Des brevets récents de General Motors révèlent des systèmes potentiels de caisse de chargement extensible pour les camionnettes.

Une solution astucieuse pour maximiser la capacité de chargement tout en conservant un encombrement réduit.

General Motors a récemment déposé des brevets qui pourraient révolutionner les camionnettes, offrant aux conducteurs la possibilité d’étendre leur caisse de chargement selon leurs besoins. Ces innovations pourraient transformer une caisse de courte longueur en un espace de chargement long, en un clin d’œil.

L’un des brevets, intitulé “Systèmes d’extension de la caisse de chargement pour camionnettes”, a été publié par le Bureau américain des brevets et des marques de commerce (USPTO) le 12 mars. Dans cette application, GM décrit une porte arrière extensible pouvant créer une aire de chargement allant jusqu’à 8 pieds de long.

Pour ce concept, la porte arrière et le plancher pourraient glisser pour agrandir l’aire de chargement, avec la possibilité d’utiliser des panneaux articulés pour fermer complètement l’espace entre la porte arrière et les parois de la caisse de chargement.

Le 27 février, l’USPTO a également publié une demande de brevet de GM intitulée “Camion avec une boîte ajustable dynamiquement”. Dans cette version, la caisse est divisée en sections supérieure et inférieure, la section inférieure étant montée sur le châssis du camion et la section supérieure pouvant s’étendre pour créer une plus grande boîte de chargement. Le pare-chocs arrière pourrait également être fixé à la caisse supérieure.

GM n’est pas le seul constructeur automobile à travailler sur cette idée. Ford a déposé plusieurs demandes de brevet pour des caisses extensibles, explorant des idées telles qu’un plancher de caisse coulissant, une boîte de chargement interne télescopique et une version avec des marches et des rampes intégrées.

Avec GM et Ford déjà engagés dans une “guerre des hayons” qui les a vus développer des hayons multifonctions élaborés pour leurs dernières camionnettes pleine grandeur, il est possible que les caisses extensibles soient la prochaine étape de la rivalité entre les constructeurs automobiles de Detroit.

Avec des renseignements de Motor Authority

Le texte Des systèmes de caisse de chargement extensible pour les camionnettes GM provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les discussions sont en cours avec le gouvernement canadien

Des incitatifs gouvernementaux attendues pour le projet

Honda étudie la possibilité de construire une nouvelle usine de véhicules électriques (VE) au Canada, selon des rapports récents. Cette usine, qui pourrait être située à Alliston, en Ontario, s’inscrirait dans le cadre des investissements massifs du gouvernement fédéral dans la fabrication automobile.

Le gouvernement canadien a récemment investi massivement dans le secteur automobile, avec l’implantation de nouvelles usines de batteries par des géants tels que Stellantis, Volkswagen et Northvolt. Honda se joint à la tendance en envisageant la construction d’une usine dédiée aux VE, voire éventuellement à la production de batteries.

Selon le journal japonais Nikkei, Honda serait en pourparlers avec le gouvernement canadien pour l’établissement d’une telle usine. Cette installation, dont la construction est estimée à 18 milliards de dollars, pourrait voir le jour dès 2028.

Le Premier ministre Justin Trudeau s’est exprimé sur ce projet lors d’une visite sur le site de l’usine Stellantis à Windsor. “Les discussions sont en cours, mais il n’y aura pas d’annonce aujourd’hui”, a déclaré le Premier ministre à Automotive News Canada.

La construction de toute nouvelle usine bénéficierait probablement d’incitations significatives de la part du gouvernement fédéral et de la province de l’Ontario. À titre d’exemple, l’usine Volkswagen nouvellement construite devrait recevoir plus de 16 milliards de dollars d’incitations gouvernementales, tandis que l’usine Stellantis a obtenu une enveloppe de 15 milliards de dollars après une brève interruption de la construction pour négocier un nouvel accord.

Lors de la même visite sur le site de l’usine, Trudeau n’a pas pris d’engagement quant à la prolongation des incitations fédérales aux VE au-delà de 2025. Il a cependant exprimé son souhait de voir les provinces offrir des incitations, quelques jours seulement après que le Québec a annoncé la suppression progressive de son propre programme d’incitations.

Avec des renseignements de Motor Illustrated

Le texte Honda envisage de construire une nouvelle usine de VÉS de 18 milliard à Alliston, en Ontario provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Des économies d’échelle pour affronter la concurrence

Nissan et Honda ont annoncé un projet de coopération dans le domaine des véhicules électriques (VE) lors d’une conférence de presse le vendredi. Les deux constructeurs automobiles japonais souhaitent réduire les coûts et se positionner en tête de la course mondiale aux VE contre des rivaux tels que Tesla et les nouveaux venus de Chine.

Partage de technologies et de composants

Les deux entreprises envisagent de partager et d’acheter conjointement des éléments essentiels des VE, tels que les eAxles, ainsi que d’autres composants centraux. Elles examineront également la possibilité de partager des technologies de batterie et des plateformes logicielles.

Défis et opportunités

Cette coopération survient alors que les constructeurs automobiles japonais repensent le développement et la fabrication des VE, après avoir pris du retard par rapport à leurs concurrents mondiaux de Chine et de la Silicon Valley. S’associer à d’autres constructeurs est considéré comme une stratégie clé pour atteindre l’échelle nécessaire et partager les investissements.

Objectifs à venir

Bien que les synergies puissent concerner environ 7,65 millions de véhicules vendus chaque année dans le monde par les deux sociétés combinées, aucun objectif de coût ou de volume n’a été fixé pour le moment. Les détails complets de la portée du partenariat restent à déterminer, mais les deux entreprises créeront un groupe de faisabilité pour étudier les possibilités et identifier les domaines présentant le meilleur potentiel dans un “court laps de temps”.

Élargissement du champ de coopération

La coopération ne se limitera pas au Japon ; elle pourrait également s’étendre à l’Amérique du Nord et à l’Europe, où Nissan et Honda ont des opérations d’envergure. Les VE seront nécessaires pour répondre aux réglementations, et les deux entreprises sont encore de petits acteurs sur ce marché en Europe.

Défis culturels et antécédents

Nissan et Honda ont des cultures d’entreprise différentes, notamment en ce qui concerne leurs relations avec les fournisseurs. Cependant, les dirigeants des deux entreprises estiment que ces différences peuvent être gérées.

Vers une nouvelle ère des VÉS

Cette collaboration vise à revitaliser les programmes de VE de Nissan, qui peine à augmenter son volume global, et à soutenir la transition de Honda vers une gamme entièrement électrique. Les deux entreprises affrontent l’arrivée prévue de constructeurs de VE à bas coût, en particulier de Chine, et doivent repenser leurs méthodes de travail pour rester compétitives.

La coopération entre Nissan et Honda dans le domaine des véhicules électriques illustre les défis et les opportunités auxquels sont confrontés les constructeurs automobiles japonais dans un marché mondial en évolution rapide.

Avec des renseigements d’Automotive News

Le texte Nissan et Honda envisagent de coopérer dans les véhicules électriques provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La collection de monoplaces de Jody Scheckter, champion du monde de F1 en 1979, sera le point de mire de la vente aux enchères organisée par RM Sotheby’s à Monaco en mai prochain. Mise en vente par le célèbre pilote sud-africain, c’est incontestablement de l’une des plus importantes collections de bolides de course jamais offerte à une vente pareille.

Cette collection réunit 11 monoplaces dont certaines qui ont appartenu à de grands pilotes et d’autres que Scheckter a pilotées et qui ont marqué sa carrière, notamment la Ferrari 312 T4 qui lui a permis de remporter le Championnat du monde des pilotes en 1979.

L’étoile de la collection

L’étoile de la collection est sans aucun doute cette Ferrari 312 T4. Dernière voiture gagnante du Championnat du monde des pilotes de F1 d’Enzo Ferrari, cette monoplace a permis à Scheckter de remporter trois victoires en 1979, en Belgique, à Monaco et en Italie. Propulsée par le célèbre moteur à 12 cylindres à plat de 3 litres d’alors, c’est aussi la première Ferrari de GP qui a exploité pleinement l’effet de sol.

Achetée à l’usine par Jody Scheckter en novembre 1982, elle est dans son état d’origine. Scheckter est d’ailleurs la seule personne à l’avoir pilotée. Rappelons qu’au grand prix d’Italie de 2019, le Sud-Africain a fait une démonstration mémorable avec cette voiture pour souligner le 40e anniversaire de son titre de Champion du monde des pilotes. La valeur de cette voiture unique et irremplaçable est estimée entre 5 500 000 $ US et 7 000 000 $ US.

Présence marquée de McLaren

En marge de la célébrité de la Ferrari, l’héritage de McLaren sera également mis en valeur lors de cette vente avec un trio de monoplace de cette marque emblématique. L’une d’elles, la McLaren M23 de 1973, demeure sans doute une des plus célèbres et des plus belles de toutes, affirme l’encanteur. C’est aussi la voiture qui a donné à l’écurie son premier titre de champion des constructeurs, de même que deux titres de Champion des pilotes à Emerson Fittipaldi et James Hunt.

La voiture de Scheckter est celle qui, par ailleurs, avait permis à Peter Revson de remporter le GP d’Angleterre en 1973. On l’a vue sur quatre continents dans des courses de Formule 1, de Formule 5000 et de Can Am. Ce pur-sang qui faisant partie de la collection de McLaren avant d’être acquis par Scheckter sera offert sans réserve. Sa valeur est estimée entre 1 900 000 $ US et 2 450 000 $ US.

Parmi les deux autres McLaren, on retrouve une M19A de 1971 qui a servi à l’écurie McLaren lors de 17 épreuves de GP, en 1971 et 1972. Elle a servi à des célébrités comme Denny Hulme, Peter Revson et Jackie Oliver. Scheckter a aussi fait ses débuts en F1 au volant de cette monoplace. C’était au Grand Prix des États-Unis de 1972, à Watkins Glen. C’est un modèle très rare dont il n’existe que deux exemplaires dans le monde. Proposée sans réserve, la valeur de cette monoplace est estimée entre 800 000 $ US et 1 100 000 $ US. La dernière McLaren est une M21 de 1972. Cette voiture de Formule 2 a été construite pour Scheckter sur la base d’un châssis original (portant le numéro de série 2). Sa valeur est estimée entre 140 000 $ US et 220 000 $ US.

Deux Tyrell qui ont marqué l’histoire

Peu de constructeurs ont connu autant de succès que Tyrrell dans les années 1970. Tyrell a d’ailleurs produit certaines voitures mémorables de cette époque, à commencer par la Tyrrell 007 de 1975 dont un exemplaire est inscrit au catalogue.

Cette voiture est celle que Scheckter a utilisée lors de 12 courses en 1975 et 1976. À cette époque, il a décroché une troisième place au Grand Prix d’Angleterre de 1975, à Silverstone. Dotée de son moteur Ford-Cosworth DFV et d’une boîte de vitesses Hewland d’origine, cette voiture est proposée sans réserve et estimée entre 700 000 $ US et 1 000 000 $ US.

Une autre Tyrrell très spéciale figure au catalogue de cette vente : une P34 à six roues. Cet exemplaire construit en 2008 à partir d’un châssis d’époque inutilisé et que Scheckter a acheté en 2013 reproduit la remarquable monoplace dévoilée par Tyrell en septembre 1975 et qui a servi à son écurie durant les saisons 1976 et 1977. Bien qu’elle n’ait jamais dominé à son époque, la P34 demeure un modèle emblématique qui illustre bien l’anticonformisme que la F1 met parfois de l’avant. Cette voiture vaudrait entre 490 000 $ US et 700 000 $ US, selon les spécialistes de RM Sotheby’s.

Une F1 canadienne

Pour les Canadiens férus de F1, la Wolf WR1 de 1977 offerte à cette vente sera assurément aussi attrayante qu’une Ferrari pour un Tifosi. C’est la première monoplace construite pour l’écurie canadienne de l’homme d’affaires Walter Wolf, qui a été en activité durant trois saisons (1977, 1978 et 1979).

Cette voiture a permis à Jody Scheckter de remporter une remarquable deuxième place au Championnat du monde des pilotes de F1 dès 1977. Il l’a pilotée lors de cinq épreuves de F1. Puis, elle a servi à un autre pilote et futur Champion du monde : Keke Rosberg. Cette voiture, qui a marqué l’histoire du sport automobile au Canada, est estimée entre 490 000 $ US et 700 000 $ US.

D’autres monoplaces désirables

Parmi les autres monoplaces qui seront offertes, mentionnons, entre autres, une Trojan T101 1974 de Formule 5000 (70 000 $ US – 110 000 $ US), une Rondel Motul M1 1973 de F2 européenne (70 000 $ US – 110 000 $ US), une Merlyn Mk21 de 1971 (38 000 $ US – 60 000 $ US) et une Merlyn Mk11a de 1969 (50 000 $ US – 70 000 $ US).

Surnommée « Magic Merlyn », elle a permis à trois pilotes — Emerson Fittipaldi, Colin Vandervell et Jody Scheckter — d’amorcer leurs carrières respectives, tout en leur procurant une multitude de victoires !

La septième édition de la vente aux enchères bisannuelle de RM Sotheby’s à Monaco aura lieu le 11 mai 2024 au Forum Grimaldi Monaco.

Photos : RM Sotheby’s

Le texte Une collection de monoplaces de F1 de Jody Scheckter sera en vedette à la vente aux enchères de RM Sotheby’s à Monaco provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Généralement, ceux qui souhaitent mettre la main sur un grand classique de l’histoire de l’automobile doivent se tourner vers les encans mettant de l’avant des pièces appartenant à des collectionneurs.

C’est là qu’on trouve les perles rares.

Mais il y a des exceptions à cette règle, comme le prouve la découverte sur le site Craigslist de cette très rare BMW Glas 3000 V8 de 1968. Vous ne connaissiez pas ce modèle ? Ne vous en faites pas, vous n’êtes pas les seuls. On parle d’un véhicule très rare, souvent oublié lorsqu’il est question de l’histoire de BMW.

Et il est facile de comprendre pourquoi, car le coupé Glas a été développé par la compagnie du même nom. Créée par Hans Glass, cette entreprise s’est surtout fait connaître dans le domaine agricole avant de commencer à construire des voitures dans les années 50.

La Glas V8 a été présentée au Salon de Francfort en 1965, pour une commercialisation qui s’est amorcée l’année suivante. Seulement, des problèmes financiers ont fait que le gouvernement de la Bavière a demandé à BMW d’intervenir pour prendre les rênes de la compagnie.

Ironiquement, lorsque BMW a éprouvé des difficultés financières dans les années 50, il avait été question que Glas lui viennent en aide.

BMW va poursuivre la production du modèle Glas, en lui apportant quelques touches bien à elle. Cependant, la compagnie avait des plans pour l’usine de Dingolfing, récupérée avec la prise de contrôle de Glas. Ainsi, la Glas 3000 fut abandonnée à la fin de 1968.

Il est estimé qu’un peu moins de 400 unités seulement ont été produites, ce qui fait de cette pièce une rareté.

Fait amusant, vous aurez remarqué que le devant de la voiture ne porte pas la fameuse signature de BMW avec une grille équipée de deux narines. C’est bien sûr dû au fait que le modèle n’avait pas été développé par BMW.

N’empêche, son style était absolument magnifique. Dessinée par la firme Frua, qui avait aussi conçu la Maserati Quattroporte, la Glas était à l’époque surnommée la Glaserati. Le moteur V8 que l’on trouve sous le capot fait 3,0 litres, et il est ici jumelé à une boîte manuelle à quatre rapports.

La voiture offerte est une pièce qui a été récupérée d’un musée où elle a passé 28 ans. En effectuant une petite recherche sur le Net, j’ai trouvé le même exemplaire qui a été offert sur le site Bring a Trailer en 2021. La mise avait grimpé 65 000 $ US, mais le prix de réserve n’avait pas été atteint. On en demande aujourd’hui 105 000 $ US.

Et combien vaut ce modèle ? En raison de sa rareté, sa valeur est assurément élevée, mais elle va dépendre de la volonté de l’acheteur d’en faire l’acquisition. On a vu que le modèle n’a pas été vendu à quelque 65 000 $ US, ce qui fait que le prix de 105 000 $ US demandés est peut-être un peu trop élevé.

La BMW Glas n’était pas vendue en Amérique du Nord à l’époque.

Le texte BMW Glas 3000 V8 1968 : une BMW oubliée provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La perte d’un génie créatif

Le monde de l’automobile pleure aujourd’hui la perte de Marcello Gandini, à l’âge de 85 ans. Ce designer automobile légendaire, originaire de Turin, a façonné certaines des voitures italiennes les plus emblématiques et vénérées de tous les temps.

L’ascension d’un maître

Reconnu comme l’un des designers automobiles les plus prolifiques et influents de son époque, Gandini s’est fait un nom dans les années 1960 en travaillant pour la prestigieuse maison de design Bertone. C’est là qu’il a créé des icônes telles que la Lamborghini Miura, la Lancia Stratos et la Ferrari 308/GT4, cette dernière étant la seule voiture conçue par Bertone pour Ferrari.

Un héritage inégalé

L’apogée de Gandini a été marquée par des créations telles que la Lamborghini Countach, célèbre pour sa silhouette, symbole du design automobile expérimental des années 1970 et 1980. Son influence perdure encore aujourd’hui.

Au-delà des exotiques

Gandini ne se limitait pas aux modèles exotiques à faible volume. Il a également donné naissance à certaines des voitures les plus populaires des dernières décennies, notamment la BMW Série 5 originale, la première Volkswagen Polo, la Fiat 132, la Renault 5 Turbo et la Citroën BX.

L’Innovation sans limites

En plus de ses contributions majeures, Gandini a également imaginé des concepts éblouissants tels que l’Alfa Romeo 33 Carabo et le Navajo, ainsi que les premiers concepts de la Bugatti EB110 et de la Lamborghini Diablo.

Un héritage durables

Même après avoir quitté Bertone, Gandini a continué à repousser les limites du design automobile avec des créations audacieuses pour des marques telles que Nissan et Perodua. Parmi ses dernières œuvres remarquables figure la Stola S86 Diamante, un concept conçu en seulement cinq semaines pour le salon de l’automobile de Genève 2005.

Un legs immortel

Marcello Gandini laisse derrière lui un héritage indélébile dans le monde de l’automobile, sa créativité et son audace continuant d’inspirer les designers et les passionnés de voitures à travers le monde. Son impact sur l’industrie restera gravé dans l’histoire comme celui d’un véritable maître du design automobile.

Avec des renseignements d’Autocar

Le texte Marcello Gandini : Légende du Design Automobile meurt à 85 ans provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Fisker a engagé le conseiller financier FTI Consulting et le cabinet d’avocats Davis Polk pour travailler sur une éventuelle déclaration, selon le Wall Street Journal.

Fisker a déclaré à Automotive News qu’il n’avait aucun commentaire sur le rapport du Journal. Les actions de Fisker ont chuté de 46 pour cent en après-bourse pour atteindre 17 cents par action.

Selon le Journal, Fisker a engagé FTI Consulting et le cabinet d’avocats Davis Polk pour aider le constructeur automobile dans d’éventuels plans de restructuration. Le journal a déclaré que FTI Consulting a refusé de commenter et que Davis Polk n’a pas répondu immédiatement.

Si Fisker dépose une demande de protection contre les faillites, ce sera le deuxième effondrement d’une entreprise automobile fondée par l’ancien designer de voitures de BMW et Aston Martin, Henrik Fisker. “La première entreprise, Fisker Automotive, a déposé son bilan en 2013”, a déclaré le Journal dans son rapport.

Fisker Inc. a averti en février qu’il existe un “doute substantiel sur sa capacité à continuer en tant qu’entité en activité” après avoir annoncé une perte nette de 463 millions de dollars au quatrième trimestre et annoncé une réduction de 15 pour cent de son effectif.

Le constructeur automobile de Manhattan Beach, en Californie, a déclaré qu’il disposait de liquidités et d’équivalents de trésorerie de 396 millions de dollars ainsi que d’un inventaire de véhicules et de matières premières d’une valeur d’environ 530 millions de dollars au 1er décembre.

Henrik Fisker a déclaré lors de l’appel aux résultats du quatrième trimestre que l’entreprise était en négociation avec un “grand constructeur automobile” non nommé pour un partenariat stratégique. Il a également déclaré que la start-up s’appuierait sur son réseau de concessionnaires franchisés naissant pour aider aux ventes après avoir abandonné son modèle de vente directe en début d’année.

Reuters a rapporté plus tôt ce mois-ci que Fisker Inc. était en pourparlers avec Nissan Motor Co. pour un accord qui pourrait inclure un investissement de 400 millions de dollars de Nissan et la construction du pickup Alaska que Fisker développe en 2026 dans l’une des usines d’assemblage américaines de Nissan.

Nissan n’a pas commenté le rapport de Reuters.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Fisker a engagé des conseillers en restructuration pour une éventuelle déclaration de faillite provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

À partir du 1er janvier 2025, les automobilistes québécois vont assister à une transformation majeure dans le paysage des incitatifs gouvernementaux pour l’achat de véhicules hybrides et électriques. Le programme Roulez vert, en place depuis 2012 aux côtés de la subvention fédérale de 5000 $, subira une série de coupes budgétaires, culminant avec son abolition totale en 2027. Les subventions pour les véhicules 100 % électriques d’occasion et pour les motocyclettes électriques passeront respectivement à 2000 $ et à 1000 $ au 1er janvier 2025. Ces subventions sont actuellement de 3500 $ et de 2000 $.

Une décision attendue

À l’époque du gouvernement Charest, les responsables qui avaient lancé le programme avaient aussi mentionner que les subventions auraient une durée dans le temps. Depuis 2012, le programme Roulez vert, combiné à la subvention fédérale, a été l’incitatif majeur pour encourager l’adoption des véhicules électriques au Québec. Toutefois, le gouvernement Legault estime que ces rabais ne sont plus aussi importants qu’auparavant, arguant que le marché des véhicules électriques atteindra bientôt sa maturité.

Certaines mesures seront maintenues

Malgré la fin des incitatifs pour l’achat de véhicules, le gouvernement du Québec maintiendra son engagement envers l’électrification des transports. Le rabais de 600 $ sur l’installation de bornes de recharge à domicile, visant à faciliter l’accessibilité aux recharges pour les propriétaires de véhicules électriques, sera maintenu au-delà de 2027. Le Québec vise toujours à avoir au moins 2 millions de véhicules électriques sur ses routes d’ici 2030, avec une flotte actuelle de 240 000 véhicules électriques.

Quel avenir pour l’électromobilité Québécoise?

Avec le déclin des subventions, l’avenir de l’électromobilité au Québec reste une question en suspens. L’intérêt croissant des consommateurs et le maintien du rabais sur les bornes de recharge suggèrent que malgré les défis, le Québec est bien déterminé à poursuivre sa transition vers une mobilité plus durable. Reste à voir comment les automobilistes québécois réagiront à cette nouvelle ère post-subvention.

Réduction des rabais du programme Roulez vert

31/12/24 01/01/25 01/01/26 01/01/27

Véhicules électriques ou à pile à combustible neufs 7 000 $ 4 000 $ 2 000 $ 0 $
Véhicules hybrides rechargeables neufs* 5 000 $ 2 000 $ 1 000 $ 0 $
Véhicules électriques d’occasion 3 500 $ 2 000 $ 1 000 $ 0 $
Motocyclettes électriques 2 000 $ 1 000 $ 500 $ 0 $
Motocyclettes électriques à vitesse limitée 500 $ 0 $ 0 $ 0 $
Bornes de recharge à domicile 600 $ 600 $ 600 $ 600 $

*Le rabais actuel de 5000 $ s’applique aux véhicules hybrides dont la capacité de la batterie est d’au moins 15 kWh.

Avec des renseignements de Radio-Canada

Le texte La fin des subventions pour les véhicules électriques au Québec en 2027 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Pendant que certaines entreprises s’affairent à développer des autos volantes, la société floridienne Poseidon Amphibworks travaille sur un moyen de transport très différent. Baptisé Trident LS-1, il s’agit d’un véhicule amphibie électrique conçu pour se déplacer sur l’eau à la façon d’un hydroptère, une première affirme Steve Tice, PDG et cofondateur de l’entreprise.

Le Trident LS-1 (LS pour land and sea, ou terre et mer) est un véhicule routier qui pourra également servir d’embarcation de plaisance, de transport de passagers ou de marchandise, ou encore pour les sauvetages. Steve Tice évoque même le spectre de la montée des eaux pour affirmer que son véhicule pourrait aussi un jour aider les riverains des cours d’eau. Dans le contexte québécois, on pourrait même croire qu’un véhicule pareil pourrait être l’alternative à… un hypothétique troisième lien !

Conçu pour trois occupants, le Trident LS-1 aura un poste de conduite/pilotage central. Au besoin, un strapontin central permettra d’accueillir un quatrième occupant.

Sur la route, ce véhicule à trois roues sera animé par autant de moteurs électriques. Il aura une vitesse de pointe dépassant 150 km/h et une autonomie de 400 kilomètres.

Pour se transformer en hydroptère (hydrofoil disent les anglophones), il faudra d’abord rehausser la suspension pour accroître la garde au sol avant d’accéder au plan d’eau à partir d’une rampe. Puis, une fois dans l’eau, quatre bras escamotables au bout desquels se trouvent des propulseurs s’étireront vers le bas à la profondeur requise en fonction du tirant d’eau, de la hauteur des vagues ou de la vitesse désirée. Le Trident s’élevera alors au-dessus de l’eau comme pour glisser dessus.

Gros comme un Modèle X

Le constructeur affirme que son véhicule amphibie sera aussi haut, presque aussi long et un peu plus large qu’un utilitaire Tesla Modèle X. Comme ce dernier, il pourra donc être stationné dans le garage typique d’une résidence familiale. Plus léger que ce Tesla (1 270 kg contre 1 730), des vacanciers pourront également le remorquer à plat en utilisant, par exemple, un véhicule récréatif.

Au moment d’écrire ces lignes, le Trident LS-1 est toujours en développement. La video ci-dessus montre la quatrième version de cet amphibie, un design qui remonte au début de 2023. Les photos de cet articles, quant à elles, illustrent sa plus récente mouture — la sixième. Elle a été réalisée par l’équipe du designer floridien Andreas Haase à la fin de l’année dernière. Car il faut préciser qu’actuellement, cet amphibie n’existe que sous la forme d’une maquette. Toutefois, d’ici la fin de l’année, ses concepteurs affirment qu’un premier prototype grandeur nature fonctionnel sera mis à l’essai dans les eaux de la région de San Diego, où se trouvent les ateliers de l’entreprise.

Si le projet passe ensuite au stade de la production (à l’été 2025 si tout va bien, affirme le constructeur), cet amphibie sera assemblé par Hisun, un fabricant chinois de VTT qui a une usine à Saltillo, au Mexique. Poseidon offrira alors son véhicule à des prix allant de 100 000 $ à 130 000 $ US environ.

Photos : Poseidon Amphibworks

Le texte Poseidon Trident LS-1, le 3-roues électrique qui peut « glisser » sur l’eau provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Vous vous souvenez de ces petits dongles que votre compagnie d’assurance offrait pour potentiellement réduire vos tarifs d’assurance ? Les assureurs ont tissé une belle histoire : il suffit de brancher le dongle dans le port OBDII de votre voiture, enregistrer les données télématiques, les envoyer (ou, dans le cas d’aujourd’hui, les transmettre par voie électronique) à la base, puis ils pourraient potentiellement réduire votre prime en fonction de ces données. Il s’est avéré que ce n’était pas toujours le cas, et certains ont rapidement découvert que leurs primes ont augmenté en raison de leur comportement au volant.

Une manière plus sournoise de faire la même chose

Aujourd’hui, les constructeurs automobiles ont rendu ces petits dongles obsolètes en intégrant directement la possibilité de partage de données dans la voiture. Un nouveau rapport du New York Times a révélé que de nombreux constructeurs automobiles partagent désormais des données de conduite avec les compagnies d’assurance, personnalisant ainsi les primes de la même manière que ces petits dongles OBDII optionnels.

Dans un cas, le rapport du NYT a découvert qu’un conducteur de 65 ans d’une Chevrolet Bolt 2022 avait vu sa prime d’assurance augmenter de 21%. Lorsqu’il a commencé à chercher des devis moins chers, ils étaient également élevés. Il a interrogé son agent d’assurance qui lui a dit que son rapport LexisNexis était un facteur dans l’augmentation de sa prime.

Des courtiers en données

LexisNexis est un courtier de données. Essentiellement, ils suivent les dossiers de conduite, les citations, les accidents de voiture, et plus récemment, les données de comportement de conduite des voitures connectées. Ces données sont transformées en un pointage de risque pour les compagnies d’assurance qui peuvent l’utiliser pour adapter les primes aux conducteurs individuels sans avoir besoin du dongle optionnel ennuyeux. Le conducteur mentionné ci-dessus a demandé ses données LexisNexis et a reçu un rapport de divulgation de 258 pages détaillant 640 trajets individuels. Cela incluait les heures de début et de fin, la distance parcourue, les excès de vitesse, les freinages brusques, les accélérations rapides, et plus encore. Les données de localisation n’étaient pas incluses.

Une technologie qui vous espionne

Il s’avère que le conducteur avait activé le service OnStar Smart Driver de GM. Un porte-parole de GM a déclaré au NYT que le conducteur l’avait peut-être activé via l’application mobile, ou l’avait activé lors de l’achat du véhicule. Le NYT indique également qu’il était possible que le conducteur ait opté involontairement à la concession, car les vendeurs peuvent apparemment recevoir des primes pour inscrire les conducteurs aux services OnStar.

Pas seulement GM

Ce n’est pas propre à GM. Kia, Mitsubishi et Subaru ont tous des moyens de soumettre des données à LexisNexis – c’est la raison pour laquelle leur base de données d’échange de télémétrie a collecté des informations auprès de plus de 10 millions de véhicules en 2022. De même, Ford, Honda et Hyundai ont tous des partenariats de partage de données avec Verisk, un autre courtier de données de télémétrie. Tesla dispose également d’un système de pointage de sécurité utilisé pour personnaliser les devis d’assurance pour son offre d’assurance. Ces programmes de partage de données nécessitent apparemment un consentement explicite.

Si vous vous demandez si votre voiture est capable de collecter ces données, vous pouvez entrer votre VIN sur Vehicle Privacy Report. Vous pouvez également demander une copie de votre rapport LexisNexis ou Verisk.

Avec des renseignements de Inside EV’s

Le texte Les constructeurs automobiles partagent vos données avec les assureurs. provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile