Un problème de connexion sur la pompe à eau

BMW a annoncé un rappel de 720 796 véhicules aux États-Unis en raison d’un risque de court-circuit, a déclaré mardi l’Administration nationale de la sécurité routière (NHTSA). Selon la NHTSA, “un connecteur électrique mal scellé sur la pompe à eau pourrait être exposé à l’eau, ce qui pourrait provoquer un court-circuit.”

Modèles concernés et solution proposée

Ce rappel concerne plusieurs modèles, y compris certains VUS comme les X1 et X5, ainsi que certaines berlines de la série 5, entre autres. Les concessionnaires inspecteront et remplaceront la pompe à eau et le connecteur si nécessaire, et installeront un bouclier de protection gratuitement, a précisé l’organisme américain de sécurité automobile.

BMW et les réactions des clients

La NHTSA a également indiqué que BMW était au courant d’environ 18 plaintes, préoccupations ou incidents signalés par des clients, mais aucun accident ou blessure n’a été rapporté aux États-Unis en lien avec ce problème.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte BMW rappelle plus de 720 000 véhicules en raison d’un risque de court-circuit provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

En dévoilant le prototype Ivara GT-UV vendredi dernier, en Californie, le constructeur de véhicules de luxe électrifiés Karma confirme l’arrivée prochaine d’un premier utilitaire au sein de sa gamme de produits. Ce dévoilement a eu lieu lors de l’événement The Quail, a Motorsports Gathering présenté au centre récréotouristique carlifornien Quail Lodge & Golf Club à Carmel Valley, dans le cadre de la Semaine de l’automobile de Monterey.

Lors du dévoilement, l’Ivara a été présenté comme une « étude de style de super coupé tout-terrain », une description certes plus inspirante que la signification de l’acronyme GT-UV : Grand Touring Utility Vehicle (véhicule utilitaire de grand tourisme).

Ce prototype reprend tout naturellement certains traits des deux nouveautés électriques récentes promises par la marque pour bientôt : la Gyesera, qui sera la première berline électrique de Karma, et le coupé de haute performance Kaveya, un bolide de 1 000 ch qui sera vendu environ 300 000 $US.

On ignore cependant tout de la motorisation qu’aura l’Ivara lorsqu’il atteindra le stade de la production. Lors de son dévoilement, le président de Karma, Marques McCammon, s’est contenté d’affirmer qu’il pourrait avoir une motorisation hybride branchable, comme celle des berlines GS-6 et Revero, ou une motorisation électrique, comme les Gyesera et Kaveya.

« Karma Automotive peut adapter ses groupes motopropulseurs rapidement pour répondre aux besoins changeants de notre clientèle et du marché, et pour assurer la pérennité de nos modèles », a expliqué M. McCammon, qui n’a pas précisé non plus quand l’Ivara sera mis en vente.

Silhouette aux proportions exotiques

En décrivant ce prototype, le constructeur a plutôt mis l’emphase sur sa silhouette dont les « proportions exotiques » sont caractérisées par un pare-brise fortement incliné et un pavillon fortement arqué, un design surnommé « comète ». Cette forme arquée masque, par ailleurs, la présence d’un toit panoramique entièrement transparent qui se fond à la partie supérieure de la carrosserie par sa couleur noire.

Enfin, pour souligner les capacités hors route de l’Ivara, on précise que ses bas de caisse ont un revêtement mat protecteur que le constructeur qualifie d’autoréparable ! Ce revêtement n’aurait-il pas plus sa place sur les flancs de la carrosserie du modèle de série que préfigure ce prototype ? Après tout, ce futur Ivara risque de devoir résister aux chocs des portes qui heurtent sa carrosserie dans un stationnement de grand centre commercial, bien plus qu’aux gravillons qui se soulèvent et martèlent les bas de caisse sur un chemin de pourvoirie…

Une marque qui se fait discrète au Canada

Vous ne connaissez pas la marque Karma ? Pas surprenant puisqu’en 2023, ce constructeur californien n’a vendu que 154 automobiles aux États-Unis et 88 autres au Canada (40 GS-6 et 48 Revero). Puis cette année, au cours des six premiers mois, seules 30 berlines GS-6 ont trouvé preneurs au pays. Pas surprenant qu’on n’en voit pas très souvent !

On ne compte d’ailleurs que deux concessionnaires de cette marque au Canada. La région ouest du pays est desservie par Karma Calgary, une filiale du groupe albertain House of Cars, alors que Karma Montréal, qui fait partie du Groupe automobile Holand, représente la marque dans l’est. Cette dernière entreprise est dirigée par l’homme d’affaires montréalais Gad Biton qui est également concessionnaire Rolls-Royce à Montréal, en plus de représenter les marques BMW et Mini à Québec et Lévis, de même que Lamborghini à Palm Beach, en Floride.

Photos : Karma

Le texte Le Karma Ivara sera le premier utilitaire de cette marque californienne provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Un véhicule électrique haute performance viendra s’ajouter à la future gamme Acura, a annoncé récemment Shinji Aoyama, vice-président exécutif mondial de Honda lors du Monterey Car Week 2024.

Une plateforme électrique innovante

Le véhicule sera basé sur la nouvelle plateforme électrique 0 (Zero) de Honda, conçue spécialement pour les véhicules électriques (VE). Cette plateforme, développée par Honda, sera d’abord utilisée sur un VUS Acura qui sera lancé l’année prochaine. Elle servira également de base pour la future Série 0 de Honda, une gamme de véhicules électriques attendue avec impatience.

Production à l’usine de l’Ohio

Acura prévoit de produire ce nouveau modèle électrique dans son usine de production de l’Ohio, à proximité de Marysville. Ce site abrite également le Centre de Fabrication de Performance Acura, où la dernière génération de l’Acura NSX a été fabriquée. L’usine est actuellement en cours de réaménagement pour se spécialiser dans la production de véhicules électriques et de leurs composants, y compris les batteries. Désormais, cette installation est connue en interne sous le nom de « Honda EV Hub ».

Un Héritier de la NSX?

Shinji Aoyama a décrit le nouveau véhicule comme un modèle « type NSX », tout en précisant qu’il ne porterait pas nécessairement ce nom. Contrairement aux attentes, le véhicule n’utilisera pas de batteries à l’état solide, mais bénéficiera de la nouvelle approche de Honda, qui privilégie un développement fin et léger pour sa plateforme dédiée aux VE.

Un futur inspiré par la vision électrique d’Acura

La perspective d’un véhicule électrique rappelant la NSX n’est pas une surprise totale, surtout après qu’Acura a dévoilé l’année dernière un concept de VE qui semblait représenter une évolution future de la NSX. Ce concept, appelé Acura Electric Vision Design, a été conçu pour inspirer les équipes de design d’Acura dans le développement de la future gamme électrique de la marque.

Le directeur d’Acura, Jon Ikeda, avait déjà laissé entendre en 2021 que des plans pour une troisième génération de NSX étaient à l’étude, suggérant que cette future itération serait alimentée par autre chose qu’un simple moteur à combustion interne ou une configuration hybride, comme ce fut le cas pour les deux premières générations.

Avec des renseignements de Motor Authority

Le texte Acura prépare une NSX électrique provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Pendant des décennies, le prestigieux prix “Best of Show” du Concours d’Elegance de Pebble Beach a été décerné à des voitures impeccablement restaurées que l’on appelle dans le milieu des modèles 100 points. Mais cette année, les juges ont brisé cette tradition en sélectionnant une Bugatti Type 39 Sports de 1934, inscrite dans la catégorie Préservation, comme lauréate générale. Ces voitures que l’on appelle les « survivors ».

L’essence de la catégorie préservation

Comme son nom l’indique, la catégorie Préservation est réservée aux voitures qui respirent l’authenticité et l’histoire. Les véhicules qui y participent arborent des éclats de peinture, des rayures et des bosses non pas comme des défauts, mais comme des marques de leur passé. Leurs propriétaires adhèrent à l’idée qu’une voiture n’est originale qu’une seule fois. Voir une Bugatti vieille de 90 ans, patinée par le temps, surpasser des voitures fraîchement restaurées à coups de millions de dollars confirme que le marché des collectionneurs s’oriente désormais vers l’originalité.

L’histoire fascinante de la Bugatti Type 39 Sports

Si les voitures pouvaient raconter leur histoire, les plus grands producteurs d’Hollywood se précipiteraient pour obtenir les droits d’adaptation de la Bugatti Type 39 Sports. Cette voiture a été pilotée par des légendes comme René Dreyfus, Robert Benoist et Jean-Pierre Wimille. Bugatti l’a ensuite transformée en voiture de route en retirant le compresseur et en ajoutant des pièces comme une nouvelle transmission manuelle à quatre vitesses entièrement synchronisée, des phares et un pare-brise. Malgré ces modifications, elle a continué à courir, remportant notamment le dernier Grand Prix d’Algérie, avant de finir dans la collection du roi Léopold III de Belgique.

Ettore Bugatti a fait repeindre la Type 59 Sports du bleu au noir, la couleur préférée du roi. Ce qui est arrivé à la voiture pendant la période où elle était en possession du roi reste flou, mais on sait qu’elle a été transférée en Belgique en 1959 avec la famille royale. Elle a été vendue en 1967 et a changé de propriétaire plusieurs fois depuis. Heureusement, chacun d’eux a veillé à conserver son originalité. C’est son propriétaire actuel, Fritz Burkard de Zoug, en Suisse, qui l’a inscrite au Pebble Beach Concours d’Elegance, faisant ainsi de lui le premier Européen à remporter le prix Best of Show.

Un record partagé entre Bugatti et Mercedes-Benz

Avec cette victoire, Bugatti égale Mercedes-Benz pour le plus grand nombre de prix Best of Show au Pebble Beach, chaque marque comptant désormais dix victoires à son palmarès.

Les finalistes de cette année

Parmi les autres nominés pour le prix Best of Show cette année, on trouve une Talbot-Lago T26 Grand Sport Saoutchik Fastback Coupé de 1948 en provenance de la République tchèque, une Packard 1108 Twelve LeBaron Sport Phaeton de 1934 de l’Ohio, et une Lancia Stratos HF Zero Bertone de 1970 de Californie.

Avec des renseignements d’Autoblog

Le texte Une Bugatti de préservation remporte le premier prix au Concours d’élégance de Pebble Beach provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le Canadien National a officiellement informé le syndicat des Teamsters Canada qu’elle entamerait un lock-out de ses travailleurs syndiqués tôt le matin du 22 août. Cette décision pourrait avoir des répercussions considérables sur l’industrie automobile canadienne.

Le transport ferroviaire crucial pour l’économie canadienne

Le Canada dépend fortement des trains pour le transport des automobiles, du grain, des haricots, de la potasse, du charbon et d’autres marchandises essentielles. « À moins d’une résolution immédiate et définitive du conflit de travail, la CN n’aura d’autre choix que de poursuivre la fermeture progressive de son réseau, ce qui culminera par un lock-out », a déclaré la compagnie dans un communiqué.

Des négociations au point mort

Malgré des négociations durant le week-end, aucun progrès significatif n’a été réalisé, et les parties restent très éloignées. L’autre principal opérateur ferroviaire du Canada, Canadian Pacific Kansas City (CPKC), a déjà informé le syndicat des Teamsters qu’il commencerait également un lock-out de ses membres dès le 22 août, ce qui signifie que la grande majorité du transit ferroviaire de marchandises au Canada pourrait être paralysée, à moins d’un accord de dernière minute.

Une grève se profile à l’horizon

En parallèle, les Teamsters ont émis un préavis de grève de 72 heures à CPKC tard dimanche soir. « À moins que les parties ne parviennent à des accords de dernière minute, un arrêt de travail surviendra à 00h01 le jeudi 22 août », a déclaré le syndicat dans un communiqué.

Des accusations de mauvaise foi

Les compagnies ferroviaires et le syndicat s’accusent mutuellement de négocier de mauvaise foi. Les Teamsters affirment que la CN et la CPKC recherchent des concessions qui pourraient mettre en danger la sécurité des travailleurs, une accusation que les opérateurs nient.

Appels à l’intervention du gouvernement fédéral

Le gouvernement libéral fédéral a jusqu’à présent ignoré les appels des groupes d’affaires à intervenir, affirmant qu’il souhaite que les compagnies et le syndicat résolvent leurs différends par le biais de négociations. Cependant, David Adams, PDG de Global Automakers of Canada, représentant les intérêts des constructeurs automobiles étrangers opérant au Canada, a exprimé ses préoccupations à Automotive News Canada le 14 août. « Ce conflit de travail est un problème que nous préférerions tous éviter », a-t-il déclaré, appelant également à une intervention gouvernementale. « Bien que nos membres respectent le processus de négociation collective, il semble y avoir une intransigeance depuis plusieurs mois maintenant. Nous pensons qu’une intervention du gouvernement pour forcer les deux parties à une arbitrage obligatoire serait la solution la plus utile à ce stade. »

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

Le texte Le CN et le CP annonce un lock-out provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Après deux journées bien remplies, notre prochaine destination, la dernière de la vague 1 de ce voyage qui en compte 6, était Halifax, la capitale de la Nouvelle-Écosse. C’est de loin la ville la plus importante de cette province. Il est estimé que 45 % de la population totale du territoire y habitent.

Normalement, 400 km séparent les villes de North Sydney et d’Halifax. Cependant, au nord de l’état se trouve l’une des routes les plus célèbres du Canada, la fameuse piste Cabot, communément appelée la Cabot Trail.

Un détour par cette dernière était obligatoire. Elle fait près de 300 kilomètres, traverse des paysages incroyables dans les hautes terres du Cap-Breton, borde la mer en plusieurs endroits, et représente un attrait touristique majeur dans la région. Et pour ceux qui se posent la question, elle a été nommée en l’honneur de l’explorateur Jean Cabot, qui a découvert le Canada Atlantique en 1497. Et Jean (John) Cabot, c’est en fait Gionanni Caboto, un explorateur italien, mais qui a réalisé ses découvertes au service de l’Angleterre.

C’est donc avec anticipation que nous avons pris le volant pour aller découvrir cette région magnifique du pays. Avant, toutefois, deux arrêts étaient prévus. Le premier, qui était situé tout près de notre hôtel, est l’endroit où se trouve le plus grand violon au Canada. Il symbolise le style prédominant de la musique traditionnelle de l’île du Cap-Breton, qui a été importée en Amérique du Nord par les immigrants écossais.

Le violon (Big Fiddle) fait 17 mètres de haut et pèse près de huit tonnes. Huit ans ont été nécessaires à sa construction.

Une notion d’histoire intéressante.

La première usine de Toyota

Ensuite, une deuxième leçon d’histoire nous attendait, cette fois reliée à l’automobile, et plus particulièrement à Toyota. Nous nous sommes en fait rendus à l’endroit où la première usine de Toyota au Canada a été construite, là où les premiers modèles de la marque ont vu le jour en 1968. Nous avons photographié une Corolla devant le terrain vide qui abritait l’usine. (Voir notre galerie)

Il est triste de constater que l’endroit est aujourd’hui désaffecté, et que le bâtiment principal n’est plus, mais il était intéressant de mettre le pied là, 56 ans après le début des activités de la compagnie au pays, des activités qui se sont avérés importantes pour la suite des choses.

Et fait intéressant, l’usine produisait à ses débuts une voiture par jour. C’est à coup de centaines, parfois de milliers, que les installations d’aujourd’hui produisent des modèles.

Les véhicules conduits

Lors de cette troisième journée de route, nous avons eu la chance de conduire les quatre modèles mis à notre disposition lors de cette première vague. La journée s’est amorcée au volant d’une GR86, ce qui est toujours un moment appréciable. Nous avons ensuite repris les commandes de la Crown Signia que nous avions conduite la première journée, pour ensuite passer une partie de la journée au volant d’un Land Cruiser, le temps de traverser la piste Cabot. Nous sommes retournés dans la Crown Signia pour terminer la journée.

Des essais plus complets de ces modèles suivront ce récit de voyage, car à travers tout cela, nous avons pris des notes sur les qualités et les travers de chacun des produits essayés.

Les véhicules électriques

En terminant, je vous mentionnais hier que nous n’avions pas croisé beaucoup de véhicules électriques sur notre route. La chose n’a pas été différente lors de cette troisième journée, sauf que nous avons croisé un jeune couple du Québec qui venait tout juste de faire l’acquisition d’un Volkswagen ID.4 et qui avait décidé de partir à l’aventure.

Ils nous ont confirmé que la situation des bornes était bien différente dans les maritimes, mais qu’avec une bonne planification, un voyage du genre était tout à fait réalisable. Ils étaient encore un peu anxieux avec la question de l’autonomie, puisqu’ils en étaient à leur première expérience du genre. Ils ont malgré tout pu des bornes sans trop de difficultés pour effectuer des recharges bien avant d’atteindre des niveaux critiques sur le plan de l’autonomie.

Il est donc clair qu’il est possible de circuler en véhicule électrique dans cette région du pays, mais on constate tout aussi clairement que le fait que le réseau soit moins développé, les acheteurs ne sont pas encore au rendez-vous. C’est ce qui est ressorti de conversations tenues avec les habitants.

Une étape à la fois, comme dirait l’autre.

La suite du voyage

En ce qui me concerne, je reprends la route avec Toyota le dimanche 18 août, cette fois pour six jours consécutifs, pour un périple qui va nous faire passer de Montréal à Winnipeg. Au cours des deux prochains jours, il y aura plusieurs arrêts à des installations de Toyota qui a ses pénates en Ontario ; on va donc vous entretenir un peu plus sur le fonctionnement de la compagnie au pays que de la géographie environnante.

Le texte Les 60 ans de Toyota : jour 3 ; North Sydney, Nouvelle-Écosse, à Halifax, Nouvelle-Écosse provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

MONTEREY, Californie Dans le cadre de la prestigieuse semaine de la voiture de Monterey, Mercedes-Benz présentait hier soir le plus sportif des modèles Maybach, la SL 680 Monogram Series, un cabriolet deux places d’exception. Bien que le prix n’ait pas encore été communiqué, ce modèle 2026 promet de faire sensation sur le marché de l’automobile de luxe et va sans l’ombre d’un doute s’adressé au 1 % des plus nantis

Performances impressionnantes

Dotée du même moteur V8 biturbo de 4,0 litres développant 577 chevaux que l’on retrouve dans la Mercedes SL, la SL 680 peut passer de 0 à 100 km/h en seulement 4 secondes. Le rouage intégral vient lui aussi de la Mercedes-AMG SL, mais se positionne comme un concurrent direct de la Bentley Continental GTC. Mercedes avait déjà proposé une variante Maybach de son S-Class Cabriolet en 2017, mais avait abandonné cette carrosserie après l’année modèle 2021.

Un design somptueux

La Mercedes-Maybach SL 680 sera disponible en deux finitions métalliques « spécialement sélectionnées ». Le concept “Red Ambience” présente une finition bicolore noire et rouge, tandis que le “White Ambience” remplace le rouge par du blanc. Le capot monogramme à la manière Louis Vuitton feront dire à certains que Maybach a peut-être aller un peu loin, d’autres adoreront. La face avant met en valeur la largeur du véhicule avec des prises d’air horizontales et une calandre spécifique à Maybach, illuminée par des contours lumineux. Le capot arbore une étoile Mercedes fièrement dressée, et des accents en or rose ornent les phares. Le cadre du pare-brise est chromé et les bas de caisse latéraux intègrent un élément chromé.

À l’arrière, des feux caractéristiques de Maybach, une fascia accentuée de chrome et un diffuseur soulignent l’élégance de la voiture. Derrière les sièges, un double arceau aérodynamique confère au cabriolet une allure sportive.

Luxe et confort à l’intérieur

L’intérieur de la SL 680 se distingue par l’utilisation de cuir nappa blanc cristal pour les sièges, le volant, le tableau de bord inférieur et les panneaux de porte. L’affichage média et le tableau de bord numérique offrent des animations et des graphismes spécifiques à Maybach, renforçant ainsi l’exclusivité du modèle.

Bien que Mercedes n’ait pas divulgué le poids exact de la SL 680, elle affiche des performances légèrement inférieures à celles de la SL63, avec une vitesse maximale réduite à 260 km/h, limitée électroniquement.

Les ingénieurs de Maybach ont apporté des modifications importantes pour rendre le V8 aussi raffiné qu’un V12, notamment en ajustant les supports moteurs et le système d’échappement pour réduire le bruit, en améliorant l’insonorisation et en adoucissant la suspension.

Un cabriolet unique en son genre

La SL 680 se distingue également des autres modèles SL en n’offrant que deux sièges, contrairement à la configuration 2+2 des modèles précédents. Le petit espace arrière est remplacé par une couverture aérodynamique qui s’étend jusqu’aux appuie-têtes des sièges avant, renforçant ainsi l’aspect sportif du véhicule. Bien que personne N’ait encore conduit ce modèle, Mercedes laisse savoir que , malgré sa vocation sportive, la conduite confortable et plus douce sera mise en valeur. La suspension plus souple que la SL de Mercedes, l’insonorisation plus poussée. On veut une expérience incomparable à tous les points de vues.

Des prix à la hauteur de l’exclusivité

Bien que les prix n’aient pas encore été dévoilés, il est probable que la SL 680 se situe bien au-delà des 250 000 $ de la SL. Les premières livraisons en Europe sont prévues pour le printemps 2025, tandis que les autres marchés, y compris le Canada, devront patienter jusqu’à la fin de l’année.

Cette nouvelle SL 680 Monogram Series s’annonce donc comme un modèle incontournable pour les amateurs de voitures de luxe qui recherchent à la fois performance et exclusivité.

https://youtu.be/fFf5o-YbgEI

Le texte Maybach présente sa version de la Mercedes-Benz SL provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Saint-Jean, Terre-Neuve – La première journée du périple qu’entreprend Toyota à travers le Canada n’a pas été de tout repos. Après une présentation qui a eu lieu en matinée sous le coup de huit heures, où l’on nous a présenté un peu la prémisse de l’événement, on a pris la route au volant de notre premier véhicule d’essai, un Land Cruiser 2024, avec devant nous un tracé planifié de 674 kilomètres.

Cependant, quelques arrêts étaient au programme, avant de définitivement prendre la route.

D’abord, direction du centre-ville de Saint-Jean, à l’endroit précis où se situe le kilomètre 0, soit près l’endroit où la construction de l’autoroute transcanadienne s’est amorcée en 1962. Projet d’envergure à l’époque, il avait été rendu possible grâce à la collaboration des gouvernements fédéraux et provinciaux, ainsi que du CAA (Canadian Automobile Club), dont le fondateur, Perry Doolittle, était à l’origine du projet.

D’ici quelques semaines, l’équipe de Toyota Canada aura traversé le pays en empruntant cette autoroute pour rejoindre Victoria, en Colombie-Britannique.

Disons que l’arrêt était obligatoire.

Par la suite, nous avons mis le cap sur Cape Spear, l’endroit qui est identifié comme le plus à l’est du Canada. On y trouve aussi un des plus vieux phares, endroit où se trouve l’un des plus vieux phares du pays, lui qui a commencé à guider les navires dans le port de Saint-Jean en 1836.

Un autre arrêt incontournable.

Ce qui a été particulier à propos de ces arrêts, c’est qu’un concessionnaire local avait mis à notre disposition une Toyota Cressida 1979 pour effectuer les courts trajets (Hotel-Cape Spear- Kilomètres 0).

Ainsi, en quittant Cape Spear, votre humble serviteur a pu s’installer au volant de cette relique que vous pouvez voir dans nos photos, afin de parcourir une vingtaine de kilomètres.

Un compte rendu complet de ce modèle va suivre cette semaine.

La route

Par la suite, avons pris la route. Et avec les petits retards attendus lorsqu’on effectue plusieurs arrêts, disons qu’il nous restait de nombreux kilomètres à abattre avant d’arriver à notre première destination, soit Deer Lake. Pour vous donner une idée, le tracé est de 636 kilomètres entre cette ville et Saint-Jean. Un arrêt dans la région de Gander a été notre seule vraie pause de la journée.

Lors de cette première journée, nous avons pris le volant de deux véhicules, soit du Crown Signia, ainsi que d’une version hybride de la Corolla. Le Crown Signia sera de toutes les étapes du voyage, tout comme le Land Cruiser, car lors de ses débuts au Canada, la compagnie offrait au public la berline Crown, ainsi que le Land Cruiser.

Pour ceux qui n’ont jamais eu la chance de rouler dans ce coin du pays, on peut vous mentionner que les paysages, sans être spectaculaires, ne sont jamais ennuyeux. La circulation n’est pas très dense, vous l’aurez deviné. À la tombée du jour, on ne croise pratiquement que des camions.

Jour 2

Notre deuxième journée a été pratiquement sans histoire. En fait, il a fallu se lever très tôt afin d’être certains de ne pas manquer le traversier qui s’élance de Port-aux-Basques pour relier North Sydney, en Nouvelle-Écosse. Un peu plus de 260 km nous séparaient du bateau à partir de notre hôtel. Une fois sur le navire, c’est un périple de près de sept heures qui nous attendait.

Et catastrophe (ou véritable grâce), aucun service internet, ni réception téléphonique. L’occasion parfaite pour un petit roupillon et un peu de lecture.

En débarquant du traversier, nous avions 20 minutes à nous taper pour rejoindre notre hôtel pour la deuxième soirée.

Conclusion

Ce qui a été frappant lors de ces deux premières journées, c’est l’absence presque totale de véhicules électriques. Au Québec, on est désormais habitué à en voir partout, mais là-bas, c’est l’exception. Bien sûr, le réseau n’est pas encore celui du Québec et du travail reste à faire. J’aurais l’occasion de vous reparler plus en détail de véhicules électriques lors de mon récit de la troisième journée de ce voyage.

Suivront également des essais routiers des modèles essayés, une fois ma participation à deux autres segments de ce voyage complétée, soit du 18 au 23 juillet, pour rallier Winnipeg à partir de Montréal.

On se donne rendez-vous très bientôt pour le récit de la troisième journée de ce voyage plutôt unique.

N.B. Les photos qui accompagnent ce billet sont présentées dans l’ordre, afin de faciliter le suivi de ce périple.

Le texte Les 60 ans de Toyota : jour 1 et 2, de Saint-Jean Terre-Neuve — Deer Lake — North Sydney, Nouvelle-Écosse provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Une vente aux enchères en cache parfois une autre. C’est le cas de la vente organisée par Mecum à Monterey cette fin de semaine. On y a dévoilé la Porsche 917K pilotée par Steve McQueen dans le film Le Mans de 1971. Cette voiture mythique sera une de grandes vedettes d’une autre vente que Mecum présentera à Kissimmee, en Floride, l’année prochaine.

L’annonce de la vente de cette Porsche à l’encan de Kissimmee, qui aura lieu du 7 au 19 janvier 2025, a eu lieu devant une foule ébahie sous le chapiteau où la vente de Monterey doit se dérouler. Pour les jours à venir, le bolide repose dans une cage pour le plus grand plaisir des badauds.

Restaurée récemment de manière « méticuleuse », précisent les gens de Mecum, cette Porsche est une des trois voitures qui ont servi au tournage du film réalisé par Lee Katzin. Sa restauration lui a redonné son apparence de 1970, avec les logos Gulf, tel qu’on la voit dans le film.

Les vedettes à quatre roues qu’on voit au grand écran doivent généralement leur renommée à l’engouement qu’exerce le scénario du film, bien plus qu’à leur pedigree mécanique ou leur design aussi saisissant soit-il. Mais la Porsche 917K de McQueen constitue sans équivoque une exception. Après tout, en plus d’être une icône cinématographique qui a été achetée neuve par le « roi du cool », elle est aussi une véritable bête de course de classe mondiale.

Montrée pour la première fois au grand public dans le cadre du Salon de l’auto de Genève, en mars 1969, la Porsche 917 a été créée sous la direction de Ferdinand Piech pour affronter les plus grandes épreuves d’endurance, notamment les 24 Heures du Mans où elle décrochera la 1re et 2e place en 1971.

Les gens de Mecum rappellent, en outre, que la 917K qu’ils offriront en janvier est passée du plateau de tournage aux plus hauts échelons de la course d’endurance pour remporter plusieurs victoires. Achetée et pilotée par McQueen lui-même, elle a ensuite appartenu à divers pilotes et autres personnalités de renom dont, entre autres, l’humoriste, comédien et producteur étatsunien Jerry Seinfeld. L’encanteur dispose d’ailleurs de l’historique complet de cette voiture.

Cette 917K a changé de mains pour la dernière fois en 2000. Elle avait alors été vendue pour la somme de 1,2 M$ US. Sachant qu’une des deux autres voitures du film a été vendue pour 14,1 M$ US par Gooding à Pebble Beach, en 2017, tous les experts s’entendent pour dire que cette 917K fera un nouvel heureux pour beaucoup plus que cela en janvier prochain !

Photos : Mecum et Gianni Cabiglio/Mecum

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Le constructeur chinois Zeekr a un nouvel argument pour accroître l’attrait des véhicules électriques. Il prétend désormais disposer de la batterie qui se recharge le plus vite au monde. Dans un communiqué publié le 13 août, on apprend qu’un nouveau système de gestion permet à sa batterie au lithium-fer-phosphate (LFP) d’avoir un taux de charge ultrarapide de 5,5C permettant de la recharger de 10 à 80 % en tout juste 10,5 minutes.

La berline Zeekr 007 2025 sera, par ailleurs, le premier modèle de sa gamme à bénéficier de cette nouvelle technologie et les livraisons de ce modèle, appelé Luxury Sedan en Chine, commencent la semaine prochaine.

Selon Zeekr, même les basses températures n’affecteront pas autant la batterie de 75 kWh de son modèle 007. On affirme, en effet, qu’à une température aussi basse que -10 degrés Celsius, elle pourra être rechargée de 10 et 80 % en 30 minutes.

Il faut préciser que ces performances ont été réalisées à l’aide des bornes de recharge ultrarapides Zeekr V3. À l’instar de plusieurs autres grandes marques, Zeekr a créé son propre réseau de bornes de recharge en Chine. Ses 500 stations comptent actuellement plus de 2 700 bornes de 800 v. En 2024, Zeekr compte doubler le nombre de bornes et, d’ici 2026, le constructeur prétend qu’il en aura plus de 10 000.

L’indice C, un facteur qui distingue les VÉ

L’annonce de Zeekr rappelle celle faite en janvier 2021 par GAC, une marque rivale. Ce constructeur faisait alors miroiter la rapidité de recharge de sa nouvelle borne A480 de 600 A capable de livrer 480 kW à 1 000 v. Elle devait permettre de recharger la batterie de son utilitaire électrique Aion V à 80 % en 8 minutes avec un taux de charge de 6C.

L’indice 6C fait référence au taux de charge et de décharge de la batterie par rapport à sa capacité. Selon le Grand dictionnaire terminologique, c’est la « mesure de l’intensité du courant de recharge, exprimée comme un rapport entre la capacité nominale et le temps nécessaire pour charger complètement un système de stockage d’énergie ». Les anglophones appellent cet indice C-Rate, pour capacity rate.

Cet indice indique, en quelque sorte, à quel rythme une batterie peut être rechargée. Avec une borne donnée, l’indice 5,5C de la Zeekr 007 2025 suggère que sa batterie de 75 kWh pourrait être rechargée relativement plus vite que la batterie de 82 kWh d’un Tesla Modèle Y, qui a un indice maximal de 3,05C selon le site EVKX.net, et peut-être plus encore que celle de 66 kWh d’un Nissan Ariya, dont l’indice maximal est 1,76C.

Rappelons que Zeekr est une marque de Geely, un conglomérat réunissant près de 20 marques chinoises et d’autres pays, incluant Volvo, Polestar et Lotus. Fondée de mars 2021, Zeekr ne produit que des véhicules électriques. Elle en a livré plus de 300 000 depuis sa création.

Photos : Zeekr

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