Tout comme la pandémie qui semble interminable, la pénurie de puces électroniques va continuer de donner des maux de tête au monde de l’automobile. Dans une entrevue accordée au quotidien allemand Boersen-Zeitung, le directeur financier du groupe Volkswagen, Arno Antlitz souligne que l’offre de puces à semi-conducteurs ne sera probablement pas suffisante pour satisfaire à nouveau complètement la demande avant 2024.

Un début de rétablissement

Selon lui, même si les goulots d’étranglement commenceront probablement à se résorber vers la fin de cette année, avec un retour aux niveaux de 2019 l’année prochaine, cela ne suffira pas à répondre à la demande accrue pour les puces.

Il n’y a pas que les puces

Le manque de faisceaux de câbles en provenance d’Ukraine continue également d’entraîner la fermeture de certains modèles et des retards de production, a indiqué M. Antlitz, même si l’entreprise établit de nouvelles relations avec des fournisseurs pour s’approvisionner en composants dans d’autres pays.

Le texte La pénurie de puces électroniques va se poursuivre jusqu’en 2024 selon Volkswagen provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Peu de marques de voiture ont eu autant de publicité que Hummer. Cet utilitaire à la carrière militaire a connu son heure de gloire durant la guerre du Golfe. Une première version civile est arrivée en 1992. GM a racheté la marque Hummer d’AM General en 1998 pour produire des modèles H2 et H3. En 2008, GM annonce la fermeture des usines et tente sans succès de vendre Hummer à une compagnie de travaux publics chinoise. Hummer disparaît en 2010. Douze ans plus tard, le nom revient chez GMC et redevient le centre d’attraction, mais tout en silence. Voici, le nouveau Hummer EV 100 % électrique.

Toujours aussi gros

Avec 5,5 mètres de long, 2,2 mètres de large et 2 mètres de haut, l’espace ne pose pas de problème. Certains amateurs de camionnettes trouveront sans doute la boîte à l’arrière un peu courte. Pour comparer avec des modèles connus, disons que le GMC Sierra a un peu plus de place pour bouger à l’avant, alors que le Hummer EV bénéficie d’un peu plus d’espace pour les jambes à l’arrière. Vous avez aussi pour le modèle Edition1 quatre panneaux amovibles de toit qui font du véhicule un modèle décapotable surtout pratique pour la Floride, la Californie ou l’Arizona. Nous craignons que ces panneaux gèlent chez nous l’hiver. Ils s’enlèvent en un tour de main et se logent dans des étuis spécialement prévus à cet effet dans le coffre à l’avant. Conduire sans toit ajoute une grande impression d’espace.

La technologie a vu à certaines lacunes de beaucoup de conducteurs. Depuis la venue des détecteurs d’angles morts, vos rétroviseurs vous avertissent lorsqu’un autre véhicule se présente dans l’environnement de votre voiture. Pour mettre toutes les chances de votre côté, il faut au départ trouver une bonne position de conduite et ensuite de bien ajuster vos rétroviseurs.

Une bonne position de conduite est essentielle

Pour bien voir, il faut être bien assis. Une idée qui semble simple, mais bien des gens ne suivent pas cette consigne de base. Pour savoir si votre position de conduite est bonne, assurez-vous que votre pied droit soit sous la pédale de frein alors que le genou est légèrement fléchi. Il faut toujours freiner en appliquant la force de la cuisse et non du pied. Vient ensuite la position des mains sur le volant, les bras un peu pliés, les deux mains à 10 h 10. À partir de cette position des mains, on ajuste le dossier afin que les épaules y soient bien appuyées. Profitez aussi de l’occasion pour bien ajuster l’appuie-tête c’est-à-dire le haut de l’appuie-tête au niveau du haut de la tête.

La vision à 360 degrés

Une fois que votre position de conduite est bien déterminée, il faut ajuster les rétroviseurs. Encore beaucoup de gens ajustent les rétroviseurs où chacun offre à peu de chose près le même champ de vision. C’est une erreur qu’il faut éviter. Cette façon de faire laisse des angles morts très importants et exige un mouvement

Comment faire pour vendre ou acheter un véhicule usagé dans le marché de fou qu’on connaît ces jours-ci au Québec? On a peut-être un bon tuyau pour vous, peu importe si vous souhaitez vendre ou acheter, en fait.

Un inspecteur qui fait le travail pour vous

Pas besoin de rappeler que le marché québécois des véhicules usagés est en ce moment au moins autant en ébullition sinon plus que celui des véhicules neufs. La hausse du prix moyen des véhicules usagés est depuis deux ans bien supérieure à celle du prix moyen des véhicules neufs. En même temps, on assiste à un effet de rareté provoqué par une pénurie du côté du neuf, justement.

Peu importe ce qu’on souhaite acheter, quand on magasine, on le sait, le pouvoir appartient à la personne qui détient la meilleure information sur le produit convoité. Et dans le marché des véhicules usagés, on peut obtenir cette information en procédant à une bonne inspection de son véhicule. Un inspecteur de Kiwiz va s’assurer que le véhicule que vous avez envie d’acheter est en parfait état et vous fera un rapports complet de son état, les réparations qu’il y a à faire ou non.

Et à partir de là, on peut conclure une transaction qui fera l’affaire de tout le monde. Or, bien des gens vont donner le proverbial «coup de pied dans le pneu» et laisser faire l’inspection essentiellement parce que ce processus est un peu fastidieux. Et c’est là où entre en scène

Un des effets inattendus de l’invasion de l’Ukraine par la Russie est le prix des métaux utilisés dans les voitures. De l’aluminium dans la carrosserie au palladium dans les convertisseurs catalytiques en passant par le nickel de haute qualité dans les batteries des véhicules électriques. Les automobilistes risquent de payer cette facture qui sera élevée.

Un dommage collatéral

Alors que les métaux n’ont pas encore été la cible des sanctions occidentales, plusieurs expéditeurs et fournisseurs de pièces automobiles évitent déjà les marchandises russes, ce qui accroît la pression sur les constructeurs automobiles, déjà ébranlés par la pénurie de puces et la hausse des prix de l’énergie. Cela crée une pénurie de matériel qui fait grimper le prix. L’aluminium et le palladium ont tous deux atteint des niveaux record lundi, tandis que le nickel, qui est également utilisé pour fabriquer de l’acier inoxydable, a franchi la barre des 100 000 dollars la tonne pour la première fois.

Le coût de l’aluminium en hausse de 60 %

Le coût de l’aluminium a augmenté de 60 % dans les 4 derniers mois. Les fonderies sont maintenant dans l’obligation de revoir les prix négociés avec des fournisseurs il y a quelques mois seulement. Le directeur général de Stellantis, Carlos Tavares, a déclaré qu’une fin de la pénurie de puces pourrait aider les constructeurs automobiles à compenser la hausse des prix des métaux et de l’énergie, mais il ne s’attend pas à une résolution des problèmes liés aux semi-conducteurs cette année.
La Russie est un grand fournisseur de