La Fondation de l’Hôpital de Montréal pour enfants a reçu un don de 100 000 $ de « L’espoir sur roues de Hyundai », un organisme sans but lucratif créé par Hyundai Canada et soutenu par ses 225 concessionnaires pour venir en aide aux centres d’oncologie pédiatrique à travers le pays. Cette annonce a été faite aujourd’hui par voie de communiqué.

Il s’agit du 13e don remis par L’espoir sur roues de Hyundai à un centre d’oncologie pédiatrique canadien depuis sa création, en février dernier. Il servira au soutien des patients atteints d’un cancer pédiatrique et des survivants grâce au financement de programmes et de services de soins en oncologie.

Le don a été remis par Steve Flamand, président et chef de la direction de Hyundai Auto Canada Corp., et Roger Desautels III, président de Hyundai St-Laurent, à Renée Vézina, présidente de La Fondation de l’Hôpital de Montréal pour enfants, qui était accompagnée d’Emmy, la jeune ambassadrice des patients de l’hôpital, et du Dre Catherine Vézina, cheffe de la division d’hémato-oncologie de l’Hôpital de Montréal pour enfants. Des représentants de la fondation et de Hyundai Canada, de même que du personnel médical de l’hôpital étaient présents pour signifier leur soutien aux gens qui forment la première ligne dans cette bataille cruciale.

Aide essentielle

Lors d’une allocution, Steve Flamand n’a pas hésité à qualifier d’essentiel le soutien des programmes de soins et de survie de cette institution hospitalière montréalaise. « Nous sommes fiers d’être ici, aujourd’hui, afin de soutenir tout le travail que fait le personnel médical de l’Hôpital de Montréal pour enfants, au service de toutes les régions du Québec. Ces superhéros fournissent plus que des soins, ils offrent de l’espoir aux familles confrontées au cancer », a-t-il dit.

Cet événement a pris fin avec la désormais traditionnelle cérémonie d’empreintes de main. Des enfants et des membres de familles touchés par le cancer ont alors imprimé l’empreinte de leur main sur un véhicule de marque Hyundai, symbole de résilience et d’unité dans la lutte contre le cancer pédiatrique.

Rappelons, en outre, que ce nouveau don s’inscrit dans un engagement plus vaste totalisant plus de 4 millions de dollars, que les responsables de L’espoir sur roues de Hyundai envisagent de remettre à des centres d’oncologie pédiatrique à travers le pays, d’ici la fin de 2025.

Photos : Hyundai

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Nissan procède au rappel de 173 301 véhicules aux États-Unis en raison d’un problème découvert sur le faisceau du capteur de température du réservoir de carburant.

On ignore pour l’instant si des véhicules sont touchés au Canada et, le cas échéant, en quel nombre.

Modèles concernés

Le rappel vise principalement les véhicules utilitaires compacts suivants :

  • • Nissan NV200 Van (2013 à 2021)
  • • Nissan NV200 Taxi (2014 à 2017, 2019)
  • • Chevrolet City Express (2015 à 2018), un modèle fabriqué par Nissan pour General Motors.

Nissan NV200 Taxi
Nissan NV200 Taxi | Auto123.com

Le problème

Selon la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA), un mauvais acheminement du faisceau électrique pourrait endommager les fils, provoquant un court-circuit au niveau du fusible de la pompe à carburant et, ultimement, un arrêt subit du moteur.

La solution

Les propriétaires seront contactés par la poste dès la fin de l’automne 2025 pour faire effectuer les réparations, qui seront gratuites.

Antécédent récent de rappel chez Nissan

Ce rappel s’ajoute à une autre campagne annoncée plus tôt cette année, qui touchait près de 444 000 véhicules Nissan en raison d’un risque de défaillance moteur. Ce nouvel épisode met une fois de plus à l’épreuve les contrôles de qualité du constructeur japonais sur le marché nord-américain.

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Le fondateur de la marque croate Rimac, Mate Rimac, a confirmé être en négociations avancées avec Porsche pour racheter les parts du constructeur allemand dans la coentreprise Bugatti Rimac. Son objectif : conclure un accord d’ici 2026 pour reprendre le plein contrôle du groupe.

Une coentreprise née en 2021

Créée en 2021, la coentreprise Bugatti Rimac allie le savoir-faire de Rimac en matière d’électrification haute performance à l’héritage légendaire de Bugatti dans l’univers des hypercars.

Porsche détient actuellement 45 % des parts, tandis que le Groupe Rimac en contrôle 55 %.

Mate Rimac veut racheter la part de Porsche dans Bugatti Rimac | Auto123.com

Selon des sources citées par Bloomberg, Rimac aurait déjà formulé une offre préliminaire valorisant la coentreprise à un peu plus de 1 milliard d’euros (environ 1,1 milliard de dollars américains).

Des investisseurs derrière le projet

Mate Rimac affirme avoir le soutien de fonds d’investissement privés et d’un groupe d’investisseurs internationaux prêts à financer ce rachat. L’entrepreneur de 37 ans souhaite ainsi libérer l’entreprise de certaines lourdeurs administratives pour accélérer le développement de nouvelles hypervoitures 100 % électriques.

Du garage à la gloire internationale

Mate Rimac a fondé sa société en 2009 dans son propre garage, après avoir transformé une BMW E30 en voiture de course entièrement électrique. En une décennie, la jeune pousse croate est devenue un acteur majeur de la mobilité électrique haut de gamme, allant jusqu’à fournir des composantes à d’autres grands constructeurs.

« Négocier avec une grande entreprise, c’est complexe. Il y a des familles, des émotions, des enjeux de pouvoir. C’est tout un monde », explique Mate Rimac, affichant le calme d’un patron plus ambitieux que jamais.

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Hyundai procède à un important rappel de sécurité concernant le moteur de démarrage de certains modèles Santa Fe. Cette opération touche 13 153 véhicules au Canada, plus de 135 000 unités aux États-Unis et plusieurs centaines au Mexique. Ce rappel vise à corriger une défaillance technique qui, dans certaines circonstances, pourrait présenter un risque d’incendie.

Modèles touchés

Ce rappel concerne spécifiquement les modèles Hyundai Santa Fe des années 2024 et 2025 équipés de moteurs à essence, tous produits entre décembre 2023 et juillet 2025.

Le problème

Le problème technique réside dans l’assemblage du moteur de démarrage (starter). Selon Hyundai, le couvercle de la borne B+, qui protège la connexion positive du démarreur, pourrait ne pas avoir été correctement installé lors de la fabrication.

En cas d’accident, la déformation du compartiment moteur pourrait donc exposer cette borne. Si elle entrait en contact avec le ventilateur de refroidissement, cela pourrait déclencher un court-circuit susceptible de provoquer un incendie par surchauffe électrique.

Précisons qu’aucun accident ni blessure lié à cette défaillance n’a été rapporté à ce jour, tant au Canada qu’aux États-Unis.

Hyundai Santa Fe 2024
Hyundai Santa Fe 2024 | Auto123.com

La solution

Hyundai Canada a confirmé que tous les propriétaires concernés seront avisés par courrier. Ils recevront des instructions précises pour amener leur véhicule chez un concessionnaire Hyundai afin de faire vérifier et, au besoin, réinstaller le couvercle de la borne B+. L’inspection et la réparation seront effectuées sans frais.

Pour vérifier si leur Santa Fe fait partie des véhicules rappelés, les consommateurs canadiens peuvent entrer le numéro d’identification de leur véhicule (NIV) sur le site hyundaicanada.com, dans la section des rappels.

Hyundai Canada insiste sur l’importance d’agir rapidement. Les concessionnaires canadiens disposent déjà des pièces et des procédures pour gérer efficacement ce rappel.

Dans une déclaration officielle, Hyundai Canada souligne que « la sécurité de nos clients est une priorité absolue. Nous invitons tous les propriétaires d’un Santa Fe 2024-2025 à vérifier rapidement si leur véhicule est concerné et à suivre les instructions émises dans le cadre du rappel. »

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Le texte Hyundai rappelle 148 000 Santa Fe pour un risque d’incendie provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le nouveau plan de rémunération d’Elon Musk chez Tesla pourrait lui rapporter plus de 50 milliards de dollars américains, même sans que les objectifs les plus ambitieux ne soient atteints.

On se rappellera que le conseil d’administration de Tesla avait approuvé en septembre un plan de rémunération historique pour son dirigeant, évalué à 878 milliards de dollars en actions sur dix ans.

« Rien », mais pas tout à fait rien

Officiellement, Elon Musk ne toucherait « rien » sans atteindre des objectifs jugés « incroyablement ambitieux » : révolutionner Tesla, la robotique, la conduite autonome et la société elle-même.

Mais selon une analyse de l’agence Reuters et de plusieurs experts, Elon Musk pourrait empocher plus de 50 milliards de dollars en n’atteignant que quelques cibles modestes, bien loin d’une « révolution » industrielle.

Des objectifs flous pour des milliards de dollars

Certaines cibles du plan de rémunération reposent sur des concepts mal définis. Par exemple, Tesla exige dix millions d’abonnements à son logiciel de conduite semi-autonome Full Self-Driving (FSD), sans qu’il soit nécessaire que celui-ci devienne réellement autonome. Des experts notent que Tesla pourrait facilement atteindre ce chiffre en baissant simplement le prix de l’abonnement, actuellement de 8 000 $ US ou 99 $ US par mois.

De même, l’objectif d’un million de robotaxis en service ne précise pas que les véhicules doivent fonctionner sans surveillance humaine, ce qui permettrait à Tesla de l’atteindre avec ses tests actuels menés à Austin, au Texas.

Enfin, la cible d’un million de robots Optimus — supposément humanoïdes — reste volontairement vague, définissant un « bot » comme n’importe quel produit doté de mobilité et d’intelligence artificielle.

Des gains colossaux pour des performances limitées

L’analyse démontre que l’atteinte de seulement deux objectifs, combinée à une valorisation boursière de 2,5 billions de dollars (2500 milliards), suffirait à procurer à Elon Musk 26,4 milliards de dollars en actions. Trois objectifs et une valorisation de 3 billions de dollars porteraient ce chiffre à 54,6 milliards, sans que Tesla ait à produire une seule voiture entièrement autonome.

À titre de comparaison, cette somme dépasse la rémunération cumulée des huit PDG les mieux payés au monde, dont Mark Zuckerberg (Meta), Tim Cook (Apple) et Jensen Huang (Nvidia).

Elon Musk pourrait empocher des milliards sans atteindre la plupart de ses objectifs chez Tesla | Auto123.com

Une croissance boursière plus facile à atteindre que les profits

Les cibles de profit sont nettement plus difficiles à atteindre. Le plan prévoit huit paliers de bénéfices, de 50 à 400 milliards de dollars de profits avant impôts, alors que Tesla n’a réalisé que 16,6 milliards en 2024.

Cependant, les objectifs de valorisation boursière pourraient s’avérer beaucoup plus simples : une croissance de 6,4 % par an suffirait pour que Tesla atteigne une valeur de 2 billions de dollars d’ici 2035, un rythme inférieur à la moyenne historique de l’indice S&P 500.

Selon Seth Goldstein, analyste chez Morningstar, « Tesla pourrait atteindre 3 billions de dollars sans performance exceptionnelle, car sa valeur repose déjà sur des produits futurs qui n’existent pas encore ».

Un pari risqué pour Tesla

Le conseil d’administration de Tesla considère Elon Musk comme le seul capable de transformer l’entreprise en un géant de l’intelligence artificielle. Mais plusieurs experts en gouvernance d’entreprise jugent que confier autant de pouvoir à un seul individu représente un risque majeur.

« Tesla a donné à Elon Musk un monopole sur le poste de PDG », estime Wei Jiang, vice-doyenne de l’école de commerce de l’Université Emory. Une bonne gouvernance, dit-elle, exige un marché concurrentiel, y compris pour les dirigeants.

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Dans le cadre de la journée dédiée à l’actionnariat (Capital Markets Day 2025) de Ferrari, la marque italienne a présenté plusieurs détails techniques ainsi que le châssis de son premier modèle entièrement électrique. L’Elettrica, qui verra le jour dès le printemps prochain, s’inscrit dans un processus d’électrification entamé dès 2009 grâce, entre autres, à la Formule 1.

Quelques modèles de production, dont les 599 HY-KERS (2010), LaFerrari (2013) ainsi que les actuelles SF90 Stradale et 296 GTB font également appel à l’électrification. Mais aucun véhicule 100% électrique n’a été commercialisé à ce jour par Ferrari.

Voici les premiers détails techniques de la future Ferrari 100% électrique | Auto123.com

Un châssis de haut calibre

Bien que la silhouette de cette nouvelle Ferrari électrique n’ait pas encore été révélée, l’allure de son châssis a été rendue publique. Il est composé d’aluminium recyclé et son empattement est très court, s’inspirant ainsi des berlinettes dont le moteur à essence loge en position centrale arrière. La batterie de ce futur modèle est intégrée au plancher, ce qui a pour effet d’abaisser de 80 mm le centre de gravité en comparaison avec un modèle à motorisation thermique.

Aussi, notons que, pour la première fois, une voiture Ferrari intégrera une sous-structure arrière afin de réduire le bruit et les vibrations.

Précisons que la Ferrari Elettrica propose une configuration de type 2+2. Les concepteurs ont avancé les sièges avant, histoire d’optimiser le dégagement pour les occupants à l’arrière.

Deux essieux électriques

Sur le plan technique, on a appris que la Ferrari Elettrica profitera de deux essieux électriques. Chacun d’eux comprend deux moteurs électriques synchrones à aimants permanents. Combinés, les deux essieux produisent une puissance totalisant 930 kW, soit tout près de 1250 chevaux.

Plutôt que de tenter de recréer la sonorité d’une voiture à motorisation thermique, Ferrari emploie plutôt la stratégie selon laquelle les bruits mécaniques sont captés puis amplifiés, à l’image d’une guitare électrique dont le son est augmenté grâce à un amplificateur.

Quant à la capacité de la batterie, elle se chiffre à 122 kWh. À ce moment-ci du développement de la voiture, le constructeur italien estime l’autonomie à environ 530 km.

En ce qui concerne les pneus, Ferrari a réuni trois fabricants afin de déterminer le parfait équilibre entre la résistance au roulement et l’adhérence.

À suivre l’an prochain

Dès le début de l’année prochaine, Ferrari donnera un aperçu de l’habitacle de l’Elettrica. La première mondiale de cette voiture qui promet d’être impressionnante aura lieu au printemps 2026.

Voici les premiers détails techniques de la future Ferrari 100% électrique | Auto123.com
Voici les premiers détails techniques de la future Ferrari 100% électrique | Auto123.com

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On a appris cette semaine que le constructeur japonais Toyota explore le développement d’un petit drone destiné à assister les conducteurs sur les routes non pavées et les sentiers hors route.

Selon une déclaration déposée auprès de l’Administration fédérale de l’aviation américaine (FAA), ce projet vise à offrir aux conducteurs une meilleure perception de leur environnement, notamment dans les zones où il est dangereux de sortir du véhicule.

La majorité des vols se feraient à proximité du véhicule, mais le drone pourrait occasionnellement s’élever au-dessus des arbres pour aider le conducteur à s’orienter ou à évaluer le terrain.

Une réglementation en évolution pour l’usage des drones

Cette nouvelle survient alors que le département américain des Transports (DOT) a récemment proposé de nouvelles règles pour accélérer le déploiement des drones opérant au-delà de la ligne de vue de l’utilisateur. Cette réforme ouvrirait la voie à de nouveaux usages commerciaux, comme la livraison de colis ou l’assistance en zones isolées.

Toyota a d’ailleurs soumis des commentaires officiels au DOT, mentionnant ce projet encore confidentiel.

Toyota Tacoma
Toyota Tacoma | Auto123.com

Vers une nouvelle ère du tout-terrain connecté

Le DOT estime que la levée de certaines restrictions « élargira considérablyment les applications des technologies de drones » dans plusieurs secteurs, comme la fabrication, l’agriculture, l’énergie et la logistique.

Pour Toyota, l’intégration de mini-drones dans ses véhicules tout-terrain pourrait devenir un atout stratégique, surtout dans un marché où la technologie embarquée et la sécurité jouent un rôle de plus en plus déterminant.

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Le texte Toyota veut développer un mini-drone pour le hors route provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Auto123.com présente son guide d’achat pour les pneus d’hiver 2024-2025. Au départ, nous avons présenté un résumé de l’état de la situation dans le domaine. Hier, il a été question des pneus pour voitures et petits VUS. Aujourd’hui, de ceux pour les VUS plus imposants et les camionnettes.

Voir aussi : Les meilleurs pneus d’hiver en 2025-2026 : une introduction

Voir aussi : Les meilleurs pneus d’hiver en 2025-2026

Cette section du dossier sur les pneus d’hiver 2025-2026 est probablement la plus difficile à cerner. D’abord, il faut bien définir le terme « camion ». Pour certains automobilistes, leur petit VUS est une camionnette. Toutefois, la majorité des VUS sur notre marché sont des modèles légers ou intermédiaires basés sur une plateforme de voiture.

Les meilleurs pneus d’hiver pour les camionnettes en 2025-2026 | Auto123.com

Il faut donc noter que les descriptions de notre dossier sur les pneus d’automobile s’appliquent également à la majorité des VUS et VUM sur le marché. Elles s’appliquent aussi aux camionnettes légères ou à celles qui sont équipées de série avec des pneus de catégorie P (Passager).

Attention aussi aux propriétaires de véhicules tout-terrain de performance, comme les Ford Raptor ou les Ram T-Rex. Si ce genre de véhicule est équipé d’origine d’énormes pneus agressifs, cela ne signifie pas qu’ils sont efficaces en hiver, surtout sur une surface glacée. Leur largeur et la taille de leurs crampons (souvent sans lamelles) peuvent les transformer en véritables savonnettes!

Honda avait équipé sa camionnette Ridgeline d’essai de pneus Michelin X-Ice Snow pour la saison froide.
Honda avait équipé sa camionnette Ridgeline d’essai de pneus Michelin X-Ice Snow pour la saison froide. | Auto123.com
Le CrossClimate de Michelin
Le CrossClimate de Michelin | Auto123.com

Michelin et BFGoodrich

Bien entendu, le spécialiste français Michelin a créé des pneus d’hiver spécifiques pour les camionnettes et les grands VUS. Le catalogue Michelin propose des versions pour VUS de ses efficaces pneus X-Ice Snow ou North, ainsi qu’une version « camionnette » du pneu homologué CrossClimate2.

Cependant, il vaut mieux se tourner vers la marque secondaire de Michelin, BFGoodrich, pour trouver des pneus d’hiver qui peuvent aussi servir de pneus tout-terrain. Le tout récent K03 en est un parfait exemple. Il est même homologué pour l’hiver. De plus, pour les camionnettes plus imposantes ou robustes, BFGoodrich propose la version Commercial T/A de ce pneu.

BFGoodrich K03
BFGoodrich K03 | Auto123.com

Goodyear et Cooper

Tout comme Michelin, le géant américain Goodyear propose des versions LT (Light Truck) de sa récente gamme WinterCommand. Pour plus de choix, il vaut mieux se tourner vers la gamme Wrangler, qui inclut une variété de pneus capables d’affronter l’hiver, dont le très robuste DuraTrac.

Seule note négative : certains de ces pneus, comme les Territory A/T, peuvent être plus bruyants sur route sèche. Il s’agit, vous l’aurez compris, de pneus homologués.

Malgré le fait qu’ils soient « homologués », ces pneus tout-terrain Wrangler Territory peuvent être quand même glissants en hiver. Ils sont aussi relativement bruyants…
Malgré le fait qu’ils soient « homologués », ces pneus tout-terrain Wrangler Territory peuvent être quand même glissants en hiver. Ils sont aussi relativement bruyants… | Auto123.com

Depuis peu, Goodyear est aussi propriétaire de la marque Cooper. Bien que cette marque soit peut-être un peu moins élaborée ou techniquement évoluée que Goodyear, on y retrouve des pneus d’hiver plus ou moins agressifs sous les noms de Snow Claw ou encore Discoverer Stronghold AT Road+Trail, ces derniers étant homologués.

Le Discoverer Snow Claw
Le Discoverer Snow Claw | Auto123.com
Le Outpost nAT de Nokian
Le Outpost nAT de Nokian | Auto123.com

Nokian et Nordman

Nokian, le champion finlandais des pneus d’hiver, a aussi une gamme spécialisée pour les camionnettes et les VUS : l’Outpost. Initialement produite en Russie, la fabrication de ce pneu a été déplacée aux États-Unis (pour des raisons politiques faciles à deviner) et il porte aujourd’hui le nom d’Outpost nAT. Disponible en plusieurs dimensions, ce pneu destiné aux excursions hors route est aussi très efficace en hiver, tant dans la neige que sur la glace. Il est « homologué », ce qui signifie que sa gomme reste flexible autant en hiver qu’en été.

Voilà une option intéressante à considérer. D’ailleurs, ma propre Jeep TJ est équipée de ces pneus depuis leurs débuts, été comme hiver, et ils sont certes à la hauteur de la situation tout en demeurant relativement silencieux (pour autant qu’une TJ puisse l’être!).

Le Hakkapeliitta LT3
Le Hakkapeliitta LT3 | Auto123.com

Et si votre camionnette est un peu plus robuste, jetez un œil à la version LT3 de la gamme Hakkapeliitta. Nous en avons d’ailleurs un jeu à l’essai sur un fourgon Chevrolet Express 2500.

Le Nordman 7
Le Nordman 7 | Auto123.com

Nordman faisant partie du groupe Nokian (il s’agit généralement d’anciens produits Nokian rebaptisés), on peut toujours choisir ce pneu dans sa version Nordman 7 SUV.

Les Blizzak LT1 et WS690
Les Blizzak LT1 et WS690 | Auto123.com

Bridgestone et Firestone

Le manufacturier japonais Bridgestone propose une gamme intéressante de pneus d’hiver, qui inclut le Blizzak LT, le DM-V2 et le W965, ce dernier étant destiné aux camionnettes commerciales. Tous ces produits jouissent d’une réputation inébranlable qui en fait un choix sérieux.

Le Winterforce LT
Le Winterforce LT | Auto123.com

D’autre part, il ne faut pas oublier que la marque américaine Firestone appartient à Bridgestone. Celle-ci a aussi sa part de produits hivernaux à proposer, cette fois sous le nom de Winterforce. Ces pneus se déclinent en plusieurs versions, dont les LT de base, les 2 UV, les Winterforce 2 et les Winterforce CV, ces derniers étant conçus pour les véhicules commerciaux légers.

Le TerrainContact de Continental
Le TerrainContact de Continental | Auto123.com

Continental

Évidemment, le géant allemand Continental propose une gamme complète de pneus d’hiver pour les camionnettes, dont les plus représentatifs sont les TerrainContact A/T et H/T.

Les pneus d’hiver Ice Contact de Continental ont été très efficaces sur ce pickup Nissan Frontier.
Les pneus d’hiver Ice Contact de Continental ont été très efficaces sur ce pickup Nissan Frontier. | Auto123.com

Soulignons également l’implication de Continental dans le domaine commercial avec ses VanContact Winter.

Pour ceux qui recherchent des pneus d’hiver plus agressifs, il faut se tourner vers la division américaine de Continental, General Tire, qui propose divers modèles, dont le Grabber Arctic LT.

Le Scorpion Ice and Snow
Le Scorpion Ice and Snow | Auto123.com

Pirelli

Le manufacturier italien Pirelli offre une belle gamme de pneus d’hiver pour camionnettes, mais elle se limite surtout aux véhicules plus légers comme les VUS et les pickups de particuliers. Pirelli les commercialise sous le nom de Scorpion, qui inclut les Ice Zero 2, les Winter et les Winter 2. Nous avons pu en essayer quelques versions lors de la présentation de Pirelli l’hiver dernier au circuit ICAR à Mirabel.

Pirelli avait chaussé plusieurs camionnettes dont ce Ford F-150 de pneus Scorpion All-Terrain pour que nous puissions les essayer lors de sa présentation à ICAR.
Pirelli avait chaussé plusieurs camionnettes dont ce Ford F-150 de pneus Scorpion All-Terrain pour que nous puissions les essayer lors de sa présentation à ICAR. | Auto123.com

Toyo

Le catalogue Toyo propose principalement les modèles Observe GSi6 LT et les populaires Open Country, incluant les versions WLT, A/T III (homologué) ou encore Celsius II.

Le Celcius II
Le Celcius II | Auto123.com
L'Observe GSi6 LT
L’Observe GSi6 LT | Auto123.com

Pour les usages plus robustes, surtout en conditions hors route, le constructeur japonais propose les M655.

Yokohama

Le manufacturier japonais Yokohama propose principalement la gamme Geolandar. Celle-ci inclut la populaire version A/T G015 et la toute récente A/T XD G017 (toutes deux homologuées) pour les camionnettes plus robustes, ainsi que le modèle AG53 pour les VUS.

Le Geolandar A/T 015
Le Geolandar A/T 015 | Auto123.com

Kumho

Le manufacturier coréen Kumho propose la gamme Wintercraft pour les VUS et le Portran CW51 pour les fourgons de livraison.

Les pneus de camionnettes plus abordables

Enfin, dans le créneau des pneus plus abordables, GiTi Radial propose l’Adventurer AT-AW (fabriqué dans plusieurs pays, dont les États-Unis). D’autres options intéressantes dans cette catégorie incluent les Falken Rubitrek AT4 Wildpeak (homologué), Nitto Grappler et Nexen Roadian HTX2.

Le Wildpeak de Falken
Le Wildpeak de Falken | Auto123.com

Bien entendu, plusieurs consommateurs prioriseront leur budget plutôt que la technologie ou l’allégeance à une marque. Pour ceux-ci, on peut suggérer des marques comme Avalanche de Hercules (fabriqué par Cooper), Rovelo de Sailun, WestLake Z-401 et Maxxis Victra SUV.

Auto123 remercie les manufacturiers pour l’information et les gens de Pneus premier Choix (dont Stéphane et Jonathan) pour leurs conseils.

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Le texte Les meilleurs pneus d’hiver pour les camionnettes en 2025-2026 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Birmingham, Michigan – Jeep vient de dévoiler un Grand Wagoneer 2026 retouché, qui n’est plus accompagné d’un « Wagoneer » régulier.

Une éclaircie à l’horizon

Les derniers chiffres de vente aux États-Unis montrent une lumière au bout du tunnel pour Stellantis, alors que le géant de l’automobile cherche à prendre des décisions pour plaire à sa clientèle (avec des réductions de prix, notamment), pour apaiser les concessionnaires et pour ramener les acheteurs chez ces derniers. Les ventes américaines sont en hausse, l’électrification complète est mise en veilleuse et les moteurs V8 sont de retour.

Jeep, en particulier, est également entré dans la phase de rafraîchissement de sa gamme actuelle. Le PDG de la division, Bob Broderdorf, a souligné les trois axes au cœur des changements chez Jeep : des prix à la baisse, des modèles retouchés et des motorisations revues. Jeep s’apprête à lancer des versions mises à jour du Grand Cherokee et du Grand Wagoneer et à introduire le nouveau véhicule électrique qu’elle promet depuis longtemps, le Recon, sans oublier le retour du Cherokee.

Jeep Grand Wagoneer 2026, avant
Jeep Grand Wagoneer 2026, avant | Auto123.com

Jeep Grand Wagoneer 2026 – quoi de neuf ?

La nouvelle direction de Jeep a entrepris de simplifier et de clarifier sa gamme, et dans le cas de son plus imposant VUS, cela signifiait se débarrasser de la nomenclature déroutante du Wagoneer. Le Grand Wagoneer n’a jamais été plus gros que son acolyte dépourvu du préfixe Grand, mais de nombreux clients l’ignoraient. Nous n’avons donc plus qu’un seul modèle, sous une seule appellation. Fini l’idée de faire de Wagoneer une sous-marque.

Au-delà du nom, les design extérieur et intérieur ont été mis à jour, tout comme la technologie et les commodités dans l’habitacle.

De nouvelles versions sont proposées, mais le plus important est l’ajout d’une option rechargeable, sous la forme d’un véhicule électrique à autonomie prolongée.

Jeep Grand Wagoneer 2026, de profil
Jeep Grand Wagoneer 2026, de profil | Auto123.com

Design du Jeep Grand Wagoneer 2026

Le gros VUS voit sa partie être redessinée (avec bien sûr les sept fentes emblématiques), être plus droite et agressive, en plus d’être dotée d’une nouvelle signature lumineuse. Notamment, l’éclairage à l’avant est positionné plus haut qu’auparavant, avec des DEL en forme de T disposées plus bas sur les côtés.

Fait peut-être encore plus notable, le nom Jeep figure désormais sur la partie avant, corrigeant ce que les dirigeants de la marque ont franchement admis comme un faux pas lors du lancement initial des modèles Wagoneer.

À l’arrière, les feux à DEL pleine largeur rappellent l’orientation horizontale de l’avant.

Jeep Grand Wagoneer 2026, avant
Jeep Grand Wagoneer 2026, avant | Auto123.com

Pour en revenir à la calandre, différentes versions hériteront d’accents de grille distincts pour correspondre à leur vocation particulière (soit la robustesse, soit le raffinement, etc.). Attendez-vous à des pneus différents basés sur ces mêmes considérations, et même à des éléments intérieurs distincts.

Versions du Jeep Grand Wagoneer 2026

À propos de la gamme, nous avons droit à de nouvelles versions (et à des ensembles d’apparence). L’offre (au Canada comme aux États-Unis) inclut désormais le modèle de base et une nouvelle variante nommée Upland, axée sur la conduite hors route, en plus des déclinaisons Limited, Limited Reserve, Summit et Summit Reserve.

Il y aura, nous ont confirmé les représentants, une version à longueur étendue Wagoneer L, comme auparavant.

Le Jeep Grand Wagoneer 2026 sera offert en version branchable | Auto123.com
Le Jeep Grand Wagoneer 2026 sera offert en version branchable | Auto123.com

Motorisations du Jeep Grand Wagoneer 2026

Certaines versions (milieu, haut de gamme, probablement) seront livrables en configuration rechargeable. Ou plus précisément, en tant que véhicule électrique à autonomie prolongée. En bref, cela signifie que les roues sont entraînées exclusivement par les moteurs électriques, le moteur à essence travaillant avec un générateur embarqué pour fournir de l’électricité lorsque nécessaire (c’est-à-dire lors de tout trajet de plus de 240 km), ce qui devrait être l’autonomie tout électrique du modèle rechargeable, bien que cela ne soit pas encore confirmé.

Cette configuration fournira une puissance de 647 chevaux et un couple de 620 lb-pi, faisant sans surprise de ce Grand Wagoneer le plus puissant de tous les temps. Le plus rapide, aussi, puisqu’il pourra officiellement effacer le 0-100 km/h en environ 5 secondes.

La batterie de 92 kWh intégrée sous le plancher permettra une autonomie totale d’environ 800 km, estime Jeep, même si le véhicule est équipé d’un réservoir de 76 litres, plus petit que celui du Ram REEV (aussi à autonomie prolongée).

« Nous donnons à notre clientèle le choix de la façon dont elle veut vivre la performance et l’efficacité », a déclaré Micky Bly, vice-président principal et chef des systèmes de propulsion mondiaux chez Stellantis. Seulement, ce choix ne sera pas accessible tout de suite. Stellantis précise que la version à essence sera lancée en premier, alors que l’autre (qui sera construit à l’usine de camions de l’entreprise à Warren) arrivera plus tard.

Un véhicule électrique à autonomie prolongée est une proposition intéressante à offrir aux clients de ce gros VUS, en particulier dans le climat actuel qui voit les constructeurs américains revenir aux gros moteurs dans certains cas. Et cela soulève la question de savoir quel sera le taux d’adoption de cette version, lorsqu’elle sortira. À cette question, Broderdorf a répondu : « Je n’en ai aucune idée. »

Quant à la version à essence qui sera la seule livrable pour 2026, elle sera propulsée par le moteur 6-cylindres en ligne biturbo Hurricane de 3,0 litres, avec une puissance de 420 chevaux et un couple de 468 lb-pi.

La variante à haut rendement de cette mécanique n’est pas dans les plans pour la première année du nouveau Grand Wagoneer, mais elle pourrait l’être pour la deuxième. À confirmer.

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Jeep Grand Wagoneer 2026 – prix canadiens

Le nouveau Wagoneer (version à essence seulement, rappelons-le) sera offert à partir de 87 995 $ au Canada. Voici la structure de prix complète :

  • • Grand Wagoneer 2026 – 87 995 $
  • • Grand Wagoneer L 2026 – 91 495 $
  • • Grand Wagoneer Limited Altitude 2026 – 91 495 $
  • • Grand Wagoneer L Limited Altitude 2026 – 94 995 $
  • • Grand Wagoneer Summit Obsidian 2026 – 116 495 $
  • • Grand Wagoneer L Summit Obsidian 2026 – 119 495 $

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Mazda Amérique du Nord souligne les dix ans de son programme Retail Evolution, une initiative clé lancée en 2014 pour rehausser l’image de la marque, renforcer la rentabilité des concessionnaires et séduire une nouvelle génération de clients fidèles.

Inspirée de la philosophie japonaise omotenashi — l’art d’anticiper les besoins des clients —, cette approche a permis à Mazda de passer du statut de marque axée sur la valeur à celui d’acteur proche du segment haut de gamme.

Moins de concessionnaires, mais plus de ventes

Depuis 2014, Mazda a volontairement réduit son réseau américain, passant de 635 à 545 concessionnaires, afin d’améliorer la rentabilité et la cohérence de la marque. Parmi ceux-ci, 350 établissements ont déjà été modernisés selon les standards du programme Retail Evolution, tandis qu’une quarantaine d’autres sont en construction ou en attente de permis.

Cette refonte, qui représente un investissement combiné de 2,5 milliards de dollars américains, a transformé les salles d’exposition Mazda en espaces lumineux, ouverts et chaleureux, favorisant le confort et la transparence.

Mazda CX-50 Hybride, de profil
Mazda CX-50 Hybride, de profil | Auto123.com

Malgré un réseau plus restreint, Mazda a vu ses ventes américaines bondir de près de 40 % depuis 2014, atteignant un record de 424 382 véhicules en 2024. De ce nombre, 90 % ont été écoulés par des concessionnaires conformes à la nouvelle image Retail Evolution. La part de marché du constructeur est passée de 1,9 % à 2,6 % durant la même période.

Objectif : 500 000 ventes annuelles d’ici 2030

Malgré un contexte difficile en 2025, marqué par de nouveaux tarifs sur les véhicules importés, Mazda prévoit de clôturer l’année avec des ventes se situant entre 410 000 et 415 000 unités. L’entreprise vise 450 000 unités dans les prochaines années pour atteindre 500 000 ventes annuelles d’ici la fin de la décennie.

La fidélité à la marque s’est aussi améliorée : le taux de clients récurrents est passé de 40 % à près de 50 % en dix ans. Mazda a pour objectif de dépasser la barre des 50 % au cours des prochaines années, et ce, malgré une gamme plus restreinte que celle de plusieurs concurrents.

Logo hybride sur le Mazda CX-50 Hybride
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Les hybrides au cœur de la stratégie d’électrification

Le succès récent de Mazda repose sur une gamme dominée par les multisegments. Alors que le constructeur dépendait autrefois principalement de la Mazda3 et du CX-5, il s’appuie désormais sur les CX-50, CX-70 et CX-90, qui représentent ensemble près de 20 % des ventes. Mazda prévoit de lancer son prochain véhicule électrique en 2027, mais les conditions du marché — notamment la fin du crédit d’impôt fédéral américain de 7 500 $ — devraient stimuler la demande pour les motorisations hybrides.

Le CX-50 demeure actuellement le seul modèle hybride de Mazda, utilisant une technologie développée avec Toyota, tandis que les CX-70 et CX-90 offrent des versions hybrides rechargeables. En 2026, un CX-5 de nouvelle génération inaugurera la première motorisation hybride entièrement développée par Mazda.

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