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L’exode automobile se poursuit en Russie, Mazda étant le dernier nom en date d’une longue série de constructeurs automobiles à arrêter la production et quitter le pays. Mazda a vendu pour un euro sa participation 50/50 qu’elle avait avec russe Sollers.

Peut-être pas un départ définitif

Toutefois, ce n’est peut-être qu’un au revoir, car le contrat stipule que Mazda a la possibilité de racheter ses 50 % de parts à tout moment au cours des trois prochaines années prochaines années pour le même montant d’un euro. Des décisions similaires ont été prises plus tôt cette année par Renault et Nissan qui ont eux aussi vendu leurs coentreprises respectives pour la même somme, mais en laissant la porte ouverte à un éventuel retour un jour.

Une perte importante pour le moment

Dans le rapport financier, Mazda dit qu’il va enregistrer de 83 millions d’euros ou presque 114 millions de dollars canadiens. Le constructeur automobile japonais a cessé de livrer pièces à MSMR en mars, avant de mettre fin à ses activités un mois plus tard. Des discussions ont eu lieu entre les deux parties, mais Mazda “ne voit pas de moyen de relancer ses activités avec la guerre qui perdure.

Une usine à Vladivostok

Connue officiellement sous le nom de Mazda Sollers Manufacturing Russia, la société avait une usine à Vladivostok depuis octobre 2012, avec une capacité de production annuelle de 50 000 unités. Parmi ses produits figuraient les VUS CX-30, CX-5 et CX-9 ainsi que la berline 6. L’année dernière,

Le Macan EV 2024 sera construit sur la nouvelle plateforme Premium électrique. Le Macan EV développera une puissance maximale de 603 chevaux et un couple de 738 livres-pieds, et Porsche promet une dynamique digne des produits de la marque. La batterie de 100 kWh pourra passer de 5 à 80 % de charge en moins de 25 minutes grâce à une recharge de 800 volts.

80 % de véhicules électriques d’ici 2030

D’ici 2030, Porsche espère que plus de 80 % de ses ventes seront constituées de VE. La plateforme PPE, développée conjointement avec Audi, sera essentielle à la réalisation de cet objectif et servira de base aux voitures électriques de grand volume de Porsche. Le prochain Macan EV sera la première Porsche à rouler sur cette plateforme.

Des éléments plus compacts

Chaque Macan électrique utilisera une batterie lithium-ion montée dans le plancher du véhicule d’une capacité brute d’environ 100 kWh, composée de douze modules à cellules prismatiques. Pour gagner de l’espace, Porsche a également regroupé le chargeur CA, l’élément chauffant haute tension et le convertisseur CC/CC dans ce qu’elle appelle le boîtier d’alimentation intégré. Porsche promet que le Macan EV sera le “modèle le plus sportif de son segment”, grâce à ce que Porsche appelle un “essieu arrière performant”. Le moteur électrique arrière sera monté derrière l’essieu arrière, rappelant le positionnement du moteur à six cylindres à plat de la voiture de sport 911 et déplaçant l’équilibre des masses vers l’arrière, avec une répartition de 48/52 %. Porsche affirme

Je suis de cette génération de conducteur qui aime bien avoir le contrôle d’une voiture. J’avoue ne pas être un disciple de la voiture autonome pour une raison très simple. Pour être en mesure d’être sécuritaire, cette technologie devra être fiable à 100 %. Comme la perfection n’est pas de ce monde et que tout ce qui est mécanique connaît des failles, je suis incapable d’adhérer à cette approche.

Encore un très long chemin à parcourir

Après des décennies et des investissements estimés à 75 milliards de dollars dans le développement de technologies destinées à remplacer un jour les conducteurs humains, l’industrie automobile doit être honnête quant au rythme des capacités de conduite autonome et adapter les attentes des investisseurs en conséquence. Mercedes est la seule compagnie qui a introduit une conduite autonome de niveau 3 en Allemagne. Tout le reste de l’industrie automobile est encore au niveau 2 de 5 et personne n’ose encore mettre une date pour la réalisation d’un projet aussi titanesque.

Un objectif louable, mais une réalisation difficile

La conduite autonome promet, sur papier, d’améliorer radicalement la sécurité, d’accroître le rendement énergétique et de libérer les conducteurs pour qu’ils puissent se consacrer à des activités peut-être plus productives. Cette approche théorique devient très difficile dans la réalité. Trouver une technologie infaillible demeure un but difficile à atteindre. Une fois que cette technologie sera développée, il faudra aussi s’assurer que tout le réseau routier soit adapté, que les véhicules communiquent entre eux avec un réseau unique à

Contrairement à son pays d’origine au Japon où la C-HR a connu du succès, sa popularité chez nous n’a jamais attiré les foules. Est-ce son style excentrique, l’absence d’un rouage intégral, son prix. Bref, le modèle actuel laisse assez indifférent.

Une nouvelle cuvée plus mature

Le nouveau modèle va se coiffer d’une silhouette plus moderne, plus aboutie. Il sera plus grand que le modèle actuel. Une option de groupe motopropulseur hybride est annoncée et le VUS devrait arriver au printemps prochain comme modèle 2024.

Toyota a changé d’idée

Les rumeurs qui circulaient depuis quelques mois voulaient que le C-HR soit simplement abandonné à la fin de l’année 2023. C’est sans doute sa popularité sur d’autres marchée qui a fait en sorte que Toyota a décidée de donner une seconde chance au modèle. Selon Bestcar, la nouvelle Toyota C-HR sera légèrement plus large et plus haute que le modèle sortant. Mais ce qui est peut-être plus important, c’est que son style sera fortement inspiré du VUS compact bZ sorti en décembre de l’année dernière. Contrairement au bZ3X, également influencé par le même concept, le prochain C-HR devrait disposer d’une motorisation hybride.

Toyota n’a encore rien confirmé

Pour l’instant, étant donné qu’il s’agit de rumeurs, il semble peu probable que la C-HR se poursuive en Amérique du Nord au-delà de l’année modèle 2022 ou peut-être 2023. Toyota a récemment lancé la Corolla Cross ainsi qu’une version hybride de cette dernière, ce qui signifie qu’il y aura très peu de place pour une nouvelle

Le virage électrique semble bien amorcé chez Volkswagen. La popularité de l’ID4 en Amérique du Nord n’est probablement pas étrangère à cette situation, si bien que le groupe allemand vient de confirmer son intention de mettre en marché dix nouveaux modèles de véhicules exclusivement électriques au plus tard en 2026.

Du ID.2 au ID. Buzz

Évidemment, il reste à voir ce qui de tout ça fera le saut jusqu’en Amérique du Nord, mais on sait entre autres choses que quelques-unes des quatre nouvelles variantes de l’ID Buzz qui sont incluses dans ce plan seront mises en vente chez nous au plus tard en 2024. Une berline ID.6 de bon format devrait aussi s’ajouter au catalogue dans les prochains mois. Une berline compacte à hayon appelée ID.2 verra aussi le jour quelque part en 2025. Volkswagen en dérivera un petit VUS appelé ID.2X, et ajoutera un second VUS compact appelé ID.3X dans la foulée.

Le prix fera la différence

La petite ID.2 pourrait être quelque chose de très intéressant étant donné que Volkswagen prévoit la commercialiser à un prix de détail de 25 000 euros, soit 33 000 dollars canadiens. Ça en ferait un modèle particulièrement abordable et probablement très populaire, peu importe dans quel pays il sera vendu. Cette dernière affirmation est assez importante, car on sait que Volkswagen Canada a très peu d’influence sur les modèles qu’elle vend chez nous. Ça se décide en Allemagne, avant tout en fonction de ce dont VW America a besoin, puis ce qui

La grande nouveauté du côté des berlines chez Cadillac cette année est la mise en marché de la CT5-V édition Blackwing. Elle a droit au V8 à compresseur de 6,2 litres qu’on connait bien du côté de Chevrolet avec la Corvette et la Camaro ZL1. Elle est livrée avec une boîte manuelle à six rapports. Surtout, elle coûte entre 100 000 et 116 000 dollars.

Moins chère que la Blackwing

Pour la moitié du prix, il est possible de mettre la main sur une autre version de la CT5 qui n’est pas piquée des vers elle non plus. La CT5-V «tout court», si vous permettez l’expression. Celle-là est animée par un V6 biturbo de 3 litres qui est jumelé à une boîte automatique à dix rapports. Elle est deux fois moins puissante, à 360 chevaux, mais elle fournit quand même une performance plus que satisfaisante pour quiconque ne prévoit pas aller sur la piste avec sa Cadillac. Et comme, en fait, on ne connait aucun acheteur de Cadillac qui aime utiliser une boîte manuelle, on présume assez librement que la CT5-V répond davantage aux goûts des amateurs de la prestigieuse marque américaine qui cherchent un peu plus de «oumph» sous le capot. Cette voiture-là existe en version à deux ou quatre roues motrices.

Un modèle assez rare

Détail important : pour des raisons de capacité de production limitée, GM ne mettra en vente que 20% du total d’exemplaires prévus de cette voiture. Elle n’a peut-être pas la gueule d’une berline M de

Selon des médias américains, Tesla serait en train de mettre au point une nouvelle plateforme pour ses futurs véhicules électriques qui pourrait couper de moitié les coûts d’assemblage pour lesdits véhicules. Ça suffit évidemment à relancer les rumeurs d’une Model 2, une version meilleur marché de la Model 3 qui coûterait à l’acheteur 25 000 $ US. Ce n’est pas la première fois que Tesla fait ce genre de promesse, rappelez-vous la Tesla 3 à ses débuts.

Est-ce que cette fois sera la bonne ?

Ce prix cible a notamment été repris par des analystes financiers qui suivent de plus près les opérations de Tesla. Évidemment, leur analyse est que si Tesla arrive à réduire substantiellement le coût de production de ses véhicules, ce serait très apprécié d’à peu près tous les consommateurs si une bonne partie de cette réduction allait aussi sur le prix de vente de ses véhicules. Ce serait certainement le meilleur moyen de relancer les ventes partout dans le monde pour un constructeur qui a ces derniers mois été victime pour une première fois d’une baisse de l’intérêt à son endroit de la part des acheteurs de véhicules neufs.

Il faudra d’abord produire le véhicule

Malheureusement, rien ne dit que ce véhicule verra le jour. Et en fait, Elon Musk, le PDG de Tesla, a de son côté plutôt affirmé le contraire à au moins deux reprises plus tôt cette année. Le seul hic avec Musk est qu’il peut aussi bien changer son fusil d’épaule à tout

Poser la question, c’est y répondre. C’est pourtant ce que vient de faire la filiale d’Alimentation Couche-Tard aux États-Unis, Circle K.

Un endroit pratique et fréquenté

La société de cannabis Green Thumb Industries s’est associée avec Circle K pour mettre sur pied des magasins de marijuana dans un petit nombre de stations-service en Floride l’année prochaine. Seuls les consommateurs de marijuana à des fins médicales pourront acheter les produits du cannabis, compte tenu des règles actuelles de l’État. Plus de 700 000 personnes en Floride ont une licence de marijuana médicale. Green Thumb Industries que d’acheter du « pot » à la station- service offre les mêmes avantages que faire l’achat de grignotines ou du lait ou du pain, c’est pratique.

Une dizaine d’autres stations l’an prochain en Floride

À partir de 2023, une dizaine de Circle K s’associeront avec le détaillant de cannabis légal Green Thumb Industries pour proposer des produits à base d’herbe en magasin. Plus besoin de rencontrer un type à l’arrière après la fermeture du magasin. Les nouveaux magasins Rise Express que Green Thumb ouvrira dans certaines stations-service seront comme une version plus petite des boutiques qui ont déjà pignon sur rue, un sorte de SAQ express du cannabis.

Des plans d’expansion

Green Thumb exploite actuellement un petit nombre de magasins de détail et a déclaré qu’il pourrait étendre le nombre de ses dispensaires Rise Express puisque Circle K gère environ 600 magasins en Floride. L’herbe sera cultivée dans le centre de culture de Green Thumb à Ocala, qui

C’est le double des prévisions qui avaient été faite par Reuters, il y a seulement un an. Ce montant inclut le développement des batteries et les matières premières nécessaires à cette production, selon l’analyse de Reuters

Plus de 54 millions de véhicules seront construits

Les constructeurs automobiles ont prévu de construire 54 millions de véhicules électriques à batterie en 2030, ce qui représente plus de 50 % de la production totale de véhicules, toujours selon Reuters. Pour être en mesure de soutenir un tel rythme de production, les constructeurs automobiles auront besoin de 5,8 térawattheures de capacité de production de batteries d’ici 2030, selon les données de Benchmark Mineral Intelligence et des constructeurs.

Tesla mène le bal

Elon Musk a présenté un plan audacieux visant à construire 20 millions de véhicules électriques en 2030, ce qui nécessiterait environ 3 térawattheures de batteries. Fin octobre, M. Musk a déclaré que Tesla travaillait déjà sur une plateforme de véhicules plus petits qui devrait coûter deux fois moins cher que le Model 3 et le Model Y. Ce qui veut dire que Tesla multiplierait par 13 sa production actuelle qui tourne autour de 1,5 million de véhicules.

Volkswagen tout près derrière

Le géant Volkswagen qui ambitionne déjà de devancer Tesla dans un proche avenir a annoncé qu’il va dépenser 100 milliards de dollars pour développer son portefeuille mondial de véhicules électriques, ajouter de nouvelles grandes usines de batteries en Europe et en Amérique du Nord et sécuriser l’approvisionnement en matières premières clés.
Toyota

C’est une saga qui semble interminable pour les propriétaires touchés. Hyundai et Kia ont mis de côté 2,9 trillions de wons (2 milliards de dollars US) au troisième trimestre pour couvrir les problèmes liés aux moteurs GDI Theta défectueux.

Un problème qui coûte cher

Comme le rapporte Bloomberg, Hyundai a consacré 900 millions de dollars US à cette affaire, soit 44 % des bénéfices estimés du constructeur au troisième trimestre. La part de Kia s’élève à 1,1 milliard de dollars supplémentaires, soit 66 % de ses bénéfices estimés pour ce trimestre.

Des moteurs 4 cylindres qui continuent de donner des maux de tête

Hyundai et Kia sont collectivement confrontés à des problèmes avec les moteurs GDI Theta depuis des années maintenant, en particulier les modèles Theta II de 2,0 litres et 2,4 litres. Les problèmes sont principalement liés à des défauts de fabrication des vilebrequins. Des copeaux et des parcelles métalliques provenant du processus de fraisage du vilebrequin étaient laissés sur place et pénétraient dans les canaux d’huile du moteur. Avec le temps, ce matériau peut bloquer l’écoulement de l’huile vers certaines parties du moteur, provoquant une usure accélérée et une éventuelle défaillance des roulements.

Des millions de moteurs touchés

Environ 2,4 millions de Hyundai et 1,8 million de Kia sont potentiellement concernées par ces problèmes, ce qui constitue un énorme problème pour les entreprises. Un recours collectif a finalement été intenté contre les entreprises, couvrant une série de modèles Hyundai et Kia construits de 2011 à 2019. En conséquence, un