• Les berlines CT4 et CT5 pourraient passer à l’électrique lors de leur renouvellement.

Chez General Motors (GM), c’est chez la marque de luxe Cadillac que l’on retrouve le plus grand nombre de véhicules électriques. Pour le moment, les modèles proposés sont tous des VUS, si l’on exclut la berline Celestiq, une création très haut de gamme qui se vend à plus de 350 000 $ CA.

Cela pourrait changer au cours des prochaines années toutefois, si l’on se fie à ce que rapporte le site GM Authority, qui raconte que Cadillac n’aurait pas l’intention de proposer une nouvelle génération des berlines CT4 et CT5 avec des moteurs à essence.

Il faut comprendre que les ventes des deux modèles ont été à la baisse en 2025 et que pour trouver les meilleurs vendeurs de la marque, il faut regarder du côté de l’Escalade au premier rang, puis du VUS électrique Lyriq. Malgré tout ce qui se passe du côté électrique, la marque pense que de 30 % à 35 % de ses ventes sera l’affaire de ce type de modèles en 2025.

Ce n’est pas difficile à imaginer, alors que d’autres modèles viennent rejoindre la famille cette année, dont l’Escalade IQ et l’Optiq, sans compter que le Vistiq va suivre de très près.

Ainsi, sans trop de surprise, la rumeur court voulant que Cadillac songe à faire passer les CT4 et CT5 au tout électrique lors de leur renouvellement. GM Authority cite des « sources familières avec le dossier » pour appuyer ses dires.

Et toujours selon ce qui est rapporté, les deux modèles seraient légèrement différents, en ce sens que leur format serait un peu plus important. Le plus petit des deux serait de la taille de la CT5, alors que l’autre emprunterait le format de la défunte CT6.

General Motors n’a rien commenté pour l’instant, alors il est important de rappeler que tout n’est qu’hypothétique pour le moment, mais ce sera à surveiller.

Les Cadillac CT6, CT5 et CT4
Les Cadillac CT6, CT5 et CT4 | Auto123.com

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Le texte Un avenir électrique pour les Cadillac CT4 et CT5 ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Depuis des décennies, le Chevrolet Suburban a été l’un des piliers des escortes présidentielles et des missions de protection du Service Secret américain. Mais un changement majeur pourrait être en cours : General Motors travaille avec le Service Secret pour développer une version blindée du Cadillac Escalade afin de remplacer les Suburban HD actuellement utilisés.

Voilà un changement notable puisque, bien que la limousine présidentielle surnommée « The Beast » soit déjà une Cadillac montée sur un châssis de camion lourd, les véhicules d’escorte ont historiquement été des Chevrolet Suburban.

Un Chevrolet Suburban modifié utilisé par la service secret américain
Un Chevrolet Suburban modifié utilisé par la service secret américain | Auto123.com

Un Escalade inspiré du Suburban Shield

Sur ses réseaux de communication officiels, le Service Secret a récemment partagé une image d’un véhicule blindé qui ressemble à un Cadillac Escalade, mais basé sur le Suburban Shield de la division GM Defense. Ce modèle utilise plusieurs composants standards du marché, ce qui faciliterait son adoption dans le parc gouvernemental.

« Alors que les menaces évoluent, nous continuons à explorer les nouvelles technologies pour assurer le plus haut niveau de sécurité à nos protégés, » a déclaré l’agence fédérale. La semaine dernière, son directeur, Sean Curran, a rencontré des dirigeants de General Motors au centre de design de la compagnie situé à Warren, au Michigan, pour discuter des avancées en matière de blindage et de sécurité.

Un contrat de 14,8 millions avec GM

D’après Reuters, GM aurait obtenu un contrat de 14,8 millions du Département de la Sécurité intérieure et du Service Secret pour développer une nouvelle version de « The Beast ». Cette information n’avait pas encore été dévoilée publiquement, et il faudra plusieurs années avant de voir ce projet aboutir.

« Nous sommes encore loin de pouvoir parler de coûts ou de dates précises, » a précisé un porte-parole du Service Secret. L’agence fédérale insiste sur le fait que chaque véhicule blindé de nouvelle génération prend des années à développer avant d’être opérationnel.

Un Escalade HD pour le grand public ? Peu probable…

Si GM et le gouvernement américain valident ce changement, verra-t-on un jour un Cadillac Escalade HD offert au grand public ? La réponse est probablement non.

Le Suburban HD n’a pas été proposé au grand public depuis l’arrêt de la version 2500 HD en 2014, et un Escalade HD n’a jamais existé sous cette appellation. Même si l’Escalade dispose de capacités lourdes, il n’a jamais porté le logo HD.

Cependant, pour les amateurs de véhicules ultra-protégés, il reste toujours la possibilité d’acheter un Escalade ESV et de le faire modifier avec un blindage de niveau militaire via des prestataires spécialisés.

Le Cadillac Escalade
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Le texte Des Cadillac Escalade blindés au lieu de Suburban pour le Service Secret américain ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La camionnette Cybertruck de Tesla ne remportera jamais le premier prix d’un concours d’élégance… à moins d’être jugée par des architectes de pyramides. Cela n’a pas empêché le préparateur allemand Mansory d’imaginer un nouvel habillage qui rend son allure plus excentrique que jamais. Preuve que le ridicule ne tue pas !

Mansory a baptisé sa création Elongation, mot anglais qui se traduit par « prolongement ». Doit-on en conclure que son nouvel habillage sert à amplifier l’esthétique issue du brutalisme du mastodonte électrique ? Sans doute, puisque Mansory le définit comme un moyen « d’affiner son apparence martiale ».

Quoi qu’il en soit, l’exercice de Mansory n’a qu’une incidence esthétique. Pour l’extérieur, il mise sur des pièces de fibre de carbone décoratives qui remplacent ou recouvrent des éléments de la carrosserie, comme les pare-chocs, les bas de caisse et les coques de rétroviseurs. Il y a aussi des élargisseurs d’ailes extravagants, alors que deux petits ailerons qu’on pourrait confondre avec des antennes hertziennes coiffent la proue.

Mansory a également prévu un ensemble de projecteurs à DEL pour le pavillon du Cybertruck, de même que d’imposantes roues en alliage d’aluminium Mansory FD.15 de 26 po. Chaussées de pneus de route de haute performance de dimension 315/40R26, ces nouvelles roues deviennent les plus grandes de la gamme FD.15, qui proposait déjà des roues de 21, 22 et 24 po.

L’intérieur, par ailleurs, est seyant et évite l’aspect burlesque de l’habillage extérieur. Il se pare de sièges matelassés avec sellerie de cuir dans un environnement mariant le gris, le blanc et le jaune. Le préparateur offre aussi des garnitures en fibre de carbone ou peintes et polies, de même que des finitions différentes pour les sièges afin de personnaliser l’habitacle au goût de l’acheteur.

Dans un communiqué publié le 27 février dernier pour annoncer ce nouvel habillage, Mansory s’est gardé d’en dévoiler le coût. Certains médias spécialisés estiment qu’il serait dans les six chiffres. À cela devrait naturellement s’ajouter le coût de la camionnette qui, au Canada, est proposée à partir de 114 990 $ (142 990 $ pour la version Cyberbeast).

Quoi qu’on en pense, comme l’écrivait Oscar Wilde dans Le déclin du mensonge : « la beauté est dans les yeux de celui qui regarde »…

Photos : Mansory

Le texte Mansory imagine un habillage burlesque pour la camionnette Cybertruck provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Lors d’un événement officiel à la Maison-Blanche, l’ancien président Donald Trump a célébré l’annonce par Hyundai Motor Co. d’un vaste plan d’expansion aux États-Unis, qu’il considère comme une justification des barrières tarifaires imposées sous son administration.

“Nous sommes ravis d’annoncer que Hyundai investira 5,8 milliards de dollars dans l’industrie manufacturière américaine”, a déclaré Trump lundi, aux côtés du gouverneur républicain de Louisiane, Jeff Landry, et d’exécutifs du constructeur sud-coréen.

Parmi les projets majeurs de cette expansion figure la construction d’une nouvelle aciérie en Louisiane, qui produira plus de 2,7 millions de tonnes d’acier par an. Trump a également laissé entendre que d’autres développements suivraient rapidement.

“L’argent afflue et nous voulons que cela continue ainsi”, a-t-il affirmé, qualifiant cet investissement de “preuve indéniable que les tarifs douaniers fonctionnent”.

Hyundai veut renforcer sa présence aux États-Unis

D’ici 2028, Hyundai prévoit d’investir 21 milliards de dollars aux États-Unis, avec un objectif de création d’environ 14 000 emplois directs. L’initiative comprend un budget de 9 milliards de dollars destiné à accroître la production de véhicules à 1,2 million d’unités par an, et 12 milliards supplémentaires pour divers projets, dont la construction de l’aciérie en Louisiane.

Le président du groupe Hyundai, Euisun Chung, a précisé que cette initiative visait à renforcer la chaîne d’approvisionnement en acier aux États-Unis. Il a également annoncé l’achat de 3 milliards de dollars de gaz naturel liquéfié américain.

“Cet investissement approfondit notre partenariat avec les États-Unis et renforce notre vision commune du leadership industriel américain”, a-t-il affirmé.

La guerre commerciale de Trump et ses répercussions

L’investissement de Hyundai intervient alors que Trump intensifie sa guerre commerciale pour contraindre les industriels étrangers à créer des emplois aux États-Unis. Après avoir imposé des droits de douane sur l’acier et l’aluminium, l’ancien président prépare une nouvelle vague de taxes sur les importations.

Le 2 avril prochain, l’administration Trump prévoit d’annoncer des tarifs douaniers réciproques, visant les pays qui imposent des restrictions aux produits américains. La liste des pays concernés reste floue, bien que la Corée du Sud ait souvent été citée comme un “abuseur commercial”.

“Certains pays pourraient bénéficier d’exemptions, mais nous déciderons bientôt”, a déclaré Trump, laissant entendre que de nouvelles taxes pourraient également concerner le secteur automobile et l’industrie du bois.

Une expansion stratégique pour Hyundai

Cet investissement massif intervient alors que Hyundai inaugure une nouvelle usine de véhicules électriques près de Savannah, en Géorgie. Initialement annoncée en 2022, cette usine a été réorientée pour produire également des véhicules hybrides, en raison du ralentissement de la demande pour les véhicules 100 % électriques.

Hyundai, en partenariat avec SK On Co. et LG Energy Solution Ltd., finance également deux coentreprises de production de batteries pour augmenter la capacité de cette usine.

L’aciérie prévue en Louisiane devrait employer environ 1 500 travailleurs. Depuis le début de l’année, le marché sidérurgique américain discutait largement de la possibilité pour Hyundai d’installer un four électrique aux États-Unis pour approvisionner ses usines Hyundai et Kia locales.

L’incertitude économique pèse sur le marché

Si la politique de Trump en matière de tarifs douaniers est censée favoriser la production locale, elle inquiète les investisseurs. La volatilité des décisions tarifaires pourrait entraîner une baisse de la demande et fragiliser certains secteurs industriels.

Des entreprises comme Nucor Corp., Steel Dynamics Inc. et United States Steel Corp. ont récemment mis en garde contre des résultats financiers décevants au premier trimestre, pointant du doigt “l’incertitude liée aux tarifs” et la possibilité d’un effondrement de la demande.

Malgré ces incertitudes, Trump reste fidèle à sa vision protectionniste, espérant que davantage de constructeurs étrangers suivront l’exemple de Hyundai en délocalisant leur production aux États-Unis.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Hyundai investit 21 milliards aux États-Unis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

San Francisco, Californie- Le Cadillac Optiq 2025 s’inscrit dans la lignée des nouveaux VUS électriques de General Motors, partageant sa plateforme avec le Chevrolet Equinox EV et le Blazer EV. Si l’ADN est commun, Cadillac apporte une touche de raffinement qui le positionne au sein du segment des VUS de luxe électriques. Ce modèle s’adresse à ceux qui souhaitent un véhicule performant et technologique sans aller vers le plus imposant Lyriq.

Une conduite en demi-teinte

Nous avons pris le volant de l’Optiq sur les routes sinueuses du nord de la Californie, un terrain de jeu idéal pour évaluer son comportement routier. Le paysage se transforme en une alternance de forêts denses et de falaises plongeant dans l’océan Pacifique. Ce cadre idyllique met en valeur la dynamique de conduite du véhicule, qui se distingue par une tenue de route équilibrée et une suspension bien calibrée. Mais, tout n’était pas rose dans ce paysage de rêve. Sur des routes détrempées, un drôle de phénomène s’est produit à basse vitesse en amorçant les courbes sur la route. Ce qui semble être un dysfonctionnement des systèmes électroniques de conduite entraînant une paralysie partielle de la direction, rendant la conduite imprévisible voire dangereuse. Ce problème se manifestait par des sautillements dans le volant, causés par une interférence ou un dysfonctionnement du logiciel affectant l’assistance électrique. En raison d’une détection erronée de la trajectoire ou d’un conflit entre les capteurs de direction et le module de commande, le système tente de corriger en envoyant des impulsions saccadées au moteur de direction assistée, provoquant une sensation de tremblement ou de résistance irrégulière dans le volant. Ce phénomène s’est reproduit à plusieurs reprises le matin et après avoir discuté avec d’autres collègues, plusieurs avaient vécu la même expérience.

Une conduite exemplaire en après-midi

Lorsque mon tour de prendre le volant arrive en après-midi, rien. Une conduite solide, rassurante et même bienveillante. La conduite à une pédale fonctionnait très bien et nous avons été en mesure d’exploiter le plein potentiel du véhicule. La transmission intégrale eAWD répartit intelligemment la puissance pour une adhérence optimale. Son accélération instantanée vous catapulte vers l’horizon en silence, pendant que les modes de conduite configurables s’adaptent à vos envies, que ce soit une balade zen le long de l’océan pacifique ou une attaque plus dynamique en montagne. Côté confort, la suspension adaptative avale les imperfections avec assurance, tandis que la direction assistée électronique et le châssis optimisé vous offrent une tenue de route impeccable, même dans les virages serrés. En prime, le Super Cruise vous permet de rouler en mode mains libres sur les portions autoroutières. Ajoutez à cela un régulateur de vitesse adaptatif, une assistance au stationnement automatique et une alerte de collision avant, et vous obtenez un copilote aussi attentif qu’un majordome britannique. À l’intérieur, l’ambiance est feutrée grâce à une insonorisation avancée, et si vous voulez transformer l’habitacle en salle de concert, le système audio AKG Dolby Atmos est là pour ça. Le tout couronné par un affichage tête haute (HUD) qui projette les infos essentielles sur le pare-brise, évitant ainsi de jouer au funambule avec votre attention. Bref, l’après-midi au volant s’est passé sans anicroche. Souhaitons seulement que l’incident du matin soit isolé. Il faudra le prendre en main une semaine plus tard cet été pour en avoir le cœur net.

Beaucoup d’électrons sous le véhicule

Grâce à sa motorisation à deux moteurs (un sur chaque essieu), l’Optiq propose une puissance combinée de 300 chevaux et 354 lb-pi de couple. L’accélération est franche, bien qu’elle ne soit pas explosive comme sur certains modèles concurrents. L’Optiq offre néanmoins une conduite fluide et rassurante, avec un bon compromis entre dynamisme et confort provenant du rouage 4 roues motrices. Les ingénieurs qui ont peaufiné son châssis ont une expérience issue de la Corvette et des versions Blackwing des CT4 et CT5, ce qui se ressent dans le comportement du véhicule. Le mode de freinage régénératif « Regen On Demand » est efficace et permet une conduite à une pédale (One-Pedal Driving), améliorant l’autonomie tout en rendant l’expérience plus intuitive en ville.

Luxueux et moderne

Cadillac a porté une attention particulière à l’habitacle de l’Optiq, qui mélange des matériaux haut de gamme et des technologies avancées. L’élément le plus marquant est l’écran incurvé de 33 pouces, offrant une résolution impressionnante et intégrant l’instrumentation et le système d’infodivertissement Google Built-in. Heureusement, Cadillac a conservé des commandes physiques pour les réglages essentiels, évitant l’écueil des écrans tactiles omniprésents. Toutefois, il faudra se faire à l’absence d’Apple Carplay et Android auto, ce qui n’est pas pour plaire à tous. Les sièges, revêtus d’un tissu à base de matériaux recyclés, offrent un confort supérieur avec des options de ventilation et de chauffage à l’avant comme à l’arrière sur la version supérieure. L’espace arrière est généreux malgré le format plus compact de l’Optiq par rapport au Lyriq, et le toit panoramique ajoute une sensation d’ouverture appréciable. Le système audio AKG à 19 haut-parleurs avec Dolby Atmos enveloppe l’habitacle d’un son cristallin, tandis que la suite d’aides à la conduite Super Cruise (incluse pour trois ans) renforce l’attrait technologique du modèle.

Autonomie

L’Optiq est équipé d’une batterie de 85 kWh offrant une autonomie estimée à 486 km sur les roues de 20 pouces. Les jantes de 21 pouces en option vont légèrement réduire l’autonomie. Le véhicule est compatible avec la recharge rapide en courant continu (DC Fast Charging), permettant de récupérer environ 127 km en 10 minutes grâce à sa capacité de recharge de 150 kW. La gestion intelligente de l’énergie et le faible coefficient de traînée devraient néanmoins permettre une consommation énergétique optimisée. Cadillac annonce une consommation de 18,8 kWh/100 km sur la route et 22,3 kWh/100 km en ville pour une moyenne combinée de 20,4 kWh/100 km. Notre journée d’essai s’estb terminée autour de 22 kWh/100 km.

Concurrence

L’Optiq se positionne face à plusieurs rivaux sur le marché des VUS électriques de luxe, notamment :

  • Tesla Model Y Long Range : autonomie similaire, performances plus vives, mais une finition intérieure plus sobre.
  • Audi Q4 e-tron : un habitacle bien fini, mais une autonomie inférieure.
  • Mercedes EQB : un peu plus spacieux mais moins dynamique.
  • Genesis GV60 : offre des matériaux de qualité et un design distinctif, avec une puissance plus élevée.

L’Optiq mise sur un équilibre entre technologie, confort et autonomie pour se démarquer.

Prix

  • Optiq 1 (Luxury & Sport) : 62 499 $ (incluant les frais de transport)
  • Optiq 2 (Luxury & Sport avec équipements supplémentaires) : 66 499 $

Forces :

  • Design moderne et sportif
  • Habitacle raffiné avec matériaux innovants
  • Motorisation bimoteur performante
  • Technologies avancées et Super Cruise de série

Faiblesses :

  • Problème électronique dans la conduite en matinée
  • Pas d’espace cargo à l’avant
  • Écran central un peu distrayant

Conclusion

Le Cadillac Optiq 2025 s’impose comme une belle alternative dans l’univers des VUS électriques de luxe. Moins imposant que le Lyriq, il séduit par son confort, son raffinement et son autonomie compétitive. Il ne vise pas les amateurs de sensations fortes, mais plutôt ceux qui recherchent une expérience premium et connectée, sans pour autant exploser leur budget. Un choix judicieux pour ceux qui veulent conjuguer prestige et électrification.

Le texte Cadillac Optiq 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les États-Unis ont ouvert une enquête sur près de 1,3 million de Ford F-150 (modèles 2015 à 2017) après plusieurs signalements de retrogradations soudaines pouvant entraîner un blocage temporaire des roues arrière.

138 plaintes déposées auprès des autorités

La National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) a reçu 138 plaintes faisant état d’un passage inopiné à une vitesse inférieure à haute vitesse, sans avertissement ni intervention du conducteur. Certains conducteurs ont signalé une perte de contrôle du véhicule, bien que aucun accident ni incendie n’ait été recensé pour l’instant.

Un risque accru d’accidents ?

L’Office of Defects Investigation de la NHTSA analysera l’ampleur et les conséquences sécuritaires de ce défaut potentiel. Le problème pourrait augmenter le risque de collisions, notamment sur autoroute, en raison du blocage temporaire des roues arrière lors du changement de vitesse brutal.

Ford sous surveillance

Cette évaluation préliminaire, ouverte le 24 mars, pourrait aboutir à un rappel massif si des risques avérés sont confirmés. Ford n’a pas encore réagi officiellement à cette enquête.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Enquête fédérale américaine sur 1,3 million de Ford F-150 pour un problème de transmission provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Cet été, je n’ai participé qu’à une activité. Devant un kiosque du marché aux puces de l’endroit, j’entends une conversation entre un père et son fils d’environ 13 ans. Ce dernier lui demande en pointant du doigt “un plat rond” avec un couvercle: “À quoi ça sert papa.”

Le père lui répond: “C’est un filtre à air à bain d’huile. Ça sert à filtrer l’air qui entre dans le moteur.”

Le garçon ouvre le couvercle et ne voit pas de filtre en papier plié en accordéon, comme on est habitué de voir aujourd’hui dans nos voitures aseptisées.

La conversation continue: “Papa où est le filtre?”

Et le père de répondre: “Il n’y en a pas mon garçon, c’est l’huile qui filtre l’air”.

Fiston: “Comment l’huile peut-elle filtrer l’air papa?”

Père: “Écoute bien. Lorsque le couvercle est enlevé, tu remarques un trou au centre du filtre. L’air aspiré par le moteur passe par ce trou pour s’engouffrer dans le carburateur. Autour de ce trou il y a une rigole creuse que l’on remplit d’huile moteur jusqu’à la ligne juste ici. On replace ensuite le couvercle, la pièce la plus importante du filtre. “Ce couvercle a un rôle de premier plan car il dirige l’air vers le fond du filtre sur la surface de la réserve d’huile. M’écoutes-tu mon garçon?”

Fiston: “Oui papa.”

Père: “Lâches ton cellulaire, tu verras que c’est intéressant. Je disais que l’air entre par la fente entre le dessus du filtre et le bord du couvercle, pour se diriger vers le fond et rejoindre la surface d’huile. Le trou au centre du filtre, est entouré d’un tube plus haut que le niveau d’huile. Cela permet d’éviter que l’huile ne descende dans le carburateur lorsque la voiture est en mouvement et force l’air à remonter le long de ce tube pour frapper le dessous du couvercle et enfin s’engloutir dans le carburateur”.

Fiston: “Papa pourquoi l’air fait-il comme les montagnes russes? Il descend par la fente sur le dessus, frappe l’huile, remonte le long du tube au milieu, ricoche sur le dessous du couvercle et redescend dans le carburateur. Ça fait des zigzags pour rien, non?”

Père: “Ces zigzags sont nécessaires car c’est de cette façon que l’air se nettoie. Quand l’air pénètre par la fente du dessus, il entre à très grande vitesse. Lorsqu’il frappe l’huile au fond, les saletés étant plus lourdes que l’air, passent tout droit et ne remontent pas avec l’air. Elles se collent à l’huile et tombent au fond. Ensuite l’air propre remonte le long du tube au centre et redescend dans le carburateur. Comprends-tu mon gars?”

Fiston: “Ouais, je ne suis pas certain de tout me rappeler. Mon Iphone est moins compliqué papa.”

Père: “Tu trouves toi? Il n’y a pas longtemps j’ai voulu accéder à ton application de course vintage sur ton Iphone pendant que tu n’étais pas là. Après 15 minutes je n’avais pas encore trouvé le moyen de partir une course….. Vive l’auto ancienne mon gars!”

Je les ai vus s’éloigner vers un autre kiosque. Le fils fier d’avoir un père qui a le goût de répondre à ses questions et le père fier d’avoir un fils, tout simplement. Se faisant l’accolade, ils se penchent tous les deux au-dessus d’une autre pièce d’allure rétro et voilà que le jeune semble s’interroger à nouveau.

Le texte Filtre à air à bain d’huile provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Il y a du neuf chez Karma Automotive. La gamme de ce petit constructeur californien s’enrichit de son premier coupé : l’Amaris, un prénom féminin aux racines indo-européennes signifiant « Promise à Dieu », selon divers sites internet spécialisés en étymologie. Dévoilé le 20 mars dernier, ce coupé est le deuxième modèle de série lancé par cette marque depuis 2016 et l’avènement de la berline Revero (aussi appelée GS-6 brièvement).

Son dévoilement a eu lieu dans le cadre de « Create Karma 2025 », un forum organisé au siège social du constructeur, à Irvine, en collaboration avec la Chambre de commerce locale. Cet événement, qui en était à sa troisième édition annuelle, réunissait des innovateurs de l’industrie, des éducateurs, de même que des dirigeants d’entreprises et de villes du sud de la Californie pour leur permettre d’échanger sur l’avenir des technologies automobiles et leur impact sur cette région des États-Unis.

Ce coupé biplace a naturellement été le clou de l’événement. Il entrera en production au cours du dernier trimestre de 2026, affirme le constructeur, ce qui permettra de combler un vide engendré par un nouveau changement de sa stratégie.

Changement de cap pour Karma

Lors de cet événement, le constructeur a annoncé le réalignement de la stratégie entourant le développement de ses motorisations. Alors qu’il devait électrifier sa gamme de voitures avec l’arrivée anticipée de deux nouveautés, on parle désormais de plutôt miser sur des motorisations hybrides branchables, une technologie que maîtrise Karma.

Ce changement de cap serait une « réponse aux changements à court terme dans la demande des consommateurs pour les véhicules électriques; changements qui ont provoqué des réévaluations similaires chez plusieurs constructeurs de modèles haut de gamme et ultra-luxueux », explique le constructeur.

Bref, la future berline à quatre portes Gyesera, qui devait arriver sur le marché à la fin de 2024, pour remplacer la Revero, fera ses débuts plus tard cette année, mais avec une motorisation hybride branchable plutôt que d’une motorisation électrique, comme prévue initialement. Quant au coupé de haute performance électrique Kaveya, qui devait faire ses débuts d’ici la fin de 2025, sa commercialisation a été repoussée à 2027.

Nouveau 4-cylindres turbo

L’Amaris servira donc à combler cet intérim tout en faisant usage d’une nouvelle motorisation hybride branchable. Pour cette nouveauté, Karma utilisera un 4-cylindres à turbocompresseur, dont l’origine reste inconnue. Ce moteur aura une cylindrée plus importante que le 3-cylindres BMW TwinPower de 1,5 L de la Revero. De plus, ses moteurs électriques lui permettront d’accélérer de 0 à 100 km/h en moins de 3,5 secondes environ, en plus d’atteindre une vitesse de pointe estimée à 265 km/h.

Rappelons que la motorisation hybride branchable de Karma reprend le principe de celles qu’avaient la Chevrolet Volt et la BMW i3. Celle de la plus récente Revero, par exemple, a deux moteurs électriques de 400 kW qui entraînent la voiture et qui sont alimentés par une batterie de 28 kWh. Cette dernière peut être rechargée à l’aide d’une prise de courant ordinaire ou d’une borne de recharge, ou encore en roulant par le moteur BMW TwinPower, qui joue en quelque sorte le rôle d’une génératrice.

Pour cette Revero, avec des conditions optimales, ce genre de motorisation procure une autonomie électrique d’environ 130 kilomètres à laquelle l’action du moteur thermique peut ajouter jusqu’à 450 kilomètres. Le conducteur se retrouve ainsi avec une autonomie totale pouvant atteindre 580 kilomètres.

Par ailleurs, Karma a également annoncé que l’Amaris aura une carrosserie en fibre de carbone et en aluminium dont la silhouette s’inspire du design « Comet Line » imaginé pour la Kaveya. Elle aura des roues Constellation de 22 po en alliage, une voie arrière plus large et ses portières en « ailes de cygne » s’ouvriront comme celles d’une Aston Martin Vantage, en se déployant latéralement tout en se soulevant légèrement. Les prix de ses différentes versions seront annoncés ultérieurement.

De Fisker à Karma, une histoire mouvementée

Les fanatiques d’histoire se souviendront que la Revero est le modèle qui a succédé à la Fisker Karma. Produite à tout juste 2 000 exemplaires, cette berline à motorisation hybride branchable avait été mise au point par Fisker Automotive, l’entreprise fondée par le designer danois Henrik Fisker en 2007. À la suite de problèmes financiers engendrés notamment par la faillite de A123, son fournisseur de batteries, l’entreprise a été revendue au Groupe Wanxiang, un équipementier chinois établi à Hangzhou, en 2014. Puis, en septembre 2015, l’entreprise a été rebaptisée Karma Automotive.

Rappelons, par ailleurs, que c’est le même Henrik Fisker qui a fondé Fisker Inc. en 2016, une nouvelle entreprise qu’il destinait à commercialiser une imposante gamme de véhicules électriques. Malheureusement, elle a été emportée par une faillite fracassante en 2024, après qu’environ 10 000 exemplaires de l’utilitaire Ocean, son premier modèle de série, aient été assemblés.

Photos : Karma

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Mercedes-Benz met en place un programme de départs volontaires généreusement indemnisés dans le cadre d’un plan visant à économiser 7,8 milliards de dollars d’ici 2027. L’entreprise cherche à réduire ses effectifs administratifs et à supprimer des postes de direction, tout en conservant ses talents clés.

Des indemnités à six chiffres selon l’ancienneté

Selon des rapports des médias allemands, les indemnités varient en fonction du salaire et des années de service. Par exemple, un chef d’équipe de 55 ans, avec un salaire mensuel d’environ 14 000 $ et 30 ans d’ancienneté, pourrait percevoir jusqu’à 778 000 $ pour quitter son poste.

Un employé de 45 ans, travaillant depuis 20 ans et gagnant 11 700 $ par mois, pourrait recevoir une offre de 324 000 $. Même un salarié dans la trentaine, avec un salaire mensuel de 9 375 $, pourrait repartir avec 156 000 $ en poche.

Qui est concerné par ces offres de départs ?

Le programme concerne environ 30 000 employés, principalement ceux hors production, qui recevront une offre individuelle d’ici fin avril. Les salariés auront jusqu’au 31 juillet pour répondre, sans obligation d’accepter. Toutefois, Mercedes se réserve le droit de refuser certains départs si l’employé occupe un poste stratégique.

Pourquoi Mercedes-Benz offre-t-il ces indemnités ?

Ce programme s’inscrit dans un cadre légal : les employés administratifs sont protégés contre les licenciements jusqu’en 2034 grâce à des accords passés. Mercedes cherche donc à réduire ses effectifs de manière volontaire et prévoit également de diminuer le nombre de postes de direction.

Avec des renseignements de Carscoops

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Stellantis a annoncé une nouvelle vague de départs volontaires pour certains de ses ouvriers aux États-Unis. L’offre concerne des travailleurs de Detroit, de l’Ohio et de l’Illinois, alors que l’entreprise cherche à réduire ses coûts après une année 2024 compliquée.

Un accord négocié avec le syndicat UAW

Le United Auto Workers (UAW), qui représente la majorité des ouvriers de Stellantis, a confirmé avoir négocié un accord avec la nouvelle direction du constructeur. “Pour ceux qui souhaitent prendre leur retraite, un cadre clair est en place. Pour les autres, une rupture volontaire est désormais envisageable”, a indiqué le syndicat.

Une relation tendue entre Stellantis et le UAW

Les tensions entre Stellantis et le UAW ne datent pas d’hier. Sous la direction de l’ex-PDG Carlos Tavares, le constructeur a été accusé de ne pas avoir respecté ses engagements pris lors des négociations de 2023. Le climat s’est envenimé au point que Stellantis a intenté un procès fédéral contre le syndicat.

Le départ soudain de Carlos Tavares en décembre 2024, après une chute des ventes aux États-Unis, a ajouté aux incertitudes. Aujourd’hui, John Elkann, président de Stellantis, est chargé de trouver un nouveau PDG, dont la nomination est prévue au premier semestre 2025.

Un plan de restructuration en cours

Cette nouvelle vague de départs volontaires n’est pas une première. En mars 2024, Stellantis a licencié 400 employés aux États-Unis, après avoir déjà proposé deux séries de rachat de contrats en 2023.

Les travailleurs concernés ont jusqu’au 8 mai pour accepter cette dernière offre, a précisé l’entreprise.

Avec des renseignements de Reuters

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