Connaissez-vous le Ram High Output, c’est le nouveau champion tout-terrain de Ram. Au Canada, le RHO débutera à 112 945 $, en faisant le modèle le plus cher de la gamme.

Tel que promis

Ram avait promis le RHO lorsqu’il a dévoilé la gamme de camions Ram 1500 actualisée pour 2025. Il est disponible à la commande dès maintenant, assemblé au Michigan et les livraisons sont attendues au troisième trimestre de 2024.

Plus de chevaux

Dans la gamme Ram mise à jour, les deux entrées – les versions Tradesman et Big Horn – continuent d’utiliser le V6 “Pentastar” de 3,6 L qui est reconduit de l’année dernière, offrant 315 chevaux et 269 lb-pi de couple. Mais le vénérable V8 Hemi de 5,7 L est parti, remplacé par deux versions d’un six cylindre en ligne turbode 3,0 L connu sous le nom de Hurricane. La version standard de l’Hurricane offre 420 chevaux et 469 lb-pi de couple, et elle équipe les versions Sport, Rebel et Laramie. En comparaison, le V8 de 5,7 L fournissait 395 chevaux et 410 lb-pi. L’Hurricane à haut rendement porte cela à 540 chevaux et 521 lb-pi de couple. En plus d’alimenter le RHO, il est également utilisé dans les versions Limited Longhorn, Limited et la nouvelle finition luxueuse Tungsten. Tous les moteurs sont associés à une transmission automatique à huit vitesses, et nouveauté pour 2025, tous les Ram 1500 sont à traction intégrale au Canada. Et pour ceux qui gardent un œil sur la consommation de carburant, l’Hurricane standard a une recommandation de carburant premium, tandis qu’il est requis dans le modèle à haut rendement – si vous voulez jouer, il faut payer, comme on dit.

Qu’est-ce qui distingue le Ram 1500 RHO en termes de style ?

Parmi les camions tout-terrain, le RHO se situe au-dessus du Rebel, qui bénéficie d’un nouveau groupe Rebel X pour 2025 qui ajoute des atouts supplémentaires tels qu’une stéréo haut de gamme et un toit ouvrant à double vitrage. Comparé au Rebel, le RHO est plus large de 203 mm (8 pouces), avec une voie plus large de 152 mm (6 pouces) et avec des élargisseurs d’ailes en composite. Son logo de calandre Ram plus grand est un contour, permettant à l’air de circuler à travers pour un peu plus de refroidissement; et les extrémités du pare-chocs avant contiennent des feux de gabarit ambre, ainsi qu’un ensemble correspondant de feux ambre dans la prise d’air du capot. En raison de l’augmentation de la largeur du camion, l’option RamBox – des boîtes de rangement verrouillables dans les côtés du lit – ne peut pas être ajoutée au RHO. La gamme Ram 1500 2025 comprend des cabines quad ou crew, et cette dernière offre un lit de 5 pieds 7 ou 6 pieds 4 sur la plupart des versions; mais le RHO est strictement une cabine d’équipage avec le lit le plus court.

Une question de puissance

Le RHO partage son moteur à haut rendement avec les modèles de finition luxueuse, mais inclut également un système d’échappement exclusif à faible restriction, à double échappement réel avec une vanne qui s’ouvre à plein régime pour modifier le son d’échappement. Son système d’induction d’air moteur à haut débit intègre un filtre à accès facile, donc si vous êtes en train de courir dans les dunes, vous pouvez sortir le filtre et secouer tout le sable. Le moteur comprend également des pompes à huile doubles, donc il continuera à être lubrifié si le camion est sur une pente raide, que ce soit en montée ou en descente. La capacité de remorquage est de 8 380 lb maximum. La suspension du RHO lui est propre, avec des bras de commande avant en aluminium plus longs et plus courts et une course de roue accrue. Le boîtier de transfert à temps plein dispose d’un réglage 4Auto, et la répartition du couple peut varier de 40/60 avant/arrière en mode Auto ; 45/55 en mode neige ou remorquage ; 50/50 pour le tout-terrain en 4Low ; et 25/75 en mode Baja. Pour franchir les rochers, il y a un rapport de démultiplication bas de 2,64:1. La course de l’essieu arrière est jusqu’à 355 mm (14 pouces); la garde au sol est de 284 mm (11,2 pouces); et il peut franchir jusqu’à 813 mm (32 pouces) d’eau. Les pneus d’origine mesurent 35 pouces et des jantes avec blocage de talon sont proposées. Les représentants de Ram disent que vous pouvez installer un ensemble de pneus de 37 pouces dessous, mais ce serait strictement pour l’esthétique, car vous perdrez cette articulation tout-terrain.

Suspensions Bilstein

Les chocs sont gérés par un ensemble d’amortisseurs Bilstein Black Hawk e2, avec des soupapes proportionnelles électroniques et un réservoir à distance, ainsi que des tuyaux en acier inoxydable et un bouclier de protection contre les roches pour aider à prévenir les fuites et les dommages. Selon le mode de conduite sélectionné, les amortisseurs s’ajustent pour rester sur la bonne voie lors d’une course à grande vitesse, ou maintenir la conduite contrôlée et confortable sur l’asphalte sinueux. Ce sont les mêmes amortisseurs qui étaient sur le Ram TRX, ce qui amène à la question suivante…

Un digne remplaçant du TRX ?

Le RHO utilise en grande partie la technologie tout-terrain du TRX, retravaillée pour son moteur plus léger et l’équilibre des poids – la plateforme de base n’a pas changé, et il n’y a pas besoin de réinventer quelque chose qui a déjà été développé et prouvé – mais alors que ce nouveau camion surpasse tous ces nouveaux tout-terrains Ram 1500, c’est aussi loin que ça va. Le TRX, qui a été retiré à partir de l’année modèle 2024, développait 702 chevaux et 650 lb-pi de couple avec son V8 suralimenté de 6,2 L.

Au lieu de cela, selon les représentants de Ram, l’idée est de tirer le meilleur parti de ce nouveau moteur Hurricane dans un camion qui plaira aux passionnés, sans être aussi excessif – tant en puissance qu’en prix – que ne l’était le TRX. Oui le F-150 Raptor R fait 720 chevaux, mais il coûte aussi 150 000$. On verra ce que Ram réserve pour l’avenir

Avec des renseignements de Driving.ca

Le texte Le TRX est mort, vive le RHO provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La Honda NSX 1991 rouge Formula qu’a conduit la légende de la F1 et triple champion du monde, Ayrton Senna est à vendre au Royaume-Uni et Robert McFagan, son propriétaire, espère en tirer 500 000 £ (environ 850 000 $).

Dans le communiqué publié cette semaine par Auto Trader, la plate-forme internet sur laquelle cette biplace est offerte, on apprend que Senna l’a utilisée fréquemment durant ses séjours au Portugal. Des photos prises à cette époque le montrent d’ailleurs lavant cette voiture.

Dans un blogue consacré à cette voiture, McFagan ajoute que cette NSX (un modèle vendu en Europe sous la bannière Honda plutôt qu’Acura) était la propriété de Honda Portugal et qu’elle est demeurée à la disposition Senna alors qu’il était associé à McLaren, puis à Williams.

À l’époque, lui seul aurait conduit cette voiture qu’on voit d’ailleurs dans le film biographique « Racing is in my Blood » de 1992, dans lequel Senna s’amuse à la faire patiner.

Senna possédait deux autres NSX : une noire qu’il a conduite au Brésil et une deuxième NSX noire que lui avait acheté Antonio Braga, son gérant.

Achetée au Portugal

Robert McFagan a fait l’acquisition de la NSX rouge en 2013 du concessionnaire Honda de Faro, au Portugal, lors d’un voyage. C’est le concessionnaire qui desservait Senna lors de ses séjours en Algarve durant les épreuves européennes des championnats de F1.

Depuis son acquisition, cette NSX trône fièrement dans le domaine que possède McFagan dans l’East Sussex. « Étant moi-même un grand passionné de Senna, dit-il, j’ai été ravi de pouvoir mettre la main sur cette voiture. Ce fut un réel plaisir de posséder ce qui est l’une des voitures les plus célèbres appartenant à une véritable légende sportive et le plaisir de conduire la voiture de Senna ne disparaît jamais. »

La NSX de Senna est dotée du V6 tout aluminium de 3 L logé en position centrale. Ce moteur qui produit 270 ch et 210 lb-pi de couple permet d’atteindre une vitesse de pointe d’environ 265 km/h, en plus de franchir les 100 km/h en 6 secondes et des poussières.

De 180 000 $ à 850 000 $ en 10 ans

Dans son blogue, McFagan affirme que, depuis son acquisition, il a parcouru 13 795 kilomètres avec cette NSX. Aujourd’hui, son odomètre affiche 62 900 kilomètres. Fait à noter, en 2013, le propriétaire précédent l’offrait sur eBay pour la somme de 180 000 $ !

Rappelons qu’Ayrton Senna est considéré comme l’un des plus grands pilotes de tous les temps. Il a dominé la scène de la Formule 1 à la fin des années 80 et au début des années 90, remportant un total de 41 courses et réalisant un triplé de titres mondiaux avec McLaren. Senna a perdu la vie tragiquement à Imola lors du Grand Prix de Saint-Marin, le 1er mai 1994.

Dans le cadre du 25e anniversaire du décès de Senna, en 2019, cette Honda NSX rouge a été transportée sur le circuit d’Imola, en Italie, et conduite par Giancarlo Minardi devant une foule dense.

Photos : Robert McFagan

Le texte La NSX d’Ayrton Senna est à vendre pour près de 1 M$ provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La récente itération de la Tesla Model 3 Performance offre des performances améliorées avec une puissance de 510 chevaux et un couple de 547 lb-pi. Elle affiche un impressionnant 0 à 100 km/h en 2,9 secondes, grâce à son nouveau groupe motopropulseur Performance 4DU.

Efficacité et Autonomie

Celle-là ne deviendra pas un robotaxi… Malgré des performances accrues, l’autonomie de la Model 3 Performance a légèrement diminué, passant à 476 km. Vous aurez toutefois la capacité de rouler jusqu’à 262 km/h.

Châssis et Conduite

Pour une conduite plus dynamique, cette Model 3 est équipée d’un nouveau châssis, d’un amortissement adaptatif et de modifications aérodynamiques. Ces ajustements offrent une meilleure accélération et une tenue de route améliorée, même dans les virages les plus serrés.

Mode Track V3

Le mode Track V3 permet aux conducteurs de tirer le meilleur parti de leur expérience de conduite, en ajustant les paramètres du moteur, de la suspension et du refroidissement pour une performance optimale sur la piste.

Design Exclusif à la Model 3 Performance

À l’extérieur, la Model 3 Performance se distingue par des éléments de design axés sur la performance, tels que des boucliers avant et arrière redessinés, un splitter avant et un aileron arrière. Ces ajustements réduisent la traînée, améliorent la stabilité et l’équilibre du véhicule.

Confort et Esthétique Intérieurs

À l’intérieur, cette Model 3 offre un confort accru avec de nouveaux sièges sport chauffants et ventilés, ainsi que des touches de fibre de carbone pour une esthétique sportive. En conclusion, la nouvelle Tesla Model 3 Performance promet une expérience de conduite exceptionnelle, combinant performances impressionnantes et confort haut de gamme, tout en conservant le style emblématique de la marque.

Le prix de détail est fixé à 69 990 $ (ou 71 988 $ en incluant les frais de transport et de préparation). C’est trop cher pour avoir droit aux subventions fédérale et provinciale.

Le texte Nouvelle Tesla Model 3 Performance : 3,1 sec pour se rendre à 100 km/h provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Performance Améliorée et Nouvelles Caractéristiques

La récente itération de la Tesla Model 3 Performance offre des performances améliorées avec une puissance de 510 chevaux et un couple de 547 lb-pi. Elle affiche un impressionnant 0 à 100 km/h en 2,9 secondes, grâce à son nouveau groupe motopropulseur Performance 4DU.

Efficacité et Autonomie

Malgré des performances accrues, l’autonomie de la Model 3 Performance a légèrement diminué, passant à 476 km. Vous aurez toutefois la capacité de rouler jusqu’à 262 km/h.

Châssis et Conduite

Pour une conduite plus dynamique, la Tesla Model 3 Performance est équipée d’un nouveau châssis, d’un amortissement adaptatif et de modifications aérodynamiques. Ces ajustements offrent une meilleure accélération et une tenue de route améliorée, même dans les virages les plus serrés.

Mode Track V3

Le mode Track V3 permet aux conducteurs de tirer le meilleur parti de leur expérience de conduite, en ajustant les paramètres du moteur, de la suspension et du refroidissement pour une performance optimale sur la piste.

Design Axé sur la Performance

À l’extérieur, la Model 3 Performance se distingue par des éléments de design axés sur la performance, tels que des boucliers avant et arrière redessinés, un splitter avant et un aileron arrière. Ces ajustements réduisent la traînée, améliorent la stabilité et l’équilibre du véhicule.

Confort et Esthétique Intérieurs

À l’intérieur, la Tesla Model 3 Performance offre un confort accru avec de nouveaux sièges sport chauffants et ventilés, ainsi que des touches de fibre de carbone pour une esthétique sportive. En conclusion, la nouvelle Tesla Model 3 Performance promet une expérience de conduite exceptionnelle, combinant performances impressionnantes et confort haut de gamme, tout en conservant le style emblématique de la marque.

Le prix de détail est fixé à 69 990 $ (ou 71 988 $ en incluant les frais de transport et de préparation). C’est trop cher pour avoir droit aux subventions fédérale et provinciale.

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Ça y est. Dodge a enfin son premier véhicule électrique. Le Hornet VHR est une version hybride rechargeable (d’où le «VHR») du petit Hornet, qui est à mi-chemin entre une familiale compacte et un VUS. C’est la grande nouveauté de cette année pour ce modèle, et il vient en prime avec un badge R/T, généralement réservé aux versions les plus dynamiques des véhicules de la marque Dodge.

Dodge appelle son Hornet un « véhicule électrifié » pour jouer un peu sur les mots et attirer ceux qui pensaient que le groupe Chrysler avait un peu abandonné sa marque la plus bas de gamme. Parce que jusqu’à tout récemment, on ne donnait pas cher – au propre comme au figuré – pour la marque Dodge. Dans les tribulations qui ont mené au rachat du groupe Fiat-Chrysler par Peugeot-Citroën, pour former le groupe Stellantis, il y a eu des rumeurs qu’on ne garderait que les marques Jeep et Ram, puis on a ajouté la marque Chrysler, et finalement, on a aussi gardé la marque Dodge.

Là, Dodge a son Hornet branchable, et elle aura aussi le Charger BEV plus tard cette année, qui est présenté comme le premier muscle car électrique de l’histoire de l’automobile. C’est pas rien.

Et si on se fie au Hornet VHR R/T, ça promet d’être un véhicule assez polarisant, merci. Le Hornet est animé par un moteur turbo de 1,3 litre qui est jumelé à un moteur électrique bon pour 50 km d’autonomie par charge. Les deux ensemble, ils produisent une puissance de 285 chevaux et un couple de 383 livres-pied.

En principe, c’est une assez bonne puissance. Mais comme on a souvent surtout le moteur électrique, on ne l’utilise pas si souvent. Le moteur électrique à lui seul fait l’équivalent de 120 chevaux (90 kW). Et quand on utilise les deux moteurs, le véhicule ne sait pas sur quel pied danser. C’est peut-être la faute à la boîte de transmission à six rapports, qui a elle-même de la misère à tomber sur le bon rapport au bon moment. Ça crée un flou dans la conduite, quand on a besoin d’accélérer, pour dépasser sur l’autoroute, par exemple.

En fait, le Hornet VHR est tout saut un véhicule sportif. Pour ça, il faut vraiment aller voir du côté du Tonale, chez Alfa Romeo. On en reparlera de celui-là. Le Hornet a une suspension qui n’est pas calibrée pour bien prendre en charge tout le poids de ses deux mécaniques.

Il est lourd, il freine parfois un peu paresseusement et il a tendance à prendre les virages comme un Dodge d’il y a 25 ans. Ça tangue beaucoup, et ça sous-vire en masse.

C’est dommage, car quand on le conduit au quotidien, le Hornet est un hybride branchable étonnamment plaisant. 50 km par charge, ce n’est pas beaucoup, mais ça se recharge quand même assez vite, et durant mon essai, j’ai réussi à maintenir une consommation moyenne de 1,6 litre aux 100 kilomètres, en le branchant le plus souvent possible. Sur la semaine, ça m’a coûté 7$ en recharge sur les bornes du Circuit électrique, et 16$ d’essence à la pompe.

Il y a une journée là-dedans où je n’ai pas pu me brancher, et durant cette journée-là, la consommation a grimpé à 8,5 l/100 km. Ce qui ferait du Hornet un hybride très normal, de ce côté-là. On recommande donc de le brancher le plus souvent possible.

À l’intérieur, on n’a pas l’impression d’être dans un véhicule Dodge. De l’extétrieur aussi, en fait. Le R/T a droit à un logo à deux diagonales rouges, plutôt qu’au logo Dodge classique, et ça attire le regard de bien des gens qui n’achèteraient pas un Dodge.

À bord, les commandes sont nombreuses, et l’ergonomie m’apparaît excellente, à part deux détails. La commande des essuie-glace est mal configurée, et au début, on ne comprend pas trop comment opérer l’essuie-glace arrière. Et Dodge a laissé trop peu d’espace entre la pédale de frein et l’accélérateur, si bien qu’on accroche souvent les deux pédales sans le vouloir.

Ce sont des détails, cela dit. Dodge n’a pas à être gênée d’offrir le Hornet en version hybride branchable. Il a seulement le malheur de coûter 49 000 $ après rabais, ce qui est un peu cher pour ce modèle, mais en même temps, tous les hybrides rechargeables coûtent cher.

Si celui-là pouvait coûter un peu moins cher, ce serait un sacré bon coup. Il donne hâte de voir la Charger BEV, en tout cas…

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Le texte Dodge Hornet VHR provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ça bouge dans le monde du pneu… Yokohama a inauguré plus tôt cette semaine une nouvelle usine au Mexique, grâce à laquelle la marque japonaise pourra produire des pneus destinés exclusivement pour le marché nord-américain. La production au Mexique évite des taxes à l’importation qui rendront plus abordables ses pneus, aussi.

Pour Yokohama, ça permettra de mieux répondre aux besoins du marché nord-américain. Par exemple, l’hiver dernier, la marque a mis en marché des nouveaux pneus conçus exprès pour les véhicules électriques. Ça peut sembler anodin, mais le poids élevé, l’accélération brusque et les freinages fréquents d’un véhicule électrique demandent des bons pneus, alors que les constructeurs vont souvent installer des pneus à faible résistance pour améliorer l’autonomie. Remplacer les pneus installés à l’usine par quelque chose d’un peu plus performant risque d’attirer les conducteurs qui veulent tirer le maximum de leur voiture électrique.

Les pneus à faible résistance sont souvent plus fermes et moins adhérents. Quand on veut freiner avec un véhicule qui pèse trop lourd, sur une surface mouillée, ça allonge de beaucoup la distance requise.

Ce sont des choses à considérer si vous êtes en train de magasiner pour des nouveaux pneus pour cet été. On va profiter des prochains mois pour tester les Avid Ascend GT que Yokohama nous a remis et on vous tiendra au courant plus tard cet été pour savoir s’ils tiennent leurs promesses.

Le texte Yokohama à l’assaut de l’Amérique du Nord provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Mercedes-Benz a finalement levé l’embargo sur les versions électriques de la Classe G 2025, sont gros 4×4 qui a toutes les allures d’un Jeep allemand. Et on peut enfin vous dire que le Mercedes-Benz G580, comme il s’appellera chez nous, est une vraie bête. Il est gros, il est puissant, il est lourd, et il coûtera aussi très cher.

Il faut dire que c’est tout un défi technique pour Mercedes-Benz d’avoir voulu électrifier le Gelandewagen sans en changer la formule, y compris sa structure à échelle. On a aussi scellé trois fois plutôt qu’une les batteries, puisque ce camion-là a été conçu pour traverser les rivières. C’est d’ailleurs pourquoi beaucoup de ses composants se trouvent sous le capot, à l’avant. Pas de coffre frontal, ou «frunk», ici. Mais beaucoup de mécanique et, oui, un haut-parleur pour reproduire le son d’un V8.

Parce que, pourquoi pas.

Mercedes-Benz G580: tout en puissance

Côté puissance, on parle de 579 chevaux et côté couple, ça monte à 859 livres-pied. C’est beaucoup. Le chrono au 0-100 km/h est digne d’une voiture de course, malgré que le Mercedes-Benz G580 pèse pas loin de 3000 kilos. Son autonomie, elle, pourrait surpassser les 440 km par charge.

Détail en passant : le G580 n’a aucune capacité de remorquage à sa fiche technique. Remorquez à vos risques et périls!

Notez que chaque roue a droit à une transmission à deux vitesses, pour moduler la puissance en situation hors routes comme on le ferait avec la «vitesse basse» sur un 4×4 à essence. À cela, Mercedes ajoute le mode de virage serré électronique G-Turn qui permet à la Classe G de tourner sur elle-même sur 360 degrés, pour se sortir d’un cul-de-sac.

EQ sur sa sortie

On a bien hâte de voir ce véhicule-là en personne.

Détail en passant, le G580 signale le changement de stratégie pour Mercedes-Benz, qui abandonnera progressivement l’appellation EQ lancée il y a quelques années déjà pour regrouper ses véhicules électriques. Ici, le G580 sera présenté comme étant équipé de la technologie EQ. Il remplace le EQG dans la gamme, d’ailleurs.

Ça ne fera pas une grande différence dans l’absolu, mais ça va aider à mieux lire le catalogue de véhicules de la marque allemande, qui aime ça faire compliqué même quand ça devrait être simple…

Le texte Mercedes-Benz G580 : le début de la fin pour la gamme EQ provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Cap d’Antibes, France- Le plus populaire des VUS de la gamme Porsche s’électrifie. Le Macan qui fait les beaux jours de la marque depuis 2014 sera pour le première fois livrable en version électrique pour 2025. Mais attention, avec plus de 844 000 exemplaires vendus depuis 10 ans, on ne prend le risque de se mettre à dos une si nombreuse clientèle. Porsche va continuer de produire sous sa forme actuelle le Macan à essence. Le modèle à électron va ainsi côtoyer le modèle au pétrole pour les deux prochaines années au moins.

Plus grand et plus effilé

Visuellement, il sera assez facile de distinguer un modèle à essence d’un modèle électrique. Le modèle EV est plus imposant et épouse des formes plus arrondies. Les phares à l’avant, semblables à ceux du Taycan sont installé en superposition. La forme plus arrondie se poursuit à l’arrière, où une longue barre de feux arrière se trouve sous une lunette arrière. Le modèle EV mesure 4 784 mm de long, 1 938 mm de large et 1 622 mm de haut. Des dimensions plus généreuses que le modèle à essence Il peut être équipé de roues jusqu’à 22 pouces et l’empattement 86 mm plus long que le modèle à essence. Porsche a aussi travaillé l’aérodynamisme pour favoriser une meilleure autonomie. Le coefficient de traînée est à 0,25 pour le modèle EV, contribuant ainsi à une meilleure autonomie. Le modèle à essence affiche un cx de 0,35.

Deux modèles au Canada

Le modèle d’entrée de gamme est le Macan 4 et le modèle Turbo occupe le haut du pavé. Les deux modèles sont construits sur la nouvelle plateforme Premium Platform Electric de Porsche, plateforme qui sera partagé avec l’Audi Q6. Le Macan 4 produit jusqu’à 402 chevaux de puissance en suralimentation, tandis que le Macan Turbo génère jusqu’à 630 chevaux. Un couple maximal de 479 et 833 lb-pi, respectivement. Cela garantit de la puissance à tous les régimes. Les deux modèles atteignent des vitesses de pointe de 220 et 260 km/h, respectivement. Les moteurs électriques puisent leur énergie dans une batterie lithium-ion placée sous le plancher, avec une capacité brute de 100 kWh, (95 kWh utilisable). La capacité de charge en courant continu atteint jusqu’à 270 kW. La batterie peut être chargée de 10 à 80 pour cent en environ 21 minutes sur une station de charge rapide compatible dans des conditions idéales. Sur des stations de charge de 400 volts, un interrupteur haute tension dans la batterie permet une charge en banc en divisant efficacement la batterie 800 volts en deux batteries, chacune avec une tension nominale de 400 volts. Cela permet une charge particulièrement efficace jusqu’à 135 kW. Une charge en courant alternatif allant jusqu’à 11 kW est possible selon le matériel de charge externe utilisé. Le freinage régénératif permet de récupérer jusqu’à 240 kW de puissance via les moteurs électriques pendant la conduite.

Une position de conduite digne d’une voiture sport

Parlons d’abord des sièges qui épousent parfaitement de corps avec une fermeté que l’on apprécié des modèles allemands. La conduite est à géométrie variable. Vous avez la présence du PASM (Porsche Active Suspension Management) et la suspension pneumatique qui donne des airs de sprinteur à cette bête de près de 2,5 tonnes. Si vous roulez à régime tranquille comme notre journée et demi d’essai sur la côte d’Azure, vous n’aurez pas de problème. Toutefois, si vous augmentez le régime ou prenez la décision d’affronter des routes de montagnes comme la route de Napoléon avec le couteau entre les dents, c’est une autre histoire. Pour être en mesure de garder le cap sur un modèle aussi lourd et contenir la puissance des moteurs électriques, il faut rigidifier toutes les structures au maximum. C’est presque contre-nature d’avoir un véhicule d’une telle stature se conduire comme une véritable sportive. Le Macan demeure coller sur le bitume au détriment d’une rigidité qui peut en laisser certains inconfortables à plus haut régime.

La technologie

L’intérieur du Macan électrique est similaire à celui du Cayenne redessiné, avec moins de boutons et plus de rangement. Un tableau de bord numérique de 12,6 pouces vient de série. Sa fonctionnalité supplémentaire est appréciée, mais pas encore parfaite. L’écran tactile multimédia de 10,9 pouces à droite est plus réussi et constitue une avancée majeure par rapport à ce que l’on trouve dans le Macan à essence. Il est basé sur Android Automotive, mais conserve la compatibilité avec Apple CarPlay. Le Macan EV sera disponible avec un écran tactile/affichage passager de 10,9 pouces contenant une grande partie des mêmes fonctionnalités que l’écran multimédia principal. Cet écran tactile permet au passager de faire fonctionner le système de navigation ou de regarder des vidéos en streaming (à partir de quelque chose appelé Screenhits TV), tandis qu’un filtre polarisé assure que le conducteur ne peut pas voir ce qui est affiché. L’électrification a permis d’augmenter l’espace pour les bagages dans le Macan. En fonction du modèle et de l’équipement, la capacité derrière la banquette arrière peut atteindre 540 litres (en mode cargo). À cela s’ajoute le “coffre”, un second compartiment à bagages situé sous le capot et d’une capacité de 84 litres. Les passagers sont 28 mm que le modèle à essence. L’empattement, plus long de 86 mm offre aussi plus d’espace aux passagers, surtout à l’arrière.

Des prix à glacer le sang

Il faut bien retenir son souffle en entendant le prix. Le Macan 4 offre un prix de départ de 99 300 $ sans aucune option. Si vous prenez en compte les 2 750 $ de frais de transport et de préparation, les 2 850 de frais de concessionnaire, les 23 300 d’option sur notre modèles d’essai et les 5 675 $ de taxe de luxe, nous sommes à 134 050 avant les taxes. Le modèle turbo débute à 125 300 $. La taxe de luxe passe à 11 213 $ et vous avez 25 500 $ d’option. Notre modèle à l’essai était à 167 278 $ avant les taxes ou si vous préférez 192,327 toutes taxes incluses. C’est une montagne d’argent pour un tel véhicule et un écart injustifié avec le modèle à essence.

Conclusion

Si l’on ne tient pas compte du prix, le Macan est un véhicule exceptionnel. Oui, on ressent le poids et la grande rigidité, mais pour tenir un tel poids sur la route la suspension très rigide risque de vous donner un peu mal au cœur si vous poussez la machine. Même avec toutes ces qualités, ses avancements techniques et sa grande compétence sur la route, nous ne croyons pas que le prix déraisonnable puisse justifier l’achat d’un Macan EV.

Forces

Une tenue de livre exceptionnelle

Une puissance de premier plan

Un design réussi

Faiblesses

Une direction qui manque un peu de précision

Un prix ridiculement élevé

Beaucoup d’options qui devraient êtes incluses de série

Le texte Porsche Macan EV 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Une enquête de Hunterbrook Media révèle la situation précaire de VinFast, qui peine à vendre des voitures. Cette information est confirmée par un rapport de Reuters, indiquant que 70% des livraisons de VinFast l’année dernière étaient destinées à d’autres entreprises appartenant à son PDG, Pham Nhat Vuong et non à des clients.

Écrans de Fumée

Bien que le fabricant vietnamien ait annoncé un premier trimestre exceptionnel avec une augmentation de 444% des livraisons par rapport à l’année précédente, cela pourrait n’être qu’un écran de fumée. Les véhicules pourraient être vendus entre des entreprises affiliées plutôt qu’à de véritables clients. De plus, l’usine principale de VinFast au Vietnam n’exploite que 12% de sa capacité annuelle de 300 000 véhicules. Ces révélations font suite à l’enquête menée par Hunterbrook Media et Reuters sur les opérations de VinFast.

Pratiques Obscures

L’enquête de Hunterbrook Media a débuté après la découverte d’une vidéo sur YouTube montrant des centaines de véhicules VinFast pourrir dans un champ. Ces véhicules avaient été précédemment vendus à une entreprise appartenant au PDG de VinFast, Pham Nhat Vuong. Cependant, lorsque les journalistes ont tenté de retrouver la vidéo, elle avait disparu de la plateforme.

Mensonges aux Clients Nord Américains

VinFast trompe non seulement ses homologues vietnamiens, mais aussi les clients et investisseurs américains. Malgré l’annonce d’une grande expansion aux États-Unis, avec une usine de 4 milliards de dollars prévue en Caroline du Nord, neuf mois après le début des travaux, aucun progrès n’est visible. L’usine aurait dû commencer la production d’ici la fin de 2024, mais aucune construction préliminaire n’est apparente selon les images satellites. Des reporters de Hunterbrook Media ont visité le site de construction en février pour constater l’absence d’ouvriers.

Difficultés sur le Marché Nord-Américain

La capacité prévue de l’usine de Caroline du Nord est de 150 000 VE, ce qui semble excessif pour le marché américain, surtout après que VinFast n’ait vendu que 265 véhicules aux États-Unis. De plus, de nombreux critiques automobiles ont sévèrement critiqué la VF8 de VinFast, ce qui a probablement contribué à son échec commercial.

Conclusion Incertaine

Il reste incertain de savoir quelle sera la trajectoire de VinFast dans ce contexte difficile du marché des VE. La concurrence est rude, avec des fabricants réduisant les prix et se préparant à des difficultés futures. Pour VinFast, cette histoire risque de se terminer avant même d’avoir vraiment commencé. Un dossier à suivre.

Avec des renseignements de Auto Evolution

Le texte Vinfast aurait menti sur ses véritables chiffres de ventes provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

San Diego, Californie – En mai 2023, Toyota dévoilait à la planète la nouvelle génération de sa camionnette Tacoma. L’automne dernier avaient lieu les premiers essais des versions équipées du moteur de base, simplement nommé i-Force. Ce printemps, c’est au tour du reste de la gamme de faire ses débuts, soit les variantes munies du moteur i-Force Max. Dans les deux cas, la mécanique est un 4-cylindres turbo de 2,4 litres, mais lorsqu’on parle du moteur Max, on fait référence à sa configuration hybride, plus puissante, plus économique. Rédiger un essai routier d’un modèle comme le Tacoma peut s’avérer cauchemardesque. Le communiqué de presse nous relatant tout ce qu’on a à savoir à propos du modèle est plus volumineux que la Bible. J’exagère à peine, mais vous voyez un peu où je veux en venir.

On va donc y aller avec une formule que vous connaissez bien, soit 10 choses à savoir sur le modèle. Ça va être concis, mais ça va vous donner une idée de ce qui vous attend avec ce produit.

1 — Douze configurations

En comptant toutes les variantes, on arrive à la douzaine. Huit sont équipées du moteur i-Force, quatre du bloc i-Force Max. Des boîtes de cinq ou de six pieds sont livrables, selon la version, mais il n’y a pas de flexibilité de ce côté. Avec les modèles i-Force Max, seule la déclinaison Trailhunter, la plus chère, peut recevoir une caisse de six pieds.

2 — Des factures salées

Pour la liste de prix, on vous invite à consulter le tableau à la fin du présent article. Sachez simplement qu’une seule variante est offerte sous les 50 000 $, soit la SR5. Dans le cas du modèle Trailhunter, la facture est à 82 950 $, ou 86 581 $, une fois les frais ajoutés, estimés par Toyota. Ajoutez les taxes, et ça vous mène à la porte des 100 000 $. Du jamais vu pour une camionnette intermédiaire. De la pure folie, diront certains.

3 — Trailhunter

Parlons-en de cette version Trailhunter. Si historiquement les modèles TRD Pro ont toujours été ceux conçus pour aller vite en conduite hors route, Toyota nous propose ici un modèle qui est pensé pour aller plus loin. Bardée de tout l’attirail nécessaire pour s’aventurer loin des sentiers battus, la variante Trailhunter propose une suspension rehaussée de 2,0 pouces à l’avant et de 1,5 pouce à l’arrière (idem pour le modèle TRD Pro).bElle profite en plus d’un système de gestion de terrain, de caméras pour tout voir en conduite hors route, d’une boîte de transfert à deux vitesses (contrôlée de façon électronique), d’un différentiel arrière qui peut être verrouillé, ainsi que d’un système de déconnexion de la barre stabilisatrice avant, pour une plus grande articulation des roues. Le régulateur de vitesse à basse vitesse (Crawl Control) est aussi de la partie. Le modèle Trailhunter propose quantité d’autres éléments propres. Nous aurons l’occasion d’en faire l’essai plus tard cet été, et nous vous présenterons alors un essai complet simplement sur ce dernier.

La déclinaison TRD Pro profite essentiellement des mêmes caractéristiques pour la conduite hors route.

4 — La puissance

La puissance du moteur i-Force Max est impressionnante. Il s’agit du même bloc 4-cylindres turbo de 2,4 litres des versions de base, mais il profite d’un moteur électrique de 48 chevaux qui est logé à l’intérieur de la transmission. La taille de la batterie qui l’alimente est de 1,87 kWh. Ainsi, plutôt que d’offrir 278 chevaux et 317 livres-pieds de couple, il en propose 326 et 465, respectivement. Le tout est géré par une boîte de vitesse automatique à huit rapports.

5 — Des styles distincts

Ce qui frappe lorsqu’on jette un regard à la gamme, c’est la différenciation qui existe entre les déclinaisons. C’était un souhait des concepteurs. Chaque Tacoma ne vise pas nécessairement la même clientèle. Ainsi, vous aurez des impressions différentes à la vue d’un modèle SR5 et d’une variante TRD Pro. Avec ses pneus de 33 pouces, cette dernière est 3,0 pouces plus larges, en plus d’être plus haute et nettement plus imposante.

6 — Cabine double

Une seule configuration de cabine est possible, soit la double. Aux États-Unis, certaines versions profitent d’une cabine allongée. On verra bien si l’on se ravisera de ce côté-ci de la frontière, entre autres avec une variante d’entrée de gamme qui serait moins chère.

7 — Cousin du 4Runner 2025

Le Toyota 4Runner 2025 nous a été présenté à San Diego. Il va faire ses débuts l’automne prochain. Si vous remarquez des similitudes entre ce dernier et le Tacoma, vous ne rêvez pas. Les deux modèles ont été développés conjointement dans les studios américains de l’entreprise.

8 — Capacité de remorquage

La capacité de remorquage du Tacoma a été fixée à 6000 livres avec ce moteur i-Force Max (6400 avec la version i-Force). S’il y a une déception, elle est là, car on fait mieux chez GM (7700 livres) et chez Ford (7500 livres), avec les Chevrolet Colorado/GMC Canyon et Ford Ranger, respectivement.

9 — Des sièges avec amortisseurs intégrés

Assurément l’une des options les plus cool qu’il est possible de se payer avec ce nouveau Tacoma, ce sont ces sièges dotés d’amortisseurs intégrés. Livrable avec certaines variantes pensées pour la conduite hors route, ils promettent un meilleur confort grâce à une réduction des mouvements latéraux et horizontaux en conduite extrême, mais aussi sur la route.

10 — Cotes de consommation

Ce qui sera à surveiller avec ce moteur hybride, c’est la consommation qu’il va proposer. Pour le moment, on doit s’en remettre aux chiffres de Toyota, car notre essai du modèle s’est surtout fait en conduite hors route. Ainsi, la compagnie annonce des moyennes de 10,3 et 10,0 litres aux 100 kilomètres, selon que le véhicule profite d’un système 4×4 temporaire ou permanent, dans l’ordre. Ce sera moins que le V6 de 3,5 litres qui est envoyé la retraite, assurément.

Conclusion

Voilà, en 10 points, ce qui nous a surtout frappés à propos de cette mouture hybride du Toyota Tacoma 2024. Il y a tellement de variantes et de possibilités avec ce modèle que des essais subséquents seront nécessaires pour vraiment faire le tour de la question. On n’a même pas parlé de l’habitacle, du design intérieur fort réussi, de l’ergonomie au poil, de la connectivité sans fil, ainsi que de la sécurité embarquée. Nous aurons l’occasion d’y revenir. En attendant, on vous laisse avec la gamme et ses prix. Vous remarquerez la présence de deux versions à boîte de vitesses manuelle. On aime ça…

  • SR5 i-Force : 46 950 $
  • TRD Hors Route i-Force : 50 650 $
  • TRD Sport i-Force : 50 050 $
  • TRD Sport+ i-Force : 54 450 $
  • TRD Sport Premium i-Force : 58 150 $
  • TRD Hors Route (Man) i-Force : 48 550 $
  • TRD Hors Route Premium i-Force : 58 350 $
  • TRD Sport+ (Man) i-Force : 52 350 $
  • Limited i-Force Max : 63 390 $
  • TRD Hors Route Premium i-Force Max : 64 850 $
  • TRD Pro i-Force Max : 76 990 $
  • Trailhunter i-Force Max : 82 950 $

Le texte 10 choses à savoir à propos du Toyota Tacoma hybride (i-Force Max) 2024 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile