La National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) aux États-Unis a annoncé l’ouverture d’une enquête préliminaire concernant 877 710 véhicules produits par General Motors (GM). Cette démarche fait suite à des rapports faisant état de pannes moteur. Cette enquête concerne des modèles de Chevrolet Silverado, GMC Sierra, Chevrolet Tahoe, Chevrolet Suburban, GMC Yukon et Cadillac Escalade produits entre 2019 et 2024. Tous ces véhicules sont équipés du moteur V8 L87.

Détails des problèmes signalés

Selon le régulateur de sécurité automobile, les plaignants ont rapporté des défaillances des roulements pouvant entraîner soit une saisie du moteur, soit un percement du bloc moteur par la bielle. Une telle panne pourrait provoquer une perte de puissance motrice, augmentant ainsi le risque d’accident. Cependant, le rapport de la NHTSA précise qu’aucun accident ni incendie n’a été signalé. La NHTSA a reçu 39 plaintes et plusieurs rapports de terrain émis dans le cadre du système d’alerte précoce. Les propriétaires de véhicules ont également signalé qu’aucun signe précurseur de défaillance n’était détectable avant que le moteur ne tombe en panne.

Objectifs de l’enquête préliminaire

Également appelée évaluation préliminaire, l’enquête vise à déterminer l’ampleur et la gravité du problème potentiel, ainsi qu’à évaluer pleinement les problèmes liés à la sécurité. De son côté, General Motors a déclaré qu’elle continuerait à coopérer avec la NHTSA dans cette affaire.

Avec des renseignements de Reuters

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• Polestar établit son plan de match pour les Polestar 5, 6 et 7.

Le constructeur suédois Polestar, spécialisé dans les véhicules électriques de performance, a confirmé plusieurs projets majeurs cette semaine. Parmi eux, le Polestar 7. Ce VUS compact, qui remplacera la Polestar 2 en tant que modèle d’entrée de gamme de la marque, est prévu autour de 2027.

Le concept Polestar 5
Le concept Polestar 5 | Auto123.com

Polestar 5 et 6 : des étapes clés avant le 7

Avant l’arrivée du Polestar 7, la marque prévoit de lancer deux modèles marquants. En 2025, la Polestar 5, une berline électrique rivalisant avec la Porsche Taycan et la Tesla Model S, marquera une avancée technologique majeure. Ce modèle, inspiré du concept Precept présenté en 2020, offrira jusqu’à 884 chevaux grâce à une plateforme développée en interne.

Puis, en 2026, la Polestar 6, un coupé sportif basé sur le concept O2, viendra compléter l’offre avec des performances similaires à celles de la Polestar 5.

Le Polestar 7 : un VUS compact conçu en Europe

Le Polestar 7 sera produit en Europe, une décision stratégique pour éviter les lourdes taxes imposées aux véhicules fabriqués en Chine. Ce modèle devrait utiliser la plateforme SEA de Geely, déjà exploitée par le Volvo EX30 et d’autres modèles électriques. Cette architecture promet des performances élevées, comme des accélérations de 0 à 100 km/h en 3,4 secondes pour les versions les plus puissantes.

Le design du Polestar 7 sera l’œuvre de Philipp Römers, ancien designer chez Audi, qui a pris les rênes du design chez Polestar en 2023. Selon lui, le Polestar 7 incarnera tout ce que les clients attendent en matière de design et de performance.

Objectifs ambitieux pour Polestar

Avec l’arrivée de ces nouveaux modèles, Polestar prévoit une croissance des ventes de 30 à 35 % entre 2025 et 2027. La marque envisage également d’élargir son réseau de distribution, passant de 36 à 57 points de vente en Amérique du Nord.

Parallèlement, Polestar compte réduire ses coûts en se concentrant sur une seule plateforme flexible après 2027, tout en augmentant ses revenus grâce à la vente de crédits carbone.

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En 2024, nous avons eu droit au lancement de la version électrique du Porsche Macan. Le plan initial était que ce modèle venait remplacer graduellement la version à essence, qui ne serait pas renouvelée au bout de son cycle de production.

Or, la façon dont le marché du véhicule électrique se comporte à travers la planète, avec des fluctuations qui inquiètent sur certains marchés, pourrait forcer Porsche à revoir son plan.

Une nouvelle génération du Macan à essence?

Le site Autocar, citant des sources anonymes, rapportait hier que Porsche envisageait la possibilité de proposer une nouvelle génération du Macan à essence.

Une autre des possibilités étudiées serait de modifier le Macan électrique pour l’équiper d’un groupe motopropulseur hybride rechargeable où un moteur à essence servirait de générateur pour augmenter l’autonomie.

La popularité de ce type d’approche croît à travers l’industrie. La nouvelle marque électrique du groupe Volkswagen, Scout, prévoit une telle configuration pour sa camionnette Terra et son VUS Traveler.

Chez Stellantis, Ram a annoncé que la version à prolongateur d’autonomie de sa camionnette 1500 serait produite avant la version tout électrique. General Motors a déjà annoncé le retour de cette technologie que l’on a déjà vue avec la Chevrolet Volt.

Le Porsche Macan EV 2025
Le Porsche Macan EV 2025 | Auto123.com

Le Macan électrique, un succès

Quant au nouveau Macan électrique, il a connu un excellent départ. Lancé à l’automne, il a quand même été écoulé à raison de 18 278 unités. Cependant, Porsche est prudente, car avec sa berline Taycan, elle a vu le modèle connaître un départ canon, mais par la suite subir une baisse importante. On parle de 49 % en 2024, par rapport à 2023.

Il y a quelques années, Porsche parlait d’une gamme où 80 % de ses ventes seraient tout électriques en 2030. La compagnie a revu ses plans l’été dernier. Il est clair que les modèles à essence vont côtoyer ceux tout électriques sur une période plus longue qu’initialement prévu.

Il faudra voir, donc, ce que la compagnie va décider avec son Macan à essence, dont la production devait prendre fin d’ici l’année prochaine. Pour le Cayenne, la compagnie a confirmé l’été dernier qu’une version à essence serait vendue au-delà de 2030, même si la variante 100 % électrique doit se pointer en 2026.

Le même sort pourrait être réservé à la Panamera, ainsi qu’à la 911.

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Honda et Nissan, on le sait, en sont parvenus à une entente de principe concernant leur éventuelle collaboration. Avant d’en arriver là, les deux firmes doivent négocier certaines choses, en arriver à des consensus concernant d’autres.

Un des éléments qui est discuté, selon le Kyodo News, concerne la participation de Renault dans Nissan. Honda aurait demandé à cette dernière si elle était en mesure d’acquérir la participation de Renault, qui est évaluée à 35,7 %. Cela équivaut à quelque 3,6 milliards en devises américaines. L’alliance entre Nissan et Renault remonte à 1999 et Mitsubishi s’est joint au groupe en 2016.

Les logos de Renault, Mitsubishi et Nissan
Les logos de Renault, Mitsubishi et Nissan | Auto123.com

Une influence étrangère

Le problème, c’est que Honda craint que Nissan tombe sous une influence étrangère indésirable si la participation de Renault est rachetée par une tierce partie alors que les négociations pour absorber Nissan sont en cours, a déclaré Kyodo le 16 janvier, citant des sources près du dossier, mais qui n’ont pas voulu être identifiées.

Avant l’annonce concernant l’intervention de Honda chez Nissan, dame rumeur était active. Une des informations qui a circulé concernait le fabricant de iPhone Hon Hai Precision Industry, aussi connu sous le nom de Foxconn. Ce groupe était intéressé par un rachat partiel ou total de Nissan afin d’utiliser sa capacité de production et de soutenir sa propre incursion dans le domaine des véhicules électriques.

Le gouvernement japonais n’aurait pas aimé de voir l’un de ses constructeurs automobiles passer aux mains des Taïwanais. Honda et Nissan ont déclaré qu’ils prévoyaient d’annoncer le cadre de leur accord d’ici la fin du mois et qu’ils visaient à introduire en bourse une société distincte qui regrouperait les deux entreprises d’ici le mois d’août 2026.

Le logo Honda
Le logo Honda | Auto123.com

Plus facile à dire qu’à faire

Il n’est toutefois pas certain que Nissan dispose des fonds nécessaires pour racheter la participation de Renault. La valeur de marché de Nissan a chuté à environ 1,56 billion (billion = mille milliards) de yens, tandis que sa trésorerie et ses équivalents de trésorerie s’élevaient à environ 1,52 billion de yens au 31 décembre.

Nissan est également en proie à des difficultés financières, ce qui explique en partie l’intérêt d’un rapprochement avec Honda. En novembre, Nissan a annoncé le licenciement de 9000 travailleurs et la réduction d’un cinquième de sa capacité de production après la chute de 94 % de son bénéfice net au cours de la première moitié de son de son exercice fiscal.

Nissan prévoit désormais que son bénéfice d’exploitation tombera à 150 milliards de yens pour l’année qui s’achèvera en mars, soit une baisse de 70 % par rapport à ses prévisions précédentes.

La direction a également revu à la baisse ses prévisions de revenus de plus de 9 %, ce qui signifie qu’elle ne s’attend pratiquement plus à une croissance pour l’année.

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La gouverneure de l’état du Michigan, Gretchen Whitmer, a prévenu la future administration Trump que les tarifs anticipés de 25 % sur les importations en provenance du Canada et du Mexique pourraient nuire à l’industrie automobile américaine et faire augmenter le prix des véhicules.

Cette dernière a déclaré le tout lors d’un discours tenu à Détroit. Selon elle, l’imposition de droits de douane affecterait les chaînes d’approvisionnement, ralentirait les lignes de production et supprimerait « des emplois des deux côtés de la frontière ».

C’est le site Automotive News qui nous rapporte cette nouvelle. Gretchen Whitmer en rajoute :

« Pensez-y : 70 % de toutes les pièces automobiles que nous fabriquons dans le Michigan sont directement envoyées chez nos voisins… Le seul gagnant dans cette équation est la Chine. Elle n’aimerait rien de plus que de nous voir paralyser l’écosystème automobile américain par nos propres moyens. C’est une question de sécurité nationale. »

Comme elle l’a rappelé, plusieurs pièces automobiles traversent la frontière plusieurs fois avant de faire partie d’un véhicule assemblé. Elle a aussi souligné qu’un quart des 700 milliards USD d’échanges commerciaux annuels entre le Canada et les États-Unis passe par la frontière Detroit-Windsor.

Le Ford Maverick 2025
Le Ford Maverick 2025 | Auto123.com

« Chaque fois qu’une pièce automobile du Michigan traverse la frontière et est taxée, ces coûts sont répercutés sur le concessionnaire », a déclaré Whitmer. « Parfois, cela se produit plusieurs fois au cours de la production. Cela signifie que vous paierez plus cher pour acheter un Chevrolet Silverado, réparer le moteur de votre Ford Mustang ou remplacer l’aile de votre Jeep Grand Cherokee. »

D’autres chiffres hallucinants ont été avancés, dont celui concernant les dix principaux constructeurs qui possèdent des usines au Mexique. Ces derniers ont assemblé 1,4 million de modèles au cours des six premiers mois de 2024. Du nombre, 90 % ont été achetés par des Américains.

Le grand patron de Ford, Jim Farley, a déclaré la semaine dernière qu’une grande partie de la chaîne d’approvisionnement de son entreprise dépendait de pays du monde entier et que les droits de douane constituaient un véritable défi.

Gretchen Whitmer a déclaré qu’elle et son bureau avaient eu des discussions actives avec le premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, et d’autres responsables canadiens « pour explorer les moyens de collaborer sur les tarifs douaniers, de réduire le coût des affaires et de protéger l’industrie et les consommateurs du Michigan ».

Donald Trump a menacé d’imposer des tarifs de 25 % dès son entrée en fonction le 20 janvier prochain. Le temps commence à presser.

Le Chevrolet Equinox 2024, à Détroit
Le Chevrolet Equinox 2024, à Détroit | Auto123.com

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La suspension brusque du programme fédéral iZEV (Incentives for Zero-Emission Vehicles) a causé une onde de choc dans l’industrie automobile. Ce programme, essentiel pour encourager les consommateurs à adopter des véhicules électriques (VE), a été mis en pause avec un préavis minimal, mettant en péril les ventes et ralentissant la transition énergétique. Comme d’autres constructeurs, Ford a ajusté ses prix.

Un appel à l’action pour le gouvernement

Ford exhorte le gouvernement fédéral à rétablir rapidement les incitatifs du programme iZEV. Ces aides financières ont prouvé leur efficacité pour rendre les VE plus accessibles et encourager les consommateurs à faire le saut vers une mobilité verte.

Une réponse proactive : Des incitatifs du manufacturier

En attendant une reprise éventuelle du programme iZEV, Ford du Canada a décidé de prendre les devants en introduisant ses propres incitatifs temporaires. Ces rabais sont valables pour les ventes réalisées entre le 13 et le 31 janvier 2025 et concernent plusieurs modèles électriques et hybrides rechargeables éligibles.

Les détails des incitatifs Ford :

  • 5 000 $ pour les Ford Mustang Mach-E (2023-2025).
  • 5 000 $ pour les Ford F-150 Lightning Pro et XLT (2023-2025).
  • 5 000 $ pour les Ford Escape PHEV (2024-2025).
  • 2 500 $ pour les Lincoln Corsair PHEV (2024-2025).

Ford précise que cette initiative n’a pas vocation à remplacer définitivement le programme iZEV, mais à offrir un soutien temporaire aux consommateurs.

Une transition à ne pas freiner

La suspension du programme iZEV met en lumière les défis auxquels l’industrie automobile fait face dans la transition énergétique. Ford, en tant que leader, montre l’exemple en offrant des solutions temporaires tout en appelant à une action rapide du gouvernement.

Le texte Ford ajuste ses prix pour les véhicules électriques et PHEV provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Bien sûr, les avions l’ont pour une tout autre raison. Dans nos anciennes, la boite noire (rarement d’une autre couleur) est le régulateur de voltage, ou la boite de contrôle, plus souvent nommée de cette façon.

Très tôt, au début de l’ère automobile, il a fallu charger la batterie. C’était plutôt simple, un générateur de courant tournait, et il était de faible capacité, puisque le système électrique était très léger, avec sans ou peu d’accessoires. Alors, le générateur, peu importe sa vitesse de rotation, chargeait la batterie. Il y avait un interrupteur ON/OFF souvent monté sur celui-ci, qui mettait en marche le générateur, et le déconnectait du circuit une fois le moteur arrêté. En résumé, au début de l’ère automobile, un générateur de faible puissance fonctionnait sans contrôle, il était soit ON ou soit OFF.

Venu plus tard, les accessoires. Les phares à filaments, moteur de chaufferette etc. Un générateur de plus grande puissance fût nécessaire pour éviter de drainer la batterie, si tous les accessoires étaient utilisés en même temps. L’idée de construire un générateur plus puissant était d’une évidence comme le soleil en plein jour, sauf que, si le générateur est plus puissant en ampères, et qu’il n’est pas contrôlé, il va surcharger la batterie. Si on prend par exemple les premiers générateurs qui avaient une capacité de 10 ou 15 ampères maximum, cette capacité de charge n’affectait pas beaucoup la batterie, et il y avait l’allumage qui consommait un peu, au final la batterie était chargée, mais pas surchargée. Avec la venue des générateurs plus puissants, il fallait les contrôler, puisque si on charge sans contrôle, une batterie sans arrêt avec 45 ampères, à un certain moment, on va parler de surcharge, et forcément on va raccourcir sa vie utile.

La boite de contrôle s’est «ajustée» avec le temps pour passer d’un simple interrupteur ON/OFF à un accessoire de contrôle du voltage et de l’ampérage, et sans oublier, toujours sa fonction ON/OFF.

La majorité des régulateurs de voltage ont 3 relais à l’intérieur. Un va servir pour connecter et déconnecter du circuit le générateur (ou bien sûr, l’alternateur), un va servir en équipe avec son voisin, à contrôler le voltage, et l’autre de l’ampérage.

Le relais ON/OFF fonctionne automatiquement, il ne va pas se mettre à ON avec la clef de démarrage. La partie tournante du générateur va se charger de le mettre en marche. La partie tournante qui se nomme l’induit, est du fait de sa fonction, magnétisé d’office. Ce qui lui confère une propriété de transformer ce magnétisme au moment de la mise en marche du moteur, en courant pour faire «cliquer ON» ce relai en excitant le courant dans le bobines fixe à l’intérieur. Et logiquement, une fois que le moteur arrête de tourner, l’induit s’arrête aussi, le courant cesse de circuler dans le circuit du relai ON/OFF, et les pointes se séparent, le générateur n’est plus connecter au circuit de la voiture. Si ce relai devenait défectueux, et que les pointes restaient souder ensemble, la batterie va se drainer dans le générateur durant l’arrêt. Si vous avez un problème de décharge de batterie fréquent. Vérifier si le générateur reste très chaud quand le moteur est froid, vous aurez donc compris que la boite de contrôle est hors d’usage, et que c’est elle qui vous causait ce problème.

Les deux autres relais travaillent ensemble. Quand la batterie a été utilisée, de l’acide s’est séparé de l’eau et a investi les plaques de pâte dans la batterie, ce qui augmente la résistance à la charge. La boite de contrôle s’en rend compte, et force le générateur à charger la batterie au prorata de la dépense fait juste avant. Une fois l’acide retourné dans l’eau, la résistance à la charge n’est plus la même, et le régulateur baisse la charge nécessaire.

Il y a deux petites résistances souvent derrière le régulateur, une va suivre la charge de la batterie, mais l’autre est intéressante, elle va mesurer la température ambiante, autrement dit, elle va signaler au relai si il fait trop chaud sous le capot. La charge va automatique baisser pour préserver la batterie. Et, en hiver, ou dans les moments plus frais, elle va augmenter la charge pour compenser pour la faible température, car une batterie garde moins bien sa charge par temps froid.

Les ajustements devraient se mesurer avec le couvercle monté. Il arrive que le magnétisme interne change quelques peu quand le couvercle n’est pas installé pour la lecture après réglage.

Pour faire les réglages il faut impérativement une batterie chargée et en bon état. Sinon les données seront faussées, ou voir même impossible à régler. Un régulateur usé pourra être ajusté, mais souvent son réglage se modifie seul rapidement. Dans ces cas, il vaut mieux le remplacer. Un régulateur de voltage dur longtemps, il est facile de faire au moins 30000 miles (50000 KM) avec un régulateur.

Cette petite boite noire est géniale dans sa conception pour les années où elle fût crée. C’est une pièce fiable qui fait un excellent travail sur nos anciennes d’origine.

Le texte Les avions ont une boite noire, les voitures anciennes pour la plupart, aussi. provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le Salon de l’auto de Montréal 2025 (SAM), qui ouvre ses portes aujourd’hui, propose aux visiteurs deux primeurs signées Ford qui sont littéralement aux antipodes. La première, un vélo arborant l’écusson de la Mustang, est la plus récente nouveauté électrifiée offerte par Ford au pays. Quant à la seconde, la Mustang GTD, elle s’abreuve d’essence pour alimenter sa harde de 815 pur sang destinée à l’élancer à toute allure pour redorer le mythe du célèbre pony car.

Mustang à deux roues et électrique

Les Québécois qui vouent une égale passion à la Mustang et au cyclisme peuvent désormais marier les deux. En visitant le SAM, ils pourront voir de près la Mustang la plus rapide de l’histoire, mais aussi un nouveau vélo qui porte son nom. Ils devront cependant être attentifs pour trouver ce dernier, car, contrairement au bolide, cette primeur n’a pas eu droit à un podium ou un espace d’exposition particulier. L’atmosphère un peu sombre du kiosque et sa couleur gris carbone ne facilitent pas sa recherche. D’autant plus qu’il repose sur un support Thule arrimé à l’arrière d’un Ford Explorer… de couleur similaire. Mais heureusement, pour le trouver, vous n’aurez qu’à vous diriger vers l’imposante Mustang GTD qui trône dignement dans son module d’exposition bien éclairé. Le vélo Mustang se trouve juste à côté !

Le vélo électrique Mustang a été lancé aux États-Unis en août 2024 dans la foulée du 60e anniversaire du pony car. Ford a lancé le vélo Bronco au même moment. À l’époque, leur commercialisation était limitée au marché étatsunien. Mais, aujourd’hui, ils sont tous deux disponibles sur notre par le biais d’un site internet www.ford-bikes.ca ou chez certains concessionnaires Ford participants.

Jusqu’à 100 kilomètres d’autonomie

Le vélo de route Mustang est doté d’un moteur électrique de 750 W (1 ch) qui produit 63 lb-pi de couple et autorise une vitesse de pointe de 32 km/h. Sa batterie de 720 Wh permet de parcourir jusqu’à 100 kilomètres, du moins selon l’utilisation qu’on fait du vélo et le mode de motorisation choisi (Éco, Normal, Sport et Piste).

Pesant un peu plus de 30 kg (avec le cadre en aluminium de taille moyenne), sa dotation comprend une transmission Shimano Cues U4000 à 9 vitesses avec changement de vitesse mécanique, des freins hydrauliques Tektro à quatre pistons, des pneus Pirelli Angel Urban GT, un projecteur avant et un feu de frein arrière. Enfin, un écran tactile couleur est fixé au centre du guidon.

Le vélo électrique Mustang est offert à partir de 4 990 $ en gris carbone métallique. C’est la couleur de série. Dix autres couleurs sont offertes pour un supplément de 490 $

Bronco : un vélo tout terrain

Pour ce qui est du vélo Bronco, fidèle à la vocation de l’utilitaire du même nom qu’il émule, on le destine à un usage hors route. Il partage le moteur de 750 W du vélo Mustang, mais dispose d’une suspension plus robuste, de pneus tout terrain Pirelli Scorpion Enduro M et d’un siège de style motocross qui devrait offrir plus de confort sur des pistes cahoteuses. Son autonomie peut également atteindre 100 kilomètres dans les meilleures conditions.

Pour réaliser ces vélos, Ford a fait appel au fabricant australien N+, dont le siège social est à Melbourne. Cette entreprise fabrique également les vélos Mercedes-Benz EQ Formula E Team et Mercedes-AMG que vend Mercedes-Benz depuis quelques années.

Mustang GTD, la Mustang « canadienne »

Face au deux-roues arborant l’écusson du poney galopant, les visiteurs du salon peuvent aussi rêver en admirant la Mustang GTD, un bolide capable d’atteindre 325 km/h. C’est la vitesse de pointe la plus élevée de toutes les Mustang de route fabriquées jusqu’ici.

Dévoilée en août 2023, cette Mustang emprunte son nom au championnat GTD (pour GT Daytona) d’IMSA. Elle est d’abord assemblée partiellement à l’usine Ford de Flat Rock, au Michigan, qui produit les coupés et cabriolets Mustang. Puis, les voitures sont transportées aux installations de la société Multimatic de Markham, en Ontario.

Alors s’opère une transformation qui en fait un bolide avec un V8 de 5,2 L qui livre 815 ch et 664 lb-pi de couple. De quoi marier le tempérament d’une voiture de course et celui d’une routière de haute performance. Produite à 1 000 exemplaires, la GTD est offerte à partir d’environ 325 000 $ US.

Fait à noter, la Mustang GTD s’est illustrée sur le circuit du Nürburgring récemment. Le 10 décembre dernier, le pilote Dirk Müller de Multimatic Motorsports a parcouru les 20,8 kilomètres de ce circuit surnommé « l’Enfer vert » en 6 minutes et 57,685 secondes au volant d’une GTD. Cette Mustang est alors devenue la voiture de marque américaine ayant accompli le tour du Nürburgring le plus rapide de l’histoire.

Photos : Luc Gagné et Ford

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C’était prévisible et ça vient de se produire ; certains constructeurs annoncent un rabais de 5000 $ à l’achat d’un véhicule électrique, le même montant qui vient d’être sabré au fédéral dans la foulée du dossier concernant la fin du programme iZEV, qui offrait un rabais lors de l’acquisition d’un modèle électrique.

Hyundai, Volkswagen et Nissan voient leurs concessionnaires canadiens être pris avec plusieurs modèles électriques en stock, qui seront plus difficiles à écouler rapidement sans les rabais.

Le problème, nous y avons déjà fait allusion, c’est que plusieurs concessionnaires avaient fait le plein de modèles en prévision de la fin éventuelle des programmes, afin de répondre à la demande plus forte avant leur retrait. Ils devaient aussi avoir suffisamment de modèles en stock pour respecter les quotas des autorités en matière de ventes de véhicules électriques.

Or, c’est la grogne à travers l’industrie, car d’un côté, le gouvernement force les marques à vendre un certain pourcentage de véhicules électriques, mais de l’autre, leur retire une aide qui leur permet d’atteindre les objectifs.

C’est pourquoi hier, un regroupement d’associations incluant constructeurs et concessionnaires demandait au gouvernement fédéral la fin des mandats.

Le Hyundai Ioniq 9
Le Hyundai Ioniq 9 | Auto123.com

Concernant les rabais de 5000 $ offerts par Hyundai, Volkswagen et Nissan, les constructueurs sont soucieux de respecter aussi le consommateur. On sait que les sommes s’appliquent au moment où le véhicule est immatriculé. Or, certains consommateurs ont fait l’achat d’un modèle en comptant sur les rabais, mais leur retrait immédiat fait qu’ils vont perdre ce dernier au moment de la livraison. Les concessionnaires sont ici de bonne foi pour respecter leur clientèle.

Est-ce que d’autres constructeurs vont emboîter le pas ? Pour le moment, rien n’a été annoncé, mais rien n’est impossible. Un représentant de Kia Canada nous a confirmé aujourd’hui qu’il n’était pas prévu pour l’instant d’offrir un tel rabais. Cet après-midi, d’ailleurs, General Motors Canada a annoncé qu’elle offrira un rabais de 5000 $ sur trois de ses modèles tout électriques : les Chevrolet Equinox EV et Blazer EV, ainsi que le Cadillac Optiq. D’autres constructeurs n’ont encore rien déclaré à ce sujet.

Bien entendu, la mesure est temporaire, quoique nous pourrions aussi assister à des ajustements de prix qui pourraient faire en sorte que les consommateurs aient accès à des modèles électriques plus abordables.

L’électrification coûte cher. Certains fabricants commencent à faire des profits avec leurs véhicules électriques, mais ce n’est pas le cas de tous, et ça dépend d’une multitude de facteurs, dont les investissements en matière d’électrification qui font partie de l’équation.

Nous allons continuer de surveiller ce dossier de près. Si vous êtes à la recherche d’un véhicule électrique, soyez à l’affût des offres, des rabais venant des fabricants, de changements à la hauteur des taux d’intérêts, bref de toute mesure susceptible de vous inciter à faire l’acquisition d’un modèle.

La Volkswagen ID. Buzz
La Volkswagen ID. Buzz | Auto123.com

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Honda a confirmé qu’elle allait présenter cette année une version mise à jour de son modèle le plus populaire, le CR-V. De plus, ce dernier va nous proposer une nouvelle variante axée sur la conduite hors route, la TrailSport. Cette approche connaît du succès avec d’autres modèles de la gamme.

Selon ce qu’explique la compagnie, les changements dont va profiter cette variante vont lui ajouter du caractère et offrir une « apparence robuste ». Il faudra voir quels seront les éléments ajoutés dont va profiter le modèle, mais avec le Passport TrailSport, on parle d’une suspension repensée, de la présence de pneus tout-terrain General Grabber, ainsi que des plaques de protection en acier.

La génération actuelle du CR-V a été introduite pour l’année 2023. Les changements qui seront apportés à travers la gamme pour 2026 seront mineurs. On peut s’attendre à des retouches aux phares et aux feux, ainsi qu’à l’allure générale à l’avant et à l’arrière. Honda y va rarement de grandes transformations ; tout devrait s’inscrire dans la continuité ici.

Image du logo TrailSport
Image du logo TrailSport | Auto123.com

Idem pour les mécaniques des versions atmosphérique et hybride, qui devraient revenir sans changement, c’est-à-dire un 4-cylindres turbo de 1,5 litre et 190 chevaux dans le premier cas, un 4-cylindres de 2,0 litres offrant 204 chevaux.

À bord, des retouches seront assurément de la partie, mais ça devrait être mineur.

Tout cela est annoncé suite à d’autres excellentes nouvelles partagées par la compagnie concernant ses ventes en 2024. En fait, Honda a connu une bonne année à l’échelle planétaire avec une hausse de 11 %, entre autres propulsé par les ventes de véhicules utilitaires (en hausse de 16 %) Le CR-V, à lui seul, a été responsable de 402 791 ventes, ce qui a représenté un bond de 11 % par rapport à 2023.

De plus, Honda a aussi annoncé qu’elle allait présenter une version retouchée du plus petit HR-V. Ajoutez le retour de la Prelude cette année, et ça nous fait une année chargée avec plusieurs présentations de nouveaux modèles du côté de Honda.

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