Il semble que la saga des coussins gonflables de Takata ne se terminera jamais. Le plus récent chapitre vient de s’écrire alors que la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) a ordonné à Ford de rappeler pas moins de trois millions de véhicules construits entre 2006 et 2012 pour des problèmes de coussins gonflables côté conducteur qui sont potentiellement défectueux.

Pétition rejetée

La NHTSA a déclaré qu’elle rejetait les pétitions déposées par Ford et Mazda Motor en 2017 visant à éviter le rappel de véhicules avec des coussins potentiellement dangereux. La décision obligera également Mazda à rappeler et à réparer les coussins gonflables des conducteurs dans environ 5 800 véhicules. Le défaut, qui entraîne dans de rares cas la rupture des coussins gonflables et l’envoi de fragments métalliques potentiellement mortels en l’air – en particulier après une exposition prolongée à une forte humidité – a entraîné le plus grand rappel automobile de l’histoire des États-Unis, avec plus de 67 millions de coussins. Dans le monde entier, environ 100 millions de coussins installés par 19 grands constructeurs automobiles ont été rappelés.

Il reste encore 17 millions de modèles non rappelés

Au début de ce mois, la NHTSA a déclaré qu’au moins 17 millions de véhicules équipés de coussins gonflables Takata n’étaient toujours pas réparés. Les coussins Takata ont causé la mort d’au moins 27 personnes dans le monde et 18 aux États-Unis, et plus de 400 blessés ont été signalés, Le rappel s’appliquera à divers véhicules Ford

Peu de noms dans le monde des voitures sport ne résonnent aussi fort que celui de Carroll Shelby. Celui qui a mis au monde la légendaire Cobra aura consacré une grande partie de sa vie à modifier des voitures de production en voitures de performances.

La Cobra de Shelby aux enchères

Une Cobra 427 1965 originale ayant appartenu à Carroll Shelby s’est retrouvée à l’encan Mecum la semaine dernière à Kissimmee, en Floride. Portant le numéro de série CSX3178, la voiture appartenait à Shelby. Bien qu’elle ait été enregistrée comme modèle 1965, elle n’a été construite que l’année suivante. Un bon de travail a été ouvert le 7 janvier 1966 et clôturé le 3 mars, signifiant l’achèvement de la voiture, selon Mecum.

Une fois terminée, la voiture a été expédiée de l’atelier LAX de Shelby American en Californie à la maison de Shelby à Dallas avec le gros bloc V-8 de 427 pouces cubes, deux carburateurs à 4 barils, une boîte de vitesses manuelle à 4 rapports Toploader et des roues Sunburst knockoff. Il a été peint en gris anthracite, l’un des cinq Cobras 427 peints à l’origine dans cette teinte.

Premier changement de propriétaire

En 1972, Mike McCluskey, un spécialiste des Cobras et ami de Shelby, restaure la voiture. Il a notamment changé la couleur en bleu Guardsman avec un nez doré. Plus tard, Shelby a installé un aileron latéral 427 à tête en aluminium et une transmission automatique. En 2002, le magasin américain

Pour la première fois depuis près de 100 ans, le nom de Chrysler n’est plus dans le portrait automobile. En moins de trois décennies, Chrysler vient de passer pour la 3e fois sous le contrôle d’un autre dirigeant. Il y a d’abord eu Daimler-Chrysler qui s’est terminée par un divorce acrimonieux. Ce fur ensuite Fiat qui sorti in extremix Chrysler de la faillite pour ensuite crée FCA ou Fiat Chrysler Automobile et maintenant c’est PSA qui prend les choses en main avec Stellantis.

De belles promesses

Maintenant que le mariage a officiellement été consommé, tout le monde a fait de belles promesses. Les 14 marques seront conservées, toutes les usines vont demeurer ouvertes et personne (ou presque ne va perdre son emploi. Nous savons tous que ces belles promesses vont rapidement s’envoler. Stellantis prévoit d’économiser 7,5 milliards de dollars canadien par année grâce aux plateformes et groupes motopropulseurs communs des deux groupes, à un pouvoir d’achat accru et à des redondances dans les domaines de la vente, du marketing, de la qualité, de la logistique et de la gestion de la chaîne d’approvisionnement.

Un patron reconnu pour ses méthodes extrêmes

Le grand patron de ce nouveau groupe est Carlos Tavares qui dirigeait déjà PSA. Ce Portugais d’origine a la réputation de réduire les coûts, mais aussi d’être un spécialiste du redressement d’entreprises pour sa direction chez PSA depuis 2014. Lorsque PSA a racheté les marques européennes de General Motors Co. en 2017, Opel et Vauxhall étaient

Si vous êtes un passionné d’automobiles, il est fort possible que le nom de Borgward vous dise quelque chose. Autrement, vous vous demandez peut-être de quelle marque de grille-pain ou de machine à café il s’agit.

Dans un cas comme dans l’autre, effectuons un petit retour en arrière pour découvrir une entreprise qui aurait pu connaître la gloire. En fait, elle était très près du but.

Débuts modestes

Les origines de Borgward remontent à 1921. L’allemand Carl F. W. Borgward lance alors l’entreprise Bremer Kuhlerfabrik Borgward & Co. Cette dernière était spécialisée dans les radiateurs automobiles et elle opérait à Brême, en Allemagne.

En 1929, en compagnie d’un partenaire, Wilhelm Tecklenborg, il acquiert la Bremer Hansa Lloyd Werke. Leur nouvelle entreprise développe alors de petits camions et, en 1932, une petite voiture de tourisme à trois roues, la Goliath Pionier. Cette dernière va connaître un beau succès et se montrer rentable.

Cinq ans plus tard, Borgward lance deux voitures à quatre roues, les Hansa 1100 et 1700. Elles ont connu un succès immédiat. À la fin des années 30, Borgward était un joueur important dans l’industrie automobile allemande au même titre qu’Opel ou Wanderer, par exemple.

En 1938, Borgward ouvre une nouvelle usine moderne à Brême, mais il doit rapidement se tourner vers la production de camions et de véhicules militaires au début de la Deuxième Guerre mondiale. En 1944, l’usine de Brême est détruite par les alliées. L’année suivante, Carl Borgward est arrêté

Il est à la mode de faire revivre certains vieux modèles qui ont marqué l’histoire. C’est le cas de la Jaguar C-Type qui a connu beaucoup de succès en course en remportant entre autres les 24 heures du Mans. Une des écuries privées qui prenait le volant de cette voiture emblématique était l’écurie Ecosse qui comme son no l’indique est basée en Écosse.

Faire revivre une légende

Une des plus importantes équipes privées des années 50, l’écurie Écosse se lance dans la production à petite échelle d’une voiture de continuation Jaguar C-Type pour commémorer les voitures qu’elle a courues à cette époque. Connue pour ses peintures bleu vif et son élégant transporteur de voitures de course, l’Ecurie Ecosse a couru sur sept châssis de type C à partir de 1952. Elle a également remporté les 24 heures du Mans en 1956 et 1957 avec le successeur de la C-Type, la D-Type.

Jaguar a depuis ramené la D-Type en tant que voiture de continuation, laissant à Ecurie Ecosse une ouverture pour ressusciter la C-Type. L’équipe prévoit de construire sept nouvelles voitures, une pour chacune des voitures de course d’origine (qui survivent toutes aujourd’hui).

Contrairement aux voitures de continuation construites par Jaguar et d’autres constructeurs automobiles, la C-Type de l’Ecurie Ecosse ne sera pas une reproduction exacte. Elle aura une carrosserie en aluminium de faible épaisseur et un châssis de type « space frame », comme l’original, mais “plus large et plus rigide qu’auparavant”, avec des composants découpés