Kia a levé le voile sur son tout nouveau pickup, le Tasman, un modèle intermédiaire conçu pour rivaliser avec les Toyota Tacoma et Ford Ranger, mais qui ne sera pas commercialisé en Amérique du Nord, du moins pour l’instant. Nous l’avions vu de près au Salon de Busan, en Corée du Sud, au printemps 2024, mais en camouflage. Le voici en forme finale.

Alors que Kia célèbre son 80e anniversaire, le Tasman marque son entrée dans le segment des pickups avec une construction robuste sur châssis (body-on-frame).

Trois versions offertes

Le design du Kia Tasman est audacieux, avec une forme carrée rappelant le Jeep Gladiator mais sans ses arches de roues proéminentes. Il est offert en trois versions : la double cabine de base, la X-Line, et la X-Pro, cette dernière étant orientée vers la conduite hors route avec une garde au sol de 11,1 pouces et des pneus tout-terrain de 17 pouces.

L’intérieur du Tasman est axé sur la technologie, avec un tableau de bord large et panoramique comprenant trois écrans de 12,3 pouces, 5 pouces, et 12,3 pouces respectivement, intégrant l’instrumentation et le système d’infodivertissement.

Le Kia Tasman 2025, de profil
Le Kia Tasman 2025, de profil | Auto123.com

Motorisations du Kia Tasman 2025

Le Kia Tasman 2025 offre deux options de motorisation. En essence, on retrouve un moteur turbo de 2,5 litres développant une puissance de 277 chevaux et un couple de 311 lb-pi, permettant au Tasman d’accélérer de 0 à 100 km/h en 8,5 secondes et d’atteindre une vitesse maximale de 185 km/h. Pour ceux qui recherchent un maximum de couple, un moteur turbo-diesel de 2,2 litres est également proposé sur certains marchés, délivrant 207 chevaux et 325 lb-pi de couple. Ce moteur diesel offre une meilleure capacité de remorquage et une consommation de carburant réduite.

Les deux motorisations sont jumelées à une boîte automatique à huit rapports de série, tandis que certaines versions diesel proposent une transmission manuelle à six rapports en option

Le Kia Tasman X-Pro 2025, trois quarts arrière
Le Kia Tasman X-Pro 2025, trois quarts arrière | Auto123.com

Des capacités hors route et de remorquage impressionnantes

Le Kia Tasman n’est pas seulement conçu pour la route, mais aussi pour le travail. Avec une capacité de remorquage maximale de 7716 livres, il dépasse le Toyota Tacoma de plus de 1200 livres. Les modèles à propulsion (2WD) peuvent transporter jusqu’à 2634 livres dans leur plateau, soit 800 de plus que le Tacoma.

Le plateau de cinq pieds comprend une prise de courant de 220 volts, un éclairage, des espaces de rangement et même un plancher de chargement coulissant pour faciliter le transport.

Pour le hors-route, le modèle X-Pro est équipé d’un différentiel arrière verrouillable électroniquement et du mode X-Trek, un régulateur de vitesse hors route. La garde au sol atteint 11,1 pouces, tandis que le Tasman peut traverser des profondeurs d’eau allant jusqu’à 31,5 pouces, offrant des capacités tout-terrain compétitives.

Le Kia Tasman 2025, intérieur
Le Kia Tasman 2025, intérieur | Auto123.com

Un intérieur axé sur le confort et la technologie

Le Kia Tasman est conçu pour être un véhicule tout aussi agréable pour les trajets quotidiens que pour les aventures. Le tableau de bord est dominé par un écran d’infodivertissement compatible avec Android Auto et Apple CarPlay, et un système audio Harman Kardon en option.

Le modèle à cabine double offre des sièges pour cinq passagers, ainsi qu’un espace de rangement sous les sièges arrière et un dossier inclinable pour un confort accru.

Le Kia Tasman 2025, cabine
Le Kia Tasman 2025, cabine | Auto123.com
Le Kia Tasman 2025, sièges
Le Kia Tasman 2025, sièges | Auto123.com

Le Tasman est équipé d’une série de systèmes d’aide à la conduite avancée (ADAS), dont l’assistance au maintien de voie, l’alerte de collision dans les angles morts, et l’assistance au stationnement à distance. Le système Highways Driving Assist 2 de Kia adapte même les fonctions d’assistance pour le remorquage.

Pas pour l’Amérique du Nord

Bien que le Tasman ne soit pas prévu pour le marché nord-américain dans l’immédiat, Kia n’a pas exclu une introduction future si la demande est suffisante. Pour le moment, le modèle sera commercialisé dans des régions comme le Moyen-Orient, l’Australie, l’Afrique, et l’Amérique centrale.

Le Kia Tasman 2025, avant
Le Kia Tasman 2025, avant | Auto123.com
Le Kia Tasman 2025, caisse
Le Kia Tasman 2025, caisse | Auto123.com
Le Kia Tasman X-Pro 2025, trois quarts arrière
Le Kia Tasman X-Pro 2025, trois quarts arrière | Auto123.com

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Le texte Kia dévoile son premier pickup : le Tasman provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ford a annoncé une diminution de 26 % de son bénéfice net pour le troisième trimestre, principalement en raison d’une charge pour le retard de certains modèles électriques. Ford a également révisé à la baisse sa projection de bénéfices pour l’ensemble de l’année, invoquant des inquiétudes liées aux coûts.

Hausse des revenus malgré tout

Malgré la baisse de son bénéfice net, Ford a vu ses bénéfices ajustés avant intérêts et impôts (EBIT) augmenter de 16 %, atteignant 2,6 milliards USD. Les revenus de l’entreprise ont, quant à eux, progressé de 5 % pour atteindre 46 milliards USD.

Révision des prévisions de bénéfices pour l’année

Désormais, Ford s’attend à un EBIT ajusté de près de 10 milliards USD pour l’année, en baisse par rapport aux prévisions antérieures qui tablaient sur un bénéfice pouvant atteindre 12 milliards USD. Lawler a souligné que l’entreprise a réalisé des réductions de coûts de 2 milliards USD cette année, mais que ces économies sont compensées par l’inflation et des dépenses accrues en matière de garantie.

Améliorations en matière de coûts et de qualité

Ford a récemment ajusté son système de bonification des dirigeants pour mieux aligner les récompenses financières sur des critères de coûts et de qualité. Ce changement a déjà apporté des résultats encourageants, surtout au niveau des lancements et des véhicules dans leurs trois premiers mois de service.

Ford F-150 2024
Ford F-150 2024 | Auto123.com

Performance des divisions : Ford Pro en hausse, Model « e » en baisse

L’analyse des performances des différentes divisions de Ford révèle des tendances contrastées. Ford Pro, le secteur des véhicules commerciaux, affiche une santé robuste avec une hausse de 9,7 % de ses bénéfices, atteignant 1,8 milliard USD. En revanche, le secteur Ford Blue, dédié aux véhicules à combustion, subit un recul de 5,3 % avec des bénéfices de 1,6 milliard USD. La division électrique Model e, quant à elle, continue d’enregistrer des pertes, s’élevant à 1,2 milliard USD ce trimestre. Malgré une amélioration de 7,9 % par rapport à l’an dernier, ces résultats soulignent les défis de la transition vers l’électrification pour Ford. Il est toutefois important de noter que la forte performance de Ford Pro permet de compenser en partie les pertes de Model e, montrant la capacité du groupe à diversifier ses sources de revenus

Augmentation du flux de trésorerie et perspectives pour 2024

Les bénéfices de Ford Credit ont bondi de 52 %, atteignant 544 millions USD, tandis que le flux de trésorerie disponible ajusté de Ford a augmenté de 2 milliards USD, s’établissant à 3,2 milliards USD pour le trimestre. Le constructeur maintient par ailleurs sa prévision de flux de trésorerie disponible ajusté pour l’année, entre 7,5 et 8,5 milliards USD.

Les actions de Ford ont perdu 6 % dans les échanges après la clôture.

Le mot de la fin

Bien que Ford continue de montrer des signes de croissance et d’amélioration financière, les défis liés aux coûts, en particulier ceux de garantie, nuisent à son potentiel de rentabilité.

Les ajustements entrepris, notamment en matière de réduction de coûts et de qualité, pourraient cependant offrir des perspectives financières prometteuses pour l’avenir.

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Le texte Ford voit son bénéfice net chuter de 26 % au troisième trimestre provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

À l’instar de nombreuses autres marques, Volvo a choisi de se « brancher » au réseau de recharge de Tesla. Les conducteurs de ses véhicules électriques ont désormais accès aux quelque 17 800 Superchargeurs du constructeur californien qu’on retrouve à travers l’Amérique du Nord.

Pour utiliser ces bornes, qui ont un connecteur de type NACS (pour North American Charging Standard), les propriétaires actuels de VÉ Volvo devront d’abord faire l’acquisition d’un adaptateur. Dans un communiqué publié aujourd’hui, Volvo Cars Canada (VCC) précise qu’ils peuvent être commandés dès aujourd’hui à ses concessionnaires autorisés.

Adaptateurs disponibles à partir du 18 novembre

Ces adaptateurs coûtent 310 $. Les concessionnaires recevront d’abord ceux destinés aux C40 et XC40 Recharge à partir du 18 novembre prochain. « La disponibilité des adaptateurs pour l’EX30 sera annoncée ultérieurement », précise VCC dans son communiqué, sans toutefois donner plus de détails.

Un adaptateur du genre fera par ailleurs partie de la dotation de série des Volvo EX90, EX40 et EC40 millésimés 2025.

Enfin, il faut préciser que ces adaptateurs ne sont pas destinés aux Volvo ayant une motorisation hybride branchable.

Des Superchargeurs pour quasiment tous les VÉ

En juin 2023, Polestar, la marque sœur de Volvo, avait également annoncé qu’elle adoptait les connecteurs NACS pour ses modèles millésimés 2025 pour permettre aux conducteurs de ses véhicules d’utiliser les bornes de Tesla.

Cette année, Ford (en février) et GM (en septembre) ont conclu des ententes avec Tesla pour permettre aux conducteurs de leurs VÉ de faire de même, tout comme à peu près toutes les autres marques offrant des modèles électriques en Amérique du Nord : Acura, BMW, Honda, Hyundai, Lexus, Lucid, Mazda, Mercedes-Benz, Nissan, Rivian, Subaru, Toyota et Volkswagen.

Tesla dispose actuellement du plus grand réseau de recharge au monde avec plus de 60 000 bornes. En Amérique du Nord, selon le constructeur, on dénombre 17 800 Superchargeurs dont 1 490 sont au au Canada.

Photos : Volvo et Polestar

Le texte Volvo se « branche » au réseau de Tesla provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Face à la montée en puissance des véhicules électriques abordables en provenance de la Chine, le PDG de Ford, Jim Farley, déclare que le prochain pick-up électrique de taille moyenne de Ford sera une petite révolution. Lors d’une récente conférence, Farley a lancé un clin d’œil à BYD en son pickup Shark, affirmant que le futur pick-up électrique de Ford sera conçu pour rivaliser avec le coût des modèles chinois produits au Mexique.En février dernier, Farley a révélé que Ford avait une équipe « skunkworks » secrète travaillant sur une plateforme électrique à faible coût, dédiée à ses modèles de nouvelle génération. Dirigée par Alan Clarke, l’ingénieur derrière la Tesla Model Y, l’équipe est constituée d’anciens de Tesla, Rivian, Lucid et Apple.

Un camion conçu pour maximiser l’efficacité

Ford a confirmé cet été que son premier modèle basé sur cette plateforme serait un pick-up électrique de taille moyenne, spécialement conçu pour offrir « plus de valeur » aux clients, notamment en termes d’autonomie et de polyvalence. En développant cette plateforme, Ford veut atteindre un niveau d’efficacité et de coût comparable aux « meilleurs compétiteurs mondiaux ».

En comparant son modèle à ceux de fabricants chinois comme BYD, qui a récemment lancé son pick-up hybride rechargeable Shark PHEV au Mexique, Ford entend proposer un véhicule concurrentiel dès 2027. Le pick-up de BYD, qui possède une autonomie de 100 km en tout électrique et un prix d’entrée de 53 400 $, se pose déjà comme rival pour le Ford Ranger dans plusieurs marchés clés.

Production de batteries LFP à plus faible coût

Pour atteindre cet objectif d’un pick-up abordable, Ford prévoit de lancer la production de batteries au lithium fer phosphate (LFP) dans son usine au Michigan en 2026, réduisant ainsi les coûts de production. Farley a déclaré que l’équipe en Californie a « surpassé les attentes » dans le développement de la nouvelle plateforme en simplifiant la structure du véhicule pour optimiser les coûts. En réduisant le nombre de composants et en accélérant le processus de conception, Ford vise à offrir un pick-up qui réponde aux exigences de performance et de prix du marché nord-américain.

Un projet qui suscite l’engouement

Dans une récente entrevue sur le podcast Fully Charged, Farley a décrit le véhicule comme « fantastique » et a exprimé son désir de continuer à l’améliorer. Il a également partagé sur X (anciennement Twitter) qu’il teste lui-même tous les véhicules concurrents pour mieux comprendre le marché et se placer en position de leader.

Ford réussira-t-il son pari ?

Avec une production prévue pour le second semestre de 2027, Ford pourrait prendre du retard sur les fabricants chinois qui avancent rapidement sur le segment des pick-up abordables en Amérique du Nord. Toutefois, l’engagement de Ford à innover avec sa plateforme simplifiée et sa production de batteries LFP pourrait bien lui permettre de rester compétitif dans cette course à l’électrification abordable.

Avec des renseignements d’Electrek

Le texte Ford prépare un pickup électrique de taille moyenne à prix abordable provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le légendaire moteur atmosphérique de 4,0 litres de la Porsche 911 GT3 ne devrait plus rester sur le marché en version non hybridée ou sans turbo pour plus de deux ans, selon le chef de la division GT de Porsche, Andreas Preuninger. Ce moteur, emblème de la gamme GT3 depuis la génération ‘991.2’ en 2018, équipe également d’autres modèles de la marque comme les 911 S/T, 911 GT3 RS, 718 Cayman GT4 RS et 718 Spyder RS, avec des réglages différents selon les versions. Toutefois, le 4,0 litres atmosphérique de la 911 GT3 et celui des modèles 718 Cayman GTS 4.0 et Boxster GTS 4.0 sont parmi les derniers moteurs de Porsche à échapper aux contraintes d’induction forcée ou d’électrification.

La fin d’une époque en vue

Avec l’arrivée imminente de nouvelle normes environnementales en 2026, Porsche admet que ce moteur iconique pourrait bientôt devoir céder la place à des technologies plus modernes pour répondre aux normes d’émissions toujours plus strictes. Pour atteindre les normes Euro 7, nous devrons intégrer une hybridation ou un turbo. Pour l’instant, nous avons encore environ deux ans de vente, mais cela dépendra des marchés.

Un moteur conçu pour le plaisir de conduire

Le plaisir de conduite de la GT3 repose sur son moteur atmosphérique, avec une ligne droite qui relie deux courbes, pas un sprint en ligne droite. Le moteur de la GT3 atteint les 9 000 tr/min et respecte les normes comme Euro 6 avec un tiers de moins d’oxyde d’azote et une réduction de 40 % des émissions de particules. Maintenir cette performance sans turbo ni hybridation a été un défi pour les ingénieurs. « L’ajout de poids par l’électrification ou le turbo altérerait l’équilibre de la voiture, surtout avec ce poids placé à l’arrière.

Pour maximiser la vivacité de la voiture sans l’alourdir, Porsche a opté pour un ratio de pont final plus court, favorisant une accélération plus franche sans sacrifier la philosophie pure de la GT3.

Avec des renseignements d’Autocar

Le texte Encore deux ans de moteur atmosphérique pour la Porsche 911 GT3 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les véhicules volés sont un fléau mondial qui touche deux principales catégories de victimes : le propriétaire initial du véhicule et l’acheteur potentiel qui risque de se retrouver avec une voiture volée sans le savoir. Face à cette montée des arnaques en ligne, le DMV de New York (New York Department of Motor Vehicles) lance une alerte et propose des conseils pour éviter de tomber dans le piège.

En 2023, le DMV de New York a récupéré 228 voitures volées, dont plus de la moitié (149) étaient mises en vente en ligne, principalement sur Facebook Marketplace et Craigslist. Bien souvent, ces véhicules ne sont identifiés comme volés que lors de la tentative d’enregistrement par leur nouvel acquéreur. « Il y a de nombreux escrocs prêts à profiter de ceux qui recherchent un véhicule à bas prix », a déclaré le commissaire du DMV, Mark J.F. Schroeder.

Plateformes en ligne : un terrain fertile pour les escrocs

Facebook Marketplace et Craigslist sont devenus des terrains de chasse privilégiés pour les escrocs. « Les acheteurs doivent être conscients qu’il existe des vendeurs malhonnêtes prêts à leur soutirer des milliers de dollars. Nous les encourageons à vérifier soigneusement l’historique du véhicule avant tout achat », a déclaré le surintendant de la police d’État, Steven G. James.

Le commissaire intérimaire du NYPD, Thomas Donion, a également insisté sur l’importance de la prudence. « Avant de conclure une transaction en ligne, il est crucial de vérifier les informations du vendeur, de faire des recherches sur l’historique du véhicule et de privilégier les rencontres dans des zones de sécurité désignées, notamment dans les postes de police sous surveillance », a-t-il conseillé.

Fenètre brisé d'un véhicule volé, qui a été récupéré
Fenètre brisé d’un véhicule volé, qui a été récupéré | Auto123.com

Conseils pour éviter les arnaques de voitures volées

Le DMV de New York recommande plusieurs mesures simples mais efficaces pour se protéger lors de l’achat d’un véhicule en ligne. Ces conseils sont applicables à tous les acheteurs, peu importe leur lieu de résidence aux États-Unis. Bien entendu, les consommateurs canadiens peuvent généralement utiliser ces conseils pour éviter de se faire escroquer.

  • • Vérifiez l’historique du véhicule en ligne : utilisez un service tiers comme Carfax ou AutoCheck pour obtenir un rapport d’historique du véhicule et vous assurer que le numéro d’identification du véhicule (VIN) n’est pas associé à un véhicule volé.
  • • Examinez le titre de propriété : assurez-vous que le titre de propriété est au nom du vendeur et qu’il ne comporte aucun privilège (dette).
  • • Comparez le VIN sur le véhicule et sur le titre : Le numéro d’identification du véhicule (VIN) gravé sur le tableau de bord doit correspondre au VIN indiqué sur le titre de propriété.
  • • Privilégiez un paiement sécurisé : utilisez un chèque de banque ou un service de paiement sécurisé pour limiter les risques financiers en cas de litige.
  • • Méfiez-vous des « faux » concessionnaires : soyez vigilant face aux vendeurs qui se présentent comme des concessionnaires sans avoir de lieu d’affaires fixe ou qui utilisent des documents, des plaques d’immatriculation ou des immatriculations hors de l’État.
  • • N’acceptez que les certificats et plaques d’immatriculation officiels : utilisez uniquement les certificats de l’État de New York ou ceux délivrés par des installations agréées par le DMV.

Le mot de la fin

Acheter une voiture en ligne peut être une solution pratique et économique, mais il est crucial de rester prudent. En suivant les conseils du DMV de New York, vous pouvez minimiser les risques et éviter les arnaques. N’oubliez pas : vérifiez toujours l’historique du véhicule et l’identité du vendeur, choisissez un mode de paiement sécurisé et privilégiez un lieu de rencontre sûr.

Contenu original de auto123.

Le texte Les voitures volées revendues en ligne : une problématique de plus en plus courante provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Volkswagen envisage de fermer au moins trois usines en Allemagne, de réduire les effectifs de plusieurs dizaines de milliers d’employés et de réduire la taille de ses installations restantes dans la plus grande économie d’Europe. Ce plan de restructuration, plus radical qu’anticipé, a été révélé par la présidente du conseil d’entreprise de Volkswagen. Le plus grand constructeur automobile d’Europe négocie depuis des semaines avec les syndicats pour redéfinir ses opérations et réduire les coûts, incluant, pour la première fois, la possibilité de fermer certaines usines en Allemagne.

Un plan de vente massif des actifs allemands

Le plus grand groupe industriel d’Allemagne prévoit de commencer la vente de ses actifs dans son pays d’origine. Toutefois, Volkkswagen n’a pas précisé quelles usines seraient affectées ni combien des 300 000 employés du groupe en Allemagne pourraient perdre leur emploi.

Une escalade des tensions entre travailleurs et direction

Ces commentaires marquent une intensification importante du conflit entre les travailleurs de Volkswagen et la direction du groupe, qui fait face à une pression extrême pour réduire ses coûts et maintenir sa compétitivité alors que la demande diminue en Chine et en Europe. Cette situation met également en lumière la nécessité pour le gouvernement allemand de réagir face à la faiblesse persistante de son économie, qui connaît une deuxième année consécutive de contraction. Le chancelier Olaf Scholz et sa coalition cherchent des moyens de stimuler la croissance, d’autant plus que Scholz accuse du retard dans les sondages à l’approche des prochaines élections fédérales.

Un appel pour un plan d’urgence pour l’industrie allemande

Volkswagen élabore rapidement un plan d’urgence pour l’industrie allemande, afin d’éviter de « sombrer dans le gouffre ». Un porte-parole du gouvernement a confirmé que Berlin était au courant des difficultés de Volkswagen et maintenait un dialogue étroit avec l’entreprise et les représentants des travailleurs. « La position du chancelier est claire : les mauvaises décisions de gestion passées ne doivent pas nuire aux employés. L’objectif est de préserver et de sécuriser les emplois », a déclaré le porte-parole lors d’une conférence de presse régulière.

Divergences d’opinions sur les solutions à adopter

Il y a un accord entre les travailleurs et la direction sur la nature des problèmes auxquels Volkswagen et plusieurs autres constructeurs européens font face, allant de la transition vers l’électrification plus lente que prévu à la concurrence acharnée des constructeurs chinois en Europe. « Nous sommes proches dans l’analyse des problèmes. Mais nos solutions sont très éloignées les unes des autres », a-t-elle affirmé.

Contexte difficile pour les constructeurs automobiles allemands

L’annonce de Volkswagen intervient après une série de nouvelles difficiles pour les constructeurs automobiles allemands. La semaine dernière, Mercedes-Benz a annoncé l’intensification de ses mesures de réduction des coûts après une baisse de ses profits. Porsche, une filiale majoritaire de Volkswagen, a par ailleurs indiqué qu’elle réduisait son réseau de concessionnaires en Chine pour s’adapter à la faible demande dans le plus grand marché automobile mondial, tout en signalant des coupes de coûts de plusieurs milliards d’euros. Les constructeurs allemands craignent également d’être pris dans un conflit commercial entre l’Union européenne et la Chine, alors que des tarifs douaniers européens importants sur les véhicules électriques chinois doivent entrer en vigueur cette semaine.

Des conséquences possibles pour Northvolt

La filiale Volkswagen Finance Luxembourg, qui détient directement 21% de Northvolt est non seulement le plus gros actionnaire de la compagnie, mais aussi sont plus gros client. Cette débandade financière risque d’avoir des effets négatifs pour Northvolt.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte Plus de 10 000 mise à pied et trois fermetures d’usines chez Volks en Allemagne provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

En introduisant le Kicks 2025, la 2e génération de son populaire utilitaire compact, Nissan Canada vient tout juste de faire plaisir aux consommateurs à la recherche d’un petit VUS à prix raisonnable. Or, le constructeur en rajoute une couche en comblant cette fois les consommateurs toujours à la recherche d’un petit utilitaire mais à un prix encore plus raisonnable. Il annonce, en effet, que les Canadiens pourront continuer de se procurer le Kicks de première génération (2018). Lequel s’appelle désormais le Kicks Play.

Gamme élargie

Nissan mise d’abord et avant tout sur l’attrait du prix pour garder intact l’intérêt des Canadiens envers ce bon « vieux » Kicks : 22 598 $ pour la version S et 25 198 $ pour la SV. Plus les taxes et les frais de fret et de livraison de 2 030$. En comparaison, le tarif du tout nouveau Kicks 2025 commence à 27 199 $ dans le cas du modèle S à motricité avant, tandis qu’un SV à traction et une SR Premium à traction intégrale commandent respectivement à 28 749 $ et 34 899 $. Autrement dit, en privilégiant un Kicks Play de base à un Kicks 2025 également d’entrée de gamme, le consommateur épargne illico 4 601$. Ce n’est pas négligeable.

En connaissance de cause

Bien entendu, en choisissant l’ancienne mouture au lieu de la récente, le conducteur sera conscient qu’il n’obtiendra pas le contenu 2025. Pas de 4 cylindres 2,0 litres de 141 chevaux et 140 lb-pi de couple. Plutôt le 1,6L et ses 122 chevaux et son couple de 114 lb-pi. Pas de nouvelle plateforme CMF-B qui permet au Kicks 2025 d’offrir un peu plus d’espace intérieur grâce à un gabarit accru et pas de nouvelle garde au sol relevée à 8,4 po (vs 7 po pour le Kicks Play). Pas de toit panoramique optionnel non plus ou de ProPILOT Assist ou d’écran tactile de 12,3 po ou d’Apple CarPlay et d’Android Auto sans fil ou de sono Bose à 10 haut-parleurs. Et, surtout, pas de traction intégrale intelligente, on garde les roues motrices avant.

Penser pour être économique

Le Play se limite à la motricité avant pour le consommateur qui n’est pas chaud à l’idée de défrayer les 2 000$ nécessaires pour passer à la traction intégrale (standard chez le Kicks SR Premium 2025). Cette I-AWD envoie la motricité aux roues arrière (jusqu’à 50%) quand le conducteur accélère franchement. Un nouveau système à couplage direct entre en action qui prodigue une traction aux quatre roues de façon plus instantanée que ne le permettait le regretté Qashqai. Qui plus est, l’I-AWD ajoute un mode Neige aux programmes de conduite.

Cela dit, le client du Kicks Play ne se retrouve pas à pied.

Un équipement adéquat

Le bouclier de sécurité (le « Safety Shield 360 » qui s’occupe de la détection des piétons, du maintien de la voie, des angles morts, etc.), le régulateur de vitesse (régulier), l’écran tactile de 7 po avec Apple CarPlay et Android Auto (mais avec fil), les trois ports USB et les roues de 16 po (comme d’ailleurs le Kicks 2025 de base) font tous partie de la version S du Kicks Play, entre autres accessoires. Passez au SV et, notamment, les roues grimpent à 17 po, des disques se substituent aux tambours à l’arrière, l’écran s’accroît d’un pouce, le régulateur devient intelligent, un autre port USB de type C s’invite à bord, tandis que sièges avant et volant sont chauffants. Au point de vue de l’espace cargo, le 2025 fait légèrement mieux que le 2024 : 849,5 litres avec les dossiers relevés de la banquette 60/40 et 1 699,6 L quand on les couche, soit un gain de quelque 133 litres. Côté appétit en essence régulière, le Play affiche une cote combinée ville/autoroute de 7,2 L/100 km, alors que son successeur, plus lourd et plus puissant, s’en tire avec une moyenne identique. La transmission CVT Xtronic, modernisée pour le 2025 afin d’améliorer l’économie d’essence et les performances, continue à se plaindre dans les attaques pentues, peu importe la génération.

Simplicité volontaire

Le Play fait confiance à une poutre torsadée à l’arrière alors que les variantes AWD du Kicks 2025 gâtent les occupants avec une nouvelle suspension arrière à multi-bras. Dans l’ensemble, le comportement du nouveau Kicks est moins rêche et plus silencieux à bord. Cela dit, malgré ces différences, le Kicks Play, toujours construit à l’usine d’Aguascalientes au Mexique où on assemble aussi le 2025, continue de très bien se vendre. Pourquoi laisser tomber un véhicule qui continue de charmer ? « Le Play devrait constituer de 30% à 40% de nos ventes totales de Kicks au terme de l’année 2025 », est allé jusqu’à prédire Trevor Longley, le nouveau président de Nissan Canada. En revanche, le grand patron n’a pas voulu dévoiler si la stratégie du Play allait s’étendre sur plusieurs années, ni même si elle serait exclusive au Canada.

Pour le moment, aux consommateurs de choisir !

Le texte Nissan Kicks Play provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le fournisseur chinois de batteries CATL a récemment dévoilé sa nouvelle technologie révolutionnaire, appelée « batterie super hybride ». Cette innovation promet aux véhicules hybrides rechargeables (PHEV) une autonomie électrique qui surpasse même celle de plusieurs véhicules entièrement électriques d’entrée de gamme. Baptisée officiellement Freevoy, cette batterie prétend résoudre la plupart des problèmes que rencontrent les batteries actuelles, sans recourir à la technologie à électrolyte solide – une solution que CATL considère comme moins viable qu’on pourrait le croire.

Une semaine d’autonomie avec une seule charge

Sans révéler la capacité exacte de la batterie Freevoy, CATL affirme qu’elle permettra aux PHEV et aux véhicules électriques à prolongateur d’autonomie (EREV) – tels que les Scout Motors Traveler Harvester et le Ram 1500 Ramcharger – de parcourir jusqu’à 400 km en mode électrique. Ce serait suffisant pour offrir une semaine de conduite avec une seule charge. CATL promet également des vitesses de recharge impressionnantes (jusqu’à 280 km en seulement 10 minutes de recharge) et des performances exceptionnelles par temps froid, permettant une expérience de conduite « fluide » même à des températures aussi basses que -20 °C . À titre de comparaison, les véhicules électriques d’entrée de gamme comme la Fiat 500e aux États-Unis offrent une autonomie de 227 km, tandis que la Mini Electric Hardtop plafonne à 177 km.

Les secrets de la « batterie super hybride »

La batterie Freevoy s’attaque à trois enjeux majeurs souvent associés aux véhicules hybrides rechargeables et EREV :

  • Autonomie limitée
  • Recharge lente
  • Performance réduite en basse température

Pour y parvenir, CATL utilise une technologie de modification de surface sur la cathode de la batterie, associée à une formulation d’électrolyte haute tension qui crée une couche protectrice nanométrique. En des termes plus simples, cette technique empêche les réactions indésirables, qui gaspilleraient de l’énergie, rendant la batterie plus efficace tant en charge qu’en décharge.

CATL combine également le meilleur de la technologie lithium-ion avec celle du sodium-ion, en reliant les cellules en série et en parallèle pour optimiser les performances dans divers scénarios. Ce n’est cependant pas uniquement une question de matériel. Le modèle de précision en « pleine scène » du SOC (State of Charge) de CATL, ainsi que son algorithme BMS (Battery Management System), augmentent la précision de la gestion de la batterie jusqu’à 40 %. Grâce à des algorithmes prédictifs, les performances du véhicule sont également améliorées de 20 %, permettant de prévoir plus précisément les caractéristiques de charge et de décharge.

Vitesse de recharge au niveau des meilleurs véhicules électriques

Avec sa technologie de recharge ultra-rapide 4C, CATL prétend que la batterie Freevoy peut atteindre des vitesses de recharge similaires à celles des véhicules électriques les plus performants du marché. Le taux annoncé de 280 km en seulement 10 minutes est comparable aux vitesses de recharge de la Hyundai Ioniq 5 et de l’Audi RS e-tron GT, et se classe juste derrière des modèles haut de gamme comme la Lucid Air et la Rimac Nevera.

Performance en basse température : la technologie sodium-ion à l’honneur

En ce qui concerne les performances à basse température, la technologie sodium-ion utilisée dans la batterie Freevoy permet une décharge efficace à des températures aussi basses que -40 °C (-40 °F), une charge jusqu’à -30 °C (-22 °F) et aucun impact négatif sur la performance jusqu’à -20 °C (-4 °F). L’autonomie de conduite par temps froid serait améliorée de 5 %.

L’avenir de la batterie Freevoy : un lancement prioritaire en Chine

CATL contrôle près de 40 % du marché mondial des batteries pour véhicules électriques et travaille avec des grands noms de l’industrie comme Tesla, BMW, Ford et VW. Cependant, pour l’instant, aucune de ces marques ne profitera de la technologie Freevoy. CATL a annoncé qu’à partir de 2025, une trentaine de modèles hybrides de marques chinoises telles que Geely et Chery intégreront cette technologie. Sera-t-elle accessible à d’autres marques mondiales? Probablement, mais la législation américaine actuelle désincite l’utilisation de batteries chinoises, rendant improbable un lancement aux États-Unis dans un avenir proche. Cela dit, Ford prévoit construire une usine de batteries au Michigan en partenariat avec CATL, ce qui pourrait rendre cette technologie plus accessible en sol américain.

Le texte CATL propose une super batterie pour véhicules hybrides branchables provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Si vous vous reconnaissez dans le Dodge Durango 392 2024, c’est que vous avez probablement un goût prononcé pour le tape-à-l’œil, le bruit de moteur qui fait frissonner, et le mépris total des normes modernes. Oui, ce Dodge, avec un châssis qui remonte à 2011, est taillé pour ceux qui en ont contre le politiquement correct, qui refusent la vague électrique, et qui voient la disparition du V8 comme la fin d’un monde. Il n’y a rien de discret dans ce VUS : c’est un monstre qui vous crie qu’il est le dernier des Mohicans, un des derniers à refuser de rentrer dans le moule.

Le rugissement des ancêtres

C’est ici que le Durango 392 montre son vrai visage, sa vraie nature. Avec un V8 HEMI de 6,4 litres crachant 475 chevaux et 470 lb-pi de couple, il atteint le 0 à 100 km/h en 4,7 secondes. Oui, un VUS de deux tonnes et demie qui vous colle au siège comme une muscle car. Le HEMI n’est pas là pour être subtil : il rugit, il consomme du gaz comme un V8 d’une autre époque, et chaque accélération est un acte de résistance. Tant qu’à faire, autant laisser la fenêtre entrouverte pour que le monde entier sache que vous arrivez. Ici, on ne parle pas de souci de l’environnement ni de consommation; ici, c’est du plaisir pur, sans filtre, le tout saupoudré d’une bonne dose de défiance.

Le luxe guerrier

À l’intérieur, Dodge a habillé le Durango pour le guerrier moderne, un peu comme si un vieux VUS s’était soudainement retrouvé dans un club de golf privé. Des sièges en cuir perforé, une sellerie avec surpiqûres qui se veut un rappel des vrais sportives américaines. Le système Harman Kardon avec 19 haut-parleurs vous plonge dans une ambiance qui rend chaque balade épique. Côté design, c’est du Dodge pur : costaud, sans trop de fioritures, mais assez chic pour que vous n’ayez pas à vous excuser d’être un rebelle en quête de confort.

Entre tradition et technologie

Ici, pas de gadgets inutiles; le Durango 392 préfère les commandes intuitives, ce qui peut déplaire aux amateurs de high-tech. L’écran tactile de 10,1 pouces fait le boulot – Apple CarPlay et Android Auto sont de la partie – mais sans impressionner. Les options de connectivité sont basiques, le système de navigation est fonctionnel sans être particulièrement excitant, mais possède le mérite d’être intuitif et il n’a pas d’assistances ultra-modernes qui te coupent le plaisir de conduire. En somme, la technologie est là, mais juste assez pour te permettre de rester concentré sur l’essentiel : le moteur et la route.

Le choix de votre sauvagerie

Avec ses multiples modes de conduite (eco, auto, sport et Track), le Durango vous permet de choisir à quel point vous voulez jouer les matamores sur la route. En mode Auto, il se fait presque docile, parfait pour les trajets quotidiens, bien que le moteur reste toujours prêt à rugir. Mais là où le Durango prend vie, c’est en mode Sport ou Track. En mode Sport, il raffermit la suspension, ajuste la réponse de la pédale et met le moteur à la limite de son tempérament explosif. En mode Track, la bête se libère complètement : vous ressentez chaque pulsation du moteur et chaque vrombissement du HEMI. Pour ceux qui veulent dompter la bête, il y a même un mode Tow pour traîner des charges de plus de 8 700 lb, histoire de rappeler que ce VUS est là pour tout faire.

Une montagne qui impose sa voie

Ce VUS, c’est un peu comme un vieux chêne qui n’a jamais courbé sous le vent : il est là, massif, et il te tient solidement sur la route. À 2 500 kg, il est évident que le Durango 392 n’est pas le plus agile dans les courbes, mais sa direction est précise et son comportement en ligne droite est inébranlable. La suspension adaptative gère assez bien les imperfections de la route et les pneus de 20 pouces Pireilli se charge de garder la bête dans le droit chemin, sans jamais vraiment masquer le poids de l’engin. Ce n’est pas un danseur de ballet, mais un roc imposant qui offre une stabilité à toute épreuve.

L’appel de la nostalgie

Le Dodge Durango 392 2024, c’est comme un dernier hommage aux guerriers de la route, une ode à ceux qui refusent le changement pour rester fidèles aux racines de la vraie conduite. Ce n’est pas un véhicule parfait; il est lourd, gourmand en essence, et ne suit pas la cadence des systèmes ultra-modernes. Mais pour ceux qui n’ont pas envie de se plier aux tendances et qui veulent sentir la force brute d’un V8, il est un véritable compagnon d’aventure, presque mythique, en voie de disparition.

À la fin, le Durango 392, c’est le chant du dernier Mohican, l’ultime défiance envers un monde qui se tourne vers l’électrique. Pour ceux qui veulent laisser une empreinte audacieuse sur l’asphalte, ce Dodge n’est pas qu’un VUS; c’est une expérience, une déclaration, et peut-être la dernière fois où l’on pourra vivre ça avant que l’histoire ne tire le rideau. Il faudra mettre plus de 100 000 $ sur la table pour une expérience qui vous transporte ailleurs dans le temps

Forces

  • L’interface technologique à écran tactile est facile à utiliser
  • Les puissants V8 offrent une excellente capacité de remorquage et une accélération rapide.

Faiblesses

  • Il boit comme un trou
  • Une certaine lacune en technologie à ce prix
  • Un châssis d’une autre époque

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