« Ferrari ne sera jamais une compagnie entièrement électrique » soulignait son PDG Louis Camilleri en novembre 2020. Un mois plus tard, il annonce sa démission à la tête de la firme de Maranello. Janvier 2021, des rumeurs entourées de mystères continuent d’émaner de chez Ferrari. Il est maintenant acquis qu’il y aura bel et bien un VUS, le Purosangue qui sera révélé à la fin de cette année ou au début de l’an prochain, difficile d’être précis avec le Coronavirus.

Deux autres véhicules électriques

Une information plus récente indique que Ferrari prépare une offensive électrique avec non pas un, mais deux véhicules électriques. Selon une information provenant de Car Magazine qui cite une source qui désire rester anonyme au sein de Ferrari, la compagnie prépare des VÉ sur des bases existantes de châssis de la marque. Les véhicules portent les noms de codes F244 et F245. Les modèles seraient des dérivés du modèle Purosangue avec une plateforme capable d’accueillir quatre moteurs électriques qui fourniraient une autonomie d’environ 500 km à partir d’une batterie de 80 kWh et une puissance de 610 chevaux dans son modèle d’entrée de gamme. Les rumeurs annoncent aussi une version hybride de la SF 90 Stradale qui pourrait être le modèle de Ferrari à mille chevaux que l’on annonce depuis un certain temps. Ce modèle hybride arriverait un an après le Purosangue, soit autour de 2023 alors que le premier modèle 100% électrique est prévu pour 2024 et le second 2026.

C’est maintenant chose faite. Les actionnaires de PSA et ceux de FCA ont approuvé à 99 % le projet de fusion évalué à 66 milliards de dollars canadien entre les deux groupes qui doit donner naissance à “Stellantis”, qui deviendra le 16 janvier prochain le 4e constructeur automobile de la planète.

Un vote quasi unanime

La famille Peugeot, l’État français et le chinois Dongfeng qui forme le groupe PSA – ont d’abord voté pour le projet présenté en décembre 2019, avec 99,99% des voix. Les actionnaires de Fiat Chrysler (FCA) se sont quant à eux prononcés à 99,15% en faveur de la fusion, selon John Elkann, président du groupe. Parmi les actionnaires, le principal investisseur EXOR et la société de portefeuille de la famille Agnelli, qui détient 44,4% des droits de vote.

14 marques sous le même toit

Stellantis comptera 14 marques (Abarth, Alfa Romeo, Chrysler, Citroën, Dodge, DS, Fiat, Jeep, Lancia, Maserati, Opel, Peugeot, Ram and Vauxhall). Cette nouvelle entité produira huit millions de véhicules par année avec des revenues qui approchent les 250 milliards de dollars annuellement.

Les raisons de cette fusion

Si vous demandez au PDG de FCA, Mike Manley (qui dirigera les opérations nord-américaines de Stellantis) de vous dire le but de cette fusion. Il répond que 40 % des synergies attendues de la fusion proviendront de la convergence des plates-formes et des groupes motopropulseurs et de l’optimisation des investissements en R&D. Toujours selon Manley, 35 % des synergies proviendront des économies réalisées sur les achats, tandis que

Une Pontiac Firebird 1967 décapotable fera partie d’une vente aux enchères Mecum qui se tiendra du 7 au 16 janvier à Kissimmee, en Floride. L’estimation est de 175 000 à 225 000 dollars. Elle porte le numéro de série 001 est a récemment faut l’objet d’une restauration à son état d’origine. Ce qui veut dire qu’elle accueille sous son capot le moteur V8 326 pouces cubes d’origine équipée d’un carburateur Rochester et développe 250 chevaux. L’entraînement est assuré par une transmission automatique Powerglide à 2 vitesses.

Projet de restauration télé

La deuxième voiture est un coupé qui a été fini en peinture métallisée Silverglaze avec des bandes latérales, un toit en vinyle noir et un intérieur noir assorti. Cette voiture était un peu plus axée sur les performances que la voiture qui est sortie de la chaîne de montage juste avant elle et, à ce titre, présente une version L76 High Output du V8 de 326 pouces cubes avec un carburateur Rochester à quatre cylindres et une boîte manuelle à quatre vitesses d’origine.

Remise à l’état d’origine

Les deux voitures ont subi une restauration complète du châssis, des écrous et des boulons selon leurs spécifications d’origine et sont décrites par Mecum comme des pièces “essentielles” pour tout collectionneur respectable de Firebirds de première génération. Les deux voitures sont la propriété de Richard Rawlings et son atelier de voitures personnalisées Gas Monkey Garage. Rawlings anime l’émission Fast N Loud et avait retrouvé en 2014 des deux Firebird,

Ceux qui suivent le monde des courses savent qu’à une certaine époque pour homologuer une voiture de course, il fallait en produire un certain nombre que l’on rendait disponible pour le grand public. Ces modèles devenaient en général des modèles de collections instantanés en raison de la très faible diffusion de ces modèles. En général, les constructeurs en produisaient 250 pour rencontrer les normes de la F.I.A.

Six modèles “spécial homologation” aux enchères le 22 janvier prochain

Six de ses très rares voitures prêtes pour la course prendront part à un encan de Sotherby’s en Arizona le 22 janvier prochain. Ces véhicules avaient été construits pour les courses d’endurances en Rallye Groupe B ou pour la série Deutsche Tourenwagen Meisterschaft (DTM).

Audi Quattro 1983

La voiture qui fut la première à amener le rouage intégral en rallye et qui a changé la face du sport dans les années 80. Cette UR quattro 1983 était équipée à l’époque d’un moteur 5 cylindres en ligne de 2,1 litres turbo de plus de 300 chevaux dans sa version de production associée à une boîte manuelle à 5 rapports.

Estimation : 40 000 à 50 000 dollars US

BMW M3 Sport Evolution 1990

Créée par les cerveaux de la division BMWs Motorsport, la E30 M3 limitée a été créée pour la série Deutsche Tourenwagen Meisterschaft (DTM) en 1988. Cette voiture est l’une des 600 produites dans le cadre de ce programme, avec un certain nombre

Avec la pandémie, il y a arrêt complet des Salons de l’auto depuis bientôt un an. Le bal des annulations avait débuté avec le Salon de l’auto de Genève en mars dernier qui avait annulé le Salon quatre jours avant son ouverture officielle. Depuis, rien. Le CES (Consumer Electronic Show) de Las Vegas auront une version virtuelle cette année qui commence le 12 janvier. La PDG Mary Barra prononcera le discours d’ouverture et Chevrolet donnera un aperçu de son pick-up électrifié Silverado pendant l’événement.

Un changement de cap

Après avoir soutenu Donald Trump qui voulait poursuivre l’état de la Californie pour interdire ses projets de loi plus écologiques, voici que GM a changer son fusil d’épaule en mettant de l’avant une large offensive électrique. Le discours d’ouverture de Mary Barra va mettre en lumière cette nouvelle stratégie et les façons dont l’électrification peut améliorer l’environnement et la société en général. Le président de General Motors, Mark Reuss, prendra également la parole et son discours sera suivi d’une vidéo qui mettra en avant plusieurs produits futurs, notamment ce que les sources ont appelé “un pick-up Chevrolet rechargeable, certains modèles de Cadillac et des véhicules d’autres marques”. Traditionnellement, ces révélations se faisaient en janvier de chaque année lors des journées de presse du Salon de l’auto de Détroit.

Un futur électrique

Depuis quelques années le CES a volé la vedette à Détroit qui a dû revoir ses plans et déplacer son salon. Le CES est aussi l’endroit où