• Hyundai se préparerait à hausser le prix de tous ses véhicules aux États-Unis.

La situation des tarifs a beau être différente entre le Canada et les États-Unis, il est important de suivre ce qui se passe chez nos voisins du sud, car à long terme, cela peut avoir une incidence chez nous.

Après avoir vu Subaru annoncer des hausses de prix pour pratiquement tous les modèles qu’elle vend aux États-Unis, voilà qu’on apprend que Hyundai se prépare à faire la même chose, le tout dans le but de diminuer l’impact des tarifs douaniers décrétés par le président américain Donald Trump.

Comme le rapporte le site Automotive News, des personnes près du dossier affirment que Hyundai envisage d’augmenter le prix de détail de tous ses véhicules de 1 %, et ce, dès la semaine prochaine.

La mesure toucherait les modèles qui arrivent en concession et non ceux qui se trouvent déjà dans les cours des établissements.

Hyundai Santa Fe
Hyundai Santa Fe | Auto123.com

La compagnie étudierait aussi la possibilité d’augmenter les frais de transports et de préparation, ainsi que le prix de certaines options, afin de ne pas trop faire grimper le prix de base annoncé des véhicules. On discuterait toujours de la chose à l’intérieur des murs de l’entreprise, donc rien ne serait coulé dans le béton.

Et il est important de le rappeler, tout cela ne touche pas le Canada en ce moment.

Hyundai a déclaré que sa stratégie de prix est conçue pour s’assurer qu’elle reste concurrentielle, mais qu’aucune décision définitive n’a été prise. Comme la plupart des autres constructeurs, elle évite de parler des tarifs pour justifier des ajustements de prix, mais plutôt de la « dynamique du marché et la demande des consommateurs ». Elle a aussi déclaré, par voie de communiqué, qu’elle continuerait à s’adapter à « l’évolution de l’offre et de la demande et des réglementations, grâce à une stratégie de tarification flexible et à des programmes d’incitation ciblés. »

L’augmentation des prix et des frais aura pour effet d’ajouter plusieurs centaines de dollars, au minimum, à chacun des véhicules offerts par la marque.

Hyundai construit des véhicules aux États-Unis, ce qui va l’aider à amoindrir le choc. Néanmoins, la compagnie a importé 1,1 million de véhicules aux États-Unis l’année dernière.

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Le texte Hyundai prépare des hausses de prix aux États-Unis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Alors qu’elle cherche à redresser la barre face à des performances financières décevantes, Nissan travaille à une réduction majeure de ses coûts à l’échelle mondiale.

Selon des courriels internes obtenus par Reuters, le constructeur japonais offre maintenant des départs volontaires à ses employés aux États-Unis et impose un gel des augmentations salariales fondées sur le mérite partout à travers le monde.

Coupures radicales : sept usines et 20 000 emplois touchés

Le chef de la direction de l’entreprise, Ivan Espinosa, a lancé une nouvelle série de compressions ce mois-ci, incluant la fermeture de sept usines et la suppression de 11 000 postes supplémentaires, ce qui portera à près de 20 000 le total des emplois éliminés.

Aux États-Unis, l’usine de Canton, au Mississippi, est particulièrement visée, tout comme plusieurs secteurs administratifs : ressources humaines, finances, technologies de l’information et planification.

« Un passage obligé pour revenir en force. »

– Christian Meunier, président de Nissan Amériques

Dans un message adressé aux employés américains, Christian Meunier a justifié ces mesures comme stratégiques et nécessaires : « Le travail que nous faisons aujourd’hui est crucial pour le retour de Nissan — livrer des véhicules, générer des revenus et satisfaire nos clients. »

Le nombre exact d’employés qui ont reçu ou accepté les offres de départ volontaire demeure inconnu à ce stade.

Le chef de la direction de Nissan, Ivan Espinosa
Le chef de la direction de Nissan, Ivan Espinosa | Auto123.com

Des augmentations salariales suspendues… partout

Une communication interne distincte confirme que toutes les hausses de salaire basées sur le rendement sont suspendues pour l’année fiscale en cours. Nissan a confirmé la nouvelle, sans toutefois fournir plus de détails, indiquant que le processus est toujours en cours.

Une stratégie qui va à l’encontre des politiques américaines

Ces coupes vont à l’encontre des efforts politiques visant à relancer la production automobile américaine, surtout dans un contexte où l’administration américaine mise sur les droits de douane pour encourager la fabrication locale.

Même si les ventes ont augmenté en Amérique du Nord pour l’exercice terminé en mars, la marge bénéficiaire de Nissan a chuté, un signe clair que les volumes ne suffisent plus à compenser l’essoufflement de l’offre de produit.

Des problèmes structurels en arrière-plan

Les analystes pointent du doigt un catalogue vieillissant, un retard sur les modèles hybrides pour le marché américain, et un héritage trop axé sur le volume, un héritage de Carlos Ghosn. Depuis son départ en 2018, Nissan cherche une nouvelle identité.

D’autres restructurations en cours

Nissan a confirmé la fermeture d’une usine en Thaïlande d’ici juin et l’intention de regrouper la production de camionnettes du Mexique et de l’Argentine sur un seul site mexicain. De plus, Renault rachètera la part de Nissan dans leur coentreprise indienne. Au Japon, les usines d’Oppama et une autre installation sont aussi sous la loupe.

Enfin, selon Bloomberg, Nissan envisagerait de percevoir plus de 1000 milliards de yens par la vente d’actifs et l’émission de dettes, incluant un prêt syndiqué garanti par le gouvernement britannique.

Nissan traverse donc une période charnière, entre rigueur budgétaire, recentrage stratégique et refonte de son image, espérant un retour durable sur les rails du succès.

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Le texte Nissan offre des départs volontaires à ses employés américains provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Malgré le fait que de plus en plus de consommateurs se tournent vers des véhicules électriques, plusieurs constructeurs voient que la transition en cours risque de prendre plus de temps à se réaliser que ce qui était initialement prévu.

Dans ce contexte, auquel contribue l’incertitude économique, la guerre des tarifs, la réduction des incitatifs gouvernementaux à l’achat d’un véhicule électrique, ainsi que les hausses de prix, le fabricant vietnamien VinFast a décidé de fermer la moitié de ses succursales au Canada, afin de consacrer ses ressources au bon endroit et améliorer ses performances à long terme.

La compagnie possédait 10 magasins au pays, soit quatre en Ontario, trois en Colombie-Britannique, trois au Québec. VinFast a assuré qu’elle allait continuer d’être présente dans chaque province, mais qu’elle allait fermer ses boutiques situées dans les centres commerciaux de trois villes, soit Vancouver, Toronto et Laval. Deux autres emplacements verront leurs opérations se terminer, mais ils n’ont pas été précisés pour le moment.

« Il est essentiel que nous continuions à nous adapter et à faire évoluer notre entreprise afin de nous assurer que nous sommes bien positionnés pour la croissance future », a déclaré VinFast Canada via un communiqué que la compagnie a fait parvenir à la division canadienne du site Automotive News.

On ne sait pas pour le moment combien d’employés sont concernés par la mesure.

Le VinFast VF 8 au Salon de l'auto de Montréal en 2023
Le VinFast VF 8 au Salon de l’auto de Montréal en 2023 | Auto123.com

VinFast a fait ses débuts en 2022 au pays. Les premiers pas ont été boiteux, mais la compagne a pris son air d’aller par la suite, malgré que ses volumes soient demeurés marginaux (environ 2000 unités du VF 8 en 2024). Avec la suppression des rabais gouvernementaux au début de l’année, on a vu un ralentissement de l’intérêt, comme partout ailleurs.

Malgré son annonce concernant les fermetures, VinFast a déclaré qu’elle restait déterminée à vendre des véhicules au Canada. La compagnie a même indiqué qu’elle prévoyait d’annoncer cette année une expansion de son réseau de service après-vente.

VinFast continue également d’évaluer la possibilité d’introduire des concessionnaires franchisés dans son réseau de vente, comme elle l’a fait aux États-Unis.

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Le texte VinFast Canada ferme 5 de ses 10 succursales provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Après avoir laissé Kia faire cavalier seul avec le Tasman (qui est vendu sur d’autres marchés), Hyundai annonce enfin qu’un véritable pickup est en préparation. Plus robuste et de format plus généreux que le Santa Cruz, ce futur modèle vise directement les poids lourds du segment intermédiaire comme les Chevrolet Colorado, Ford Ranger et Toyota Tacoma.

Hyundai sort de l’ombre de Kia

Alors que Kia a déjà lancé son Tasman, Hyundai n’a pas encore tranché sur le type de plateforme qui sous-tendra son pickup.

Don Romano, président de Hyundai Australie (ancien patron de Hyundai et de Mazda Canada), a confirmé que le projet est bel et bien en marche, mais que l’échéancier dépendra de l’architecture choisie : « Le moment du lancement dépendra du type de modèle que nous allons développer. »

Deux voies s’offrent à Hyundai : un châssis à longerons de type carrosserie sur cadre, ou une structure monocoque. Le premier offre des capacités hors route accrues et une meilleure résistance, mais il exige des couts de développement plus élevés et un travail plus complexe.

Le Kia Tasman
Le Kia Tasman | Auto123.com

Une plateforme GM à l’horizon ?

Hyundai pourrait même faire appel au récent partenariat qu’elle a signé avec General Motors pour concrétiser ce projet. Les deux constructeurs ont amorcé une collaboration en 2024 pour développer certains véhicules conjointement. Don Romano ne cache pas que GM fait partie des options explorées :

« On pourrait regarder ce que GM a à offrir. Mon objectif est d’avoir un modèle en production dans les trois prochaines années. »

Cela ouvre la porte à l’utilisation d’une plateforme de camionnette Chevrolet, ce qui accélérerait le processus et permettrait à Hyundai de s’implanter rapidement dans un segment qui reste lucratif, surtout en Amérique du Nord.

L’option électrique ? Pas prioritaire… pour l’instant

Hyundai possède une nouvelle plateforme pour véhicules électriques qui serait capable de supporter une camionnette, mais la demande pour ce type de véhicule demeure marginale — notamment en Australie. Si un pickup 100 % électrique voit le jour, il serait plus gros que le Tasman et vraisemblablement réservé à d’autres marchés comme le nôtre.

Un pickup Hyundai crédible avant 2030 ?

L’engagement est clair, mais la forme reste floue. Cette camionnette ne sera pas une simple déclinaison du Santa Cruz ; il s’agira d’un véhicule utilitaire sérieux, costaud et concurrentiel. Si tout se déroule comme prévu, Hyundai pourrait présenter son pickup d’ici la fin de la décennie, et éventuellement l’offrir au Canada et aux États-Unis.

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Le texte Hyundai confirme l’arrivée d’un vrai pickup provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Pour exposer aux passionnés le travail des spécialistes en restauration œuvrant chez ses concessionnaires, Porsche Canada lance une quatrième édition du Concours de restauration Porsche Classic. Et cette année, ce concours est centré sur le modèle le plus vendu de la marque à l’échelle planétaire : l’utilitaire Cayenne.

En effet, un communiqué publié par Porsche AG le 13 janvier dernier nous apprend que, des 310 718 véhicules livrés par le constructeur à ses acheteurs en 2024, à la grandeur de la planète, 102 899 étaient des Cayenne, ce qui représente un peu plus de 33 % de l’ensemble de ses ventes.

Le choix du Cayenne pour cette nouvelle édition du concours de restauration va donc de soi. C’est sans oublier que cet événement rappellera sans doute aux consommateurs qu’en mai 2024, le constructeur de Stuttgart a lancé les Cayenne et Cayenne GTS 2025, des versions remises au goût du jour.

Réinventer le Cayenne « E1 »

Cette quatrième édition du concours oppose de nouveau les concessionnaires de la marque d’un océan à l’autre (le constructeur les désigne par l’expression « Centres Porsche »). Leur défi consistera à restaurer et à réinventer l’image d’un Cayenne de première génération. Appelés « E1 » à l’interne, ces véhicules sont millésimés 2003 à 2010.

Les restaurateurs pourront donc transformer l’utilitaire qu’ils restaureront en tout-terrain musclé, en montagnard audacieux ou même en faire un puissant véhicule de course.

Le Centre Porsche Québec, concessionnaire de la marque dans la grande région de la Vieille Capitale, a déjà annoncé son intention de revamper un Cayenne 2004, sans toutefois dévoiler l’orientation qu’ils adopteront. Là comme ailleurs, les réseaux sociaux permettront aux internautes de suivre cette aventure pancanadienne.

La grande finale et le choix du gagnant auront lieu en septembre 2025. Un groupe d’experts évaluera alors les finalistes au Centre d’expérience Porsche de Toronto, qui aura ouvert ses portes en juin.

Déjà la quatrième édition

Le Concours de restauration Porsche Classic de Porsche Canada en est déjà à sa quatrième édition. La première remonte à 2019. Cette année-là, dans le cadre de l’événement Destination Porsche organisé à Mont-Tremblant, le concessionnaire Porsche Centre Saskatchewan avait remporté les honneurs grâce à une restauration méticuleuse effectuée sur une Porsche 356 1964; un ouvrage qui avait nécessité plus de 1 800 heures de travail acharné.

Par la suite, l’édition 2020–2021 avait opposé des spécialistes de douze Centres Porsche de partout au pays. Une fois de plus, le concessionnaire saskatchewanais avait remporté les honneurs, cette fois avec la restauration d’un cabriolet Porsche 356 B 1960 surnommé affectueusement « Louise ». Pour sa part, le Centre Porsche Québec, qui avait également pris part à cette compétition, s’était distingué par le travail de restauration réalisé pour la 911 SC 1982 d’un client.

En septembre 2023, enfin, c’est dans le cadre du prestigieux concours d’élégance de Cobble Beach, en Ontario, que l’issue de la troisième édition de cette compétition a été connue. Parmi les dix Centres Porsche qui y avaient pris part, Porsche Centre Edmonton avait été couronné vainqueur grâce à la restauration d’une 911 Carrera 1987.

Photos : Porsche

Le texte Le Cayenne se retrouve au cœur du Concours de restauration Porsche Classic 2025 de Porsche Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

General Motors frappe un grand coup en dépassant Tesla pour devenir le vendeur numéro un de véhicules électriques (VE) au Canada au premier trimestre de 2025. Avec une hausse de 252 % de ses ventes électriques, GM a vendu 5 750 VE entre janvier et mars, surpassant les résultats canadiens de Tesla.

Chevrolet et Cadillac en tête du peloton

Le Chevrolet Equinox EV s’est imposé comme locomotive des ventes avec 1 892 unités écoulées, suivi du Silverado EV (894 unités). Côté luxe, Cadillac a surpris avec son nouveau modèle d’entrée de gamme, l’OPTIQ, qui a trouvé 615 preneurs, presque autant que le LYRIQ (720 unités). Même les gros calibres ont progressé : les GMC Hummer EV Pickup et SUV ont vu leurs ventes grimper respectivement de 232 % (186 unités) et 88 % (252 unités).

Tesla s’effondre au Québec

Selon des données de l’immatriculation au Québec, Tesla n’a enregistré que 524 véhicules au premier trimestre — un plongeon de 87 % par rapport à 2024. Ce recul s’explique en partie par la suspension temporaire des incitatifs fédéraux et provinciaux à l’achat de VE, notamment le programme iZEV, interrompu en janvier. GM n’a pas été épargné : les immatriculations d’Equinox et de Blazer EV au Québec sont restées modestes, malgré une performance solide à l’échelle nationale.

Un portefeuille électrique qui continue de s’élargir

GM n’a pas l’intention de ralentir. En plus du Cadillac Escalade IQL, du LYRIQ-V et du VISIQ, d’autres modèles verront le jour d’ici la fin de l’année. Le très attendu Chevrolet Bolt EV de nouvelle génération est également prévu pour 2026.

Conclusion : GM prend le volant de la transition électrique

Avec 13 modèles électriques déjà en vente, couvrant presque tous les segments du marché, GM capitalise sur un momentum solide. Après avoir devancé Ford et Hyundai-Kia aux États-Unis en 2024, le constructeur américain s’impose maintenant comme un joueur dominant au Canada.

Avec des renseignements d’electrek

Le texte GM dépasse Tesla pour les ventes de véhicules électriques au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

General Motors frappe un grand coup en dépassant Tesla pour devenir le vendeur numéro un de véhicules électriques (VE) au Canada au premier trimestre de 2025. Avec une hausse de 252 % de ses ventes électriques, GM a vendu 5 750 VE entre janvier et mars, surpassant les résultats canadiens de Tesla.

Chevrolet et Cadillac en tête du peloton

Le Chevrolet Equinox EV s’est imposé comme locomotive des ventes avec 1 892 unités écoulées, suivi du Silverado EV (894 unités). Côté luxe, Cadillac a surpris avec son nouveau modèle d’entrée de gamme, l’OPTIQ, qui a trouvé 615 preneurs, presque autant que le LYRIQ (720 unités). Même les gros calibres ont progressé : les GMC Hummer EV Pickup et SUV ont vu leurs ventes grimper respectivement de 232 % (186 unités) et 88 % (252 unités).

Tesla s’effondre au Québec

Selon des données de l’immatriculation au Québec, Tesla n’a enregistré que 524 véhicules au premier trimestre — un plongeon de 87 % par rapport à 2024. Ce recul s’explique en partie par la suspension temporaire des incitatifs fédéraux et provinciaux à l’achat de VE, notamment le programme iZEV, interrompu en janvier. GM n’a pas été épargné : les immatriculations d’Equinox et de Blazer EV au Québec sont restées modestes, malgré une performance solide à l’échelle nationale.

Un portefeuille électrique qui continue de s’élargir

GM n’a pas l’intention de ralentir. En plus du Cadillac Escalade IQL, du LYRIQ-V et du VISIQ, d’autres modèles verront le jour d’ici la fin de l’année. Le très attendu Chevrolet Bolt EV de nouvelle génération est également prévu pour 2026.

Conclusion : GM prend le volant de la transition électrique

Avec 13 modèles électriques déjà en vente, couvrant presque tous les segments du marché, GM capitalise sur un momentum solide. Après avoir devancé Ford et Hyundai-Kia aux États-Unis en 2024, le constructeur américain s’impose maintenant comme un joueur dominant au Canada.

Avec des renseignements d’electrek

Le texte GM détrône Tesla comme premier vendeur de véhicules électriques au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

General Motors frappe un grand coup en dépassant Tesla pour devenir le vendeur numéro un de véhicules électriques (VE) au Canada au premier trimestre de 2025. Avec une hausse de 252 % de ses ventes électriques, GM a vendu 5 750 VE entre janvier et mars, surpassant les résultats canadiens de Tesla.

Chevrolet et Cadillac en tête du peloton

Le Chevrolet Equinox EV s’est imposé comme locomotive des ventes avec 1 892 unités écoulées, suivi du Silverado EV (894 unités). Côté luxe, Cadillac a surpris avec son nouveau modèle d’entrée de gamme, l’OPTIQ, qui a trouvé 615 preneurs, presque autant que le LYRIQ (720 unités). Même les gros calibres ont progressé : les GMC Hummer EV Pickup et SUV ont vu leurs ventes grimper respectivement de 232 % (186 unités) et 88 % (252 unités).

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Selon des données de l’immatriculation au Québec, Tesla n’a enregistré que 524 véhicules au premier trimestre — un plongeon de 87 % par rapport à 2024. Ce recul s’explique en partie par la suspension temporaire des incitatifs fédéraux et provinciaux à l’achat de VE, notamment le programme iZEV, interrompu en janvier. GM n’a pas été épargné : les immatriculations d’Equinox et de Blazer EV au Québec sont restées modestes, malgré une performance solide à l’échelle nationale.

Un portefeuille électrique qui continue de s’élargir

GM n’a pas l’intention de ralentir. En plus du Cadillac Escalade IQL, du LYRIQ-V et du VISIQ, d’autres modèles verront le jour d’ici la fin de l’année. Le très attendu Chevrolet Bolt EV de nouvelle génération est également prévu pour 2026.

Conclusion : GM prend le volant de la transition électrique

Avec 13 modèles électriques déjà en vente, couvrant presque tous les segments du marché, GM capitalise sur un momentum solide. Après avoir devancé Ford et Hyundai-Kia aux États-Unis en 2024, le constructeur américain s’impose maintenant comme un joueur dominant au Canada.

Avec des renseignements d’electrek

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Le 30 mai 1911, Ray Harroun inscrit son nom dans l’histoire en remportant la toute première édition de l’Indianapolis 500, au volant de la légendaire Marmon Wasp. Avec une vitesse moyenne de 74,6 mi/h (120 km/h), Harroun triomphe sur le célèbre ovale de 2,5 milles fraîchement pavé de briques, une innovation à l’époque.

Carl Fisher : l’homme derrière l’Indy 500

Le génie derrière ce monument du sport automobile est Carl Fisher, visionnaire et fondateur de l’Indianapolis Motor Speedway. En 1909, il transforme la surface en gravier écrasé de son circuit en une piste en briques, la plus grande et la plus moderne des États-Unis à l’époque. Il prend ensuite deux décisions clés : organiser une seule course par an, et y offrir la bourse la plus généreuse du sport motorisé.

Résultat ? Dès sa deuxième édition en 1912, l’Indy 500 devient l’événement sportif d’une journée le mieux payé au monde, attirant les projecteurs médiatiques et les plus grands pilotes.

Une course devenue industrie

En 1911, les voitures de course n’étaient encore que des châssis de voitures de luxe allégés, avec des moteurs géants à quatre cylindres, des freins uniquement à l’arrière, des réservoirs tubulaires, et aucune suspension. Ces bolides rudimentaires, construits avec des planches de bois et des roues en frêne, filaient pourtant à près de 80 mi/h sur une piste glissante d’huile. Mais en seulement une décennie, tout change. En 1922, les voitures sont désormais conçues exclusivement pour la course : carrosseries aérodynamiques, freins hydrauliques aux quatre roues, moteurs V8 en aluminium, et pneus modernes. Harroun, avec sa vitesse de 1911, n’aurait terminé que 10e.

L’Indy 500 : berceau du sport automobile moderne

Grâce à l’Indy 500, la course automobile passe de spectacle dangereux à sport organisé. L’arrivée des constructeurs comme Miller et Duesenberg dans les années 1920 élève encore le niveau. L’Indy devient alors le théâtre des bolides les plus sophistiqués de la planète, attirant les meilleurs talents et une couverture médiatique mondiale. La recette de Carl Fisher — argent, prestige, et spectacle — a façonné ce qui deviendra l’une des compétitions les plus emblématiques et lucratives du sport motorisé.

Avec des renseignements de Days of motoring

Le texte Ray Harroun et la Marmon Wasp remporte les 500 milles d’Indianapolis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Selon trois sources proches du dossier, les constructeurs espèrent qu’une entente pourrait être conclue dès juin, en échange d’engagements d’investissements significatifs en sol américain.

Des investissements stratégiques pour convaincre Washington

Les constructeurs veulent faire valoir leur contribution à l’économie américaine. Mercedes-Benz prévoit assembler le GLC, son VUS vedette, dans son usine d’Alabama dès 2027. BMW envisage d’augmenter la cadence à son usine de Spartanburg, en Caroline du Sud. Du côté de Volkswagen, sa filiale Audi projette également une production locale, même si cette décision précède l’arrivée de Donald Trump au pouvoir.

BMW, premier exportateur de véhicules en volume depuis les États-Unis, a aussi plaidé auprès de l’Union européenne pour une réduction des tarifs sur les véhicules américains, de 10 % à 2,5 %. Mercedes-Benz, qui exporte massivement depuis son usine américaine, renforce également son argumentaire autour de sa présence manufacturière dans le pays.

Obtenir des crédits d’exportation pour compenser les tarifs

Une piste étudiée serait d’accorder aux constructeurs allemands des crédits pour chaque véhicule exporté à partir des États-Unis. Ces crédits pourraient ensuite servir à réduire les coûts liés aux tarifs imposés sur les importations en provenance d’Europe.

Cette approche aurait pour but d’équilibrer les échanges et de calmer les tensions commerciales. Le journal économique Handelsblatt a été le premier à révéler l’existence de ces négociations. Les trois constructeurs ont refusé de commenter la chose officiellement, mais ils avaient auparavant confirmé des échanges réguliers avec les autorités américaines.

Dans l'usine de BMW à Spartanburg, en Allemagne
Dans l’usine de BMW à Spartanburg, en Allemagne | Auto123.com

L’Europe sur le qui-vive

La Commission européenne cherche également à conclure une entente commerciale pour éviter une escalade tarifaire. Elle a demandé aux grandes entreprises européennes de détailler leurs projets d’investissement aux États-Unis afin de renforcer sa position dans les pourparlers.

Mais Bruxelles prépare aussi des mesures de représailles si les négociations échouent. Une liste de produits potentiels visés, publiée récemment, inclut les véhicules et pièces automobiles, qui représentent une part importante des échanges transatlantiques.

Une pression de plus pour l’industrie allemande

Déjà fragilisée par un marché européen en berne et une concurrence féroce, l’industrie automobile allemande subit une pression supplémentaire. Néanmoins, les investisseurs ont bien accueilli la nouvelle des pourparlers : l’action de BMW a bondi de 3,3 %, celle de Mercedes de 2,6 %, et celle de Volkswagen a brièvement grimpé de 2,2 %.

Dans l'usine de Volkwagen à Puebla, au Mexique
Dans l’usine de Volkwagen à Puebla, au Mexique | Auto123.com

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Le texte Les constructeurs allemands négocient avec Washington pour limiter les tarifs à l’importation provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile