Toyota revoit à la baisse ses objectifs pour 2026

Toyota Motor (7203.T) a annoncé une réduction de ses plans de production de véhicules électriques (VE) pour 2026, les abaissant d’un tiers, selon le quotidien économique Nikkei. Le constructeur japonais, qui prévoyait initialement de produire 1,5 million de VE en 2026, a désormais fixé un objectif de 1 million d’unités, marquant ainsi un recul par rapport à ses prévisions initiales. Cette décision intervient alors que l’engouement mondial pour les véhicules électriques semble s’essouffler.

Une ambition inchangée malgré une révision temporaire

Malgré cette réduction, Toyota affirme maintenir son objectif à long terme de produire 1,5 million de VE par an d’ici 2026, avec une montée à 3,5 millions d’ici 2030. Le constructeur précise cependant que ces chiffres doivent être considérés comme des “repères” pour les actionnaires, et non comme des cibles strictes.

Toyota face à un défi de taille

Produire 1 million de VE par an constitue un défi considérable pour Toyota, qui a jusqu’à présent mis l’accent sur les véhicules hybrides. En 2023, l’entreprise n’a vendu qu’environ 104 000 VE, ce qui ne représente qu’environ 1% de ses ventes mondiales. Toyota, souvent perçu comme un leader dans le domaine des hybrides, se trouve donc dans une position délicate alors que l’industrie automobile fait la transition vers l’électrique.

Le recul de l’électrification dans l’industrie automobile

Toyota n’est pas seul dans cette tendance. Cette même semaine, le constructeur suédois Volvo a annoncé l’abandon de son objectif de devenir entièrement électrique d’ici 2030, optant plutôt pour une gamme comprenant encore des modèles hybrides. Aux États-Unis, Ford et General Motors ont également retardé ou annulé le lancement de nouveaux modèles électriques, craignant de trop investir dans des véhicules que les consommateurs n’achètent pas aussi rapidement que prévu.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte Toyota réduit sa production mondiale de véhicules électriques d’un tiers pour 2026 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le groupe Stellantis, maison mère de Chrysler, a annoncé ce samedi un rappel de 1,46 million de véhicules à travers le monde en raison d’un dysfonctionnement logiciel dans le système de freinage antiblocage (ABS), pouvant entraîner une augmentation du risque d’accidents. Aux États-Unis, ce rappel concerne environ 1,23 million de camions Ram 1500, des modèles produits entre 2019 et 2024, ainsi que 159 000 véhicules au Canada, 13 000 au Mexique, et 61 000 hors Amérique du Nord.

Un non-Respect des Normes de Sécurité

Selon la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA), ce dysfonctionnement du logiciel pourrait désactiver le système de contrôle électronique de la stabilité (ESC), rendant ainsi les véhicules non conformes aux normes fédérales de sécurité sur les systèmes de contrôle de la stabilité électronique.

Quels Sont les Symptômes ?

Stellantis a précisé que si le problème survenait, les voyants de l’ABS, de l’ESC, du régulateur de vitesse adaptatif et de l’alerte de collision avant s’allumeraient au démarrage du véhicule, indiquant que ces systèmes ne fonctionnent pas. Cependant, le freinage de base continuerait de fonctionner correctement, a ajouté la compagnie.

Aucune Blessure Signalée

À ce jour, Stellantis a assuré n’avoir recensé aucun accident ni blessure liés à ce problème.

Un Deuxième Rappel Concerne Les Jeep Gladiator et Wrangler

En parallèle, Stellantis a également annoncé le rappel d’environ 33 000 modèles Jeep Gladiator (2020-2024) et Jeep Wrangler (2018-2024), en raison d’un risque de court-circuit interne dans le tableau de bord.

Conclusion

Avec ces rappels massifs, Stellantis prend des mesures préventives pour assurer la sécurité des conducteurs et se conformer aux réglementations en vigueur. Si vous possédez un modèle concerné, il est fortement recommandé de contacter votre concessionnaire pour une mise à jour ou une inspection gratuite.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte Un rappel de 1,46 million de véhicules chez Stellantis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Apparue en option sur les voitures américaines des années 50, la servo-direction hydraulique a révolutionné l’expérience de conduite en réduisant l’effort nécessaire pour tourner le volant. Mais comment ce système fonctionne-t-il, et pourquoi rend-il la conduite plus aisée ?

La Nécessité de Réduire l’Effort de Conduite

Avant l’arrivée de l’assistance hydraulique, tourner le volant demandait un effort considérable, sollicitant fortement les bras du conducteur. Ce besoin de faciliter la conduite a poussé les ingénieurs à adapter un principe déjà utilisé dans d’autres secteurs, comme la marine, à l’automobile.

Le but ? Réduire l’effort du conducteur en utilisant une autre source d’énergie : l’énergie hydraulique.

L’Énergie Hydraulique : Le Cœur du Système

L’énergie hydraulique est générée lorsqu’un fluide est déplacé pour effectuer un travail. Ce fluide, ici de l’huile, est mis en mouvement par une pompe entraînée par une courroie reliée au moteur.

  • La pompe hydraulique : Elle est alimentée par un réservoir d’huile et se contente de pousser le fluide à travers le circuit.
  • Le circuit fermé : Lorsque le volant n’est pas tourné, l’huile circule en circuit fermé, retournant simplement au réservoir.

Que se Passe-t-il Quand on Tourne le Volant ?

C’est là que la magie opère ! Dès que vous commencez à tourner le volant, vous actionnez une valve qui redirige l’huile vers un piston ou un cylindre hydraulique. Ce piston va alors fournir l’effort nécessaire pour faire tourner les roues, vous soulageant ainsi de l’effort.

  • Le rôle de la valve : La valve agit comme un signal de circulation, ouvrant ou fermant les passages pour l’huile en fonction de la direction dans laquelle vous tournez.
  • L’assistance au pilotage : L’huile est dirigée vers le cylindre correspondant à la direction souhaitée, et une fois la manœuvre terminée, elle retourne au réservoir.

L’importance de l’Entretien

Pour assurer un fonctionnement optimal, changer l’huile régulièrement est crucial, car la plupart des systèmes de servo-direction hydraulique n’ont pas de filtres. Une huile propre préserve les composants internes et évite de coûteuses réparations.

Alternatives Modernes : La Servo-Direction Électrique

Depuis une dizaine d’années, des servo-directions électriques peuvent être installées sur les anciennes voitures, offrant une alternative plus économique aux systèmes hydrauliques traditionnels. Fabriqué en France, ce produit est une excellente solution pour ceux qui souhaitent moderniser leur véhicule sans modifier son caractère authentique.

Conclusion

En conclusion, la servo-direction hydraulique a révolutionné la conduite en réduisant l’effort physique nécessaire pour tourner le volant, rendant la conduite plus confortable et moins fatigante. Aujourd’hui, des systèmes modernes, comme la servo-direction électrique, permettent d’adapter cette technologie aux voitures anciennes.

Le texte La Servo-Direction hydraulique : Pourquoi c’est plus facile à tourner ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le milliardaire Elon Musk pourrait diriger une commission gouvernementale d’efficacité si Donald Trump est élu président des États-Unis. Cette commission, aux pouvoirs étendus, pourrait permettre à Musk de modifier les règles pour les entreprises américaines, y compris celles dans lesquelles ses propres entreprises sont engagées.

Un projet ambitieux annoncé par Trump

Jeudi, Trump a dévoilé son plan incluant le rôle de Musk, précisant qu’il attend des recommandations pour des “réformes drastiques”. Il souhaite traquer la fraude et les paiements irréguliers dans tout le gouvernement fédéral. Cette initiative offrirait à Musk, dirigeant de SpaceX, Tesla, et d’autres entreprises technologiques, l’opportunité de concevoir un gouvernement plus allégé, un objectif souvent défendu par les Républicains.

Un projet proposé par Musk lui-même

En août, lors d’une discussion publique sur X (anciennement Twitter), Musk avait suggéré la création d’une telle commission, affirmant que les dépenses gouvernementales devaient être réduites. Trump avait alors répondu en le qualifiant de “meilleur pourvoyeur de suppressions d’emplois”.

Des conflits d’intérêts potentiels

Selon Nikolas Guggenberger, professeur de droit à l’Université de Houston, les relations étroites de Musk avec le gouvernement, qui lui ont rapporté des milliards, pourraient poser des problèmes d’éthique. Musk possède des entreprises dans plusieurs secteurs clés, ce qui pourrait affecter son objectivité dans la prise de décisions concernant les industries dans lesquelles il est personnellement impliqué.

Un défi pour l’efficacité gouvernementale

Bien que Trump n’ait pas détaillé le fonctionnement de la commission, Cristina Chaplain, ancienne directrice au Government Accountability Office, a rappelé que de nombreux audits ont déjà été réalisés pour améliorer l’efficacité du gouvernement. Toutefois, changer les lois et réglementations reste complexe, et les perspectives apportées par les hommes d’affaires pourraient ne pas toujours s’aligner avec la réalité des opérations gouvernementales.

Musk et les régulations gouvernementales

Musk est depuis longtemps critique à l’égard de l’inefficacité gouvernementale, tandis que ses propres entreprises sont soumises à une régulation stricte. SpaceX doit obtenir des autorisations pour les lancements, Tesla fait face à des enquêtes sur la sécurité de sa technologie de conduite autonome, et Neuralink attend des approbations pour ses recherches en neurotechnologie.

Des réactions mitigées chez les investisseurs

Certains investisseurs, comme Dennis Dick, analyste chez Triple D Trading, voient en Musk un potentiel pour réduire les dépenses gouvernementales, rappelant les vastes suppressions d’emplois chez Twitter sous sa direction. Cependant, d’autres, comme Sam Fiorani d’AutoForecast Solutions, s’inquiètent que Musk ne se disperse trop en voulant gérer trop de projets simultanément.

Conclusion : un avenir incertain pour Musk et la commission

Si la commission voyait le jour, elle pourrait transformer la gestion du gouvernement fédéral, mais soulève aussi des questions quant à l’impact sur les intérêts de Musk et sur l’équilibre des pouvoirs économiques.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte Et si Elon Musk se lançait en politique provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Sur la célèbre Route 1 de Californie, nous avons eu l’occasion d’essayer la Mercedes Maybach S680, un véritable joyau de luxe automobile. Voici tout ce que vous devez savoir sur ce modèle emblématique.

Un Véritable Sanctuaire Automobile

Le logo Maybach évoque instantanément l’excellence, et la S680 va bien au-delà d’une simple Classe S améliorée. Chaque détail est conçu pour surpasser la S-Class, que ce soit par l’insonorisation remarquable ou la technologie embarquée. La S680, avec son puissant V12, se positionne directement face à des rivales comme la Bentley Flying Spur et la Rolls-Royce Ghost.

Édition Limitée Nordic Glow

Dès fin 2024, les États-Unis (non ce modèle ne sera pas vendu au Canada) accueilleront la Mercedes-Maybach S680 Edition Nordic Glow 2025, limitée à seulement 50 exemplaires. Cette édition exclusive, au prix de départ de 339 000 USD, propose une peinture bicolore unique inspirée des aurores boréales, ainsi que des finitions haut de gamme à l’intérieur, notamment en cuir Nappa et bois de noyer foncé.

Un Style Raffiné et Imposant

Bien qu’elle soit clairement basée sur la Classe S, la Maybach S680 s’étend sur 7 pouces supplémentaires pour offrir un espace arrière impressionnant, véritable domaine des propriétaires. La calandre et les jantes spécifiques accentuent son aura majestueuse. À l’intérieur, c’est le summum du luxe. L’insonorisation est quasi totale grâce à un vitrage double et une suppression active du bruit. Le système audio Burmester 4D brille dans ce silence parfait, tandis que les sièges ultra-confortables (chauffants, ventilés, et ajustables) rivalisent avec le confort des jets privés. Que vous soyez conducteur ou passager, chaque centimètre est recouvert de matériaux haut de gamme.

Technologie de Pointe au Service du Confort

L’écran OLED tactile de 12,8 pouces offre une interface intuitive pour accéder à toutes les fonctionnalités du véhicule. Le système de navigation Mercedes, combiné à l’affichage tête haute, surpasse même l’Apple CarPlay sans fil. La suite complète d’aides à la conduite garantit une expérience de conduite sans effort.

Un V12 Puissant et Raffiné

Le moteur V12 biturbo de 6,0 litres délivre 621 chevaux et un couple massif de 664 lb-pi, propulsant cette imposante berline de plus de 2 500 kg de 0 à 100 km/h en seulement 4,3 secondes. Le tout se fait avec une fluidité et un calme impressionnants, typiques de la Maybach. Malgré son gabarit imposant, la Maybach S680 surprend par son agilité, surtout sur des routes sinueuses comme la Route 1. La direction des roues arrière et la suspension Airmatic autonivelante offrent une expérience de conduite d’une finesse remarquable, transformant chaque trajet en un véritable tapis volant.

Consommation élevée, évidemment

Avec une consommation moyenne de 16,6 L/100 km, la Maybach S680 n’est clairement pas un modèle d’économie de carburant. Toutefois, pour les acheteurs de ce calibre, la performance prime sur l’efficacité.

Conclusion

À près de 400 000 $, la Mercedes Maybach S680 est une option plus abordable que la Bentley Flying Spur ou la Rolls-Royce Ghost, tout en offrant un niveau de confort et de prestige supérieur. C’est une expérience inédite, que peu auront la chance de vivre.

Forces

  • Moteur V12 exceptionnel
  • Intérieur somptueux et silencieux
  • Prestance visuelle discrète mais imposante

Faiblesses

  • Consommation élevée
  • Prix extrêmement élevé
  • Difficile de résister une fois que vous l’avez conduite

Le texte Mercedes Maybach S680 2024 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Une nouvelle fonctionnalité pour plus d’utilisateurs de Google Maps sur CarPlay

Après une longue attente, l’indicateur de vitesse tant espéré dans Google Maps sur CarPlay devient enfin disponible pour un plus grand nombre d’utilisateurs. Cette fonctionnalité, annoncée plus tôt cette année, permet de visualiser simultanément la vitesse actuelle et la limite de vitesse, facilitant ainsi le respect des règles de circulation.

Pourquoi l’indicateur de vitesse est essentiel

Les applications de navigation, comme Waze, affichent déjà la vitesse du véhicule ainsi que la limite de vitesse dans un coin de l’écran sur CarPlay, ce qui permet d’ajuster rapidement sa vitesse pour éviter une amende. Google Maps n’avait jusqu’à présent pas inclus cette fonctionnalité, malgré sa popularité dans d’autres applications.

Une précision supérieure à l’odomètre traditionnel

Bien que chaque véhicule dispose déjà d’un compteur de vitesse, les applications GPS, comme Google Maps, offrent une précision supérieure. En effet, le compteur de vitesse d’origine des voitures est souvent légèrement décalé, et certaines modifications comme le changement des roues ou des pneus peuvent accentuer cette différence.

Un déploiement progressif et source de confusion

Le déploiement de l’indicateur de vitesse dans Google Maps s’est fait progressivement, causant une certaine confusion parmi les utilisateurs. Certains ont eu accès à cette fonctionnalité dès septembre, tandis que d’autres doivent encore attendre. Google utilise en effet une approche par phases pour s’assurer que tout fonctionne correctement avant de rendre une nouvelle fonctionnalité disponible à l’échelle mondiale.

Une évolution de Google Maps vers plus de fonctionnalités

En parallèle de l’introduction de l’indicateur de vitesse, Google Maps intègre d’autres évolutions comme la possibilité de signaler des incidents (accidents, travaux, radars) sur Android Auto et CarPlay. Cela rapproche Google Maps des fonctionnalités offertes par Waze, et certains spéculent même sur une éventuelle fusion des deux applications à l’avenir, bien que Google n’ait pas encore confirmé cette rumeur.

L’indicateur de vitesse, pas encore disponible partout

Si vous n’avez pas encore accès à cette fonctionnalité, Google Maps affiche toujours la limite de vitesse pour la route actuelle. Toutefois, l’indicateur de vitesse n’est activé que dans certaines régions. Certains utilisateurs rapportent des bugs intermittents, mais il est probable que Google résolve ces problèmes prochainement.

Avec des renseignements d’Auto-Evolution

Le texte L’indicateur de vitesse arrive enfin sur Google Maps pour CarPlay provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

BMW a annoncé ce jeudi son intention de commercialiser son premier véhicule à hydrogène dès 2028, en s’appuyant sur une technologie de pile à combustible développée en collaboration avec Toyota Motor Corp.

Un modèle existant avec option hydrogène

Bien que BMW n’ait pas encore révélé quel modèle serait proposé avec cette motorisation à hydrogène, ni fourni de détails sur le prix ou le volume de production, Oliver Zipse, PDG de la marque, a souligné que ce véhicule démontrera “comment les progrès technologiques façonnent la mobilité du futur”.

Partenariat stratégique avec Toyota

Grâce à ce partenariat avec Toyota, BMW espère réduire les coûts de développement et créer un groupe motopropulseur hydrogène qui pourra être utilisé tant dans les véhicules particuliers que commerciaux.

BMW, leader allemand de la technologie hydrogène

BMW est l’un des rares constructeurs allemands à fortement miser sur la technologie hydrogène. Le constructeur teste actuellement son modèle iX5 Hydrogen, un SUV doté d’une autonomie de 500 km et d’une capacité de ravitaillement en hydrogène en seulement trois à quatre minutes.

Hydrogène et batterie : une double approche

En parallèle du développement de véhicules à hydrogène, BMW continue de développer des prototypes de voitures électriques à batterie, afin de se préparer à différents scénarios selon la technologie verte qui s’imposera sur le marché.

L’infrastructure de ravitaillement, un défi à relever d’ici 2028

BMW prévoit que l’infrastructure de recharge pour l’hydrogène sera suffisamment développée d’ici 2028 pour soutenir ses ambitions dans ce domaine.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte BMW prévoit de lancer sa première voiture à hydrogène en 2028 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Il y a 50 ans, une étape importante de l’histoire de la Countach commençait : la production des modèles de série. En effet, c’est en mars 1974 que les premiers exemplaires destinés à la clientèle de la marque italienne ont été fabriqués à l’usine de Sant’Agata Bolognese. Voilà ce que Lamborghini a rappelé hier par la voie d’un communiqué de presse accompagné de photos jamais vues de la chaîne de montage.

Dans ce communiqué, le constructeur rappelle, en outre, que la Countach a été la première Lamborghini dont la carrosserie a été réalisée à l’interne, avec des tôleries fabriquées à la main. Ce fut aussi la première voiture de la marque dont l’habitacle était assemblé par les employés de l’usine. Pour Lamborghini, ces deux changements constituaient une véritable révolution, puisque jusque-là, certaines étapes importantes de la production de ses voitures étaient sous-contractées à des fournisseurs extérieurs.

À l’occasion de ce 50e anniversaire, Lamborghini a ramené la première Countach LP 400 de série dans l’usine où elle a été assemblée; ces mêmes installations qui produisent désormais la Revuelto, le modèle qui lui a, en quelque sorte, succédé. Un retour sur son lieu d’origine que le constructeur s’est empressé d’immortaliser par des photographies.

« Nous sommes fiers de continuer à produire nos modèles de super sportives à l’endroit où la Countach a été créée », a commenté Ranieri Niccoli, directeur de la production de Lamborghini. « La production a radicalement changé depuis lors et de nombreux aspects ont été largement améliorés, depuis l’époque de la Countach. Aujourd’hui, notre production est très différente de celle de 1974, mais elle conserve les meilleurs aspects et réunit les compétences manuelles de nos techniciens et les meilleures technologies disponibles, donnant naissance à ce que l’on appelle la ‘‘Manifattura Lamborghini Next Level’’. Le dénominateur commun entre la production de la Countach et nos voitures d’aujourd’hui, c’est l’attention portée aux détails. »

Naissance d’une icône

La Countach a fait ses débuts au Salon de l’automobile de Genève, le 11 mars 1971, sous la forme d’une voiture-concept baptisée Countach LP 500. Avec sa silhouette en coin inspirée par la Lancia Stratos Zero, une voiture-concept de Bertone d’allure plus excentrique encore, son succès fut immédiat. Pour en faire la Countach de série, il a toutefois fallu plusieurs prototypes et trois années de développement et essais sur route.

Pendant que la voiture était en développement, des travaux étaient en cours à Sant’Agata Bolognese pour préparer la chaîne d’assemblage où le futur bolide serait produit. Une production qui allait être plus élaborée puisqu’elle devait désormais intégrer certaines étapes réalisées à l’extérieur.

Une succession de variantes

La première version de cette icône italienne, dont 152 exemplaires ont été produits, fut la Countach LP 400 (1974-1978). Animée par un V12 de 4,0 L, elle était caractérisée par ses ailes sans extensions et son toit avec un évidement central conçu pour le rétroviseur, ce qui lui a valu le surnom de « Periscopio » (périscope en italien). Vint ensuite la Countach LP 400 S (1978-1982), qui a été produite à 235 exemplaires. Elle dérive d’un modèle unique réalisé pour le Canadien Walter Wolf et livré en 1975. Cette version a des pneus Pirelli à profil bas, un déflecteur à l’avant, des élargisseurs d’ailes et des roues à « cadran téléphonique ».

Ces caractéristiques seront améliorées et mieux intégrées pour les versions ultérieures, et elles deviendront des traits distinctifs de la Countach pour la décennie suivante. Ce sera le cas, d’abord avec la LP 5000 S (1982-1984), qui a été produite en 323 exemplaires avec un V12 dont la cylindrée est passée à 4,8 L. La Countach Quattrovalvole, qui suivra (1985-1988) avec 631 unités produites se distingue, par ailleurs, par un nouveau capot dessiné pour accommoder un nouveau V12 de 5,2 L, le premier moteur multisoupape utilisé pour ce bolide.

Lamborghini a ensuite lancé la Countach 25e Anniversaire (1988-1990) pour souligner les 25 années d’existence de la marque. Produite à 658 exemplaires, cette nouvelle version bénéficiait d’une refonte de l’ensemble des déflecteurs. Les prises d’air sur les ailes arrière et certains panneaux, comme ceux des capots, étaient également nouveaux. Qui plus est, pour la première fois, ils étaient faits en fibre de carbone.

De la Countach et la Revuelto

Un demi-siècle sépare la Countach et la Revuelto, une période marquée par l’accroissement continu du volume de production de Lamborghini. Ainsi, en 16 années de production, 1 999 Countach ont été produites. Puis, en 11 années de production, Lamborghini a livré 2 903 Diablo. Dans le cas de la Murciélago, le modèle qui a suivi, ce sont 4 000 voitures qui ont été produites en neuf ans. Enfin, en 11 années de production, Lamborghini a produit plus de 11 000 Aventador.

Photos : Lamborghini

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Aston Martin a dévoilé, durant le célèbre festival du film de Venise, l’arrivée de la nouvelle Vanquish qui sera équipée d’un moteur V12 biturbo délivrant 824 chevaux, ce qui en fait le modèle à moteur thermique le plus puissant jamais produit par la marque.

Un retour au V12 sous l’impulsion de Lawrence Stroll

Initialement prévue pour utiliser un système hybride rechargeable autour d’un plus petit V8, la GT biplace annoncé à 300 000 livres ( 600 000 $) dont le lancement est prévu en octobre, conserve son moteur à l’avant. La décision de revenir au V12 a été prise sous l’impulsion de Lawrence Stroll, président de la marque, faisant de cette Vanquish la première Aston entièrement développée sous sa direction.

Des performances à couper le souffle

Le moteur de 5,2 litres « définit la voiture », selon le chef ingénieur Simon Newton, avec ses réserves de puissance impressionnantes, renforcées par un couple dominant de 1 000 Nm, permettant une accélération de 0 à 100 km/h en 3,2 secondes et une vitesse de pointe de 344 km/h. Cela en fait l’une des Aston Martin les plus rapides sur route, à l’exception de l’hypercar Valkyrie. Ce V12 est une évolution du moteur qui animait la DBS, désormais doté d’une nouvelle fonction “Boost Reserve” qui augmente la réactivité du moteur à bas régime en augmentant la pression du turbo pendant de courtes périodes.

Une conception durable dans le temps

L’ingénierie d’Aston Martin a permis de rendre ce moteur conforme aux réglementations sur les émissions jusqu’en 2030, avec l’espoir de prolonger sa durée de vie au-delà. Les réglementations de plus en plus strictes signifient que ce moteur de grande capacité ne peut désormais être utilisé que dans des voitures très spéciales, comme la Vanquish. Seuls 1 000 exemplaires de cette voiture seront produits chaque année, vendus exclusivement sur invitation.

Une plateforme revisitée pour des performances optimales

La plateforme de la Vanquish, qui sert également de base à la DB12 et à la Vantage, a été modifiée pour accueillir le moteur plus grand et offrir un empattement allongé. Avec une longueur de 4 850 mm, elle est 125 mm plus longue que la DB12, et son poids atteint 1 774 kg, soit 89 kg de plus. Par rapport à la DBS, les roues avant ont été avancées de 18 mm, tandis que la voie arrière est élargie de 10 mm, conférant à la voiture une allure plus “menaçante”, selon le designer en chef d’Aston Martin, Miles Nurnberger.

Technologie et design de pointe

La Vanquish bénéficie d’un châssis en aluminium collé et en fibre de carbone, renforcé avec des barres antiroulis plus grandes, offrant une rigidité latérale accrue de 75 % pour une maniabilité et une réactivité accrues. Un nouveau différentiel électronique améliore la stabilité à haute vitesse, tandis qu’un système ABS de dernière génération réduit les distances de freinage et optimise l’adhérence en virage.

Un intérieur alliant modernité et fonctionnalité

L’intérieur de la Vanquish est un monde à part comparé à la génération précédente, avec un écran tactile d’infodivertissement de 10,25 pouces et un affichage numérique de la même taille. La console centrale se distingue par un design unique avec des boutons physiques pour des fonctions comme l’audio et le contrôle de la climatisation, afin de garantir un accès rapide aux fonctions essentielles.

Un design extérieur reconnaissable et audacieux

À l’avant, le look classique d’Aston Martin s’inspire de la One-77, avec une grande calandre et un nez angulaire, mais c’est le motif en « bouclier » à l’arrière qui distingue le plus visiblement la Vanquish des autres modèles Aston. Cette caractéristique, ajoutée en dernière minute, a nécessité l’approbation directe de Lawrence Stroll. Les lames lumineuses LED de chaque côté s’inspirent de celles de l’hypercar Valkyrie, tandis qu’une lèvre de gurney souligne le potentiel de performance de la Vanquish.

Un héritage cinématographique qui se poursuit

Revitalisée pour la première fois depuis 2018, cette Vanquish de troisième génération perpétue un héritage cinématographique notable. La version originale, lancée en 2001, a joué un rôle de premier plan à l’écran, notamment dans le film de James Bond “Meurs un autre jour” en 2002, ainsi que dans d’autres films des années 2000 comme “Lara Croft : Tomb Raider” et “Braquage à l’italienne”. Aujourd’hui, elle revient sous les projecteurs pour marquer un nouveau chapitre dans l’histoire d’Aston Martin.

Avec des renseignements d’Autocar et Aston-Martin

Le texte Le V12 n’est pas encore mort chez Aston-Martin provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Amélioré par une conception actualisée, des capacités de remorquage plus élevées et une technologie actualisée, le Nissan Frontier 2025 est maintenant offert avec un prix de détail suggéré par le fabricant (PDSF)1 de 47 998 $.

Toutes les catégories Frontier 2025 portent un nouveau carénage avant, une nouvelle calandre et un nouveau pare-chocs, et ajoutent un volant télescopique pour mieux s’adapter aux conducteurs de différents gabarits. La configuration utile de l’empattement long et de la caisse de 6 pieds est désormais proposée sur les modèles PRO-4X. Les capacités de remorquage augmentent d’environ 540 livres sur l’ensemble de la gamme, jusqu’à un impressionnant maximum de 6 760 livres2.

Les autres changements cette année comprennent un écran tactile de 12,3 po de série plus grand, une option de peinture Afterburn Orange qui attire l’attention (PRO-4X/PRO-4X Luxe seulement) et une nouvelle conception de jantes de 17 po.

Le Frontier 2025 poursuit son engagement envers la tranquillité d’esprit en maintenant ses technologies de sécurité et d’assistance à la conduite de série, y compris le système de détection de sortie de voie, l’avertissement sur l’angle mort, l’alerte de circulation transversale arrière, les capteurs de stationnement arrière, l’assistance aux feux de route et le régulateur de vitesse intelligent.

Prix de détail suggérés par le fabricant1 pour le Nissan Frontier à cabine allongée 2025 :

Frontier PRO-4X à cabine allongée

49 898 $

Prix de détail suggérés par le fabricant1 pour le Nissan Frontier à cabine double 2025 :

Frontier SV à cabine double

47 998 $

Frontier SL à cabine double

50 498 $

Frontier PRO-X à cabine double (caisse de 5 pieds)

53 498 $

Frontier PRO-X à cabine double (caisse de 6 pieds)

54 098 $

Frontier De luxe PRO-X à cabine double (caisse de 5 pieds)

56 498 $

Frontier De luxe PRO-X à cabine double (caisse de 6 pieds)

57 098 $

Le texte Nissan dévoile le prix de sa gamme Frontier 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile