Les propriétaires de Hyundai Genesis se plaignent de l’oxydation prématurée du vernis et de la peinture, entraînant un affaiblissement et un écaillage de la surface. Une action collective en justice a été déposée à New York, alléguant que Hyundai a ignoré les rapports sur ce problème et cherche désormais une compensation financière. Des cas similaires de peinture blanche écaillée sur des véhicules Hyundai ont été signalés en ligne.

Recours collectif contre Hyundai

Hyundai fait face à une poursuite collective à New York concernant des dommages présumés de peinture sur les modèles Genesis. Les propriétaires rapportent que le vernis et la peinture de leurs Hyundai Genesis s’oxydent, s’affaiblissent et s’écaillent prématurément, malgré la position premium du véhicule. Les problèmes de peinture apparaissent généralement deux ou trois ans après la date de production du modèle. L’oxydation précoce entraîne la décoloration, le changement de couleur et l’écaillage de la peinture. Sur les modèles Hyundai Genesis de couleur crème et blanche, la peinture extérieure prendrait une teinte jaune ou orange.

Réparations coûteuses ignorées par Hyundai

Les estimations des réparations pour ces dommages varient de 200 $ à 1 800 $, selon la gravité, certains propriétaires préférant vivre avec les dégâts pour éviter les coûts. La poursuite affirme que ceux qui ont signalé le problème à Hyundai ont été “ignorés”, les obligeant à réparer les dommages eux-mêmes, Hyundai prenant “peu ou pas de responsabilité”.

Modèles affectés et comparaisons

Concernant les véhicules affectés, la poursuite cite comme exemple la première génération de la Hyundai Genesis 3.8 Sedan de 2013, vendue aux États-Unis de 2008 à 2016, avant que la deuxième génération ne soit renommée Genesis G80. Hyundai a également vendu un coupé Genesis pour les années modèles 2010-2016, bien qu’il soit incertain si ce modèle présente des défauts similaires dans le vernis/la peinture. Les propriétaires croient que le problème était “clairement évitable”, car les modèles d’autres constructeurs n’ont pas rencontré de problèmes similaires. Selon Top Class Actions, ils cherchent désormais des dommages-intérêts, des coûts et des frais, ainsi que les honoraires d’avocats et les frais de justice.

Historique des problèmes de peinture

Fait intéressant, ce n’est pas la première fois que des problèmes de peinture écaillée sont signalés sur des véhicules Hyundai. Des propriétaires d’Inde, d’Australie, des États-Unis et d’autres pays ont créé des groupes sur Facebook pour se plaindre des problèmes de peinture qui semblent affecter les véhicules blancs quelques années après l’achat. Le groupe Hyundai Paint Peel / Peeling compte actuellement 2 300 membres, tandis que le groupe australien Hyundai Peeling Paint compte plus de 2 mille membres. Certains utilisateurs publient des photos de peinture prétendument défectueuse sur leurs véhicules de marque Hyundai, y compris des exemples de i20, i30, Tucson, Santa Fe, Elantra, Sonata et Genesis. Il est incertain si le problème provient de l’exposition des véhicules à des climats chauds ou s’il s’agit d’un défaut d’usine.

Conclusion

La poursuite, déposée par le plaignant Gaetano Russo contre Hyundai Motor America, est qualifiée de “fraude sur la propriété personnelle”. Déposée le 15 mars 2024, l’affaire est en instance devant les tribunaux de district des États-Unis et le tribunal du district est de New York. Les propriétaires de Hyundai Genesis espèrent obtenir une compensation pour les dommages subis en raison de la dégradation prématurée de la peinture de leurs véhicules.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte Recours collectif contre Genesis aux États-Unis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Certains modèles de Toyota Tundra et de Lexus LX font l’objet d’un rappel concernant leurs moteurs V6. Les propriétaires des modèles concernés seront contactés d’ici juillet 2024. Les modèles Tundra impliqués ont également fait l’objet d’un rappel massif l’année dernière.

Un problème de fiabilité pour la Tundra

Les véhicules Toyota sont réputés pour leur fiabilité, mais la Tundra se distingue malheureusement pour des raisons opposées. Le camion pleine grandeur fait face à un nouveau rappel concernant le moteur V6 de la troisième génération relativement récente de la Toyota Tundra et de la quatrième génération de la Lexus LX.

Toyota a annoncé que le rappel affecte environ 102 000 unités, couvrant les années modèles 2022-2023 vendues en Amérique du Nord. Seuls les modèles Lexus LX600 et Tundra à essence conventionnelle sont touchés, car le problème réside dans les moteurs V6 susceptibles de s’arrêter soudainement.

Quel est le problème avec le V6 ?

Selon Toyota, les moteurs V6 3,4 litres V35A-FTS à double turbo trouvés dans la Tundra et la LX pourraient contenir des débris de fabrication. Bien sûr, les moteurs ne devraient pas contenir de petits débris à l’intérieur, car ils pourraient entraîner de multiples problèmes.

Dans ce cas, Toyota a déclaré que les débris pourraient provoquer des cognements du moteur, un fonctionnement irrégulier, une perte de puissance ou même une incapacité à démarrer. En cas de perte de puissance motrice à haute vitesse, le pire scénario pourrait être un accident, bien que Toyota n’ait pas mentionné si des accidents avaient été signalés en lien avec ce problème.

Années modèles problématiques

Toyota a indiqué qu’elle est en train de développer une solution pour ce problème, mais n’a pas précisé la marche à suivre. Les propriétaires seront contactés d’ici juillet 2024. Ils peuvent également visiter le portail de rappel de Toyota ou le site web de la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) pour vérifier si leur numéro VIN fait partie du rappel. Il est à noter que les documents relatifs à ce rappel volontaire ne sont pas disponibles sur le site de la NHTSA à la date de publication.

Les années modèles 2022 et 2023 de la Toyota Tundra n’ont pas été les plus prisées récemment. Cette version du camion pleine grandeur a fait l’objet d’un recours collectif, alléguant que Toyota avait vendu des Tundra 2022-2023 avec des conduites de carburant défectueuses représentant un risque majeur d’incendie. Cela a conduit le constructeur automobile à rappeler 168 000 unités de Tundra l’année dernière, couvrant à la fois les modèles à essence conventionnelle et hybrides.

Avec des renseignements de Carbuzz

Le texte Toyota va rappeler plus de 100 000 Tundra provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les couleurs non-grises les plus populaires :

  • La couleur non-grise la plus populaire pour une nouvelle voiture est le bleu, suivie par le rouge, le vert et l’orange.
  • La voiture neuve moyenne en 2023 était disponible en 6,7 options de couleur d’usine.
  • Les voitures colorées sont de plus en plus rares de nos jours.

Une domination des nuances de gris

Tout ce l’on peut voir est du noir, du blanc, de l’argent et du gris. Une nouvelle étude a révélé que les voitures sont effectivement beaucoup moins colorées qu’autrefois, et les couleurs en nuances de gris dominent l’industrie.

Des statistiques révélatrices

iSeeCars rapporte que lors de l’année modèle 2004, les voitures en nuances de gris représentaient 60,3 % du marché. Avance rapide jusqu’en 2023, et les teintes de noir, blanc, argent et gris représentent désormais 80 % de toutes les nouvelles voitures vendues, une statistique triste pour ceux qui aiment les voitures colorées, comme moi.

Les couleurs les plus populaires en 2023

L’étude révèle que parmi les quatre couleurs “gris”, le blanc est le plus populaire, représentant 27,6 % de toutes les nouvelles voitures vendues en 2023, contre 15,6 % en 2004. Le noir est la deuxième couleur la plus populaire, avec une part de 22 %, en hausse par rapport à 14 % il y a deux décennies. Le gris arrive en troisième position avec une part de 21,3 %, tandis que 9,1 % de toutes les nouvelles voitures vendues sont peintes en argent. Fait intéressant, la proportion de nouveaux véhicules peints en argent a chuté de 52,2 % depuis 2004.

Disponibilité des couleurs

Ce n’est pas la disponibilité réduite des autres couleurs qui est à blâmer. En fait, la voiture neuve moyenne en 2023 avait 6,7 options de couleur contre 7,1 couleurs pour le modèle moyen en 2004. Il y a eu un léger aplatissement de la courbe ces dernières années pour les couleurs en nuances de gris, indiquant “une tolérance maximale possible du marché pour ces quatre couleurs.”

Les couleurs non-grises en déclin

La couleur non-grise la plus populaire en 2023 était le bleu, avec une part de marché de 8,9 %, soit 18 % de moins qu’en 2004. Elle était suivie par le rouge à 7,3 % (en baisse de 38,1 % depuis 2004), le vert à 2 % (en baisse de 50,6 % depuis 2004), et l’orange à 0,5 % (en baisse de 14,8 % depuis 2004).

Un avenir morose pour les voitures colorées

“Les voitures colorées semblent être une espèce en voie de disparition,” a déclaré Karl Brauer, analyste exécutif chez iSeeCars. “Malgré une palette diversifiée offerte par les constructeurs automobiles, il y a beaucoup moins de voitures non-grises vendues aujourd’hui. Elles ont perdu la moitié de leur part de marché au cours des 20 dernières années, et elles pourraient devenir encore plus rares dans 20 ans.”

avec des renseignements de Carscoops

Couleur 2023 2004 % Changement
Blanc 27.6% 15.6% 77.4%
Noir 22.0% 14.0% 56.5%
Gris 21.3% 11.7% 81.9%
Argent 9.1% 19.0% -52.2%
Bleu 8.9% 10.8% -18.0%
Rouge 7.3% 11.9% -38.1%
Vert 2.0% 4.0% -50.6%
Orange 0.5% 0.6% -14.8%
Beige 0.5% 3.4% -86.3%
Brun 0.4% 3.0% -86.5%
Janune 0.2% 0.9% -75.7%
Or 0.1% 4.0% -96.8%
Violet 0.1% 1.0% -92.7%
Différents tons de Gris 80.0% 60.3% 32.6%
Autres 20.0% 39.7% -49.6%

iSeeCars

Le texte 80 % des nouveaux véhicules sont en nuances de gris provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Autrefois valorisée à 21 milliards de dollars, Polestar, le constructeur de voitures électriques, n’a aujourd’hui une capitalisation boursière que de 1,65 milliard de dollars. Cette chute vertigineuse de près de 95 % de sa valeur boursière inquiète les investisseurs.

Des Dépenses Publicitaires en Hausse

Malgré ces difficultés financières, Polestar a augmenté ses dépenses publicitaires au deuxième trimestre. La société espère ainsi redresser sa situation financière et attirer de nouveaux clients.

Une Cotation Menacée

L’action de Polestar a récemment chuté à un niveau historiquement bas de 0,73 $, mettant en péril sa cotation au Nasdaq. En effet, si la tendance ne s’inverse pas, Polestar pourrait être radiée de la bourse.

Des Retards de Publication

Polestar a annoncé qu’elle reportait la publication de son rapport annuel 2023 et de son rapport du quatrième trimestre 2023. La société explique ce retard par la nécessité de finaliser des ajustements comptables relatifs à des erreurs de 2021 et 2022. Ces ajustements devraient réduire la perte nette de 2021 de moins de 5 % et augmenter celle de 2022 de moins de 5 %.

Avis de Non-Conformité du Nasdaq

En raison de ce retard, Polestar a reçu un avis de non-conformité du Nasdaq. La société dispose de 60 jours pour soumettre un plan de mise en conformité. Si ce plan est accepté, Polestar pourrait bénéficier d’un délai supplémentaire de 180 jours pour se conformer aux règlements boursiers.

Baisse des Livraisons et des Enregistrements

Les livraisons de Polestar au premier trimestre ont chuté de 53 % par rapport à l’année précédente, et les nouvelles immatriculations ont diminué de 70 %. Gregor Hembrough, responsable de Polestar Amérique du Nord, attribue cette baisse aux taux d’intérêt élevés et à un retrait des ventes de flotte.

Tentatives de Redressement

Pour tenter de redresser la barre, Polestar a lancé une campagne publicitaire coûteuse au deuxième trimestre, atteignant des niveaux comparables à sa publicité de 6,5 millions de dollars diffusée lors du Super Bowl 2022. La société propose également des offres de location attractives, dont un bail de 299 $ par mois pour la Polestar 2 Long Range, prolongé jusqu’en juin.

Conclusion

Polestar traverse une période difficile avec des défis financiers majeurs. Ses efforts pour attirer les clients et se conformer aux exigences du Nasdaq seront cruciaux pour son avenir sur le marché.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte Polestar a perdu 95 % de sa valeur boursière provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Depuis pratiquement le début, les voitures ont été munies d’un système électrique 6 volts. À partir de 1955, la grande majorité des constructeurs fabriquaient des voitures avec système 12 volts. Le pourquoi est, principalement l’accumulation des accessoires que les fabricants offraient soit de série ou en option.

Rapidement dépassé

Ces accessoires s’additionnaient à tel point que les systèmes 6 volts ne suffisaient plus à la demande. Faut pas penser que les accessoires ne pouvaient être fabriqués en 6 volts, mais plutôt, que l’ampérage disponible sur un système 6 volts est moindre qu’un 12 volts pour la recharge de la batterie, et un accessoire en 12 volts consomme moins d’ampères que le même en 6 volts. Et aussi, la dimension des moteurs électriques, pouvaient être diminués pour le même effort requis. Puisque le taux de compression augmentait du même coup durant cette période, l’allumage pouvait plus facilement être amélioré pour suivre ces nouveaux moteurs plus puissants.

Cela n’est qu’un résumé rapide du changement, ou plutôt du pourquoi.

Et maintenant

Aujourd’hui, la plupart des voitures d’époque munis d’un système 6 volts fonctionnent pas toutes très bien, c’est en partie pourquoi le système 6 volts est rejeté par beaucoup d’amateurs. Pourtant, et les photos disponible sur internet sont là pour le prouver, les voitures d’avant 1955 roulaient bel et bien l’hiver. Les gens allaient travaillés tous les jours et allaient en vacance avec ces voitures. Ce qui sous-entend un système électrique efficace. Alors, pourquoi ça ne va plus aujourd’hui?

1955, cela nous fais 65 années d’écart avec les plus jeunes voitures avec système 6 volts. Ça commence à être vieux. Alors c’est un peu normal que les bobos sortent. Les problèmes avec les systèmes 6 volts sont souvent camouflé par une transformation en 12 volts. Les gens ne règlent pas le problème avec une conversion en 12 volts.

Les plaintes principales contre le système 6 volts sont; difficile à mettre en route, et les feux et phares sont de faibles luminosités.

Pour la mise en route difficile, il y a plusieurs facteurs à tenir en compte

1 : état de charge de la batterie

6.8 volts au repos min, et 12.80 à 13.00 gravité d’acide (vérifier circuit de charge au besoin)

2 : grosseur des câbles de batterie

Ne pas utiliser des câbles destinés aux 12 volts entre la batterie et le démarreur et entre la batterie et la masse (trop petit)

3 : démarreur usé

Ses coussinets, placé aux deux extrémités du démarreur, s’ils sont usés ne garderons plus le rotor au centre, il se décalera, ce qui fera ralentir le démarreur.

Les brosses qui ne portent pas sur toute leur surface sur le commutateur du rotor causent problèmes. La forme et dimension des brosses ou charbons, sont calculés. Le bout de la brosse doit impérativement toucher sur toute sa surface et avoir exactement le même rayon que le commutateur, sinon, la vitesse de rotation est ralentie.

4 : distributeur

Les distributeurs sont négligés très souvent. Lors du réglage du calage de l’allumage de départ (disons 4 degrés avant point mort haut) la voiture démarrait bien lorsque neuve. Au fil du temps, il est possible que l’avance automatique centrifuge reste coincé et lorsque le moteur s’arrête, cet avance …reste avancé (disons à 14 degrés). Quand le moteur démarrait bien, l’allumage, se faisant à 4 degrés d’avance de départ, ne causait pas beaucoup de résistance contre le démarreur. Mais à 14 degrés (l’avance coincé), l’allumage qui se fait trop tôt si on compare à 4 degrés, causera une grande résistance, car la combustion est commencée bien avant l’endroit prévu, et bien sûr cela rend un démarreur plus lent, et un démarrage difficile.

5 : moteur avec chambre à combustion encrassées

Les moteurs en vieillissant accumulent plus ou moins du carbone qui durcit dans la chambre à combustion. Il arrive dans certains cas, que ce carbone accumule suffisamment de chaleur pour allumer le mélange avant la bougie, un peu à la manière d’un avance coincé en position avancé au maximum. Quand le mélange air/essence se fait allumer par le carbone, il est bien clair que cet allumage n’est pas contrôlé, et est désordonné. Cet allumage par dépôt de carbone incandescent provoque, durant la mise en route, beaucoup de résistance sur le démarreur, et rend le démarrage difficile aussi, à la manière d’un avance centrifuge coincé. Cette situation se remarque après un court arrêt.

6 : bobine d’allumage détériorée

Pour certains, le problème est une mise en route impossible, moteur chaud, avec un démarreur tournant bien. Pour mettre en route, il faut attendre quelques minutes, il y a là un problème avec la bobine, qui chaude, une fois à l’arrêt pour quelques minutes (comme faire le plein) n’autorise plus l’allumage. Faut attendre qu’elle refroidisse. Il suffit de remplacer la bobine. (problème sur bobine 12 volts aussi)

7 : mauvais grade de chaleur de bougies

Une bougie qui n’est pas appropriée pour l’application peut, comme le carbone, par sa chaleur accumulée, démarrer la combustion avant l’étincelle, ce qui, vous aurez compris, n’est pas souhaité. Un petit truc pour localiser le problème. Moteur chaud lors de la mise en marche, si le démarreur tourne plus lentement qu’à l’habitude, débrancher l’allumage par le fil entre la bobine et le distributeur. Une fois l’allumage retiré de l’équation, le démarreur devrait retrouver sa vitesse normale. Si tel est le cas, le distributeur sera donc à vérifier. Si cela ne change rien, et que quelques minutes suffisent pour que le démarreur retrouve sa vitesse normale, et toujours l’allumage débranché, faudra donc vérifier l’accumulation de carbone dans les chambres à combustion.

Mauvais éclairage

Je vous assure immédiatement en commençant, les phares et feux arrière sur voitures 6 volts, peuvent éclairer autant que le même type et style de lampes sur 12 volts! Il y en a qui doivent sourciller…

Après toutes ces années (65 ans minimum), le faisceau d’une voiture de cet âge, n’est plus capable de supporter correctement la charge que les lampes demandent. L’oxydation à fait son œuvre. L’effet de l’oxydation réduit la capacité du fil à transporter une certaine quantité de courant, prévu par le fabricant pour un accessoire donné.

Pour vous rendre compte, tenter cette expérience : allumer vos feux arrière de freinage (la plupart des gens trouvent que ces lampes n’éclairent pas suffisamment), prenez le voltage à la lampe en question directement sur le fil qui l’alimente, vous remarquerez que le voltage n’est pas le même, ou presque, que celui de la batterie. Allez à la batterie pour constater. Vous pouvez perdre jusqu’à 2 à 2.5 volts! Vous croyez avoir perdu où ces 2 ou 2.5 volts? Dans le fil, tout simplement. Le fil qui transporte le courant entre l’interrupteur de la pédale de frein et les feux arrière est en faute. Si vous perdez 2 volts sur 6 volts (6 volts pour simplifier le calcul, au lieu de 6.8 souhaité pour le voltage de la batterie) vous aurez donc perdu 33%. Ça n’éclaire pas fort avec 33% de moins. Les fils sont usés avec le temps, mais les connecteurs de ceux-ci peuvent être en plus corrodés. Si c’est le cas, cela s’ajoute au problème.

Maintenant pour faire votre preuve, laisser les lampes arrières allumées, et prenez 15 ou 20 pieds de fils neufs, de calibre minimum 16 (14 c’est mieux), faite toucher un bout correctement sur la borne positive de la batterie pour les négatifs à la masse, et l’inverse pour les positifs à la masse. L’autre bout, allé toucher le connecteur d’une des deux lampes déjà allumées, oui, le même connecteur sur lequel vous avez mesuré le voltage un peu plus tôt. La lampe va s’illuminer de 33% de plus. Alors vous aurez compris que ce n’est pas le 6 volts le problème, mais le filage. Un bon filage améliore aussi l’allumage, ainsi que le démarreur (et son solénoïde, si équipé), tient tient…

Le texte Voitures avec système électriques 6 volts provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Victoria, Colombie-Britannique- Le premier Forester est arrivé avec l’année modèle 1998. Sa forme carrée peu subtile avait des airs de familiale haute sur patte mal dégrossie. Pour 2024, Subaru emprunte les lieux communs de plusieurs modèles comme le RAV4 et l’Escape en accouchant d’une sixième génération. Sur papier, le modèle est nouveau, mais, dans les faits, Subaru ne part pas d’une ardoise vierge. La plateforme et tout ce qui a trait à la mécanique n’a pas changé. Le design extérieur est suffisamment différent pour parler d’un nouveau modèle. La seule exception est le modèle Wilderness qui garde l’ancien châssis, mais sera vendu comme modèle 2025. Un modèle hybride viendra s’ajouter à l’offre l’an prochain.

Parlons du vieux

Subaru a gardé la même recette pour le gâteau en changeant le crémage. Le châssis, la plateforme et l’empattement ne changent pas. Sous le capot, le moteur 2,5 litres en H offre deux chevaux de plus pour un total de 180 et 178 lb-pi de couple. La capacité de chargement augmente de 20 litres derrière la banquette arrière. En coulisse, il y a cependant du travail qui a été fait. La fabrication du châssis utilise plus d’adhésifs structurels, le rendant plus solide et rigide. La maniabilité, la conduite et les niveaux de bruit intérieur en bénéficient. La direction a également été améliorée, intégrant maintenant une version de la crémaillère électronique à double pignon de la WRX. Nous aurions toutefois apprécié plus d’insonorisation sous le capot. En accélération, les lamentations de la mécanique font mal aux tympans. Nous sommes en mesure de dire qu’il y a des améliorations, mais pas au point de changer notre impression globale.

Comportement

L’île de Vancouver regorge de petites routes assombries par de grands cyprès et des pins. Entre courbes serrées et chemins en piteux état, notre parcours d’essai comprenait des routes de terre et un sentier forestier. On note au volant un comportement plus stable et mieux composé grâce aux mises à jour au châssis et la suspension. Même les nouveaux pneus de 19 pouces ne portent pas trop ombrage au confort. C’est aussi une bonne chose que Subaru a importé la crémaillère de direction à double pignon de la WRX, on ressent une meilleure communication entre la route et le conducteur. Cela est également utile étant donné la rapidité de la nouvelle direction, surtout dans le modèle Forester Sport. Les mises à jour de Subaru la direction un peu lente de l’ancien modèle. En mode sport, ont parvient même à se sentir réellement engagé pour quelque chose qui ne sera jamais conduit de manière agressive. Le point faible dans l’expérience au volant réside avec le moteur. La puissance est à peine suffisante pour avoir du plaisir et la boîte CVT qui elle aussi n’a pas changé n’aide pas à la cause. Le modèle souffre d’inertie lors de la mise en marche. Une fois lancée, on sent un meilleur entrain. Bien des propriétaires ne verront pas la différence, mais si vous recherchez une certaine symbiose avec le véhicule, vous faites fausse route. Le Forester va préférer les accélérations douces. Pour plus de puissance, nous devrons attendre un an pour le nouvel hybride. Subaru ne semble pas souhaiter le retour du moteur turbo qui avait ses adeptes.

Infodivertissement décevant

Dans les modèles plus haut de gamme, le double écran de série de 7 pouces est remplacé par un écran tactile vertical de 11,6 pouces. Si le format est bon, son utilisation demeure inutilement complexe. Il y règne une espèce de fouillis. Certaines actions simples nécessitent des étapes supplémentaires. Activer la recirculation du contrôle climatique nécessite de naviguer jusqu’à la page du contrôle climatique, par exemple. Tout y est, mais il faut souvent naviguer dans plus d’un menu pour y arriver et chemin faisant, la voiture vous signale que vous quittez les yeux de la route. Cette génération est également équipée d’un chargeur de téléphone sans fil, de sièges ventilés et d’un hayon électrique mains libres. Les sièges redessinés offrent un meilleur soutien. De petits crochets ont été ajoutés dans tout l’espace de chargement.

Conclusion

Le Subaru Forester 2025 ne réinvente pas la roue, mais demeure compétitif et un solide modèle dans son segment. Pour ceux qui aiment déjà le Forester, vous serez heureux d’apprendre que tout ce que vous aimez va encore mieux. Pour les autres, Subaru a simplement amélioré un produit qui fait déjà bien. Le Canada a droit à cinq versions qui débutent à 36 333 $ (incluant les frais de transport et de préparation) pour le modèle commodité. Le modèle Touring se transige pour 41 333 $. Viennet ensuite les modèles Sport (43 847 $), Limited (45 847 $) et Premier (47,847). Nous croyons que le modèle Sport est le plus pertinent et offre le meilleur rapport qualité/prix/équipement.

Forces

Conduite supérieure à la moyenne

Design intérieur soigné

Visibilité exceptionnelle

Faiblesses

Système d’infodivertissement nouveau pour la Forester mais dépassé par rapport aux concurrents

Moteur bruyant en accélération

Boîte CVT paresseuse à bas régime

Le texte Subaru Forester 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Alors que l’édition de relance de février 2024 devait permettre de repositionner et de pérenniser le Salon international de l’automobile de Genève (GIMS) après quatre années d’absence liées au COVID-19, le Conseil de la Fondation du Salon international de l’automobile de Genève fait le constat qu’il existe des incertitudes trop nombreuses liées à l’industrie automobile et à la perte d’attrait des grands salons européens pour prendre le risque de se projeter plus en avant dans l’avenir. « Cette décision extrêmement regrettable ne doit pas éluder tous les efforts et la conviction avec lesquels nous avons tenté de renouer avec le succès. Mais force est de constater que le faible intérêt des constructeurs pour le Salon de Genève dans un contexte sectoriel difficile, la compétition des salons de Paris et Munich qui ont la faveur des groupes endogènes et les investissements nécessaires pour maintenir un salon sonnent le glas d’une prochaine édition » relève Alexandre de Senarclens, président de la Fondation du Salon international de l’automobile de Genève.

Un constat responsable

Ne pouvant plus réaliser son but statutaire, le Conseil de la Fondation du Salon international de l’automobile de Genève assume ses responsabilités et demandera formellement à l’autorité de surveillance des fondations (ASFIP) l’autorisation de dissoudre la Fondation. Une décision qui fait suite au constat que les conditions de marché en Europe ne sont pas réunies pour la réussite des prochaines éditions. « Sans l’engagement et la conviction des équipes opérationnelles du GIMS sous la direction de Sandro Mesquita, il n’y aurait eu ni salon à Genève, ni salon à Doha. Les équipes ont mis toute leur détermination pour faire revivre ce Salon après le COVID, » poursuit Alexandre de Senarclens.

Le GIMS Qatar poursuit sa route

« Pour son prochain Festival consacré à l’excellence automobile, et fort d’une première édition réussie, le GIMS Qatar pourra continuer à s’appuyer sur le savoir-faire et les compétences reconnues des équipes qui ont initiés et développés le concept ainsi que sa mise en œuvre » relève Sandro Mesquita, directeur général du GIMS. « Une certaine satisfaction de réaliser que les salons automobiles gardent leur attrait auprès des marques selon les régions du monde, et que le Salon de Genève a renforcé au Moyen-Orient » conclut-il. La prochaine édition est prévue à Doha en novembre 2025.

Le texte Genève renonce à son Salon de l’auto provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le constructeur automobile Nissan a émis mercredi un avertissement urgent aux conducteurs de ses modèles équipés de coussins gonflables Takata, rappelés au Canada. Cette alerte de sécurité concerne environ 48 000 véhicules, incluant les Infiniti QX4 de 2002, les Nissan Pathfinder de 2002 à 2004, ainsi que les Nissan Sentra de 2002 à 2006.

Risque accru d’explosion

Didier Marsaud, directeur des communications pour Nissan Canada, précise que l’âge des véhicules équipés de ces coussins gonflables défectueux augmente le risque d’explosion lors du déploiement, pouvant relâcher des fragments de métal et causer des blessures graves ou la mort.

Recommandations de sécurité

Nissan recommande aux conducteurs concernés de cesser immédiatement de conduire leur voiture et de la faire réparer. Nissan et Infiniti couvrent les frais de remorquage et de réparation. Dans certains cas, les frais de location d’un véhicule temporaire sont également pris en charge.

Une campagne de sécurité continue

Cette nouvelle alerte s’inscrit dans une vaste campagne initiée par Nissan en 2017 pour informer les conducteurs des risques liés aux coussins gonflables Takata. M. Marsaud souligne l’importance de cette démarche pour la sécurité des clients.

27 décès et 400 blessés aux États-Unis

Aux États-Unis, la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) confirme à ce jour 27 décès dus aux dispositifs défectueux de l’équipementier japonais Takata. Plus de 400 personnes ont été blessées par ces explosions.

Canada : Aucun Incident Signalé

Transport Canada n’a pour l’instant signalé aucun incident concernant ces coussins gonflables. Depuis le début de la campagne, plus de 6,7 millions de dispositifs Takata ont été rappelés au Canada. Ces rappels ne se limitent pas uniquement aux modèles Nissan et Infiniti.

En résumé, Nissan appelle à la vigilance et à la réactivité des propriétaires des véhicules concernés afin de prévenir tout risque d’accident grave lié aux coussins gonflables Takata.

Modèles Nissan concernés par le rappel

Modèle année quantité

Infiniti QX4 2002 3

Nissan Pathfinder 2002-2004 9 057

Nissan Sentra 2002-2006 37 767

Autres modèles à réparer immédiatement

Les propriétaires de ces véhicules devraient aussi les faire réparer immédiatement :

  • 2001-2002 Honda Civic & Accord
  • 2001-2002 Acura EL
  • 2002-2003 Acura TL
  • 2002 Honda CR-V
  • 2002 Honda Odyssey
  • 2003 Acura CL
  • 2003 Honda Pilot
  • 2006 Ford Ranger
  • 2006 Mazda B-Series
  • 2000-2006 BMW 3 Series
  • 2001-2004 BMW 5 Series
  • 2001-2004 BMW X5
  • 2004-2005 Toyota RAV4
  • 2003-2004 Toyota Corolla
  • 2003-2004 Toyota Matrix
  • 2003-2004 Pontiac Vibe

Avec des renseignements de Radio-Canada

Le texte Interdiction de conduire certains véhicules Nissan provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le très attendu Jeep Wagoneer S 2024 fera son entrée cet automne aux . Les réservations sont ouvertes à partir du 31 mai.

Performant

Avec une puissance de 600 chevaux, 617 lb-pi de couple et une accélération de 0 à 100 km/h en seulement 3,4 secondes, le Wagoneer S promet des performances de haut niveau.

Autonomie impressionnante

Le nouveau Wagoneer S offre une autonomie de plus de 480 km avec une charge complète, grâce à sa batterie de 100,5 kWh.

Une révolution électrique pour Jeep

En septembre 2022, Stellantis annonçait l’arrivée de plusieurs modèles entièrement électriques pour la marque Jeep d’ici 2025. Parmi eux, le Wagoneer S 2024, dévoilé lors d’un événement médiatique à New York, est le premier à être commercialisé en Amérique du Nord.

Un design raffiné et moderne

Contrairement aux Wagoneer et Grand Wagoneer, le Wagoneer S est un crossover de taille moyenne, avec une apparence sportive et une conception aérodynamique, affichant un coefficient de traînée de 0,294.

Motorisation et technologie de pointe

Équipé de deux moteurs électriques, le Wagoneer S dispose d’une transmission intégrale et développe un couple de 617 lb-pi. Construit sur la plateforme STLA Large de Stellantis dédiée aux véhicules électriques, il utilise une batterie de 400 volts et peut être rechargé de 20 % à 80 % en seulement 23 minutes.

Confort et Luxe Intérieur

L’intérieur du Wagoneer S est moderne et éco-responsable, avec des matériaux recyclés et sans cuir. La version Launch Edition inclut un toit ouvrant panoramique à deux panneaux, des sièges chauffants et ventilés, un écran tactile de 12,3 pouces pour le système d’infodivertissement Uconnect 5, et un système audio McIntosh de 1 200 watts avec 19 haut-parleurs.

Disponibilité et Prix

La Launch Edition sera disponible en premier au Québec et en Colombie-Britannique. Elle sera ensuite étendue à d’autres régions du Canada et aux marchés mondiaux tels que l’Europe et la Chine. Fabriqué à Toluca, au Mexique, le Wagoneer S Launch Edition est proposé à à 91 790 $, frais de livraison inclus. Deux autres variantes, dont une plus abordable, sont prévues pour l’année modèle 2025.

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Le constructeur chinois BYD a dévoilé deux nouvelles automobiles dotées d’une motorisation hybride branchable auxquelles il attribue une autonomie dépassant les 2 000 kilomètres. Appelée Qin L DM-i et le Seal 06 DM-i, ces deux berlines ont été présentées au Salon de l’auto de Beijing, qui se tenait dans la capitale de la République populaire de Chine du 25 avril au 5 mai.

Les lettres DM-i (pour Dual Mode-intelligence) désignent la motorisation hybride branchable mise au point par ce constructeur, qui est celui qui a vendu le plus grand nombre de véhicules électrifiés dans le monde en 2023 — des véhicules 100 % électriques et hybrides branchables.

Actuellement, environ la moitié des véhicules vendus par BYD à l’échelle mondiale utilisent une motorisation hybride branchable, une technologie que les anglophones désignent généralement par l’acronyme « PHEV » (plug-in hybrid electric vehicles). Des véhicules 100 % électriques constituent l’autre moitié des ventes de ce constructeur.

Or, selon BYD, la cinquième génération de sa motorisation DM-i qu’utilisent ces deux nouvelles berlines, permet de réduire leur consommation d’essence de manière drastique. À Beijing, on a fait miroiter une consommation d’essence moyenne aussi basse que 2,9 L/100 km (selon la méthode de calcul de la consommation New European Driving Cycle, ou NEDC, utilisée en Europe) et une consommation électrique de 10,7 kWh/100 km (selon la méthode de calcul China Light-Duty Vehicle Test Cycle, ou CLTC, utilisée en Chine). Avec une batterie chargée à bloc et le réservoir à essence de 65 L de ces voitures rempli, cette motorisation permettrait de parcourir jusqu’à 2 100 kilomètres !

On sait cependant que la méthode de calcul chinoise est réputée « généreuse » comparativement à celle de l’EPA (Environmental Protection Agency) aux États-Unis, qui reflète les conditions de conduite réelles plus fidèlement. La méthode CLTC donne des résultats impressionnants qui, selon certaines sources, seraient jusqu’à 30 % supérieurs à ceux de l’EPA. Cela dit, même en réduisant l’autonomie promise pour ces BYD de 30 %, on obtient tout de même 1 470 km, une cote à laquelle aucun autre constructeur ne peut prétendre pour le moment.

Et cette cote, BYD l’obtient grâce à une motorisation mixte réunissant un 4-cylindres de 1,5 L qui développe 101 ch et un moteur électrique. Pour les versions d’entrée de gamme, le moteur électrique a une puissance de 120 kW et il est alimenté par une batterie Blade de 10,1 kWh qui permettrait de parcourir jusqu’à 80 kilomètres en propulsion électrique. Pour leur part, les versions plus cossues bénéficient d’un moteur de 160 kW jumelé à une batterie de 15,9 kWh qui hausse l’autonomie électrique à 120 kilomètres.

Le plus beau dans tout cela, ce sont les prix ridicules de ces berlines. En Chine, le constructeur offre les cinq versions de la BYD Qin L à des prix s’étalant de 99 800 à 139 800 yuans (environ 19 000 $ à près de 27 000 $). Les différentes versions de la BYD Seal 06 sont offertes à des prix très similaires (99 700 à 139 700 yuans).

Avec des performances écoénergétiques et des prix pareils, on peut comprendre les réticences exprimées par les constructeurs établis en Amérique du Nord à l’idée de voir des véhicules comme ces BYD arriver sur notre marché un jour prochain.

Photos : BYD

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