Avoir 10 000 véhicules autonomes sur ses routes d’ici 2030. Voici le souhait exprimé par le Japon. Le but est de stimuler le déploiement de la technologie développée par les manufacturiers automobiles japonais.

La nouvelle a d’abord été rapportée Nikkei, un média japonais.

Dans le cadre d’une mise à jour du plan de transport national par le ministère du Territoire, des Infrastructures, des Transports et du Tourisme, on apprend que l’objectif du Japon est d’avoir pas moins de 10 000 véhicules autonomes sur les routes du pays d’ici 2030.

Cette initiative répondrait à un besoin actuellement observé au Japon. En effet, un manque de main-d’œuvre rend ardue l’embauche de chauffeurs dans certaines régions du pays.

Un véhicule autonome de la compagnie Waymo
Un véhicule autonome de la compagnie Waymo | Auto123.com

D’abord des véhicules autonomes de niveau 4

On vise d’abord des véhicules autonomes de niveau 4. D’après les critères du gouvernement du Canada, un véhicule autonome de niveau 4 présente une haute automatisation. Le gouvernement canadien estime que « le véhicule équipé du SCA (système de conduite automatisée) exécute tous les aspects de la tâche de conduite dynamique, y compris la surveillance et l’adaptation à l’environnement de conduite, dans des conditions particulières. Le véhicule est conçu pour réagir en toute sécurité, sans intervention humaine, à toutes les situations, y compris lorsqu’il atteint les limites de son environnement de fonctionnement. »

Le plan du Japon s’étendra éventuellement aux véhicules autonomes de niveau 5, soit le degré d’automatisation complète. Ce niveau est caractérisé par « un véhicule équipé du SCA qui exécute tous les aspects de la tâche de conduite dynamique, y compris la surveillance et l’adaptation à l’environnement de conduite, en toutes conditions », d’après les informations contenues sur le site du gouvernement canadien.

1000 véhicules autonomes dès 2027 au Japon

Parmi les 10 000 véhicules que le Japon souhaite voir sur ses routes, on devrait retrouver des autobus, des taxis et des camions. Le plan japonais précise que 1000 véhicules autonomes débarquent sur les infrastructures routières d’ici la fin de 2027.

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General Motors travaille actuellement sur une technologie inédite qui permettrait à ses véhicules de détecter automatiquement le moment idéal pour arrêter les essuie-glace, afin d’éviter les passages inutiles sur un pare-brise déjà sec et dégagé. Et non, ce ne sont pas les simples systèmes de détection de pluie actuels.

Ce système, encore au stade de développement, promet d’augmenter le confort des conducteurs tout en réduisant l’usure prématurée des balais, le bruit strident de caoutchouc sur une vitre sèche, et l’énergie consommée inutilement par le moteur des essuie-glace.

Le concept

L’idée paraît peut-être simple. En se fiant à des capteurs combinés à des algorithmes intelligents, les futurs modèles de GM pourraient désactiver automatiquement les essuie-glace, avant que les conducteurs n’aient le temps de tendre la main vers la commande. Finies les hésitations à propos du bon moment pour couper l’actionnement automatique, surtout lors de ces averses passagères où la pluie s’arrête aussi soudainement qu’elle a commencé.

Chevrolet Equinox
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Ce nouveau dispositif pourrait mettre fin à un des petits irritants du quotidien : le fameux passage d’essuie-glace grinçants sur la vitre, quand il ne pleut plus depuis quelques secondes. Au-delà du confort, cela contribue à préserver le caoutchouc des balais et évite une usure prématurée des composants électriques du système. C’est aussi un petit coup de pouce en matière d’économie d’énergie.

GM vient d’inventer des essuie-glace intelligents | Auto123.com
GM vient d’inventer des essuie-glace intelligents | Auto123.com

Inventé mais pas commercialisé

Aucune date de commercialisation n’a encore été précisée, mais tout porte à croire que cette innovation s’alignerait avec d’autres initiatives « intelligentes » déjà mises en place par GM pour l’automatisation de certaines fonctions quotidiennes à bord. Le constructeur a déjà déposé un brevet en ce sens auprès des autorités américaines.

Bref, voilà une innovation qui pourrait bien essuyer, sans mauvais jeu de mots, quelques frustrations bien connues des automobilistes.

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Cette année encore, Toyota profite du SEMA Show pour surprendre les amateurs de performances et d’exclusivité. Six de ses modèles de série les plus populaires, notamment une Camry, une Corolla Cross et une camionnette Tacoma, ont été modifiés pour les visiteurs de cette foire d’équipementiers et d’accessoiristes de l’industrie pour montrer l’étendue des possibilités offertes en matière de personnalisation. Parmi ces prototypes plus ou moins fantaisistes, un véhicule retient l’attention parce qu’il détonne du lot. Il s’agit du concept Scion 01. C’est un VTT !

Exposé sur une remorque, comme s’il était prêt à être tracté jusqu’à un « terrain de jeu », en pleine nature, où ses utilisateurs s’en donneraient à cœur joie, ce véhicule expérimental prend la forme d’un « côte-à-côte » à quatre places. Un type de véhicule qu’on ne retrouve pas dans la salle d’exposition d’un concessionnaire Toyota. Pas pour le moment, du moins.

Dans un communiqué diffusé le 4 novembre, au moment où le Scion 01 a été dévoilé, Toyota le qualifie « d’exercice d’ingénierie audacieux qui réinvente le véhicule tout-terrain côte à côte ».

Conception nord-américaine

Sa réalisation a été menée par une équipe nord-américaine d’ingénieurs, qu’on dit passionnés de conduite hors route, jumelée à des spécialistes de CALTY, le centre de design californien de Toyota.

Le fruit de leurs efforts a donné un VTT à motorisation hybride non branchable « ouvrant de nouvelles perspectives en matière d’expérimentation, de performance et de design », ajoute le constructeur.

Ce véhicule a un moteur à turbocompresseur issu de sa gamme de produits actuelle. Monté à l’arrière, il développe plus de 300 chevaux. Il pourrait donc s’agir du 4-cylindres de 2,4 L de la camionnette Tacoma, selon certaines sources indépendantes. De plus, cette motorisation disposerait d’un mode silencieux (un mode de propulsion électrique) permettant à ce VTT de sillonner les sentiers sans trop gêner la faune. Le constructeur ne précise toutefois pas combien de kilomètres le conducteur pourrait parcourir ainsi.

On le dit prêt à se déplacer dans un sentier accidenté, à gravir un pan rocheux ou même à effectuer une course à haute vitesse. À cet effet, ses concepteurs l’ont doté d’une cage de sécurité inédite conforme aux normes de la FIA, mais aussi à celles de SCORE International, l’organisation étatsunienne qui sanctionne diverses des épreuves de type rallye-raid dans les déserts, notamment la Baja 1000 disputée au Mexique.

Pas le 1er, mais le 3e concept du genre

Est-ce que Toyota aurait l’intention de se lancer dans la fabrication et le commerce des VTT ? L’idée ne semble pas si bête. Après tout, le marché des VTT est florissant sur notre coin de planète. Une étude de la firme de recherches Power Products Marketing de Minneapolis affirme qu’en 2023, près de 570 000 véhicules de ce genre ont été vendus en Amérique du Nord. En outre, une autre étude qui nous provient de l’entreprise d’analystes Research and Markets fait état de ventes qui auraient généré des revenus annuels de 8,53 millions de dollars US en 2024, et qui pourrait doubler d’ici 2033.

L’attrait d’accéder à un marché pareil duquel plusieurs grands fabricants japonais — Honda, Yamaha, Kawasaki, Kubot et Suzuki — profitent déjà depuis plusieurs années, pourrait justifier une initiative du genre de la part du numéro 1 japonais de l’automobile. Cela lui permettrait de diversifier encore davantage sa gamme de produits.

D’ailleurs, on pourrait croire que l’idée trotte dans la tête des stratèges de Toyota depuis quelque temps, puisque le Scion 01 n’est pas le premier concept de VTT présenté par Toyota depuis le début de la décennie.

En 2021, au plus fort de la pandémie de COVID-19, comme pour divertir le grand public, ce constructeur a présenté le Lexus ROV (pour Recreational Off-Highway Vehicle), un côte à côté biplace animé par un moteur électrique à pile à hydrogène. Puis, en janvier 2023, deux mois avant la fin de l’urgence sanitaire, il récidivait en dévoilant au Salon de l’auto de Tokyo (présenté en plein air) le ROV 2, une évolution du concept précédent qui était chaussé de pneus sans air de Michelin.

Simplement un prototype ?

À l’époque, on qualifiait ces deux concepts de « véhicules du futur ». Mais en voyant un prototype aussi abouti que le Scion 01, tout porte à croire qu’il pourrait s’agir d’un futur proche qu’on ne le pense, et ce même si le constructeur précise dans le communiqué qui le présente qu’il n’est pas destiné à être commercialisé. Mais lorsqu’un constructeur prend la peine de ressortir des boules à mites une appellation aussi importante que Scion (une marque qui a existé de 2002 à 2016 et qu’on destinait à de jeunes consommateurs), les spéculations se multiplient tout naturellement…

Rappelons que le SEMA Show est présentée par la Specialty Equipment Market Association au Centre de congrès de Las Vegas jusqu’au 7 novembre prochain. Cette foire annuelle attire autour de 2 400 exposants chaque année et, en 2024, plus de 160 000 personnes l’ont visitée , dont 20 % qui provenaient de l’extérieur des États-Unis.

Photos : Toyota

Le texte SEMA Show 2025: Toyota fait rêver les foules avec le VTT Scion 01 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le PDG de Honda, Toshihiro Mibe, a confirmé au Salon de la mobilité de Tokyo, que le constructeur japonais retardera ses plans de véhicules électriques pour l’Amérique du Nord d’environ cinq ans, en raison notamment des tensions géopolitiques qui affectent le marché mondial de l’électrique. Malgré ce recul stratégique, Honda ne met pas la pédale douce sur l’électrification : l’entreprise investit massivement dans une nouvelle génération de technologies hybrides, destinée à combler le fossé entre les véhicules thermiques et 100 % électriques.

Un plan ambitieux : deux millions d’hybrides par année d’ici 2030

Lors du Japan Mobility Show 2025, Mibe a annoncé vouloir plus que doubler les ventes annuelles d’hybrides de Honda, passant de 800 000 à 2 millions d’unités d’ici 2030. Cette offensive reposera sur un tout nouveau système hybride et une plateforme modulaire de prochaine génération, qui seront intégrés aux modèles 2027. Honda maintient par ailleurs son objectif de carboneutralité d’ici 2050, tout en poursuivant ses recherches sur les batteries à semi-conducteurs et la capture du carbone.

Un tout nouveau système hybride pour véhicules intermédiaires et pleine grandeur

Développé principalement pour le marché nord-américain, le nouveau système hybride introduit plusieurs innovations majeures :

  • Un système de refroidissement intégré qui combine les circuits moteur et électrique, réduisant la taille du dispositif et libérant de l’espace intérieur;

  • Une batterie repositionnée au centre du véhicule, optimisant la répartition du poids et l’habitabilité;

  • Un nouveau moteur V6 plus puissant, plus efficace et moins coûteux;

  • Un système e-AWD repensé, avec un moteur thermique qui propulse l’essieu avant et un moteur électrique à l’arrière;

  • Une gestion intelligente de la puissance, capable d’ajuster en temps réel la part d’énergie thermique et électrique selon les conditions de route ou de remorquage.

Les ingénieurs promettent une amélioration de 30 % de la consommation et 10 % de gains en accélération par rapport à la génération actuelle. Toutes les versions utiliseront la nouvelle boîte S+Shift, déjà vue sur la Honda Prelude 2026, tandis que les modèles intermédiaires adopteront un moteur 2,0 L à quatre cylindres.

Une plateforme plus légère, plus rigide et plus efficace

La nouvelle architecture hybride mise au point par Honda réduit le poids des véhicules d’environ 90 kg tout en augmentant la rigidité structurelle. Particularité unique : la section avant combine des aciers à rigidité variable, permettant une légère déformation contrôlée lors des virages. Ce système répartit mieux la charge sur les pneus avant et améliore la tenue de route, une innovation inspirée de la plateforme 0 Series des futurs modèles électriques.

De plus, Honda vise une interchangeabilité de pièces de plus de 60 % entre les modèles, pour réduire les coûts de production et simplifier l’entretien. Parmi les autres améliorations : réduction du bruit de roulement, direction plus stable, nouvelle suspension et meilleure protection en cas de collision.

L’hybridation comme solution à court terme

Si le ralentissement du virage électrique déçoit certains observateurs, la stratégie hybride de Honda semble réaliste et adaptée au marché nord-américain actuel. Entre performance, efficacité et réduction des coûts, le constructeur japonais prépare une nouvelle ère d’hybrides intelligents, capables d’allier plaisir de conduite et conscience environnementale.

Source: Honda

Le texte Honda retarde ses projets de véhicules électriques de 5 ans en Amérique du Nord provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Lors du Salon de la mobilité de Tokyo, Toyota a levé le voile sur un tout nouveau moteur V8 biturbo hybride de 4,0 litres, destiné à propulser sa future voiture sport GR et un modèle Lexus haut de gamme. Selon certaines rumeurs, cette motorisation pourrait atteindre jusqu’à 900 chevaux combinés grâce à son système hybride. Mais ce n’est pas tout : il se pourrait bien que ce V8 trouve aussi sa place sous le capot du pickup Toyota Tundra. Takashi Uehara, président de la division motorisations de Toyota, a confirmé au média australien Drive que le moteur pourrait être installé dans le Land Cruiser Série 300. Et comme la Tundra repose sur la même plateforme TNGA-F que le Land Cruiser, il n’est pas farfelu d’imaginer que cette mécanique puisse s’y loger également.

Une plateforme prête à accueillir plus de puissance

La Tundra partage déjà beaucoup avec le Land Cruiser : châssis, motorisation V6 biturbo hybride et plusieurs éléments de l’habitacle. Si le V8 électrifié est effectivement plus compact que les moteurs précédents — Toyota a insisté sur son format réduit —, l’intégrer à la Tundra serait techniquement plausible. Actuellement, la Tundra TRD Pro offre déjà 437 chevaux et 583 lb-pi de couple avec son V6 hybride de 3,5 litres. L’arrivée d’un V8 aussi puissant n’aurait de sens que si Toyota prépare une version extrême, une Tundra pensée pour affronter le Ford F-150 Raptor et le Ram TRX sur leur propre terrain.

Le retour d’un projet secret?

En 2022, des rumeurs circulaient déjà sur un projet de Tundra “desert runner” inspiré du concept Tundra Desert Chase présenté au SEMA. Ce prototype arborait une suspension à grand débattement, des plaques de protection, et des pneus de 37 pouces, le tout pensé pour le hors route à haute vitesse. Des sources internes avaient alors confirmé que le modèle était en développement. Plus récemment encore, des photos espions publiées par Pickup Truck + SUV Talk ont montré une Tundra d’essai équipée d’ailes élargies, d’évents de garde-boue et d’un badge iForce Max — suggérant un système hybride sous le capot.

Une “Super Tundra” en préparation?

Tout porte à croire que Toyota teste en silence une version ultra performante de la Tundra, motorisée par ce nouveau V8 biturbo hybride. Si le projet se concrétise, le constructeur japonais pourrait enfin proposer une rivale crédible aux F-150 Raptor et Ram TRX, deux références du segment des pickups de performance. Et connaissant Toyota, un tel modèle ne verrait pas le jour sans un sérieux bagage technique inspiré du Baja et de Gazoo Racing. Le mystère demeure, mais une chose est sûre : le rugissement du V8 n’est pas mort chez Toyota.

Avec des renseignements de The Drive

Le texte Un nouveau V8 hybride chez Toyota qui pourrait aller dans le Tundra provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ram s’apprête à faire plaisir aux amateurs de puissance brute avec la renaissance de sa division SRT (Street and Racing Technology). D’ici trois mois, le constructeur américain lancera deux nouveaux camions de performance, dont le très attendu Ram 1500 TRX équipé du légendaire V8 Hellcat.

C’est lors de l’appel des résultats financiers du troisième trimestre 2025 de Stellantis que le PDG de Ram, Antonio Filosa, a confirmé la nouvelle.

La performance avant tout
Alors que l’industrie automobile se tourne de plus en plus vers l’électrification, Ram prend une direction bien différente : préserver la puissance et les émotions du moteur V8. Ces nouveaux modèles SRT visent à renforcer la position de Ram dans le segment très compétitif des camions haute performance, dominé par les Ford Raptor et Chevrolet Silverado ZR2.

En ramenant le sigle SRT et des motorisations surpuissantes, Ram rappelle que la performance fait partie intégrante de son ADN.

Ram 1500 TRX 2021
Ram 1500 TRX 2021 | Auto123.com

Le TRX revient en force
La vedette du duo, le Ram 1500 TRX, fera son grand retour vers janvier 2026. Sous le capot, on retrouvera le même V8 Hellcat suralimenté de 6,2 litres, fort de 702 chevaux et 650 lb-pi de couple. Une configuration éprouvée, qui permettra à Ram de simplifier la certification environnementale tout en conservant les performances légendaires du modèle.

Le nouveau TRX adoptera l’architecture électronique Atlantis de Ram, avec une connectivité modernisée et une interface revue. Son style reprendra les lignes musclées du Ram RHO 2026, avec une carrosserie élargie, une prise d’air proéminente et un éclairage à DEL retravaillé.

À bord, Ram promet un habitacle au sommet du luxe : écran tactile de 14,4 pouces, affichage passager de 10,25 pouces et sièges massants. Et pour les amateurs de hors-route extrême, la marque pourrait enfin offrir des pneus de 37 pouces, une demande récurrente chez les propriétaires de TRX.

Ram 1500 RHO
Ram 1500 RHO | Auto123.com

Un deuxième SRT en préparation
Le second modèle SRT reste encore un mystère, mais les rumeurs pointent vers un Ram RHO équipé d’un V8 HEMI de 5,7 litres. Cette version viserait les puristes, ceux qui préfèrent le rugissement d’un moteur atmosphérique classique à la suralimentation moderne.

Le RHO actuel utilise déjà un six cylindres en ligne biturbo de 3,0 litres et 540 chevaux, plus performant sur papier. Toutefois, Tim Kuniskis, le grand patron de Ram, a reconnu que plusieurs clients réclamaient toujours un V8.

Une réponse musclée à l’ère électrique
Avec ces deux camions, Ram envoie un message clair : le V8 n’est pas mort. En misant sur la performance, le son et le caractère, la marque fait le pari que les émotions mécaniques ont encore leur place dans un marché saturé de véhicules électriques.

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C’est la fin d’une ère pour les amateurs de camions HD. General Motors et Allison Transmission mettront un terme à leur partenariat à la fin de l’année 2025, après des décennies de collaboration. À compter du 1er janvier 2026, les Chevrolet Silverado HD et GMC Sierra HD ne porteront plus le célèbre écusson Allison Transmission sur leurs ailes.

Un divorce de licence, pas de mécanique
Selon GM, la rupture découle d’un désaccord sur le renouvellement de la licence d’utilisation du nom Allison. Ce changement, toutefois, n’affectera pas les produits eux-mêmes : les boîtes automatiques à 10 rapports qui équipent les camions 2500 et 3500 resteront les mêmes. En réalité, GM fabrique déjà ces transmissions depuis 2018. Le nom Allison n’était qu’une entente de licence de marque, car la conception et la production provenaient de GM, même si Allison avait validé le design à l’époque. Autrement dit, le logo part, mais la mécanique demeure identique.

GM et Allison Transmission se séparent après 2025 | Auto123.com

Fin du logo Allison dans les concessions
Une lettre interne publiée par TFL Truck explique les prochaines étapes aux concessionnaires GM. Après le 31 décembre 2025, ceux-ci auront 180 jours — jusqu’au 29 juin 2026 — pour écouler les véhicules arborant encore le logo Allison. Passé ce délai, GM exige que toutes les références à Allison soient retirées. Les camions encore en inventaire devront même voir leur logo remplacé par un écusson non-Allison avant le 29 juin 2026. Une opération logistique considérable à l’échelle du réseau.

Aucune incidence sur la performance
La transmission et les performances des camions ne changent pas : il s’agit de la même boîte à 10 vitesses qu’auparavant. En clair, seule la marque évolue. Les propriétaires et futurs acheteurs de Silverado HD ou Sierra HD ne remarqueront aucune différence sur la route.

Chevrolet Silverado HD
Chevrolet Silverado HD | Auto123.com

Une collaboration historique
Le partenariat entre GM et Allison remonte au milieu du 20e siècle, mais c’est en 2001 que les premières boîtes Allison ont été offertes dans les pickup Duramax diesel. Ces transmissions robustes ont contribué à bâtir la réputation des camions GM auprès des travailleurs et des remorqueurs.

De 2001 à 2018, les moteurs Duramax LB7, LBZ, LLY, LMM, LML et L5P (génération 1) ont tous été livrés avec une boîte Allison conçue et assemblée par la firme spécialisée. Depuis 2019, les moteurs Duramax L5P Gen 2 utilisent la boîte 10 vitesses développée par GM, mais toujours vendue sous l’appellation Allison — jusqu’à aujourd’hui.

Un symbole de robustesse qui tire sa révérence
Même si le logo Allison disparaît des ailes des Silverado et Sierra HD, la technologie et la fiabilité qui ont bâti cette réputation demeurent. Pour les amateurs de mécanique lourde, c’est surtout la fin d’un symbole, plus qu’un changement technique.

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Déjà débordant de puissance, le Ford F-150 Raptor R voit sa cavalerie être bonifiée alors qu’une nouvelle version est présentée au salon SEMA cette semaine.

En effet, dans le cadre de ce salon, Ford présente une déclinaison ne développant pas moins de 900 chevaux. Cette annonce n’est pas le fruit du hasard. Elle survient après que Stellantis ait relancé sa marque SRT dont le mandat est, entre autres, de développer des véhicules de haute performance. Et Ford n’entend pas déclarer forfait de sitôt.

SEMA 2025 : 900 chevaux pour ce Ford F-150 Raptor R | Auto123.com

Sous le capot de cette camionnette de haute performance, on retrouve le même moteur V8 de 5,2 litres qui anime le F-150 Raptor R de production. Toutefois, on lui a greffé un compresseur volumétrique de plus grand format. Une telle modification a pour effet d’accroître la puissance.

De série, le F-150 Raptor R produit 720 chevaux. Ce modèle dévoilé au salon SEMA voit sa puissance passer à 900 chevaux grâce à la participation du volet Ford Performance Parts de l’entreprise.

Il faut savoir que ce compresseur volumétrique peut être acheté en concession au Canada et qu’il est couvert par une garantie de trois ans ou 60 000 km.

« Nous voulions créer le modèle ultime du Raptor soutenu par l’usine, en alliant une puissance phénoménale à la robustesse que ce nom évoque. Ce véhicule s’adresse à l’amateur qui regarde le F-150 Raptor R et se demande : « Comment peut-on aller encore plus loin ? », a déclaré Matt Simpson, directeur exécutif des accessoires et de la personnalisation.

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Pour le moment, nous ignorons l’incidence sur la consommation de carburant. Toutefois, le F-150 Raptor R est déjà l’un des véhicules les plus énergivores. D’après Ressources naturelles Canada, sa consommation en conduite combinée est de 19,7 litres/100 km.

Ford met le paquet avec les camionnettes de performance

Cette camionnette n’est pas la seule à être présentée par Ford lors de cet événement. En effet, le constructeur américain y dévoile également le Maverick 300T qui profite d’une puissance augmentée.

Le salon SEMA, qui se déroule chaque année à Las Vegas, rassemble les principaux acteurs de l’industrie de l’après-marché automobile. L’édition 2025 se tient du 4 au 7 novembre. Comme c’est le cas chaque année, plusieurs constructeurs, dont Toyota, Nissan et Stellantis, y présentent des concepts et prototypes mettant en valeur leur expertise technique et leur sens de l’innovation.

SEMA 2025 : 900 chevaux pour ce Ford F-150 Raptor R | Auto123.com
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Toyota a annoncé un rappel massif de plus d’un million de véhicules à travers l’Amérique du Nord en raison d’un problème logiciel dans le système de caméra de recul. Le défaut peut provoquer le gel complet de l’image ou l’absence totale d’affichage, laissant les conducteurs sans visibilité arrière lors des manœuvres de recul. Ce rappel concerne plusieurs modèles Toyota et Lexus des années 2022 à 2026, ainsi que la Subaru Solterra, jumelle technique de la Toyota bZ4X.

Un deuxième rappel en moins d’un mois

Ironiquement, ce rappel arrive moins d’un mois après un autre touchant près de 400 000 véhicules pour une défaillance similaire de caméra arrière. Mais cette fois, la cause est différente :

  • le rappel précédent impliquait des composants fournis par Panasonic,

  • alors que le nouveau rappel provient d’un système signé Denso, un autre équipementier japonais.

Le rappel de Panasonic visait principalement les Toyota Tundra, Tacoma et Sequoia où l’écran pouvait devenir moitié noir, moitié vert — un bug visible mais sans ambiguïté. Le nouveau problème, lui, est plus sournois : si la marche arrière est engagée trop rapidement après avoir démarré le véhicule, l’image peut geler ou ne pas s’afficher du tout, donnant l’illusion que tout fonctionne normalement. Or, une caméra de recul fonctionnelle est obligatoire par la loi fédérale américaine depuis 2018.

Modèles touchés

La liste complète des véhicules affectés est longue, mais elle inclut pratiquement tous les modèles Toyota récents (Camry, Crown, Land Cruiser, bZ4X), les Lexus RX, TX, LC, NX et ES et Subaru Solterra (gérée directement par Subaru et non par Toyota). Au total, 1 024 407 véhicules sont visés par cette campagne.

Une mise à jour logicielle obligatoire

Bonne nouvelle : le correctif ne nécessite aucun remplacement de matériel. Toyota effectuera une mise à jour du logiciel du module de commande Parking Assist ECU, responsable de la gestion du système Panoramic View Monitor (PVM).

Moins bonne nouvelle : cette mise à jour ne peut pas être effectuée à distance (OTA).
Les propriétaires devront donc se rendre chez leur concessionnaire Toyota, Lexus ou Subaru pour qu’un technicien installe la mise à jour manuellement.

La sécurité avant tout

Toyota a précisé qu’aucun accident n’a encore été signalé en lien avec ce problème, mais le constructeur invite les propriétaires à prendre rendez-vous dès que possible. Ce rappel souligne une fois de plus la dépendance croissante des véhicules modernes aux logiciels — et la complexité croissante de leur maintenance.

Avec des renseignements de The Drive

Le texte Un rappel d’un million de Toyota pour des problèmes de caméra de recul provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Malgré une baisse de 11,8 % des ventes en 2024 et une autre de 4,8 % en 2025, le constructeur allemand garde le cap avec trois lancements majeurs prévus pour 2026 soit la prochaine génération du Q7, le tout premier Q9 et une nouvelle voiture électrique d’entrée de gamme. Ces nouveautés, détaillées dans un document destiné aux investisseurs à la suite des résultats du troisième trimestre 2025, illustrent la volonté d’Audi de diversifier son offre après avoir mis trop d’emphase sur les véhicules 100 % électriques.

Audi rééquilibre sa stratégie

Après l’échec commercial du Q8 e-tron et la fermeture de l’usine de Bruxelles, Audi admet avoir tiré une leçon : trop miser sur l’électrique, trop vite, était risqué. Ainsi, le nouveau Q7 conservera ses moteurs à combustion, tout comme le Q9, qui viendra coiffer la gamme avec des versions à essence — et possiblement diesel (TDI) en Europe. Une décision stratégique pour rester compétitif sur les marchés où le diesel demeure pertinent pour les gros véhicules de luxe.

Une nouvelle petite Audi électrique

En parallèle, Audi lancera une nouvelle voiture électrique d’entrée de gamme, positionnée sous le Q4 e-tron. Ce modèle, perçu comme un successeur spirituel de la défunte A2, ne reprendra pas le nouveau langage de design du concept C, attendu plutôt en 2027. Son style restera donc dans la lignée actuelle, avec des phares scindés et un habitacle dominé par les écrans. Audi vise ici les jeunes acheteurs urbains et les marchés européens où les petits VÉ abordables gagnent du terrain.

Des nouvelles Audi RS pour les puristes

Audi ne délaisse pas ses amateurs de performance. Plusieurs modèles RS sont en préparation pour 2026, même si la marque reste discrète sur les détails. La prochaine RS5 semble toutefois assurée. Puisque le 5 cylindres vit ses dernières années et que les RS à 4 cylindres sont exclues, la nouvelle RS5 adoptera probablement un V6 hybride rechargeable — un compromis entre puissance et conformité environnementale. Elle sera offerte en berline (liftback) et familiale (wagon), tandis que la prochaine RS6 pourrait aussi arriver en 2026, peut-être avec un V8 électrifié. Après tout, difficile d’imaginer une RS6 avec le même moteur qu’une RS5…

RS électriques : avenir incertain

Malgré les promesses d’Audi de développer des RS 100 % électriques sur la plateforme PPE, les rumeurs autour de la RS6 e-tron sont pessimistes. Selon plusieurs sources, le projet pourrait être abandonné avant même son lancement, faute de rentabilité.

Audi mise sur la flexibilité

Le PDG Gernot Döllner a récemment confirmé que le constructeur abandonne son objectif d’une gamme 100 % électrique d’ici 2033. Les moteurs thermiques resteront donc au catalogue bien au-delà de la prochaine décennie. Un virage pragmatique pour une marque qui veut désormais satisfaire à la fois les puristes et les électromobilistes — et éviter les erreurs d’une transition trop brusque.

Avec des renseignements de Motor1

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