Jeep vient de publier une image que plusieurs attendaient, soit celle du modèle de prochaine génération de son VUS Cherokee. On se souviendra que ce dernier est disparu du catalogue il y a quelques années, laissant un vide dans la gamme pour un utilitaire de taille compacte.

La compagnie confirme qu’il fera ses débuts à la fin de la présente année.

On ne possède pas une foule d’informations pour le moment, mais on sait que le produit a été entièrement repensé et que surtout, il va proposer une motorisation hybride, ce qui va lui permettre de mieux concurrencer ses rivaux sur le marché.

Bob Broderdorf, le directeur général de Jeep, avait ceci à mentionner à propos du nouveau venu :

« Il s’agit d’une année historique pour la marque Jeep, avec plus de produits, d’innovation, de choix et de contenu de série pour les clients que jamais auparavant. Le tout nouveau Jeep Cherokee jouira d’un prix concurrentiel qui frappe au cœur du segment de véhicule le plus vaste et qui s’insère parfaitement entre le Jeep Compass et le Jeep Grand Cherokee pour renforcer notre gamme principale. »

Le Jeep Cherokee 2026
Le Jeep Cherokee 2026 | Auto123.com

Design du Jeep Cherokee 2026

Les images partagées nous font voir un Cherokee aux formes plus carrées et aux lignes foncièrement différentes de celles du produit d’ancienne génération. On peut s’attendre à retrouver plusieurs variantes au menu, dont une version Trailhawk pensée pour la conduite hors route.

Motorisations du Jeep Cherokee 2026

Il faudra voir pour les motorisations. En plus de la version hybride, il serait intéressant de pouvoir profiter d’une variante hybride rechargeable (4xe). Nous verrons bien jusqu’où les dirigeants pousseront l’audace avec cette nouvelle cuvée.

Plus de détails suivront.

Jeep confirme le retour du Cherokee pour la fin de 2025 | Auto123.com

Contenu original de auto123.

Le texte Jeep confirme le retour du Cherokee pour la fin de 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Selon trois sources proches du dossier, les constructeurs espèrent qu’une entente pourrait être conclue dès juin, en échange d’engagements d’investissements significatifs en sol américain.

Des investissements stratégiques pour convaincre Washington

Les constructeurs veulent faire valoir leur contribution à l’économie américaine. Mercedes-Benz prévoit assembler le GLC, son VUS vedette, dans son usine d’Alabama dès 2027. BMW envisage d’augmenter la cadence à son usine de Spartanburg, en Caroline du Sud. Du côté de Volkswagen, sa filiale Audi projette également une production locale, même si cette décision précède l’arrivée de Donald Trump au pouvoir.

BMW, premier exportateur de véhicules en volume depuis les États-Unis, a aussi plaidé auprès de l’Union européenne pour une réduction des tarifs sur les véhicules américains, de 10 % à 2,5 %. Mercedes-Benz, qui exporte massivement depuis son usine américaine, renforce également son argumentaire autour de sa présence manufacturière dans le pays.

Obtenir des crédits d’exportation pour compenser les tarifs

Une piste étudiée serait d’accorder aux constructeurs allemands des crédits pour chaque véhicule exporté à partir des États-Unis. Ces crédits pourraient ensuite servir à réduire les coûts liés aux tarifs imposés sur les importations en provenance d’Europe.

Cette approche aurait pour but d’équilibrer les échanges et de calmer les tensions commerciales. Le journal économique Handelsblatt a été le premier à révéler l’existence de ces négociations. Les trois constructeurs ont refusé de commenter la chose officiellement, mais ils avaient auparavant confirmé des échanges réguliers avec les autorités américaines.

Dans l'usine de BMW à Spartanburg, en Allemagne
Dans l’usine de BMW à Spartanburg, en Allemagne | Auto123.com

L’Europe sur le qui-vive

La Commission européenne cherche également à conclure une entente commerciale pour éviter une escalade tarifaire. Elle a demandé aux grandes entreprises européennes de détailler leurs projets d’investissement aux États-Unis afin de renforcer sa position dans les pourparlers.

Mais Bruxelles prépare aussi des mesures de représailles si les négociations échouent. Une liste de produits potentiels visés, publiée récemment, inclut les véhicules et pièces automobiles, qui représentent une part importante des échanges transatlantiques.

Une pression de plus pour l’industrie allemande

Déjà fragilisée par un marché européen en berne et une concurrence féroce, l’industrie automobile allemande subit une pression supplémentaire. Néanmoins, les investisseurs ont bien accueilli la nouvelle des pourparlers : l’action de BMW a bondi de 3,3 %, celle de Mercedes de 2,6 %, et celle de Volkswagen a brièvement grimpé de 2,2 %.

Dans l'usine de Volkwagen à Puebla, au Mexique
Dans l’usine de Volkwagen à Puebla, au Mexique | Auto123.com

Contenu original de auto123.

Le texte Les constructeurs allemands négocient avec Washington pour limiter les tarifs à l’importation provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Chaque année, le concours d’élégance de Pebble Beach met en vedette des automobiles historiquement significatives dans le cadre d’expositions thématiques. Cette année, aux côtés des Duesenberg, Bugatti, Bentley et autres classiques d’avant-guerre, on verra une poignée de Cobra se répandre sur le l’allée du 18e trou du Pebble Beach Golf Links, ce terrain du golf huppé situé à quelques kilomètres de Monterey, sur la côte californienne, où se tient cette prestigieuse exposition.

En 2021, les organisateurs du concours avaient souligné le 50e anniversaire de la Lamborghini Countach, alors que l’année dernière ce sont les 125 ans de Packard qu’on a célébré. Cette année, c’est la Shelby Cobra qui sera à l’honneur, notamment parce que sa version la plus intimidante, la Cobra 427, fête ses 60 ans.

Ce ne sera pas la première fois où le nom de Carroll Shelby a été associé à ce concours. Plusieurs participants ont décroché des prix dans différentes catégories grâce à leurs Shelby. Et puis, il y a eu cette exposition de 2016 qui était consacrée aux GT40, ou encore à celle de 2018 qui soulignait les 50 ans de la Mustang Shelby GT 350. C’est sans compter qu’en 1956, le célèbre Texan à l’origine de cette marque a remporté la septième et dernière course annuelle qui était disputée sur les routes entourant ce petit village côtier.

Dans un communiqué publié plus tôt ce mois-ci, la présidente du concours, Sandra Button, a affirmé que ce sera un honneur cette année de mettre ainsi en valeur les Cobra, dans le cadre de cet événement.

Rappelons que la Cobra de Shelby a vu le jour en 1962 lorsque lui et ses équipiers ont jumelé le châssis et la carrosserie d’une AC Ace britannique à un V8 Ford de 289 po cu (4,7 L). Cette voiture, la première produite en Californie par Shelby, est devenue la CSX2000, le prototype d’une série de modèles qu’on appelle aujourd’hui Cobra Mark I.

Cependant, le modèle qui fascine le plus les passionnés de cette sportive demeure la Cobra Mark III. Mise en production en janvier 1965 avec un nouveau châssis et une suspension à ressorts hélicoïdaux, qui remplaçait une suspension à lames, elle était animée par un V8 de 427 po. cu. (7,0 L). Seulement 56 exemplaires ont été fabriqués.

Carroll Shelby a produit des Cobra jusqu’en 1967 et, durant ces cinq années, quatre variantes ont été proposées : « Comp » (compétition), « S/C » (semi-compétition), « Street » et « Narrow Hip ». À Pebble Beach, on pourra voir un exemplaire de chacune de ces versions, en plus de la première et de la dernière Cobra de production.

Après plus de 60 ans d’existence, la Shelby Cobra demeure une icône du monde automobile, se réjouit Aaron Shelby, petit-fils de Carroll Shelby, membre du conseil d’administration de la société Carroll Shelby International et ambassadeur de la marque. « Peu d’automobiles ont atteint sa renommée et sa longévité. Créée avec audace et détermination, elle incarne non seulement la performance, mais aussi l’ingéniosité américaine », conclut-il.

La 74e édition du concours d’élégance de Pebble Beach aura lieu le 17 août 2025.

Photos : Concours d’élégance de Pebble Beach

Le texte Le concours d’élégance de Pebble Beach aura lieu sous le signe du Cobra cette année provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le marché québécois des véhicules électriques, jadis un terrain de jeu stratégique pour Tesla, est en chute libre. Selon des données de la SAAQ obtenues par Le Devoir, seulement 524 Tesla ont été immatriculées au Québec au premier trimestre 2025, une baisse de 87 % par rapport à la même période en 2024.

Le Québec, ancien bastion de Tesla

Le Québec, reconnu comme chef de file canadien en électrification des transports, offrait jusqu’à récemment un terreau fertile pour Tesla : subventions généreuses, électricité bon marché, population technophile. Résultat : la province représentait une part significative du marché nord-américain de Tesla. Mais cette époque est bel et bien révolue.

Subventions gelées, image écornée et guerre commerciale

Plusieurs facteurs expliquent cette dégringolade :

  • La pause des programmes d’incitatifs fédéraux et provinciaux en début d’année a provoqué une ruée vers les livraisons, mais aussi un vide commercial.

  • Tesla a été accusée d’avoir soumis des milliers de demandes douteuses pour 42 millions de dollars en subventions. L’entreprise a plaidé qu’il s’agissait d’un simple retard administratif.

  • L’image de marque de Tesla se détériore rapidement au Canada, particulièrement au Québec, notamment en raison de l’appui public d’Elon Musk à Donald Trump, qui a récemment évoqué l’annexion du Canada.

Tesla se retire du marché canadien… temporairement?

Selon des sources bien informées, Tesla ne prévoit pas importer de nouveaux véhicules au Canada pour le deuxième trimestre 2025, évoquant une demande trop faible. La décision intervient après une hausse des prix en avril, causée par l’imposition de tarifs douaniers de 25 % sur les véhicules américains, en riposte à la guerre commerciale déclenchée par Trump.

Une chute plus sévère que celle du marché des VÉS

Bien que le marché canadien des véhicules électriques ait reculé de 45 % au T1 en raison de l’arrêt des subventions, la baisse de Tesla est presque deux fois plus importante, révélant des problèmes bien plus profonds que le simple retrait des incitatifs.

Tesla en piteux état au nord de la frontière

La situation de Tesla au Canada est pire qu’en Europe. Même si le Canada n’est pas son plus gros marché en volume, son taux d’adoption de véhicules électriques dépasse celui des États-Unis et a longtemps été un moteur stratégique pour la marque. Tant que les tarifs punitifs et les tensions politiques persisteront, l’avenir de Tesla au Canada – et au Québec – demeure sombre.

Avec des renseignements d’Electrek

Le texte Tesla s’effondre au Québec : une chute de 87 % des ventes au premier trimestre 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Tesla s’apprête à lancer sa plateforme de transport autonome Robotaxi, et tout indique que ce sera le 12 juin prochain à Austin. C’est ce que révèle un rapport exclusif de Bloomberg, appuyé quelques heures plus tard par Elon Musk, qui a confirmé sur X (anciennement Twitter) que des Model Y autonomes roulent déjà sans conducteur sur les routes publiques texanes depuis quelques jours.

Un lancement plus rapide que prévu

Le projet Robotaxi avait été évoqué durant l’appel aux investisseurs du premier trimestre, Musk promettant un lancement « avant la fin juin ». Or, selon Bloomberg, le déploiement commercial pourrait débuter dès le 12 juin, bien que cette date reste sujette à changement. Il s’agirait du premier service de transport sans conducteur actif à grande échelle pour Tesla, devançant ses concurrents comme Waymo et Cruise sur ce terrain technologique.

Des Model Y… sans personne au volant

Selon Bloomberg, Tesla a récemment commencé à tester ses VUS Model Y modifiés sur les routes d’Austin sans personne derrière le volant. Un ingénieur de Tesla prend place à bord comme passager, tandis que le véhicule fonctionne de manière totalement autonome – sans intervention humaine ni contrôle à distance. Jusqu’ici, les tests impliquaient toujours un conducteur de sécurité. Cette fois, ce sont des employés de Tesla qui ont servi de clients lors des essais internes.

Musk : des tests sans incident

Dans un message sur X, Musk a confirmé que les tests avaient débuté un mois plus tôt que prévu, et qu’aucun incident n’avait été rapporté jusqu’ici. Il a également mentionné que Tesla prévoit de tester la livraison autonome de véhicules neufs, du centre de production jusqu’au client final – une première. Reste à voir comment Tesla traitera les risques de dommages en cours de route.

Aucune date officielle… mais beaucoup d’indices

Fidèle à son style flou, Musk n’a pas confirmé officiellement la date du 12 juin, ni expliqué si le service sera accessible à tous ou sur invitation. À un internaute qui lui demandait s’il pourrait essayer un trajet sans conducteur en juin, Musk a simplement répondu : « sure ».

Les tests s’étendent à la Californie

Des observations récentes indiquent que Tesla teste également ses robotaxis en Californie, notamment avec des Model Y portant un numéro TCP, signe que Tesla détient une licence d’exploitation de service rémunéré dans cet État.

Conclusion

Si tout se déroule comme prévu, Tesla s’apprête à bouleverser le monde du transport urbain dès le mois prochain. Le Robotaxi, longtemps rêvé par Elon Musk, est en passe de devenir réalité sur les routes d’Austin… et bientôt ailleurs.

Avec des renseignements d’Auto evolution

Le texte Tesla Robotaxi : lancement prévu le 12 juin à Austin, au Texas provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

• Lexus a réservé le nom de LBX auprès des autorités américaines.

Les réservations de noms effectuées par les constructeurs auprès de l’Office américain des brevets et des marques (USPTO : United States Patent and Trademark Office) peuvent être significatives, ou pas du tout. Cela pourrait présager l’arrivée éventuelle d’un modèle, ou du moins nous indiquer que la compagnie réfléchit à la chose. Pour un fabricant, la réservation d’un nom lui évite aussi de se le faire piquer.

Avec le nom LBX qui vient d’être réservé par Lexus du côté des États-Unis, on peut espérer une suite intéressante. La nouvelle de la réservation a été rapportée par le site Justia Trademarks.

Le LBX est un petit VUS que la compagnie commercialise du côté européen et sur d’autres marchés. Il est basé sur la Yaris vendue là-bas et met à profit son moteur 3-cylindres de 1,5 litre qui, avec sa configuration hybride, propose 134 chevaux et 137 lb-pi de couple.

Le Lexus LBX (Europe)
Le Lexus LBX (Europe) | Auto123.com

Si jamais Lexus nous proposait ce modèle, il serait très étonnant de retrouver cette configuration. Cependant, la variante LBX Morizo RR est éeuipée du 3-cylindres turbo de 1,6 litre de la variante GR, un bloc qui offre une puissance de 300 chevaux et un couple de 295 lb-pi. Si jamais on devait voir un modèle, ça pourrait être celui-là.

Évidemment, nous sommes dans la plus grande des spéculations, mais il est permis de rêver, surtout que lors d’un événement tenu la semaine dernière au Texas, on a vu Toyota présenter des modèles ayant plus de caractère, et même introduire l’approche GR Sport, qui va venir ajouter un peu de chien à certains produits.

Bref, vous comprenez un peu pourquoi la réservation de ce nom du côté des États-Unis suscite de l’intérêt. On ne retiendra pas notre souffle, mais ce serait une belle surprise.

Contenu original de auto123.

Le texte Lexus réserve le nom LBX pour l’Amérique du Nord provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ford procède à un rappel massif de 1 075 299 véhicules aux États-Unis, ainsi que de 159 135 modèles au Canada, en raison d’un problème logiciel qui peut empêcher la caméra de recul d’afficher correctement l’image qu’elle capte à l’arrière.

Selon la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) américaine, l’équivalent de Transports Canada, cette défaillance augmente les risques de collision lors des manœuvres en marche arrière.

Modèles touchés : du F-150 à la Mustang

Le rappel concerne une vaste gamme de modèles Ford et Lincoln des années 2021 à 2025 :

Ford

  • – Bronco (2021-2024)
  • – F-150 (2021-2024)
  • – Edge (2021-2024)
  • – Escape (2023-2024)
  • – Ranger (2024)
  • – Expedition (2022-2024)
  • – Transit (2022-2024)
  • – Mustang (2024)
  • – F-Series F-250 à F-600 (2022-2024)
  • – Mach-E (2021-2023)

Lincoln

  • – Corsair (2023-2024)
  • – Nautilus (2021-2023)
  • – Navigator (2022-2024)

Le Lincoln Corsair
Le Lincoln Corsair | Auto123.com

Le problème

Le défaut est attribué à un bogue dans le module d’interface du protocole d’accessoires (APIM), qui agit comme le système d’exploitation du tableau de bord, contrôlant les applications, la navigation et surtout l’image de la caméra de recul. En cas de défaillance, l’image peut geler, ne pas être synchronisée avec la manœuvre ou ne pas s’afficher du tout.

La solution

Ford prévoit de corriger le problème gratuitement par mise à jour logicielle sans fil par transmission hertzienne. Toutefois, la solution ne sera disponible qu’au troisième trimestre de 2025, selon les documents de la NHTSA.

D’ici là, une première lettre d’avis sera envoyée aux propriétaires d’ici le 16 juin 2024, suivie d’une seconde communication une fois que le correctif sera prêt.

Sécurité en marche arrière : vigilance requise

Ce rappel soulève des préoccupations majeures en matière de sécurité routière, particulièrement pour les conducteurs qui se fient sur la caméra de recul pour effectuer leurs manœuvres. En attendant la mise à jour, la prudence est de mise lors des stationnements et déplacements en marche arrière.

Contenu original de auto123.

Le texte Ford rappelle plus d’un million de véhicules pour un problème de caméra de recul provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ceux qui souhaitent faire l’acquisition d’une Toyota GR Corolla savent que les temps d’attentes sont longs. La demande est bonne pour la sportive du constructeur japonais, ce qui représente une bonne nouvelle pour le fabricant.

Cependant, si les délais d’attente sont trop longs, certains consommateurs pourraient décider de regarder ailleurs. Pour éviter la prolifération de tels scénarios, Toyota a pris la décision de déplacer la production de GR Corolla vers l’Angleterre. Les unités qui seront produits là-bas seront destinés au marché nord-américain, selon ce que rapporte le site Reuters.

Notez que c’est une partie de la production qui est déplacée vers le Japon et non l’entièreté du volume de production. Toyota investirait 56 millions USD pour ajouter une chaîne de montage à l’usine de Burnaston, qui ne fonctionne présentement pas à 100 % de sa capacité.

La Toyota GR Corolla
La Toyota GR Corolla | Auto123.com

En ce moment, toutes les GR Corolla sont assemblées à l’usine Toyota de Motomachi, à Toyota City, au Japon. La production ne pouvait pas être accrue là-bas.

Toujours selon ce qui est rapporté, la production des GR Corolla en Angleterre commencerait au milieu de l’année 2026. La forte demande en modèles hybrides aux États-Unis expliquerait pourquoi Toyota ne pouvait pas déplacer la production de la GR Corolla aux États-Unis.

Et avec l’épineuse question des tarifs douaniers américains, Toyota, comme chaque entreprise, doit bien calculer où elle produit chaque modèle pour minimiser les pertes attendues en raison de ces droits de douane. Cela dit, les sources qui se sont confiées à Reuters auraient mentionné que Toyota n’avait pas l’intention d’augmenter les prix de la GR Corolla, ce qui signifie qu’elle absorberait les frais. En raison de l’entente signée entre le Royaume-Uni et les États-Unis, ces derniers sont présentement à 10 %.

Contenu original de auto123.

Le texte Toyota déplace la production de nos GR Corolla du Japon vers l’Angleterre provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

L’ambitieux partenariat entre Amazon et Stellantis visant à transformer l’expérience à bord des véhicules grâce à une plateforme logicielle connectée est en train de s’éteindre tranquillement, ont confirmé les deux entreprises au site Reuters.

Le projet SmartCockpit, lancé en 2022, promettait de faire de l’habitacle une véritable extension de la maison, avec la détection du conducteur, la personnalisation du système de climatisation, des réglages de navigation, et même le contrôle de la domotique. Mais comme plusieurs initiatives technologiques des constructeurs traditionnels, le projet cale devant la complexité du développement logiciel automobile.

Un rêve de cockpit connecté qui s’estompe

Lors de son lancement, Carlos Tavares, alors PDG de Stellantis, voyait dans le SmartCockpit un outil pour faire de ses véhicules l’endroit « le plus convoité, même à l’arrêt ». Amazon y voyait un tremplin vers d’autres partenariats automobiles.

Mais depuis le départ de Carlos Tavares, et avec la nomination cette semaine d’Antonio Filosa à la tête du groupe, les priorités semblent avoir changé, d’autant plus que le titre de Stellantis a chuté de 40 % en 2024, plombé par des ventes nord-américaines anémiques.

Le projet de cockpit intelligent entre Amazon et Stellantis prend fin | Auto123.com

L’impasse des vieux constructeurs face au logiciel

L’expérience démontre une fois de plus que les constructeurs traditionnels peinent à intégrer des systèmes numériques de nouvelle génération. Tandis que des firmes plus modernes comme Tesla et BYD innovent à vitesse grand V, Stellantis doit composer avec des dizaines de modèles répartis sur 14 marques, une chaîne d’approvisionnement complexe et une architecture logicielle peu uniforme.

Même Ford a récemment mis fin à son architecture électrique de nouvelle génération, évoquant des coûts excessifs. De leur côté, GM et Volkswagen tentent de recruter des talents au sein de la Silicon Valley pour rattraper leur retard.

Une fin prévisible, mais sans fracas

Aucune raison précise n’a été donnée pour justifier la fin du projet SmartCockpit, si ce n’est une volonté mutuelle de se concentrer sur des solutions plus alignées avec les nouvelles stratégies de chaque entreprise. Le lien entre Amazon et Stellantis demeure toutefois actif avec d’autres initiatives.

La voiture du futur devra peut-être attendre encore un peu avant de devenir aussi intelligente qu’on l’espérait.

Contenu original de auto123.

Le texte Le projet de cockpit intelligent entre Amazon et Stellantis prend fin provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les hausses de prix en milieu d’année n’étaient pas une pratique courante il y a quelques années, mais on voit de plus en plus de fabricants y aller de réajustements à l’arrivée de l’été.

Ajoutez Subaru à cette liste du côté des États-Unis.

Évidemment, avec le contexte actuel, marqué par les tarifs douaniers de Donald Trump, il est difficile de ne pas établir de liens entre les hausses annoncées et la réalité sur le terrain. Subaru est prudente avec ces propos. Un porte-parole de la marque mentionne que les ajustements sont le reflet des « conditions actuelles du marché ».

On vous laisse tirer vos propres conclusions, mais en voyant la hausse des prix avec certains modèles, il est difficile de ne pas lier les deux réalités. Concrètement, les produits américains de Subaru vont voir leur prix grimper de 750 $ à 2055 $, selon le modèle.

Un réajustement de 2000 $ en milieu d’année, ce n’est pas habituel.

Nous avons contacté Subaru Canada afin de savoir si des hausses peuvent être attendues au pays. Nous mettrons cette nouvelle à jour lorsque nous aurons eu une réponse de la compagnie.

Le Subaru Forester e-Boxer, au Salon de Chicago 2025
Le Subaru Forester e-Boxer, au Salon de Chicago 2025 | Auto123.com

Au site Car and Driver, la compagnie a mentionné ceci concernant les hausses de prix : « Les changements ont été effectués pour compenser l’augmentation des coûts tout en maintenant une proposition qui est solide pour le client en fait de valeur. Les prix Subaru ne sont pas basés sur le pays d’origine de ses produits. »

Concernant les augmentations, certaines sont modestes, d’autres moins, et seul le modèle tout électrique Solterra est épargné. Voici le détail :

  • – Crosstrek / Impreza – 750 $ US
  • – Ascent – 2055 $ US
  • – BRZ / WRX – 2000 $ US
  • – Outback – 1715 $ à 1820 $ US
  • – Forester – 1075 $ à 1600 $ US

Il est intéressant de noter que Ford a aussi augmenté les prix de trois de ses modèles au début du mois. C’était cependant très clair que c’était en raison des tarifs douaniers imposés par Donald Trump.

En bout de piste, qu’importe la raison, c’est le consommateur qui devra payer plus.

Contenu original de auto123.

Le texte Subaru augmente le prix de presque tous ses modèles aux États-Unis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile