant l’année en cours.

L’Afeela 1 sera assemblée à l’usine que Honda opère en Ohio. Elle ne sera vendue qu’en Californie dans un premier temps. Il faudra voir pour la suite.

L'Afeela 1 de Sony Honda Mobility, intérieur
L’Afeela 1 de Sony Honda Mobility, intérieur | Auto123.com
L'Afeela 1 de Sony Honda Mobility, première rangée
L’Afeela 1 de Sony Honda Mobility, première rangée | Auto123.com
L'Afeela 1 de Sony Honda Mobility, deuxième rangée
L’Afeela 1 de Sony Honda Mobility, deuxième rangée | Auto123.com
L'Afeela 1 de Sony Honda Mobility, de profil
L’Afeela 1 de Sony Honda Mobility, de profil | Auto123.com
L'Afeela 1 de Sony Honda Mobility, de haut
L’Afeela 1 de Sony Honda Mobility, de haut | Auto123.com

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Le texte CES 2025 : Des débuts en 2026 pour l’Afeela 1 de Sony Honda Mobility provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Du 17 au 26 janvier, le Palais des congrès de Montréal s’animera au rythme de l’automobile alors qu’une trentaine de marques présenteront leurs modèles au 80e Salon de l’auto de Montréal.

Parmi celles-ci, on en dénombre deux, Lucid et Polestar, qui en sont à leur première présence au salon. De plus, presque une dizaine d’autres marques font un retour après avoir boudé l’événement au cours des dernières années passées. Il s’agit de Mercedes-Benz, Subaru, Volvo et des marques de Stellantis : Chrysler, Dodge, Jeep, Ram, Fiat et Alfa Romeo. Par contre, à la dernière seconde, Genesis a annoncé qu’elle se désistait et qu’elle sera également absente du Salon de Toronto, preuve que la fidélité des constructeurs ne tient qu’à un fil.

Depuis un peu plus d’une semaine, des publicités diffusées dans tous les médias nous rappellent l’imminence de l’ouverture de cet événement. Ces messages misent notamment sur une image de marque renouvelée avec un logo tout neuf qui domine; un « A » stylisé accompagné d’un nom abrégé : Salon auto MTL.

Pourquoi adopter ce logo et cette nouvelle appellation pour cet un événement bien connu ? Dans une entrevue exclusive, Denis Dessureault, le vice-président exécutif de la Corporation des concessionnaires automobiles de Montréal et du Salon de l’auto de Montréal, répond à cette question… et à quelques autres !

Nouveau logo, nouveau nom

Luc Gagné — Le Salon international de l’auto de Montréal existe-t-il toujours ?

Denis Dessureault — L’entité commerciale « Salon international de l’auto de Montréal » existe toujours pour l’entreprise, mais pour l’événement, on a retiré le mot « international ». Ça devient simplement : Salon de l’auto de Montréal.

Quand le salon a été créé, en 1969, on jumelait les grandes marques américaines à des marques japonaises et européennes. À l’époque, à Montréal, c’était nouveau et cette mixité justifiait qu’on parle d’un salon international. Mais aujourd’hui, avec la mondialisation de l’industrie, l’usage de ce qualificatif n’est vraiment plus nécessaire.

Et puis, avec ce changement, on pense aller chercher une nouvelle clientèle. Car, à l’ère des réseaux sociaux, où il n’y a plus beaucoup de place pour écrire les messages, un nom plus court c’est mieux.

Quant au logo, le « A » qui évoque le mot auto, en 3D et avec l’effet de chrome, c’est vraiment un beau. Après deux, trois éditions du salon, les gens vont le reconnaître. Ça va devenir notre marque de commerce pour les prochaines années.

Des marques qui reviennent

LG — Pourquoi ne pas avoir profité de l’occasion pour adopter une appellation d’un genre nouveau comme Auto Fest, Salon de la mobilité, Auto Expo, etc. ?

DD — Des focus group nous ont démontré qu’on ne pouvait pas changer le nom, au-delà du mot international. Parmi le grand public, on a une reconnaissance instantanée de 91 % ! Ce serait comme si Coca-Cola changeait de nom !

Cela ne nous empêche pas de vouloir présenter tout ce qui est disponible sur le marché. Malheureusement, depuis la pandémie, aucun salon au monde n’a réussi à rassembler tous les joueurs de l’industrie comme avant. Malgré tout, on se réjouit d’accueillir cette année six constructeurs qui reviennent.

LG — Qu’est-ce qui incite les constructeurs à revenir ?

DD — On ne se le cachera pas, les cours de nos concessionnaires se sont remplies de nouveaux véhicules. Alors, ils ont besoin de visibilité pour les montrer.

Et puis la recette qui mise uniquement sur les réseaux sociaux pour les vendre, en pensant que tout cela va se faire tout seul, ça pouvait fonctionner pendant la pandémie. Mais aujourd’hui, avec les taux d’intérêt qui augmentent et les inventaires qui se gonflent, ça ne suffit plus.

Lorsqu’on parle aux constructeurs qui ne viennent pas au salon, on leur demande comment ils expliquent qu’ils laissent leurs compétiteurs montrer leurs produits à nos 170 000 visiteurs, en sachant qu’entre 35 et 40 pour-cent d’entre eux ont amorcé un processus d’achat. C’est quand même beaucoup de gens qui pourraient voir leurs véhicules et « passer de leur côté ».

LG — À ce sujet, vous m’aviez expliqué qu’un sondage réalisé après le salon, l’année dernière, démontrait que des consommateurs intéressés aux produits Honda, marque qui était absente, avaient changé leurs intentions d’achats après avoir vu les produits de Hyundai et GM. Avec le retour de Mercedes-Benz au salon, cette année, pensiez-vous aussi assister au retour de BMW et d’Audi ?

DD — À notre grande surprise, ils ont dit non. Par contre, ils seront au Salon du véhicule électrique de Montréal (SVÉM).

SVÉM, un deuxième salon en mai

LG — Avec un marché qui compte de plus en plus de véhicules électriques (VÉ) et électrifiés (hybride non branchable et hybrides branchables), cet autre salon a-t-il toujours sa raison d’être ?

DD — Absolument ! Ce sera le deuxième salon de l’auto que notre équipe va organiser cette année. Rappelons que le SVÉM a été racheté par le Salon de l’auto de Montréal en juillet 2024. Or, on tient à le faire malgré les incertitudes actuelles entourant l’électrification des transports, car les VÉ attirent une clientèle différente, tant pour ce qui est des visiteurs que des exposants.

Parmi les visiteurs, il y a les « électromobilistes », ceux qui ne veulent voir que des « batteries à quatre roues », pour reprendre l’expression d’un visiteur, et il y a les consommateurs qui envisagent d’acheter leur premier VÉ.

Et puis, du côté des constructeurs, il y a ceux qui ne veulent pousser que leurs modèles électriques. On le voit avec BMW et Audi. De plus, pour les constructeurs, le fait d’avoir une exposition qui ne dure que 3 jours plutôt que 10, c’est également très important. C’est moins coûteux et, puisqu’on montre moins de véhicules, ça représente moins de transport et moins de logistique.

Voilà pourquoi on a décidé d’aller de l’avant avec le SVÉM, pour les deux prochaines années du moins.

LG — Est-ce que cela pourrait durer plus longtemps ?

DD — On sait qu’environ 80 % des véhicules qui seront exposés au Salon de l’auto de Montréal seront électrifiés (électriques ou hybrides). Alors, par la force des choses, cet événement-là va éventuellement devenir un « salon tout électrique ».

LG — En 2025, le SVÉM déménage, n’est-ce pas ?

DD — Oui. Il aura lieu au Stade IGA le premier week-end de mai : les 2, 3 et 4 mai 2025. On ne change pas la recette. Comme l’année dernière, il y aura des VÉ et des exposants de produits et services connexes (accessoires, électriciens spécialisés, bornes, vélos électriques et trottinettes, etc.). Ça, c’est de la valeur ajoutée !

Lorsqu’on a annoncé ces dates, certaines personnes croyaient que cette exposition aurait lieu à l’extérieur. Absolument pas ! Avec 20 terrains intérieurs et 70 000 pi ca qu’on peut utiliser, il va y avoir assez de place pour présenter le salon à l’abri des intempéries.

De plus, avec trois stations de métro autour du parc Jarry, ce sera facile d’accès. Enfin, les installations du Stade IGA offrent de la place en masse pour garer les véhicules qui serviront aux essais routiers.

Un incontournable : les essais de VÉ

LG — Au sujet des essais routiers de VÉ, Jesse Caron, porte-parole de CAA-Québec, votre partenaire pour cette même initiative organisée dans le cadre du Salon de l’auto de Montréal, nous a confirmé qu’il y aura encore plus de modèles disponibles au Palais des congrès cette année : 28 modèles différents comparativement à 16, l’année dernière. Ces essais sont-ils encore si nécessaires ?

DD — Si l’on considère qu’environ 3 000 personnes (de mémoire) profitent de ces essais parmi nos 170 000 visiteurs, cela représente un faible pourcentage de participation. Mais, pour les constructeurs, les essais de VÉ sont très importants.

Pour eux, c’est souvent l’occasion d’asseoir un consommateur dans un VÉ et de lui offrir une expérience de conduite pour la première fois. C’est un moment crucial qui le rassure et l’inciter à aller plus loin dans son processus d’achat.

Au cours des dernières années, les inventaires de VÉ étaient très limités. Mais aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Voilà pourquoi cette initiative est d’autant plus importante.

Le Salon de l’auto de Montréal s’offre un Sommet

LG — Ces essais constituent en quelque sorte un « événement dans l’événement », au même titre que le gala Avant-première-bénéfice, le retour de la collection de Ferrari de Luc Poirier, les séances de dédicaces de personnalités du petit écran et de la course (Karine Vanasse, Mariloup Wolfe, Marc Dupré et Valérie Limoges) et même la présence du club Tesla Québec. Mais la CCAM prépare autre chose de nouveau et de gros cette année, n’est-ce pas ?

DD — Il s’agit du Sommet de la CCAM, un événement qui s’adresse principalement aux concessionnaires, qui aura lieu à l’hôtel InterContinental, le mercredi 15 janvier. On va y traiter de divers sujets touchant leur quotidien et les dernières tendances de l’industrie.

Le Français Thomas Chieux, fondateur de TCG Conseil, une société d’études spécialisée dans la distribution automobile, sera le conférencier-vedette de cet événement. Il parlera notamment de la transition du marché automobile vers les véhicules électriques et comment cela change la façon de travailler pour un concessionnaire.

On va avoir des panels de concessionnaires pour discuter de la loi 30 et de ce qui va changer au niveau du F&I. Il va y avoir des mises à jour sur certains dossiers de la CCAQ et de la CADA. Bref, ça va ressembler au Sommet de la CADA, qui a lieu dans le cadre du Salon de Toronto, mais avec du contenu francophone.

Cet événement fait partie de la planification stratégique entamée l’année dernière et qui vise à rapprocher la CCAM des concessionnaires en offrant des événements pertinents destinés à les aider. On a créé un happening plus business (B-to-B) en espérant que ça va faire « des p’tits » !

Photos : CCAM, TCG Conseil, Groupe Park Avenue et Luc Gagné

Le texte Salon de l’auto de Montréal 2025 : Pourquoi ce nouveau logo ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile