C’est au début des années 60 que la vague de popularité pour les véhicules tout-terrain (VTT) est apparue. À l’époque, il n’était pas rare de trouver de ces petits véhicules équipés de moteurs Briggs & Stratton, Tecumseh ou Kohler; des moteurs à deux temps dans bien des cas. Mais le Busse All-Terrain Wagon se distinguait du lot en utilisant plutôt un moteur de Coccinelle.

Dans un document d’archives transmis à la presse spécialisée par Volkswagen of America cette semaine, on apprend que le Busse All-Terrain Wagon produit par la Busse/SJI Corp. de Randolph au Wisconsin, à partir de 1971, était muni du 4-cylindres refroidi à l’air utilisé couramment dans les Volkswagen d’alors.

Ce moteur « Boxer » de 1,6 L qui développait 55 ch entraînait les six roues par le biais d’une boîte de vitesse semi-manuelle à 3 rapports et d’un convertisseur de couple.
Construit en aluminium
La carrosserie en aluminium de ce VTT-A (parce qu’il était aussi amphibie) le distinguait tout autant que sa mécanique, les VTT d’alors ayant plutôt une carrosserie en fibre de verre. Ses dimensions généreuses (longueur de 3 200 mm et largeur de 1 651 mm) permettait à 5 personnes de prendre place à bord. Il y avait même un arceau et des ceintures de sécurité pour protéger ses occupants en cas d’un capotage.

La masse à vide se chiffrait à 920 kg et la charge utile à 680 kg (410 kg sur l’eau). Équipé de pneus Terra Tires 28x12x12, le Busse pouvait gravir des pentes de 45 degrés et atteindre une vitesse de pointe

Voilà qu’enfin, la version hybride branchable débarque dans la province. Je dis bien « province » car le Québec et la Colombie-Britannique sont les deux régions du Canada où Ford espère vendre le plus grand nombre d’exemplaires de ce modèle.

 

La raison est simple : avec l’aide gouvernementale, l’Escape branchable ne coûte pas tellement plus qu’un Escape à essence régulier. J’en parlais avec des amis qui sont en fin de bail sur un Escape 2016 et la différence sur leurs mensualités est négligeable : 450$ par mois au lieu des 425$ qu’ils paient actuellement. Le bon vieux « PDSF » après les rabais et tout est de 33 244$ sur le modèle d’entrée de gamme.

 

En échange, ils obtiennent un petit VUS qui a peut-être seulement deux roues motrices, mais il ne consommera dans le prie des cas que 5,5 litres aux 100 kilomètres. Dans le meilleur des cas? Zéro, évidemment. Et dans la plupart des cas, ce sera autour des 3 à 3,6 litres aux 100 kilomètres.

 

C’est ce qu’on appelle dans toutes les langues du Canada un « méchant bon deal ». Et avec l’argent économisé vous pouvez acheter des vrais pneus d’hiver et la question du rouage intégral ne sera plus un problème, étant donné qu’on associe généralement – et à tort – rouage intégral avec bonne tenue de route et conduite sécuritaire.

 

Sous le capot de l’Escape branchable on trouve un 4 cylindres de 2,4 litres et un moteur électrique qui ensemble produisent

Les milliards continuent de pleuvoir dans le monde automobile. Mercedes a annoncé cette semaine qu’elle allait investir 60 milliards d’Euros au cours des 4 prochaines années (2022-2026). Ces investissements serviront à accélérer et à achever le passage du constructeur automobile à l’énergie électrique ainsi qu’à accroître la recherche dans le domaine du développement de logiciels.
Des piles solides aux nouvelles technologies
Mercedes développe déjà depuis quelques années un projet de piles solides avec plusieurs partenaires, dont Hydro-Québec. Daimler travaille aussi à des plateformes communes pour ces futurs produits. Les innovations dans la technologie des batteries contribueront à réduire leur coût et l’implantation de plates-formes évolutives permettra à l’entreprise de construire de nombreux modèles différents à partir des mêmes éléments de base, ce qui réduit considérablement le temps et le coût de développement.
Vendre directement aux consommateurs
Mercedes-Benz souhaite également mettre en place un modèle de vente directe, similaire à celui de Tesla et d’autres constructeurs de véhicules électriques, qui lui permettrait de maximiser les bénéfices sur chaque véhicule en supprimant la marge du concessionnaire et les négociations avec le client, les véhicules étant vendus à un prix fixe. Les services numériques devraient également représenter une part plus importante du chiffre d’affaires de l’entreprise en faisant passer les fonctionnalités optionnelles à des modèles d’abonnement et en proposant une multitude de services disponibles en supplément.
Uniquement des plateformes électriques à partir de 2025
À partir de 2025, chaque nouvelle plateforme de véhicules lancée sera entièrement électrique et l’entreprise souhaite ne vendre des

La compagnie américaine Legacy Classic Trucks construit des Dodge Power Wagon remodelées depuis plusieurs années maintenant. Il y a quelques années, on mettait un moteur de Corvette sous le capot avec les restaurations pour environ 80 000 $. La plus récente version qui est un camion neuf d’un pare-choc à l’autre est à 400 000$.
Vous avez quoi à ce prix
Pour le prix d’une Lamborghini Urus, vous pouvez vous payer un vieux Dodge neuf. Legacy a mis le paquet. La compagnie consacre plus de mille heures à chaque modèle restauré. Sous le capot, on retrouve un moteur diesel Cummins 4BT avec des injecteurs surdimensionnés et deux turbocompresseurs composés. Le résultat est une puissance de 250 chevaux et un couple de 600 lb-pi, transmis à un système à quatre roues motrices via une transmission manuelle à cinq vitesses. Vous pouvez également opter pour un moteur LS3, LSA, ou un moteur Chrysler 408 de 6,7 litres. Le moteur diesel est probablement le meilleur si vous avez l’intention d’utiliser tout ce que Legacy comprend sous la carrosserie. Il peut facilement rouler à 140 km/h et Legacy affirme que la vitesse maximale est supérieure à 160 km/h. Grâce à son couple à bas régime, le modèle diesel a une capacité de remorquage de 12 000 livres.
Capable d’aller se perdre dans la nature
Même s’il s’agit d’un jouet de 400 000 $, ceux qui ont le courage d’aller hors route peuvent le faire. Le camion est bien préparé pour cela, avec un angle d’approche de 60 degrés et un angle

Les côte-à-côte sont très populaires et viennent sous bien des formes et des puissances. Lexus présente un concept qu’il a baptisé le ROV pour Recreational Off-highway Vehicle. Comme c’est un modèle Lexus, il est aussi luxueux que les voitures de la marque et son moteur est à hydrogène.
Répondre à une passion
À la question : Pourquoi Lexus présente un quad côte-à-côte ? La compagnie répond simplement que ce véhicule est la réponse à une passion croissante pour le plein air et l’esprit d’aventure des consommateurs de luxe”. Il illustre également la volonté de la marque de concevoir des produits axés sur le style de vie, et il met en valeur les recherches du département d’ingénierie sur les nouvelles technologies. Le ROV offre un format généreux pour deux passagers avec une longueur de 3,1 m, une largeur de 1,72 m et une hauteur de 1,8 m et un style qui transpire le luxe. Il n’y a heureusement pas la calandre en sablier typique des modèles de la gamme.
Finition soignée
À l’intérieur, la ROV offre une paire de sièges avec harnais et éléments de suspension pour filtrer les bosses, des accents en fibre de carbone et un groupe d’instruments relativement simple avec un tachymètre analogique et un affichage numérique. Il est intéressant de noter que la ROV répond aux mêmes normes de silence, de durabilité et de fiabilité que les voitures de la marque, un défi de taille pour un VTT.
Et l’hydrogène dans tout cela
La puissance provient d’un moteur