Une innovation pour les conditions hivernales

Stellantis a récemment déposé un brevet pour une technologie de passages de roues chauffants, conçue pour empêcher l’accumulation de neige et de glace pendant la conduite hivernale. Ce concept, révélé dans une demande publiée le 31 octobre 2024 par l’Office américain des brevets et des marques (USPTO), avait initialement été soumis le 25 avril 2023.

Comment ça fonctionne ?

Le système repose sur un élément chauffant électrique intégré dans le passage de roue, alimenté via un fil connecté au système électrique du véhicule. Cet élément chauffant serait inséré entre la carrosserie du véhicule et une doublure de passage de roue. Cette doublure, exposée aux intempéries, protégerait l’élément chauffant et son câblage, tout en laissant la chaleur traverser pour faire fondre la glace et la neige.

Stellantis a également évoqué l’utilisation d’un film conducteur pour l’élément chauffant, qui pourrait être appliqué directement sur une surface. Cette solution serait particulièrement adaptée aux véhicules électriques (VÉ) et hybrides rechargeables, capables d’alimenter ce système à partir de leurs batteries haute tension.

Un avantage pour la sécurité et le confort

Selon Stellantis, l’accumulation de neige et de glace dans les passages de roues peut former de gros morceaux susceptibles de se détacher soudainement, créant des dangers pour les autres conducteurs. Ces amas peuvent également obstruer les caméras et capteurs des systèmes d’assistance à la conduite, ou gêner le fonctionnement des marchepieds rétractables, comme ceux proposés sur les camionnettes Ram de Stellantis.

Une idée brevetée, mais pas encore confirmée

Comme pour de nombreux brevets, rien ne garantit que cette technologie sera mise en production. Néanmoins, ce concept apparaît comme une solution simple et pratique, comparable à d’autres innovations de Stellantis, comme les tables déployables pour les sièges avant, également brevetées récemment.

Avec des renseignements de Motor Authority

Le texte Stellantis dépose un brevet pour des passages de roues chauffants provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Porsche pourrait revoir ses échéanciers électriques en raison de ventes à la baisse de modèles en Chine et aux États-Unis, deux marchés très importants pour le constructeur. C’est selon la publication allemande Automobilwoche.

Le plan actuel de Porsche est que d’ici à 2030, 80 % des véhicules qu’elle vend soient tout électriques. Or, les chiffres actuels forceraient le constructeur à revoir ce plan.

Les chiffres

Du côté de la berline Taycan, les résultats ont continué à ralentir à l’étranger. En Europe, 7548 unités ont été vendues au cours des 10 premiers mois de 2024, soit une baisse de 52 % par rapport à l’année précédente.

Pour le nouveau Macan EV, ses ventes ne s’élèvent qu’à 6377 unités en Europe jusqu’à présent. On espérait mieux, mais il est encore tôt.

Le Porsche Macan EV
Le Porsche Macan EV | Auto123.com

Ce qui inquiète plus les principaux intéressés, ce sont les performances de la marque en Chine. Les résultats, au cours des trois premiers trimestres de l’année, n’ont pas été encourageants. Porsche a vendu 43 280 véhicules au cours de cette période là-bas, soit une baisse de 29 % par rapport à la même période en 2023.

Les ventes de la Taycan ont également reculé de 35 % aux États-Unis et de 50 % à l’échelle mondiale lors du troisième trimestre de l’année.

Du côté de Porsche, on a déjà pointé du doigt les offres très concurrentielles en provenance de Chine, où les véhicules proposent de l’équipement et des niveaux de performance à prix plus bas que celui des véhicules provenant de marques importées.

Voilà, en gros, les raisons pour lesquelles on serait en train de réfléchir à une transition électrique qui serait différente du plan ambitieux qui avait été envisagé.

Les informations rapportées par Automobilwoche suggèrent que Porsche pourrait réorganiser sa gamme de véhicules à essence. C’est particulièrement vrai pour le VUS Cayenne dont le passage à l’électrique était initialement prévu pour 2026.

Le Porsche Cayenne E-Hybrid
Le Porsche Cayenne E-Hybrid | Auto123.com

Si Porsche choisit de mettre à jour la plateforme actuelle au lieu de faire passer immédiatement son modèle à l’électricité, cette structure pourrait également servir de base au VUS de taille plus importante que prévoit la marque, un véhicule connu en interne sous le nom de K1. Pour le moment, ce véhicule est prévu sur la plateforme SSP (Scalable Systems Platform) du groupe Volkswagen, qui ne peut pas accueillir de moteurs à essence.

Des retards pourraient également toucher les 718 Boxster et 718 Cayman électriques. Automobilwoche rapporte qu’on aurait de la difficulté à trouver l’équilibre voulu pour donner au modèle les caractéristiques électriques souhaitées, tout en lui assurant aussi une dynamique de conduite digne du nom Porsche. La compagnie aurait eu plusieurs discussions avec le fournisseur de batteries Valmet pour tenter de résoudre le problème.

Il faut savoir qu’en Europe, les modèles 718 ne sont plus proposés en raison des normes en vigueur. Leur retrait du marché mondial est prévu après 2026. Or, si les variantes électriques ne sont pas prêtes, Automobilwoche croit que Porsche pourrait retarder leur retrait du marché sous leur forme actuelle, c’est-à-dire comme véhicules animés par un moteur à combustion.

Bref, il faudra s’attendre à des annonces sur la stratégie revue de Porsche au cours des prochains mois, si effectivement elle revoit ses échéanciers.

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Le texte Porsche pourrait revoir ses échéanciers électriques provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Toyota envisagerait de rebaptiser son VUS électrique bZ4X. Tout sauf mémorable, ce nom a suscité de nombreuses critiques, c’est le cas de dire. Selon Patrick Ryan, directeur régional de Toyota Canada au Québec, un changement serait en préparation, bien que les détails restent encore flous.

Une signification, mais peu d’impact

Le nom bZ4X représente « Beyond Zero » (au-delà de zéro), le chiffre 4 symbolise sa taille, et le X indique qu’il s’agit d’un VUS. Malgré cette logique, le nom est maladroit et difficile à retenir.

À l’inverse, le modèle jumeau conçu avec Subaru, le Solterra, bénéficie d’une appellation plus conventionnelle et mieux accueillie par le public. Cette comparaison souligne l’importance d’un nom engageant pour un véhicule.

Le Toyota bZ4X
Le Toyota bZ4X | Auto123.com

Une stratégie mondiale ou régionale ?

Patrick Ryan n’a pas précisé si ce changement de nom concernera uniquement certaines régions ou s’il sera appliqué à l’échelle mondiale. Toutefois, une révision globale semble plus cohérente avec la stratégie de Toyota. La marque privilégie généralement des noms plus explicites, comme ceux du RAV4 ou de la Camry, au lieu de combinaisons alphanumériques complexes.

L’importance d’un nom engageant

Dans un marché concurrentiel, un nom peut jouer un rôle clé dans l’identité d’un véhicule. Les noms alphanumériques, bien que pratiques pour les constructeurs, ne résonnent pas toujours auprès du grand public.

Toyota pourrait s’inspirer de son histoire en adoptant un nom plus évocateur et mémorable pour son VUS électrique, rendant ainsi le véhicule plus accessible et attrayant pour les consommateurs.

Si Toyota confirme ce changement, ce serait une étape logique pour améliorer la perception de son bZ4X. Les conducteurs attendent désormais avec impatience un nom qui reflète mieux les qualités et l’ambition du modèle.

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Volkswagen a annoncé un accord majeur avec les syndicats allemands, prévoyant la suppression de 35 000 emplois à long terme et une réduction de capacité dans ses usines allemandes. Cet accord, qualifié de « miracle de Noël » par les syndicats, a permis d’éviter des grèves massives et immédiates.

70 heures de négociations pour éviter le pire

Les discussions, entamées en septembre, visaient à répondre à plusieurs défis : la concurrence des constructeurs chinois, une demande européenne en baisse et un passage à l’électrique plus lent qu’anticipé. Malgré 70 heures de négociations, les plus longues de l’histoire de l’entreprise, aucun site ne sera fermé, aucun licenciement immédiat ne sera effectué, et les salaires resteront stables pour le moment.

Les grandes lignes de l’accord

  1. Économies prévues : Volkswagen vise à économiser 15 milliards d’euros par an à moyen terme.
  2. Usines concernées :

    • L’usine de Dresde cessera la production automobile d’ici fin 2025.
    • Le site d’Osnabrück sera réaffecté à d’autres fonctions.
    • Une partie de la production sera transférée au Mexique.

  3. Salaires : L’augmentation de 5 % des salaires obtenue en novembre est suspendue.

La présidente du comité d’entreprise, Daniela Cavallo, a déclaré : « Aucun site ne sera fermé, aucun licenciement économique ne sera effectué, et notre accord salarial est sécurisé à long terme. »

Une crise au moment d’une tourmente économique

La crise chez Volkswagen reflète une période d’incertitude dans l’industrie automobile européenne et en Allemagne, avec une croissance économique stagnante et des élections anticipées en février. Le chancelier Olaf Scholz, en difficulté dans les sondages, a pressé Volkswagen de maintenir ses usines ouvertes pour préserver l’emploi.

Une entente dans des conditions inédites

Les négociations ont eu lieu dans un hôtel modeste à Hanovre, où les délégués ont travaillé jour et nuit, ne s’accordant que de brèves pauses pour dormir et se ravitailler en café, saucisses au curry et fruits. Certains travailleurs ont même joué aux cartes pour décompresser.

Conclusion

Cet accord marque une étape importante pour Volkswagen, permettant de sauvegarder une partie de l’emploi tout en répondant à des enjeux économiques complexes. Cependant, les défis restent nombreux, notamment pour s’adapter à la concurrence internationale et au virage électrique.

Avec des renseignementsa de CNN

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La plupart des moteurs ont un joint de culasse. Certains n’en n’ont pas, mais c’est plutôt rare, un moteur de Citroën 2CV par exemple n’en a pas. Il y a un joint principalement sur les moteurs refroidit à l’eau, alors, pour la majorité il y a un joint qui rend étanche la jonction entre la culasse et le bloc moteur.

Son rôle

Ce joint bien entendu, est là pour empêcher soit un liquide de couler vers l’extérieur, soit de couler dans une autre section à l’intérieur, soit d’empêcher la combustion/compression de s’échapper aussi, soit vers l’une ou l’autre «destination» la plus proche de la chambre à combustion.

Sa construction est différente des joints que nous sommes habitués de voir. Il est fait soit en fibres (compressé), soit intérieur de fibre et surface en métal, soit intérieur en fibre et surface en cuivre etc. vous aurez compris qu’il peut prendre toute sorte de matière pour sa fabrication. C’est le fabricant du moteur qui décide de sa composition.

Des blocs en fonte ou en aluminium

Pour les vieux moteurs en fonte, culasse et bloc, le joint avec surface cuivrée ou métallisée est le plus souvent utilisé. Puisque la matière de la culasse et du bloc sont la même. La dilatation se fait presque à la même vitesse. Les moteurs avec bloc en fonte et culasse en aluminium utilisent un joint sans cuivre ou métal. La culasse en aluminium dilate environ 7 fois comparativement au bloc moteur de fonte. Le joint est en fibre et les surfaces sont recouvertes d’un produit «lubrifiant». Ce produit permet à la culasse de «glisser» sur le joint durant sa période de dilatation. Et bien sûr, de «glisser» pour se rétracter durant son refroidissement.

Les culasses en aluminium qui sont conçues pour «glisser», leur surface qui touche au joint est très lustrée, ce qui permet de bien «glisser» sur le joint sans l’abîmer. Certains atelier de machinage moteurs ont de la difficulté à reproduire ce finit lustré lors d’une réfection. Les pierres qui re-surfacerons la surface de la culasse, sont parfois les mêmes qui sont utilisés pour les culasses de fonte. Ce qui donne un finit légèrement plus agressif. Le problème que ce finit plus agressif causera, est de s’agripper au joint de culasse plutôt que de «glisser». Au bout d’un certains nombres de cycle de réchauffage et refroidissement, le joint va se fissurer prématurément.

Les joints de culasses ont tous une chose en commun, une bague en métal mince recouvre chaque bordure des trous de chambre à combustion. Certaines de ces bagues recouvrent aussi les passages de liquide de refroidissement. Ces bagues protègent la bordure du joint, exposée à la chaleur de la combustion, ou du liquide chaud sous légère pression.

Vous devez remplacer le joint de culasse de votre voiture ancienne? Pas de problèmes! Assurez-vous que la culasse est bien droite, que le bloc moteur l’est aussi. Utiliser de bon outils et de bonnes méthodes, et votre moteur ira bien. N’hésitez pas à utiliser les nouvelles matières des kits d’aujourd’hui.

Ce n’est pas toujours une bonne idée d’utiliser les kits NOS, à moins bien sûr que rien d’aujourd’hui ne soit disponible. La technologie d’aujourd’hui n’a pas juste rendu votre grille-pain ou votre laveuse à dentiers plus intelligents, elle a aussi amélioré les joints neufs pour nos voitures anciennes.

Le texte Joints de culasses provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Encore une fois cet hiver, Fitzback Garage propose des ateliers mécaniques hivernaux, afin de nous permettre de continuer à discuter de voitures anciennes pendant la saison froide, mais surtout, pour nous donner l’occasion d’apprendre des choses aussi fascinantes qu’utiles sur nos véhicules anciens.

Déjà, deux ateliers ont eu lieu, soit en novembre et en décembre

Deux autres sont prévus au début de 2025, soit les 18 janvier et 22 février.

En novembre, j’ai eu l’occasion de me rendre sur place pour aller assister à ce qui a été un atelier très éclairant. Il était question du cœur du moteur, alors qu’on nous a présenté des blocs complètement dénudés, puis expliqué le travail des composantes (pistons, bielle, vilebrequin, bougies, etc.), toujours avec un angle sur ce qu’il faut faire avec nos véhicules anciens, ainsi que toutes les précautions qu’il faut prendre pour éviter de se retrouver avec des pépins.

Ce qui est le plus intéressant, c’est sans contredit le travail de vulgarisation que réussit à faire André Fitzback, le propriétaire du garage. Dans un langage simple, coloré et teinté d’humour, il réussit à nous expliquer comment fonctionnent les différentes parties de nos véhicules, sans jamais faire dans la complaisance ou la condescendance.

Voilà pourquoi les gens sont toujours présents en grand nombre, que les échanges sont toujours aussi intéressants.

En décembre, où nous n’avons malheureusement pu être sur place en raison d’un conflit d’horaire, il a été question des systèmes de refroidissement. Voilà un sujet qui a intéressé tout le monde, car quiconque s’est déjà retrouvé dans la circulation lourde au volant de sa voiture ancienne sait à quel point compter sur un bon système de refroidissement est essentiel pour éviter de se retrouver avec des sueurs froides.

En janvier, deux sujets d’importances seront traités. D’abord, comment bien choisir une voiture ancienne que l’on veut se procurer ? Ensuite, comment procéder au déremisage de sa voiture en suivant les bonnes étapes pour éviter les mauvaises surprises ?

En février, la thématique va concerner les freins.

Vous pouvez être certains que nous serons sur place pour parfaire nos connaissances.

Si vous souhaitez vous inscrire (quel beau cadeau de Noël à s’offrir… ou offrir à un proche), vous n’avez qu’à communiquer avec Fitzback Garage au (819) 471-6798.

On se voit là-bas !

Le texte Les ateliers de Fitzback Garage : des séances d’apprentissages incroyables provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

En septembre dernier, Jeep annonçait qu’il ne serait plus possible de commander un Wrangler à moteur V6 Pentastar de 3,6 litres équipé d’une boîte de vitesses automatique. Seule la boîte manuelle à six rapports restait offerte avec cette mécanique.

Ça forçait les acheteurs préférant une transmission automatique à opter pour un modèle équipé d’un 4-cylindres turbo.

Or, devant les commentaires des amateurs du modèle, la compagnie a décidé de faire marche arrière. Ainsi, la boîte de vitesses automatique à huit rapports du constructeur pourra de nouveau être mariée au moteur V6 sous le capot du Wrangler.

Le grand patron de Jeep, Bob Broderdorf, a déclaré via un communiqué que la marque réintroduisait la transmission « en réponse aux demandes des passionnées ».

Notez que le moteur V6 de 3,6 litres est toujours proposé de série avec la boîte manuelle à six rapports pour l’année 2025. Ceux qui souhaitent la boîte automatique devront fouiller dans leur poche pour l’obtenir (4500 $ US chez nos voisins du sud).

Le Jeep Wrangler 2025
Le Jeep Wrangler 2025 | Auto123.com

Sur le site de Jeep Canada, il n’est pas encore possible de construire un modèle 2025 équipé du moteur V6 ET de la boîte automatique, mais du côté américain, la compagnie mentionne qu’il est possible de commander cette combinaison. Çe devrait suivre au Canada.

Cette annonce survient peu de temps après la « démission » soudaine du grand patron de Stellantis, Carlos Tavares, qui a été vivement critiqué pour certaines des décisions prises concernant la gamme de produits vendus en Amérique du Nord.

On peut se demander si le retrait de la boîte automatique avec le Wrangler à moteur V6 en était une, et si le fait qu’on devait proposer le Ram tout électrique avant la version à autonomie prolongée (Ramcharger) en était une autre.

Chose certaine, on assiste depuis quelques jours à des changements de cap du côté de Stellantis, ce qui laisse imaginer qu’on renverse certaines des décisions ou orientations qui avaient été prises.

Assurément, le fait d’avoir l’option des deux transmissions ne peut que se refléter de façon positive sur les ventes du modèle.

Le Jeep Wrangler 2025, levier de changement de vitesse
Le Jeep Wrangler 2025, levier de changement de vitesse | Auto123.com

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• Honda a donné un aperçu des deux concepts qu’elle va dévoiler au prochain CES de Las Vegas.

Immédiatement après la période des fêtes va se tenir le CES (Consumer Electronics Show) de Las Vegas, un événement d’envergure qui est grandement axé sur la technologie, mais qui de plus en plus représente une vitrine incroyable pour les constructeurs automobiles.

L’an dernier, Honda était sur place pour y présenter un véhicule de sa future Série 0, ainsi que le concept Saloon. En 2025, la compagnie va de nouveau dévoiler deux concepts, des véhicules dont elle vient de donner un aperçu avec la publication d’une image nous donnant une vague idée de leur style et de leur identité.

L’image, comme vous pouvez le voir, nous montre l’arrière des deux modèles. Seule cette partie est éclairée et vraiment visible. Le véhicule qui est situé à gauche se veut clairement une évolution du concept Saloon. La forme aérodynamique et la signature lumineuse arrière le trahissent bien.

Un des deux concepts Honda
Un des deux concepts Honda | Auto123.com

Ce qui est frappant avec ce modèle, c’est à quel point sa ligne de toit est basse. Le constructeur espère faire passer cette dernière sous la barre des 55 pouces, ce qui est vraiment incroyable pour un modèle qui pourrait se retrouver sur la route. À titre comparatif, la Ford GT40 des années 60 reposait à 40 pouces du sol. Quiconque s’est déjà trouvé à ses côtés sait à quel point le toit est près du sol. On n’est pas trop loin de cela avec ce concept.

L'autre concept de Honda
L’autre concept de Honda | Auto123.com

À droite, le modèle prend davantage le style d’un VUS, sans surprise. Sa longueur laisse imaginer une configuration à trois rangées. Les feux, en forme de U, semblent ceinturer la lunette.

Il faudra voir ce qui en sera avec ces deux produits qui seront présentés en début d’année. Ce qui est certain, c’est qu’on s’approche du moment où Honda va commercialiser les premiers modèles électriques de sa Série 0, construits sur sa propre plateforme électrique. Ces derniers sont attendus en 2026.

Les modèles seront officiellement dévoilés le 7 janvier prochain.

Le concept Saloon de Honda
Le concept Saloon de Honda | Auto123.com

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L’administration Trump pourrait réduire le pouvoir de la NHTSA envers les véhicules à conduite autonome.

Selon ce que rapporte le site Autoblog, l’équipe de transition du président élu Donald Trump voudrait supprimer une exigence de la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) américaine, l’équivalent de Transports Canada.

Cette dernière force les constructeurs à signaler les accidents impliquant leurs véhicules si les technologies avancées d’assistance au conducteur ou de conduite autonome qui les équipent ont été activées dans les 30 secondes avant l’impact.

Les informations recueillies aident la NHTSA à enquêter et à réglementer les véhicules à conduite autonome. L’objectif de l’agence est la sécurité de tous. Or, le groupe au sein de l’équipe de transition a critiqué l’exigence de collecte de données « excessive », selon ce que rapporte l’agence Reuters.

Jason Miller, un conseiller principal de l’équipe de transition de Donald Trump, a déclaré que les recommandations provenaient de personnes extérieures à l’équipe de transition.

Un Tesla Model Y 2020, lors d'un test de collision de la NHTSA
Un Tesla Model Y 2020, lors d’un test de collision de la NHTSA | Auto123.com

Quelque 1500 accidents impliquent des véhicules Tesla

Il est connu que Tesla n’aime pas cette règle de la NHTSA. Pourquoi ? Parce que la compagnie, en raison de la grande distribution de ses technologies de conduite autonome, a vu quelque 1500 accidents impliquant ses véhicules être signalés. La compagnie est donc un contrevenant important par rapport aux autres constructeurs.

Évidemment, le fait qu’Elon Musk, le grand patron de Tesla, soit collé à Donald Trump laisse croire que le premier a une influence derrière tout cela.

Concernant les données de la NHTSA, elles indiquent que 40 des 45 accidents mortels signalés jusqu’au 15 octobre 2024 ont été provoqués par le système de conduite autonome (FSD = Full Self Driving) de Tesla.

Tesla n’est pas le seul fabricant qui critique la règle de la NHTSA. L’Alliance pour l’innovation automobile, un groupe commercial représentant la plupart des grands constructeurs à l’exception de Tesla, a également critiqué cette exigence, la qualifiant de « lourde ».

Cependant, selon les experts, la règle aurait été bénéfique pour la sécurité automobile dans son ensemble.

Depuis la création de la règle en 2021, la NHTSA affirme que plus de 2700 accidents ont été signalés par de nombreux constructeurs. Les données ont conduit à 10 enquêtes sur 6 fabricants et à 9 rappels de sécurité impliquant quatre entreprises différentes.

L’une de ces enquêtes concernait Cruise de GM, la division de taxis autonomes qui a été récemment dissoute.

Le concept Cybercab de Tesla
Le concept Cybercab de Tesla | Auto123.com

Les normes de Tesla

À la défense de Tesla, plusieurs affirment que la compagnie communique de meilleures données que les autres constructeurs, comme celles relatives aux accidents en temps réel, ce qui se traduit par des données d’accident plus élevées. Et comme on le mentionnait, Tesla a beaucoup plus de véhicules à conduite autonome sur les routes, ce qui signifie qu’il y a plus de situations susceptibles d’entraîner des accidents impliquant ses véhicules.

La sécurité avant tout

En bout de piste, l’idée n’est pas de pointer un constructeur ou un autre, mais bien de s’assurer que le public soit en sécurité. En voulant libéraliser la réglementation concernant les véhicules à conduite autonome pour permettre leur développement plus rapidement, on joue avec la sécurité des gens. D’ailleurs, certains souhaitent davantage de règles pour s’assurer que les véhicules à conduite autonome sont réellement sûrs pour une utilisation quotidienne.

Nous allons bien voir ce qui va se passer après le 20 janvier, la date de l’entrée en poste du nouveau locataire de la Maison-Blanche.

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Le Hyundai Palisade, vaisseau amiral de la marque coréenne, se renouvelle pour 2026. Avec un design raffiné, des options hybrides et une configuration unique à neuf places, il promet d’élargir son public.

Nous avions déjà vu des images de la version qui sera commercialisée en Corée du Sud. Cette semaine, des détails sur les spécifications du VUS ont été partagés en ligne. On apprend notamment que Hyundai met de côté le moteur V6 et n’offrira que des versions avec moteur 4-cylindres sur le marché coréen.

Autre détail pertinent : l’offre va inclure une motorisation hybride.

Ces informations s’appliquent au modèle destiné à son marché domestique. Celles concernant l’Amérique du Nord pourraient donc différer sur certains points, peut-être même au point où la compagnie conserverait l’option du V6 chez nous. Le temps nous en dira plus.

Un design revu pour une allure plus haut de gamme

Pour 2026, le Hyundai Palisade adopte un style plus carré et haut de gamme, évoquant les lignes d’un Range Rover. Avec une longueur de 5060 mm, soit 65 mm de plus que le modèle précédent, le VUS gagne en prestance.

Dimensions

– Longueur : 5060 mm

– Largeur : 1980 mm

– Hauteur : 1805 mm

– Empattement : 2970 mm (+70 mm)

À l’intérieur, la cabine rappelle les modèles Genesis, avec des matériaux haut de gamme, des accents en bois, et un éclairage d’ambiance.

Hyundai Palisade 2026 (Corée du Sud), de profil
Hyundai Palisade 2026 (Corée du Sud), de profil | Auto123.com

Adieu le V6, bonjour l’hybride

Avec l’abandon du moteur V6 de 3,8 litres, Hyundai s’aligne sur les tendances actuelles vers l’électrification et l’efficacité énergétique. On note deux options pour le modèle coréen :

– Moteur 4-cylindres turbo de 2,5 litres, puissance de 277 chevaux et un couple maximal de 311 lb-pi

– Configuration hybride – puissance combinée de 330 chevaux, et une autonomie totale estimée à plus de 1000 km grâce à une batterie lithium-ion de 1,65 kWh.

Sécurité et innovations technologiques

Le Palisade 2026 introduit la suspension électronique contrôlée (ECS), une première pour un VUS Hyundai. Ce système ajuste les mouvements de la carrosserie en fonction des données de navigation.

Côté sécurité, le VUS est équipé de nombreux systèmes d’assistances à la conduite (ADAS) :

  • • Freinage d’urgence autonome.
  • • Surveillance des angles morts.
  • • Aide au maintien dans la voie.

Arrivée au Canada

Le Hyundai Palisade 2026 devrait débarquer sur le marché nord-américain en tant que modèle 2026 d’ici la fin de 2025. On devrait en apprendre plus sur l’offre canadienne dans les semaines et les mois à venir.

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