Mercedes-AMG lève le voile sur le concept GT XX, un prototype de berline électrique conçu pour annoncer la prochaine ère du constructeur allemand en matière de performance zéro émission. Basé sur la nouvelle plateforme AMG.EA, ce monstre développe 1341 chevaux, est capable d’atteindre 359 km/h, et propose une foule d’innovations techniques, y compris des roues à aéroactive, une batterie NCMA refroidie directement, et même des haut-parleurs extérieurs intégrés aux phares. Rien de moins.

Pas un, ni deux, mais trois moteurs

Le concept GT XX n’a rien d’une simple étude esthétique. Il est propulsé par trois moteurs électriques ultra-compacts, dont deux qui sont montés à l’arrière, permettant une vectorisation du couple aussi fine qu’agressive.

Mercedes évoque une puissance contrôlée dynamiquement entre les essieux, avec refroidissement pour chaque module moteur. C’est un système pensé pour la performance constante, et non la simple atteinte d’un chiffre sur papier.

Une batterie survoltée… et surrefroidie

Pour alimenter ce trio infernal, AMG a conçu une batterie à chimie NCMA (nickel/cobalt/manganèse/aluminium) composée de 3000 cellules. Elle promet non seulement une densité énergétique élevée et une durée de vie prolongée, mais surtout une capacité de recharge à 850 kW, capable d’ajouter 400 km d’autonomie en 5 minutes (selon le protocole européen WLTP, et avec un chargeur qui peut suivre la cadence).

Ailes mobiles et roues intelligentes

La carrosserie et les roues jouent elles aussi un rôle actif. Les ailettes intégrées aux jantes s’ajustent en temps réel selon le mode de conduite : fermées pour l’efficacité, ouvertes pour refroidir les freins. Les micromoteurs qui les actionnent sont alimentés par de petites génératrices internes aux roues. Du jamais vu.

Mercedes AMG présente un concept électrique de 1341 chevaux | Auto123.com
Mercedes AMG présente un concept électrique de 1341 chevaux | Auto123.com

Oui, elle fait du bruit !

Mercedes a aussi confirmé que le concept GT XX se laissera entendre, malgré son cœur électrique. Des haut-parleurs intégrés dans les phares simuleront des sons de conduite et serviront aussi pour livrer des alertes piétonnières. À défaut d’un échappement à l’arrière, c’est l’avant de l’auto qui grognera.

Matériaux écolos, promesses technos

L’habitacle se veut durable : cuir synthétique à base de caoutchouc recyclé, protéines végétales et biopolymères, tandis que le fil dit de « soie » est produit par des bactéries génétiquement modifiées. Mercedes affirme que tout est 100 % biodégradable.

Aucun détail n’a encore été donné concernant l’autonomie réelle ou l’accélération (0-100 km/h), mais avec 1341 chevaux, il est difficile d’imaginer qu’elle traîne derrière une Model S Plaid. Le concept GT XX est le premier de deux modèles AMG sur base électrique, la suivante étant un VUS rival du BMW XM, attendu d’ici un an.

Mercedes AMG présente un concept électrique de 1341 chevaux | Auto123.com
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• Hankook lance le ION HT, un pneu spécialement développé pour les camionnettes et VUS électriques.

Les modèles électriques, vous le savez, sont plus lourds. Ils exigent, notamment des pneus spécialement conçus pour résister à leur poids plus important, sans compter des gommes plus efficaces pour réduire la résistance au roulement, afin de favoriser l’autonomie.

Bref, une nouvelle technologie de véhicule force l’arrivée d’autres technologies, y compris avec la fabrication des pneus.

Du côté de Hankook, on vient d’annoncer l’arrivée d’un nouveau pneu nommé iON HT, un modèle pensé pour répondre aux exigences des camionnettes électriques. Dans le cas de la Chevrolet Silverado EV, par exemple, on parle grosso modo d’un véhicule qui fait un peu plus 8500 livres. C’est énorme.

Hankook lance le ION HT, un pneu conçu pour les camionnettes électriques | Auto123.com

La conception sur mesure de l’iON HT tient compte du poids accru des batteries et des besoins de durabilité qu’ont les propriétaires de ces modèles. Le pneu hérite de la désignation de charge XL, car il profite d’une structure renforcée qui lui permet de supporter des charges importantes, sans sacrifier le confort, précise la compagnie.

Selon Rob Williams, le président de Hankook pour l’Amérique, « les camionnettes et VUS électriques soulèvent de nouveaux défis. L’iON HT a été développé dès le départ pour les relever efficacement, incarnant notre vision de l’innovation dans l’univers des pneus pour véhicules électriques ».

Technologie de pointe

Hankook précise que son pneu a été développé avec des technologies de réduction de friction et d’usure avancées, afin d’améliorer l’autonomie des véhicules électriques.

Voici quelques-unes des caractéristiques clefs du pneu, telles que décrites par Hankook :

  • • Composé Roll Lite et technologie Opti Cure : ce dernier optimise le processus de durcissement du caoutchouc, ce qui permet de réduire la résistance au roulement et de maximiser l’efficacité énergétique.
  • • Technologie ProDurable et Opti Tread : celle-ci assure une usure uniforme, ce qui permet à la bande de roulement d’être en mesure de servir jusqu’à 129 000 kilomètres.
  • • Bande de roulement embossée en 3D et rainures d’épaulement évasées : cette approche améliore l’adhérence sur chaussée mouillée et garantit une meilleure adhérence, et ce, pour toutes les saisons.
  • • Pavés d’épaulement robustes et technologie iON Clad : on parle ici d’une façon de faire qui protège la structure contre les impacts tout en assurant une conduite douce et silencieuse.

L’iON HT sera commercialisé dès 2026 au Canada, avec un choix de grandeurs adaptées aux camionnettes électriques destinées au grand public.

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• Selon l’IIHS, la visibilité avant à bord des véhicules modernes est pire qu’elle ne l’était il y a 25 ans.

S’il y a une chose qui s’est grandement détériorée avec les véhicules modernes au fil des années et des décennies, c’est bien la visibilité de l’intérieur. À l’arrière, avec certains modèles, c’est carrément l’enfer.

Ce que l’on voit aussi de plus en plus, ce sont des angles morts à l’avant, soit avec les piliers A du véhicule. En raison des normes de sécurité qui ne cessent d’être plus strictes, ces pièces ont pris du volume, au point où ils nous cachent de plus en plus la vue.

L’IIHS (Insurance Institute for Highway Safety) américaine, qui effectue notamment des tests de collisions des véhicules neufs, a mis au point une nouvelle méthode pour évaluer ce que les conducteurs ne peuvent pas voir. Une étude du ministère des Transports utilisant cette méthode en arrive à la conclusion que la situation s’est détériorée au cours de 25 dernières années.

La méthode mise au point par l’IIHS a été pesée pour mesurer et comparer ce qu’un conducteur peut voir dans un angle de 180 degrés vers l’avant et l’extérieur d’un véhicule. Elle fait appel à une caméra qui analyse la vision du pilote ; l’image est ensuite traitée pour déterminer le pourcentage de la route visible dans un rayon donné et ce qui est bloqué par les piliers A, le capot et les rétroviseurs latéraux du véhicule.

L’IIHS a utilisé sa méthode pour examiner chaque génération de véhicules vendus entre 1997 et 2023. Les modèles retenus ont été les Chevrolet Suburban, Ford F-150, Honda Accord, Honda CR-V, Jeep Grand Cherokee et Toyota Camry.

Visibilité avant à bord des véhicules : la situation empire, selon la IIHS | Auto123.com

L’analyse a mesuré la visibilité d’un conducteur dans un rayon de 10 mètres ; cette distance a été choisie parce que c’est approximativement l’espace dont un conducteur a besoin pour réagir et s’arrêter lorsqu’il roule à 16 km/h. L’étude a également mesuré la visibilité entre 10 et 20 mètres du véhicule.

La plus grande différence avec un seul modèle a été observée avec le Honda CR-V. Sur un exemplaire de 1997, les chercheurs ont mesuré une visibilité de 68 %, alors que celle du modèle 2022 n’était que de 28 %. Sur un Suburban 2000, les chercheurs ont mesuré 56 % de surface visible dans un rayon de 10 mètres, contre 28 % sur un modèle 2023.

Visibilité avant à bord des véhicules : la situation empire, selon la IIHS | Auto123.com

Les baisses sont aussi remarquables, mais un peu moins importantes avec les autres modèles.

Conséquences prévisibles

Sans trop de surprise, l’étude montre également qu’au cours de la même période, le nombre de décès de piétons et de cyclistes sur les routes américaines a augmenté de manière spectaculaire, soit de 37 % et 42 %, respectivement.

Bien sûr, tous les modèles de l’industrie n’ont pas été testés, mais on peut vous confirmer que nous avons observé la tendance au cours des 20 dernières années. Avec certains véhicules, aux intersections, il n’est pas rare de découvrir un cycliste ou un piéton complètement caché par un des piliers A. Comme conducteur, il faut constamment bouger la tête pour s’assurer de tout voir. Avec une voiture des années 80 ou 90, ce n’était pas un enjeu.

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General Motors procède au rappel de 62 468 véhicules aux États-Unis en raison d’un défaut au niveau de l’assemblage du capteur de pression de freinage, selon la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration). Ce défaut pourrait entraîner une fuite de liquide, ce qui augmenterait le risque de court-circuit électrique et, potentiellement, d’incendie.

Un feu possible même à l’arrêt

La NHTSA précise qu’un court-circuit pourrait générer une chaleur excessive sous le capot, suffisamment pour enflammer certaines composantes. Pire encore, un feu pourrait survenir même lorsque le véhicule est éteint ou stationné sans surveillance.

Un produit chimique non autorisé en cause

L’origine du problème? Un produit chimique non autorisé utilisé par le fournisseur dans la fabrication de l’assemblage de freinage. Cette substance aurait provoqué une dégradation progressive d’un composant essentiel au système de freinage, menant au risque de fuite.

Les Chevrolet Silverado 2019 à 2024 visés

Le rappel touche certains modèles de Chevrolet Silverado des années-modèles 2019 à 2024. Bien que la population rappelée soit importante, GM estime que seulement 1 % des véhicules pourraient réellement présenter le défaut. GM devrait contacter les propriétaires concernés prochainement pour effectuer les vérifications et réparations nécessaires sans frais.

Avec des renseignements de Carscoops

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Lexus mettra un terme à la production de sa berline IS en novembre 2025, mettant fin à une histoire qui aura duré près de trois décennies. Lancée en 1998 comme une alternative japonaise aux BMW Série 3 et Mercedes-Benz Classe C, la IS a connu trois générations marquantes et une évolution aussi ambitieuse qu’inégale.

Une entrée remarquée en 1998

Connue sous le nom de Toyota Altezza au Japon, la Lexus IS a fait ses débuts avec des versions IS200 et IS300 à propulsion, souvent livrées avec des moteurs six cylindres en ligne et des boîtes manuelles à 5 rapports. Elle visait une clientèle jeune à la recherche de performance et de style. La SportCross, une familiale rare et désormais culte auprès des amateurs de JDM, faisait partie des curiosités de cette génération.

L’ère de la puissance et du raffinement

En 2005, la deuxième génération introduit les IS250, IS350 et la fameuse IS F, première Lexus « F » haute performance, équipée d’un V8 de 5,0 litres. Le design gagne en maturité (certains diraient en sérieux), l’AWD fait son entrée et l’équipement se bonifie, mais l’ADN original axé sur la conduite s’atténue au profit du luxe.

Une troisième génération sous tension

Arrivée en 2013, puis rafraîchie en 2017 et 2020, la dernière génération tente de séduire les jeunes avec un style plus agressif et une meilleure tenue de route. En 2021, Lexus ramène le V8 dans l’IS500 F Sport Performance, réservée à l’Amérique du Nord et au Japon. Malgré tout, la IS peine à rivaliser avec les ténors allemands : BMW Série 3 et 4, Mercedes C, Audi A3 et A4.

Une sortie discrète, mais marquante

Lexus confirme que les modèles IS300 et IS500 cesseront d’être produits en novembre 2025. Une fois les unités allouées vendues, ce sera la fin pour cette berline compacte qui a tenté, pendant 27 ans, de mêler luxe et passion de la conduite. Aucun détail n’a encore été dévoilé sur une possible remplaçante pour 2026 au Canada ou aux États-Unis.

Source : Toyota

Le texte La Lexus IS prendra sa retraite en novembre 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le constructeur automobile Stellantis, maison-mère de Chrysler, a annoncé un rappel de 250 651 véhicules aux États-Unis en raison d’un défaut de fabrication des coussins gonflables latéraux (rideaux gonflables). C’est la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) qui a publié l’avis officiel samedi.

Quels modèles sont concernés?

Ce rappel vise certains exemplaires des minifourgonnettes Chrysler Pacifica et Chrysler Voyager, produits entre 2022 et 2025. Selon l’organisme américain, les coussins gonflables latéraux pourraient avoir été mal scellés, ce qui compromet leur capacité à maintenir la pression requise en cas de collision.

Un risque accru en cas d’accident

Un coussin gonflable dont la pression est insuffisante pourrait augmenter le risque d’éjection ou de blessure grave pour les occupants lors d’un impact. Pour y remédier, Stellantis procédera à l’inspection et au remplacement des rideaux gonflables, si nécessaire, sans frais pour les propriétaires.

Pas d’accidents signalés à ce jour

Dans une déclaration officielle, Stellantis indique n’avoir recensé aucun accident ni blessure liés à ce défaut jusqu’à présent. Le constructeur invite les propriétaires à suivre les instructions indiquées dans les avis de rappel qu’ils recevront. Les clients canadiens propriétaires de véhicules similaires devraient rester attentifs, car un rappel équivalent pourrait suivre sous peu au Canada, selon les décisions de Transports Canada.

Le texte Rappel de plus de 250 000 véhicules Pacifica et Voyager pour les coussins gonflables provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Lors de la dernière chronique, nous avons discuté plus précisément du moteur du démarreur, pas du démarreur dans son ensemble. Nous n’avons pas discuté de la façon dont s’engage le petit engrenage du démarreur, dans la couronne dentelée du volant moteur pour le lancer.

Ce petit engrenage est celui que nous voyons facilement lorsque le démarreur est retiré du moteur. Il est celui qui tourne le moteur lorsque l’électricité passe dans le moteur du démarreur.

Cependant ce petit engrenage doit être engagé au bon moment, et retiré au bon moment aussi. Il ne peut rester engagé si on n’en a pas besoin. Lorsque le moteur est à l’arrêt ou est tournant, l’engrenage du démarreur est en retrait, éloigné de la couronne du volant moteur. Certains engrenages de démarreur sont soit prêt de l’enroulement ou éloigné de l’enroulement du moteur du démarreur, ce n’est qu’une question de conception. Le but est de ne pas interférer avec la couronne du moteur, mais noté qu’en retrait, il est vraiment tout près.

Au début de l’invention du démarreur électrique, la majorité des engrenages devaient être déplacés dans la couronne du moteur manuellement, en fait, par le pied. Un levier activé par le pied, engageait l’engrenage et un gros interrupteur s’occupait de faire tourner le moteur du démarreur. Une fois le moteur lancé, le pilote relâchait son pied et l’engrenage revenait à sa place par la force d’un ressort.

Avec le temps, on a trouvé un système électrique pour déplacer le petit engrenage, et il se nomme le «solénoïde» de démarreur. Cette pièce est, pour la majorité du temps, cylindrique et installé sur le moteur du démarreur lui-même. Une fois activé par la clef, un courant traverse un bobinage de fils, et crée un champ magnétique, tirant du même coup, sur un petit piston, ou plongeur, qui lui tire sur un levier, qui lui pousse l’engrenage dans la couronne du volant moteur, ouf…. Donc plus besoin d’effort physique pour déplacer l’engrenage, ça se fait tout seul.

Dans le solénoïde, il y a un gros interrupteur, que frappe le plongeur en fin de course, qui lui, fait démarrer le moteur du démarreur, et le moteur peut maintenant être lancé.

Certains solénoïdes sont montés sur la fausse aile du véhicule, ceux-ci ne font que partir le moteur du démarreur. L’engrenage lui, est déplacé par une plaque qui est magnétisé au même moment que le moteur du démarreur est activé. Une fois le moteur lancé, le magnétisme tombe, et un ressort ramène tout ce beau monde chez eux, soit l’engrenage, la plaque et le levier.

Une autre façon de lancer l’engrenage dans le volant moteur pour certains démarreurs est l’engagement par vis. Ce système fiable, n’est qu’en fait un engrenage qui glisse sur les cannelures incurvées comme une vis. Le démarreur tournant dans un sens, force l’engrenage à se diriger vers le volant moteur par la force centrifuge (si ce terme peut aider à la compréhension), et pour le retour à sa place, c’est la rotation du volant moteur qui, le faisant tourner plus vite que le démarreur, l’engage dans les cannelures incurvées, et retourne à sa place.

Ce petit engrenage en endure pas mal, il est très costaud. Le rapport de ratio entre l’engrenage et le volant moteur est autour de 15 pour 1, l’engrenage doit être protégé contre quelqu’un qui s’endort avec les doigts sur la clef du démarreur engagé, et le moteur tournant.

Il y a un système de cliquets qui le fait tourner seulement d’un côté qui le protège. Si le démarreur reste engagé pendant que le moteur tourne, ce système de cliquets laisse tourner le petit engrenage du moteur du démarreur dans le vide, pour éviter que le moteur du démarreur tourne 15 fois plus vite, pour bien sûr le protéger. Car si cette protection n’était pas présente, l’armateur du démarreur ne pourrait résister à tant de RPM.

Juste pour le plaisir, si vous donner un coup d’accélérateur et que le moteur monte à 2000rpm et que le démarreur n’avait pas cette protection, et qu’il serait engagé, l’armature du démarreur devrait endurer 15 fois ce nombre… il ne résisterait pas.

Le texte Le démarreur, suite. provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Dans le monde très en vogue des VUS électriques de luxe, le Porsche Macan avance avec assurance. Construit sur la plateforme PPE à 800 volts, il entend conjuguer performance brute, raffinement technologique et habitabilité. Mais à près de 110 000 $, est-il à la hauteur de son écusson ?

Un design affûté pour adultes pressés

Bien qu’il partage son nom avec le Macan à essence, ce 4S électrique est entièrement repensé. Lignes dynamiques, proportions abaissées, arrière musclé et phares DEL sophistiqués : le design reste fidèle à Porsche tout en affichant une personnalité modernisée. Les jantes de 21 pouces, de série sur le 4S, remplissent les arches avec autorité, et l’aérodynamisme est peaufiné jusque dans les poignées affleurantes.

Un habitacle soigné, mais pas irréprochable

L’intérieur offre un bel équilibre entre luxe minimaliste et fonctionnalité. Trois écrans numériques, un éclairage d’ambiance personnalisable et des sièges sport chauffants et ventilés créent un cocon sophistiqué. Toutefois, dans un véhicule dont le prix avoisine les 110 000 $ avec options, on tique sur la présence de plastiques durs visibles autour de la console centrale. À ce tarif, on s’attend à une finition à la hauteur de la Taycan, ce qui n’est pas tout à fait le cas. En plus d’un bon espace de rangement sur la console, le Macan 4S dispose d’un espace de chargement de 540 litres lorsque les sièges arrière sont relevés, et ils se rabattent 40/20/40 pour accueillir des objets plus longs et un volume de chargement total de 1 348 litres. Un coffre avant d’un volume de 82 litres est également disponible. Si vous avez besoin de transporter plus, la capacité de remorquage est de 4 409 livres maximum.

Technologie et recharge à haut débit

Le Macan 4S utilise une batterie de 95 kWh nets, combinée à une architecture 800V lui permettant de charger de 10 à 80 % en environ 20 minutes sur une borne rapide de 270 kW. Sur une borne de niveau 2, deux prises latérales (une de chaque côté) facilitent la recharge à domicile. L’autonomie officielle est de 460 km, mais nos essais réels à vitesse autoroutière (115 km constantes) ont plutôt donné environ 420 km, ce qui reste solide.

Une conduite électrisante… et civilisée

C’est ici que le Macan 4S fait honneur à son blason. Malgré un poids de 2 380 kg, il accélère comme une bête : 0 à 100 km/h en seulement 3,9 secondes, grâce à ses deux moteurs synchrones produisant ensemble 509 chevaux . La poussée est immédiate, linéaire, violente même en mode sport. Pour comparaison, le Macan 4 de base offre 402 chevaux et le Macan Turbo est à 630 chevaux. En mode Sport Plus, le châssis se raffermit, la direction devient plus directe, et l’on retrouve ce ressenti typiquement Porsche : l’auto semble rapetisser autour de vous. Le freinage, quant à lui, impressionne par sa constance malgré l’absence de vrai mode à une pédale. Le constructeur veut que ses véhicules électriques conservent une « signature thermique » au volant, quitte à déplaire aux habitués de la régénération active.

Sur une route sinueuse, le Macan 4S se montre agile, précis et étonnamment communicatif. La direction est vive et ultra réactive, même si elle manque encore un brin de ressenti par rapport à une 911 ou un Cayman. Le roulis est quasi inexistant, l’adhérence phénoménale. Le système de gestion de la motricité répartit le couple entre les essieux en quelques millisecondes, permettant une motricité exemplaire même sur chaussée mouillée. En ville ou sur autoroute, la suspension pneumatique adaptative vous sauve la colonne vertébrale. Le confort est princier, le silence remarquable. En mode Normal, le Macan absorbe les imperfections comme une grande routière allemande. Les sièges, fermes mais enveloppants, permettent de longs trajets sans fatigue.

Prix canadiens : entre exclusivité et justification

Le Macan 4S Électrique 2025 débute à 106 900 $ au Canada. Notre modèle d’essai, avec le groupe Premium (phares matriciels, sièges ventilés, audio Bose, 4 zones climatiques) et quelques options de personnalisation, grimpe à plus de 120 000$ avant frais de livraison (2 950 $). À ce niveau de prix, la compétition est rude : BMW iX xDrive60 (94 900 $), Mercedes EQE 500 SUV (104 900 $), Audi SQ6 e-tron (env. 99 000 $) et même le Genesis Electrified GV70 (80 000 $ tout inclus).

Conclusion

Le Porsche Macan 4S EVest un tour de force d’ingénierie : rapide, précis, sécurisant et diablement efficace, il incarne une forme de rationalité sportive à l’allemande. Il n’a pas la folie d’une 911, ni l’éclat d’un Taycan, mais il réussit l’exploit de combiner utilité, luxe et performance sans compromis majeur. Ceux qui rêvent d’un GTI version adulte, mûr et électrifié, y trouveront un allié fidèle. Mais pour que la magie opère pleinement, il faudra signer un chèque bien garni.

Forces :
Accélérations fulgurantes et tenue de route exemplaire
Confort de roulement haut de gamme
Recharge rapide et technologie embarquée raffinée
Polyvalence quotidienne malgré des performances sportives

Faiblesses :
Prix très élevé une fois bien équipé
Trop de plastiques rigides dans l’habitacle
Absence de vraie conduite à une pédale
Manque d’émotion brute pour un véhicule de cette trempe

Le texte Porsche Macan EV 4S provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Vous êtes arrêté à une intersection, vous voyez une voiture arriver de côté, clignotant activé… mais ralentit-elle vraiment? Est-ce sécuritaire de s’engager? Sans pouvoir voir ses feux de frein, la décision repose sur un mélange de devinettes et d’instinct. Une équipe de chercheurs européens croit avoir une solution simple et efficace : installer des feux de freinage à l’avant des voitures.

Un problème quotidien pour les automobilistes

C’est une situation que vivent des millions de conducteurs : on tente de deviner si un véhicule qui approche ralentit vraiment. À distance, il est difficile de lire les indices visuels — surtout avec les véhicules modernes dont la suspension dissimule bien les mouvements de caisse. Et comme les feux de freinage sont uniquement à l’arrière, il est presque impossible de confirmer l’intention d’un autre conducteur si on ne voit que l’avant de son véhicule.

Une lumière verte pour indiquer que l’auto freine

L’étude menée par l’Université de Graz (Autriche), l’Université Comenius (Slovaquie) et l’Institut Bonn (Allemagne) propose d’installer des feux de freinage verts à l’avant. Pourquoi vert? Parce que cette couleur évoque l’idée qu’un autre usager peut agir en toute sécurité, comme un feu de circulation. Et contrairement aux feux rouges (interdits à l’avant par la réglementation nord-américaine), le vert pourrait faire consensus… si la loi s’ajuste.

Moins d’accidents, moins de blessures

Les chercheurs ont recréé plusieurs collisions réelles en simulation, avec différentes réactions temporelles (de 0,5 à 1,5 seconde). Résultat? Jusqu’à 17 % des collisions auraient pu être évitées, et les blessures réduites dans 25 % des cas, surtout en diminuant la vitesse moyenne d’impact d’environ 44 %. Une baisse de 16 km/h peut faire toute la différence dans une zone urbaine.

Des obstacles réglementaires majeurs

Le problème? La législation nord-américaine n’autorise que le blanc à l’avant et l’ambre sur les côtés. Les feux rouges ou verts sont interdits. Même Mercedes-Benz, qui a reçu le feu vert dans certains États américains pour des feux turquoise sur ses prototypes autonomes, fonctionne sous des dérogations limitées. Ajouter une telle fonction de série exigerait une révision des règles nationales, probablement à travers le Congrès américain, comme ce fut le cas pour les phares adaptatifs avec la loi HR 3684 (Infrastructure Bill de 2022). Pour l’instant, les véhicules existants ne pourraient pas être rétroéquipés, et seuls les modèles à venir pourraient théoriquement intégrer ces innovations.

Une bonne idée, mais pas pour demain

En clair, bien que l’idée semble simple, logique et efficace, elle se heurte à un mur réglementaire. Il faudra encore du temps, de la volonté politique et des essais sur le terrain pour qu’on voie apparaître des feux de freinage frontaux dans nos rues. D’ici là, les intersections continueront d’être des zones grises… et parfois dangereuses.

Le texte Des feux de freinage… à l’avant de votre voiture? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Après avoir couronné le XC60 comme son véhicule le plus vendu de tous les temps, Volvo s’apprête à tourner la page avec une version 100 % électrique : le EX60. Ce tout nouveau VUS électrique de taille intermédiaire fera ses débuts officiels début 2026, mais Volvo en a déjà dévoilé quelques éléments clés.

Un design Volvo repensé, mais fidèle

Un premier aperçu diffusé sur les réseaux sociaux montre une silhouette typiquement Volvo, avec un nouveau feu arrière vertical et l’emblème EX60 bien en évidence. Contrairement à la tendance actuelle, aucune barre lumineuse complète ne relie les feux arrière. On peut aussi s’attendre à retrouver les phares à DEL “Marteau de Thor”, une calandre fermée, et des poignées de porte affleurantes.

Une nouvelle plateforme technologique : SPA3

Le EX60 sera le premier modèle à utiliser la plateforme SPA3, une base ultra-flexible capable de supporter des véhicules plus petits que le EX30 et plus gros que le EX90, selon Volvo. Cette architecture permettra des mises à jour continues, des performances optimisées, et un gain d’efficacité. Elle repose sur la nouvelle pile technologique Superset que Volvo qualifie de « révolutionnaire ».

Ceinture multi-adaptative et batterie structurelle

Volvo a aussi confirmé que le EX60 sera le premier véhicule à intégrer sa nouvelle ceinture de sécurité multi-adaptative, une innovation axée sur la sécurité intelligente. Côté performance, le EX60 bénéficiera d’un bloc-batterie structurel, semblable à ceux utilisés par Tesla et BYD, pour alléger le véhicule tout en augmentant la rigidité et l’autonomie. On peut s’attendre à une batterie plus petite que celle du EX90 (107 kWh, 600 km WLTP), avec des dimensions comparables au XC60 actuel : 4 708 mm de long, 1 902 mm de large, 1 655 mm de haut.

Et le LiDAR ?

Aucun détail officiel n’a encore été dévoilé sur l’intégration possible du système d’aide à la conduite par LiDAR, comme sur le EX90. Mais selon le chef de la stratégie produit chez Volvo, Erik Severinson, l’exploration de nouveaux types de capteurs est bel et bien en cours. Le EX60 marquera un tournant dans l’électrification de la gamme Volvo, avec une approche qui combine technologie évolutive, sécurité active et design scandinave minimaliste. Le dévoilement complet est prévu pour début 2026, et on surveillera de près cette nouveauté pour le marché canadien.

Avec des renseignements d’Electrek

Le texte Le Volvo EX60 : un nouveau VUS électrique pour 2026 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile