Dans un monde où les petites voitures tombent au combat les unes après les autres, Mitsubishi persiste et signe. La sous-compacte Mirage revient pour 2021 avec quelques petits changements esthétiques.

En concession dès janvier

Même si le véhicule demeure essentiellement le même, Mitsubishi a procédé à des petites mises au point comme la partie avant du véhicule

qui est redessiné avec un dessin plus dynamique. À l’arrière, le nouveau pare-chocs élargi et profilé donne l’impression d’un véhicule abaissé et plus large. Ce nouveau sens des proportions est renforcé par la forme des nouveaux feux arrière en L (DEL). À l’intérieur, on retrouve un nouveau tissu de siège et de nouvelles couleurs – blanc diamant et jaune sable – qui lui ajoutent de l’attrait et du cachet.

Pas de changement sous le capot

Le moteur 3 cylindres de 1,2 litre est toujours là. Avec ses petits 78 chevaux et 74 lb-pi de couple, vous n’irez jamais nulle part à la hâte, mais vous allez vous rendre. Le prix de base est fixé à 13 858 $ pour une version 2021 ES de base avec boîte manuelle. À ce prix vous avex droit à une climatisation automatique, des feux arrière combinés à DEL, une caméra de recul, Bluetooth, glaces avant à commande électrique; assistance au freinage d’urgence; contrôle actif de stabilité; freins antiblocage; et sept coussins gonflables. Il faut mettre 15 058 $ pour la même version avec boîte CVT, ce que nous vous déconseillons. La CVT est malheureusement

Histoire de l’AMC Rebel

La compagnie American Motors Corporation que l’on connaît sous le nom d’AMC a vu le jour en 1954 suite à la fusion de Nash Motors et Hudson Motos Car. C’était à l’époque la plus importante fusion de sociétés dans l’histoire américaine. Le montant de la transaction à l’époque est de plus de 197 millions de dollars US ( soit plus de 2 milliards canadien en dollars d’aujourd’hui). AMC devenait ainsi le 4e constructeur automobile aux États-Unis. Un règne de courte durée. Dàs 1979, AMC a fait alliance avec Renault et c’est finalement Chrysler qui a racheté l’affaire le 2 mars 1987. Le nom AMC disparaît alors pour être remplacée par les divisions Eagle et Jeep.

Origine du nom Rebel

 

Le nom Rebel apparaît pour la première fois en 1957 pour une version spéciale de la Rambler équipée d’un moteur V8. Le nom va revenir en 1966 sur une version à deux portes de la Rambler Classic en 1966. En 1967, il devient un modèle chez AMC, mais en fait, le modèle existait auparavant sous le nom de Rambler Classic. Voilà pourquoi les premières Rebel sont en fait des Rambler Rebel.

Nouvelles lignes en 1967

Pour 1967 le modèle est complètement redessiné. L’empattement est allongé. Le changement de nom est donc des plus appropriés alors qu’on a vraiment un modèle différent dans la gamme. On trouve trois séries de modèles Rebel, soit la série 550, la 770 et la SST. Dans

Le groupe Volkswagen, ainsi que les équipementiers allemands Continental et Bosch, avaient déjà lancé une mise en garde au début du mois de décembre face à une pénurie de composants semi-conducteurs nécessaires à la production automobile. Voici que trois semaines plus tard, Volkswagen est obligé de modifier son calendrier de production pour certains modèles chez Volks, Audi et Seat en raison d’un trop faible production de semi-conducteurs.

Une pandémie à l’échelle mondiale

Comme tous les domaines de production manufacturière, la pandémie a frappé les fournisseurs de pièces et équipementiers automobiles et la fabrication automobile est devenue de plus en plus dépendante des puces importées pour les pièces électroniques, telles que les unités de contrôle électronique et les programmes de stabilité électroniques. La production a ralenti lors des fermetures brutales déclenchées par la propagation de la pandémie de COVID-19 au début de 2020. Mais un fort rebond de la demande chinoise a entraîné une pénurie de pièces. Les producteurs de semi-conducteurs ont aussi tourné leur production vers le domaine électronique durant la pandémie alors que le secteur automobile avait paralysé tout le secteur.

Pas seulement Volkswagen

Si la production s’est remise à niveau, les spécialistes évaluent qu’il faudra six à neuf mois avant de retrouver l’équilibre dans la production. Et ce n’est pas seulement le groupe Volkswagen qui risque d’être affecté. Les goulets d’étranglement potentiels en matière de livraison pourraient durer jusqu’en 2021 et affecté d’autres constructeurs automobiles.

« L’approvisionnement en puces pour certains composants électroniques automobiles

Voilà un plan de redressement qui est digne de mention. La firme britannique Aston-Martin sous la présidence du Canadien Lawrence Stroll a annoncé hier par la bouche de son PDG Tobias Noers que la compagnie va présenter pas moins de 10 nouveautés au cours des deux prochaines. Considérant le rythme habituel de cette firme généralement asses statique, c’est une annonce impressionnante, spécialement en pleine pandémie.

Besoin d’un sérieux coup de barre

Aston-Martin n’a toutefois pas tellement le choix. Le cours de son action s’est effondré depuis que la société a été rendue publique en 2018 et les ventes ont ralenti avant même que la pandémie du coronavirus ne frappe. En juin, le constructeur automobile a été contraint de réduire ses effectifs de 500 personnes.

Un nouveau président

Depuis le 1er août dernier, c’est l’ancien Président du Directoire et Directeur général de Mercedes-ANG GmbH, Tobias Moers qui occupe le poste de PDG d’Aston-Martin. Il est basé à Gaydon. Il occupait ce poste de direction depuis 2013 chez Mercedes. Cette association n’est pas un hasard, Mercedes possède 20 % d’Aston Martin et veut appliquer sa philosophie qui a connu du succès chez le constructeur allemand. En effet, Aston-Martin
prévoit de lancer 10 dérivés de modèles existants au cours des deux prochaines années, dont deux pour le nouveau VUS DBX qui s’avère plus populaire sur le marché chinois que les voitures de sport traditionnelles du constructeur.

Une entente plus large

Mercedes qui fournit déjà des moteurs AMG

L’histoire de la 928 est singulière. C’est la première voiture à moteur V8 chez Porsche. Le projet 928 est né en 1971. Mais, il aura fallu attendre en 1977 au Salon de l’auto de Genève pour voir le premier modèle. Le dessin est l’œuvre d’Anatole Lapine né à Riga en Lettonie, élevé en Allemagne (Hambourg). Il a quitté l’Allemagne en 1951 pour aller travailler chez General Motors. Il revient en Allemagne en 1965 pour travailler au centre de recherche d’Opel (qui appartient à GM). Il est recruté par Porsche en avril 1969 et Lapine deviendra le créateur de la ligne de la 928.

Sortir de la dépendance de la 911

Le projet 928 est né de la volonté d’Ernst Fuhrmann, le créateur du quatre-cylindres à plat des Porsche 550 et 718 qui veut ouvrir de nouveaux horizons à Porsche qui dépend trop fortement des ventes de la 911 pour sa survie. Une équipe est donc mandatée pour créer un nouveau modèle dès 1971. La commercialisation va commencer à la fin 1977 pour l978.

Voiture de l’année en Europe

Dès sa sortie sur le marché, la 928 est élue voiture de l’année en Europe. C’est la seule et unique fois que cette récompense est attribuée à une voiture de sport. La voiture est non seulement belle et unique, elle est aussi puissante. Vous avez un moteur V8 en alliage à l’avant qui fait 4,5 litres et 240 chevaux avec injection mécanique, une boîte pont à l’arrière reliée

Depuis quelques années, Mazda offre un service de restauration maison de Miata et MX-5. La compagnie a réservé dans son immense facilité industrielle d’Hiroshima un espace dédié avec d’anciens travailleurs et ingénieurs de la première heure pour remettre les modèles à l’état d’origine. Voici maintenant que Mazda met l’accent sur la RX-7.

Une deuxième vie

Mazda a annoncé qu’elle allait rééditer des pièces de rechange pour les RX-7 de deuxième et troisième générations qui ont été abandonnées, afin que les clients des RX-7 puissent continuer à conduire leurs véhicules pendant de nombreuses années.

Mazda a sélectionné les services et les pièces les plus demandés en communiquant avec les clients qui ont conduit la Savannah RX-7 de deuxième génération (produite de 1985 à 1992) et la RX-7 de troisième génération (produite de 1991 à 2002), ainsi qu’avec les sociétés d’entretien qui s’occupent principalement des véhicules à moteur rotatif. Ces pièces ont été sélectionnées et rééditées avec la coopération de nos fournisseurs. En plus des pièces qui ont été fournies jusqu’à présent, 30 pièces réimprimées pour la deuxième génération et 61 pièces réimprimées pour la troisième génération seront disponibles d’ici février 2021. Ces pièces rééditées seront disponibles auprès des concessionnaires et des distributeurs de pièces du groupe Mazda de la même manière que les pièces en cours de fabrication.

Mazda va également mettre à jour son site web CLASSIC MAZDA pour coïncider avec le lancement des pièces de réédition. Voilà une bonne nouvelle pour tout ceux qui possèdent

La prochaine grande étape dans le monde des véhicules électriques sera la pile à électrolyte solide. Plusieurs constructeurs automobiles sont engagés dans cette course. Mercedes Benz est associé à Hydro Québec pour le développement d’une pile qui sera commercialisée à compter de 2025 dans des modèles de production Mercedes. La pile à électrolyte solide comporte plusieurs avantages. Elle offre le double d’autonomie, coûte près de la moitié du prix et se recharge plus rapidement.

Toyota qui prend la tête

Dans la course à la production de la première voiture électrique équipée d’une batterie à semi-conducteurs, Toyota a pris la tête. Le géant japonais prévoit de lancer son premier prototype fonctionnel en 2021, et une voiture de série devrait être mise en vente peu de temps après, selon un nouveau rapport du Nikkei.

Cette technologie utilise un électrolyte solide plutôt qu’un électrolyte polymère liquide ou gélifié que l’on trouve dans les unités Lithium-ion des modèles actuels. Cela signifie qu’elles nécessitent moins d’espace physique pour produire la même quantité d’énergie et qu’elles sont moins sujettes aux incendies lorsqu’elles sont endommagées.

On estime qu’une voiture à semi-conducteurs pourrait avoir une autonomie de 1000 kilomètres et prendre uniquement 10 minutes pour se recharger. Les batteries à semi-conducteurs se détériorent moins avec le temps, et Toyota vise à conserver 90 % des performances de la batterie sur une durée de vie de 30 ans. Toyota est en tête du nombre de brevets sur les batteries à semi-conducteurs, avec plus de 1

À la fin des années 60 et au début des années 70, la mode dans l’industrie automobile est à l’abondance. Plus c’est gros, plus c’est puissant, plus c’est démesuré, plus c’est in. Les grosses berlines prennent du volume, les pony car aussi, et l’expression « bigger is better » résume bien l’esprit qui prévalait dans l’industrie automobile américaine du temps.

C’est dans ce contexte que naît la Cuda, l’une des variantes offertes à travers la gamme Barracuda, un modèle mythique dans l’histoire de Chrysler.

Ce n’était peut-être pas la plus recherchée sur le marché ou celle qui faisait le plus parler d’elle, mais c’était sans doute l’une des plus jolies et lorsqu’elle était équipée du bon moteur, elle savait se faire remarquer sur la piste d’accélération.

Aujourd’hui, c’est une des plus recherchées et toujours une des plus jolies. Elle sait encore faire parler d’elle dans les rassemblements automobiles, surtout équipée du bon moteur.

Est-ce qu’on s’entend pour appeler ça un classique ?

Pour ce qui est du bon moteur, il y en a plusieurs. Mécaniquement, c’était le nirvana à l’époque.

Un objectif : la performance

Si l’expression « bigger is better » résumait bien l’esprit du temps, ironiquement, il aurait fallu la rebaptiser « shorter and larger is better » pour caractériser la nouvelle Cuda offerte au public en 1970.

En effet, dès 1967, alors que débutaient les travaux pour le renouvellement du modèle en vue du passage à la nouvelle décennie, l’ordre venant d’en haut voulait qu’on donne à la silhouette de la

C’est dimanche que nous allons choisir deux noms parmi tous les gens qui se sont inscrit au concours. Ces deux personnes remporteront la collection complète de tous les Annuel de l’automobile depuis 2002. Il y aura aussi 5 Annuel de l’automobile 2021 à donner.

 

Pour vous inscrire aller simplement dans la section concours sur le site annuelauto.ca et remplir le coupon de participation. Nous annoncerons les gagnant sur le site lundi le 21 décembre

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Si la 240 Z a été très populaire, les modèles en bon état sont aujourd’hui rares en raison de sa capacité à rouiller à la vitesse de l’éclair. Les modèles qui ont suivis la 240 n’ont pas connu le même succès. On les a définies comme étant trop lourdes, moins intéressantes à conduire et sur le plan du style, trop grosses et trop endimanchées par rapport au modèle de première génération.

La popularité était au rendez-vous

Le public, lui, a réagi autrement. Au cours des deux premières années de commercialisation de la ZX aux É.-U., plus de 140 000 modèles ont été exportés du Japon pour le marché américain. La 280ZX était proposée en version coupée ou en version 2+2. Le moteur chez nous était un 6 cylindres en ligne de 2,8 litres. Au Japon, un moteur de 2 litres était aussi proposé. Il y avait de série une boîte manuelle à 5 vitesses et une automatique à trois rapports en option. La manuelle à 5 vitesses est apparue pour les années 82 et 83 et c’était une transmission Borg-Warner T5, fabriquée aux É.-U.

Étudié en soufflerie

Pour la première fois de son histoire, Nissan a utilisé un tunnel en soufflerie pour créer le design le plus aérodynamique possible. Même si elles n’apparaissent pas plus aérodynamiques que celles de la 240Z, les lignes de la 280ZX le sont. La 280 ZX est bien sûr plus grosse que la 240Z, mais pas autant qu’on pourrait le penser. L’empattement