Un événement très rare a lieu actuellement au Musée automobile Petersen. Dans le cadre de l’exposition intitulée GM’s Marvelous Motorama: Dream Cars from the Joe Bortz Collection, six voitures de rêves créées pour les Motorama de General Motors sont réunies au même endroit pour la première fois de leur existence.

Cette exposition qui a commencé le 16 mars présente l’héritage des Motorama, ces salons itinérants que GM a présentés aux États-Unis de 1950 à 1961, mais aussi au Québec, de 1953 à 1961. On pouvait y voir l’ensemble des produits des différentes marques du constructeur. Dans les plus grandes villes, l’exposition pouvait aussi inclure des poids lourds et autres véhicules commerciaux, des autocars GM Coach, des véhicules de chantiers Euclid, les dernières nouveautés de filiales comme Delco et AC Spark Plug, sans oublier les électroménagers Frigidaire.

Chaque année, le clou de ces expositions était naturellement une collection de voitures de rêves, des autos qu’on qualifierait aujourd’hui de prototypes ou encore de voitures-concepts.

L’exposition du Musée Petersen réunit pour la première fois de l’histoire six de ces voitures de rêve. Ces pièces uniques qui étaient des vedettes des Motorama de 1953, 1954 et 1955 appartiennent à Joe Bortz, un collectionneur de l’Illinois.

Il s’agit de deux LaSalle II 1955, un roadster et une berline, de la berline Chevrolet Biscayne 1955, de la Buick Wildcat 1953 décapotable, du landau Pontiac Parisienne 1953 (un coupé de ville, si vous préférez) et d’une rutilante Pontiac Bonneville Special, un des deux exemplaires construits pour le Motorama de 1954.

Par le biais de ces voitures et d’autres artefacts, cette exposition met en lumière l’histoire de ces expositions itinérantes utilisées par Harley Earl, le chef du design de GM à l’époque, pour exposer au grand public des éléments de design, des aménagements intérieurs et des technologies en devenir. Dans bien des cas, on pourrait croire que ces concepts servaient avant tout à faire saliver les visiteurs, avouons-le.

Durant un peu plus d’une décennie, GM a réalisé une quarantaine de ces prototypes pour ses Motorama, certains étant fabriqués à plus d’un exemplaire. Cependant, très peu ont abouti au stade de la production. La Chevrolet Corvette décapotable dévoilée au Motorama de 1953 constitue une de ces rares exceptions.

Ces spectacles grandioses cachaient, par ailleurs, le sort ingrat réservé à plusieurs de ces créations. Car, après avoir suscité l’envie des consommateurs durant une deux ou trois saisons, GM s’en débarrassait bêtement en les vendant ou, pire, en les envoyant à la casse !

Quelques-unes de ces créations ont heureusement évité ce sort. C’est le cas de quatre des autos exposées au Petersen : les deux LaSalle, la Biscayne et Bonneville Special. Elles avaient été envoyées chez Warhoops Auto and Truck Parts, un ferrailleur de Sterling Heights au Michigan !

C’est là que Joe Bortz les a sauvés in extremis au milieu des années 80. Il a ensuite minutieusement restauré le roadster LaSalle et la Chevrolet Biscayne, bien que l’une et l’autre avaient été coupées en deux par le ferrailleur en prévision de leur destruction. Le roadster se retrouve aujourd’hui dans un état remarquable, alors que la berline a été laissée « dans son jus », telle que Bortz a été retrouvée. Jamais restaurée, sa Pontiac Bonneville Special bronze est également dans un état original.

« Ces voitures sont les Picasso et les Rembrandt de cette génération automobile », estime Joe Bortz. « Présenter six de ces voitures de rêve des années 50 ensemble dans l’état où elles sont, c’est pour les visiteurs une occasion unique », ajoute-t-il.

D’ailleurs, jamais une collection pareille n’avait été présentée dans ce grand musée californien. « Nous sommes ravis de montrer ces voitures emblématiques et d’illustrer le rôle important joué par les Motorama dans l’histoire de l’automobile », a déclaré Terry L. Karges, directeur exécutif du Musée automobile Petersen.

Aujourd’hui encore, ces voitures de rêves font saliver tout le monde, à commencer par les visiteurs du Petersen. C’est aussi le cas parmi les collectionneurs chez qui on en retrouve qui n’hésite pas à débourser de grosses sommes pour en posséder une. Pour preuve, l’autre Pontiac Bonneville Special 1954, qui est vert émeraude, a été vendue pour la somme de 3,3 millions de dollars US en 2015 !

Photos : Musée automobile Petersen

Le texte Six voitures qui font rêver sont en vedette au Musée Petersen de Los Angeles provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Il se nomme Octa

Il est le plus récent modèle de la sous-marque Defender

Il sera l’ultime véhicule hors-route pour 2024

Il sera habillé d’un V8 biturbo

Defender, l’une des trois marques récemment détachées de Land Rover, lancera un vaisseau amiral haute performance d’ici la fin de l’année 2024. Le tout-terrain sera basé sur le Land Rover Defender 110. Il recevra un puissant V8 biturbo et de nombreuses améliorations au niveau du châssis.

Inspiré par le diamant

La forme octaédrique d’un diamant a inspiré le nom Octa, selon Defender, et une dispersion d’emblèmes en forme de carré à l’intérieur et à l’extérieur aidera à distinguer ce modèle (et d’autres variantes haut de gamme à venir) des niveaux de finition plus abordables. En zoomant sur l’une des images de prévisualisation publiées par la marque, on constate que l’Octa reçoit également un ensemble de carrosserie spécifique et une voie élargie couverte par des passages de roues.

Un Raptor à l’Européenne

D’une certaine manière, il ressemble presque à un Raptor. Il est grand, large, et on prêt à en découdre avec les terrains les plus difficiles. Defender annonce que la puissance de l’Octa provient d’un moteur V8 biturbo relié à un système hybride léger, bien que les spécifications techniques n’aient pas encore été communiquées. Le tout-terrain sera également équipé de série du système de suspension 6D Dynamics déjà disponible sur le Range Rover Sport SV. Cette technologie hydraulique permet de contrôler le tangage et le roulis et de s’assurer que l’Octa reste pratiquement à plat, que ce soit à l’accélération, au freinage ou dans les virages. Elle augmente également le débattement des roues.

Sans oublier le luxe

Des freins Brembo figurent sur la liste des équipements de série. À l’intérieur, l’Octa devrait offrir un luxe comparable à celui du Range Rover – Defender le présente comme le membre le plus luxueux de sa gamme. En lisant entre les lignes, on peut penser que le SUV a la Mercedes-Benz Classe G dans sa ligne de mire. Nous pensons que les acheteurs disposeront également d’une longue liste d’options de personnalisation.

D’ici la fin de l’année

Defender dévoilera l’Octa plus tard en 2024. D’ici là, le tout-terrain sera soumis à une série de tests dans des conditions très diverses, notamment dans le désert brûlant de Dubaï, dans les paysages gelés de Suède, sur les pistes tout-terrain de Moab et sur le circuit du Nürburgring.

Le texte Un Ultime Defender hors route provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

On l’a vu faire des beignes sur la Strip à Las Vegas en janvier dernier, mais c’est officiellement cette semaine que Mercedes-Benz lève le voile sur ce qu’il convient d’appeler la cinquième génération de son Geländewagen, le Classe G 2025, un 4×4 qui change beaucoup, mais en même temps, qui change aussi très peu.

Parce que c’est assez apparent au premier coup d’œil : Mercedes-Benz n’a pas voulu trop changer sa silhouette, très carrée, très classique. Certains diront très intemporelle. On reconnaît le Classe G original, qui date de 1979, mais le capot, la calandre et les pare-chocs ont quand même une forme plus moderne.

En tout cas, ce camion-là a une allure unique. Et pourtant, il sera offert en quatre variantes par la marque allemande. Une de ces versions serait une édition électrique, dont on reparlera sans doute dans un futur proche.

Trois cylindrées

Les trois versions à moteur thermique du Classe G 2025 sont le G550, de base, et deux versions du G63 AMG, dont une version Offroad Edition qui, vous l’avez compris, est faite sur-mesure pour faire l’ascension d’un volcan en pleine éruption. Sa suspension est hydraulique, on trouve trois différentiels à blocage manuel, les roues et les garde-boue sont exclusifs, et on a des modes de conduite exprès pour ne jamais tomber en bas de la falaise.

Tout ça repose sur la mécanique du G63 AMG, lui-même un monstre, déjà. Il est propulsé par un V8 biturbo, parce que pourquoi pas, qui lui permet de boucler le 0-100 km/h en 4,3 secondes, ce qui est complètement déjanté… Il repose sur des roues de 22 pouces, et son échappement a été devancé devant les roues arrière. On trouve beaucoup de fibre de carbone, pour l’alléger un peu, et une suspension variable ajustable électroniquement qui assure une conduite irréprochable peu importe où vous roulez.

De base, le G550 est animé par un 6 cylindres aidé par un petit moteur électrique de 48 volts. On dit que sa consommation moyenne est réduire de 3 litres aux 100 kilomètres. À voir.

Classe G 2025.. avec MB.OS

À bord, c’est aussi la totale. On trouve le nouveau système MBUX avec MB.OS, et une sono Burmeister qui propose du son 3D spatialisé. Mercedes-Benz a aussi créé un système de caméras qui offre une vue à 360 degrés très pratique, surtout en hors-route.

En tout cas, on a bien hâte de conduire ça dans la boue. Surtout qu’on n’aura pas besoin de l’acheter, parce que, honnêtement, on n’a pas hâte d’en connaître le prix…

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Volkswagen a été surpris en train de tester un prototype de crossover compact, suscitant des spéculations sur un VUS similaire destiné aux États-Unis et au Canada pour remplacer le Tiguan actuel.

Le Tayron

Le Tayron actuel vendu exclusivement en Chine, devrait être dévoilé cette année et être vendu à l’échelle mondiale, contrairement à son prédécesseur.

Remplacement potentiel

Dans de nombreux marchés, ce nouveau Tayron pourrait remplacer l’actuel Tiguan Allspace, offrant une version à sept places pour concurrencer sur le marché nord-américain.

Nouvelle plateforme

Volkswagen prévoit également un nouveau Tiguan aux États-Unis et au Canada cette année, partageant la plateforme MQB avec le Tayron, mais avec un design unique pour ce marché.

Technologie électrique en vue

En plus de ces développements, Volkswagen travaille sur un VUS électrique potentiellement appelé ID.Tiguan, prévu pour 2025, bien que sa disponibilité chez nous reste incertaine.

Avec des renseignements de Motor Authority

Le texte Le Volkswagen Tayron 7 places pourrait remplacer le Tiguan provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Nissan prévoit de dynamiser sa gamme avec 30 nouveaux modèles sous son plan d’entreprise “The Arc”. Seulement 16 seront des hybrides ou des électriques, laissant 14 propulsés uniquement par des moteurs à combustion.

Une vidéo intrigante

Une vidéo teaser montre les contours mystérieux de la plupart des futurs véhicules, mais 5 semblent cachés par Nissan.

Stratégies régionales

Aux États-Unis et au Canada, Nissan compte introduire 7 nouveaux modèles, dont des hybrides rechargeables et des e-Power (hybride branchable). Ces derniers utilisent un moteur à combustion comme générateur pour alimenter un moteur électrique (dans le style de la Chevrolet Volt).

Coup de projecteur sur les VUS

Nissan mise fortement sur les VUS, avec des surprises comme une version adaptée de la Renault 5 et un nouveau pick-up, potentiellement le camion d’une tonne pour l’Australie.

Objectifs mondiaux

À l’échelle mondiale, Nissan vise à ce que 40 % de sa gamme soit électrifiée d’ici 2026-2027 et atteigne 60 % d’ici la fin de la décennie.

Innovation technologique

Nissan ambitionne de réduire les coûts de production des VE de 30 % par rapport à l’Ariya actuelle et vise la parité des coûts avec les moteurs à combustion d’ici 2030. Des batteries améliorées sont également en développement, y compris des batteries à l’état solide attendues pour 2028-2029.

Projets de partenariat

Des pourparlers avancés entre Nissan et Fisker pourraient aboutir à un partenariat, tandis que des discussions avec Honda concernent les véhicules électriques.

L’avenir de la GT-R

Le successeur de la GT-R reste un mystère, mais Nissan laisse entrevoir la possibilité d’un concept entièrement électrique d’ici la fin de la décennie.

Avec des renseignements de Motor 1

https://www.youtube.com/watch?v=EDJ3GVA1QRw

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Un Canadien résidant en Chine a été arrêté aux États-Unis pour avoir prétendument volé des secrets commerciaux du constructeur de voitures électriques Tesla et conspiré pour les vendre à des agents infiltrés des forces de l’ordre.

Vol de technologie

Klaus Pflugbeil, l’exploitant d’une entreprise basée en Chine qui vend des technologies utilisées dans les véhicules électriques, a été arrêté mardi à New York, ont déclaré les procureurs fédéraux de Brooklyn. Il s’était rendu à un rendez-vous avec des agents infiltrés qu’il croyait être des hommes d’affaires de Long Island, ont indiqué les procureurs.

Un associé chinois

Pflugbeil et son associé Yilong Shao ont créé leur entreprise en utilisant des secrets commerciaux appartenant à “une grande entreprise américaine de véhicules électriques”, ont déclaré les procureurs. M. Shao a également été inculpé, mais il est toujours en fuite.

Revente à une société canadienne

Les procureurs n’ont pas nommé la société américaine, mais ont déclaré qu’elle avait acquis un fabricant de lignes d’assemblage de batteries basé au Canada en 2019. Cela correspond à la description de l’acquisition par Tesla d’une entreprise canadienne nommée Hibar. Pflugbeil et Shao sont tous deux d’anciens employés de la société canadienne, selon les procureurs.

Devant la cour cette semaine

Pflugbeil devrait comparaître pour la première fois devant le tribunal fédéral de Brooklyn mardi après-midi, ont indiqué les procureurs. Son avocat n’a pas répondu immédiatement à une demande de commentaire. Shao n’a pas pu être joint pour un commentaire.

Avec des renseignements d’Autoblog

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Ferrari prévoit d’intégrer des volants de style course dans ses voitures de route. Les conducteurs auront un contrôle manuel du couple de chaque roue depuis le volant. Ce design novateur de Ferrari offrira aux conducteurs un niveau de contrôle jamais vu dans les voitures de route.

Un Dieu de la conduite

Ferrari envisage d’installer un volant de Formule 1 dans ses futures voitures de route. Le site CarBuzz a découvert un dépôt de brevet auprès du United States Patent and Trademark Office pour un volant de style course avec des poignées ajustables qui donneraient à votre Ferrari l’impression d’être une voiture de course victorieuse du Mans. Cela offrira des niveaux de contrôle jamais vus auparavant, en particulier en ce qui concerne la capacité de contrôler manuellement le couple de chaque roue depuis le volant lui-même. Le concept implique une voiture ou dans laquelle le couple de roue peut être réparti individuellement – ce qui indique probablement un moteur électrique avec un moteur par roue, soit peut-être une voiture à combustion avec un différentiel de répartition du couple.

Aspect du volant de voiture de course

Ferrari présente quatre designs pour un volant similaire, qui ressemble à celui que l’on pourrait trouver sur la 499P Modificata – le jouet de piste privé de Ferrari basé sur la voiture de course 499P. Il a une forme rectangulaire avec des indicateurs lumineux en haut, une variété de cadrans Manettino pour contrôler diverses fonctions, et même des boutons d’indicateur (suggérant une utilisation potentiellement légale sur route). Mais chaque exemplaire diffère légèrement en ce qui concerne les poignées sur les côtés, tous dans le but de fournir une couche supplémentaire de contrôle au conducteur.

Contrôlez le couple de chaque roue en un clin d’œil

Ce que les quatre designs ont en commun est une partie ajustable ou manipulable de chaque côté du volant connectée au contrôleur de groupe motopropulseur de Ferrari. L’élément manipulable prend diverses formes : dans l’un, toute la poignée peut être tournée, tandis que dans un autre, une petite partie peut être tournée par les pouces du conducteur. Les deux autres présentent une poignée qui peut être tirée vers l’extérieur, pivotant soit sur une charnière au bas du volant, soit en glissant entièrement vers l’extérieur.

Lorsque vous tournez, poussez ou tirez sur la partie manipulable du volant, l’ordinateur du groupe motopropulseur répartit un couple supplémentaire à la roue motrice correspondante, permettant ainsi au conducteur de contrôler la dérive et le sous-virage à la demande. Au lieu qu’un ordinateur décide d’accélérer ou de freiner la roue extérieure en virage pour effectuer une répartition du couple, le conducteur serait aux commandes de cette opération.

Ferrari transforme les pilotes en Dieu de la conduite

En contrôlant des variables supplémentaires, le conducteur peut inciter la voiture à se comporter d’une manière autrement impossible à provoquer manuellement. Le dépôt de brevet de Ferrari affirme qu'”un pilote expert peut avoir, par exemple, un contrôle total sur le sous-virage ou le survirage du véhicule dans les virages”, mais propose un autre scénario dans lequel “le conducteur peut pleinement exploiter les caractéristiques du véhicule, s’il décide de recourir à une technique de virage impliquant la dérive du véhicule”.

Oui, le nouveau volant de Ferrari pourrait vous propulser à un nouveau niveau de conduite divine. L’inverse pourrait aussi être vrai – quelqu’un qui ne sait pas ce qu’il fait pourrait tout gâcher et avoir un accident. Heureusement, des dispositifs de sécurité sont inclus, et la partie contrôlable du volant peut être verrouillée ou activée avec des boutons ou des mécanismes de verrouillage pour éviter un déclenchement non désiré de couple supplémentaire par accident.

Avec des renseignements de Carbuzz

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À la suite d’une poursuite et d’une enquête explosive menée par le New York Times, révélant la pratique inquiétante de nombreux constructeurs automobiles partageant les données de conduite des clients avec l’industrie de l’assurance, ce qui entraîne une augmentation des primes pour certains conducteurs, General Motors a annoncé qu’il mettait fin à sa relation avec les courtiers de données LexisNexis et Verisk.

Une poursuite sur les bras

La poursuite en recours collectif a été déposée le 13 mars par Romeo Chicco de Floride contre GM, OnStar et LexisNexis. Selon le Detroit Free Press, Chicco allègue que les données fournies par GM sur ses habitudes de conduite au volant de sa Cadillac, comprenant des détails sur son excès de vitesse, son freinage et son accélération, ont été partagées avec LexisNexis, qui les a ensuite transmises aux assureurs, entraînant une augmentation significative de ses primes.

Rectifier le tir

Dans une déclaration, le porte-parole de GM, Kevin Kelly, a déclaré au Detroit Free Press: “Depuis le 20 mars, les données des clients d’OnStar Smart Driver ne sont plus partagées avec LexisNexis ou Verisk. La confiance des clients est une priorité pour nous, et nous évaluons activement nos processus et politiques de confidentialité.” La décision de privilégier la confiance et la confidentialité des clients de cette manière pourrait être un peu tardive. Le 11 mars, le New York Times a publié un article sur un homme qui a déclaré se sentir trahi par GM. Le fabricant avait envoyé des données sur sa conduite au courtier de données LexisNexis qui, à son tour, avait créé un rapport de risque. Ce rapport de risque est devenu un facteur d’augmentation de prime lorsque l’homme, Kenn Dahl, a cherché une assurance. Selon le NYT, Chicco allègue que GM et OnStar ont enfreint les lois sur la confidentialité et la protection des consommateurs.

Une politique illégale

Le résultat de la communication de ses données a apparemment conduit sept compagnies d’assurance différentes à le rejeter. Lorsqu’il a enfin trouvé une compagnie qui couvrirait sa Cadillac, elle n’a accepté de le faire qu’à un taux presque deux fois plus élevé que ce qu’il payait.

D’autres constructeurs visées

Le Detroit free press rapporte que cela ne pourrait être que le premier de nombreux procès concernant ce type de traitement des données. “Il y aura d’autres cas à venir. Il s’agit d’une grave violation de la part des constructeurs automobiles. C’est une violation de la confidentialité et il y a des conséquences financières”, déclare David Vladeck, ancien directeur du Bureau de protection du consommateur de la Federal Trade Commission. GM n’est pas le seul constructeur automobile à vendre (ou avoir vendu) des données. Honda, Acura, Kia, Hyundai et Mitsubishi le font également, bien que dans des proportions et avec des normes de confidentialité variables en place. Il semble que dans la plupart des cas, les conducteurs ne savent pas que leurs données sont collectées. De plus, ils ne sont presque certainement pas conscients de la façon dont elles sont utilisées.

Avec des renseignements de Carscoops

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Le VUS Ioniq 5 s’est pointé sur le marché en 2022 et il s’est avéré populaire dès le départ, principalement en raison de son style accrocheur, mais aussi parce que dans l’ensemble, on parle d’un modèle efficace au format attrayant.

Cependant, on a rapidement réalisé qu’il avait une énorme tache à son dossier ; la lunette arrière ne proposait pas d’essuie-glace. Or, si ce détail est vite oublié lorsqu’on roule en Californie, au Québec, c’est une autre paire de manches.

Lors de la semaine du 26 février au 4 mars dernier, j’étais au volant d’une version 2024 et j’ai vécu une situation à laquelle ont certainement été confrontés quantité de propriétaires, soit une sortie où la lunette arrière s’est transformée en porte de douche. Vous savez, celle recouverte d’un enduit opaque où l’on ne voit que des formes qu’on n’arrive jamais à distinguer.

Il fallait que je vous raconte mon aventure et que j’en profite pour y aller d’une recommandation toute simple ; attendez donc avant d’acheter ce modèle, surtout que l’essuie-glace sera de la partie en 2025.

Une question de sécurité

Et la raison est bien simple ; c’est une question de sécurité. Lors de ma balade d’environ 170 km, alors qu’une fine bruine s’abattait, la lunette s’est rapidement obstruée. Il n’y a rien de pire qu’une douche de millions de gouttelettes qui viennent littéralement se coller aux vitres.

Avec les glaces latérales, ça va ; il suffit de les baisser et de les remonter de temps en temps et le tour est joué. À l’arrière, après une dizaine de kilomètres, je n’y voyais plus rien, comme vous pouvez le constater sur la photo. Oh, il était bien sûr possible de distinguer des phares ici et là, mais pour la précision, on repassera.

Sur l’autoroute, l’expérience n’avait rien d’agréable. Lorsqu’un véhicule se pointait derrière, je savais qu’il était là, mais il m’était impossible de juger à quelle distance. On doit alors constamment avoir les yeux dans les rétroviseurs latéraux. Vous me direz que c’est exactement la réalité de tous ceux qui conduisent un fourgon muni de portes pleines à l’arrière. Vous avez raison. Cependant, ce type de véhicule est équipé de rétroviseurs latéraux beaucoup plus larges. De plus, on sait dans quoi l’on s’embarque avec ce genre de modèle alors qu’on n’achète pas un Ioniq 5 pour avoir la sensation de conduire un fourgon.

Comme « faux pas », l’idée de commercialiser ce genre de véhicule sans essuie-glace arrière en est tout un. Heureusement, la chose sera corrigée en 2025.

Le reste

Pour le reste, on passe un bon moment au volant du Ioniq 5. Ce qui marque le plus l’expérience, c’est le niveau de confort, vraiment excellent. J’avais à l’essai le Kona électrique lors de la semaine précédente et la différence est notable entre les deux. Pour ce qui est du poids, c’est lourd à quelque 2000 kg pour la version à quatre roues motrices. On a vu pire. C’est environ le poids du nouveau Santa Fe, un véhicule bien plus gros. Conséquemment, on ne tente pas trop de manœuvres sportives au volant du Ioniq 5. Quant à l’autonomie, ça varie bien sûr d’une version à une autre, avec une liberté annoncée de 488 km avec les modèles à deux roues motrices (propulsion) et 414 avec ceux dotés du rouage intégral. Notez que ce sera bonifié pour 2025, une autre raison d’attendre la prochaine cuvée

Une fois chargé, le tableau de bord de mon modèle d’essai m’indiquait la possibilité de franchir 350-355 km, une réalité qui devenait rapidement 330-340 km en faisant grimper la température de l’habitacle. Les produits coréens sont plutôt sensibles à tous ces petits changements. Ça a le désavantage d’être un peu plus stressant, mais parallèlement, on sait exactement à quoi s’en tenir lorsqu’on fait fonctionner des appareils.

Pour ce qui est de l’autonomie annoncée, elle s’est avérée assez précise, malgré un trajet réalisé majoritairement sur autoroutes. La température était clémente (5 à 10 degrés Celsius), ce qui fait que je n’ai pas été trop inquiet de ce côté. Historiquement, avec l’essai d’autres produits Hyundai par temps froid, j’ai trouvé que l’autonomie avait tendance à fondre un peu trop rapidement sur l’autoroute, comparativement à la réalité vécue avec des modèles concurrents. Là, c’était tout à fait correct.

Conclusion

Si le Hyundai Ioniq 5 est sur votre liste d’achats, sachez qu’on recommande ce modèle à l’Annuel de l’automobile. Cependant, je le répète, puisqu’un essuie-glace sera présent avec les versions 2025, patientez ; vous allez vous féliciter de l’avoir fait.

Le texte Hyundai Ioniq 5 2024 : attendez l’essuie-glace arrière provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Nissan a dévoilé aujourd’hui le tout nouveau Kicks 2025 . Le tout nouveau Kicks présente plusieurs technologies inédites pour ce modèle, ainsi qu’une augmentation notable de l’espace intérieur pour les passagers et le chargement. L’ajout de la traction intégrale intelligente en option, une première pour Kicks, offre aux clients une confiance accrue sur la route,. Kicks est également doté d’un nouveau moteur de 2,0 litres à quatre cylindres qui offre 141 chevaux et 140 lb-pi de couple, associé à une transmission Xtronic plus réactive.

Style expressif

Comparé à son prédécesseur, le Kicks 2025 est plus imposant à l’extérieur et offre un intérieur plus spacieux, avec un espace de chargement généreux. De plus, un nouveau toit ouvrant panoramique électrique en option laisse entrer abondamment la lumière du soleil, améliorant la sensation intérieure spacieuse.

Conduite en toute confiance

Chaque Kicks comprend le Nissan Safety Shield de série pour offrir plus de réconfort au conducteur. Pour rester connecté, il offre la commodité d’Apple CarPlay et d’Android Auto de série, ainsi que jusqu’à quatre ports USB Type-C et la recharge sans fil en option. Le système Pro Pilot est offerte en option et combine l’assistance à la direction avec le régulateur de vitesse intelligent pour aider les conducteurs à rester centrés dans leur voie.

Les spécifications, les caractéristiques et les options complètes se trouvent dans le dossier de presse Nissan Kicks 2025. Les prix seront annoncés à l’approche de la date de mise en vente.

Le texte Un Nissan Kicks complètement repensé pour 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile