General Motors a officiellement ordonné l’arrêt de vente et le rappel complet de tous ses camions et VUS pleine grandeur des années-modèles 2021 à 2024 équipés du moteur V8 6,2 litres L87. Cette mesure intervient après une vague de rapports d’utilisateurs signalant des pannes moteur totales, entraînant une enquête de la NHTSA dès janvier. Dans un bulletin aux concessionnaires, GM a précisé que les modèles Cadillac Escalade, Escalade ESV, Chevrolet Silverado 1500, Suburban, Tahoe ainsi que les GMC Sierra 1500, Yukon et Yukon XL étaient concernés.
« Les composants du moteur, notamment la bielle et/ou le vilebrequin, peuvent présenter des défauts de fabrication pouvant causer des dommages au moteur et une panne en cours de route, augmentant ainsi le risque d’accident », a indiqué GM dans sa communication.

Les mesures correctives en place

Les véhicules qui passent l’inspection devront recevoir une huile moteur plus lourde (0W-40 au lieu de 0W-20), un nouveau bouchon d’huile, ainsi qu’un insert d’information pour le manuel du propriétaire avant d’être remis en vente. Un porte-parole de GM a confirmé que « la sécurité et la satisfaction des clients demeurent les priorités absolues de l’entreprise », ajoutant que GM travaille activement à résoudre ce problème de fabrication.

Une enquête fédérale et des impacts à long terme

La National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) avait ouvert plus tôt cette année une « évaluation préliminaire » portant sur les véhicules GM de 2019 à 2024 équipés du moteur L87, après avoir reçu près de 350 plaintes de consommateurs. Bonne nouvelle pour les acheteurs potentiels : les modèles 2025 semblent épargnés. Une source interne indique que les moteurs 6,2 L des modèles 2025 sont issus d’outillages mis à jour, éliminant le défaut initial.

Une pénurie persistante de modèles 2025 équipés du V8 6.2 litres

Cependant, l’impact sur la chaîne d’approvisionnement est tangible. Alors que les inventaires de camions et VUS GM 2025 sont disponibles chez les concessionnaires, les exemplaires dotés du V8 6,2 L sont rares. Cela s’explique par le traitement simultané du remplacement des moteurs défectueux pour les clients existants.

Avec des renseignements de The Drive

Le texte GM ordonne un arrêt de vente pour les V8 6,2 L défectueux dans les camions et VUS 2021-2024 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Hyundai Motor Co. a récemment confirmé avoir transféré une partie de la production du Hyundai Tucson destiné au marché canadien des États-Unis vers le Mexique. Cette décision vise à limiter les effets des nouveaux tarifs douaniers sur son activité, comme l’a annoncé le constructeur lors de son appel de résultats du premier trimestre, le 24 avril. Hyundai Auto Canada a validé ce changement d’approvisionnement sans toutefois préciser le nombre exact de véhicules concernés.

L’impact des tarifs douaniers nord-américains

Au premier trimestre 2025, Hyundai Canada avait importé 3 598 Tucson de son usine de Montgomery, en Alabama, selon l’Automotive News Research & Data Center de Détroit. À cela s’ajoutaient 4 636 unités provenant d’outre-mer, sans aucune importation depuis le Mexique à ce moment-là. Ce changement de stratégie est une réponse directe aux nouvelles barrières commerciales instaurées en Amérique du Nord. Depuis le 3 avril, le président américain Donald Trump a mis en place des tarifs allant jusqu’à 25 % sur les véhicules importés aux États-Unis. Le Canada a rapidement répliqué avec des contre-mesures le 9 avril.

Production adaptée sans réduire l’activité américaine

Bien que Hyundai réduira les exportations du Tucson des États-Unis vers le Canada, la production de l’usine d’Alabama ne devrait pas diminuer. En effet, Hyundai a aussi réaffecté une partie de la production de Tucson fabriqués au Mexique, destinés initialement aux États-Unis, vers Montgomery, en Alabama, pour contourner les tarifs américains.

Le Tucson, un modèle clé pour Hyundai Canada

Le Tucson reste un pilier des ventes pour Hyundai au Canada, représentant environ 25 % des ventes au premier trimestre 2025. C’est aussi l’un des trois modèles produits en Alabama pour le marché canadien, aux côtés du Santa Fe et du Santa Cruz. Toutefois, ces deux derniers ne sont pas fabriqués au Mexique. Hyundai continue donc d’évaluer l’impact des tarifs sur leur importation.

Brad Ross souligne que Hyundai Canada, qui compte plus de 250 concessionnaires à travers le pays, est « bien positionnée pour s’adapter aux changements et pivoter en fonction de la demande du marché ».

Un contexte qui bouleverse l’industrie automobile

Hyundai n’est pas seul à ajuster sa production. Mazda Canada a annoncé une pause dans la production de son CX-50 à son usine d’Alabama à compter du 12 mai, à moins d’un changement rapide dans les politiques tarifaires. De son côté, Subaru Canada augmentera ses importations en provenance du Japon dès l’année-modèle 2026 pour réduire sa dépendance à son usine américaine de Lafayette, Indiana.

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

Le texte Hyundai Canada déplacera l’importation de certains Tucson vers le Mexique pour éviter les tarifs douaniers provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

On a parlé dernièrement comment acheter une voiture ancienne chez un marchand spécialisé, ou sur MarketPlace. Maintenant on va discuter de comment acheter une voiture ancienne en pièces, démontée entièrement sur MarketPlace ou autres plateformes semblables.

La voiture que vous convoitée se trouve dans un rayon assez large, et c’est LE modèle que vous voulez, alors vous vous dites ‘’ ça me tente, ça a l’air correct’’. Vous contacter le vendeur…

Pour ceux qui n’ont pas vue l’annonce, le descriptif le voici : Pontiac 1948 convertible, a toutes les pièces, moteur rebâtie, et transmission aussi, carrosserie décapée et antirouille appliquée. Et très important, a les papiers.

Bien sûr, il y a des photos, mais, la carrosserie est dehors…premier drapeau rouge.

Vous contactez le vendeur, et dans votre discussion, vous lui demandez si toutes les pièces sont là. Il répond qu’elles ne sont pas toutes en bon états. Ce n’était pas la question de l’état des pièces que vous avez demandé. Vous reprenez votre question, et là il répond, ‘’ouais il en manque peut-être une ou deux’’ deuxième drapeau rouge.

Vous choisissez d’aller voir quand même. Vous vous donnez rendez-vous dans un Tim dans un village des Bois-Francs pour 10:00 un samedi matin. Après 2 heures de route, vous rencontrez le vendeur qui vous invite à le suivre sur une route sinueuse, et qui finit en gravier. Là vous montez une petite côte, et vous arrivez devant un garage de campagne. Le vendeur vous dit que vous êtes chez son frère. Alors vous sortez de votre voiture et vous serrez la main du frère.

Il vous dirige vers l’objet principal, soit la voiture, ou plutôt la carrosserie. Il y a un contre-plaqué et une toile percée. Les ailes sont dans le fond du plancher, et on peut y voir des trous à travers ce plancher. Tout a été passé au sable puis, enduit d’un antirouille par la suite, mais tout est dehors… Et c’est là depuis longtemps…

Il vous dirige ensuite pour voir le moteur rebâti, comme écrit dans l’annonce. Il vous invite à contourner une vieille roulotte abritée sous un appentis. Le moteur est là, par terre. Sans aucune preuve, à l’œil, qu’il a été restauré dans les règles de l’art. Si ce moteur a été restauré pour vrai, il ne faut pas le voir trainer depuis des années dans ces conditions qui ne ferons que le ruiner. ‘’ je l’ai tourné avec mon wrench, il n’est pas jammé!!’’ C’est n’est pas parce qu’il tourne avec un outil qu’il est forcément en bon état. Un autre drapeau rouge… et évident car il traine dehors finalement depuis longtemps après sa supposée restauration.

Et tant qu’à y être, pourquoi pas demander à voir la balance des pièces !! Alors les 2 frères disent ‘’ ben oui, suit nous’’. Alors on retourne dans la voiture, fait grimper le chien et hop on repart! Mais où?

Après 10 km, on arrive à un autre garage, plancher en terre, pas chauffé. La transmission traine sur le sol depuis 1994… drapeau rouge, encore. Et les pièces sont sur la mezzanine duquel il faut grimper par une échelle un peu bancale. Une fois en haut, on trouve 4 tablettes de pièces mélangées, comme les bonbons mélangés de notre jeunesse dans les anciens dépanneurs. Comme Chez Georgette sur le boulevard Gouin à Rivière des Prairies en 1974.

Rien de classé, rien d’archivé. Les boulons sont dans des fonds de bidons de lave-glace que vous ne pouvez pas toucher car ils s’effritent comme des biscuit soda tellement ils sont vieux. Les boulons, à cette occasion, tombent par terre. Autre drapeau rouge…

Vous ne pouvez pas espérer réussir une restauration de voiture ancienne avec un lot de pièces en vrac, non inventoriées, non archivées. Même si le prix est bas à l’achat et malgré qu’il a les papiers. Vous ne pouvez pas vous rendre au bout d’un projet du genre pour finir cette restauration dans un état d’origine. Dans un état modifié certes, mais pas d’origine sans effectuer de longues recherches pour retrouver les pièces manquantes.

Ce genre d’annonce est pour les initiés du modèle, et encore. L’initié verra tout de suite que ce fouillis est une perte de temps et d’argent. Un autre projet qui va changer de mains plusieurs fois, et qui, pour finir, se vendra par morceaux. Cette voiture sera perdue.

Évitez ce genre de projet. Optez pour une voiture complète. Et de surcroit, demandé au vendeur d’accepter de pouvoir faire une inspection avant achat. Cela vous évitera beaucoup d’argent mal dépensé.

Le texte Une voiture en pièces à vendre? Comment éviter les pièges… provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Nissan revoit sa feuille de route électrique aux États-Unis. La marque japonaise a officiellement annulé le développement de ses berlines électriques Altima et Maxima, qui étaient pour être construites à son usine de Canton, au Mississippi. La décision s’accompagne également de la mise au rancart de deux VUS électriques.

Christian Meunier, président de Nissan Amériques, a déclaré plus tôt ce mois-ci que « le marché des berlines est en déclin, il faut faire face à la réalité. » Une notification interne, relayée par le site Automotive News, a confirmé cette réorientation stratégique. Nissan invoque des « changements récents dans les conditions du marché » pour justifier l’abandon des projets de berlines codés LZ1F et LZ1E.

Les projets de VÉ de Canton revus en profondeur

Outre les Altima et Maxima électriques, un VUS compact à batterie nommé PZ1L, l’équivalent électrique du Rogue, a également été supprimé de la planification de produits. Cela ne veut pas dire que Nissan tourne le dos à l’électrification. L’usine de Canton va produire une nouvelle génération de VUS électriques à partir de 2028.

Le Nissan Ariya
Le Nissan Ariya | Auto123.com

Un « nouveau » Xterra ?

Le virage s’oriente désormais vers un modèle plus « musclé » inspiré du défunt Nissan Xterra, connu sous le nom de code PZ1K. Sa production débutera en janvier 2028, suivi en mai par une variante haut de gamme signée Infiniti, baptisée PZ1J.

Ces nouveaux modèles s’appuieront sur une plateforme modulaire capable de servir pour des VUS, des berlines et potentiellement une camionnette légère. Cette nouvelle architecture promet par ailleurs des moteurs électriques plus performants, une recharge accélérée et des batteries lithium-ion plus abordables.

La Chine, encore friande de berlines électriques

Bien que les États-Unis délaissent les berlines, Nissan observe de près les marchés asiatiques. En partenariat avec Dongfeng, le constructeur vient de dévoiler en Chine la Nissan N7, une berline électrique construite sur une plateforme 400 volts. Offerte avec des batteries de 58 et 73 kWh, elle développe entre 215 et 268 chevaux.

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Le texte Nissan abandonne son projet de berlines électriques Altima et Maxima provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Oubliez tout ce que vous croyez savoir sur les fourgonnettes. Avec la Vision V, Mercedes-Benz veut faire voler en éclats les codes de ce segment. Présenté au salon de Shanghai, ce concept audacieux annonce une nouvelle ère du transport de luxe, aussi confortable qu’un jet privé… mais sur quatre roues.

Et surtout, ne prononcez jamais le mot « fourgonnette » devant les dirigeants de Mercedes. Ici, on parle d’un salon roulant VIP, d’un statut automobile, pas d’un simple utilitaire familial.

La Mercedes-Benz Vision V, de profil
La Mercedes-Benz Vision V, de profil | Auto123.com

Redéfinir le segment

La Vision V repose sur la nouvelle plateforme VAN.EA (Van Electric Architecture), dédiée aux véhicules électriques privés et commerciaux. Cette architecture modulaire permettra à Mercedes de lancer une gamme complète de fourgonnettes électriques dès 2026, à commencer par les VLS et VLE.

Mercedes vise un segment encore peu exploité : celui des véhicules de luxe avec chauffeur, à mi-chemin entre la berline de Classe S et les utilitaires convertis en limousine.

L'habitacle de la Mercedes-Benz Vision V, sièges
L’habitacle de la Mercedes-Benz Vision V, sièges | Auto123.com
L'habitacle de la Mercedes-Benz Vision V, écran
L’habitacle de la Mercedes-Benz Vision V, écran | Auto123.com
L'habitacle de la Mercedes-Benz Vision V, écran multimedia
L’habitacle de la Mercedes-Benz Vision V, écran multimedia | Auto123.com

Un intérieur digne d’un palace sur roues

À bord, tout est fait pour sublimer l’expérience des passagers arrière :

  • • Deux fauteuils de première classe inclinables à 152 degrés, avec repose-pieds intégrés servant aussi de rangement.
  • • Sellerie en cuir Nappa blanc cristal et soie, boiseries en loupe sombre, consoles vitrées et touches d’aluminium poli.
  • • Écran de projection 4K de 65 pouces, dissimulé dans le plancher et piloté via un pavé tactile.
  • • Sonorisation Dolby Atmos à 42 haut-parleurs, ambiance lumineuse dynamique, cloison vitrée à opacité variable pour l’intimité.

Une véritable suite connectée avec options de karaoké, bureau mobile, boutique virtuelle et navigation en réalité augmentée.

La Mercedes-Benz Vision V, trois quarts avant
La Mercedes-Benz Vision V, trois quarts avant | Auto123.com

Extérieur : quand le fonctionnel devient sculptural

D’abord on dénote des lignes tendues, une immense calandre rétroéclairée, des jantes de 24 pouces, un toit panoramique géant et des centaines d’étoiles illuminées intégrées à la carrosserie.

Le design conjugue aérodynamisme, raffinement et présence imposante, avec l’étoile à trois branches dressée sur le capot.

Des versions hybrides et thermiques aussi au programme

Même si les premières versions prévues seront 100 % électriques, Mercedes introduira ensuite des variantes hybrides sur une base baptisée VAN.CA (Van Combustion Architecture). Ces dernières partageront 70 % des composants avec les versions électriques, et seront produites sur les mêmes chaînes d’assemblage.

Une offensive mondiale, portée par la Chine et les États-Unis

Le concept Vision V préfigure les VLS et VLE, qui seront d’abord lancés en Chine, puis en Europe, aux États-Unis et au Canada. Mercedes-Benz prévoit deux empattements, une plateforme 800 volts, des configurations de quatre et à huit places et une autonomie estimée à plus de 480 km (300 milles), selon les versions.

Les États-Unis seraient le deuxième marché mondial visé, après la Chine. Mercedes pourrait même envisager une version Maybach, mais rien n’est confirmé… sauf que l’objectif est clair : remplacer la Classe V et rivaliser avec la Classe S sur le terrain du luxe mobile.

La Mercedes-Ben Vision V, portes ouvertes
La Mercedes-Ben Vision V, portes ouvertes | Auto123.com
La Mercedes-Benz Vision V, vue vers l'avant
La Mercedes-Benz Vision V, vue vers l’avant | Auto123.com
La Mercedes-Benz Vision V, de haut
La Mercedes-Benz Vision V, de haut | Auto123.com

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Le texte Mercedes Vision V : la fourgonnette la plus luxueuse du monde ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Hyundai Canada a annoncé cette semaine le lancement d’une aventure ambitieuse. Ce qui porte le titre officiel de « La traversée du Canada en VÉ Hyundai » sera un périple de plus de 15 000 km qui mènera un courageux conducteur de Markham, en Ontario, jusqu’aux rives de l’océan Arctique, au volant d’un Hyundai Ioniq 5 2025, un modèle 100 % électrique, rappelons-le.

Le départ de cette expédition a eu lieu hier, le jeudi 24 avril, depuis le siège social de Hyundai Canada à Markham. Le véhicule électrique traversera cinq provinces et deux territoires canadiens pour atteindre le hameau de Tuktoyaktuk, dans les Territoires du Nord-Ouest.

Patrick Nadeau et le Hyundai Ioniq 5, lors du jour un de son aventure
Patrick Nadeau et le Hyundai Ioniq 5, lors du jour un de son aventure | Auto123.com

Au volant de l’Ioniq 5, Patrick Nadeau. Si vous connaissez ce nom, c’est peut-être parce que ce passionné de véhicules électriques entreprend ce voyage après avoir déjà parcouru le trajet du Québec au Mexique avec son propre Ioniq 5 en 2022. Cette précédente aventure avait suscité un vif intérêt et démontré le potentiel des véhicules électriques pour les longs trajets.

Bien sûr, il y aura des défis : trouver des bornes de recharge au milieu de nulle part, des routes qui ressemblent à des pistes de ski en été, et des horaires de traversiers qui changent plus vite que la météo. Mais Hyundai Canada et Patrick Nadeau vont nous tenir au courant de tout cela sur les réseaux sociaux, avec même un documentaire à la clé.

L’espoir sur roues

En parallèle, en collaboration avec L’espoir sur roues de Hyundai, Patrick Nadeau créera du contenu en réalité virtuelle pour les jeunes patients atteints de cancer dans les hôpitaux canadiens, leur permettant ainsi d’explorer virtuellement l’Arctique.

Le Hyundai Ioniq 5 2025 Preferred avec l’ensemble Ultimate
Le Hyundai Ioniq 5 2025 Preferred avec l’ensemble Ultimate | Auto123.com

Le véhicule utilisé pour cette expédition est un Hyundai Ioniq 5 2025 Preferred avec l’ensemble Ultimate. Seules des modifications mineures, comme un habillage personnalisé et l’ajout d’une tente de toit, ont été apportées au véhicule. Patrick Nadeau souligne sa confiance en la capacité du véhicule à atteindre sa destination en toute sécurité, basée sur son expérience personnelle avec son propre Ioniq 5.

Le Hyundai Ioniq 5 est un véhicule électrique reconnu, ayant remporté plusieurs prix prestigieux, dont Voiture mondiale de l’année, Voiture électrique mondiale de l’année et Design mondial de l’année en 2022. La version 2025 du Ioniq 5 a été mise à jour avec une batterie de 84 kWh offrant une autonomie allant jusqu’à 504 km.

Pour suivre l’aventure de Patrick Nadeau, Hyundai Canada invite le public à consulter ses pages Facebook, YouTube et Instagram.

Le trajet que suivra Patrik Nadeau au volant du Hyundai Ioniq 5 2025
Le trajet que suivra Patrik Nadeau au volant du Hyundai Ioniq 5 2025 | Auto123.com

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Le texte De l’Ontario à l’Arctique canadien avec un Hyundai Ioniq 5 2025 : une épopée électrique comme projet de printemps provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

On verra bientôt des Volkswagen ID. Buzz arborant l’écusson d’Uber à sillonner les artères routières des États-Unis. Sauf que ces fourgonnettes électriques là auront une petite différence : il n’y aura pas de chauffeur à bord !

En effet, Volkswagen ADMT LLC, la filiale de mobilité autonome de Volkswagen Group of America inc., et l’entreprise d’auto-partage Uber Technologies inc. ont annoncé hier la création d’un partenariat stratégique visant à déployer très bientôt une flotte d’ID. Buzz AD, des véhicules électriques entièrement autonomes.

Cette flotte sera composée « de milliers d’ID. Buzz », affirment les partenaires dans un communiqué publié lors de l’annonce, et elle sera déployée dans plusieurs régions des États-Unis au cours de la prochaine décennie, en commençant par Los Angeles en 2026.

Des tests doivent débuter plus tard cette année avec « des opérateurs humains à bord des ID. Buzz autonomes qui perfectionneront la technologie et garantiront la sécurité », explique ID. Buzz AD. En outre, le service commercial ne sera lancé qu’après l’obtention des autorisations réglementaires nécessaires dans chaque marché ciblé.

Moia, la filiale de mobilité autonome de Volkswagen AG (et non la plateforme en ligne coréenne de W Concept qui offre des vêtements pour femmes), fournira sa solution intégrée pour la conduite autonome, à commencer par des l’ID. Buzz AD, mais aussi un système logiciel assurant le déploiement de ce service sur la plateforme Uber.

Le véhicule autonome ID. Buzz AD de Moia a été soumis à des tests dynamiques dans quelques grandes villes allemandes dès 2021. Depuis 2024, on voit ces véhicules plus fréquemment circuler à à Munich et à Hamburg, mais aussi à Austin, au Texas. En mars dernier, ce VA a même été soumis à des tests hivernaux à Oslo, en Norvège.

Les partenaires partagent leurs visions respectives

« Volkswagen n’est pas seulement un constructeur automobile. Nous façonnons l’avenir de la mobilité et notre collaboration avec Uber accélère cette vision », déclare Christian Senger, PDG de Volkswagen Autonomous Mobility dans le communiqué. « Ce qui nous distingue vraiment, c’est notre capacité à combiner le meilleur des deux mondes : une expertise en production de masse, une technologie de pointe et une compréhension approfondie des besoins de mobilité urbaine.»

Pour sa part, Kjell Gruner, président-directeur général de Volkswagen Group of America, voit dans ce projet un moyen pour exposer « l’ID. Buzz, la version réinventée de l’emblématique Microbus en version 100 % électrique, à un nombre croissant de consommateurs dans les années à venir. »

Quant à Dara Khosrowshahi, PDG d’Uber, elle qualifie cette collaboration « d’étape importante dans l’avancée de la mobilité autonome, en plus de souligner l’engagement commun de Volkswagen et d’Uber à construire l’avenir des transports. »

Rappelons que l’entreprise a commencé à expérimenter l’utilisation de véhicules autonomes dès 2015, d’abord avec Ford, puis avec Volvo, Daimler et Toyota.

Photos : Volkswagen et Uber

Le texte Volkswagen « Uberize » son ID. Buzz provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

L’électrification se poursuit chez BMW. La berline i4 est une pièce maîtresse de cette stratégie, qui vise à convaincre les amateurs de la marque bavaroise qu’une nouvelle version électrique de ses modèles n’est que la suite logique de leur évolution. La machine à saucisse passe à l’électrique : nouveaux ingrédients, même bon goût.

Au Canada, la i4 Gran Coupé (c’est son nom officiel) existe en quatre variantes distinctes, chacune ciblant un profil d’acheteur différent. L’entrée de gamme est assurée par la i4 eDrive35, proposée à un prix de détail d’environ 58 000 $. Vient ensuite la i4 eDrive40, plus puissante et plus autonome, à 67 000 $. On trouve ensuite la i4 xDrive40, à 73 000 $, une version à rouage intégral de la berline qui est un peu plus musclée, mais dont l’autonomie est raccourcie.

La version la plus huppée est la première M entièrement électrique, en fait. C’est la i4 M50 xDrive Gran coupé. Ses performances sont nettement supérieures et la traction intégrale et évidemment de mise là aussi, pour un prix de départ qui franchit la barre des 83 000 $. Celle-là fait un peu bande à part, il faut le dire.

Dans le lot, la i4 xDrive40 est probablement la plus séduisante, et la version eDrive40 la plus rationnelle. Personne ne sera déçu des performances de la i4, cela dit, même si, de base, la batterie de plus petite taille semble surtout être là pour abaisser le prix de base de ce modèle.

Visuellement, la i4 2025 conserve la silhouette élancée et dynamique du Gran Coupé Série 4 dont elle dérive. L’intérieur est un environnement familier pour les habitués de la marque, dominé par le grand écran incurvé regroupant l’instrumentation numérique et le système d’infodivertissement iDrive de plus récente génération. Ce dernier offre une interface améliorée et une connectivité accrue.

Sur le plan technique, la i4 eDrive35 est animée par un moteur électrique unique installé sur l’essieu arrière, développant une puissance d’environ 282 chevaux et un couple de 295 lb-pi. Sa batterie, d’une capacité utilisable d’environ 68 kWh, lui confère une autonomie estimée par Ressources naturelles Canada d’un peu plus de 400 kilomètres, dans les conditions routières les meilleures.

La i4 eDrive40, également à propulsion, voit sa puissance grimper à 335 chevaux et 317 lb-pi de couple. Sa batterie plus grande fait 84 kWh utilisables et son autonomie dépasse les 450 kilomètres, voire frôle les 480 kilomètres dans des conditions idéales. La xDrive40 a la même batterie, mais ajoute un moteur qui fait grimper sa puissance à 396 chevaux, et lui permet d’avoir l’équivalent d’un rouage intégral.

La i4 M50 xDrive utilise elle aussi deux moteurs électriques, un sur chaque essieu, pour une puissance combinée de 536 chevaux et un couple impressionnant de 586 lb-pi en mode Sport Boost. Son autonomie baisse aux alentours de 430 à 450 kilomètres par charge.

Toutes les versions acceptent la recharge rapide en courant continu (DC) jusqu’à environ 200 kW, permettant de récupérer une portion significative de l’autonomie en une trentaine de minutes sur une borne compatible.

Au volant, la BMW i4 offre une expérience qui plaira aux amateurs de conduite. La direction est précise, le châssis est bien équilibré et l’agilité est surprenante, compte tenu du poids des batteries. La suspension réussit un bon compromis entre confort sur chaussée dégradée et maintien de caisse en conduite dynamique

L’accélération est vive et instantanée, comme attendu d’un véhicule électrique. Je serais vraiment curieux de voir une i4 décapotable…

La M50 xDrive transforme l’expérience : la poussée est nettement plus féroce, et la traction intégrale assure une motricité sans faille, même sur chaussée humide ou enneigée. Le freinage régénératif est bien calibré et peut être ajusté selon les préférences du conducteur, permettant même la conduite à une pédale dans certaines situations.

Dans l’ensemble, la i4 conserve l’ADN de conduite d’une berline BMW malgré son passage à l’électrique. Son principal défaut est le format à moitié coupé, qui réduit l’espace pour les jambes, à l’arrière. Ceci n’est pas une familiale (mais on aurait aussi aimé avoir cette variante-là au catalogue).

Autre détail, son prix, surtout une fois les options ajoutées, la positionne fermement dans le segment de luxe.

Cela dit, BMW i4 2025 réussit à marier les sensations de conduite traditionnelles d’une BMW avec les avantages de la propulsion électrique. C’est une suite logique pour BMW, qui n’en est pas à sa première génération d’électrique, et qui prédit que la moitié de ses ventes seront électrifiées d’ici cinq ans.

Le texte BMW i4 : saucisse bavaroise provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Selon un nouveau sondage publié par AutoTrader, l’enthousiasme des Canadiens pour l’achat d’un véhicule électrique (VÉ) continue de s’éroder. Pour la troisième année consécutive, la proportion de consommateurs envisageant l’achat d’un VÉ diminue, malgré une baisse significative des prix. En 2022, 68 % des répondants disaient considérer un VÉ comme prochaine voiture. En 2023, ils n’étaient plus que 46 %. Et cette année? Seulement 42 % des Canadiens affirment qu’ils envisageraient l’achat d’un véhicule électrique.

Les acheteurs exclusifs de VÉ en forte baisse

Le recul est encore plus marqué chez ceux qui disaient vouloir un VÉ exclusivement. Ils sont 29 % en 2025, contre 40 % l’an dernier. Un signal clair que l’intérêt se fragilise, même parmi les convaincus.

Pourquoi cet essoufflement?

L’étude, qui s’appuie sur les réponses de 1 801 utilisateurs du site AutoTrader, met en lumière les principales inquiétudes des acheteurs :

  • La réduction des incitatifs gouvernementaux

  • Le manque d’infrastructures de recharge fiables et accessibles

  • Les coûts d’entretien et de possession à long terme

Tout cela, malgré une baisse de 7,8 % du prix moyen des VÉ au dernier trimestre de 2024, selon l’indice des prix AutoTrader.

Les incitatifs gouvernementaux restent déterminants

Parmi les non-propriétaires de VÉ interrogés, 68 % affirment que les incitatifs gouvernementaux pourraient influencer leur décision d’achat, et un peu plus de la moitié indiquent qu’ils renforcent leur confiance envers les véhicules électriques.

Conclusion

Malgré un marché en croissance et des prix plus attrayants, les obstacles à l’adoption du VÉ demeurent importants. Il faudra plus que des rabais pour convaincre les acheteurs : des incitatifs clairs, une meilleure infrastructure et de l’éducation sur les coûts réels du VÉ seront essentiels pour renverser la tendance.

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

Le texte L’intérêt des Canadiens pour les véhicules électriques chute pour une troisième année de suite provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Avec les tarifs automobiles maintenant en vigueur, la perspective qu’ils demeurent en place sur une longue période est envisagée par tous les acteurs de l’industrie.

Les droits de douane de 25 % imposés par l’administration Trump ont commencé à entraîner des hausses des prix à travers l’industrie, et ça ne va qu’empirer au cours des prochains mois.

Conséquemment, plusieurs consommateurs vont reporter l’achat de leur modèle vieillissant. Cela aura un impact important sur les ventes de nouveaux véhicules.

Nous pourrions assister à une baisse des ventes de quelque 1,8 million modèles cette année au Canada et aux États-Unis. Les chiffres sont le résultat d’une analyse de la firme de conseil automobile Telemetry, qui est basée à Détroit.

Cette dernière pousse ses prévisions plus loin en affirmant que si les tarifs demeurent en place jusqu’en 2035, les ventes annuelles pourraient fondre de sept millions d’unités par année.

Dans l'usine de GM à Ingersoll, en Ontario
Dans l’usine de GM à Ingersoll, en Ontario | Auto123.com

Des emplois en péril

Inutile de dire que cela aurait des conséquences dévastatrices sur toute l’industrie et sur l’économie nord-américaine. Imaginez le nombre d’emplois qui seraient sacrifiés à travers tous les secteurs touchés.

Les tarifs sont en vigueur depuis un peu moins d’un mois. Déjà, les conséquences sont négatives, alors qu’on a vu plusieurs constructeurs mettre leur production sur pause en certains endroits ou carrément stopper la livraison de véhicules vers les États-Unis. Certains constructeurs ont annoncé vouloir produire plus de modèles en sol américain, mais tout ne peut pas être changé en un claquement de doigts.

Impact sur les prix de véhicule d’occasion

Ce qui risque de changer à court terme, lorsque les prix des modèles neufs vont augmenter un peu partout, c’est un effet domino sur le prix des modèles d’occasion. Il est clair que si plusieurs consommateurs n’ont plus les moyens d’acheter un véhicule neuf, ils vont se tourner vers un produit usagé. Puisque la demande risque d’augmenter de ce côté, il faut s’attendre à ce que les prix grimpent de ce côté.

Contenu original de auto123.

Le texte Les tarifs pourraient mener à une baisse de deux millions d’unités vendues cette année provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile