Volkswagen révolutionne l’expérience utilisateur avec l’ajout de ChatGPT à ses véhicules. Cette technologie innovante est désormais disponible sur plusieurs modèles, promettant d’améliorer considérablement l’interaction avec les véhicules.

ChatGPT débarque dans les nouveaux modèles de Volkswagen

Volkswagen a récemment annoncé l’intégration de ChatGPT dans plusieurs de ses nouveaux véhicules. Parmi les modèles supportés, on retrouve la Golf, le Tiguan, la Passat, ainsi que tous les véhicules de la famille ID. Cette nouveauté marque une avancée significative pour la marque, qui travaille depuis plusieurs mois sur cette intégration.

Un assistant vocal plus intelligent et plus polyvalent

ChatGPT ne remplace pas l’assistant vocal IDA, mais le complète en offrant une capacité à répondre à une variété de questions. Contrairement à d’autres systèmes, il permet une interaction en langage naturel, ce qui signifie que les utilisateurs peuvent poser des questions comme s’ils parlaient à une personne.

Une technologie accessible et pratique

Pour utiliser ChatGPT, il suffit d’activer l’assistant vocal IDA en disant “Hello IDA” ou en appuyant sur un bouton du volant. Aucune nouvelle application ni création de compte n’est nécessaire. Cependant, la fonctionnalité est actuellement disponible uniquement en quelques langues, notamment l’anglais (US et UK), l’espagnol, le tchèque et l’allemand.

Des fonctionnalités étendues

L’assistant vocal IDA permet déjà de contrôler diverses fonctionnalités comme le système de climatisation et la navigation. Avec ChatGPT, les possibilités s’étendent encore. Par exemple, les conducteurs peuvent demander des informations sur des attractions touristiques ou connaître les résultats sportifs de la veille. Il peut même aider les enfants à résoudre des problèmes de mathématiques, offrant ainsi un service polyvalent et utile au quotidien.

Respect de la vie privée et sécurité des données

Volkswagen assure que la sécurité et la confidentialité des utilisateurs sont une priorité. À aucun moment, ChatGPT n’accède aux données du véhicule, et les informations envoyées à ChatGPT le sont de manière anonyme. Si une question ne peut être résolue par le système Volkswagen, les informations sont transmises à ChatGPT, puis immédiatement supprimées après obtention de la réponse, garantissant ainsi la protection des données personnelles.

Conclusion

Kai Grünitz, de Volkswagen, a déclaré : « Volkswagen a une longue tradition de démocratisation des technologies. En intégrant de manière transparente ChatGPT dans l’assistant vocal, nous offrons maintenant aux conducteurs la possibilité d’utiliser cette intelligence artificielle au quotidien, soulignant ainsi l’innovation de nos produits. »

Avec cette intégration, Volkswagen continue de se positionner à la pointe de l’innovation technologique, rendant la conduite plus intuitive et connectée. Les propriétaires de véhicules équipés de ChatGPT peuvent ainsi s’attendre à une expérience de conduite améliorée et plus interactive.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte Chat GPT s’invite chez Volkswagen provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

BMW a annulé une commande de 2 milliards d’euros pour des cellules de batterie de véhicules électriques auprès du fabricant suédois Northvolt, quatre ans après l’annonce de l’accord. Après cette annulation, BMW se tournera vers la société sud-coréenne Samsung SDI pour répondre à ses besoins en batteries.

  • Commande annulée : BMW devait commencer à recevoir des batteries de Northvolt cette année.

  • Fourniture maintenue pour la Neue Klasse : Northvolt continuera néanmoins à fournir des cellules de batterie pour les véhicules électriques de la gamme Neue Klasse de BMW.

  • Origine de Northvolt : Le fabricant suédois de batteries a été fondé en 2016 par deux anciens cadres de Tesla.

BMW et Northvolt : Un contrat annulé pour des raisons de retards

En juillet 2020, BMW avait signé un contrat d’approvisionnement avec Northvolt, espérant recevoir les premières cellules de batterie cette année. Cependant, Northvolt n’a pas été en mesure de remplir ses obligations en raison de difficultés à augmenter la production en série. La société suédoise accuse un retard de deux ans et produit trop de déchets, ce qui a conduit à l’annulation de la commande.

Énergie renouvelable et nouvelles collaborations

Les cellules fournies par Northvolt devaient être fabriquées à 100 % à partir d’énergie renouvelable, notamment de l’énergie éolienne et hydroélectrique. Selon Handelsblatt, BMW a récemment annulé la commande et s’adressera désormais à Samsung SDI pour fournir les cellules de batterie nécessaires à ses véhicules électriques actuels.

Malgré cette annulation, BMW maintient son contrat avec Northvolt pour la fourniture de cellules de batterie de nouvelle génération destinées aux véhicules basés sur la Neue Klasse. “Northvolt et le groupe BMW ont décidé conjointement de concentrer les activités de Northvolt sur l’objectif de développer des cellules de batterie de nouvelle génération”, a déclaré un porte-parole de BMW. “Le groupe BMW continue de s’intéresser fortement à l’établissement d’un fabricant performant de cellules de batterie circulaires et durables en Europe.”

Northvolt : Une entreprise ambitieuse en pleine expansion

Fondée en 2016 par deux anciens cadres de Tesla, Northvolt a levé 5 milliards de dollars en janvier pour agrandir ses installations en Suède et permettre le recyclage des batteries. En mars, l’entreprise a également entamé la construction d’une nouvelle gigafactory en Allemagne, à Heide, et envisage d’ouvrir une nouvelle usine à Borlänge, en Suède.

L’avenir de la Neue Klasse de BMW

La gamme de véhicules électriques Neue Klasse de BMW débutera avec une version de production de l’iX3 fin 2025. Cette gamme comprendra également une berline électrique de taille similaire à l’actuelle Série 3, ainsi qu’un modèle coupé appelé iX4 et un break prévu pour 2027. Un remplaçant de l’actuel iX2 fera également partie de la famille Neue Klasse.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte BMW annule un contrat de 2 milliards d’euros avec Northvolt en Europe provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

CDK Global a averti ses clients que la cyberattaque débutée le 19 juin paralysera son système de gestion des concessions automobiles (DMS) “probablement pendant plusieurs jours”. Après avoir résolu partiellement les problèmes initiaux, CDK Global a dû fermer de nouveau son système DMS en raison d’une nouvelle attaque survenue tard dans la nuit du 19 juin.

Nouvelle Cyberattaque en Pleine Nuit

N’essayez pas d’accéder au DMS tant que nous ne pouvons pas confirmer que le système est sécurisé. Les services de vente en ligne et les lignes téléphoniques de CDK restent fonctionnels. À ce stade, nous n’avons pas de délai estimé pour la résolution et, par conséquent, les systèmes de nos concessionnaires ne seront probablement pas disponibles pendant plusieurs jours.”

Un Impact Profond sur les Transactions de Véhicules

La fermeture du DMS par CDK menace de perturber des milliers de transactions de véhicules neufs chaque jour à travers le secteur de la vente automobile en Amérique du Nord, en plein cœur des promotions estivales et de la poussée intense de l’industrie pour éviter l’accumulation de stocks sur les lots des concessionnaires. De plus, cette cyberattaque a soulevé des inquiétudes concernant la sécurité dans le domaine des systèmes de gestion de concessions, après que d’autres cyberattaques aient perturbé les opérations dans les casinos, les institutions financières et les hôpitaux.

Un Leader du DMS Sous Pression

Le DMS de CDK dessert près de 15 000 concessions, selon son site web, un chiffre qui grimpe à 30 000 lorsqu’on inclut les camions. Maintenant une entreprise privée, les analystes estiment que CDK domine largement le marché. CDK a déclaré avoir mis hors ligne la plupart de ses systèmes par précaution.

Répercussions Potentielles pour les Franchises de Vente au Détail de Véhicules

Selon un nouveau rapport de Seaport Research Partners, l’arrêt du DMS de CDK pourrait avoir des implications importantes pour les franchises de vente au détail de véhicules. Avec certains concessionnaires incapables de faire des affaires ou obligés de revenir à l’utilisation de papier et crayon pour traiter les ventes, d’autres ne peuvent pas effectuer de travaux de service en raison de l’impossibilité de localiser des pièces.

Perte de Vente et de Services

Seaport a déclaré qu’une interruption d’activité telle qu’une cyberattaque entraîne généralement des ventes reportées, mais non perdues. En revanche, l’activité de service est généralement perdue. Cela est d’autant plus vrai en raison de la pénurie de techniciens, les concessionnaires n’ayant pas la capacité de rattraper les services différés. Ford Motor Co., dans une déclaration faite le 20 juin, a exhorté ses clients à travailler avec leurs concessions sur des “processus alternatifs” pendant la panne.

Effets sur d’Autres Fournisseurs de DMS

Tekion, un autre grand fournisseur de DMS aux États-Unis, n’est pas affecté par les arrêts, a indiqué un porte-parole de l’entreprise à Automotive News par e-mail. En même temps, Tekion a désactivé toutes les intégrations avec CDK par précaution, selon Chase Fraser, fondateur et associé directeur de l’investisseur Tekion, FM Capital. Reynolds and Reynolds Inc., un autre fournisseur clé de DMS et concurrent de CDK, a déclaré que l’entreprise continue de prêter une attention particulière à la cybersécurité, surtout après les dernières attaques.

Chaos du 19 juin

La première cyberattaque sur CDK a provoqué le chaos dans le secteur de la vente au détail de véhicules aux États-Unis et au Canada le 19 juin. Les attaques contre CDK surviennent un peu plus d’une semaine après que Findlay Automotive Group ait été touché par une cyberattaque qui a perturbé certaines de ses opérations de vente et de service pendant plusieurs jours.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Cyberattaque sur les concessionnaires automobiles au Canada et aux États-Unis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

BMW prépare l’arrivée de ses nouveaux modèles électriques, les i1 et i2, pour la fin de la décennie. Selon des sources internes, ces véhicules sont en cours de développement au centre de recherche FIZ de Munich et seront lancés parallèlement aux versions mises à jour des modèles actuels à moteur à combustion de la Série 1 et de la Série 2.

Une Gamme Électrique Plus Abordable

Les modèles i1 et i2 ont pour objectif de fournir des alternatives plus abordables dans la gamme électrique de BMW, actuellement dominée par le SUV iX1, dont le prix démarre à 46 205 £ (80 000$). Le futur i1 sera disponible en version berline ou hatchback, tandis que l’i2, un VUS compact, proposera également une variante coupé. L’i2 est décrite par les initiés comme l’héritière spirituelle de l’i3, la première voiture électrique de BMW, lancée en 2013 et retirée du marché en 2022.

BMW Maintient Son Engagement Vers la Série 1

Contrairement à son concurrent Mercedes-Benz, qui prévoit d’abandonner la Classe A en 2026, BMW continue de croire en la pertinence de la Série 1 et ses dérivés. Bernd Körber, responsable produit chez BMW, a récemment déclaré à Autocar que la marque souhaite se développer sur tous les marchés et se connecter avec la jeune génération. Il a ajouté que des modèles d’entrée de gamme comme la Série 1 et la Série 2 jouent un rôle crucial dans cette stratégie, malgré leur faible rentabilité, car ils permettent d’attirer de nouveaux clients et de renforcer la présence de BMW sur certains marchés.

Lancement Prévu pour 2027 et 2028

Le lancement de l’i1 est prévu pour 2027, suivi de l’i2 en 2028. Ces deux nouveaux véhicules compacts seront basés sur la plateforme NBx, qui supporte une architecture électrique de 800V et permet des configurations à traction avant ou à quatre roues motrices. Cette plateforme est une des variantes de la nouvelle architecture Neue Klasse, qui comprend également les plateformes NAx pour les modèles de luxe et ZAx pour les futures voitures de sport électriques de la division M de BMW.

Nouvelle Architecture et Nouvelles Batteries

Les nouveaux modèles reposeront sur la gamme Neue Klasse, qui sera lancée en 2025 et introduira six nouveaux véhicules dans les 24 mois suivants. Cette architecture sera équipée de nouvelles batteries cylindriques de sixième génération, avec une chimie cellulaire révisée pour des performances améliorées. Körber a précisé que la Neue Klasse ne sera pas une marque destinée aux consommateurs et que les modèles conserveront leurs noms traditionnels, tels que Série 3 et X3. La gamme inclura également un nouveau thème de design appliqué à tous les futurs modèles BMW, garantissant une uniformité visuelle et fonctionnelle à travers le portfolio de la marque.

Des Modèles Prêts pour la Production

Les premiers prototypes de la Neue Klasse sont déjà en cours de production. Körber a déclaré que les premiers modèles de pré-série ont été construits et testés, confirmant l’engagement de BMW vers une transformation rapide de sa gamme, afin de répondre aux défis de l’avenir avec une vision unifiée.

Avec des renseignements d’Autocar

Le texte BMW donne le feu vert pour une série de voitures compactes électriques provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ça fait presque deux ans qu’on entend parler de la prochaine version d’Apple CarPlay, et ça c’est poursuivi la semaine dernière dans le cadre de la conférence annuelle WWDC d’Apple. Mais ce coup-ci, ce qu’on a entendu est un peu plus concret, et ça s’en vient vite.

D’abord, la prochaine version d’Apple CarPlay sera sa troisième grande évolution. Elle sera adoptée en premier par les marques Porsche et Aston Martin, ce qui en limitera la disponibilité quand même pas mal, mais à peu près toutes les autres grandes marques suivront dans les mois suivant cette première mise en service, qui devrait se produire cet automne.

Dans la foulée, on a appris qu’Apple CarPlay 3.0 se jumellera au système multimédia des véhicules compatibles par Bluetooth et WiFi, plutôt que par USB. En fait, la nouvelle version de l’interface d’Apple fonctionnera exclusivement en mode sans fil. Espérons que les gens qui utilisent actuellement CarPlay à bord d’un véhicule qui nécessite une connexion USB pour que ça fonctionne ne seront pas laissés pour compte.

Mais avec Apple, c’est le genre de choses qui pourrait se produire. On a déjà vu ça dans le passé.

Quant à l’interface elle-même, ses nouveautés sont assez ambitieuses. CarPlay sort du système multimédia pour prendre possession des cadrans derrière le volant. Tous les cadrans pourront être personnalisés, ce qui plaira sans doute aux plus jeunes conducteurs habitués à ce genre de fonctions permises par leur téléphone.

Mais intégrer tout ça ensemble aidera Apple à offrir une meilleure intégration des applications de navigation routière et de lecture musicale. Évidemment, il y aura toujours l’option d’utiliser l’interface par défaut du véhicule, mais on connaît la difficulté qu’ont les constructeurs à créer des systèmes multimédias agréables à utiliser, alors on imagine qu’Apple CarPlay a probablement de bonnes chances de connaître du succès… le jour où il sera disponible dans des véhicules plus abordables que les Aston Martin…

Le texte Apple CarPlay bientôt uniquement sans fil provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Si vous achetez un véhicule Chrysler, Dodge, Jeep, Fiat ou Alfa Romeo en 2025, il y a des chances que vous soyez parmi les premiers conducteurs à pouvoir tester STLA AutoDrive, la conduite autonome de niveau 3 du groupe franco-italo-américain Stellantis.

Le groupe Stellantis a profité d’une journée de conférences destinées aux investisseurs pour présenter trois nouvelles technologies qui vont débarquer dans ses véhicules neufs à partir de 2025 : STLA AutoDrive, STLA Brain et STLA Smart Cockpit.

Des trois, c’est probablement STLA AutoDrive qui est le plus intrigant. Stellantis promet une conduite autonome de niveau 3, ce qui permettra au conducteur de ne pas porter attention à la route, tandis que le véhicule prend les décisions qu’il faut pour se rendre à destination. Précisons que ce système risque de ne fonctionner que dans des circonstances très précises et à des endroits probablement clairement définis. Il remplace l’ancien système d’aide avancé à la conduite lancé l’an dernier et qui n’a même pas duré un an.

La conduite de niveau 3, on le sait, attribue au constructeur la responsabilité du comportement du véhicule. S’il y a un accident alors que le système est engagé, ce sera la faute à Stellantis. Avec AutoDrive, Stellantis va dépasser GM, Ford et les autres constructeurs dans la course au véhicule autonome.

Le STLA Brain est l’ordinateur de bord qui permettra à STLA AutoDrive de fonctionner. C’est ce système auquel se connecteront les capteurs, les caméras, les antennes, bref, tout ce qui permet à la voiture d’automatiser certaines de ses fonctions. Le STLA Brain réduirait de moitié le nombre d’ordinateurs à bord du véhicule, les faisant passer de 120 à 60.

Le STLA Smart Cockpit reposera lui aussi sur le STLA Brain pour personnaliser les réglages du véhicule au goût du conducteur. L’espoir est d’automatiser tout ça, pour que les passagers n’aient rien à faire eux-mêmes, mais que la climatisation, la musique, tout le reste soit paramétré selon qui est derrière le volant. Ça se passera beaucoup par le jumelage d’un téléphone intelligent avec le véhicule.

On a bien hâte de tester tout ça. Stellantis promet que les premiers véhicules dotés de ces trois nouveautés seront produits dès la fin de 2024, et prendront la route tôt en 2025.

Le texte STLA AutoDrive : conduite autonome dès 2025 pour Stellantis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Volvo veut mieux distinguer ses véhicules électriques de ses véhicules à essence, et ça se traduit très simplement : de nouveaux noms apparaissent au catalogue pour identifier les mêmes modèles déjà connus. Le Volvo EX40 est du lot.

Le nouveau modèle est en réalité un XC40 Recharge rebadgé. Volvo parle d’un VUS compact, mais parlons plutôt d’une petite familiale qui a une bonne garde au sol.

Question de goût

Le Volvo EX40 2025, donc, est un petit VUS de format à peu près compact qui possède beaucoup des caractéristiques désirées sur un véhicule électrique. À commencer par un prix de détail pas trop repoussant : le EX40 a suffisamment de style et de confort pour justifier un prix de 62 000 $ environ.

Le Volvo EX40 a un format vertical, typique d’un VUS, mais notez qu’une version coupé appelée EC40 s’ajoutera aussi au catalogue pour 2025. Le duo est comparable dans leur forme aux Polestar 3 et Polestar 4 que la marque Polestar lancera dans les prochains mois.

Là, c’est une question de goûts, car il y en a qui vont préférer une familiale à un VUS, mais si on se fie aux indicateurs du marché automobile canadien, l’EX40 a peut-être un format un peu plus près de satisfaire les besoins d’une majorité d’acheteurs.

Mécanique sensée

Cela dit, les deux véhicules ont ce qu’il faut pour plaire. Leur design est assez typique de Volvo, on va s’entendre là-dessus. La mécanique est bien ficelée. La puissance est plus que suffisante, culminant à 402 chevaux, avec un chrono au 0-100 km/h qui se situe à 4,9 secondes. Vous embarquez sur l’autoroute comme un chef que vous conduisiez un Volvo EX40 à un ou à deux moteurs…

L’autonomie annoncée varie autour des 350 kilomètres. C’est très correct. C’est dans la moyenne de ce qu’on obtient dans le marché des véhicules électriques de plus ou moins 60 000 $.

Bonne conduite

La conduite est superbe, même si on est loin d’un véhicule de course. Mais on prend place à bord et le véhicule reconnaît la présence de la clé dans sa poche. Pas besoin d’allumer le moteur, ça se fait tout seul. Le poids du véhicule est très bien pris en charge par la suspension. Et les freins, quand on a vraiment besoin de freiner, sont capables d’en prendre.

Le reste du temps, on peut paramétrer le véhicule pour ne conduire qu’à une pédale, ce qui a tendance à calmer les esprits, chez ceux qui ont habituellement le pied pesant.

À l’arrière, l’EX40 offre la place pour trois grands ados. Son coffre a un volume utile de 452 litres, ce qui passe à 1328 litres quand on rabat la banquette. On a aussi un espace à l’avant pour l’équivalent d’une poche de hockey. Et, oui, ça peut être une poche bleue…

Android Automotive

Côté divertissement, Volvo est un des premiers constructeurs à avoir intégré le système multimédia de Google dans ses véhicules. Vous profitez donc en plus d’un système connecté aux services Google sans avoir à jumeler votre téléphone. Volvo offre quatre ans de connexion cellulaire embarquée à l’achat d’un véhicule neuf, et Google promet plus d’applications de divertissement plus tard en 2025.

Pour les amateurs de techno, c’est le comble du bonheur. Même si ça bogue, des fois : il a fallu forcer le redémarrage du système quand il s’est mis à gricher en jouant de la musique par Bluetooth.

Mais bon, c’est un léger détail. L’EX40 est un véhicule électrique qui demereura peut-être discret comme le XC40 Recharge actuel, mais il vaut le coup d’œil. On en voudrait plus, des véhicules comme celui-là.

Le texte Volvo EX40 : nouveau nom, même bon goût provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

  • La marque de luxe italienne mise sur un marché ultra-riche pour sa nouvelle EV.

  • Une nouvelle usine à Maranello pourrait augmenter la production de Ferrari d’un tiers.

La première voiture électrique de Ferrari : un prix à la hauteur des attentes

Ferrari, célèbre pour ses moteurs thermiques rugissants, s’apprête à lancer sa première voiture électrique fin de l’année prochaine, et son prix de départ s’élèvera à 500 000 euros (environ 735 000 $ CAD). Une source proche du dossier a révélé à Reuters que cette tarification ambitieuse démontre la confiance de la marque italienne envers une clientèle ultra-riche, malgré une baisse de la demande qui pousse les concurrents du marché de masse à réduire les prix de leurs véhicules électriques (VE).

Faits saillants :

  • Prix de départ : 500 000 euros (735 000 $ CAD) sans options.
  • Prix moyen actuel d’une Ferrari : environ 350 000 euros avec options.
  • Comparaison : Le Porsche Taycan, une voiture électrique de luxe, commence à environ 100 000 euros.

Une usine pionnière pour une nouvelle ère

Ferrari inaugurera ce vendredi une nouvelle usine à Maranello, en Italie du Nord, dédiée à la production de cette première voiture électrique. Cette installation, surnommée le « e-building », permettra à terme de porter la capacité de production annuelle de Ferrari à environ 20 000 véhicules, contre moins de 14 000 actuellement. Cette expansion, bien que risquée pour le caractère exclusif de la marque, pourrait répondre à une demande croissante pour les Ferrari, notamment dans les marchés émergents comme l’Inde et le Moyen-Orient.

Citation : “Il y a une demande croissante pour les Ferrari, et ils peuvent y répondre en partie sans compromettre l’exclusivité,” a déclaré Fabio Caldato, gestionnaire de portefeuille chez AcomeA SGR, détenteur d’actions Ferrari.

Exclusivité et innovation technologique

L’exclusivité est au cœur de la valeur de la marque Ferrari, ce qui justifie ses prix élevés et les longues listes d’attente pour certains modèles, pouvant dépasser deux ans. La production du nouveau modèle électrique débutera dans trois à quatre mois, avec une ligne d’assemblage supplémentaire pour les voitures à essence et hybrides, ainsi que pour les composants des véhicules hybrides et électriques.

Un deuxième modèle électrique en préparation

Un deuxième modèle électrique est également en développement, bien que la société ne prévoit pas d’augmenter immédiatement la production annuelle à 20 000 véhicules. Benedetto Vigna, PDG de Ferrari, a assuré les actionnaires que la nouvelle usine offrirait flexibilité et capacité technique pour répondre aux besoins de l’entreprise pour les années à venir.

Stratégie : Ferrari maintiendra sa politique de limitation de la production pour chaque modèle, même en cas de succès, afin de préserver l’exclusivité.

Comparaison avec la concurrence

Lamborghini, un concurrent direct, prévoit de lancer son premier modèle électrique en 2028. Son PDG, Stephan Winkelmann, a déclaré qu’il est plus important d’avoir le bon produit que d’être le premier sur le marché. Andrea Balloni, analyste chez Mediobanca, a prédit que la nouvelle VE de Ferrari serait un modèle de niche, représentant un peu plus de 10 % des ventes annuelles, et a souligné que la clientèle principale de Ferrari reste attachée aux moteurs thermiques.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte Ferrari lance sa première voiture électrique à plus de 735 000 $ provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

  • Une nouvelle vague de rappels chez Stellantis suite à des problèmes de caméra de recul.

  • 1,16 million de véhicules concernés par une défaillance logicielle.

Stellantis annonce un rappel massif pour des défauts de caméra de recul

Stellantis, le géant de l’automobile, fait face à un rappel majeur impliquant 1,16 million de véhicules. Cette annonce intervient après une série de rappels antérieurs, notamment pour des problèmes de roues sur les Jeep, de phares automatiques défectueux, et de systèmes ABS défaillants sur les camions Dodge et Ram.

Selon la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) aux États-Unis, le problème réside dans un logiciel défectueux qui empêche l’affichage correct des images des caméras de recul. Cette défaillance est non seulement gênante pour les conducteurs qui comptent sur ces caméras pour se garer, mais elle est aussi illégale selon les normes fédérales de sécurité des véhicules motorisés (FMVSS).

Faits saillants :

  • Nombre total de véhicules rappelés : 1,16 million.
  • Problème identifié : caméra de recul inopérante en raison d’un bug logiciel.
  • Mise à jour logicielle : déjà effectuée sur plus de 735 000 véhicules.

Modèles et années concernées

Les modèles affectés par ce rappel couvrent une large gamme de véhicules Stellantis, notamment :

  • Chrysler Pacifica : années modèles 2021–2023.
  • Dodge Durango : années modèles 2021 et 2022.
  • Jeep Compass, Wagoneer et Grand Wagoneer : années modèles 2022–2023.
  • Jeep Grand Cherokee : années modèles 2021–2023.
  • Ram : modèles 1500, 2500 et 3500 de l’année 2022, ainsi que les fourgonnettes Promaster des années modèles 2022–2023.

Une mise à jour logicielle pour résoudre le problème

Heureusement pour les propriétaires concernés, la mise à jour du logiciel de la caméra de recul peut être effectuée à distance. Stellantis a indiqué que plus de 735 000 véhicules ont déjà reçu cette mise à jour via une notification sur l’écran d’infodivertissement du véhicule.

Un rappel supplémentaire pour un problème matériel

Dans une annonce distincte, Stellantis a rappelé un seul modèle Ram 1500 Classic de 2022 en raison d’un problème matériel affectant la caméra de recul. Ce véhicule présente un faisceau de câblage défectueux pouvant provoquer un court-circuit, empêchant ainsi l’affichage des images de la caméra de recul.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte Rappel de 1,16 million de modèles Jeep, Chrysler, Dodge et Ram pour défaillance de la caméra de recul provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le Honda HR-V s’est pointé sur notre marché pour l’année 2016. Ce petit VUS, basé sur la pratique sous-compacte Fit, s’est rapidement taillé une place de choix sur le marché en raison de son format, mais surtout de son aménagement intérieur qui permettrait de pratiquement faire disparaître la banquette arrière pour décupler l’espace de chargement.

On parlait alors de la technologie Magic Seat de Honda.

Oh, le modèle n’était pas une machine de guerre conçue pour nous livrer des sensations, mais il était très efficace. Et, surtout, il se vendait à un prix fort raisonnable. À l’achat de ce véhicule, la clientèle avait vraiment l’impression qu’elle en avait pour son argent.

La génération actuelle

Puis, la refonte de 2023 est venue nous donner un HR-V conçu pour les Nord-Américains. L’utilitaire a pris du volume, sans pour autant offrir plus d’espace de chargement, ce qui a représenté une déception. On profitait de 1665 litres derrière la première rangée avec l’ancienne mouture, alors que la capacité est à 1559 litres avec la nouvelle.

La qualité a pris du galon, ce qui est perceptible en jetant à un coup d’œil à la présentation, mais aussi en laissant ses doigts effleurer les surfaces intérieures. Le confort des sièges est supérieur et la douceur de roulement prouve qu’on a fait un excellent travail avec le châssis, qui est désormais partagé avec la Civic ; ça fait toute la différence.

D’ailleurs, le petit utilitaire hérite d’un des moteurs de la Civic, le 4-cylindres de 2,0 litres des versions de base, un bloc qui propose 158 chevaux et 138 livres-pieds de couple. C’est correct, sans plus. En fait, ce qui est décevant, c’est que Honda ne propose pas le 4-cylindres turbo de 1,5 litre ; voilà qui animerait la conduite du HR-V.

Au volant

Car, pour être bien franc, ce n’est rien de trop excitant, surtout que la transmission à variation continue (CVT) vient distiller toute notion de plaisir. Pour les déplacements urbains, ça va, mais ce moteur manque de souffle sur la grande route, surtout lorsqu’on doit s’intégrer à la circulation sur une bretelle d’autoroute, grimper une colline ou encore effectuer un dépassement.

En revanche, sur une route sinueuse, on découvre un modèle qui est capable d’en prendre. Encore là, le châssis de la Civic lui est fort utile.

Et, parce qu’on est ici en présence d’organes mécaniques fiables, et qu’on loge chez Honda, la fiabilité est au rendez-vous. Il n’y a vraiment rien à craindre avec un HR-V.

Le problème avec ce véhicule, il est ailleurs, ce qui nous amène à poser la question qui tue : est-ce que le Honda HR-V 2024 est un bon achat ?

Versions et prix

L’ancien HR-V était offert à un prix de départ d’environ 20 000 $. Oui, on avait vraiment l’impression qu’on en avait pour notre argent avec ce véhicule. Lors de la refonte, on s’attendait bien sûr à une hausse du prix, mais c’est un coup de masse qu’on a reçu en voyant l’offre.

Désormais, le HR-V se vend à partir de 28 960 $ (29 510 $ pour 2025), avant les frais.

Sérieux ?

Et ça, c’est pour la version de base LX à traction. En grimpant dans la gamme, Honda exige 37 910 $ pour une version EX-L Navi à rouage intégral (le prix sera identique en 2025). Avec les frais, ça vous fait un utilitaire sous-compact à plus de 40 000 $, avant les taxes.

Voyons. Comme mauvaise blague, il est difficile de faire mieux.

Vous me direz que les prix ont grimpé partout. C’est vrai. Cependant, un petit détour chez Kia, par exemple, nous montre que le Seltos est offert à partir de 25 345 $ en configuration de base. C’est plus de 4000 $ de moins que le HR-V.

Et que dire de Chevrolet avec son Trax, proposé à partir de 21 699 $, toujours avant les frais ?

Vous voyez un peu où je veux m’en aller avec ça.

Un bon achat ?

Il est clair que le Honda HR-V est un bon véhicule. Pratique, confortable, fiable, solide sur la route. Ce n’est pas la mer à boire, mais on n’est pas déçu de ce qu’il nous donne.

Cependant, considérant la concurrence et ce qu’on doit payer pour l’obtenir, honnêtement, c’est un pensez-y-bien. Il est difficile de parler d’un mauvais achat en raison de la qualité et de la fiabilité, mais il est possible d’avoir quelque chose de très semblable à coût moindre.

À vous de voir. Je considérerais beaucoup d’autres options avant de sortir le chéquier pour ce modèle.

Le texte Honda HR-V 2024 : est-ce un bon achat ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile