Lamborghini a profité de l’exposition Quail, un rassemblement de sports mécaniques pour dévoiler une perle rare. Car la Fenomeno, son nouveau bolide pour bien nantis sera produit à tout juste 29 exemplaires… plus un trentième qu’on destine au Musée Lamborghini à Sant’Agata Bolognese, en Italie. Il a été la vedette de cet événement présenté au Peninsula and Quail Lodge, un luxueux complexe hôtelier avec terrain de golf à Carmel, en Californie, hier.

« La Fenomeno fait usage des solutions techniques les plus avancées de notre histoire, pour repousser les limites de la performance et du design, tout en honorant les valeurs et les réalisations qui sont le fondement de notre ADN », a déclaré Stephan Winkelmann, président-directeur général d’Automobili Lamborghini, avant de découvrir ce nouveau bolide à Carmel.

Ce message donnait le ton du cahier de charge qu’avait reçu le Centro Stile pour la créer. Du même coup, la Fenomeno met en valeur les 20 années d’existence de ce centre de design, que Lamborghini a inauguré en 2005. Après tout, cet audacieux pôle de développement de supersportives a donné naissance à plusieurs autres modèles aussi rares qu’exceptionnels, des voitures qu’émule la nouvelle venue. Qu’on pense, par exemple, à la Sesto Elemento (2010), la Veneno (2013), le coupé et le roadster Centenario (2016), la Sián (2019) et la Countach LPI 800-4 (2021); des modèles d’exception parmi lesquels le roadster Centenario et la Countach LPI 800-4 avaient d’ailleurs fait leurs débuts dans le cadre même événement.

La Fenomeno sera donc très rare. À l’instar de la Revuelto, sur laquelle sa conception est basée, elle sera également très puissante. Sa motorisation hybride non branchable ne procurera à son conducteur rien de moins que 1 080 ch. Cette puissance provient, d’une part, du V12 le plus puissant jamais fabriqué par ce constructeur italien (un moteur de 6,5 L qui produit 835 ch, soit 10 de plus que le V12 de la Revuelto) et, d’autre part, d’un trio de moteurs électriques produisant 245 ch.

Les performances sont à la mesure de cette motorisation. La Fenomeno a une vitesse de pointe supérieure à 350 km/h. De plus, elle accélère de 0 à 100 km/h en tout juste 2,4 secondes. Elle peut même réaliser un sprint jusqu’à 200 km/h en 6,7 secondes.

On ne sera pas surpris d’apprendre qu’on l’a munie de technologies typiques aux voitures de course, afin d’optimiser sa dynamique de conduite et ses performances. Ainsi, sa suspension sport a été conçue pour rendre la Fenomeno extrêmement précise et stable en conduite sportive, alors que son système de freinage CCM-R Plus à disques en carbone-céramique garantit une efficacité maximale sur route comme sur piste : à 100 km/h, 30 m suffisent pour l’immobiliser. Enfin, son agilité serait accentuée par des pneus Bridgestone spécialement développés pour la piste qui chaussent ses roues forgées à écrou unique, affirme le constructeur.

Fidèle à la tradition, le constructeur de Sant’Agata Bologne a déniché un nouveau nom rappelant un taureau célèbre pour désigner cette nouveauté. D’après Lamborghini, Fenómeno aurait été la vedette bovine d’un combat disputé lors d’une corrida historique à Morelia, au Mexique, en 2002. On raconte que durant cette épreuve qui l’opposait à deux toreros, la bête aurait été « graciée » pour avoir fait preuve de « qualités exceptionnelles ». Bien choisi, le mot espagnol fenómeno signifie « phénoménal », alors qu’en italien, il se traduit par fenomenale. De plus, puisqu’il garde le même sens en français et en anglais, ce vocable résume parfaitement l’esprit unique et exceptionnel du nouveau bolide. Tout comme son prix d’ailleurs. Il gravite autour de 5 M$ CAN. Un chiffre astronomique qui n’a pas freiné sa vente. Car, les 29 Fenomeno ont déjà trouvé preneurs, révèle le constructeur.

Photos : Lamborghini

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Le Link Kit, ou plus couramment appelé biellette de barre stabilisatrice sur une voiture, est un composant essentiel du système de suspension qui relie la barre stabilisatrice (ou barre anti-roulis) aux amortisseurs ou à la suspension elle-même. Voici à quoi il sert :

Fonction principale :

La biellette de barre stabilisatrice a pour rôle de maintenir la stabilité du véhicule, en particulier lors des virages. La barre stabilisatrice, à laquelle la biellette est reliée, répartit le poids du véhicule entre les roues gauche et droite pour limiter le roulis (le basculement latéral) lors des changements de direction.

Comment ça marche :

  • Lorsque le véhicule prend un virage, le poids du véhicule a tendance à se déplacer vers l’extérieur du virage, ce qui peut provoquer une inclinaison (roulis) excessive.
  • La barre stabilisatrice, connectée aux suspensions par les biellettes, agit comme un lien entre les deux côtés du véhicule. Elle transfère la force de l’un des côtés de la suspension à l’autre, réduisant ainsi l’inclinaison et augmentant la stabilité.
  • La biellette de barre stabilisatrice assure cette liaison mécanique entre la barre et les suspensions, permettant une réponse plus rapide et précise lors des virages.

Signes de défaillance :

  • Bruits de cliquetis ou de clunking : Si la biellette est usée ou cassée, vous pouvez entendre des bruits métalliques lorsque vous prenez des virages ou roulez sur des bosses.
  • Mauvaise maniabilité : Un Link Kit défectueux peut rendre la voiture moins stable dans les virages, avec une sensation d’instabilité ou un excès de roulis.
  • Usure des pneus : Une biellette endommagée peut entraîner une mauvaise répartition des forces, causant une usure irrégulière des pneus.

Conclusion :

Le Link Kit (biellette de barre stabilisatrice) est un petit composant, mais il joue un rôle essentiel dans la sécurité et le confort de conduite en assurant la stabilité du véhicule. Si vous remarquez des bruits anormaux ou une maniabilité altérée, il est recommandé de faire inspecter et, si nécessaire, remplacer les biellettes pour éviter une usure supplémentaire et maintenir une conduite sûre.

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• En Angleterre, Volkswagen offre un surplus de puissance en option avec son modèle ID.3.

En quelque sorte, il a toujours été nécessaire de payer un supplément pour obtenir plus de puissance avec un véhicule. Généralement, c’est en optant pour une version plus haut de gamme d’un modèle qui est dotée d’une mécanique plus puissante, que l’on obtient des prestations plus intéressantes.

Si l’on se fie à une offre de Volkswagen du côté de l’Angleterre, on pourrait assister à quelque chose de nouveau au cours des prochaines années.

Volkswagen ID.3
Volkswagen ID.3 | Auto123.com

En effet, sur ce marché, les acheteurs d’un modèle ID.3 peuvent choisir de payer un abonnement mensuel pour profiter d’une augmentation de la puissance de leur véhicule.

Concrètement, les gens peuvent débourser quelque 30 $ CA par mois pour voir la capacité de leur modèle passer de 148 à 168 chevaux. Les propriétaires peuvent opter pour un plan mensuel, annuel, ou encore débourser un prix autour de 1200 $ pour jouir du surplus de puissance en tout temps.

Oui, les véhicules sont rendus là.

C’est le site Auto Express qui rapporte cette nouvelle et malheureusement, il n’a pas pu confirmer si l’achat ou la location d’un surplus de puissance était lié au véhicule ou à l’acheteur. Il serait facile d’imaginer le deuxième scénario, car à la revente, le potentiel de profit est plus intéressant pour la compagnie.

À condition que les gens acceptent de payer pour un surplus de puissance.

On a déjà vu BMW exiger des abonnements mensuels pour avoir accès à certaines options de la voiture. La stratégie n’a pas été un succès. Souhaitons que cette expérience de Volkswagen se limite à l’Angleterre.

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La NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) américaine, l’équivalent de Transports Canada, a ouvert une enquête concernant le Ford Flex, ce véhicule utilitaire aux allures de familiale et au style unique qui a été commercialisé sur une période de 10 ans, à partir de l’année 2009.

Le problème

Plusieurs propriétaires ont signalé que la moulure que l’on retrouve sur le pilier B des modèles peut se détacher du véhicule, ce qui présente un risque certain pour les autres usagers de la route.

Une des plaintes fait état d’un incident où la pièce qui s’est détachée est allée frapper le véhicule qui suivait.

Ford Flex
Ford Flex | Auto123.com

C’est le bureau d’enquête sur les défauts de la NHTSA qui mène les recherches qui portent sur 35 950 véhicules. Pour le moment, l’agence se concentre sur les éditions des années 2019, mais d’autres plaintes concernant des unités des millésimes 2016 à 2018 ont été reçues. Tout sera passé au peigne fin.

Le Flex aura marqué les esprits, malgré un passage qui n’a pas été couronné de succès. Ford espérait écouler 100 000 unités par année, mais la meilleure campagne a été celle de 2009, avec un peu moins de 40 000 ventes.

Il faudra voir si l’enquête de la NHTSA va mener vers un rappel. Le dossier est important, car puisqu’il concerne le détachement possible d’une pièce du modèle sur la route, cela pose un risque pour la sécurité des autres usagers.

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Ford ressuscite un logo de 1912 pour marquer un « moment Model T » en 2025 | Auto123.com

Ford a replongé dans ses archives centenaires pour dévoiler une innovation manufacturière d’envergure, en s’inspirant du véhicule qui l’a rendue célèbre : le Model T. Le constructeur a ressuscité un logo de 1912, un triangle ailé, pour annoncer sa nouvelle plateforme universelle pour véhicules électriques.

Le PDG Jim Farley qualifie ce projet de « moment Model T » pour Ford.

Voir aussi : Ford promet une camionnette électrique à 30 000 $ pour 2027

Ford ressuscite un logo de 1912 pour marquer un « moment Model T » en 2025 | Auto123.com

Un clin d’œil au passé

Le logo d’origine, utilisé en 1912 pour promouvoir le Model T comme « The Universal Car », symbolisait la vitesse, la légèreté, la grâce et la stabilité. Une publicité d’époque, mise en lumière par The Autopian et le Musée Henry Ford, vantait la polyvalence et l’accessibilité du Model T. Cette structure était disponible en plusieurs configurations (roadster, voiture cinq places ou véhicule de livraison) tout en reposant sur le même châssis.

Le parallèle avec 2025

Ford réactualise aujourd’hui ce logo avec la mention « The Universal Vehicle ». Cela symbolise une approche similaire : une base technique unique qui pourra accueillir plusieurs types de véhicules électriques, avec un coût de production réduit et une grande adaptabilité.

« Le Model T a été la première vraie voiture universelle : abordable, adaptable, et réparable par n’importe qui avec une clé et un peu de bon sens. Il a changé la société. Il est temps de changer la donne encore une fois. »

• Jim Farley, PDG de Ford

Un pari audacieux

Fait intéressant, Henry Ford lui-même n’aimait pas le triangle ailé, qui avait été rapidement retiré à l’époque. Mais pour Farley, ce retour symbolique pourrait incarner une nouvelle étape clé de l’histoire de la marque, mêlant héritage et modernité.

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Après avoir misé sur l’électrification avec des hybrides rechargeables et le Wagoneer S entièrement électrique, Jeep ravive la flamme des amateurs de gros moteurs. Le PDG Bob Broderdorf a confirmé que la marque exploitera de nouveau la puissance et les performances du moteur Hemi sur plusieurs modèles. De nouvelles options mécaniques sont même à venir pour offrir encore plus de chevaux.

Le Wrangler Rubicon 392 sauvé de justesse

Le retour du Hemi commence par le Wrangler Rubicon 392, équipé d’un moteur V-8 Hemi de 6,4 litres qui développe 470 chevaux. Ce modèle, qui devait initialement disparaître l’an dernier, reste finalement au catalogue, devenant ainsi le porte-étendard de la performance de Jeep pour les années à venir. « Après avoir roulé sur le Rubicon Trail, on voit à quel point les gens aiment le rugissement du 392 », a expliqué Bob Broderdorf.

Moteur V8 6,2 litres du Jeep Grand Cherokee Trailhawk
Moteur V8 6,2 litres du Jeep Grand Cherokee Trailhawk | Auto123.com

Un héritage de performance

Le moteur Hemi a longtemps permis à Jeep d’attirer à la fois les amateurs de performance routière et les passionnés de hors route extrême. On le retrouvait autrefois sur les modèles Wagoneer, Grand Wagoneer, Grand Cherokee SRT (475 chevaux) et surtout le Grand Cherokee Trackhawk, un véritable monstre de 707 chevaux issu du moteur Hellcat.

Un mouvement qui dépasse Jeep

Ce retour du Hemi s’inscrit dans une stratégie plus large chez Stellantis. Ram ramène le Hemi au F-150 cet été et relancera le TRX, tandis que Dodge fera du Durango 2026 un modèle exclusivement Hemi. Plusieurs concessionnaires y voient le retour de la « folie » qui attirait les clients en salle d’exposition, même si tous ne repartaient pas avec ces modèles vedettes.

Les modèles pressentis

Broderdorf n’a pas précisé quelles Jeep recevront le Hemi, mais les rumeurs incluent le Gladiator, un potentiel nouveau Trackhawk, et le Grand Cherokee. De nombreuses personnes aimeraient voir ce dernier revenir avec un V-8 surpuissant. « Le Hemi est presque une marque à lui seul », a résumé Steven Wolf, concessionnaire à Houston, ajoutant qu’il « ralliera les troupes ».

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Cadillac met de nouveau la haute performance de l’avant avec le véhicule-concept électrique Elevated Velocity. Cette nouveauté sera présentée au public pour la première fois ce vendredi 15 août dans le cadre de l’exposition Quail, un rassemblement de sports mécaniques au Peninsula and Quail Lodge, un luxueux complexe hôtelier avec terrain de golf à Carmel, en Californie.

Depuis quelques années, les stratèges de General Motors œuvrent à faire de la performance une composante principale de l’image de Cadillac. Ils ont associé la marque à des championnats et des événements de sport automobiles de haut niveau, notamment les 24 Heures du Mans et la Formule 1. Ils ont aussi multiplié les versions performantes des différents modèles, notamment en annonçant récemment que les utilitaires électriques Lyriq et l’Optiq auront leurs versions V-Series en 2026.

Avec son long museau, l’Elevated Velocity (EV) pointe dans la même direction. Le constructeur affirme que ce nouveau véhicule-concept, un utilitaire 2+2 électrique, constituerait un moyen de transport exaltant, tant sur l’autoroute que sur une piste éloignée du bitume.

Proche parent d’un imposant coupé

Ce prototype préfigure de futurs éléments de design de la marque, affirme le constructeur. Ces éléments, il les partage d’ailleurs avec un autre concept récent : l’Opulant Velocity (OV), un imposant coupé également électrique, qui a été dévoilé en août 2024.

Le nouveau venu retient donc les formes anguleuses de la partie avant de l’OV et sa grande surface lumineuse décorative conçue pour projeter une « chorégraphie d’éclairage emblématique Cadillac ». Pour l’arrière du véhicule, ses designers ont également retenu les blocs optiques verticaux et le « tunnel d’anneaux lumineux » qui s’étend sur une large portion de sa poupe.

Au lieu des portes en élytre du coupé, l’EV a été doté de portes papillons qui découvrent entièrement l’habitacle en se soulevant. Ce choix convient sans doute mieux à ce véhicule « haut sur pattes », avec ses roues de 24 po d’un noir cristallin, fabriquées avec un mélange de fibres de lin et d’acrylique, et sa garde au sol surélevée et variable.

L’EV reprend aussi les proportions établies par la grande berline Celestiq, avec un long capot, un pavillon très bas et une ceinture de caisse très haute, sans oublier la lunette du hayon qui ressemble à une lucarne. Des caractéristiques excentriques qui rappellent les « véhicules de rêve » de l’époque glorieuse des Motorama de GM.

L’habitacle, un espace de récupération

À l’instar de l’OV, l’EV dispose aussi d’un système de conduite autonome. Ainsi, lorsque le conducteur sélectionne le mode « Elevation », le volant et les pédales se replient et s’escamotent. Le véhicule devient alors autonome et l’intérieur se transforme en un « espace de récupération pour les occupants », explique le constructeur.

Pour reprendre son rôle, le conducteur enclenche un second mode appelé « Velocity ». Le volant et le pédalier se déploient alors. Certaines informations comme la vitesse, l’heure, l’état de la batterie et la température s’affichent sur le volant, alors qu’un système d’affichage « tête haute » à réalité augmentée se charge des fonctions de navigation.

Cet habitacle contraste d’ailleurs beaucoup avec l’extérieur du véhicule qui se contente d’une peinture bleue vaporeuse aux nuances de gris siliceux d’allure froide. Car, dès qu’on soulève une portière, l’intérieur explose de couleurs avec ses trois teintes de rouge : un rouge griotte pour la sellerie de cuir, un rouge cerise pour le tissu qui habille des cloisons et un grenat pour le tissu bouclé servant à la planche de bord, à la partie supérieure des sièges et aux accoudoirs des portières et de la console. Heureusement, des garnitures de métal brossé apportent un contrepoint bienvenu dans ce décor plutôt exubérant.

Cadillac n’a publié aucune donnée technique relative à ce prototype. On ignore donc s’il peut rouler normalement. Cela n’empêche pas le constructeur d’évoquer la présence d’une motorisation offrant quatre modes de conduite pour « permettre aux conducteurs de profiter de la précision sur route et de la puissance en conduite hors route. » Le constructeur explique que le mode e-Velocity procure une conduite intense sur route, alors que le mode « Terra » servira en conduite tout terrain à l’aide d’une suspension pneumatique. Le mode « Vision dans le sable », quant à lui, s’apparente à la technologie de vision nocturne de Cadillac en optimisant la visibilité dans une tempête de sable et, enfin, le mode « Défi des éléments » isolerait les passagers des particules gênantes, comme la poussière et le sable.

Prêt pour la région du golfe Persique

Ces deux derniers semblent destinés à titiller une riche clientèle issue des pays du golfe persique. Voilà sans doute pourquoi le communiqué publié par General Motors le 14 août associe abondamment l’EV au polo du désert, une variante locale de ce sport équestre. Une discipline que certaines autres grandes marques de prestige et rivales de Cadillac ont déjà investie. C’est le cas notamment de Bentley Saudi Arabia, qui a commandité le Tournoi de polo du désert en partenariat avec la Fédération saoudienne de polo depuis le début de la décennie.

Cela explique sans doute aussi la présence d’un compartiment verrouillé à l’arrière de l’Elevated Velocity. Il recèle un équipement complet de polo fabriqué à la main : un casque, des gants, des genouillères et un maillet, tous rouge griotte et arborant les emblèmes de Cadillac. Comme scout, le conducteur de ce véhicule pourrait se dire « toujours prêt » pour une joute de polo du désert !

Photos : General Motors

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Les voitures disparaissent une à une du marché, mais il y a un segment où elles sont toujours nombreuses (le tout étant relatif), soit celui des modèles compacts. Les Honda Civic, Toyota Corolla, Mazda3, Kia K4 et Volkswagen Jetta, entre autres, continuent d’attirer la faveur d’un certain public. Le cas de la Jetta est intéressant. Voilà une voiture qui a un passé mythique au sein du groupe Volkswagen. Proposée au Canada depuis 1981, elle a marqué une génération et occupé différents rôles depuis près de 45 ans. En 2011, Volkswagen lui donnait même une nouvelle vocation, soit celle du modèle d’entrée de gamme de la marque, sous la Golf régulière qui était toujours proposée à ce moment-là. La Jetta a repris du galon depuis, mais puisque la Golf abordable n’est plus proposée au Canada, la Jetta demeure la proposition la moins chère de la gamme Volkswagen.

Trois versions

Il existe trois versions de la Jetta, soit les propositions Trendline, Comfortline et Highline. Il y en a une quatrième, en fait, avec la GLI, mais on parle d’une voiture qui est dans une autre catégorie, avec un moteur plus puissant et un comportement routier beaucoup plus intéressant. Les modèles Trendline et Comfortline sont les plus intéressants des trois premiers, principalement en raison de leurs prix respectifs, soit 28 460 $ et 30 860 $ (avec les frais de transports et de préparation). Avec le premier, on vous livre les sièges avant chauffants, la climatisation à deux zones, deux écrans de huit pouces, une banquette arrière rabattable en proportion 60-40, ainsi que les applications Apple CarPlay et Android Auto. Avec la déclinaison Comfortline, on ajoute la recharge sans fil pour cellulaires, le démarrage à distance, la connexion sans fil à Apple CarPlay et Android Auto, des sièges en cuirette plutôt qu’en tissu, une chaîne audio à six haut-parleurs plutôt que quatre, le régulateur de vitesse adaptatif, l’accès sans clef, ainsi que des essuie-glace qui détectent la pluie. Pour la majorité des besoins, le bonheur peut se trouver avec ces deux moutures.

Quant à la version Highline, elle ajoute des fioritures, comme une bande illuminée à l’avant, un toit ouvrant, un écran de 10,25 pouces pour les informations de conduite, des sièges en cuir, ainsi qu’un éclaira d’ambiance. À 34 860 $, l’offre est moins intéressante. Surtout, le saut à la version GLI n’est pas si grand. Cette variante, entièrement équipée et bien plus intéressante, se vend 37 660 $. Personnellement, ce serait la variante Comfortline ou bien la GLI.

La mécanique

La Jetta est animée par un moteur 4-cylindres turbo de 1,5 litre, lequel propose une cavalerie de 158 chevaux et un couple de 184 livres-pieds de couple. Ce bloc est marié à une boîte de vitesses automatique à huit rapports. Côté prestation, c’est correct, sans plus. On n’est jamais à court de puissance, mais il faut oublier les folies. De toute manière, ce n’est pas la vocation de ce modèle. Là où il impressionne, c’est à la pompe. C’est simple, la consommation de la Jetta est très impressionnante. Elle se rapproche dangereusement de celles de voitures hybrides dans la catégorie, mais la différence, c’est que la facture est bien moins élevée. Dans le cas de la Honda Civic hybride, la différence frise les 10 000 $. Lors de ma semaine d’essai d’une version Highline, j’ai maintenu une moyenne de 5,4 litres aux 100 kilomètres. Lors d’un trajet de 98 km, principalement réalisé sur l’autoroute, ma cote s’est établie à 4,8 litres. Sur un autre tracé de 60 km sur des autoroutes urbaines, j’ai réalisé un 4,4 litres. Ma pire sortie ; 5,9 litres pour une distance de 68 kilomètres. La cote de consommation de la Toyota Prius est de 4,8 litres aux 100 km. La Civic hybride est à 4,9 litres, les Toyota Corolla hybride et Hyundai Elantra hybride sont à 4,7 litres. Vraiment, la Jetta se prend pour une voiture hybride.

Au volant

Et au volant, elle ne déçoit pas. Son comportement routier est solide et son niveau de confort est tout à fait à la hauteur. Il est facile de se trouver une bonne position de conduite et les sièges, franchement, offrent un soutien parfait. S’il y a un petit bémol, c’est avec la boîte automatique qui, à basse vitesse, lorsqu’on freine et qu’on accélère fréquemment, semble se chercher un peu. Ce n’est pas un irritant majeur, mais il faut s’y habituer.

Conclusion

En bout de piste, la Jetta demeure un très bon choix pour ceux qui sont plus conscients de leur budget, tant à l’achat qu’à l’usage, avec un rendement si efficace à la pompe. Vous n’obtiendrez pas la même fiabilité que chez Honda ou chez Toyota, mais Volkswagen a progressé au fil des années et la Jetta peut surprendre à ce chapitre.

Forces

Consommation très faible

Coffre hyper généreux

Comportement routier sain

Faiblesses

Une boîte de vitesses qui est parfois hésitante à bas régime

La version Highline est moins intéressante

Encore trop de touches tactiles

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Acura fait revivre le nom RSX, mais oubliez le coupé sport des années 2000 : il revient en 2026 sous la forme d’un VUS électrique haute performance. Ce sera le premier véhicule conçu sur la nouvelle plateforme mondiale électrique Honda Zero, entièrement développée à l’interne.

Un lancement stratégique pour Honda en Amérique du Nord

Actuellement, l’offre électrique de Honda en Amérique du Nord est limitée au Honda Prologue et à l’Acura ZDX, deux modèles dérivés du GM Equinox EV. Avec la plateforme Zero, Honda veut lancer une nouvelle génération de véhicules maison. Le RSX sera assemblé à l’usine électrique d’Ohio, sur la même ligne que l’Acura Integra.

Design agressif et ADN de performance

Selon Lance Woelfer, vice-président des ventes automobiles chez American Honda Motor Co., le RSX promet « un design marquant et des technologies de pointe », en respectant près de 40 ans de l’ADN Precision Crafted Performance de la marque.
Yasutake Tsuchida, directeur créatif d’Acura, précise que le design vise une aérodynamique optimale.

Caractéristiques techniques connues

Bien qu’Acura n’ait pas encore publié de chiffres de performance, on sait que le RSX proposera une transmission intégrale à deux moteurs, une suspension avant à double triangulation sport, un centre de gravité bas et des freins Brembo de série. Le véhicule inaugurera aussi le nouveau système d’exploitation ASIMO de Honda, intégrant l’apprentissage machine pour personnaliser l’expérience selon l’utilisateur.

Recharge bidirectionnelle au programme

Le RSX sera compatible avec la recharge bidirectionnelle, permettant d’alimenter des appareils (V2X) ou de fournir de l’électricité à une maison (V2H).

Première mondiale à Monterey

Le prototype est présenté cette semaine au Pebble Beach Concours d’Elegance dans le cadre de la Monterey Car Week. La version de production est prévue pour la deuxième moitié de 2026.

Avec des renseignements d’Electrek

Le texte Acura ramène le nom RSX… sous la forme d’un VUS électrique sportif provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

BMW travaillerait sur le développement d’un VUS capable de rivaliser avec le mythique Mercedes-Benz de Classe G. C’est selon ce que rapporte le site Automotive News.

Voilà une nouvelle aussi intrigante qu’intéressante qui fait que l’on s’intéresse immédiatement à la chose… et qu’on se demande aussi pourquoi l’entreprise a attendu si longtemps avant de le faire.

BMW travaillerait sur un véhicule rival au Mercedes-Benz Classe G | Auto123.com

Selon ce que rapporte la publication, qui cite des sources anonymes, on le comprendra, la production du modèle serait lancée lors de la deuxième moitié de 2029 à l’usine qu’opère BMW à Spartanburg, en Caroline du Sud. Le nouveau VUS porterait le nom de code G74 et il serait construit sur une version adaptée de la structure du BMW X5.

C’est plutôt précis comme information, mais puisque l’échéancier annoncé est dans quatre ans, il faut demeurer prudent.

BMW a tenté une aventure particulière avec le XM, son utilitaire de haute performance qui a été complètement pensé par la division M, mais l’expérience ne lève pas avec ce dernier. Sa production pourrait être abandonnée en 2028, ce qui laisserait de la place à l’usine pour l’assemblage du nouveau modèle qui, de toute évidence, viserait une tout autre clientèle.

La prochaine génération du BMW X5 est en préparation et elle offrira différents types de motorisations, ce qui laisse croire que le véhicule envisagé serait à tout le moins offert en configuration à essence. Une forme d’électrification serait toutefois une forte possibilité.

Il faudra voir où en seront les normes américaines à ce moment, avec tout ce qui se passe du côté de la Maison-Blanche et de l’EPA (Environmental Protection Agency) depuis quelques semaines, soit le recul en matière de réglementations pour les constructeurs.

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