Les premières images du Jeep Compass 2026 sont apparues en ligne hier et peu de temps après, la compagnie y est allée de la présentation officielle de son modèle. Ce qui a été incroyable lors de cette dernière, c’est que rien n’a été mentionné concernant le marché nord-américain.

Le site Motor1, qui rapporte cette nouvelle, a contacté la compagnie pour connaître la raison de cette omission. La réponse est simple ; l’avenir demeure incertain pour le Compass en Amérique du Nord. La compagnie ne parle pas directement des tarifs de Donald Trump, mais il est facile de comprendre que ça demeure un facteur important.

« Alors que nous naviguons dans l’environnement dynamique actuel, Stellantis continue de réévaluer sa stratégie de produits en Amérique du Nord afin de s’assurer qu’elle offre à ses clients une gamme de véhicules avec des options de groupes motopropulseurs flexibles pour répondre au mieux à leurs besoins. En conséquence, l’entreprise interrompt temporairement le travail sur le Jeep Compass de nouvelle génération, y compris les activités à l’usine d’assemblage de Brampton (Ontario) ».

Le Jeep Compass 2026, avant
Le Jeep Compass 2026, avant | Auto123.com

Le Compass 2026 devait en principe se pointer pour l’année prochaine, une fois l’usine ontarienne remise en fonction après un arrêt pour des travaux de modernisation. L’endroit était entre autres responsable de la fabrication des anciennes Dodge Charger et Challenger, ainsi que la Chrysler 300. Il était nécessaire de procéder à des travaux pour accueillir la production du nouveau Compass.

En raison des tarifs imposés aux véhicules qui entrent aux États-Unis en provenance du Canada, il est clair que la compagnie est à réévaluer la pertinence de lancer son modèle sur notre continent à ce moment-ci de l’histoire.

Stellantis a quand même confirmé que les investissements annoncés à Brampton, de l’ordre de 3,6 milliards CAD, se poursuivent.

Il est donc ironique de voir que le nouveau Compass peut maintenant être commandé en Europe, alors que là où il a fait ses débuts, en Amérique du Nord, le contexte fait qu’il pourrait être retiré du marché, au minium de façon temporaire.

Le Compass a été le troisième produit le plus vendu de la marque aux États-Unis l’an dernier, avec 111 697 unités en 2024, une hausse de 16 % par rapport à 2023. Depuis le début de l’année, il talonne les deux meilleurs vendeurs de la compagnie, les Cherokee et Wrangler.

Le Jeep Compass 2026, de profil
Le Jeep Compass 2026, de profil | Auto123.com

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Le texte Jeep Compass 2026 : un avenir incertain en Amérique du Nord provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les effets des nouveaux tarifs douaniers imposés par l’administration Trump commencent à frapper fort. Ford a vu son bénéfice net chuter de 65 % au premier trimestre de 2025 et annonce que ces taxes pourraient lui coûter jusqu’à 1,5 milliard USD cette année. L’entreprise a également suspendu ses prévisions financières pour l’ensemble de l’année.

Un impact tarifaire brut de 2,5 milliards USD

La directrice financière de Ford, Sherry House, précise que l’impact brut des tarifs est estimé à 2,5 milliards UDS, mais que des stratégies logistiques comme le recours à des transporteurs en transit vers le Canada ont permis de limiter l’impact net à 1,5 milliard USD.

Par comparaison, GM estime son exposition aux tarifs entre 4 et 5 milliards UDS, en raison de sa production plus étendue à l’étranger.

Résultats financiers : bénéfices et revenus en recul

Voici les résultats de Ford pour le premier trimestre de 2025 :

  • • Revenu total : 40,7 milliards USD (en baisse de 5 %)
  • • Bénéfice net : 471 millions USD (en baisse de 65 %)
  • • BAII (bénéfices avant intérêt et impôt) ajusté : un milliard USD (en baisse de 63 %)

Ford attribue ces baisses de performance à des arrêts temporaires de production, notamment liés à la refonte des VUS Expedition et Lincoln Navigator, mais assure que les fondamentaux de l’entreprise demeurent solides.

Ford Pro tient le coup malgré la pression

La division commerciale Ford Pro, présentée comme l’un des atouts majeurs de la marque, a généré 1,3 milliard USD de profits, malgré une baisse de 56 % par rapport à l’an dernier. Les revenus de cette division ont reculé de 16 % à 15,2 milliards USD.

Du côté des motorisations traditionnelles (Ford Blue), les bénéfices ont fondu de 89 % à 96 millions USD, tandis que les revenus ont diminué de 3 % à 21 milliards USD.

La Ford Mustang Mach-E Rally
La Ford Mustang Mach-E Rally | Auto123.com

Les pertes d’exploitation se poursuivent du côté électrique

La branche Ford Model e, consacrée aux véhicules électriques, a enregistré une perte de 849 millions USD, ce qui demeure une amélioration par rapport à la perte de 1,3 milliard USD au même trimestre l’an dernier. Les ventes de véhicules électriques ont toutefois progressé de 15 % aux États-Unis.

Précautions face à l’incertitude

Face à l’instabilité causée par les tarifs, Ford suspend ses prévisions annuelles. L’entreprise évoque des risques substantiels liés aux perturbations potentielles de la chaîne d’approvisionnement, des changements dans l’application ou le niveau des tarifs, des mesures de rétorsion internationales et des incertitudes réglementaires sur la fiscalité et les émissions.

Les actions en baisse et la prudence face à la Chine

En réaction, l’action de Ford a chuté de 2,3 % à 9,94 USD après la fermeture des marchés. L’entreprise indique surveiller de près l’approvisionnement en terres rares provenant de Chine, un enjeu critique pour la production de composantes.

Du côté de Lincoln, Ford dispose d’un stock suffisant du Nautilus fabriqué en Chine et n’envisage pas d’en importer de nouveau avant le modèle 2026. Aucune modification n’a encore été apportée à la production des modèles assemblés au Mexique.

Le Ford Expedition
Le Ford Expedition | Auto123.com

Prévisions pour le marché américain

Ford prévoit que les ventes de véhicules de tourisme aux États-Unis atteindront 15,5 millions d’unités en 2025, soit une baisse de 500 000 modèles par rapport aux prévisions initiales. Les prix de l’industrie devraient néanmoins augmenter de 1,0 % à 1,5 % dans la seconde moitié de l’année, en raison de la pression tarifaire.

Malgré tout, la direction insiste sur les efforts soutenus pour réduire ses coûts de 1 milliard USD cette année, en excluant l’effet des tarifs.

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Le texte Ford prévoit une perte de 1,5 milliard USD à cause des tarifs provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

S’il y a un secteur où l’électrification des transports aura des effets très bénéfiques, notamment sur la pollution, c’est dans l’univers du camion lourd. Or, après avoir vu Tesla promettre son propre camion remorque (Semi) en 2017, on n’a pas vu de résultats tangibles sur les routes américaines.

Une compagnie a cependant tenu ses promesses en la matière, en œuvrant de façon beaucoup plus discrète : Volvo. En effet, la division de camions lourds de l’entreprise a récemment vendu son 5000e exemplaire électrique. Et contrairement à Tesla, Volvo n’a pas seulement un modèle à proposer aux entreprises, mais huit.

Le camion électrique FM Electric de Volvo Trucks
Le camion électrique FM Electric de Volvo Trucks | Auto123.com

Et tous ces résultats ont été obtenus en seulement six ans, le premier modèle ayant été lancé en 2019. Du côté de Tesla, la compagnie aurait réussi à produire seulement 140 modèles depuis 2022.

Volvo a également précisé qu’elle avait vendu ses modèles à des clients appartenant à 50 pays à travers le monde. Les marchés les plus importants sont l’Allemagne, les Pays-Bas, les États-Unis, la Norvège et la Suède.

On ne sait pas quels pays ont acheté le plus de modèles, mais la compagnie a quand même précisé que 47 % des poids lourds tout électriques qui ont été vendus en Europe l’année dernière portaient un logo Volvo. En tout, 1970 modèles sont immatriculés sur le territoire.

« Il est gratifiant de constater que les entreprises de transport continuent d’adopter les camions électriques dans un large éventail de segments de transport afin de profiter de leurs avantages. Les camions électriques de Volvo offrent à nos clients et aux acheteurs de transport une solution de rechange plus durable qui a du sens sur le plan commercial, et beaucoup de nos clients reviennent vers nous pour développer leurs parcs électriques », a déclaré Roger Alm, le président de la division de camions de Volvo.

Le camion électrique FH Electric de Volvo Trucks
Le camion électrique FH Electric de Volvo Trucks | Auto123.com

La division de camion de Volvo (Volvo Trucks), qui fait partie du groupe Volvo, est l’un des fabricants de camions électriques les plus prolifiques de la planète. Huit modèles alimentés par batterie sont actuellement en vente dans le monde : FL Electric, FE Electric, FM Electric, FM Low Entry, FMX Electric, FH Electric, FH Aero Electric et VNR Electric. Le groupe Volvo possède également Mack Trucks, qui a récemment dévoilé une version électrique de son tracteur Pioneer de classe 8.

La dernière génération du modèle à longue distance FH Electric devrait être commercialisée dans le courant de l’année et offrir une autonomie maximale de 600 km selon le cycle européen WLTP, grâce à un essieu électrique plus efficace que celui du modèle sortant.

Le camion électrique FE Electric de Volvo Trucks
Le camion électrique FE Electric de Volvo Trucks | Auto123.com
La gamme de camions électriques de Volvo Trucks, qui domine le marché européen dans ce segment
La gamme de camions électriques de Volvo Trucks, qui domine le marché européen dans ce segment | Auto123.com

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Le texte Volvo a vendu son 5000e camion lourd électrique provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Seriez-vous prêt à débourser 1,25 M$ US pour une Porsche 911 ? Non ? Peut-être changeriez-vous d’avis en sachant qu’il s’agit du seul et unique exemplaire qui existe d’une 911 à 4 places. Quatre « vraies » places.

Car des 911 à quatre places, il y en a depuis longtemps. Mais ce sont des « 2+2 » et leurs sièges arrière, plutôt symboliques, sont tout juste bons pour accueillir une bourse ou un porte-documents !

Une « vraie » 4-places

Mais pas dans la 911 B17, un prototype que certains surnomment aussi « projet 915 ». Cette voiture est le fruit d’un exercice de design qui rappelle que, bien avant l’apparition du Cayenne et de la Panamera, Porsche a cherché par divers moyens à offrir des voitures offrant plus que deux places.

En 1969, Porsche demande à Pininfarina de réaliser une 911 capable d’accueillir quatre adultes dans une carrosserie qui respecte la forme établie. Sur la base d’une 911 S 2,2, le carrossier réalise donc cette voiture, dont le châssis a gagné 19 cm. Et puisqu’il faut aussi étirer le pavillon, le carrossier en amoindrit la courbure, ce qui a l’avantage d’accroître le dégagement pour la tête à l’arrière.

Terminée durant l’automne de cette année-là, la 911 à quatre places est présentée avec une carrosserie peinte en bleu foncé. Malheureusement, plusieurs caractéristiques techniques la défavorisent. Par exemple, pour adopter cette forme plus propice à un usage familial, la sportive voit son poids doubler, passant de 1 020 à 1 970 kg. La répartition de sa masse souffre également de la transformation, puisqu’elle passe de 45/55 à 39/61. Enfin, son rayon de braquage augmente d’un mètre et atteint 11,7 m. Pas surprenant que le projet B17 en reste là. Ce prototype servira à quelques autres tests à l’usine, mais sera éventuellement relégué aux oubliettes.

Deux propriétaires

Puis, en novembre 1972, Leopold von Raffay, le concessionnaire de la marque à Hambourg qui est aussi un collectionneur aguerri, convainc Porsche de lui vendre le prototype — ce qui n’est pas dans les habitudes du constructeur.

Puisqu’elle est en mauvais état, von Raffay lui fait subir diverses modifications esthétiques et techniques. Il remplace les feux avant et arrière, il substitue des garnitures noires aux garnitures chromées, il fait poser de nouvelles roues Fuchs et remplace même le moteur (qui est inopérant) par celui d’une 911 Carrera RS 2,7 avec une nouvelle boîte manuelle. De plus, lorsque la voiture quitte l’atelier de restauration, elle a désormais une carrosserie d’un vert acide appelé Giftgrün (« poisson vert » en allemand).

En 1974, elle se retrouve entre les mains de Nisse Nilsson, un collectionneur suédois qui est également propriétaire de l’Automuseum, un imposant musée situé dans la ville portuaire de Simrishamn, dans le sud de la Suède. Depuis peu, il offre la B17 par l’intermédiaire d’AutoClassica, une entreprise d’Ystad, autre ville portuaire de sa région. Cette entreprise spécialisée dans la vente de voitures de collection propose cette 911 unique, dont l’odomètre affiche un peu plus de 61 000 km, pour la rondelette somme de 1,25 M$ US, prix qui serait toutefois négociable. Ça vous tente ?

Photos : AutoClassica et Musée Porsche

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Lancé en 2022, le Genesis GV70 est rapidement devenu le modèle vedette de la marque coréenne. Et ce n’est pas rien : il représente à lui seul 57 % des ventes de Genesis au Canada, soit 3 375 unités en 2024. En Amérique du Nord, il s’en est écoulé 27 000 exemplaires, fabriqués à Montgomery en Alabama et à Ulsan, en Corée du Sud. Bref, c’est la colonne vertébrale de Genesis… et le modèle 2026 est là pour consolider cette position avec une refonte à mi-parcours bien sentie.

Quoi de neuf en 2026 ?

La mise à jour du GV70 ne saute pas aux yeux au premier regard, mais elle est profondément structurante. Extérieurement, la calandre G-Matrix redessinée et les phares à matrice de micro-lentilles (MLA) conservent l’élégance propre à la marque, tout en injectant un peu plus de muscle. À l’arrière, les feux s’alignent sur le design « deux lignes » cher à Genesis, et de nouvelles jantes de 19 ou 21 pouces donnent plus de présence au profil athlétique. Mais c’est à l’intérieur que la transformation est la plus spectaculaire. Genesis intègre désormais un immense écran OLED de 27 pouces regroupant instrumentation et infodivertissement, rehaussé d’un second écran tactile pour la climatisation. Le résultat est épuré, technologique, et franchement impressionnant. Ajoutez à cela un système de commandes vocales intelligentes (pour tout, même les vitres !) et des mises à jour OTA régulières, et on obtient un VUS qui reste à jour bien après l’achat.

Technologie embarquée

Le GV70 2026 fait la part belle à l’innovation : détection de mains sur le volant, stationnement automatique diagonal, caméra de prévision de route pour adapter la suspension, recharge sans fil mieux placée, et maintenant une clé numérique 2.0 compatible avec la deuxième rangée. Sans oublier la somptueuse chaîne Bang & Olufsen à 16 haut-parleurs avec technologie Beosonic, qui transforme chaque trajet en expérience acoustique.

Groupes motopropulseurs et puissance

Aucune surprise sous le capot : Genesis reconduit ses deux moteurs à essence avec en entrés de gamme un 2,5 L turbo 4 cylindres, 300 chevaux et 311 lb-pi, transmission intégrale, boîte automatique à 8 rapports. Le modèle Sport offre un 3,5 L V6 biturbo, 375 chevaux et 391 lb-pi avec la même transmission. Selon les versions, les prix vont varier de 60 000 à 84 000 $ sans parler des options. Le modèle 3.5T Sport ajoute une suspension adaptative, des roues de 21 pouces et des détails stylistiques exclusifs. Le mode Terrain (neige, boue, sable) arrive en 2026 pour rendre le GV70 un peu plus polyvalent hors route – sans en faire un aventurier pur et dur.

Le 4 cylindres affiche une consommation de 12,0 L aux 100 km en ville et 8,9 sur autoroute, tandis que le V6 affiche 13,1 L/100 km en ville et 9,4 sur autoroute. Des chiffres qui sont dans la bonne moyenne considérant la puissance livrée par les moteurs turbo. Notre journée d’essai au volant 3,5 litres Sport s’est terminée à 11,2 L/100 km.

Comportement routier, confort et insonorisation

Le GV70 conserve son caractère serein et détendu. Ce n’est pas un Porsche Macan ou un BMW X3 M40i, mais ce n’est pas le but. Le VUS coréen vise le confort, la souplesse et la sophistication, avec une insonorisation de haut niveau élevé d’un cran face au modèle actuel, une suspension réactive et un roulement toujours feutré. La gestion du roulis a été bonifiée grâce à un contrôle intelligent de la caisse sur autoroute, pour un meilleur équilibre en accélération ou au freinage.

Design et ambiance

Toujours fidèle à la philosophie « Élégance athlétique », le GV70 se distingue dans la jungle des VUS de luxe. Les lignes sont tendues, les proportions équilibrées, et les détails (grille, feux, bas de caisse) sont suffisamment audacieux pour capter l’attention sans sombrer dans l’exagération. À bord, la finition rivalise avec les meilleures européennes, et les nouvelles couleurs comme le Bleu Cérès ou le cuir Bleu ultramarine ajoutent un brin d’exotisme.

Forces

  • Intérieur spectaculaire avec écran OLED de 27 pouces
  • Niveau de confort et d’insonorisation supérieur
  • Qualité de fabrication impressionnante
  • Équipement de série très complet
  • Prix souvent plus compétitif que la concurrence
  • Garantie de 5 ans / 100 000 km incluse

Faiblesses

  • Moins dynamique que certains rivaux allemands
  • Peu de changements mécaniques pour 2026
  • Pas encore de version hybride rechargeable
  • Consommation élevée pour le V6

Conclusion

Le Genesis GV70 2026 ne révolutionne rien, mais il peaufine avec brio une formule déjà très réussie. Plus techno, toujours aussi stylé, et confortablement raffiné, il reste un des meilleurs achats dans sa catégorie – surtout au prix où Genesis le propose. Pour ceux qui privilégient le luxe discret et l’expérience client sans tracas, difficile de faire mieux sans exploser son budget.

Le texte Genesis GV70 2026 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Toyota ravive la flamme d’une icône avec l’arrivée de la Corolla Hatchback édition FX 2026, une version exclusive inspirée de la légendaire Corolla FX16 1987. Offerte uniquement au Canada et limitée à 150 exemplaires, cette édition spéciale injecte une bonne dose de sportivité vintage dans la compacte cinq portes, tout en y greffant les dernières technologies et un style audacieux.

Un style qui fait tourner les têtes

Basée sur la version SE, la Corolla FX arbore un aileron sport noir ventilé qui accentue son profil dynamique tout en optimisant l’aérodynamisme. Les jantes de 18 pouces en alliage blanc lustré — contrastant avec des écrous noirs — ajoutent une touche rétro inattendue. À l’arrière, un emblème exclusif inspiré de la FX16 rend hommage au modèle des années 1980.

Performance agile et économie d’essence

Sous le capot, on retrouve un moteur 4 cylindres 2.0 L à injection directe, livrant 169 chevaux à 6 600 tr/min et 151 lb-pi de couple. Malgré ses prétentions sportives, la FX affiche une consommation combinée estimée à 6,8 L/100 km, selon Toyota. Résultat : une voiture agile, nerveuse, mais toujours raisonnable à la pompe.

Un habitacle raffiné aux accents sportifs

L’intérieur se distingue avec des sièges Sport Touring noirs, des garnitures en suède et des surpiqûres orange qui soulignent le caractère énergique de la FX. Ces accents colorés se retrouvent également sur le volant et le soufflet du levier de vitesse. De série, la compacte propose un volant chauffant en cuir, un système audio JBL à 8 haut-parleurs, un chargeur sans fil et un combiné d’instruments numérique de 7 pouces, entièrement personnalisable.

Technologie connectée et intuitive

La FX intègre la dernière génération du système multimédia Toyota, avec un écran tactile de 8 pouces, compatible Apple CarPlay et Android Auto sans fil. Grâce au service optionnel Drive Connect, on peut interagir avec l’assistant vocal intelligent simplement en disant « Bonjour Toyota », pour obtenir des directions, régler la température ou gérer le système audio. Les mises à jour OTA (over-the-air) sont aussi de la partie. En prime, Toyota propose une gamme complète de services connectés, incluant Safety Connect (assistance d’urgence, notification de collision, assistance routière 24/7) et Service Connect (rapports d’état du véhicule et rappels d’entretien), avec des essais allant jusqu’à cinq ans. L’application Toyota Remote Connect permet aussi de contrôler certaines fonctions à distance, comme le démarrage du moteur ou le verrouillage des portières.

Sécurité active de série : Toyota Safety Sense 3.0

La Corolla FX 2026 bénéficie de la suite complète Toyota Safety Sense 3.0, incluant :

  • Le système précollision avec détection de piétons, cyclistes et motocyclistes

  • Le régulateur de vitesse adaptatif à gamme complète

  • L’alerte de sortie de voie avec assistance à la direction

  • L’aide au maintien dans la voie

  • La reconnaissance des panneaux de signalisation

  • Les phares de route automatiques

  • L’aide proactive à la conduite, qui combine freinage doux et petites corrections de direction pour faciliter les manœuvres à basse vitesse

Série limitée exclusive au Canada

La Corolla Hatchback FX ne sera offerte qu’en blanc au Canada, une décision volontaire pour renforcer l’aspect unique du modèle. Sa production limitée à 150 unités en fera un objet convoité pour les amateurs de Toyota nostalgiques et les collectionneurs. L’arrivée chez les concessionnaires est prévue pour l’automne 2025, et Toyota dévoilera plus de détails sur la gamme et les prix plus tard cette année.

Conclusion

Avec la FX 2026, Toyota joue habilement la carte du néo-rétro, alliant performance modérée, style distinctif et technologies de pointe. Ce clin d’œil à l’époque de la FX16 saura séduire autant les nostalgiques des années 1980 que les jeunes conducteurs en quête de caractère et de connectivité.

Le texte Le retour de la Toyota Corolla Hatchback provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

• Slate Auto va construire sa camionnette tout électrique à l’intérieur d’une usine en Indiana.

Il y a deux semaines, on entendait parler d’un nouveau constructeur, Slate Auto, soutenu par Jeff Bezos, le grand patron d’Amazon. Ce qui avait retenu l’attention, c’est la promesse d’une camionnette offerte à quelque 20 000 $ US, avec le rabais de 7500 $ US toujours offert par les autorités.

Qu’importe, même sans rabais, une camionnette tout électrique à environ 28 000 $ US, ça demeure très attrayant.

Quelques jours plus tard, nous en apprenions un peu plus sur le modèle, surtout sur son côté spartiate, une approche qui permet bien sûr de garantir un prix d’appel intéressant.

Ce weekend, on apprenait grâce au site Business Insider que la compagnie allait construire ses véhicules à l’intérieur d’une usine qui est située à Warsaw, en Indiana. Selon ce qui est raconté, l’endroit a servi d’imprimerie jusqu’en 2023. Sa superficie, à 1,4 million de pieds carrés, est intéressante. Le complexe comprend des bureaux et des installations pensées pour la production. Slate Auto n’a pas mentionné de quelle façon elle allait occuper les lieux et comment elle allait répartir ses opérations sur le site.

La camionnette électrique, de profil
La camionnette électrique, de profil | Auto123.com

Il est encore tôt. Toutefois, ça va débouler rapidement, car la compagnie annonçait il y a une dizaine de jours qu’elle comptait livrer ses premiers modèles à la fin de l’année 2026.

Rappelons que la camionnette Slate sera proposée en configuration de base avec une batterie de 47 kWh, le tout pour offrir une autonomie d’environ 240 km. Une batterie de 75 kWh sera livrable en option, pour environ 400 km de capacité.

Habitacle de la camionnette électrique
Habitacle de la camionnette électrique | Auto123.com

Le modèle, livré sans système multimédia ni haut-parleurs, et avec des vitres et rétroviseurs à réglages manuels, va proposer différentes options et accessoires, ce qui permettra à la compagnie de réaliser plus de profits, tout en laissant le choix aux consommateurs qui veulent le minimum de pouvoir l’obtenir.

La camionnette électrique de Slate Auto, de profil
La camionnette électrique de Slate Auto, de profil | Auto123.com

Un ensemble utilitaire sera même livrable, avec une section qui va venir se greffer à l’arrière par-dessus la caisse de cinq pieds, pour proposer un espace fermé bien sûr, mais aussi une deuxième rangée.

Le véhicule n’est pas gros, toutefois, alors qu’il fait environ la longueur d’une Honda Civic.

Nous avons bien hâte de voir la suite des choses pour ce produit qui promet d’être rafraichissant, s’il voit bien sûr le jour. Si le succès est au rendez-vous, ça pourrait forcer les constructeurs que l’on connaît à réagir, ce qui pourrait profiter aux consommateurs.

La camionnette Slate sera construite en Indiana | Auto123.com
La camionnette Slate sera construite en Indiana | Auto123.com
La camionnette Slate sera construite en Indiana | Auto123.com

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• Un nouveau rappel affecte près de 800 Volkswagen ID. Buzz au Canada, ainsi que plus de 5600 unités aux États-Unis.

À peine quelques mois après son arrivée sur le marché nord-américain, le Volkswagen ID. Buzz 2025 fait déjà l’objet de deux rappels de sécurité. Un problème avec le témoin des freins ainsi qu’une banquette arrière trop large forcent la division américaine de Volkswagen à ordonner un arrêt de vente sur 5637 unités américaines produites entre septembre 2024 et février 2025 à l’usine de Hanovre, en Allemagne.

Au Canada, 771 unités de la fourgonnette électrique sont également rappelées en lien avec le problème du témoin pour les freins. Volkswagen Canada n’a pas encore confirmé si le rappel pour le problème de banquette s’appliquera aux versions vendues chez nous.

Volkswagen ID. Buzz 2025, volant, écran multimédia
Volkswagen ID. Buzz 2025, volant, écran multimédia | Auto123.com

Un témoin pour les freins qui s’allume… en jaune

Le premier rappel concerne un affichage incorrect du système de freinage : au lieu d’indiquer le mot « BRAKE » en rouge, tel qu’exigé par la réglementation, le tableau de bord affiche une icône ambrée. Ce défaut enfreint les normes de sécurité américaines et canadiennes, et pourrait créer de la confusion en cas de problème de freinage.

Selon le rappel de Transports Canada publié le 9 avril 2025, 771 ID.Buzz sont touchés au pays pour ce problème de témoin lumineux.

« Un témoin de couleur incorrecte pourrait semer la confusion et augmenter le risque d’accident », peut-on lire dans l’avis officiel.

Volkswagen ID. Buzz 2025, sièges de troisième rangée
Volkswagen ID. Buzz 2025, sièges de troisième rangée | Auto123.com

Une banquette qui serait trop large

Le deuxième rappel concerne la banquette de troisième rangée, qui n’est équipée que de deux ceintures et de deux appuie-têtes, mais dont la largeur pourrait en théorie accueillir trois passagers. Bien que Volkswagen n’ait pas encore confirmé si ce rappel s’appliquera aussi au Canada, ce défaut viole les normes fédérales de sécurité américaine, car la largeur réelle dépasse les limites permises pour une banquette à deux places.

Volkswagen prévoit installer des pièces de garniture rigides non rembourrées afin de restreindre physiquement la largeur utilisable.

Mises à jour prévues d’ici la fin juin

Volkswagen a annoncé que les mises à jour logicielles pour le problème d’affichage seront effectuées dès que validées, et les avis aux propriétaires sont prévus pour le 6 juin. Les correctifs physiques de la banquette suivront, avec des avis envoyés d’ici le 20 juin.

Les véhicules concernés incluent les unités neuves et d’occasion qui sont invendues. Au Canada, l’ID. Buzz 2025 est commercialisé à partir de 77 495 $ CA, ce qui en fait le modèle le plus cher de l’entreprise offert chez nous.

Un deuxième coup dur pour la gamme électrique de Volkswagen

Ce rappel s’ajoute à un précédent arrêt de vente du Volkswagen ID.4 en raison de poignées de porte défectueuses à l’automne 2024. Les livraisons de ce modèle avaient pu reprendre en décembre.

Volkswagen ID. Buzz 2025, écusson VW
Volkswagen ID. Buzz 2025, écusson VW | Auto123.com

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Mercedes-Benz compte ajouter un modèle de plus à la production de son usine de Tuscaloosa, en Alabama. Tout indique qu’il pourrait s’agir du GLC.

Sans confirmer officiellement s’il s’agit d’une réponse aux récents tarifs douaniers américains sur les véhicules et les pièces importés, l’entreprise souligne qu’il s’agira d’un modèle « appartenant à un segment clef » destiné au marché nord-américain. Sa production ne débutera toutefois pas avant 2027.

L'usine de Mercedes-Benz à Tuscaloosa, en Alabama
L’usine de Mercedes-Benz à Tuscaloosa, en Alabama | Auto123.com

Une usine déjà bien implantée… et tournée vers l’exportation

L’usine de Tuscaloosa, en exploitation depuis 1997, produit aujourd’hui les utilitaires GLE, GLS ainsi que les VUS électriques EQE et EQS. Elle assemble environ 260 000 véhicules par an, dont près de 60 % sont destinés à l’exportation.

Avec environ 6000 employés, ce site avait autrefois accueilli la production de la Classe C, désormais assemblée ailleurs. À l’origine, l’usine avait été construite pour fabriquer la première génération du VUS ML, un véhicule emblématique du tournant utilitaire chez Mercedes.

Mercedes-Benz GLC
Mercedes-Benz GLC | Auto123.com

Le GLC pressenti pour une relocalisation

Mercedes n’a pas encore confirmé quel modèle sera ajouté à Tuscaloosa, mais on peut dire qu’il y a un candidat logique. En 2024, le GLC a été le deuxième modèle Mercedes le plus vendu aux États-Unis, juste derrière le GLE.

En raison du tarif de 25 % désormais imposé sur les véhicules importés, plusieurs constructeurs réévaluent leur stratégie manufacturière. Certains augmentent leurs prix, d’autres suspendent les importations ou relocalisent la production.

Une stratégie locale, mais pas nécessairement de nouveaux emplois

Selon les précisions fournies à CNBC, Mercedes adopte une stratégie dite « local-for-local », c’est-à-dire visant à construire un véhicule dans le marché où il sera le plus vendu. Cela pourrait signifier un déplacement de la production (par exemple du GLC, ou de la Classe C) vers les États-Unis, mais pas nécessairement une hausse de la production ou une création d’emplois.

Il est aussi possible que Mercedes réduise les exportations actuelles de GLE et GLS pour faire de la place à ce nouveau modèle destiné au marché américain, afin de contourner les frais à l’importation imposés dans d’autres régions comme le Canada, l’Europe ou la Chine.

Un contenu nord-américain encore très limité

Malgré l’assemblage aux États-Unis, les VUS Mercedes produits à Tuscaloosa contiennent à peine 10 % de pièces d’origine américaine, selon les documents de la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration). Le moteur provient toujours d’Allemagne et la transmission est fabriquée en Roumanie — des pièces qui seront elles aussi frappées par les nouveaux tarifs sur les composants automobiles.

Mercedes produit une grande variété de modèles destinés au marché américain dans ses usines d’Allemagne, mais aussi d’Autriche, de Hongrie, d’Afrique du Sud et du Mexique. Quant au fourgon Sprinter, il est assemblé dans une usine distincte en Caroline du Sud.

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Si vous conduisez un Ford Bronco ou un Ford Transit, et que votre caméra de recul fait des siennes, vous n’êtes pas seul. Ford rappelle 25 260 véhicules au Canada pour un défaut logiciel pouvant empêcher l’image de la caméra arrière de s’afficher correctement sur l’écran du système d’infodivertissement. Selon Transports Canada, ce rappel touche certains Bronco 2021 à 2023, des Transit 2022 et 2023, ainsi que des Lincoln Navigator 2018 à 2021. Le point commun? La présence d’un système de caméra à 360 degrés affecté par une défaillance logicielle.

Une fonction de sécurité obligatoire

La caméra de recul est exigée par la loi sur tous les véhicules vendus au Canada depuis plusieurs années. Son absence – même temporaire – constitue une non-conformité, pouvant augmenter le risque d’accident en marche arrière. Ford précise que certaines camionnettes Transit nécessiteront également une mise à jour logicielle pour régler le problème. Les propriétaires recevront un avis par la poste. Selon le communiqué, les concessions Ford remplaceront la caméra de recul, au besoin, et modifieront le faisceau de câblage de la caméra si jugé nécessaire.

Une année chargée pour les rappels chez Ford

Ce 38e rappel Ford de 2025 au Canada s’ajoute à une longue série de correctifs émis sur une variété de modèles. Du côté des États-Unis, les chiffres sont encore plus élevés, ce qui met en relief un dilemme : Ford est-elle proactive ou simplement aux prises avec des problèmes de qualité récurrents? Le constructeur de Dearborn mise évidemment sur le premier scénario : identifier rapidement les défaillances pour assurer la sécurité de ses clients.

Ford n’est pas seul dans la tempête

À noter que Ford n’est pas le seul constructeur confronté à une avalanche de rappels. GM a récemment rappelé près de 50 000 véhicules au Canada pour un risque de bris moteur V8, affectant notamment les Silverado et Tahoe. À l’échelle mondiale, plus de 750 000 véhicules GM pourraient être concernés.

Conclusion

Le rappel des caméras de recul Ford a été publié la semaine dernière et mis à jour hier avec les plus récentes informations. Si vous possédez l’un des modèles concernés, attendez l’avis officiel et planifiez une visite en concession dès que possible.

Avec des renseignements de Driving.ca

Le texte Plus de 25 000 Ford Bronco et Transit visés par un problème de caméra de recul provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile