Cette nouvelle est arrivée ce matin via le fil de presse de Bloomberg News, citant des personnes ayant connaissance du dossier.

Il s’agit de l’achat le plus important jamais réalisé pour des véhicules électriques et représente environ 4,2 milliards de dollars de revenus pour Tesla, selon le rapport. Hertz et Tesla n’ont pas immédiatement répondu aux demandes de commentaires de Reuters.
Comment sortir de la faillite de manière spectaculaire
Hertz s’est placé sous la protection de la loi sur les faillites en mai de l’année dernière, après que la demande de voyages ait chuté au plus fort de la pandémie et que les discussions avec les créanciers n’aient pas permis de trouver une solution. En mai, Hertz a déclaré qu’un groupe d’investisseurs comprenant Knighthead Capital Management, Certares Opportunities et Apollo Capital Management financerait la sortie de la société du chapitre 11 de la loi sur les faillites.

Vous ne serez pas surpris d’apprendre que la valeur en bourse de Tesla a grimpé. Les efforts déployés rapidement par Tesla pour être en mesure de fabriquer des voitures avec moins de puces électroniques semblent porter ses fruits. Tesla est l’un des rares constructeurs automobiles à continuer de prospérer en pleine pénurie de pièces, car contrairement aux plus grands constructeurs, Tesla a été en mesure de régler le problème rapidement et de trouver des solutions. Tesla est en mesure avec deux ou trois puces électroniques de faire la même chose qu’avec 20 il y a quelques mois à peine.

Le texte La

C’est dans le cadre du Salon du véhicule électrique de St-Hycinthe que mobilité électrique Canada avec son PDG Daniel Breton et je jour de la Terre ont mis leurs efforts en commun pour fracasser un record Guinness. « Le but était de battre le record actuel de 402 voitures qui s’étaient réunis au Danemark en septembre 2016 » souligne Daniel Breton.
Un appel à tous
Mobilité électrique Canada avait lancé un appel à tous en anglais et en français à travers le Canada pour inviter les gens à se rendre à St-Hyacinthe le 24 octobre dans le cadre du Salon de l’auto électrique qui se tenait dans les locaux de la foire agricole. « Nous sommes entrée en contact avec le Club Tesla, les gens de l’AVÉQ (l’association des véhicules électriques du Québec) et autres regroupements du genre pour amener le plus de monde possible » de dire Jean François Charbonneau un des organisateurs de ce grand rassemblement.
Près de 900 inscriptions
Au fil des semaines près de 900 personnes se sont inscrites à ce grand rassemblement. Le taux de participation a été élevé, car des 890 inscrits, 740 se sont rendus sur le boulevard Casavant à St-Hyacinthe fermé pour l’occasion. Beaucoup de Tesla dont deux propriétaires qui s’étaient déplacés de Burlington (700 km), en Ontario pour venir participer à l’événement. Après les inscriptions, le cortège s’est déplacé sur une distance de 3,2 km. Il y avait deux observateurs indépendants pour homologuer le record. Mon collègue Antoine Joubert était à

Depuis quelques semaines déjà, des véhicules autonomes (VA) de Waymo ont envahi un petit quartier paisible du district de Richmond, à San Francisco. À tout instant du jour, des autorobots Jaguar I-Pace de l’entreprise empruntent la 15e avenue vers le nord, à l’angle de la rue Lake. Puis, elles s’immobilisent quelques centaines de mètres plus loin et font demi-tour tout simplement parce que c’est un cul-de-sac !

La première fois que Jennifer King, une résidente du quartier, a constaté ce manège, c’était le matin. Elle a été réveillée par le bruit caractéristique des véhicules électriques qui passaient devant sa résidence. « C’était comme un étrange bourdonnement. Je croyais qu’il y avait un vaisseau spatial devant ma maison », a dit Mme King au journaliste Wilson Walker dépêché par la station de télévision KPIX, le 12 octobre dernier, pour documenter ce fait divers.

Or, tous ces autorobots font exactement les mêmes manoeuvres aux mêmes endroits. « Certaines journées, on peut en voir une cinquantaine passer, un toutes les 5 minutes », ajoute Mme King.

Lorsque des résidents du quartier ont interrogé les opérateurs de Waymo, qui se trouvent à bord de ces autorobots, ces derniers ont simplement répondu que leurs véhicules sont programmés ainsi et qu’ils font leur boulot.

Selon un porte-parole de Waymo, une filiale d’Alphabet (maison-mère de Google) impliquée dans le développement de VA, cette situation amusante s’expliquerait par la présence de panneaux de signalisation donnant des directives contradictoires.

Cette situation a naturellement suscité un certain engouement dans les réseaux

Pour les cinéphiles, le nom Madagascar évoque une série de films d’animation populaire. Au-delà de ces réalisations hollywoodiennes et des petits lémuriens énergiques et fantasques qu’on y voit, il faut admettre que le commun des mortels connaît très peu de choses sur la république insulaire qui porte ce nom. On en connaît encore moins sur son unique constructeur d’automobiles : Karenjy.

Apparue en 1985, la marque malgache Karenjy est née d’une initiative de développement industriel élaborée par le gouvernement socialiste entré au pouvoir dix ans plus tôt.

Elle avait été établie à Fianarantsoa, une ville d’un peu moins de 150 000 habitants située à environ 10 heures de route au sud de Tananarive, la capitale. Jusqu’en 1993, année où un changement de gouvernement a causé l’arrêt de sa production, l’entreprise n’avait livré qu’une centaine de véhicules : des camionnettes et des utilitaires légers à deux ou quatre roues motrices.
Du socialisme au mouvement de solidarité chrétienne
La petite usine construite au milieu des années 80 restera donc à l’abandon jusqu’en 2009. Cette année-là, Luc Ronssin, un ingénieur oeuvrant pour Le Relais Madagascar, une organisation de développement socio-économique lié au mouvement de solidarité Emmaüs, découvre ces installations délabrées avec un stock de pièces toutefois intact. Il fait le pari de relancer l’entreprise pour en faire un pôle de développement économique générateur d’emplois. Un défi relevé puisque depuis sa relance, Karenjy a créé 500 emplois.

Dans les premières années de relance, l’entreprise produit 85 véhicules basés sur les anciens modèles. Puis, en 2011, elle amorce

À l’origine l’EQC devait être le premier modèle électrique de la famille Mercedes au Canada et aux États-Unis. La compagnie avait annoncé le modèle, préparer des lancements médias et même annoncé le prix à 69 995 $. Tout cela avant la pandémie à l’été. Et puis, rien. La machine s’est arrêtée et Mercedes nous annonce quelques mois plus tard que c’est finalement l’EQS qui sera la première voiture électrique du groupe en 2021. Voici que Mercedes annonce un retour du VUS EQC et de la berline électrique de classe C pour 2025.
Un retour sur la route avec une nouvelle plateforme
L’EQC qui viendra chez nous sera construit sur la plateforme électrique Mercedes Modular Architecture, qui, selon le constructeur, devrait offrir une plus grande autonomie, une recharge plus rapide et un groupe motopropulseur plus efficace. Le design en forme de planche à roulettes de la plateforme permet également d’ouvrir l’intérieur pour offrir plus d’espace aux passagers et au chargement.

L’actuel EQC vendu en Europe est basé sur le VUS GLC à moteur à combustion. Alimenté par une batterie de 80 kilowattheures, l’EQC a une autonomie d’environ 415 km selon les normes WLTP. Mercedes affirme que la pandémie était un bien mauvais moment pour introduire le modèle EQC en sol nord-américain, mais les concessionnaires ont réclamé à cor et à cri une version du GLC alimentée par batterie qui était très en demande par la clientèle.

Le GLC à essence est le deuxième modèle Mercedes le plus vendu au cours des

Le groupe allemand Volkswagen tenait une réunion de ses dirigeants animé par son PDG Herbert Diess plus tôt la semaine dernière et Herr Diess a eu une idée géniale pour motiver ses troupes. Le défi pour des groupes comme VW est de demeurer un géant industriel alors que l’industrie même est en pleine transformation, et par définition, les dirigeants dans le secteur automobile sont plutôt conservateurs.

Alors, qu’est-ce qu’il a fait, Herbert Diess? Il a invité son bon ami Elon Musk sur scène. Musk est donc apparu à ses côtés de façon virtuelle, par téléconférence. Il faut savoir que Diess et Musk s’aiment bien. Le PDG de Tesla a même essayé d’embaucher Diess il y a quelques années pour diriger sa société, mais il a préféré demeurer chez Volkswagen. Et même s’ils sont rivaux, clairement ces deux-là ont une relation apparemment très positive.

Alors Diess invite Musk sur scène et lui demande qu’est-ce qui explique le fait que, dans toute l’industrie automobile à l’heure actuelle, il n’y a qu’un constructeur qui soit capable de hausser ses ventes et que ce constructeur, c’est Tesla?

Musk a dit tout simplement: il ne faut pas avoir peur de prendre des risques. La raison pour laquelle la pénurie de puces n’embête pas Tesla est qu’ils ont réagi en quelques semaines à peine et que ses programmeurs ont réécrit les logiciels qui animent les véhicules Tesla pour qu’ils fonctionnent avec deux ou trois processeurs seulement, plutôt qu’avec la vingtaine qu’ils utilisent habituellement.

On parle beaucoup de véhicules électriques et il semble entendu que dans un futur plus ou moins rapproché, on va peut-être finir par remplacer les piles au lithium par des piles à combustible, plus précisément des piles à hydrogène. C’est un moyen de conserver le même moteur électrique mais de l’alimenter à partir d’un gaz compressé qu’on obtient à la pompe. Chez Lexus, on va plus loin encore en proposant carrément un moteur à combustion… à hydrogène.

Le concept est loin d’être nouveau. Ford, BMW et Mazda, pour ne nommer que ces trois-là, ont joué quelques années avec l’idée de troquer le moteur à essence de certains de leurs modèles par des moteurs à hydrogène. Le meilleur exemple de ce que représente ce modèle nous vient probablement de Mazda (et de Mini, la filiale de BMW), qui a conçu il y a plusieurs années un moteur rotatif qui pouvait carburer à l’essence ou à l’hydrogène, au choix.

Dans un monde en pleine transition où tout le monde se demande comment on va y arriver, ce modèle là me semble tout plein de gros bon sens. Cela dit, ce n’est pas tout à fait ça que Lexus nous a présenté. On a eu droit en réalité à un petit véhicule utilitaire tout-terrain, un VTT à deux places fait pour aller jouer dans les sentiers, mais dont le petit moteur a été remplacé par un moteur à hydrogène.

Mais ça ramène l’idée qu’on pourrait fait un bond en avant

Les versions hybrides des Nissan Pathfinder 2014 et 2015, et des Infiniti QX60 2014 à 2017 inclusivement sont impliquées dans un rappel émis par Transports Canada qui a été mis à jour le 15 octobre dernier. Ce rappel, qui porte le numéro 2021-613, nous apprend que ces utilitaires peuvent avoir un problème informatique causant l’arrêt subit de leurs moteurs.

Certains de ces véhicules à motorisation hybride pourraient être affectés par une erreur logicielle du module de commande du groupe motopropulseur hybride (Hybrid powertrain control module ou HPCM) pouvant causer son arrêt.

Dans l’éventualité d’une avarie pareille, le moteur à essence et le moteur électrique pourraient s’arrêter, entraînant une perte de puissance inattendue et un risque d’accident. Le constructeur, Nissan Canada, doit donc aviser les propriétaires des véhicules concernés par la poste. Ils seront invités à apporter leur véhicule chez un concessionnaire, qui reprogrammera le module de commande (HPCM).

En Amérique du Nord, 8 368 de ces véhicules pourraient être affectés par ce problème : 734 au Canada et 7 634 aux États-Unis.

Les automobilistes canadiens peuvent obtenir plus d’informations sur ce rappel en composant le 1-855-835-3854.

 

 

 

 

 

 

Le texte Plus de 8 000 Pathfinder 2014-2015 et QX60 2014-2017 hybrides rappelés pour des moteurs qui s’arrêtent inopinément provient de L'annuel de l'automobile – Actualité automobile

Même s’il est difficile de trouver une voiture d’occasion à l’heure actuelle, cela ne veut pas dire que l’on doit se contenter d’un véhicule de moindre qualité. C’est vrai, il faut un peu plus de temps et de patience pour trouver un bon véhicule d’occasion surtout si votre budget est modeste. Nous vous proposons ici des modèles qui ont de l’expérience, mais aussi une espérance de vie prolongée. Il est encore possible de trouver de bons véhicules à petits prix. Vous verrez la majorité des modèles que nous vous proposons ont 10 ans et plus. Mais, cela ne veut pas dire qu’il ne constitue pas un moyen de transport fiable et de qualité.
Honda Civic 2009 à 2011
Cette génération offrait un intérieur plus spacieux et plus silencieux et une meilleure conduite que la génération précédente. La plupart des versions sont équipées d’un quatre cylindres de 1,8 litre économique.
Honda Fit 2007 à 2010
La Fit a une quantité étonnante d’espace intérieur avec les sièges magiques à l’arrière, créant ainsi un plancher profond et plat. Bien qu’elle soit assez lente à accélérer, la Fit est légère et réactive, avec un moteur souple et volontaire et une maniabilité agile qui la rend agréable à conduire, mais la voiture est bruyante.
Toyota Corolla 2005 à 2009
Monument de fiabilité, la tenue de route est toutefois peu inspirante. L’habitacle offre un bon accès et une banquette arrière décente, mais la position de conduite est un peu compromise à cause d’un volant trop éloigné.

Selon le quotidien économique japonais Nikkei, Nissan va réduire de 30 % sa production mondiale prévue pour les mois d’octobre et de novembre, car il doit faire face à une pénurie de semi-conducteurs causée par la pandémie de COVID-19.

Nissan a informé ses fournisseurs qu’il construirait un total de 583 000 voitures au cours de cette période de deux mois, a indiqué le Nikkei, sans préciser où il avait obtenu cette information.

“Nous reconnaissons que la pénurie d’approvisionnement en semi-conducteurs est toujours dans une situation difficile”, a déclaré une porte-parole de Nissan, qui a toutefois refusé de commenter la réduction rapportée par le journal. La société fera le point lorsqu’elle publiera ses derniers résultats le mois prochain, a-t-elle ajouté.

À l’instar d’autres constructeurs automobiles, Nissan a été contraint de réduire sa production malgré un rebond de la demande sur les principaux marchés automobiles, notamment en Chine et aux États-Unis. La pandémie a à la fois comprimé la production chez les fournisseurs de composants et stimulé la demande d’appareils électroniques, ce qui a intensifié la concurrence pour les puces.

Toyota a annoncé ce mois-ci une réduction de 15 % de sa production en novembre, après une réduction de la production mondiale en septembre et octobre, en raison d’un ralentissement dans les usines de composants en Malaisie et au Vietnam.

 

Avec des renseignements de Reuters

 

 

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