La demande pour les véhicules électrifiés en Chine est grande et Ford ne veut pas manquer le bateau. Voilà pourquoi le constructeur de Dearborn s’active à garnir sa gamme là-bas en proposant désormais une motorisation hybride branchable pour ses nouveaux utilitaires Equator et Equator Sport.

Ces véhicules sont des utilitaires de taille moyenne. L’Equator est un modèle à 6 places et 3 rangées de sièges, alors que l’Equator Sport, un peu plus court (4,7 m contre 4,9), n’a que 5 places et 2 rangées de sièges. En somme, ce duo chinois se compare aux Honda Pilot et Passport que Honda propose aux automobilistes nord-américains.

Lancé en 2021, l’Equator est fabriqué et commercialisé en Chine par Ford en partenariat avec Jiangling Motors Corp. (JMC). C’est d’ailleurs au Salon de l’auto de Guangzhou, qui ouvrait ses portes le 15 novembre dernier, que Ford a dévoilé des versions revampées de ces deux véhicules. Des nouveautés qui sont désormais proposées, non seulement avec une motorisation à essence, mais aussi avec une motorisation hybride branchable (plug-in hybrid electric vehicles ou PHEV, disent les anglophones), option très prisée des automobilistes chinois.

Des cotes et des prix qui font rêver

Dans les deux cas, ces véhicules, qui sont proposés seulement avec des roues motrices avant, sont animés par un 4-cylindres turbo à essence de 1,5 L jumelé à un moteur électrique alimenté par une batterie au lithium-fer-phosphate de 18,4 kWh de CATL, le plus important fabricant chinois de batteries. La puissance nette de cette motorisation atteint 147 ch et, selon Ford, 14 minutes suffiraient pour recharger la batterie de 30 à 80 % à l’aide d’une borne à haut débit.

En propulsion électrique, l’Equator PHEV pourrait parcourir jusqu’à 110 kilomètres et l’Equator Sport PHEV jusqu’à 115 kilomètres, affirme Ford en se basant sur la méthode de calcul locale appelée China Light-Duty Vehicle Test Cycle (CLTC). Ford fait également miroiter des cotes spectaculaires d’autonomie essence/électrique car, avec un plein d’essence et une batterie chargée à bloc, le premier pourrait parcourir jusqu’à 1 205 kilomètres et le second 1 324 kilomètres !

Mais encore, avec des cotes pareilles, on pourrait croire que ces véhicules qui ont une taille respectable seraient inabordables. Que nenni ! Au Salon de Guangzhou, Ford a dévoilé les échelles de prix de ce nouveau duo électrifié. Ainsi, la version d’entrée de gamme Platinum de l’Equator à 6 places est offerte à partir de 206,800 yuans (environ 40 000 $) et la version d’entrée de gamme Elite de l’Equator Sport à partir de 168,800 yuans (environ 32 500 $).

Et dire qu’au Canada, Toyota offre le RAV4 hybride branchable (ce modèle compact qu’on appelait RAV4 Prime jusqu’à tout récemment) à partir de 49 666 $; un hybride alimenté par une batterie de 18,1 kWh et dont l’autonomie électrique gravite autour de 68 kilomètres…

Mais on peut continuer de rêver, car ce duo d’Equator électrifié vise a priori le marché chinois.

Photos : Ford

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Le marché des véhicules zéro émission (VZE) au Québec est en pleine transformation, affichant une adoption record de 34,6 % pour les nouvelles immatriculations de véhicules légers au troisième trimestre de 2024. Alors que les subventions provinciales et fédérales sont vouées à diminuer dans les prochaines années, la dynamique actuelle au Québec pourrait être essentielle pour maintenir un élan dans la transition vers des transports durables. Découvrez ci-dessous les données clés, les facteurs de croissance et les défis à venir pour le Québec et le Canada.

Croissance nationale et provinciale des VZE : faits saillants

Taux d’adoption national des VZE

  • T3 2024 : 16,5 % des nouvelles immatriculations de véhicules légers.
  • Croissance par rapport au T2 2024 : +14,4 %.
  • Taux d’adoption des VZE électriques à batterie (BEV) : 12,2 %.

Québec : leader incontesté au Canada

  • Taux d’adoption au T3 2024 : 34,6 %, contre 28,4 % au T2.
  • Part nationale des immatriculations de VZE : 53,8 %.
  • Contribution au volume national de croissance des VZE : 7 000 des 9 000 unités supplémentaires immatriculées ce trimestre.

À noter : hors Québec, le taux de croissance national tombe à 7,3 %, contre 14,1 % lorsque le Québec est inclus.

Performance des constructeurs : piliers de la croissance

Les marques les plus dynamiques au Canada (T3 2024)

  • Tesla : +15,2 %, grâce aux succès des Model Y et Model 3.
  • Chevrolet : +138 %, avec les Bolt EV et EUV en tête.
  • Toyota : +72,2 %, porté par les Prius Prime et RAV4 Prime.
  • Mercedes : +99,3 %, et VinFast : +66,5 %, reflétant une forte progression de leurs parts de marché.

Focus Québec

Les modèles sous la barre des 65 000 $, éligibles aux subventions, dominent le marché québécois :

  • Chevrolet Bolt EV et EUV : jusqu’à 12 000 $ de subventions, parts de marché locales supérieures à celles du reste du Canada.
  • Hyundai Kona : 5,9 % au Québec (contre 1,9 % ailleurs).
  • Nissan Leaf et Toyota Prius Prime : solides performances grâce à leur accessibilité.

En bref : 75 % des modèles abordables ont une meilleure pénétration au Québec, soulignant l’efficacité des incitatifs.


Prévisions pour l’adoption des VZE au Canada

Année Taux d’adoption prévu Volume estimé
2024 15,2 % 266 889 unités
2025 19,0 %
2026 25,3 %
2027 30,7 %

Risques potentiels

  1. Développement des infrastructures de recharge.
  2. Fluctuations économiques influençant le pouvoir d’achat.
  3. Évolutions des politiques gouvernementales et des subventions.
  4. Progrès technologiques et acceptation par les consommateurs.

Comparatif des provinces : variations régionales des VZE

Province Taux d’adoption (T3 2024) Évolution T2-T3
Québec 34,6 % +6,3 %
Colombie-Britannique 24,9 % +3,1 %
Ontario 9,0 % +1,2 %
Île-du-Prince-Édouard 9,6 % +0,9 %

Zoom sur Montréal

  • Taux d’adoption en 2024 : 32,8 % (22,2 % en 2023).
  • Croissance volume annuel : +67,7 %.
  • Modèles phares : Tesla Model Y, Chevrolet Equinox EV, Tesla Model 3.

Les défis pour les véhicules moyens et lourds

Classes en difficulté

  • Classe 6 : -1,6 % (28 unités, contre 5,9 % en 2023).
  • Classe 7 : -14,9 % (63 unités, contre 16,5 %).

Segments prometteurs

  • Classe 3 : entrée remarquée avec 63 unités, aucune en 2023.
  • Classe 8 : +0,3 %, avec 112 unités.

Conclusion : le rôle stratégique du Québec dans la transition vers les VZE

Avec une adoption largement supérieure à la moyenne nationale, le Québec joue un rôle crucial dans l’évolution des transports propres au Canada. L’efficacité des incitatifs combinée à une demande croissante pour des modèles abordables place la province au cœur de la transition énergétique, malgré les défis posés par la réduction progressive des subventions. Investir dans l’infrastructure et maintenir des politiques attractives seront essentiels pour capitaliser sur cette dynamique.

Source: SP Global Mobility

Le texte Le Québec domine mène le bal pour la vente de véhicules électriques provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

S’il y avait une voiture capable de porter une chemise en flanelle le matin et un veston bien coupé le soir, ce serait le Subaru Outback Premier 2025. Dans sa version la plus luxueuse, ce bon vieux station-wagon montre qu’il peut jouer sur tous les tableaux : confort en ville, habileté en hors-piste moyen et technologie en prime. On est monté à bord pour vérifier si tout ça tient la route

Capacités tout-terrain

Le Outback n’a jamais eu peur de salir ses roues, et la version 2025 le prouve encore. Avec une garde au sol généreuse de 220 mm et le système Symmetrical AWD éprouvé de Subaru, il grimpe, patauge et traverse les sentiers les plus boueux sans broncher. Le mode X-MODE, qui ajuste la traction pour les terrains difficiles, est comme un coach personnel qui s’assure que vous restez en contrôle, même quand la nature se rebelle. Même si la route la plus difficile sera celle qui vous amène dans quelques chemins en neigés, le Outback assure.

Conduite

Sur la route, le Outback Premier montre un visage très civilisé. Sa suspension est douce et avale les imperfections sans faire sourciller les passagers. Le moteur 2,4 litres turbo de 260 chevaux procure une bonne poussée quand on en a besoin, surtout pour doubler sur l’autoroute ou monter une pente avec du bagage. Les bruits à l’accélération et en reprise manque de raffinement et la transmission CVT donne parfois l’impression que le moteur chante un peu trop longtemps avant de livrer toute sa puissance, mais ça reste une petite concession pour un véhicule aussi polyvalent.

Technologie embarquée

Subaru a mis le paquet avec l’écran tactile de 11,6 pouces, compatible Apple CarPlay et Android Auto sans fil. Le système EyeSight, qui regroupe les aides à la conduite comme le régulateur de vitesse adaptatif et le freinage d’urgence, est encore plus réactif qu’avant grâce à des caméras améliorées. Les amateurs de son apprécieront aussi la chaîne audio Harman Kardon qui est sans doute le premier à ne pas littéralement sonner comme une canne de petits pois dans un produit Subaru. Seul bémol : l’interface du système multimédia reste un peu confuse, surtout pour ajuster des fonctions simples comme la climatisation. Il y aura un peu de ménage à faire pour s’y retrouver.

Motorisation

Le moteur 2,4 litres turbo de série sur le modèle Premier est un allié de taille, avec ses 277 lb-pi de couple qui se sentent particulièrement bien en montée ou quand le coffre est bien rempli. Pour ceux qui préfèrent un peu moins de puissance (et un peu plus d’économies d’essence), le 2,5 litres atmosphérique est toujours disponible dans les versions d’entrée de gamme, mais avouons-le, le turbo est vraiment le choix à privilégier. Les 182 chevaux du moteur atmosphérique sont un peu à la traîne. Subaru annonce une consommation de 9,0 L/100 km pour la version Premier. Notre semaine d’essai a plutôt donné des résultats de 10,3 L/100 km, ce qui place l’Outback dans la bonne moyenne.

Confort et espace

Le Outback Premier 2025 est conçu pour le plaisir des sens. Les sièges en cuir Nappa ventilés sont parfaits pour les longs trajets, et l’insonorisation améliorée rend l’habitacle presque aussi silencieux qu’une bibliothèque. Côté espace, Subaru reste fidèle à sa réputation : avec 920 litres de coffre derrière les sièges arrière (et plus de 2 140 litres une fois les sièges rabattus), il y a de quoi transporter tout le matériel pour une escapade ou un déménagement improvisé.

Conclusion

À 50 495 $ pour la version Premier, le Outback reste compétitif dans sa catégorie. Certes, ce n’est pas donné, mais pour ce prix, vous obtenez un véhicule aussi capable en hors-piste qu’élégant pour une sortie en ville. Le Subaru Outback Premier 2025 reste un choix unique sur le marché. Il combine une robustesse à toute épreuve avec un niveau de raffinement inattendu. Si vous cherchez un compagnon fiable pour la semaine comme pour les escapades du week-end, difficile de trouver mieux. Les familiales sont une denrée rare sur notre marché et dans cette catégorie, l’Outback est encore un des meilleurs choix.

Forces

  • Capacités tout-terrain remarquables
  • Confort et espace à bord
  • Motorisation turbo performante
  • Technologies de sécurité avancées

Faiblesses

  • Interface multimédia un peu confuse
  • Transmission CVT qui manque parfois de réactivité
  • Prix élevé pour les versions haut de gamme

Le texte Subaru Outback Premier 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Toyota prépare une version électrique de la Hilux, la camionnette vendue par ce constructeur nippon ailleurs qu’en Amérique du Nord. Un prototype à batterie d’une Hilux Double Cab sera d’ailleurs bientôt mis à l’essai par la société minière BHP, en Australie. Ces deux entreprises en ont fait l’annonce par voie de communiqué à la fin d’octobre.

D’une durée de 12 mois, ce test commencera d’ici la fin du mois de novembre et il sera réalisé dans les installations portuaires de BHP à Port Hedland, sur la côte nord de l’Australie-Occidentale. Ces installations servent à l’exportation de minerai de fer.

Ce prototype électrique se substituera à divers modèles similaires dotés de moteurs diesel. Il servira aux tâches généralement attribuées à ces derniers, précise la minière.

Grâce à ce test, Toyota entend recueillir des données brutes et objectives qui l’aideront à façonner un futur modèle de production. Du même coup, le constructeur souhaite démontrer qu’une camionnette Hilux électrique serait en mesure de répondre aux exigences rigoureuses de travaux industriels.

Une minière qui a hâte d’électrifier ses camions légers

Ce test que réaliseront Toyota et BHP fait suite à la signature par les deux sociétés d’un protocole d’entente en août 2023, qui vise à « promouvoir les mesures de décarbonisation dans les opérations australiennes de BHP. »

« L’ambition que nous avons d’électrifier notre parc de véhicules légers pour réduire les émissions de gaz à effet de serre dans l’ensemble de nos opérations dépend d’une technologie habilitante qui ne peut être obtenue qu’avec des collaborations comme celle-ci, avec des partenaires de premier plan comme Toyota », explique la présidente de BHP Australia, Geraldine Slattery, dans le communiqué.

Elle ajoute : « Avec environ 5 000 véhicules légers sur nos différents sites australiens, nous sommes impatients de mettre le Hilux électrique à l’épreuve et de voir le potentiel qu’il peut apporter, non seulement pour réduire l’utilisation du diesel dans l’exploitation minière, mais aussi à terme pour tous les conducteurs utilisant ce modèle de camionnette. »

Un prototype qui succède au concept Hilux Revo BEV

Au moment d’annoncer ce test, le constructeur s’est malheureusement gardé de révéler quoi que ce soit au sujet des caractéristiques techniques du prototype électrique, le premier du genre réalisé sur la base d’une camionnette Hilux. On ne sait donc rien sur sa motorisation et sa puissance ni sur le type de batterie utilisé et sa capacité.

En outre, la mise en service de ce prototype survient environ deux ans après le dévoilement de la Hilux Revo BEV au Salon de Bangkok, en décembre 2022. Lors de la présentation de ce véhicule-concept à motorisation électrique pour usage citadin, Toyota laissait miroiter une éventuelle commercialisation. Certaines sources non officielles prétendent d’ailleurs qu’elle pourrait entrer en production en Thaïlande d’ici un ou deux ans.

Destiné à certains marchés d’Asie du Sud-Est, ce véhicule ferait ses débuts dans la foulée du lancement d’une version modernisée de la Hilux, qui est pressenti pour 2025, du moins d’après les médias spécialisés de cette région du monde.

Autonomie adaptée aux marchés ciblés

Par ailleurs, certaines de ces sources non officielles attribuent à cette future camionnette électrique une autonomie d’environ 200 kilomètres. D’un point de vue nord-américain, ce chiffre paraît nettement insuffisant. Par contre, pour l’automobiliste ciblé par ce véhicule, qui doit se déplacer dans des villes densément peuplées où le trafic est intense, la perception sera très différente. Une autonomie pareille signifie que la batterie serait de taille réduite et, donc, moins lourde et moins coûteuse. Cela permettrait à un véhicule électrique du genre d’avoir une capacité de charge satisfaisante et son prix ne serait pas exagérément grevé par la valeur de la batterie, deux facteurs importants pour la clientèle ciblée dans cette région du monde.

Photos : Toyota

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Chrysler a confirmé que sa future fourgonnette électrique conservera le nom emblématique de Pacifica, reconnu et apprécié par les consommateurs. L’annonce a été faite par Christine Feuell, PDG de Chrysler, lors du Salon de l’auto de Los Angeles 2024, soulignant l’équité et la reconnaissance associées à la marque Pacifica.

Un Design Inspiré du Concept Halcyon

Le futur modèle prendra ses bases esthétiques dans le concept Halcyon dévoilé plus tôt cette année, s’éloignant des lignes du concept VUS électrique Airflow. Chrysler promet un design résolument moderne et futuriste.

Une Modularité Repensée

La flexibilité intérieure sera un axe majeur de développement pour cette version électrique. Chrysler travaille à réinventer son célèbre système Stow ‘N Go pour surmonter les défis liés aux motorisations électriques.

Des innovations à l’étude :

  • Sièges avant coulissants pour créer des rangements sous les sièges arrière.
  • Mouvements latéraux des sièges arrière grâce à des rails, offrant de nouvelles configurations.

Chrysler collabore avec ses fournisseurs pour évaluer la faisabilité de ces solutions, avec l’ambition d’offrir une modularité adaptée aux besoins variés : sorties familiales, camping, transport de marchandises ou événements comme le tailgating.

Quel Avenir pour la Pacifica Hybrid ?

Christine Feuell n’a pas confirmé si le modèle hybride rechargeable actuel coexistera avec la version entièrement électrique. Elle n’a pas non plus exclu l’éventualité d’une variante à prolongateur d’autonomie, inspirée du Ram Charger EREV.

Lancement Prévu en 2027 Après une Mise à Jour de la Gamme

Avant l’arrivée du modèle électrique, Chrysler prévoit une refonte de la gamme Pacifica actuelle pour 2026. Ce rafraîchissement devrait précéder le lancement de la version électrique, attendu pour 2027. Avec un design avant-gardiste et une modularité repensée, la Pacifica électrique s’annonce comme une réponse innovante à des concurrents tels que le VW ID.Buzz, tout en restant fidèle à son ADN de minivan polyvalent.

Avec des renseignements de Motor Illustrated

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Hyundai Motors a émis un rappel de 145 235 véhicules électriques et électrifiés aux États-Unis, invoquant des préoccupations liées à une perte de puissance de conduite. Cette annonce a été confirmée vendredi par la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA). Le rappel concerne principalement des modèles des années 2022 à 2025, incluant les Hyundai IONIQ 5 et IONIQ 6, ainsi que des modèles de luxe Genesis comme les GV60, GV70 et G80 en version électrifiée, selon des informations relayées par Reuters. Des rapports mentionnent également certains modèles Kia potentiellement touchés, mais une confirmation officielle reste en attente.

Une unité de contrôle défectueuse

La NHTSA a précisé que le problème provient des unités de contrôle de charge intégrées, qui peuvent être endommagées, empêchant ainsi la charge de la batterie auxiliaire de 12 volts. Cette défaillance peut entraîner une perte totale de puissance de conduite, mettant en danger la sécurité des conducteurs. Ce problème survient après un rappel similaire effectué en mars 2024, où 147 110 véhicules Hyundai, Kia et Genesis avaient été touchés pour des problèmes identiques liés à ces unités de contrôle de charge.

Que faire si votre véhicule est concerné ?

Pour les propriétaires de véhicules Hyundai des années modèles 2022 à 2025, il est conseillé de rester attentifs aux communications officielles. Hyundai n’a pas encore indiqué de calendrier précis pour la réparation des véhicules affectés.

Solutions proposées

Les concessionnaires Hyundai inspecteront et remplaceront les unités de contrôle de charge et leurs fusibles si nécessaire. Un mise à jour logicielle sera également effectuée pour renforcer la fiabilité des systèmes de charge.

Conclusion

Hyundai démontre sa volonté de corriger rapidement ces défaillances, mais la sécurité des conducteurs reste la priorité absolue. Si vous êtes concerné, surveillez vos courriels ou notifications de rappel pour prendre rendez-vous chez un concessionnaire dès que les réparations seront disponibles.

Avec des renseignements d’Electrek

Le texte Hyundai rappelle plus de 145 000 Ioniq 5 et 6 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Hyundai et General Motors unissent leurs forces pour développer une gamme de camions destinés au marché latino-américain, selon des médias sud-coréens. Cette alliance pourrait donner naissance à des véhicules issus de la pratique du badge-engineering, où un même modèle est vendu sous différentes marques.

L’initiative fait suite à un accord signé en septembre par Mary Barra, PDG de GM, et Euisun Chung, président du Hyundai Motor Group. Bien que l’entente soit non contraignante, elle ouvre la porte à une collaboration sur le développement de véhicules et des technologies futures.

Un marché lucratif en ligne de mire

Le segment des camions représente un marché mondial de 208,6 milliards de dollars en 2023. GM, déjà un acteur majeur, souhaite renforcer sa position en Amérique latine, tandis que Hyundai ambitionne d’y augmenter sa part de marché.

Au lieu de concevoir de nouveaux modèles, les deux constructeurs prévoient de maximiser leurs ressources actuelles. Ainsi, GM pourrait vendre des petits camions Hyundai sous son logo, tandis qu’Hyundai proposerait des camions plus imposants conçus par GM sous sa propre marque.

Des ambitions dépassant le marché des camions

Cette collaboration va au-delà des camions. Hyundai et GM explorent des opportunités dans les chaînes d’approvisionnement, les motorisations et les technologies propres, notamment l’hydrogène et les véhicules électriques.

Lors d’une réunion récente aux États-Unis, Mary Barra et Euisun Chung ont discuté des progrès depuis la signature de leur protocole d’accord. « Nous examinons divers domaines de collaboration bilatérale, allant du développement de véhicules aux solutions énergétiques futures », a déclaré un représentant de Hyundai au média sud-coréen Pulse.

Une alliance renforcée par un échange d’actions ?

Pour solidifier ce partenariat stratégique, les deux entreprises envisagent un échange d’actions. Cet engagement pourrait renforcer leur collaboration à long terme et leur permettre d’innover ensemble dans les solutions de mobilité durable.

Avec des renseignements de Carscoops

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Un géant en difficulté financière

Northvolt AB, l’entreprise suédoise spécialisée dans les batteries pour véhicules électriques (VE), a récemment déposé une demande de protection contre la faillite aux États-Unis en vertu du chapitre 11 du code des faillites. Ce processus vise une réorganisation supervisée par un tribunal de ses dettes et actifs.

Cependant, l’entreprise affirme que cette situation n’affectera pas son projet ambitieux de construction d’une usine de batteries au Québec, baptisée Northvolt Six. Cette usine, située à environ 25 kilomètres à l’est de Montréal, représente un investissement colossal de 7 milliards de dollars canadiens et a pour objectif de produire des cellules de batterie et des matériaux actifs pour cathodes destinés aux VE.

Un projet québécois épargné

Malgré la tourmente financière de sa société mère, Northvolt assure que sa filiale canadienne fonctionne de manière autonome et n’est pas concernée par la procédure du chapitre 11.

« L’activité sur le site est intense, avec environ 150 travailleurs et des camions circulant chaque jour. Rien n’indique que le projet ne se réalisera pas comme prévu », a déclaré Paolo Cerruti, cofondateur de Northvolt et PDG de Northvolt Amérique du Nord.

Ce projet a bénéficié d’un soutien important des gouvernements québécois et canadien, qui ont promis 2,4 milliards de dollars en financement. Cependant, la situation financière de Northvolt suscite des interrogations, notamment sur la sécurité des investissements publics.

Des fonds publics à risque

Le Québec a accordé un prêt garanti de 240 millions de dollars à Northvolt pour l’acquisition du terrain, en plus d’un investissement direct de 270 millions dans la société mère.

Christine Fréchette, ministre de l’Économie du Québec, a exprimé sa préoccupation : « Ce n’était pas le scénario souhaité. Si un montant est à risque, c’est celui investi dans la société mère. »

De son côté, la Caisse de dépôt et placement du Québec a injecté 200 millions dans Northvolt AB, un investissement qui pourrait également être compromis.

Un redimensionnement en Europe

Northvolt a récemment annoncé une réduction de ses activités en Europe, licenciant 1 600 employés en Suède et vendant son site à Borlänge, destiné à la production de matériaux pour cathodes. Paolo Cerruti a admis que l’entreprise avait été trop ambitieuse, mais a réaffirmé son engagement envers le projet québécois.

« Northvolt Six est essentiel à l’avenir de l’entreprise, et nous sommes pleinement engagés à le mener à bien », a-t-il affirmé.

Conclusion

Malgré les turbulences financières de sa société mère, Northvolt continue de rassurer sur l’avenir de son usine au Québec. Cependant, les risques entourant les investissements publics demeurent une préoccupation majeure pour le gouvernement et les contribuables.

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

Le texte Northvolt déclare faillite aux États-Unis, mais conserve son projet québécois provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

En tant que plus ancien nom de la marque, la Sportage subit sa transformation la plus significative depuis le lancement de la cinquième génération il y a près de trois ans.

Un choix multiple de motorisations

La Sportage 2026 propose trois types de motorisations :

  • Essence : moteur thermique classique avec transmission automatique à 8 rapports, développant 187 chevaux et offrant une capacité de remorquage de 3500 lb.
  • Hybride : un moteur turbo de 1,6 L associé à un moteur électrique, atteignant 231 chevaux (+4 chevaux par rapport au modèle précédent).
  • Hybride rechargeable : une puissance accrue de 268 chevaux grâce à un moteur électrique de 72 kW (+7 chevaux).

Les versions hybrides incluent une transmission automatique à 6 rapports et une traction intégrale en option pour une conduite plus polyvalente.

Un design affirmé et élégant

Sous le signe de la philosophie « Opposites United », la Sportage arbore un look audacieux avec des modifications de style avant et arrière. Parmi les nouveautés :

  • Éclairage DEL innovant : feux de jour en “carte stellaire” et phares à projecteurs cube en option.
  • Nouvelles jantes en alliage : choix de designs en 17, 18 ou 19 pouces.
  • Finitions spécifiques : les versions X-Line se distinguent par des pare-chocs uniques et des éléments noirs brillants.

Un intérieur high-tech et confortable

La cabine de la Kia Sportage 2026 allie technologie et confort pour une expérience de conduite premium :

  • Écran incurvé de 12,3 pouces : le cockpit de navigation connectée (ccNC) offre des mises à jour OTA et l’intégration sans fil d’Android Auto et Apple CarPlay.
  • Affichage tête haute (HUD) de 10 pouces (optionnel) pour des informations clés comme les indications de navigation.
  • Clé numérique 2.0 Premium : déverrouillage et démarrage via smartphone avec partage possible entre utilisateurs.
  • Kia Connect : services connectés incluant un hotspot Wi-Fi et des fonctionnalités avancées comme la commande à distance et le suivi antivol.

Les sièges chauffants, les accoudoirs rehaussés et les surfaces anti-traces de doigts renforcent le confort et la praticité.

Une gamme pour tous les styles

Avec ses nombreuses versions, la Sportage s’adapte à toutes les attentes :

  • ICE : LX, EX, SX, SX-Prestige, X-Line et X-Pro Prestige.
  • HEV : nouveaux modèles S et X-Line aux accents sportifs et dynamiques.
  • PHEV : X-Line et X-Line Prestige.

Les finitions X-Line et X-Pro offrent des caractéristiques tout-terrain comme le système AWD actif, des pneus tout-terrain B.F. Goodrich et des fonctions de mode Terrain (neige, boue, sable).

Systèmes avancés d’aide à la conduite (ADAS)

La sécurité et l’assistance sont au cœur de la Sportage 2026 avec des fonctionnalités comme :

  • Freinage d’urgence automatique avec détection des piétons, cyclistes et véhicules.
  • Aide à la conduite sur autoroute 2 pour un maintien de la vitesse et de la direction.
  • Surveillance 360° et alerte de collision en stationnement.

Conclusion : Une arrivée très attendue

Assembée partiellement aux États-Unis, la Kia Sportage 2026 arrivera dans les salles d’exposition au second trimestre 2025. Son prix sera communiqué à l’approche de sa commercialisation.

Source:Kia

Le texte Le Kia Sportage fait du ménage pour 2026 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Kia a levé le voile sur le tout nouveau EV9 GT 2026, un VUS électrique haute performance, lors du Salon de l’Auto de Los Angeles. Avec ses 501 chevaux générés par deux moteurs électriques montés à l’avant et à l’arrière, ce véhicule est capable d’abattre le 0 à 100 km/h en 4,3 secondes. Une suspension électronique et des freins avant surdimensionnés complètent un design angulaire et innovant, tandis que des éléments distinctifs différencient ce modèle du reste de la gamme EV9.

Pour les parents pressés

Assemblé en Corée du Sud et attendu dans la seconde moitié de 2025, le EV9 GT promet de séduire les amateurs de performances sans compromettre le côté pratique d’un véhicule familial à six places. Le Kia EV9 GT dispose de deux moteurs électriques : un moteur de 160 kW à l’avant et un autre de 270 kW à l’arrière, pour une puissance combinée de 501 chevaux. Cela représente un gain significatif par rapport à la version GT-Line (379 chevaux). Doté d’un système de freinage amélioré pour absorber le surplus de puissance.

La suspension contrôlée électronique (ECS), une première chez Kia pour un VUS, ajuste l’amortissement en fonction du mode de conduite sélectionné (Normal, Eco, Sport ou My Drive). En activant le bouton GT vert fluo sur le volant, le mode GT configure la suspension pour une conduite dynamique optimale.

Une transmission virtuelle et des sensations inédites

Pour renforcer l’expérience de conduite sportive, le EV9 GT inclut une transmission virtuelle (VGS), simulant des passages de vitesses pour une accélération plus immersive. Cette technologie est accompagnée par un design sonore actif (e-ASD) qui amplifie les sensations. De plus, le véhicule est équipé d’un différentiel électronique à glissement limité (e-LSD), améliorant la stabilité en virage en répartissant le couple sur les roues ayant le plus d’adhérence.

Un design distinctif

L’extérieur du EV9 GT se démarque par des roues en alliage de 21 pouces et des pneus haute performance. Les étriers de frein verts fluo, signature des modèles GT de Kia, apportent une touche sportive. L’intérieur propose des sièges baquets en Alcantara avec logo GT et des accents verts néon sur le tableau de bord et le volant. Le véhicule intègre aussi un éclairage d’ambiance exclusif, configurable grâce aux mises à jour OTA via l’application Kia Connect.

Technologies d’assistance avancées

Le EV9 GT est équipé de nombreuses fonctionnalités ADAS, telles que l’assistance anti-collision frontale et latérale, l’aide au stationnement intelligent, et le contrôle de croisière intelligent basé sur la navigation. Ces technologies visent à rendre la conduite et les manœuvres plus sûres et intuitive. Le EV9 GT arrivera en concession au milieu de l’année 2025.

Source: Kia

Le texte Une version GT du Kia EV9 à Los Angeles provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile