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Nous sommes heureux de vous présenter une nouveauté excitante sur notre plateforme Canadamotorjobs.com. Désormais, nous remplaçons l’option traditionnelle “Salaire à discuter” par une formule plus innovante et centrée sur vous : “Postuler à vos conditions”.

  • Sous compacte électrique présentés au salon de Shanghai
  • Elle se nomme Seagull et est fabriquée par la compagnie Chinois BYD
  • Elle coûte un peu plus de 15 000 $ et peut faire 300 km

Cette sous-compacte au allures sympathiques se nomme Seagull (mouette). Elle est commercialisée par le fabricant chinois BYD et coûte 78 000 yuans ou 15 280 $.

Un style jeune

Présentée au salon de l’automobile de Shanghai, la BYD Seagull prend la forme d’une voiture compacte à hayon qui mesure 3 780 mm de long, 1 715 mm de large et 1 540 mm de haut, et arbore un design agressif qui devrait séduire les jeunes consommateurs chinois. Elle présente également un profil latéral assez spectaculaire avec des jantes et des passages de roues noirs, des lignes s’étirant en diagonale le long des portes, des poignées affleurantes et des vitres latérales arrière qui s’étendent vers le haut jusqu’à d’épais montants C avec un accent noir.

Une batterie au sodium

L’une des principales caractéristiques de la batterie de base 30 kWh est qu’il s’agit du premier modèle BYD à utiliser la chimie des batteries sodium-ion, moins coûteuse à fabriquer. Compte tenu du prix de départ peu élevé de la voiture, il n’est pas surprenant que l’intérieur soit plutôt minimaliste. Il offre néanmoins de nombreuses fonctionnalités, notamment un écran d’infodivertissement de 12,8 pouces, un tableau de bord numérique de 5 pouces, un socle de recharge sans fil et deux porte-gobelets. Ce modèle ne viendra pas chez nous, mais il est intéressant de constater que la technologie des piles au sodium commence à faire son chemin dans les modèles de production

Plus de 300 km d’autonomie

La Seagull repose sur la dernière plateforme EV de troisième génération de BYD et sera vendue en Chine avec deux options différentes de moteur électrique et de batterie. Le modèle d’entrée de gamme sera équipé d’un moteur de 74 ch aux roues avant, tandis que l’autre option portera cette puissance à 100 ch. Des batteries de 30 et 38 kWh seront également proposées. Malgré la taille compacte de ces batteries, la version 30 kWh aura apparemment une autonomie de 306 km tandis que la version 38 kWh a été évaluée à 405 km. Les deux modèles sont compatibles avec la recharge rapide en courant continu et peuvent être rechargés à 80 % en seulement 30 minutes.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte Une voiture avec batteries au sodium à 15 000 $ au Salon de l’auto de Shanghai provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Un VUS et un véhicule multisegments électriques seraient dans les plans pour la gamme bZ de Toyota, si on se fie à ce que le groupe japonais a présenté au Salon de l’auto de Shanghai. Les nouveautés font partie de la stratégie globale de Toyota qui consiste à mettre en marché dix nouveaux véhicules entièrement électriques d’ici 2026, ce qui, quand on y pense, s’en vient vite.

Toyota espère vendre 1,5 million de véhicules électriques sur une base annuelle au plus tard dans trois ans, ce qui est tout aussi ambitieux.

Et les deux nouveaux venus devraient l’aider à atteindre cette cible-là en séduisant des acheteurs situés en Chine, là où ils seront éventuellement vendus. On n’a pas parlé du marché nord-américain, autrement que pour dire qu’un VUS tout électrique à trois rangées de sièges sera lancé chez nous au plus tard en 2025.

D’ailleurs, parlant du marché nord-américain, Toyota a révélé que la prochaine génération de sa technologie hybride branchable permettra à des modèles comme la Prius Prime d’atteindre une autonomie électrique de 200 kilomètres par charge. C’est plus que le double de ce que la toute nouvelle Prius Prime peut parcourir sur une seule charge à l’heure actuelle. On a hâte de voir quand cette technologie-là sera mise en marché.

Pour en revenir aux deux modèles bZ dévoilés à Shanghai, il s’agit de deux véhicules concepts, appelés Sport Crossover Concept et FlexSpace Concept. Le Crossover Concept est un véhicule d’allure plus sportive qui s’adressera à de jeunes acheteurs qui recherchent un véhicule plus amusant à conduire que pratique à utiliser.

Le FlexSpace Concept est un peu l’inverse. Il s’agit d’un véhicule familial qui se veut très utile. Toyota promet beaucoup d’espace utile et surtout, une très longue autonomie entre deux charges.

Ces deux nouveaux modèles devraient être mis en marché en Chine au courant de 2024, et peut-être en Europe ensuite. Tout indique qu’ils ne seront pas vendus chez nous, mais ça peut changer.

Le texte Toyota dévoile deux nouveaux modèles pour sa gamme bZ provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ça continue de bouger au sein de Polestar, la division tout électrique du groupe chinois Geely. Ses dirigeants ont profité du Salon de l’auto de Shanghai pour dévoiler le Polestar 4, un VUS coupé électrique dont la production va commencer en novembre prochain, et qui sera vendu chez nous plus tard en 2024. D’ailleurs, Polestar se laisse jusqu’au début 2024 pour nous livrer les derniers détails exacts concernant ce modèle.

Ce que nous savons

Ce qu’on sait déjà, c’est qu’il coûtera environ 60 000 $US, soit 80 000 $CA, du moins en version de base. On verra rendu là si Polestar prévoit commercialiser d’abord des versions plus équipées et donc, plus coûteuses que ce prix de base suggéré, mais quand même, ça situe un peu le modèle dans le marché encore tout jeune des petits VUS électriques de luxe. Au sein de la gamme Polestar, le nouveau venu se situe, en termes de dimensions, entre la Polestar 2, qu’on connait déjà assez bien, et le Polestar 3, qui est un VUS aux formes plus classiques. Le 4 est environ 1,5 centimètre moins long que le 3, pour vous donner une idée.

Mais pour vous mélanger un peu, parce que pourquoi pas, si on nomme les véhicules Polestar par ordre de grandeur, on a donc : Polestar 2, Polestar 4 et Polestar 3. J’ai hâte de voir si les Polestar 5 et 6, un coupé GT et un roadster, vont mêler un peu plus les cartes de ce côté-là…

Mais peu importe. Le Polestar 4 est conçu pour accueillir très confortablement quatre passagers, et même à l’arrière, la banquette s’incline pour plus de confort (et de dégagement pour la tête). La forme coupée fait qu’on ne voit rien vers l’arrière, et pour compenser, Polestar a remplacé le rétroviseur par un petit écran qui affiche l’image qui provient d’une caméra logée à l’arrière, au haut du hayon.

Polestar promet une meilleure visibilité, vu que l’image a un plus grand angle de vision que ce qu’une lunette arrière offre, généralement. Mais les conducteurs qui aiment voir avec les yeux où ils s’en vont, ça risque d’être agaçant.

Côté écolo, Polestar dit que le véhicule est composé de matériaux fabriqués selon une méthode à faible émission en carbone. Il y a beaucoup de matières recyclées, aussi.

Sous le capot, pour dire ça comme ça, on a droit à deux moteurs, pour une puissance de 544 chevaux et un couple de 506 livres-pied. Une version à un seul moteur, d’une puissance de 272 chevaux, est aussi offerte. Les deux moteurs permettent de boucler le 0-100 km/h en 3,8 secondes, ce qui est très rapide.

La pile fait 102 kilowatts-heure, qu’on opte pour un ou deux moteurs. L’autonomie maximale anticipée par Polestar est de 480 km par charge. La voiture est aussi dotée d’un chargeur bidirectionnel, ce qui lui permettra de redonner de l’électricité à votre maison ou votre chalet s’il y a une panne de courant.

Le texte Un VUS du nom de Polestar 4 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Des chiffres encourageants, mais les analystes avertissent qu’il pourrait y avoir encore des obstacles à franchir au moment où les constructeurs automobiles commencent à réduire leur production.

On retrouve un rythme de croisière

C’est avec un optimiste prudent que DesRosiers Automotive Consultants (DAC) confirme que les constructeurs automobiles ont vendu environ 348 000 véhicules au cours des trois premiers mois de 2023 a Canada, soit une hausse de 5,2 % par rapport à la même période de l’année précédente. Il faut exclure Porsche de l’équation qui va communiquer ses chiffres au milieu du mois.

GM en tête

General Motors a réalisé la meilleure performance parmi au cours du premier trimestre. Les ventes ont augmenté de 28,1 % pour atteindre 61 093 unités. Les ventes de Buick ont augmenté de 143 %, ce qui les place en tête de toutes les marques de GM. Les ventes de Chevrolet ont augmenté de 27,5 %, celles de Cadillac de 24,8 % et celles de GMC de 20,3 %.

REPRISE DE L’ÉCONOMIE

Deux nouvelles enquêtes de la Banque du Canada, publiées en avril, ont révélé que les consommateurs s’attendent à ralentir leurs dépenses, tandis que les entreprises ont des perspectives de ventes modérées. Toutefois, les répondants à l’une des enquêtes – l’Enquête canadienne sur les perspectives de consommation – s’attendent à un ralentissement de l’inflation pour les biens tels que l’essence et les véhicules.

Comparé des pommes avec des oranges

Certains avertissent que si les chiffres totaux semblent bons, ils sont comparés à une période entachée par les blocages COVID-19, une pénurie mondiale de puces et un resserrement des stocks. Par ailleurs, d’autres avertissent que de nouveaux obstacles se dressent sur la route d’une reprise complète. Les variations des ventes parmi les marques à plus fort volume pour le trimestre varient de 38,1 % pour Kia à 25,8 % pour Honda, en fonction de “la mesure dans laquelle les différents constructeurs automobiles ont été en mesure d’obtenir des stocks a varié considérablement d’un acteur à l’autre”, a déclaré la DAC.

DE NOUVEAUX DÉFIS À RELEVER

Le virage vers le tout électrique pose de nouveaux défis. Les pénuries et les problèmes de la chaîne d’approvisionnement risquent de se multiplier à mesure que l’industrie s’orientera vers l’électrification, ce qui stimulera la demande de minerais essentiels. Plusieurs commencent à croire que l’industrie automobile va manquer de temps pour atteindre les objectifs de 2035.

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

Le texte Les ventes automobiles au Canada augmentent de 5 % au premier trimestre provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Une première mondiale débute à Montréal. Un projet pilote mis sur pied par une compagnie de Dubaï du nom de Cafu. Cafu est une application de livraison de carburant et de service de voiture à la demande. La compagnie couvre tous les besoins en matière de voitures. Elle livre du carburant, de l’huile moteur, des batteries, fait des changements de pneus, de l’assurance automobile et même du carburant d’urgence, le tout dans une seule application. Pour couvrir encore plus de possibilités, CAFU va maintenant livrer de l’électricité. Si votre voiture électrique est en panne d’électricité un Ford E- Transit transformé en génératrice mobile ira vers vous.

Une première mondiale à Montréal

Le projet pilote a débuté cette semaine à Montréal. Il s’agit d’un service auxiliaire à la recharge traditionnelle des VÉ, et l’entreprise espère obtenir une licence pour cette technologie dans toute l’Amérique du Nord. Le projet pilote permettra à Cafu de tester l’expérience de l’utilisateur et la fonctionnalité de l’application, comme le rapporte Electric Autonomy. Le Ford E-Transit est doté d’une batterie de 140 kWh qui peut fournir une charge rapide de 50 kW aux véhicules équipés d’un connecteur Tesla ou CCS. L’E-Transit utilise le même ensemble ABB E-Mobility que celui utilisé dans la série de courses de Formule E. Les utilisateurs peuvent réserver le service via l’application Cafu, et le véhicule peut charger entre huit et dix véhicules par jour.

Un partenaire québécois

Cafu s’est associé à l’Institut du véhicule innovant (IVI), basé au Québec, pour développer, tester et piloter le Cafu En Charge à la fin de l’année 2021. Plus tôt ce mois-ci, l’entreprise de Dubaï a présenté le prototype lors de la conférence International Summit on Electric and Smart Transportation à Saint-Jérôme. Le même prototype sillonne les routes de Montréal depuis quelques jours.

Le Québec, une « porte d’entrée » idéale

Cafu qui offre tous les services reliés à l’auto dit recevoir environ 20 000 demandes par jour. Lorsqu’est venu le temps de décider où étendre ses activités à l’échelle mondiale, Cafu a vu le Québec comme la porte d’entrée idéale sur le marché nord-américain et a vu une occasion de développer un nouveau service pour les utilisateurs de véhicules électriques. Le projet pilote de Montréal sera le premier test de Cafu En Charge avec des clients. L’objectif est de mieux évaluer l’expérience et de tester les fonctionnalités de l’application. L’objectif à long terme est d’ajouter plus de véhicules avec des batteries de différentes tailles afin de cibler différents utilisateurs et desservir plus de clients, tant au Québec que dans d’autres villes au Canada et aux États-Unis. Cafu prévoit se développer grâce à des accords avec différentes sociétés dans différentes régions.

Avec des renseignements de drive Tesla Canada et l’AVEQ

Le texte Si vous ne pouvez pas vous rendre au chargeur, le chargeur ira à vous provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Après avoir construit des bolides pour battre des records de vitesse absolue, des motos de haute performance et même un fourgon d’exploration polaire, tous animés par des motorisations électriques, Venturi se prépare aujourd’hui à aller sur la Lune. Cette entreprise monégasque spécialisée dans le développement de VÉ novateurs s’affaire à la préparation d’un tout-terrain lunaire appelé Flex.

En 2026, le Flex (ou Flexible logistics and exploration) prendra la direction de l’astre céleste à bord d’une fusée Starship de l’entreprise étatsunienne SpaceX. Une fois déposé à la surface lunaire, il servira à des expériences scientifiques et des activités commerciales.

Les défis de l’environnement lunaire

La surface lunaire impose une multitude de défis à la conception de ce VÉ. Par exemple, le Flex devra être fiable à très long terme, supporter des températures variant de -90°C à -230°C, résister aux radiations et même pouvoir opérer pendant quinze jours dans l’obscurité du pôle Sud de la lune.

Il y a aussi des contraintes liées aux différentes façons de l’utiliser. En effet, ce tout-terrain devra tout aussi bien pouvoir être conduit de manière semi-autonome par les astronautes présents sur la Lune ou encore être commandé, soit depuis la future station spatiale placée en orbite autour de l’astre, soit depuis la Terre.

Fruit d’un partenariat

C’est en 2019 que le programme de tout-terrain lunaire électrique a été imaginé puis mis en place à l’initiative de Gildo Pastor, le président du Groupe Venturi. Depuis, diverses entités du groupe se sont mises à contribution pour le développer.

Venturi Lab, une filiale suisse, a été fondée deux ans plus tard pour mettre au point des matériaux résistants aux conditions extrêmes (basses températures et radiations), des panneaux solaires hautes performances, des roues déformables et des systèmes de contrôle électrique.

Par ailleurs, Astrolab Venturi, la filiale californienne du groupe (qui a réalisé la vidéo ci-dessus), conçoit l’architecture du véhicule, sa structure primaire et ses mécanismes, en plus de développer son logiciel et son avionique, de l’assembler et d’effectuer les tests de validation.

Enfin, le Groupe Venturi à Monaco se consacre aux batteries de haute performance en partenariat avec Venturi North America, sa filiale étatsunienne basée en Ohio.

À l’issue de cette mission, ce tout-terrain sera le plus gros et le plus performant jamais envoyé sur la Lune, affirme Gildo Pastor, dans un communiqué publié par Venturi le 31 mars dernier.

Photos : Astrolab Venturi

Le texte Venturi se prépare à aller sur la Lune avec le Flex provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La société québécoise Uni-Sélect, le plus grand fournisseur canadien de produits de finition automobile, de peinture industrielle et de plus de deux millions de pièces de rechange dans l’industrie automobile, est sur le point d’être achetée par la société américaine LKQ Corporation pour environ 2,8 milliards de dollars.

Établie au Québec et basé à Chicago

Basée à Chicago, LKQ fournit des pièces de rechange et des pièces recyclées, en se concentrant principalement sur les VR, les camions et le tout-terrain et le remorquage. Les activités nord-américaines de Uni-Select dans le domaine de la peinture de finition automobile et de la distribution de pièces mécaniques complètent l’empreinte existante de LKQ La division FinishMaster d’Uni-Sélect fournit des produits de peinture et de refinition aux concessionnaires automobiles, aux centres de réparation des collisions et aux exploitants de parcs automobiles, principalement aux États-Unis.

Une transaction qui profite aux deux compagnies

LKQ affirme que FinishMaster ” améliore l’échelle et la gamme de produits de LKQ afin de concurrencer dans ce segment attrayant et en croissance avec un risque d’intégration minimal. “Le prix de la transaction de 48 $ par action représente une prime de 19,2 pour cent par rapport au cours de clôture de l’action Uni-Select le 24 février 2023. LKQ a l’intention de financer la transaction par une combinaison d’espèces en main et de nouvelles dettes.

En attente d’une approbation

La transaction, qui doit être approuvée par les actionnaires, nécessite également des autorisations antitrust au Canada, aux États-Unis et au Royaume-Uni, ainsi qu’une approbation en vertu de la Loi sur Investissement Canada. Dans le cadre de cette transaction, LKQ indique qu’elle cherchera à vendre GSF Car Parts U.K., l’entreprise de distribution de pièces mécaniques d’Uni-Select au Royaume-Uni.

Avec des renseignements de la Presse canadienne

Le texte Uni-Sélect passe aux mains d’un groupe américain provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Saviez-vous que la somnolence et la fatigue au volant sont encore les principales causes d’accidents mortels. Près de 10 % de tous les accidents mortels sont causés par la fatigue au volant. Et c’est selon plusieurs spécialistes après les repas que nous sommes les plus sujets à s’endormir.

Fatigue ou somnolence : ce n’est pas la même chose

La première est la difficulté à rester concentrée, la deuxième est la difficulté à rester éveillée, avec comme conséquence le risque de s’endormir. Il faut savoir reconnaître les signes ou les symptômes somme les yeux qui ferment tout seul, le manque de vigilance, le picotement aux yeux, bâillements, tête qui devient lourde, raidissement de la nuque, douleurs dans le dos, regard qui se fige, ou encore besoin de changer régulièrement de position au volant.

Ne pas attendre qu’il soit trop tard

Dès les premiers signes annonciateurs, il faut agir rapidement. Le conducteur devrait toujours s’arrêter, car le risque d’accident devient alors très élevé et est multiplié selon les études par trois ou quatre fois. Les effets de la fatigue ont plusieurs conséquences : augmentation du temps de réaction, baisse de la vigilance et dégradation de l’attention, et difficulté à maintenir sa trajectoire et sa vitesse.

10 Trucs pour éviter la fatigue au volant

  1. Écouter de la musique ou une émission de radio qui vous tient éveillé.
  2. Garder les fenêtres ouvertes pour laisser l’air frais entrer.
  3. Faire une pause pour marcher et s’étirer régulièrement.
  4. Manger des aliments à teneur élevée en protéines et en glucides.
  5. Éviter de conduire pendant les heures où vous êtes habituellement fatigué.
  6. Faire des exercices respiratoires simples pour aider à vous maintenir éveillé.
  7. Éviter les boissons alcoolisées et les médicaments qui peuvent vous rendre somnolent.
  8. Utiliser des équipements électroniques ou des aides à la conduite, comme des systèmes de navigation, pour vous aider à rester concentré.

9.Prendre de la caféine si vous devez rester sur la route

10— Arrêter dans un endroit sûr et dormez, vous irez mieux à votre réveil

Le texte 10 trucs pour ne pas vous endormir au volant provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le 22 février 2022, Facebook a fermé son service de publication d’offres d’emploi, connu sous le nom de Facebook Jobs mais jusqu’à aujourd’hui, le Canada avait été épargné par cette fermeture.

La fin de cette fonctionnalité d’affichage va sûrement en surprendre plusieurs qui avaient l’habitude de l’utiliser pour publier des offres d’emploi et pour atteindre des candidats potentiels sur la plateforme.