Si vous trouviez le Volvo EX30 trop sage pour votre âme d’aventurier, rassurez-vous : voici l’EX30 Cross Country qui vous permet de fuir la ville… et de plonger avec élégance dans la gadoue. Ce modèle promet de grandes aventures dans un petit format.

Le VUS électrique pour jouer aux explorateurs

L’EX30 Cross Country reprend le succès de l’EX30 standard et y ajoute une pincée de robustesse pour ceux qui veulent voir du pays. Que ce soit sous la pluie, sous le soleil ou dans un blizzard digne d’un film catastrophe, il promet de ne jamais vous laisser tomber (sauf si vous êtes un peu trop optimiste sur la profondeur de la neige).

Et parce qu’un VUS Cross Country, ce n’est pas juste une voiture, c’est une expérience, Volvo propose un ensemble aventure : accessoires, équipements et bons conseils pour devenir un parfait explorateur du week-end.

Du centre-ville aux sentiers boueux

L’EX30 Cross Country reste un VUS compact électrique, donc parfaitement adapté aux bouchons urbains et aux places de stationnement trop étroites. Avec sa charge rapide (10-80 % en 26 minutes) et zéro émission polluante, il est l’allié parfait des citadins écolos.

Mais Volvo veut vous convaincre que ce SUV peut aussi être un vrai baroudeur :
– Garde au sol surélevée pour affronter les chemins escarpés (ou les trottoirs agressifs)
– Transmission intégrale (AWD) pour ne pas paniquer au premier flocon de neige
– Plaques de protection avant et arrière pour un look robuste et une vraie utilité hors route

Un style qui en impose

Parce que l’apparence compte, Volvo a soigné le design de ce Cross Country. On retrouve une finition sombre et une touche artistique surprenante : une carte en relief du massif de Kebnekaise, le sommet le plus haut de Suède. Une inspiration parfaite pour rappeler que ce SUV est fait pour l’exploration… ou pour impressionner les voisins.

Un habitacle fonctionnel et bien pensé

À l’intérieur, Volvo a optimisé l’espace avec des solutions aussi pratiques qu’ingénieuses :
– Des rangements intelligents, avec un tunnel central coulissant pour poser son café ou ranger son matériel de rando
– Une boîte de rangement sous la console centrale, accessible par le conducteur et le passager
– Un bac amovible et lavable sous l’accoudoir arrière, idéal pour ranger des déchets… ou des snacks pour les longs trajets

À l’arrière, Volvo a même pensé à un guide “Will it fit?” sur le hayon pour aider à évaluer l’espace disponible. Finies les disputes en chargeant le coffre !

Technologie et sécurité : du Volvo pur jus

Bien entendu, Volvo n’oublie pas la technologie embarquée :
– Google Maps intégré, pour ne jamais se perdre (même au fin fond de la forêt suédoise)
– Application Volvo EX30, permettant de préchauffer l’habitacle après une balade en pleine nature

Et côté sécurité, c’est du Volvo tout craché :
– Aide au freinage et à la direction pour éviter piétons, cyclistes et autres obstacles surprises
– Surveillance du conducteur, qui vous rappelle de garder les yeux sur la route si vous rêvassez trop

Verdict : VUS d’aventure… ou d’apparence ?

Avec l’EX30 Cross Country, Volvo tente de séduire les explorateurs modernes qui aiment l’idée de l’aventure… mais qui ne veulent pas trop se salir. Est-ce un vrai tout-terrain ? Pas sûr. Mais pour ceux qui aiment les SUV robustes et technologiques, tout en restant branchés (dans tous les sens du terme), ce petit baroudeur électrique a de quoi faire réfléchir.

Disponible bientôt, l’EX30 Cross Country s’annonce comme un parfait compagnon pour explorer la nature… ou pour braver les ornières du stationnement du supermarché.

Le texte Volvo présente le EX 30 Cross-Country provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ford a émis un rappel de 7 698 véhicules au Canada et de près de 80 000 en Amérique du Nord en raison d’un problème de caméra de recul défectueuse. Sur certains modèles de camions lourds F-Series Super Duty, ainsi que sur les SUV Ford Expedition et Lincoln Corsair, l’image de la caméra arrière pourrait ne pas s’afficher correctement, voire pas du tout.

Un problème de visibilité qui pose un risque de collision

Depuis 2018, les caméras de recul sont obligatoires au Canada et aux États-Unis sur tous les nouveaux véhicules afin d’améliorer la sécurité. Or, une caméra inopérante réduit la visibilité du conducteur en marche arrière, augmentant ainsi le risque d’accident.

Quels véhicules sont concernés ?

Le rappel touche plusieurs modèles Ford et Lincoln :

  • Lincoln Corsair (2020-2022)
  • Ford Expedition (2021)
  • Ford F-250 Super Duty (2021-2022)
  • Ford F-350 Super Duty (2021-2022)
  • Ford F-450 Super Duty (2021-2022)
  • Ford F-550 Super Duty (2021-2022)
  • Ford F-600 Super Duty (2021-2022)

Une solution encore en développement

Ford a confirmé que la cause exacte du problème n’est pas encore identifiée. Le défaut pourrait être lié à un lot spécifique de caméras fournies par Magna, mais les tests comparatifs effectués par le constructeur n’ont pas permis d’expliquer clairement le problème.

Pour l’instant, aucune réparation définitive n’a été trouvée. Ford contactera les propriétaires concernés par courrier dès qu’une solution sera disponible, probablement via le remplacement de la caméra.

Comment vérifier si votre véhicule est concerné ?

Les propriétaires peuvent consulter le site de Transport Canada en entrant leur numéro de NIV (numéro d’identification du véhicule) pour savoir si leur véhicule fait l’objet du rappel.

  • Numéro de rappel Transport Canada : 2025-043
  • Numéro de rappel Ford : 25S05

Dès qu’une solution sera confirmée, les réparations seront effectuées gratuitement dans les concessions Ford et Lincoln.

Avec des renseignements de Ford Canada

Le texte Ford rappelle 7 698 véhicules au Canada pour un problème de caméra de recul provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Donald Trump a annoncé qu’il dévoilerait le 10 février de nouveaux tarifs de 25 % sur toutes les importations d’acier et d’aluminium, sans exception peut importe la provenance. Cette annonce, faite dimanche à bord d’Air Force One, s’inscrit dans une série de mesures protectionnistes visant à relancer l’industrie américaine et à rééquilibrer le commerce extérieur.

Bien que Trump n’ait pas précisé la date exacte d’entrée en vigueur de ces tarifs, leur impact sera considérable pour les constructeurs automobiles et leurs fournisseurs, qui dépendent largement des importations de métaux pour leurs productions.

Une nouvelle vague de tarifs douaniers à venir

Le président a également déclaré qu’il annoncerait d’autres taxes réciproques sur les pays imposant des droits de douane sur les importations américaines. Ces nouveaux tarifs ne prendront pas effet immédiatement mais devraient suivre peu après l’annonce, attendue mardi ou mercredi.

Les ambitions tarifaires de Trump restent floues, mais il a déjà évoqué des hausses sur d’autres secteurs stratégiques, comme les produits pharmaceutiques, le pétrole et les semi-conducteurs, et envisage même des taxes sur les importations en provenance de l’Union européenne.

Une guerre commerciale avec la Chine en toile de fond

Ces nouvelles mesures s’ajoutent à un tarif de 10 % imposé la semaine dernière sur les marchandises chinoises. En réponse, Pékin a annoncé des représailles ciblant des importations américaines d’une valeur de 14 milliards de dollars. Contrairement à la première guerre commerciale de Trump contre la Chine, cette riposte chinoise est plus mesurée, signe d’une approche plus stratégique.

Les marchés surveillent de près l’évolution des relations sino-américaines, notamment la possibilité d’un accord avant le 10 février pour éviter l’application des nouvelles taxes chinoises. La Maison-Blanche a confirmé qu’un appel entre Trump et le président chinois Xi Jinping était en cours de planification.

Une arme de négociation pour Trump

Trump a longtemps utilisé les tarifs douaniers comme levier de négociation, notamment avec le Canada et le Mexique. Il avait menacé d’imposer des taxes de 25 % sur leurs importations en raison du manque d’efforts pour lutter contre l’immigration illégale et le trafic de drogue. Toutefois, après des engagements modestes de la part des deux pays, il a décidé de suspendre ces tarifs jusqu’au 4 mars.

Même si Trump pourrait revenir sur cette décision, son hésitation renforce l’idée qu’il privilégie les menaces tarifaires pour obtenir des concessions plutôt que pour réellement mettre en place des barrières commerciales durables.

Un impact économique incertain

Si Trump considère ces tarifs comme un outil pour réduire le déficit commercial et générer de nouveaux revenus, les experts économiques avertissent qu’ils pourraient entraîner une hausse des coûts pour les industries manufacturières et les consommateurs, déjà fragilisés par l’inflation.

L’industrie sidérurgique américaine, qui sort d’une année difficile, espère toutefois bénéficier de ces mesures. Les producteurs nationaux dénoncent l’augmentation des importations d’acier, qui nuit à leur rentabilité et à leur production.

Un dossier brûlant : l’acquisition d’U.S. Steel par Nippon Steel

Cette annonce survient alors que le rachat de U.S. Steel Corp. par le géant japonais Nippon Steel Corp. pour 14,1 milliards de dollars est bloqué par l’administration Biden et vivement contesté par Trump.

Après une rencontre avec le Premier ministre japonais Shigeru Ishiba, Trump a affirmé que Nippon Steel envisage désormais d’investir dans U.S. Steel sans en prendre le contrôle total. Il a clairement indiqué que l’entreprise japonaise ne pourra pas détenir une participation majoritaire dans le géant américain.

Les deux groupes contestent actuellement le blocage du rachat devant les tribunaux, ajoutant une nouvelle dimension aux tensions commerciales entre les États-Unis et leurs partenaires internationaux.

Conclusion
Avec ces nouveaux tarifs, Trump renoue avec une politique commerciale agressive qui pourrait avoir des conséquences profondes sur l’économie américaine et les relations internationales. Entre protectionnisme et négociation stratégique, il reste à voir si ces mesures serviront réellement les intérêts industriels américains ou s’ils risquent d’aggraver les tensions commerciales à l’approche de l’élection présidentielle.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Trump annonce des tarifs de 25 % sur l’acier et l’aluminium provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Jim Farley, PDG de Ford, l’a reconnu sans détour dans une entrevue au New York Times : la Chine possède une avance de dix ans sur l’Occident en matière de batteries pour véhicules électriques (VÉ). Selon lui, la seule façon pour Ford de rivaliser, puis de surpasser l’industrie automobile chinoise, est d’accéder à leur propriété intellectuelle (PI).

« La manière dont nous allons les concurrencer est d’obtenir accès à leur PI, comme ils avaient besoin de la nôtre il y a 20 ans. Ensuite, nous utiliserons notre écosystème d’innovation, notre ingéniosité américaine et notre proximité avec le client pour les battre à l’échelle mondiale. » — Jim Farley

Une course essentielle pour l’économie industrielle américaine

Ford ne parle pas d’un projet lointain, mais d’une stratégie déjà en place. Son complexe BlueOval Battery Park, qui doit être opérationnel en 2026, produira des batteries lithium-fer-phosphate (LFP). Cette technologie appartient à CATL, géant chinois des batteries, mais son origine est américaine.

Selon Bloomberg, la chimie LFP a été découverte aux États-Unis par l’Université du Texas avant d’être commercialisée par A123 Systems, une startup financée sous l’administration Obama. Cependant, A123 a fait faillite et la propriété intellectuelle a été rachetée par le plus grand fabricant chinois de pièces automobiles de l’époque. Aujourd’hui, la Chine contrôle 83 % de la production mondiale de batteries lithium-ion.

L’ironie du sort : acheter aux Chinois une technologie américaine

Ford est en pleine course pour développer un VÉ abordable à moins de 30 000 $, afin de contrer l’offensive des constructeurs chinois. Même si les tarifs douaniers américains ralentissent l’arrivée des marques chinoises comme BYD aux États-Unis, elles s’imposent déjà en Europe et ailleurs. Ironiquement, ces mêmes taxes rendent le Lincoln Nautilus fabriqué en Chine plus coûteux une fois importé aux États-Unis.

Le constat est clair : l’avenir du VÉ ne se jouera pas uniquement sur la production de véhicules, mais surtout sur la maîtrise de la batterie. Et pour l’instant, c’est la Chine qui mène la course.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte Pour battre la Chine, il faut utiliser sa technologie affirme le PDG de Ford provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ottawa, Ontario- C’est dans un décor typiquement hivernal que nous avons pris le volant du Honda Prologue 2025, un VUS électrique promis à une autonomie officielle de 439 km, mais dont les capacités réelles restaient à éprouver sous les rigueurs de la saison froide. Le CAA avait organisé un grand test hivernal avec 13 véhicules électriques parmi les plus populaires sur le marché. L’objectif : rejoindre Mont-Tremblant depuis Ottawa, en empruntant des routes de campagne, pour tester jusqu’à la dernière étincelle l’endurance de sa batterie, Quel véhicule allait tomber en panne sèche le premier, combien allait réussir à rejoindre Mont Tremblant par les routes secondaire empruntés sciemment pour épuiser les batteries avant l’arrivée au Mont-Tremblant.

Départ sous haute tension

Nous quittons la capitale fédérale avec une charge complète, le thermomètre affichant -12 °C. Dès les premiers kilomètres, le confort est au rendez-vous, mais les règles sont strictes. Tous les véhicules ont un habitacle à 21 degrés Celcius en mode automatique. Pas de régulateur des vitesse et un respect des limites de vitesse à 5 km/h près. Pas de sièges ou de volant chauffant. Nous vérifions la perte d’autonomie à tous les 50 km avec Julien, notre partenaire du CAA qui nous accompagne pour la journée et compile les résultats. Pourtant, l’indicateur d’autonomie fond comme neige au soleil. Après 100 km, il ne reste déjà plus que 220 km affichés, bien loin des estimations théoriques.

L’angoisse monte

Arrivés à mi-parcours, nous commençons à douter : atteindrons-nous Mont-Tremblant sans recharger ? La route sinueuse et vallonnée demande des efforts constants à la motorisation électrique, et même en dosant l’accélération et en maximisant le freinage régénératif, l’autonomie fond irrémédiablement.

Puis, le moment fatidique arrive : 22 km restants. L’affichage du tableau de bord vire au jaune, puis au rouge. Un message d’alerte s’affiche : “Niveau Bas. Rechargez immédiatement”. L’adrénaline monte, la tension est palpable. Nous savons que le mode “tortue” ne tardera pas à s’activer.

L’épreuve finale

Avec environ 10 km restants, la puissance du véhicule chute brusquement. L’accélération devient molle, voir inexistante, la vitesse plafonne à 60 km/h. La batterie, maintenant affichée en rouge vif, mais nous continuons à avancer, prenant même de la vitesse en descente en remettant de l’énergie dans la batterie . Et puis, à zéro kilomètre restant, nous nous préparons à nous arrêter… Mais non.

Contre toute attente, le Prologue continue de rouler. Un souffle d’espoir nous anime. 5 km… 10 km… 15 km. Chaque tour de roue est une victoire sur l’inévitable. Le mode tortue est pleinement actif, le véhicule roule à peine, mais il roule. Finalement, après 28 km parcourus à zéro affiché, le Prologue s’immobilise dans un silence absolu à l’intersection de la route 327 à l’intersection de la route 117 en tentant de remonter une dernière côte, mais c’en était trop, l’inévitable venait de se produire.

Le verdict : une autonomie hivernale bien en deçà des promesses

Après analyse, nous constatons que notre Honda Prologue 2025 a couvert 334 km avant de rendre l’âme, soit 24% de moins que l’autonomie officielle de 439 km publiée par Ressources naturelles Canada. Un résultat qui place le Prologue en huitième position sur les 13 modèles testés par CAA-Québec dans le cadre de la grande évaluation des autonomies hivernales des véhicules électriques.

Cette expérience met en lumière un enjeu crucial pour les conducteurs québécois : l’autonomie des VÉS en hiver n’a rien à voir avec les chiffres officiels annoncés en laboratoire. Comme le souligne Pierre-Serge Labbé, Vice-président Mobilité de CAA-Québec : “Les consommateurs ont droit à de l’information crédible et factuelle concernant l’autonomie hivernale des VE, et nos équipes ont travaillé très fort pour réaliser cette étude afin d’obtenir des données fiables.”

Un mot sur la recharge

Malheureusement, le Honda Prologue n’a pas pu être inclus dans le test de recharge rapide, en raison d’un problème ayant compromis les données. Cependant, les autres modèles évalués ont montré une grande variabilité dans leur capacité à récupérer de l’autonomie en 15 minutes, allant de seulement 19 km pour le Toyota bZ4X à un impressionnant 205 km pour la Tesla Model 3.

Conclusion : Un VE prometteur, mais vulnérable au froid

Le Honda Prologue 2025 propose une conduite agréable et un bon niveau de confort, mais son autonomie hivernale demeure un point faible pour les automobilistes du Québec. Avec une perte de 24% par rapport aux estimations officielles, il reste dans la moyenne des VE testés, mais les conducteurs devront planifier leurs trajets avec prudence et garder un œil attentif sur leur niveau de charge, surtout par temps glacial.

La morale de cette aventure électrique ? Toujours prévoir une marge de sécurité. Car une fois la batterie à zéro, il reste peut-être quelques kilomètres d’espoir… mais pas beaucoup plus. Une chose est certaine, tous les véhicules testés offrent plusieurs avertissements avant que la batterie rende l’âme.

Test d’autonomie :

Véhicules (en ordre alphabétique) Classement:

plus longue autonomie hivernale réelle

Distance parcourue avec une seule charge Autonomie officielle publiée par Ressources naturelles Canada Écart entre l’autonomie réelle et la valeur officielle
Chevrolet Equinox EV 6 337 km 513 km -34%
Chevrolet Silverado EV 1 456 km 724 km -14%*
Ford F-150 Lightning 9 296 km 515 km -35%*
Ford Mustang Mach-E 7 334 km 483 km -31%
Honda Prologue 8 334 km 439 km -24%
Hyundai IONIQ 5 11 262 km 410 km -36%
Kia EV9 4 349 km 435 km -20%
Kia Niro 10 285 km 407 km -30%
Polestar 2 3 384 km 444 km -14%
Tesla Model 3 2 410 km 584 km -29%
Toyota bZ4X 12 255 km 406 km -37%
Volkswagen ID.4 5 338 km 468 km -28%
Volvo XC40 Recharge 13 248 km 409 km -39%

*Les calculs ont été ajustés pour prendre en considération que le Chevrolet Silverado EV a commencé le test à 73% de charge, et le Ford F-150 Lightning, à 89% de charge.

Merci à ma co-pilote Isabelle Havasy pour avoir capturé les dernières minutes de notre périple et à julien d’avoir tenu le carnet de bord.

https://www.youtube.com/shorts/Y0hzBs7g11k

Test de recharge:

Véhicule (en ordre alphabétique) Classement:

plus longue autonomie récupérée en 15 minutes

Autonomie récupérée en 15 minutes (selon l’écran du véhicule) Durée de la recharge de 10% à 80% Puissance moyenne de recharge
Chevrolet Equinox EV 3 131 km 42 min 100 kW
Chevrolet Silverado EV 2 199 km 42 min 233 kW
Ford F-150 Lightning 6 109 km 45 min 128 kW
Ford Mustang Mach-E 9 71 km 46 min 85 kW
Hyundai IONIQ 5 10 64 km 45 min 80 kW
Kia EV6 11 58 km 43 min 85 kW
Kia EV9 7 105 km 33 min 139 kW
Kia Niro EV 12 35 km 77 min 36 kW
Polestar 2 4 120 km 40 min 94 kW
Tesla Model 3 1 205 km 37 min 96 kW
Toyota bZ4X 13 19 km 92 min 33 kW
Volkswagen ID.4 5 112 km 34 min 104 kW
Volvo XC40 Recharge 8 90 km 40 min 87 kW

Note : le Honda Prologue a été exclu du test de recharge en raison d’un problème qui a compromis les données.

Le texte La traversée électrique : Ottawa – Mont-Tremblant en Honda Prologue 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les voitures électriques, bien qu’elles nécessitent généralement moins d’entretien qu’un véhicule à combustion, ont tout de même des besoins spécifiques. Certains composants nécessitent une surveillance et des interventions régulières pour garantir leur bon fonctionnement. Voici un aperçu des entretiens courants pour les voitures électriques.

  1. Les freins

Grâce au système de freinage régénératif, les freins des voitures électriques sont moins sollicités que ceux des voitures à essence ou diesel. Cependant, cela ne signifie pas qu’ils n’ont pas besoin d’entretien. Il est important de vérifier régulièrement l’état des plaquettes et des disques de frein, car un manque de maintenance peut entraîner une diminution de la performance du freinage, mettant ainsi la sécurité en jeu.

  1. Les pneus

Les voitures électriques, avec leur couple instantané et leur poids souvent supérieur à celui des véhicules thermiques, peuvent user les pneus plus rapidement. Il est crucial de vérifier régulièrement la pression des pneus et leur alignement, et de remplacer les pneus au besoin pour maintenir une adhérence et une sécurité optimales. Des pneus sous-gonflés peuvent également réduire l’autonomie de votre véhicule.

  1. Le liquide de refroidissement

Certains composants des voitures électriques, comme le moteur électrique et l’onduleur, ont besoin d’être refroidis pour éviter la surchauffe. Le liquide de refroidissement doit être contrôlé périodiquement et remplacé selon les recommandations du fabricant pour garantir un refroidissement optimal et prolonger la durée de vie de ces composants.

  1. Le système de climatisation

Le confort thermique dans l’habitacle dépend du bon fonctionnement de la climatisation et du chauffage. Ces systèmes, surtout dans les voitures électriques, peuvent avoir un impact direct sur l’autonomie de la voiture. Il est donc important de s’assurer que le fluide réfrigérant et les filtres sont en bon état pour maximiser l’efficacité énergétique.

  1. Les filtres d’air

Même si une voiture électrique ne possède pas de moteur thermique, elle est tout de même équipée de filtres à air pour l’habitacle. Ceux-ci doivent être remplacés régulièrement pour assurer une qualité de l’air optimale à l’intérieur du véhicule, surtout pour les occupants sensibles aux allergies ou à la pollution.

  1. Vérification des composants électroniques

Les voitures électriques sont remplies de systèmes électroniques sophistiqués qui gèrent tout, de la propulsion à la connectivité. Il est essentiel de vérifier régulièrement le bon fonctionnement des systèmes d’infodivertissement, des caméras, des capteurs, et autres dispositifs électroniques. Des mises à jour logicielles sont également proposées par les constructeurs pour optimiser les performances et la sécurité.

  1. Le système de direction et de suspension

Comme pour tout véhicule, la suspension et la direction doivent être régulièrement contrôlées. Les routes irrégulières peuvent causer de l’usure ou des dommages à ces systèmes. Une vérification annuelle ou lors de votre inspection d’entretien peut prévenir des problèmes plus graves à long terme.

Conclusion

Les voitures électriques offrent une alternative plus simple et plus économique en termes d’entretien par rapport aux voitures thermiques. Néanmoins, pour maintenir leur efficacité et assurer une conduite en toute sécurité, il est essentiel de réaliser ces entretiens périodiques. Pour des conseils personnalisés et des produits adaptés à votre voiture électrique, n’hésitez pas à visiter notre site Pièces d’auto Super ou à venir en magasin.

Le texte Les entretiens sur une voiture électrique : ce que vous devez savoir provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Volvo se prépare à une année 2025 plus difficile. La firme d’origine suédoise a annoncé une baisse de son bénéfice d’exploitation au quatrième trimestre de 2024, et elle croit que cette tendance va se poursuivre au cours de la nouvelle année en cours, une situation alimentée par des conditions de marché difficiles.

Le constructeur, détenu majoritairement par la firme chinoise Geely, a déclaré qu’il ne s’attendait pas à ce que le marché vive une croissance aussi intéressante que celle des dernières années. La concurrence accrue, en particulier en provenance de rivaux originaires de la Chine, entraînerait probablement des réductions de prix dans l’ensemble du secteur.

« En conséquence, il sera difficile d’atteindre les volumes et le niveau de rentabilité que nous avons atteint en 2024 », a déclaré le grand patron de l’entreprise, Jim Rowan, via un communiqué.

Malgré tout, l’entreprise a réitéré sa prévision d’une marge de bénéfice d’exploitation de base de 7 à 8 %.

Le bénéfice d’exploitation du quatrième trimestre était de 3,9 milliards de couronnes suédoises (510 millions CA), contre 5,4 milliards de couronnes suédoises l’année précédente (710 millions CA). Le bénéfice comprend une dépréciation de 1,7 milliard de couronnes (220 millions CA) liée à sa coentreprise de batteries Novo Energy.

Le Volvo EX90
Le Volvo EX90 | Auto123.com

Si l’on exclut les coentreprises et les entreprises associées, le bénéfice d’exploitation s’est élevé à 6,3 milliards de couronnes (830 millions CA), en baisse par rapport aux 6,7 milliards de couronnes (880 millions CA) enregistrés l’année précédente.

Pour expliquer le tout, le site Reuters, qui rapporte cette nouvelle, rappelle que la demande pour les véhicules électriques s’est affaiblie ces dernières années, en partie à cause du manque de modèles abordables et de la lenteur du déploiement des bornes de recharge.

Les constructeurs se préparent également aux effets des droits de douane européens et américains sur les voitures électriques fabriquées en Chine.

La Volvo EX30 a été le troisième véhicule électrique le plus vendu en Europe l’année dernière. Il est pour le moment uniquement fabriqué en Chine, ce qui le soumet à des droits de douane européens de près de 30 %, contre 10 % auparavant.

Sa production à Gand, en Belgique, est prévue pour la deuxième moitié de 2025, ce qui va permettre à la compagnie de respirer, mais entretemps, Volvo doit absorber le coût des droits de douane supplémentaires sur les EX30 fabriqués en Chine et vendus en Europe. Ça affecte les revenus, c’est clair.

Bref, il faudra surveiller de près les performances de Volvo en 2025, tant du côté européen que du côté américain ou en plus de l’EX30, un nouveau EX90 est désormais accessible, tout comme un XC90 retouché.

Le quartier général de Volvo à Göteborg, en Suède
Le quartier général de Volvo à Göteborg, en Suède | Auto123.com

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Le texte Volvo anticipe une année 2025 plus difficile provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

L’administration Trump vient de porter un coup dur au développement des infrastructures de recharge pour véhicules électriques (VÉ) aux États-Unis. Le Département des Transports (DOT = Department of Transportation) a annoncé la suspension immédiate du NEVI (National Electric Vehicle Infrastructure), un programme fédéral de cinq milliards destiné à financer des bornes de recharge à travers le pays.

Dans une lettre adressée aux départements des transports des États, la Federal Highway Administration (FHWA) a informé que tous les plans de déploiement d’infrastructures de recharge préalablement approuvés ne sont plus valides.

Un programme essentiel remis en question

Le programme NEVI, adopté sous l’administration Biden, devait permettre aux États d’accéder à des fonds fédéraux pour développer un réseau national de bornes de recharge rapide, principalement le long des autoroutes. Quelques chiffres :

  • — 3,3 milliards de financements avaient déjà été validés pour les exercices de 2022 à 2025.
  • — 51 stations NEVI avec 224 ports de recharge sont actuellement en service dans 14 États.
  • — 999 stations supplémentaires, représentant 4600 ports de recharge, ont été planifiées avec 615 millions déjà engagés.

Toutefois, malgré ces avancées, une grande partie des fonds n’a pas encore été utilisée, laissant à l’administration Trump la possibilité de bloquer le programme.

Une station de recharge Electrify America
Une station de recharge Electrify America | Auto123.com

Une suspension aux conséquences incertaines

Selon la FHWA, l’administration Trump souhaite réévaluer les politiques du programme NEVI, rendant invalide la directive actuelle publiée en juin 2024. En conséquence :

  • — Plus aucun État ne peut engager de nouveaux fonds tant que de nouvelles directives ne sont pas publiées.
  • — Les fonds déjà engagés pourront être utilisés, mais sans possibilité de nouveaux projets pour le moment.
  • — La FHWA prévoit de publier un projet de directive au printemps, suivi d’une période de consultation publique.

Cette décision s’inscrit dans une série d’actions de l’administration Trump visant à ralentir ou annuler les politiques climatiques et les incitations à l’électrification des transports.

Une légalité contestée par les experts

Plusieurs experts et associations dénoncent une décision illégale et remettent en cause la légitimité de cette suspension.

Andrew Wishnia, ancien secrétaire adjoint pour la politique climatique au DOT, a déclaré que « L’administration a le droit de modifier les directives, mais ce mémo est en contradiction directe avec la loi. »

Ryan Gallentine, directeur général d’Advanced Energy United, a ajouté ceci : « Les États ne sont pas tenus d’arrêter ces projets uniquement sur la base de cette annonce. Nous les appelons à poursuivre le programme. »

Par ailleurs, selon la loi sur le contrôle des engagements budgétaires de 1974, un président ne peut pas bloquer des fonds votés par le Congrès, ce qui pourrait mener la décision devant les tribunaux.

Quel avenir pour le réseau de recharge aux États-Unis ?

Avec cette suspension, l’avenir du déploiement des bornes de recharge aux États-Unis est plus incertain que jamais. Les États et les entreprises du secteur comptaient sur ces financements pour étendre le réseau et soutenir l’adoption massive des véhicules électriques.

Reste à voir si la justice interviendra pour débloquer ces fonds ou si cette suspension freinera de façon durable le développement de l’infrastructure de recharge aux États-Unis.

Une station de recharge au Texas, financée par le programme NEVI
Une station de recharge au Texas, financée par le programme NEVI | Auto123.com

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Le texte Un programme de financement des bornes de recharge suspendu aux É.-U. provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Jaguar change de cap et vise le très haut de gamme avec une nouvelle famille de trois véhicules électriques ultra-luxueux, conçus pour rivaliser avec Bentley et Rolls-Royce. Le premier modèle, une GT (Grand Tourisme) quatre portes, est attendu pour la fin de 2025 et sera basé sur la nouvelle plateforme JEA (Jaguar Electric Architecture).

Cette transition marque une rupture avec l’image actuelle de Jaguar, qui cherche à séduire une clientèle plus exclusive.

Une grande familiale inspirée du concept Type 00

Le premier modèle de cette nouvelle ère a été aperçu à l’essai récemment. Son design s’inspire du concept Type 00, dévoilé en décembre 2024 lors de la semaine des arts de Miami (Miami Art Week). Ce prototype incarne la philosophie du fondateur de Jaguar, William Lyons, qui prônait de ne « copier personne ».

Ce que l’on sait du modèle de production, c’est qu’il va proposer :

  • • Un design élancé et aérodynamique, fidèle au concept Type 00
  • • Quatre portes avec vitres sans cadre, contrairement au concept qui n’avait que deux portes
  • • Un long capot en coquille et port de recharge intégré à l’aile avant
  • • Des phares et feux plus conventionnels que ceux du concept
  • • Une absence de pare-brise arrière, remplacé par une caméra de recul
  • • Des capteurs LiDAR (light detection and ranging) sur le toit, suggérant des capacités avancées de conduite assistée

Le concept Type 00 de Jaguar, lors l'essais
Le concept Type 00 de Jaguar, lors l’essais | Auto123.com

Jusqu’à 1000 chevaux

La GT électrique de Jaguar reposera sur la plateforme JEA, capable de produire jusqu’à 1000 chevaux et offrant une autonomie estimée à 690 km (430 miles selon l’EPA [Environmental Protection Agency] américaine), même avec de grandes roues de 23 pouces.

De plus, grâce à une recharge rapide en courant continu (DC), le modèle pourra récupérer jusqu’à 320 km d’autonomie en 15 minutes. Les prototypes à l’essai arborent actuellement des roues de 21 pouces chaussées de pneus hiver Pirelli P-Zero Winter 2 (265/45 à l’avant).

Jaguar vise le sommet du luxe

Jaguar mise sur une montée en gamme radicale. Le prix de départ de la GT devrait dépasser les 150 000 $ US lors de son lancement en 2026. Par la suite, la marque prévoit d’introduire un gros VUS et une berline, qui pourraient être encore plus chers.

La transformation de Jaguar en marque électrique ultra-luxueuse est en marche. Reste à voir si ce repositionnement séduira une clientèle habituée aux standards de Bentley et de Rolls-Royce.

Jaguar adopte une toute nouvelle image de marque
Jaguar adopte une toute nouvelle image de marque | Auto123.com

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Le texte Jaguar met ses futurs véhicules électriques sur la route provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Un peu plus tôt cette année, Cadillac a dévoilé le premier modèle V issu de sa division électrique. Le Lyriq-V 2026 est attendu plus tard cette année et deviendra le modèle le plus performant de l’histoire de la marque avec un chrono de 3,5 secondes pour le 0 à 100 km/h.

Et voilà que la division de luxe de General Motors (GM) travaille sur un deuxième modèle V électrique, cette fois avec le nouveau VUS compact Optiq.

Des versions camouflées du modèle ont été aperçues à l’essai, avec des détails qui indiquent clairement qu’il s’agit d’un Optiq-V. On parle d’un nouveau bouclier avant avec la présence d’un subtil becquet, ainsi que d’un motif en maille singulier pour la prise d’air inférieure.

À l’arrière, un diffuseur semble faire partie de l’équation et un aileron est visible au sommet du hayon. Un des modèles identifiés portait aussi des jupes latérales. Enfin, les disques de freins étaient plus gros et les étriers semblaient ressembler à des unités Brembo, du genre que l’on retrouve avec le Lyriq-V. La taille des roues était la même qu’avec le modèle régulier, soit 21 pouces.

Le Cadillac Optiq 2025
Le Cadillac Optiq 2025 | Auto123.com

Il faudra voir quels seront les autres éléments intégrés au modèle, des éléments que nous avons vus naître avec le Lyriq-V, que ce soit un son unique pour ce véhicule ou encore un mode de conduite qui permet de personnaliser les réglages pour la direction et la sensibilité de l’accélérateur.

Pour la puissance, il faudra voir aussi. Avec le Lyriq-V, on dispose d’un maximum de 615 chevaux et 650 lb-pi de couple. La batterie de l’Optiq est plus petite (85 kWh plutôt que 102 kWh), mais on pourrait pousser la note à la même hauteur. C’est à suivre.

On s’attend à ce que Cadillac Optiq-V fasse ses débuts dans le courant de la présente année comme modèle 2026.

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