Toyota met en place une nouvelle solution pour donner une seconde vie aux batteries de véhicules électriques et hybrides. Grâce à son Sweep Energy Storage System, le constructeur japonais a commencé à recycler des batteries haute tension usées pour les intégrer dans un système de stockage d’énergie. Cette technologie alimente désormais une partie des installations de production de Mazda à Hiroshima.

Un défi crucial : que faire des batteries usées ?

Avec l’essor des véhicules électriques dans le monde, les constructeurs sont confrontés à une question majeure : comment réutiliser les batteries usées de manière efficace et durable ? Toyota teste une solution innovante : collecter des batteries haute tension, quelle que soit leur chimie ou leur niveau de dégradation, pour les transformer en unités de stockage d’énergie. Ces batteries, issues autant de véhicules 100 % électriques que d’hybrides rechargeables, sont connectées à un système intelligent capable de surveiller en temps réel l’état des batteries, prioriser les plus performantes pour l’alimentation et contourner les cellules sous-performantes pour optimiser la durée de vie du système.

Un stockage d’énergie intelligent

Baptisé Sweep Energy Storage System, ce dispositif récupère non seulement les batteries, mais aussi les onduleurs provenant des véhicules électrifiés. Résultat : moins de conditionneurs de puissance à installer et donc des coûts réduits. Toyota avait déjà lancé une première version de ce système en 2022, en partenariat avec JERA et Chubu Electric Power. Cette installation pilote avait atteint une puissance de pointe de 485 kW, une capacité de stockage de 1 260 kWh et suffisamment d’énergie pour alimenter plus de 1 200 foyers pendant une heure.

Mazda, un terrain d’essai idéal

Le campus Mazda d’Hiroshima se prête parfaitement à ce projet pilote. L’usine dispose déjà de ses propres stations thermiques et solaires, ce qui la rend relativement autosuffisante en énergie. Grâce à l’installation du système Sweep, Toyota et Mazda ont connecté leurs systèmes de gestion énergétique, permettant d’équilibrer l’offre et la demande en fonction des besoins réels, d’optimiser l’utilisation des énergies renouvelables, dont la production fluctue selon la météo et de contribuer à l’objectif commun de neutralité carbone.

Une approche flexible et durable

L’atout majeur du Sweep Energy Storage System réside dans sa flexibilité : il accepte des batteries usées de différentes marques, chimies et états de santé. Cette polyvalence rend la technologie plus pratique à déployer à grande échelle, un critère essentiel pour l’adoption massive du recyclage des batteries dans l’industrie automobile.

Vers une intégration à grande échelle

À long terme, Toyota souhaite déployer cette technologie auprès d’autres constructeurs et sur différents sites industriels. L’objectif est double :

  • Réduire la dépendance aux batteries neuves ;

  • Améliorer la durabilité énergétique de l’industrie automobile.

En combinant recyclage des batteries, optimisation énergétique et énergies renouvelables, Toyota espère contribuer à bâtir un écosystème plus vert et moins dépendant des ressources critiques.

Avec des renseignements de The Drive

Le texte Toyota recycle des batteries de VÉS pour alimenter l’usine Mazda d’Hiroshima provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le premier ministre Mark Carney a annoncé que le Canada supprimera, à compter du 1er septembre 2025, plusieurs tarifs de représailles imposés sur des produits américains. Toutefois, les droits sur l’acier, l’aluminium et le secteur automobile resteront en place, afin de protéger les intérêts stratégiques du pays.

Un pas vers un retour au libre-échange

Cette décision fait suite à un appel téléphonique entre Mark Carney et le président américain Donald Trump. Selon Carney, les deux pays ont « rétabli le libre-échange pour la vaste majorité des biens » couverts par l’Accord Canada–États-Unis–Mexique (CUSMA). Le Canada avait imposé, en mars dernier, des tarifs de 25 % sur une longue liste de produits américains, allant des oranges aux cosmétiques, en passant par les motocyclettes et les vêtements. « Notre objectif demeure la protection des secteurs stratégiques et la construction de l’avenir économique du pays », a déclaré Carney.

Les secteurs stratégiques protégés

Bien que la majorité des droits de douane soient levés, Ottawa maintient les tarifs sur trois secteurs jugés essentiels: l’acier, l’aluminium et l’automobile. Ces industries restent au cœur des tensions commerciales actuelles avec Washington. Carney a précisé que le Canada intensifiera les discussions avec les États-Unis pour trouver des solutions durables.

Une révision du CUSMA en préparation

Le gouvernement canadien se prépare déjà à la révision de l’accord CUSMA, prévue pour 2026. Des consultations publiques débuteront le mois prochain et le processus pourrait durer de 6 à 18 mois. « Le Canada bénéficie actuellement du meilleur accord commercial avec les États-Unis », a souligné Carney, précisant que le taux moyen des tarifs américains sur les produits canadiens reste à 5,6 %, soit le plus bas parmi tous les partenaires commerciaux de Washington.

Impact sur les PME canadiennes

La Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) a salué la décision d’Ottawa. Sa vice-présidente principale, Corinne Pohlmann, estime que la levée partielle des tarifs va « retirer une certaine pression sur les petites entreprises canadiennes ». Cependant, Pohlmann rappelle que les droits sur l’acier et l’aluminium continuent de peser lourdement sur de nombreuses PME : « Six petites entreprises sur dix ont été négativement affectées par les contre-mesures canadiennes. Le maintien des tarifs sur l’acier et l’aluminium reste un défi majeur. » La FCEI demande au gouvernement fédéral de redistribuer rapidement les revenus générés par les tarifs aux entreprises touchées et d’accélérer le traitement des demandes de remise.

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

Le texte Le Canada retire plusieurs tarifs douaniers, mais maintient ceux sur l’automobile, l’acier et l’aluminium provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Alors que le prix de départ de la Nissan LEAF 2026 diminue aux États-Unis, il continue de grimper au Canada. Au sud de la frontière, le nouveau modèle démarre à 29 990 $ US, soit moins qu’en 2011, où la première génération affichait un prix de 32 780 $ US.
Au Canada, en revanche, le prix de base sera de 44 998 $ CA, soit 6 600 $ de plus que le modèle d’entrée 2011 vendu 38 395 $ CA. Ces montants excluent les frais de transport.

Des équipements de série adaptés au climat canadien

Selon Nissan Canada, plusieurs facteurs expliquent ces différences de prix, dont les équipements inclus de série au pays. La version canadienne de la LEAF 2026 intègre des éléments non disponibles sur la version américaine de base, notamment :

  • Sièges avant chauffants
  • Rétroviseurs chauffants
  • Pompe à chaleur
  • Chauffage de batterie
  • Clignotants à DEL intégrés

Ces ajouts visent à répondre aux conditions climatiques nordiques et aux attentes des acheteurs canadiens.

Stratégie de marché : des versions mieux équipées au Canada

Robert Karwel, analyste chez J.D. Power Canada, explique que le constructeur adopte une approche différente selon le marché : « Aux États-Unis, Nissan propose des versions moins bien équipées pour maintenir un prix plancher. Au Canada, on privilégie des modèles mieux dotés, correspondant davantage aux besoins réels des consommateurs. » Cette stratégie explique en partie pourquoi le prix de départ est plus élevé ici.

Un VÉ compétitif malgré un prix plus élevé

Même à 44 998 $ CA, la LEAF 2026 demeure compétitive sur le marché canadien des véhicules électriques compacts. Elle rivalise avec :

  • Chevrolet Equinox EV : dès 48 433 $ CA
  • Kia Niro EV : dès 48 626 $ CA
  • Hyundai Kona EV : dès 49 279 $ CA

Autonomie et technologies : des progrès majeurs

La Nissan LEAF 2026 surpasse largement ses prédécesseurs en termes de performances. Son autonomie atteint jusqu’à 488 km par charge, contre seulement 160 km pour le modèle 2011. Par ailleurs, le véhicule intègre :

  • Le standard NACS pour la recharge rapide,
  • La technologie Plug & Charge,
  • Un toit panoramique électro-chromatique disponible,
  • Une meilleure gestion thermique de la batterie.

Conclusion

Si le prix canadien de la Nissan LEAF 2026 peut surprendre, il reflète un équipement supérieur, une autonomie accrue et un positionnement compétitif face à la concurrence.
Malgré l’écart avec les États-Unis, la LEAF demeure l’un des véhicules électriques les plus abordables sur le marché canadien.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Pourquoi la Nissan LEAF 2026 coûte des milliers de dollars de plus au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ford prépare une évolution majeure de son camion électrique vedette. Un prototype du F-150 Lightning 2026 a été surpris sur les routes américaines, laissant présager l’arrivée d’une nouvelle déclinaison plus axée sur les capacités hors route. Selon les premières informations, cette version pourrait adopter l’appellation Tremor, déjà bien connue dans la gamme thermique du constructeur. Contrairement au Tremor traditionnel qui mise sur des accents orange, ce modèle électrique affiche une signature bleue inédite sur la calandre. L’impression générale est celle d’un design légèrement plus affirmé, avec une posture qui inspire davantage la robustesse.

Un style revisité et une mécanique adaptée aux terrains difficiles

En observant le prototype de près, plusieurs indices confirment l’orientation tout-terrain de cette future déclinaison. Le véhicule adopte des pneus Goodyear de type tout-terrain montés sur des jantes de 18 pouces, accompagnés de marchepieds inspirés de la version Tremor. La suspension arrière a également été retravaillée, signe que Ford cherche à offrir une meilleure motricité et plus de confort sur surfaces accidentées.

La fiche technique ne devrait toutefois pas changer en profondeur. Le F-150 Lightning continuerait d’être offert avec deux configurations de batterie, permettant soit 452 chevaux avec la version standard, soit 580 chevaux avec le pack longue autonomie. Dans les deux cas, le couple maximal demeure à 775 lb-pi, ce qui lui assure des accélérations impressionnantes. Dans des conditions optimales, le camion abat le 0-97 km/h en moins de quatre secondes, tout en offrant jusqu’à 515 kilomètres d’autonomie.

Une réponse à un contexte de ventes plus difficiles

Cette nouvelle variante pourrait aussi servir de levier pour relancer l’intérêt des acheteurs. Malgré son statut de pionnier, le F-150 Lightning ne rencontre pas le succès escompté aux États-Unis. Entre janvier et juin 2025, Ford n’a écoulé que 13 029 exemplaires, une baisse de près de 17 % par rapport à la même période en 2024. Pendant ce temps, l’ensemble de la gamme F-Series affiche une hausse des ventes avec plus de 412 000 unités livrées au premier semestre 2025. Face à cette réalité, une version Tremor pourrait redonner un coup de projecteur sur le Lightning, en séduisant les amateurs de conduite hors route tout en conservant les atouts d’un camion électrique performant.

Un positionnement stratégique dans la gamme

Le F-150 Lightning Tremor viendrait logiquement se positionner entre les versions intermédiaires, comme le XLT, et les modèles haut de gamme tels que le Platinum. Cette approche permettrait à Ford de diversifier son offre et d’attirer une clientèle à la recherche d’un compromis entre confort, autonomie et robustesse. Avec une annonce officielle attendue d’ici début 2026, cette déclinaison pourrait jouer un rôle important dans la stratégie de Ford pour renforcer la présence du Lightning sur le marché nord-américain des camions électriques.

Conclusion

Avec ce futur F-150 Lightning Tremor, Ford vise à conjuguer capacités tout-terrain et technologies électriques avancées. Le constructeur mise sur un design plus musclé, une suspension optimisée et une autonomie compétitive pour séduire les amateurs de camions prêts à passer à l’électrique. Dans un contexte où les ventes du Lightning ralentissent, cette nouvelle variante pourrait bien relancer son attractivité.

Avec des renseignements d’auto-evolution

Le texte Une future version Tremor pour le F-150 Lightning provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Et si on appliquait le traitement « Subaru Outback » à la fourgonnette Pacifica de Chrysler, pour en faire un véhicule mieux adapté aux aventures qui entraînent loin du bitume ? On obtiendrait alors la Pacifica Grizzly Peak. Ce véhicule-concept sera la vedette du kiosque de Chrysler à l’exposition Overland Expo Mountain West, qui débute aujourd’hui à Loveland, au Colorado.

Les designers de cette marque ont profité de l’intérieur spacieux et de la transmission intégrale de la Pacifica pour créer une fourgonnette qui se veut adaptée au nomadisme automobile (ce que les anglophones appellent van life).

« Nous étudions la façon dont les gens vivent avec les fourgonnettes depuis des années et nous savons que les aventuriers apprécient la polyvalence de la Pacifica », déclare Chris Feuell, PDG de la marque Chrysler, dans un communiqué publié aujourd’hui.« Le studio de design Chrysler a brillamment saisi les objectifs décrits dans le cahier des charges de ce prototype et s’est investi pleinement », ajoute-t-il.

Accueillante de jour comme de nuit

Ce concept tire donc avantage de l’intérieur transformable de cette fourgonnette pour le rendre plus pratique et plus accueillant de jour comme de nuit. Pour l’optimiser ainsi, la banquette arrière (celle de la troisième rangée) a été retirée et remplacée par un grand panneau qui recouvre la cavité où elle se recroqueville d’ordinaire afin d’en faire un espace de rangement. Du même coup, la surface utile du plancher situé derrière les sièges baquets de la rangée médiane se prête au couchage de deux personnes de taille moyenne.

D’un point de vue technique, on a rehaussé la suspension de 6,9 cm à l’avant et de 6,3 cm à l’arrière, et le véhicule a été muni de roues Foreshadow de 18 po chaussées de pneus tout terrain BFGoodrich KO2 de 31 po. On a également installé des bavettes garde-boue Mopar et des pellicules protectrices sur les bas de caisse pour protéger la peinture Arktos à fini mat.

Afin de faciliter la vie aux baroudeurs qui utiliseraient ce véhicule pour se déplacer, on a aussi ajouté certains équipements utiles lors de déplacements qui les amèneraient loin des grands centres. On retrouve, notamment, un porte-bagages Rhino-Rack Pioneer Platform et des projecteurs Tyri à diodes électroluminescentes (DEL) sur le toit, de même qu’un auvent rétractable Arb fixé au porte-bagages du côté conducteur. De plus, un branchement électrique de 115 v/450 W a été ajouté à l’arrière de l’habitacle. Enfin, pour rehausser le coup d’œil de l’aménagement intérieur, qui reprend la dotation d’une Pacifica Limited, les sièges ont une surface en cuir Katzkin gris pâle rehaussée de surpiqûres et de ceintures de sécurité d’un orange vif.

Le constructeur espère tirer de précieuses informations des visiteurs qui verront la Pacifica Grizzly Peak tout au long de cette exposition. Et qui sait, peut-être verra-t-on bientôt une version Grizzly Peak s’ajouter au catalogue de cette fourgonnette ?

L’exposition Overland Expo Mountain West est présentée jusqu’au 24 août au complexe événementiel The Ranch à Loveland, la seconde ville en importance au Colorado.

Photos : Stellantis

Le texte Chrysler présente la Pacifica Grizzly Peak, la fourgonnette des nomades de la route provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le Jeep Cherokee revient en 2026 avec un tout nouveau design, une motorisation hybride et un positionnement stratégique dans le segment très compétitif des VUS intermédiaires. Le prix de départ sera fixé juste sous la barre des 37 000 $ US et Jeep mise gros sur ce modèle pour reconquérir une clientèle qu’elle avait délaissée depuis deux ans.

Un design modernisé inspiré du passé

Avec cette sixième génération, Jeep adopte un style plus carré et affirmé, rappelant les anciens Cherokee tout en y intégrant des lignes modernes et épurées. Les phares à DEL rectangulaires avec feux de jour en forme de U et la calandre à sept fentes chromées renforcent l’identité de la marque. Le nouveau Cherokee est plus long, plus large et plus haut que son prédécesseur, offrant une meilleure habitabilité et un style robuste qui séduira les amateurs d’aventure.

Un moteur hybride pour répondre au marché nord-américain

Sous le capot, le Cherokee 2026 inaugure le tout nouveau groupe motopropulseur hybride de Stellantis : un quatre-cylindres turbo de 1,6 litre associé à deux moteurs électriques et une batterie compacte. Cette configuration développe 210 chevaux et 230 lb-pi de couple, tout en affichant une consommation combinée estimée à environ 6,4 L/100 km. Jeep promet également une autonomie totale d’environ 800 km avec un plein d’essence, ce qui positionne le Cherokee comme un VUS efficace autant en ville que sur les longues routes.

Plus spacieux, plus technologique

À l’intérieur, Jeep a misé sur un environnement à la fois moderne et pratique. La planche de bord se distingue par un écran tactile de 12,3 pouces et un tableau de bord numérique de 10,25 pouces. De série, on retrouve le freinage d’urgence automatique avec détection des piétons et cyclistes, la détection de somnolence du conducteur et une assistance à la conduite de niveau 2 avec régulateur de vitesse adaptatif. Le nouveau sélecteur de vitesses rotatif libère de l’espace pour le rangement, tandis que le cockpit gagne 30 % d’espace supplémentaire par rapport à l’ancien modèle. Parmi les options, on note un toit ouvrant panoramique, un rétroviseur intérieur numérique, des sièges arrière chauffants et l’intégration de l’assistant vocal Alexa d’Amazon.

Une gamme complète et des prix variés

La gamme débutera avec une version d’entrée de gamme affichée à 36 995 $ US (incluant le transport), mais celle-ci, tout comme le modèle Laredo, ne sera disponible qu’au début de 2026. La production commencera par les versions Limited (42 495 $ US) et Overland (45 995 $ US). Une version Trailhawk, pensée pour les amateurs de conduite hors route, sera dévoilée un peu plus tard.

Un pilier de la stratégie Jeep

Construit dans l’usine Stellantis de Toluca, au Mexique, le Cherokee 2026 repose sur la plateforme STLA Large, partagée notamment avec le Wagoneer S, le Recon et la prochaine génération de Dodge Charger. Avec ce modèle, Jeep entend regagner des parts de marché et s’appuie sur un plan produit ambitieux, incluant l’arrivée du Wagoneer S 100 % électrique et d’une version rafraîchie du Grand Cherokee. Selon les concessionnaires, le nouveau Cherokee pourrait même faire de l’ombre au Grand Cherokee tant il monte en gamme. Jeep espère que ce repositionnement permettra de séduire à la fois les fidèles de la marque et de nouveaux acheteurs.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Le retour du Jeep Cherokee en formule hybride provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Vous rêvez d’une Bugatti neuve ? Mieux vaut oublier l’idée. La marque de luxe française a annoncé que l’ensemble de sa production est entièrement réservé jusqu’en 2029. Sont concernés les 250 exemplaires prévus de la nouvelle Tourbillon ainsi que les dernières Bolide. Selon Bloomberg, la demande est si forte que 59 clients figurent sur une liste d’attente, dans l’espoir, aussi mince soit-il, d’une annulation.

Le succès fulgurant du Tourbillon et du Bolide

La nouvelle hypercar de Bugatti, la Tourbillon, équipée d’un moteur V16 hybride inédit, suscite un engouement spectaculaire. Bien que son prix exact n’ait pas été annoncé, il dépasserait largement les 4 millions de dollars américains. Le scénario est identique pour la Bugatti Bolide, une bête de piste, dont le carnet de commandes est plein depuis plusieurs mois.

Bugatti Bolide
Bugatti Bolide | Auto123.com

Frank Heyl, directeur du design chez Bugatti, confirme que « la construction des 250 Tourbillon et des dernières Bolide nous occupera jusqu’en 2029. C’est vendu complet. Cette stabilité financière nous permet de planifier l’avenir avec sérénité. »

Le programme Solitaire : l’ultime porte d’entrée

Pour les passionnés fortunés n’ayant pu réserver une Tourbillon ou une Bolide, Bugatti propose désormais le programme Solitaire. Présenté à la Monterey Car Week, ce service ultra-exclusif permet aux clients de commander un modèle entièrement unique (one-off), conçu sur mesure. Le prix n’a pas de limite : chaque véhicule devient une véritable œuvre d’art sur roues.

Bugatti se distingue dans une industrie en mutation

Alors que la plupart des constructeurs automobiles se débattent avec les tarifs commerciaux, les mandats de véhicules zéro émission et la transition électrique, Bugatti poursuit son chemin avec une stratégie résolument exclusive et limitée.

Mate Rimac, PDG de Bugatti Rimac, résume l’ambition de la marque : « Je veux faire de Bugatti l’entreprise automobile la plus rentable et la plus prestigieuse du monde. »

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Le texte Les ventes de Bugatti sont complètes jusqu’en 2029 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Si vous êtes amateurs de cinéma ET d’automobiles, la nouvelle qui suit risque de vous intéresser. Un musée du Colorado va mettre aux enchères plus de 60 véhicules appartenant à sa collection, son propriétaire étant à la recherche d’un nouveau site qui sera assurément plus petit.

Voici donc l’occasion rêvée de mettre la main sur un véhicule qui a peut-être marqué votre enfance ou encore votre vie d’adulte. La plupart des pièces sont proposées sans réserve de prix, ce qui peut se traduire par des transactions intéressantes.

Cadillac Ecto-1 du film Ghostbusters (2016)
Cadillac Ecto-1 du film Ghostbusters (2016) | Auto123.com
Réplique de la fourgonnette Chevrolet Express Van utilisée dans le film Dumb and Dumber (1994)
Réplique de la fourgonnette Chevrolet Express Van utilisée dans le film Dumb and Dumber (1994) | Auto123.com
Ford Gran Torino 1974 du film Starsky and Hutch (2004)
Ford Gran Torino 1974 du film Starsky and Hutch (2004) | Auto123.com

Et que va-t-on retrouver comme véhicules à vendre ? Certains véhicules utilisés à l’écran comme la Rubble Racer du film des Pierrafeu, une réplique de la fourgonnette utilisée dans le film Dumb and Dumber, la Cadillac Ecto-1 du film Ghostbusters de 2016, ou encore la Ford Gran Torino 1974 de la version 2004 du film Starsky and Hutch.

Plusieurs bolides de la série de films Fast and Furious seront aussi de la partie.

Le musée va également offrir quelque 400 autres objets, dont certains artefacts utilisés au cinéma, que ce soit des panneaux, des pompes à essence, etc.

Avant sa fermeture le 3 août dernier, le musée exposait plus de 80 véhicules sur une collection qui en comptait plus de 180. Le nouveau site offrira aux visiteurs une expérience très immersive qui leur donnera l’impression de se retrouver à Hollywood.

La vente aux enchères va être lancée vendredi. Vous pouvez consulter la liste des voitures et celle des autres articles qui seront offerts.

GMC Vandura Van 1984 du film The A-Team (2010)
GMC Vandura Van 1984 du film The A-Team (2010) | Auto123.com
Herbie, du film The Love Bug (2005)
Herbie, du film The Love Bug (2005) | Auto123.com
Fourgonnette Mitsubishi du film Scooby Doo (2002)
Fourgonnette Mitsubishi du film Scooby Doo (2002) | Auto123.com

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Hyundai suspend la production d’un autre VÉ de luxe destiné au marché américain. Selon un rapport de Business Korea, le constructeur sud-coréen a cessé la fabrication du Genesis GV70 électrique dans son usine de l’Alabama.

Cette décision s’inscrit dans une réorganisation mondiale de ses chaînes de production, en réaction aux changements majeurs de la politique commerciale américaine, notamment la hausse des tarifs douaniers et la fin des crédits d’impôt pour les VÉ.

Des ventes décevantes pour le GV70 électrique

Lancé en février 2023, le Genesis GV70 électrique marquait une étape importante : c’était le premier VÉ assemblé par Hyundai aux États-Unis. Ses ventes n’ont toutefois jamais décollé. Entre janvier et juillet 2025, seulement 1 367 unités ont été produites, soit 18 % de moins qu’à la même période en 2024. En juillet dernier, seules 15 unités se sont vendues, un creux historique.

Depuis l’arrêt de la production en juin, Hyundai écoule les stocks restants à rabais au lieu d’en fabriquer de nouveaux.

Cap sur les VUS et hybrides plus rentables

Avec la fin imminente des crédits d’impôt fédéraux pour les VÉ, Hyundai réoriente sa stratégie. Le constructeur mise désormais sur ses modèles les plus populaires et rentables, comme les Tucson et Santa Fe, y compris leurs versions hybrides. Pour preuve, l’usine américaine de Hyundai a produit 6 888 Santa Fe hybrides en juillet, une manière de contrebalancer la faible performance du GV70 électrique.

Hyundai met fin à la production du Genesis GV70 électrique aux États-Unis | Auto123.com
Hyundai met fin à la production du Genesis GV70 électrique aux États-Unis | Auto123.com

L’avenir du Genesis GV70 électrique reste incertain

Plusieurs scénarios sont à l’étude. Hyundai pourrait d’abord relocaliser la production du GV70 électrique dans sa nouvelle usine de Géorgie, aux côtés des Ioniq 5 et Ioniq 9. Une autre possibilité serait d’exporter le modèle depuis la Corée du Sud, malgré les tarifs douaniers. Cette dernière option est jugée moins coûteuse que de lancer une nouvelle ligne de production aux États-Unis.

En parallèle, Hyundai poursuit la montée en puissance de la production du Tucson aux États-Unis. Pour répondre aux tarifs de 25 % imposés par l’administration Trump sur les véhicules importés, l’assemblage du Tucson est entièrement transféré de l’usine Kia du Mexique à celle de l’Alabama.

Des rabais agressifs sur les VÉ

Alors que la fin des crédits d’impôt approche, Hyundai multiplie les promotions aux États-Unis pour écouler ses VÉ. Il reste maintenant à voir si une stratégie similaire sera adoptée au Canada.

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• Volkswagen fera face à une action collective aux États-Unis concernant les touches tactiles de son ID.4.

On le mentionne souvent, les touches tactiles font souvent rager les consommateurs en raison de leur imprécision, quand ce n’est pas leur complexité d’utilisation. Parfois, c’est leur grande sensibilité qui est en cause.

C’est le cas avec cet éventuel recours collectif qui pourrait toucher Volkswagen et son VUS électrique ID.4 aux États-Unis. En effet, une plainte déposée au New Jersey par deux propriétaires concerne une touche capacitive que l’on retrouve au volant, plus particulièrement celle qui permet de réactiver le régulateur de vitesse.

Les plaignants affirment que ladite touche est trop réactive et sensible, si bien qu’un simple effleurement en manipulant le volant a pour effet de relancer l’accélération du véhicule. Une des propriétaires a vu son ID.4 accélérer vigoureusement alors qu’elle était dans un espace de stationnement, un incident qui s’est soldé par une facture de 14 000 $ US en réparation, en plus d’une blessure à une main. L’autre propriétaire a vu son véhicule frapper son garage lors d’une manœuvre de stationnement, endommageant cette fois la porte dudit garage et le véhicule.

Deux personnes sont nommées comme plaignantes, mais le dossier qui a été monté contient d’autres plaintes déposées par d’autres propriétaires d’ID.4 auprès de la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) américaine, l’équivalent de Transports Canada.

La plainte prétend que Volkswagen a enfreint plusieurs lois sur la garantie et la protection des consommateurs dans les États du Massachusetts et du Connecticut en raison de cette réalité qui est considérée comme un défaut.

Le fabricant a déjà déclaré qu’il allait ramener des boutons dans la conception de ses habitacles en raison des plaintes reçues, mais le problème persiste avec les modèles qui sont déjà en circulation.

Le dossier sera intéressant à suivre. Si les plaignants ont gain de cause, soyez certains que d’autres fabricants effectueront des ajustements. Ils prennent probablement déjà des notes.

Volkswagen serait poursuivi pour les touches tactiles de son ID. 4 | Auto123.com

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