Le Jeep Cherokee est de retour. Après avoir cessé la production du Cherokee de dernière génération en 2022, Jeep a confirmé que le multisegment compact reviendrait pour l’année modèle 2025. Le nouveau Cherokee devrait être doté d’un groupe motopropulseur hybride.

C’est ce que la direction de Jeep a confirmé durant les journées pour les médias au début du Salon de l’auto de Los Angeles.

Les détails techniques sur le groupe motopropulseur hybride du Cherokee n’ont pas encore été publiés. Il est possible qu’il s’agisse d’une configuration hybride rechargeable, mais selon ce qu’on entend entre les lignes, les chances sont plus grandes qu’on hérite d’un Cherokee à moteur hybride tout court.

Le nouveau Cherokee devrait partager la même plateforme que le Compass, le multisegment compact de Jeep, qui lui aussi devrait effectuer un retour au catalogue pas longtemps après l’arrivée du Cherokee. Le Compass devrait avoir l’air d’une familiale, plus que d’un VUS, et sera basé sur une plateforme de Stellantis qui s’appelle STLA Medium. Le Compass devrait être mis en vente en Europe avant de débarquer chez nous, probablement en 2026

Le retour du Cherokee est important. Il survient alors que les ventes de Jeep s’effritent, et que la marque américaine essaie de s’orienter vers une gamme de produits plus électrifiée. Le constructeur automobile prévoit de lancer un certain nombre de nouveaux véhicules électriques au cours des prochaines années, dont une version tout électrique du Wagoneer et du Grand Cherokee.

On s’attend à ce que le Jeep Cherokee hybride 2025 soit mis en vente au début de 2025. Le prix n’a pas encore été annoncé.

Le texte Le Jeep Cherokee de retour en 2025 avec un moteur hybride provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La Lucid Air fera une première apparition officielle au Salon de l’Auto de Montréal en janvier prochain. C’est une des quelques grandes nouveautés qui sont au programme, ont annoncé les organisateurs de l’événement plus tôt en novembre.

Outre Lucid, qui pourra exhiber différentes versions de sa berline électrique de luxe, la Air, et peut-être un prototype du Gravity, un VUS qui devrait bientôt s’ajouter à son catalogue, on verra aussi pour la première fois au salon la marque suédoise Polestar. On connait mieux cette marque-là, vu la présence en très grand nombre sur nos routes déjà de la Polestar 2, mais la marque-sœur de Volvo a besoin de mousser l’intérêt du public envers les Polestar 3 et Polestar 4 qui seront mis en vente chez nous en 2025.

L’édition 2025 du Salon de l’auto de Montréal marque aussi le retour d’autres marques plus populaires, mais qui avaient réduit leur présence dans les événements de ce genre un peu partout en Amérique du Nord. Ça comprend, Mercedes-Benz, Subaru, Volvo et le Groupe Stellantis, qui regroupe Chrysler, Dodge, Jeep, Ram, Fiat et Alfa Romeo, ainsi que Polestar.

Le groupe Hyundai, Buick, Cadillac, Chevrolet, Ford, Genesis, GMC, , Infiniti, KIA, Lamborghini, Lincoln, Lexus, Lotus, McLaren, Mitsubishi, Nissan, Shelby, Toyota et Volkswagen seront de retour. En tout, on devrait voir une trentaine de marques de véhicules neufs avoir un kiosque au Palais des Congrès de Montréal durant l’événement qui a lieu, cette fois, du 17 au 26 janvier 2025. La collection de Luc Poirier montrera de nouveaux modèles et le Club Tesla sera aussi au rendez-vous

C’est certainement un retour du balancier pour le Salon de Montréal, qui comme bien d’autres salons en Amérique du Nord est sorti durement amoché de la pandémie. Mais on l’a vu en novembre, avec le Salon de l’auto de Los Angeles, il semble y avoir un regain d’intérêt envers ses événements, qui sont des vitrines à la fois pour attirer les consommateurs régionaux, mais aussi, parfois, la presse nationale et internationale, et ainsi, mieux faire connaître les produits en vente.

D’ailleurs, signe que les organisateurs du Salon de Montréal espèrent que l’édition 2025 est le début de quelque chose de nouveau, ils ont choisi un slogan assez évocateur pour cette année : «On existe seulement lorsqu’on avance».

On vous invite aussi à venir au kiosque 503 où vous attend l’équipe de l’Annuel de l’automobile et notre édition 2025 à prix réduit.

Le texte Lucid Motors et le retout d’autres constructeurs au Salon de l’auto de Montréal 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ce n’est pas seulement le Canada qui a réagi négativement. L’annonce par le président-élu américain Donald Trump d’imposer une taxe de 25% sur toutes les importations en provenance du Canada a fait bondir des gens partout sur la planète. Du côté de l’automobile, on ne pense pas qu’une telle mesure soit réaliste.

C’est ce que bien des analystes ont partagé dans les heures suivant la publication sur Truth Social par Trump de cette menace. L’analyste Daniel Roeska de la firme Bernstein a notamment indiqué dans une note aux investisseurs reprise par Reuters que selon lui, «si on l’applique, cette taxe sera un désastre pour l’industrie automobile américaine et les trois constructeurs de Detroit. Les trois importent une quantité significative de pièces du Canada et du Mexique. Les constructeurs européens aussi, comme Volkswagen.»

L’analyste américain ajoute que «vu l’ampleur de l’impact néfaste» que cette taxe aura sur la production industrielle un peu partout aux États-Unis, il «ne s’attend pas à ce qu’elle soit mise en application dans la réalité».

C’est une position qui va donner un peu d’espoir à pas mal tout le monde dans l’industrie automobile canadienne. Évidemment, Donald Trump est un personnage extrêmement imprévisible et polarisant, et son retour au poste de président semble venir avec un petit goût de vengeance sur ses opposants et tous ceux qui ont voulu l’éloigner du pouvoir après son premier mandat de 2020.

On sait qu’il n’aime pas particulièrement Justin Trudeau, tout comme Elon Musk, d’ailleurs, qui est un proche conseiller de Trump. Mais le premier ministre canadien a rapidement réagi, et comme on entend souvent dire à propos de Trump, il a tendance à adopter la dernière idée qu’on lui souffle à l’oreille. Peut-être que si Trudeau est assez persuasif, et si le reste de la classe politique américaine le répète assez souvent, Trump va peut-être reculer.

C’est à suivre… mais une taxe de 25% appliquée du jour au lendemain sur tout ce qui se fait au Canada et qui est vendu aux États-Unis est plus qu’incertaine à l’heure actuelle.

Le texte Taxe de 25% sur les pièces automobiles canadiennes ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Dans l’univers de la Formule 1, les premières années de compétition offraient une liberté de conception qui a permis aux constructeurs d’innover sans limites. Mercedes-Benz a profité de cette époque pour concevoir la légendaire W 196 R, une voiture de course à cockpit ouvert, également disponible avec une carrosserie profilée, appelée Stromlinienwagen. Aujourd’hui, RM Sotheby’s met aux enchères l’un de ces modèles iconiques, chargé d’un passé glorieux.

Une carrière sportive exceptionnelle

C’est lors du Grand Prix de Buenos Aires en janvier 1955 que cette voiture, pilotée par le légendaire Juan Manuel Fangio, a fait ses débuts en compétition. Le châssis numéro 9, arborant le numéro de course 9, a offert à Mercedes une victoire éclatante, un doublé historique. La même voiture a terminé sa carrière en apothéose au Grand Prix d’Italie 1955, cette fois sous la conduite de Sir Stirling Moss, avec une nouvelle victoire et le tour le plus rapide en prime. Mercedes-Benz avait initialement conservé les 10 exemplaires de la W 196 après leurs campagnes victorieuses, en veillant à les maintenir en état de fonctionnement. Cependant, le constructeur a fini par en céder quatre, dont le fameux châssis numéro 9. Cette voiture a ensuite trouvé refuge à la Fondation de l’Indianapolis Motor Speedway, où elle a été soigneusement restaurée à deux reprises.

Un trésor inestimable

Selon RM Sotheby’s, cette Stromlinienwagen est la seule W 196 R jamais proposée à un client privé. Elle fait également partie des quatre modèles encore existants avec cette carrosserie profilée, telle qu’elle était utilisée lors de la saison 1955 de Formule 1. Son prix est estimé à plus de 55 millions de dollars américain. Cette vente intervient seulement deux ans après qu’une autre Mercedes mythique, la 300 SLR Uhlenhaut Coupé, a été adjugée pour un montant record de 143 millions de dollars, devenant ainsi le véhicule le plus cher jamais vendu. Si la W 196 est légèrement moins rare, son palmarès sportif inégalé et son statut d’icône suffisent à justifier son prix.

Un joyau de l’histoire automobile

Ce modèle incarne une époque où la Formule 1 était encore un terrain de créativité illimitée, et son héritage témoigne de l’excellence de Mercedes-Benz en compétition. Les collectionneurs et passionnés d’automobiles classiques auront bientôt l’opportunité unique de posséder un morceau vivant de l’histoire du sport automobile.

Avec des renseignements de Motor1

Le texte Une légendaire Mercedes W 196 R F1 à vendre provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les gouvernements du Canada et du Québec s’unissent pour investir 327,6 millions de dollars afin d’améliorer les infrastructures du port de Bécancour. Située à environ 160 kilomètres au nord-est de Montréal, la ville se positionne comme un pôle clé dans la chaîne d’approvisionnement des batteries pour véhicules électriques (VÉS). Ces fonds permettront notamment la construction d’un nouveau quai sur la rive sud du fleuve Saint-Laurent, l’expansion des installations de stockage et une série d’améliorations visant à augmenter la capacité et à accélérer le transit des marchandises.

Des projets ambitieux, mais des défis à surmonter

Bécancour accueille plusieurs projets industriels liés aux batteries électriques, mais certains rencontrent des obstacles :

  • Ultium CAM : Ce projet de plus d’un milliard de dollars, fruit d’une coentreprise entre Posco Future M (Corée du Sud) et General Motors, a débuté en 2022. Bien que la construction soit achevée à 65 %, la production de matériaux cathodiques actifs est maintenant reportée à fin 2025 ou début 2026.
  • EcoPro BM Co. : Ce projet de 1,2 milliard de dollars en partenariat avec Ford et SK On a connu des interruptions prolongées cette année. En raison de modifications technologiques et économiques, Ford s’est retiré, mais EcoPro poursuit la construction, sans calendrier précis pour la production.
  • Nemaska Lithium : Cette entreprise québécoise travaille à l’établissement d’une usine de traitement de lithium, essentielle pour la fabrication de batteries.

Bécancour, un futur pôle industriel

Avec plus de 2 500 travailleurs déjà actifs sur les chantiers et des prévisions d’emplois pouvant atteindre 3 000 postes à long terme, Bécancour s’affirme comme une locomotive industrielle pour le Québec. Lors d’une déclaration le 18 novembre, Christine Fréchette, ministre québécoise de l’Économie, a souligné que la région a le potentiel de propulser l’économie industrielle de la province vers de nouveaux sommets dans les décennies à venir.

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

Le texte Québec et Ottawa investissent 327 millions dans le port de Bécancour pour soutenir le secteur des batteries provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La Brasserie Labatt renforce son engagement en faveur du développement durable avec l’acquisition de 10 camions électriques à batterie Volvo VNR. Cette commande marque un record, représentant la plus importante commande unique de ce modèle au Canada et près de 25 % des livraisons de Volvo Trucks dans le pays. Ce nouvel investissement s’ajoute à une autre annonce marquante : l’acquisition du tout premier camion de réparation mobile à zéro émission pour le Québec.

Une étape vers la carboneutralité d’ici 2040

« L’intégration de camions électriques dans notre flotte marque une étape importante pour nos activités et notre objectif de livrer la bière de manière efficace et durable », a déclaré Sarah Genetti, directrice principale de l’approvisionnement et du développement durable à la Brasserie Labatt. Elle souligne que cette initiative s’inscrit dans l’objectif mondial de l’entreprise d’atteindre la carboneutralité d’ici 2040 et reflète l’adoption de solutions innovantes pour réduire l’empreinte carbone.

Un investissement soutenu par des subventions gouvernementales

L’investissement total de 5,47 millions de dollars pour cette flotte électrique a bénéficié d’un appui significatif :

  • 750 000 $ du gouvernement fédéral via le programme Incitatifs pour les véhicules moyens et lourds zéro émission (iVMLZE).
  • 875 000 $ du gouvernement du Québec dans le cadre de son programme Écocamionnage.

Des performances impressionnantes

Depuis leur mise en service, les camions électriques de Labatt ont déjà livré 270 000 caisses de produits dans la province. Chaque véhicule élimine les émissions équivalentes à six camions diesel, soit une réduction totale des émissions équivalente à 60 voitures.

Les camions Volvo VNR se distinguent par :

  • Une autonomie de 280 km grâce à une configuration à quatre batteries (300 kWh).
  • Une puissance de 340 kWh (455 ch) et un couple maximal de 4 051 lb/pi.
  • Une capacité de remorquage pouvant atteindre 80 000 lb PNBC.

Une logistique adaptée aux opérations au Québec

Les camions électriques opèrent depuis deux centres de distribution :

  • Montréal, avec un trajet moyen de 50 km par jour.
  • Bois-des-Filion, où les véhicules parcourent en moyenne 110 km par jour.

Labatt a également installé une infrastructure de recharge sur mesure, comprenant des bornes ABB avancées à ports multiples, pour répondre aux besoins énergétiques de ses camions.

Une adoption réussie

Les équipes de livraison de Labatt ont reçu une formation approfondie pour utiliser ces nouveaux véhicules. La rétroaction des conducteurs a été très positive, mettant en avant :

  • Une facilité de conduite.
  • Une excellente visibilité depuis la cabine.
  • Un fonctionnement silencieux qui améliore les conditions de travail.

Le texte La brasserie Labatt investit 5,47 millions pour des camions électriques provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Volkswagen, principal actionnaire de Northvolt, a considérablement déprécié sa participation de 21 % dans le fabricant suédois de batteries. Northvolt, qui a récemment déposé une demande de protection contre la faillite aux États-Unis, a accumulé des retards de production et subi les conséquences d’une demande plus faible que prévue pour les véhicules électriques en Europe.

Une baisse de valeur progressive

À la fin de 2023, Volkswagen estimait la valeur comptable de sa participation dans Northvolt à 693 millions d’euros, soit une baisse de près de 25 % par rapport à l’année précédente. Cette valeur aurait chuté encore plus au cours de l’année 2024, selon des sources anonymes. Ces dépréciations, bien que significatives, n’affecteront pas les résultats annuels de Volkswagen, la majorité des ajustements ayant été réalisés avant que Northvolt ne déclare faillite. Volkswagen prévoit une marge d’exploitation de 5,6 % et un flux de trésorerie net de 2 milliards d’euros dans sa division automobile pour 2024.

Silence officiel de Volkswagen

Volkswagen a refusé de commenter ces ajustements, soulignant qu’aucune déclaration spécifique ne serait faite sur les répercussions du dépôt de bilan de Northvolt.

Autres actionnaires également touchés

  • Goldman Sachs, deuxième actionnaire avec 19,2 %, prévoit d’éliminer entièrement la valeur de sa participation, évaluée à 900 millions de dollars.
  • Le fonds de pension suédois AMF, parmi les 10 principaux actionnaires, a également ajusté ses investissements dans Northvolt. Bien qu’aucun chiffre précis n’ait été fourni, un porte-parole a admis que la valeur de Northvolt avait considérablement diminué en un an.
  • Baillie Gifford, sixième actionnaire avec 4,8 %, a réduit la valorisation de sa participation à 20 millions de livres en septembre 2024, contre 375 millions en mars.

Une chute brutale pour Northvolt

Le fabricant de batteries, autrefois symbole de l’essor des véhicules électriques en Europe, fait face à une crise qui reflète les défis du secteur dans une période d’incertitude économique et de lente adoption des véhicules électriques.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte Volkswagen révise à la baisse sa participation dans Northvolt provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

BYD, le plus grand fabricant de véhicules électriques (VÉS) au monde, domine les ventes grâce à des prix compétitifs. Cependant, cette réussite a un revers. Selon un rapport d’Amnesty International, le coût humain de la production chez BYD est préoccupant, en particulier en ce qui concerne l’approvisionnement en minerais critiques comme le cobalt. L’étude Recharge for Rights, qui évalue les risques de violations des droits humains dans les chaînes d’approvisionnement, classe BYD à la dernière place parmi 13 constructeurs automobiles, avec un score de 11 sur 90. À titre de comparaison, Mercedes, en tête de liste, a obtenu 51 points, suivi de Tesla avec 49 points.

Un Manque de Transparence Critiqué

Amnestie Internationale a souligné que, contrairement à Mercedes ou Tesla, BYD refuse de divulguer l’origine de son cobalt, un composant clé des batteries électriques. Ce manque de transparence est particulièrement préoccupant, car le cobalt est souvent extrait dans des conditions déplorables, notamment en République Démocratique du Congo (RDC), où des enfants travaillent dans les mines. D’autres entreprises comme Geely, Hyundai, et Mitsubishi sont également pointées du doigt pour leur opacité. À l’opposé, les constructeurs les mieux notés ont démontré une cartographie claire de leurs chaînes d’approvisionnement. Toutefois, aucun constructeurs n’obtient la note de passage fixée à 68 par Amnistie Internationale.

Le Classement des Constructeurs en Droits Humains

Voici les résultats de l’étude :

Constructeur note sur 90
Mercedes 51
Tesla 49
Stellantis 42
Volkswagen (VW) 41
BMW 41
Ford 41
General Motors (GM) 32
Renault 27
Nissan 22
Geely 22
Hyundai 21
Mitsubishi 13
BYD 11

Une Transition Électrique à Revoir

Si les véhicules électriques (VE) promettent un avenir sans émissions de gaz d’échappement, leur production pose des questions éthiques majeures. L’extraction des minerais comme le lithium, le nickel et le cobalt provoque des dégâts environnementaux et expose des travailleurs vulnérables à des abus, souvent dans des pays à faible régulation. Agnès Callamard, d’Amnestie Internationale, souligne que les constructeurs doivent renforcer leurs contrôles de diligence raisonnable pour aligner leurs pratiques avec les standards internationaux. Bien que des directives comme la Corporate Sustainability Due Diligence Directive entrée en vigueur en Europe cet été favorisent une meilleure transparence, les progrès restent insuffisants.

Une Électrification Juste et Durable : Un Défi à Relever

« Les retardataires doivent travailler plus vite et plus dur pour démontrer que les droits humains ne sont pas un simple slogan, mais une priorité réelle », déclare Callamard. L’industrie des VÉS doit garantir que la transition énergétique ne laisse personne de côté, en intégrant des pratiques éthiques dans ses chaînes d’approvisionnement.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte Fabrication de batteries et violation de droits humains provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Copenhague, Danemark- Alors que tout le monde croyaient que Volvo allait montrer la porte de sortie au XC 90 lorsque l’EX 90 a été présenté, ce dernier revient sur le marché avec une mise à jour pour 2025. Volvo a même annoncé que le XC90 restera sur la route aussi longtemps qu’il y aura de la demande. Le Canada aura droit à deux versions déjà connues. Le modèle B6 à essence en entrée de gamme et le T8 hybride branchable en version haut de gamme avec 60 km d’autonomie à l’index.

Plus moderne

Dès le premier coup d’œil, le Volvo XC90 2025 capte l’attention avec un design à la fois sobre et sophistiqué, dans le pur style scandinave. Ses lignes pures et angulaires rappellent les côtes rocheuses de la Suède, tandis que la grille de calandre minimaliste et les feux en “marteau de Thor” créent une signature visuelle unique. Même si le châssis reste le même, Volvo présente une nouvelles calandre et des jantes nouveau genre qui vont jusqu’à 22 pouces sur la version T8 Le modèle B6 brille par ses finitions épurées, parfaites pour ceux qui préfèrent l’élégance discrète, tandis que le T8 Recharge ajoute une touche de modernité avec des détails distinctifs qui évoquent sa motorisation hybride.

La sécurité en tête

La sécurité reste l’un des points forts de Volvo, et le XC90 2025 ne fait pas exception. Doté d’une pléiade de technologies de pointe, le véhicule est équipé de systèmes avancés comme l’aide à la conduite semi-autonome Pilot Assist, la surveillance d’angle mort et un freinage d’urgence encore plus réactif. Ce VUS semble lire la route avec une précision presque prédictive. Que vous soyez en ville ou sur une autoroute sinueuse, les systèmes de sécurité du XC90 offrent un véritable bouclier pour la famille – du solide, rassurant, et presque infaillible.

Spacieux

L’intérieur du XC90 s’apparente à un salon de luxe suédois, où chaque espace est pensé pour maximiser le confort et l’élégance. Avec ses trois rangées de sièges, il peut accueillir sept passagers sans compromettre l’espace pour les jambes. Les sièges de la deuxième rangée coulissent pour ajuster l’espace de la troisième, et même les passagers les plus grands y trouveront leur compte.

Facile à vivre

Sur le plan de la convivialité, Volvo a intégré un système d’infodivertissement Google qui transforme l’expérience de conduite en un moment de détente connectée : commandes vocales intuitives, navigation en temps réel et même la gestion de la domotique à distance. Le XC90 T8 se distingue par ses sièges ventilés avec massage, pour une touche de raffinement supplémentaire. La tablette centrale est mieux conçue cette année avec des menus séparés à l’écran qui facilite la navigation, mais réduit l’espace d’écran principal. Volvo devra inventer une nouvelle approche plus simple. Pour le moment, il y a une petite amélioration d’un système existant qui n’est pas idéal. Un grand toit ouvert panoramique ajoute de la lumière et un bel atmosphère dans l’habitacle. Finalement, le XC90 inclut des espaces de rangement bien pensés, incluant des porte-gobelets, un compartiment pour téléphone, et des espaces sous les sièges pour les effets personnels.

Sobre et luxueux

On retrouve dans le XC90 le confort typiquement scandinave : sobre, luxueux, mais sans ostentation et avec une fermeté propre aux modèles européens. La qualité des matériaux est sans reproche, avec des finitions en bois et en métal, une sellerie en cuir Nappa de qualité, et un éclairage d’ambiance qui transforme les trajets nocturnes en une expérience zen. La suspension pneumatique absorbe bien les chocs et les irrégularités de la route sans être trop ferme, donnant au véhicule une douceur de roulement agréable sans sacrifier la stabilité. Notre modèle T8 à L’essai offrait des sièges avant avec options de ventilation et fonction massage, offrant un confort supplémentaire pour les longs trajets. Grâce à un vitrage laminé et une isolation renforcée, l’habitacle du XC90 reste silencieux, même à vitesse élevée.

Un 4 cylindres capable

Le XC90 propose deux personnalités bien distinctes. La version B6, avec son moteur turbo de 2,0 litres, développe 295 chevaux avec un comportement plus confortable que sportif, idéal pour ceux qui recherchent une conduite tout en douceur. Le T8 Recharge, quant à lui, apporte un moteur hybride rechargeable combinant un moteur électrique à l’avant et un moteur essence. Il permet une accélération plus musclée et peut rouler jusqu’à 53 km en mode 100% électrique, idéal pour des trajets urbains sans émissions. Le moteur 4 cylindres répond bien à haut régime, mais trahit un peu ses origines à bas régime. Il est encore un peu rugueux en fortes accélérations. Mais, pour une conduite au quotidien. En mode électrique, le T8 offre la conduite “à une pédale”, où le conducteur peut freiner et accélérer en utilisant uniquement la pédale d’accélérateur. Sous le capot, pas de changement pour 2025, La version B6 arrive avec un 4 cylindres 2 litres turbo de 295 chevaux et 310 lb-pi de couple. La version T8 ajoute un compresseur et un moteur électrique au moteur 4 cylindres pour produire 455 chevaux et 523 lb-pi de couple. Dans les deux cas, vous avez 4 roues motrices et un boîte automatique à huit rapports.

Pas trop gourmand

En termes de consommation, le B6 affiche des chiffres corrects pour un VUS de cette taille, avec une consommation combinée autour de 10 L/100 km. Le T8 Recharge, quant à lui, se démarque par son autonomie électrique et une consommation moyenne en mode hybride avoisinant les 6 L/100 km pour ceux qui maximisent la recharge. Volvo a vraiment travaillé à rendre le T8 économe, avec une gestion de l’énergie bien pensée qui privilégie la batterie en zone urbaine.

Un techno qui demande de la patience

Les deux modèles, B6 et T8, sont équipés de la dernière génération du système de navigation Google Automotive, qui inclut un assistant vocal amélioré, des mises à jour automatiques et une interface intuitive. Les multiples options de personnalisation permettent d’adapter le XC90 aux préférences de chaque conducteur. Volvo n’a pas lésiné sur l’intégration de nouvelles fonctionnalités, tout en rendant ces options faciles à utiliser. Avec une connectivité sans fil pour Apple CarPlay et Android Auto, les passagers peuvent se connecter sans fil et accéder à leurs applications préférées. Le XC90 utilise des capteurs et des caméras pour détecter les obstacles, les piétons, et les cyclistes, activant le freinage automatique si une collision est imminente. La caméra 360° simplifie le stationnement et la navigation dans les espaces restreints. Le système de navigation a connu quelques ratés dans notre seconde moitié de journée, rendant le trajet en Suède un peu plus compliqué.

En vrac

Un éclairage d’ambiance subtil rehausse le charme de l’intérieur lors des trajets de nuit, ajoutant à l’expérience haut de gamme. On retrouve aussi un système semi-autonome qui aide le conducteur à maintenir la trajectoire, la distance et la vitesse sur les autoroutes, et fonctionne jusqu’à une vitesse de 130 km/h. En cas de sortie de route, le XC90 peut détecter le danger et ajuster les ceintures de sécurité des passagers pour minimiser les blessures potentielles. En plus des coussins frontaux et latéraux, le XC90 intègre un système de protection des genoux pour le conducteur. Avec une simple pression ou un mouvement de pied sous le pare-chocs arrière, le hayon s’ouvre automatiquement. Présent sur notre modèle d’essai, le système audio haut de gamme de Bowers & Wilkins transforme l’habitacle en salle de concert, avec une qualité sonore exceptionnelle.

Valeur

Volvo Canada n’a pas encore annoncé les prix pour les modèles B6 et T8. L’an dernier, le modèle B6 débutait à un peu plus de 77 000$ alors qu’un T8 de base allait de 88 à 98 000 $. Il faudra sans doute regarder à plus de 100 000 $ pour un modèle T8 bien équipé. Ce qui place Volvo nez à nez avec des modèles comparables chez BMW, Mercedes-Benz ou Audi.

Conclusion

Le XC90 arrive en concession en janvier 2025 et va rester en place pour ceux qui n’osent pas encore s’aventurer dans le grand VUS tout électrique que sera l’EX 90. Pas une révolution, mais une bonne valeur dans le segment.

Forces :

Sécurité de haut niveau

Confort intérieur remarquable,

Excellente insonorisation

Faiblesses

Moteurs grincheux à bas régime

Système d’infodivertissement encore perfectible

Un prix qui risque de donner des boutons

Le texte Volvo XC90 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les fans de la Célica ont attendu des années. En 2017, Toyota avait déposé un brevet pour relancer le nom, mais celui-ci a expiré en 2021 sans aboutir. Cependant, en octobre dernier, Toyota a de nouveau revendiqué la marque auprès de l’USPTO (United States Patent and Trademark Office), décrivant la Célica comme des “automobiles et leurs pièces structurelles”.

Une renaissance en pleine transition énergétique

Dans une industrie automobile en marche vers l’électrification, Toyota adopte une stratégie singulière en ne tournant pas le dos entièrement aux moteurs thermiques. Conscient de son retard sur le marché des véhicules électriques (VE), le constructeur mise sur des solutions hybrides et des moteurs à combustion interne (ICE). La Célica pourrait ainsi revenir sous la forme d’un modèle thermique, propulsé par l’un des moteurs les plus performants de Toyota. En effet, le constructeur a récemment dévoilé son travail sur un moteur 2.0 litres turbo pouvant produire jusqu’à 600 chevaux. Cette mécanique surpuissante pourrait trouver sa place sous le capot de la huitième génération de Célica.

Un moteur à la hauteur des attentes

Le moteur développé par Toyota dépasserait les performances du célèbre 2.0 litres Mercedes-AMG M139, qui produit 421 chevaux . Parallèlement, Toyota pourrait également proposer une version hybride, utilisant le moteur 1.6 litres trois cylindres turbo déjà éprouvé dans la GR Yaris. Les puristes espèrent également une transmission manuelle, mais cette option reste à confirmer.

Confirmation officielle de Toyota

Hiroi Nakajima, directeur de la technologie de Toyota, a confirmé lors du Championnat du monde des rallyes que la Célica était bien en développement. “De nombreuses personnes au sein de l’entreprise attendent avec impatience la Célica”, a-t-il déclaré. Bien qu’aucun prototype ne soit encore visible, cette déclaration marque une étape majeure pour les amateurs de la sportive légendaire.

La vision de Koji Sato

L’an dernier, Koji Sato, nouvellement élu président de Toyota, avait déjà annoncé son ambition de ressusciter la Célica. Ses propos et les récents développements confirment que le retour de cette icône n’est plus un rêve lointain. Avec presque deux décennies de pause, la Célica s’apprête à reprendre la route. Son avenir repose sur un mélange d’innovation technologique et de respect pour son riche héritage, répondant ainsi aux attentes des passionnés et aux défis de l’industrie actuelle.

Un modèle qui fait rêver

Le retour de la Célica, prévu dans les années à venir, promet d’être un moment charnière pour Toyota. Entre tradition et modernité, cette sportive emblématique pourrait redéfinir l’avenir des véhicules de la marque dans un monde en pleine mutation.

Avec des renseignements d’Auto evolution

Le texte Toyota prépare le grand retour de la Célica provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile