GM annonce des changements majeurs dans son usine de Fairfax

General Motors Co. a confirmé mercredi qu’il mettrait fin à la production de la berline Chevrolet Malibu cet automne dans son usine de Fairfax Assembly, dans le Kansas. Cette décision fait partie d’une stratégie visant à se concentrer sur la fabrication du nouveau véhicule électrique Chevrolet Bolt.

Investissement de GM dans la production de la Bolt électrique

GM prévoit d’investir environ 390 millions de dollars à Fairfax pour préparer la production de la Bolt basée sur l’Ultium, la prochaine génération de ce véhicule électrique.

Réorganisation de la production pour répondre à la demande croissante

La production du petit SUV Cadillac XT4 se poursuivra jusqu’à ce que l’usine soit fermée l’année prochaine pour être rééquipée en vue de la production de la Bolt. Cette réorganisation permettra à GM de répondre aux changements de la demande des clients et de maintenir sa flexibilité sur le marché.

Conséquences pour les employés et engagement envers le syndicat UAW-GM

Kevin Kelly, porte-parole de GM, a souligné que l’arrêt de la production entraînerait un licenciement temporaire des employés concernés. Cependant, ils seront soutenus conformément aux dispositions de l’accord entre GM et le syndicat UAW. Lorsque la production reprendra fin 2025, Fairfax produira à la fois la Bolt EV et la XT4 sur la même ligne d’assemblage.

Avec des renseignements du Detroit News

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Deux grandes entreprises chinoise de l’automobile, Nio et BYD, s’unissent pour lancer une nouvelle marque de VE moins chers, répondant au nom d’Onvo. Cette initiative vise à rivaliser avec Tesla sur le marché chinois en offrant des alternatives plus abordables, en particulier face aux modèles Model 3 et Model Y.

Stratégie de lancement et cible de marché

Le premier modèle de la marque, le L60, cible directement le segment des multisegments, visant à séduire les consommateurs soucieux de leur budget sans sacrifier la qualité ou les performances.

Avantages des partenariats et économies d’échelle

Cette collaboration stratégique permet à BYD d’explorer de nouvelles sources de revenus dans un paysage concurrentiel en évolution. Elle met également en lumière l’importance cruciale des batteries abordables dans la réduction des coûts des VE.

Détails du partenariat et spécifications des batteries

Bien que les détails exacts du partenariat restent confidentiels, des sources révèlent que CATL et CALB pourraient fournir des batteries de différentes tailles pour les VE d’Onvo. Cette diversité de batteries pourrait offrir des options de capacité adaptées à différents besoins et budgets.

Tendances mondiales et complexités du marché des VE

Alors que les ventes de VE fléchissent dans des marchés clés comme les États-Unis, les entreprises cherchent désespérément des solutions pour rendre ces véhicules plus accessibles. Les entreprises chinoises, avec leur accès privilégié aux matières premières et leurs réseaux économiques solides, se trouvent en position de force sur le marché mondial et sont en mesure de venir ici avec des produits plus abordables.

Stratégies d’expansion et priorités

Bien que la concurrence s’intensifie, les entreprises chinoises comme BYD et Nio concentrent leurs efforts sur leur marché national avant de considérer une expansion internationale. Pour l’instant, l’accent est mis sur la conquête du marché chinois et la concurrence directe avec Tesla sur leur propre terrain.

Avec des renseignements de Carbuzz

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Au Québec, Lion Électrique, spécialisé dans les véhicules urbains mi-lourds et lourds électriques, a annoncé une perte nette de 21,7 millions de dollars au premier trimestre, marquant une nouvelle période difficile pour l’entreprise.

Bilan Financier

La société a rapporté une perte nette de 21,7 millions de dollars américains, soit une augmentation par rapport à l’an dernier. Cela marque une série de trimestres déficitaires, soulignant les défis persistants rencontrés par l’entreprise.

Livraisons et Revenus

Malgré une légère augmentation des revenus, atteignant 55,5 millions de dollars américains, attribuable à une hausse des ventes aux États-Unis, le nombre de livraisons a diminué, passant de 220 à 196 véhicules par rapport à l’année précédente.

Performance par Marché

La performance sur le marché canadien a été en recul, avec seulement 165 véhicules livrés au lieu de 215 l’an dernier, soulignant les défis dans ce secteur.

Se relever les manches

Marc Bédard, PDG et fondateur de Lion, a admis les difficultés rencontrées, affirmant que des mesures drastiques étaient nécessaires pour assurer la stabilité financière de l’entreprise.

Réduction des Coûts

Pour rationaliser les dépenses, Lion a annoncé la suppression de 120 emplois, dans le cadre d’une restructuration visant à améliorer sa position financière face à la volatilité du marché.

Plans pour l’Avenir

Malgré les défis, Bédard reste optimiste quant aux futurs lancements de produits, mettant l’accent sur l’augmentation des commandes et l’accélération des livraisons pour atteindre la rentabilité.

Produits Clés

L’entreprise se concentre sur le LionD, un autobus scolaire, et le Lion5, un camion électrique, tous deux offrant des fonctionnalités avancées et une autonomie étendue.

Perspectives

Avec un carnet de commandes en hausse, comprenant désormais 2004 véhicules, l’entreprise vise à consolider sa position sur le marché malgré les défis actuels.

Conclusion

Malgré les difficultés financières au premier trimestre, Lion Électrique reste déterminé à surmonter les obstacles et à poursuivre sa mission de leadership dans le domaine des véhicules électriques.

Avec des renseignements de Radio-Canada

Le texte Lion Électrique enregistre une perte de 22 millions de dollars au premier trimestre provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

C’est maintenant devenue la règle dans le monde automobile. Les moteurs V12 ne sont plus en mesure de rencontrer les plus récentes normes environnementales.

Changement de paradigme

Le moteur W12 fait partie intégrante du caractère de Bentley depuis que le groupe Volkswagen a racheté la société. Ce moteur puissant mais à la configuration étrange sera à son chat du cygne, mais la société vient d’annoncer son remplacement. Non, il ne s’agit pas d’un autre 12 cylindres. Il s’agit d’un V8 qui pour être de son temps aura l’aide d’un moteur électrique qui diminue les émanations polluantes en augmentant la puissance.

Ce que nous savons

Bentley ne dévoile pas tous les détails de ce nouveau moteur. La cylindrée, par exemple, n’est pas connue, mais la société affirme qu’il s’agit d’un “hybride de performance” et qu’il développera 740 ch. C’est 90 chevaux de plus que le 6.0L W12 dans sa dernière itération, le Continental GT Speed. Le moteur produira également un “couple à quatre chiffres”, bien que Bentley veuille probablement parler de newtons-mètres et non de pieds-livres. 1 000 Nm correspondent à 738 lb-pi.

80 km d’autonomie

Autre bonne nouvelle, Bentley ne se contente pas de 30 ou 40 km d’autonomie, mais les ingénieurs parlent de 80 km. C’est un chiffre impressionnant, d’autant plus qu’il équipera l’un des très grands et très lourds modèles de luxe de Bentley. Il faut donc s’attendre à une batterie électrique de taille conséquente.

Un V8 musical

Pour accompagner l’annonce du nouveau moteur, Bentley a publié un fichier audio. Le son ressemble davantage à celui d’un moteur de performance d’une grosse voiture musclée qu’au son calme et raffiné que l’on attend de Bentley. Bentley a construit 105 000 exemplaires du W12 au cours de ses deux décennies d’existence, ce qui représente le plus haut niveau de vente de l’histoire de la marque. Le nouveau moteur n’est peut-être pas aussi glamour, mais il ne risque pas de ralentir la croissance de la marque. Il ne reste plus qu’à attendre qu’il apparaisse enfin dans le premier véhicule.

Avec des renseignements de Motor Illustrated

Le texte Bentley remplace son W12 par un V8 hybride provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Tout comme BMW avant elle, Hyundai annonce une petite révolution dans le monde des voitures connectées. La société envisage d’introduire des fonctionnalités payantes dans ses véhicules, allant de l’activation des sièges chauffants à d’autres options, dans le but de personnaliser l’expérience automobile de ses clients.

Vers une personnalisation accrue des véhicules

Marcus Welz, responsable de Hyundai Connected Mobility, déclare : “Nous envisageons de proposer des fonctions à la demande afin de personnaliser davantage la voiture.” Cette initiative s’inscrit dans une démarche visant à rester en contact avec les clients même après la vente, une approche qui n’a pas souri à BMW.

Une nouvelle division et des essais en Europe

La création d’une nouvelle division en Europe, regroupant les activités d’abonnement automobile (Mocean) et de services connectés (Bluelink), souligne l’engagement de Hyundai envers l’évolution de la mobilité. Andreas-Christoph Hofmann, vice-président du marketing de Hyundai, souligne que cette division explore des modèles de de voitures allant au-delà de la simple acquisition.

Une restructuration de Bluelink pour une expérience utilisateur optimisée

Hyundai réorganise Bluelink pour offrir une expérience utilisateur améliorée. Le système sera désormais proposé en trois catégories : Lite, Plus et Pro, offrant différents niveaux d’accès aux services connectés, avec des prix variant de gratuit à abonnement mensuel.

Des fonctionnalités à la demande pour les voitures plus anciennes

Hyundai envisage d’apporter de nouvelles fonctionnalités même aux voitures plus anciennes en mettant à jour les logiciels entourant les composants existants tels que la batterie, les moteurs, les caméras de stationnement, etc. Cette évolution permettra d’améliorer les performances moyennant un coût.

Une vision au-delà de l’industrie

Welz affirme que l’objectif de Hyundai va au-delà des pratiques actuelles de l’industrie, visant à apporter de nouvelles fonctionnalités à des voitures plus anciennes grâce à des mises à jour logicielles.

Un pari risqué

Tous les constructeurs automobiles cherchent d’autres manière de gagner des revenus supplémentaires. Toutefois, exiger plus d’argent ou des locations éternelle sur des fonctions que l’on peut payer à l’achat d’un véhicule comporte des risques. Les gens n’ont pas envie d’embarqués dans d’autres et cette approche a été très mal reçus lorsque des constructeurs comme BMW l’ont proposé en Amérique du Nord.

Avec des renseignements d’Autocar

Le texte Hyundai songe à la location de certaines fonctions comme les sièges chauffants provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Un projet majeur au point mort

Le projet de construction d’une usine de batteries à Bécancour, piloté par Ford et ses partenaires, fait face à d’importants obstacles financiers. Malgré la progression des travaux, le chantier milliardaire est actuellement au point mort, laissant plusieurs questions en suspens.

Défis financiers pour Ford et ses partenaires

Ford, EcoPro BM et SK On rencontrent tous des difficultés financières liées à leur virage vers l’électrification. Ford a enregistré une perte trimestrielle de 1,3 milliard de dollars dans son segment électrique, tandis qu’EcoPro BM voit ses bénéfices chuter de manière vertigineuse.

Incertitudes entourant le projet de Bécancour

Le 30 avril dernier, Ford et ses partenaires ont ralenti la construction de leur usine québécoise de cathodes, sans fournir de détails sur les raisons de ce frein soudain. Des questions subsistent également sur le choix du nouveau maître d’œuvre et sur les sommes déjà investies dans le projet.

Difficultés persistantes pour SK On et EcoPro BM

SK On, spécialisé dans les batteries, demeure déficitaire malgré ses projets internationaux, tandis qu’EcoPro BM voit ses bénéfices décliner et anticipe une reprise plus lente que prévu de la demande.

Manque de clarté sur la stratégie

Yan Cimon, professeur à l’Université Laval, souligne le flou entourant la stratégie de Ford et de ses partenaires. Malgré les obstacles, l’électrification reste un mouvement inévitable dans l’industrie automobile.

Retards dans la mise en œuvre du projet

Huit mois après l’annonce du projet à Bécancour, les promoteurs n’ont toujours pas finalisé la coentreprise prévue. Ford et SK On tardent à devenir commanditaires de l’entité, sans explication claire sur ces retards.

Contraste avec d’autres projets similaires

En comparaison, un autre projet d’usine de cathodes à Bécancour, dirigé par General Motors et POSCO, avance sans encombre, avec une structure claire et des actionnaires déjà engagés dans l’entreprise créée pour l’exploiter.

Avec des renseignements de La Presse

Le texte Des problèmes financiers qui entravent le projet de Ford à Bécancour provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Maranello, Italie- Si vous proposez à un amateur de performances l’essai d’une voiture hybride branchable, vous ne verrez pas beaucoup d’enthousiasme sur son visage. Si vous lui dites que c’est une Ferrari, vous capterez son intérêt. Cinq minutes et vous serez conquis. Nous avons eu l’occasion de faire pas moins de 16 tours du circuit de Fiorano à Maranello pour voir de quoi était capable cette sportive de nouvelle génération.

Un V6 qui a le cœur gros comme un V12

Outre la Dino (sur laquelle le mot Ferrari n’était pas inscrit) la 296 est la première sportive à moteur V6 de la marque au cheval cabré. Le petit V6 de 3,0 avec un angle de 120 degrés est très compact et placé très bas. Deux turbos s’intègre en son centre pour une plus grande efficace. Ce moteur à lui seul produit 654 chevaux. On ajoute une couche avec un moteur électrique de 122 kW couplé à une petite batterie de 7,45 kWh. La puissance totale grimpe alors à 819 chevaux. Si vous insistez pour en faire une voiture électrique, vous avez une autonomie de 25 km, selon Ferrari. Toute cette puissance passe par une boîte à double embrayage à huit rapports. Malgré le fait que seulement les roues arrière sont mises à contribution, le 0-100 km/h se fait sous la barre des trois secondes.

Une puissance inépuisable

En général, les voitures de performances qui dépassent les 600 chevaux demandent des talents de pilotes aguerris. Dans le cas de la 296, la prise en main est intuitive et la maîtrise est facile, très facile. Les instructeurs assis à notre droite nous ont même encouragé à utiliser les modes Race et CT OFF. Je n’ai pas poussé jusqu’à utiliser ESC OFF. Le plus surprenant est que même lorsque l’électronique veille au grain, la voiture reste très alerte et éveillée. Sur le circuit de 2,9 km de Fiorano, la 296 se conduit presque comme une moto tellement elle est réactive. Les huit rapports s’enchaînent sans réduction perceptible de la puissance, la voiture n’hésite jamais, ne laisse jamais transparaître la moindre hésitation. Beaucoup de voitures sont capables d’accélérer rapidement, mais peu de voitures ont de la puissance à tous les régimes. Dès que vous remettez les gaz, le mélodique V6 répond instantanément et son châssis vous enveloppe comme un partenaire de danse. La voiture vous parle à travers son volant, son châssis. Même à régime très élevé, vous avez une assurance au volant qui dépasse le raisonnable. En mode Race, les réflexes s’aiguisent, la voiture réagit plus vite, les accélérations donnent le frisson, mais la 296 s’accroche fermement au bitume. J’ai l’impression que cette Ferrari est capable de prendre des décisions beaucoup plus vite que moi et anticipe mes intentions. Elle n’est pas seulement rapide ou amusante ou cool, elle est carrément amicale. Elle aime jouer.

Confort minimaliste

À l’intérieur, la 296 est un exercice de minimalisme élégant. Le tableau de bord présente une interface entièrement numérique dérivée de la SF90. Les sièges et les différentes surfaces intérieures de la GTB sont recouverts d’un cuir italien qui souligne le côté luxueux du coupé. Ses commandes excessives constituent un cauchemar ergonomique. Pour le reste, La console centrale contient un levier de vitesse à bouton poussoir inspiré des anciennes boîtes de vitesses manuelles à grille de Ferrari. La console centrale comporte également un petit compartiment pour ranger la clé de contact. Un affichage tête haute est également discrètement intégré dans la partie supérieure du tableau de bord. La seule chose qui vient briser cette harmonie est le volant très chargé et complexe à l’image des autres modèles Ferrari.

Conclusion

Le prix de départ de la Ferrari 296 GTB est de 312 986 dollars, celui de la 296 GTS de 364 650 dollars. Vous devez ajouter beaucoup d’options pour avoir un modèle intéressant ce qui fait grimper le prix très rapidement. Mais cette Ferrari est la plus amusante, la plus puissante et la plus facile à conduire que nous ayons essayé. Nous employons rarement le mot formidable, mais la 296 mérite ce vocable.

Forces

  • Performances époustouflantes
  • Confort surprenant
  • Facilité de conduite

Faiblesses

  • Ergonomie complexe
  • Direction à peine perfectible
  • Démarrage de la voiture forcément silencieux…

Quelques tours de piste de Fiorano

https://youtu.be/Q8fXWZQiOTA

Le texte Ferrari 296 GTB provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La grande entreprise de location de voitures Hertz prend une décision surprenante en vendant environ 20 000 véhicules électriques, dont des Teslas, de sa flotte américaine. Ce revirement intervient environ deux ans après un partenariat avec Tesla pour proposer ces véhicules à la location. Cette initiative marque un changement significatif, suggérant un ralentissement de la demande pour les VÉS.

Défis financiers et obstacles technologiques

Hertz, dans un communiqué, justifie ce choix en raison des coûts élevés associés aux collisions et aux dommages des VÉS par rapport aux véhicules à essence. Bien que son objectif initial était de convertir 25 % de sa flotte en véhicules électriques d’ici la fin 2024, la réalité économique l’a amenée à reconsidérer cette stratégie.

Défis rencontrés par Hertz

Lors de la conférence JPMorgan Auto l’année dernière, le PDG Stephen Scherr avait souligné les difficultés financières croissantes liées aux VE, en particulier les modèles Tesla. Hertz a même dû limiter la puissance et la vitesse des VE et les proposer principalement aux utilisateurs expérimentés pour minimiser les risques de collisions frontales.

Répercussions sur les marchés

Cette décision a eu un impact sur les marchés boursiers, avec une baisse d’environ 4 % des actions de Hertz et de 3 % des actions de Tesla.

Un avenir incertain pour les véhicules électriques

Cette volte-face de Hertz met en lumière les défis auxquels sont confrontés les véhicules électriques dans leur quête de croissance, avec des constructeurs automobiles comme General Motors et Ford réduisant leurs projections de production. L’analyste Adam Jonas de Morgan Stanley estime que cette décision est un signal que les attentes concernant les véhicules électriques doivent être revues à la baisse.

Coûts cachés de la possession de véhicules électriques

Malgré l’attrait des économies de carburant et de l’expérience de conduite des VE, il existe des “coûts cachés” associés à leur possession, notamment les dépenses élevées liées aux collisions et aux dommages.

Hertz se concentre sur la rentabilité

Hertz prévoit désormais de se concentrer sur l’amélioration de la rentabilité pour le reste de sa flotte de VE, abandonnant ses ambitions initiales de commande de véhicules Tesla et de Polestar.

Impact sur le marché des véhicules d’occasion

La décision de Hertz a également des répercussions sur le marché des véhicules d’occasion, avec une baisse des prix en raison de l’augmentation des stocks de VE invendus. Cette vente massive de VE par Hertz contribue à cette tendance à la baisse des valeurs des véhicules d’occasion.

Conclusion

Alors que Hertz se tourne vers des véhicules à essence pour des raisons financières, l’avenir des véhicules électriques reste incertain, avec des défis à surmonter tant sur le plan technologique que financier.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte Hertz vend 20 000 véhicules électriques pour racheter des modèles à essence provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Magna International, un acteur majeur dans l’automobile , se trouve confronté à des défis majeurs suite à l’arrêt de production des véhicules électriques Fisker. Cette situation inattendue a contraint Magna à revoir ses perspectives et à prendre des mesures stratégiques pour protéger ses activités.

Impact financier majeur

En tant que producteur du VUS électrique Ocean de Fisker, Magna subit des pertes importantes. Swamy Kotagiri, PDG de Magna, a révélé une prévision de perte de revenus substantielle de 400 millions de dollars pour l’année en cours, avec une chute du bénéfice net du premier trimestre, passant de 209 millions de dollars à 9 millions de dollars comparativement à l’année précédente.

Tendances négatives pour Fisker

Fisker fait régulièrement les gros titres, mais pour de mauvaises raisons. Des problèmes techniques avec le SUV électrique très attendu, des difficultés financières importantes, et même le PDG Henrik Fisker mettant en vente sa résidence de Los Angeles pour 35 millions de dollars, laissent présager un avenir sombre pour l’entreprise.

Défis multiples pour Magna

Outre les pertes directes liées à l’arrêt de production, Magna doit faire face à des retards de programme et à une combinaison défavorable de plateformes, selon Automotive News. Ces défis s’ajoutent à des tendances industrielles plus larges, telles que des volumes en baisse en Europe et une incertitude quant à l’avenir des véhicules électriques en Amérique du Nord.

Engagement et adaptation

Malgré ces défis, Magna reste déterminée à surmonter cette période difficile. La société a ajusté ses projections de ventes annuelles et recherche activement des moyens d’atténuer l’impact de la situation de Fisker sur ses opérations. Kotagiri souligne l’importance d’examiner attentivement les détails des contrats et des garanties, surtout lorsqu’il s’agit de nouveaux acteurs sur le marché, afin de réduire efficacement les risques futurs.

Vision à long terme

Le revers subi avec Fisker n’a pas entamé la volonté de Magna de s’engager dans la transition vers les véhicules électriques, comme l’exprime Pat McCann, directeur financier de l’entreprise.

Avec des renseignements de Motor Illustrated

Le texte Magna cesse la fabrication de véhicules Fisker provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Maranello, Italie- C’est lors d’un récent voyage en Iatlie en collabotation avec Schell et Ferrari que nous avons discuté avec la docteure Selda Gunsel qui dirige un groupe mondial de scientifiques et d’ingénieurs pour favoriser l’innovation et le leadership technologique dans le domaine des technologies et des produits énergétiques. Elle est aussi responsable de la formulation de la nouvelle essence Shell V-Power® NiTRO+. Auto. Autour de la table , il y avait aussi la vice-président de Schell Amérique du Nord, Barbara Stoyko. Elle est responsable des aspects financiers, stratégiques et organisationnels des activités de détail de Shell au Canada, aux États-Unis et au Mexique.

L’essence a encore belles années devant elle

Schell que l’essence n’a pas dit son dernier mot, mais la compagnie croit qu’il faut aussi se tourner vers l’avenir. Schell veut ainsi devenir un fournisseur d’énergie au sens plus large du terme. Schell a récemment fait l’acquisition de Volta aux États-Unis, une compagnie qui fabrique des recharges électriques. Schell vise ainsi à fournir des chargeurs dans la majorité de son réseau. Schell a également été parmi les premiers à construire des stations à hydrogène.

Essence Premium Shell V-Power® NiTRO+ en vente dès le 6 mai

L’essence premium Shell V-Power® NiTRO+ élimine jusqu’à 100 % des dépôts qui réduisent les performances de votre moteur. Notre toute dernière formule brevetée d’essence premium Shell V-Power® NiTRO+ est nouvelle et améliorée, et disponible uniquement chez Shell. L’utilisation continue de l’essence premium Shell V-Power® NiTRO+ aide les automobilistes à bénéficier des avantages de performance et de protection maximum que Shell V-Power® NiTRO+ est conçu pour offrir. Cette formulation sew retrouve dans les essences à indice d’octane 91 et 93.

Héritage des carburants Shell Premium

Ce carburant a été introduit pour la première fois à Hong Kong en 1998 pour répondre à la demande croissante des clients pour un carburant de performance. L’essence premium Shell V-Power® NiTRO+ représente notre dernière génération de carburant de performance premium et est le résultat de plus d’un siècle d’expérience en innovation de carburants. Selon les propos de la docteure Gunsel, il s’agit d’une essence pour les voitures modernes car elle fonctionne avec les systèmes d’injection moderne et l’électronique sophistiquée des véhicules. L’essence est capable de s’adapter et de nettoyer dans les bonnes phases du moteurs. Son injection plus fine permet aussi une meilleure performance et utilisation moins de carburant.

Un partenariat d’innovation avec Ferrari

L’association de Shell avec Scuderia Ferrari est l’une des plus anciennes de l’histoire de la Formule 1. La force de notre innovation en matière de carburant se reflète dans notre partenariat avec Scuderia Ferrari. Nous appliquons ce que nous apprenons avec cette équipe très réussie dans des conditions extrêmes sur la piste aux carburants disponibles pour nos clients sur la route. Le carburant de course Shell V-Power® utilisé dans les voitures Ferrari lorsqu’elles participent au championnat de Formule 1 contient 99 % des mêmes types de composés que l’essence routière Shell V-Power® NiTRO+ disponible pour les clients.

Comment fonctionne l’essence premium Shell V-Power® NiTRO+

L’accumulation de dépôts dans les injecteurs de carburant peut avoir un effet perturbateur sur le jet de carburant dans la chambre de combustion, ce qui signifie que votre moteur ne fonctionne plus dans des conditions optimales. Éliminer les dépôts qui se sont formés dans les injecteurs aide un moteur à fonctionner à son plein potentiel.

Comment soutiendrons-nous le lancement au Canada?

À partir du 6 mai 2024, nous soutiendrons le lancement avec une campagne marketing intégrée nationale sur les canaux de communication traditionnels et numériques. Pour donner vie au lancement, les Canadiens auront la possibilité de profiter de nombreuses offres excitantes via Shell Go+ et nos partenaires : AIR MILES®, CAA**, et BMO. De plus, Shell s’est associé à l’équipe de baseball du Canada, les Blue Jays de Toronto™, pour ravir encore plus les clients avec une offre les jours de match sur l’essence premium Shell V-Power NiTRO+. À partir du 9 mai 2024, Shell prendra la route avec le Shell V-Power NiTRO+ Performance Tour, une remorque d’activation de 80 pieds qui voyagera de la Colombie-Britannique au Québec en s’arrêtant dans des stations Shell sélectionnées. Les Canadiens auront l’opportunité d’en apprendre davantage sur la technologie des carburants de Shell et sur la manière dont la nouvelle formulation Shell V-Power NiTRO+ peut soutenir les performances des véhicules. Sur place, les clients pourront participer à des jeux interactifs et gagner des prix tout en découvrant l’innovation de Shell dans le sport automobile. Visitez : shell.ca/vpowertour pour plus d’informations.

L’essence premium Shell V-Power® NiTRO+ a-t-elle la même formulation en Amérique du Nord?

Oui. L’essence premium Shell V-Power® NiTRO+ a la même formulation au Canada et aux États-Unis.

Le texte Une nouvelle essence performance chez Schell à compter d’aujourd’hui provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile