Chez Yamaha, on croit toujours au moteur à combustion interne. Cela n’empêche pas l’équipementier japonais d’aspirer à une neutralité carbone d’ici 2050.

Pour ce faire, Yamaha s’est d’ailleurs associé à Kawasaki, Subaru, Toyota et Mazda, en novembre dernier, pour développer, entre autres, des moteurs à combustion interne fonctionnant à l’hydrogène qui leur permettraient d’atteindre cette cible.

Le moteur qu’on voit ici est un fruit de cette coopération. Ce V8, qui utilise l’hydrogène en guise de carburant, est basé sur le moteur de 5,0 L des Lexus RC F et LC 500. Il a été mis au point en collaboration avec Toyota.
Collecteur d’échappement ou entonnoir ?
Cette variante du moteur à essence à la même cylindrée (4 968 cc) et son taux de compression (12,3 à 1) reste inchangé. Par contre, Yamaha a modifié, entre autres, la culasse, les injecteurs et le collecteur d’échappement.

Ce dernier réunit à son extrémité chaque conduite, à la façon d’un entonnoir, avec pour résultat un son qui ravit les amateurs, dit-on.

Ce V8 « bleu » (couleur associée à l’hydrogène) développe 447 ch à 6 800 tr/min et son couple maximal atteint 398 lb-pi à 3 600 tr/min. De plus, ses collecteurs d’échappement évacuent tout simplement des vapeurs d’eau !
Bientôt en Super GT ?
Certains analystes du marché imaginent déjà des bolides de compétition équipés d’un moteur pareil qu’on verrait bientôt sur la ligne de départ du championnat Super GT, au Japon. L’idée n’a rien de saugrenu. Cela fait déjà cinq ans que Yamaha travaille sur des moteurs à combustion interne alimentés à l’hydrogène; des

On le sait, les véhicules d’Aston Martin sont généralement hors de prix et c’est voulu. La célèbre marque britannique cultive sa propre légende, même si celle-ci est extrêmement décadente… Mais l’entreprise vient de dévoiler un nouveau VUS qui pourrait changer un peu cette image. Le DBX707 est une nouvelle version redessinée du DBX qui a officiellement l’intention de détourner les clients de Porsche en général et les acheteurs du Cayenne en particulier.

Évidemment, à un prix de détail de 300 000 $, le DBX707 va demeurer exclusif, mais il y a des gens qui vont payer presque ce montant-là pour un Cayenne turbo bien équipé et ce sont eux qu’Aston Martin tente de séduire. Le DBX707 qui tire son nom du nombre de chevaux annoncés en Europe offre chez nous 697 chevaux d’un V8 biturbo de 4 litres d’origine AMG qui animait déjà le DBX. Il a été révisé pour fournir 155 chevaux de plus. Une boîte automatique à 9 rapports à double embrayage complète le groupe propulseur. Tout cela permet au DBX707 de boucler le 0-100 km/h en 3,1 secondes.

Le VUS d’Aston a un rouage intégral d’office, évidemment, et il est très sophistiqué. Il hérite d’un couple vectoriel optimisé pour toutes les conditions, surtout celles qui surviennent sur une piste de course. Aston Martin devrait bientôt piloter un DBX707 sur le circuit du Nürburgring. La raison? Le record de vitesse pour un VUS est détenu par un Porsche Cayenne Turbo GT (à 7m et 38.925 s). Hâte

Je sais que cette affirmation est purement suggestive, mais l’Alpina B8 est la plus belle voiture de l’écurie BMW. Construite sur la base d’une Série 8 Gran Coupe, le modèle est revu et arrangé par Alpina ou de son nom complet Alpina Burkard Bovensiepen GmbH. Un préparateur qui travaille avec BMW depuis 1962. Si, demain matin, quelqu’un me disait que je devais faire la route Montréal-Vancouver, l’Alpina B8 serait parmi ma très courte liste pour faire cette route en tout confort et avec une vaste réserve de puissance. Alpina est en mesure d’ajouter juste ce qu’il faut d’insolence dans le style tout en gardant intact la discrétion du modèle. Ce sont des détails comme le diffuseur à l’avant, le becquet discret à l’arrière et l’échappement quadruple qui passent un message clair de performance sans trop taper sur le clou.
Les particularités des versions Alpina
La Série 8 n’avait pas encore eu droit au traitement Alpina. Depuis 1962, cette société retire de la chaîne d’assemblage un certain nombre de modèles pour lui donner un traitement unique. Cette grande berline est capable de bercer les passagers dans un confort hors norme et peut également vous donner le grand frisson sur des petites routes, malgré son poids de 2,2 tonnes. Son empattement de plus de 3 mètres lui procure une stabilité remarquable qui est renforcée par un système de rouage intégral très efficace. Il ne faut pas oublier aussi qu’Alpina vient aussi s’amuser sous le capot. La firme laisse intact le bloc moteur

Pendant que quelques centaines de camionneurs manifestaient à Ottawa, en Arizona, le concepteur de systèmes de conduite autonome pour poids lourds TuSimple s’est entendu avec la société ferroviaire Union Pacific Railroad pour mettre en place un circuit de camions entièrement autonomes entre Pheonix et Tucson.

J’insiste là-dessus : ces camions-là n’auront à leur bord aucun conducteur, même pas un superviseur pour s’assurer que tout se passe comme prévu.

C’est une grande première et ce, pour trois raisons. D’abord, c’est la première fois qu’une société de camionnage et qu’une société ferroviaire s’entendent pour partager la route. Normalement, les deux modes de transport sont des compétiteurs.

Ensuite, ça sort un peu la technologie de conduite autonome des laboratoires et des projets pilotes, puisqu’il s’agit ici d’une vrai de vrai entente commerciale entre deux sociétés qui espèrent rentabiliser l’opération.

Enfin, le camionnage est probablement le meilleur endroit où appliquer en premier la conduite autonome. C’est une première mais on imagine facilement que ce ne sera pas une dernière.

Et ça s’en vient aussi au Canada et au Québec. TuSimple a testé au cours des deux derniers hivers sa technologie de camions autonomes au Minnesota, où il fait froid et où il neige à peu près autant qu’au Québec. Et ça semble tenir la route.

Personnellement si j’étais camionneur je m’inquiéterais beaucoup plus de cette menace pour l’avenir de ma profession que du chamaillage politique entre vaccinés et non-vaccinés…

 

 

Le texte Les camions autonomes sont déjà

Nissan dévoilait aujourd’hui ses modèles 2023 du Nissan Ariya et de la Z qui perd sa désignation alpha-numérique en 2023.
Processus de réservation :

Les clients peuvent visiter le fr.nissan.ca/ariyareserve ou le fr.nissan.ca/zreserve, sélectionner leur Nissan ARIYA ou Nissan Z en utilisant l’outil en ligne de configuration de véhicule Nissan, et verser un dépôt remboursable de 1 000 $.
Les clients choisissent ensuite le concessionnaire Nissan auquel leur véhicule sera livré.
Une fois le véhicule livré, les clients peuvent effectuer leur achat auprès du concessionnaire.

Un modèle Ariya en six versions

Le Nissan ARIYA sera offert en six (6) modèles, et le choix de batteries de 63 kWh ou de 87 kWh (capacité utilisable). Les modèles ARIYA sont également dotés d’un port de recharge rapide, d’un système de charge combiné de série, du ProPILOT Assist de série avec technologie Navi-link et du dispositif ProPILOT Park en option, d’Apple CarPlay sans fil et d’Android Auto avec fil. Les livraisons du Nissan ARIYA commenceront chez les concessionnaires Nissan approuvés à l’automne prochain, avec les modèles deux roues motrices, suivis des versions e-4ORCE à traction intégrale à la fin de l’automne.
Modèles et gamme ARIYA 2023 disponibles

Modèle
Groupe motopropulseur, performance ou autonomie

ARIYA Engage
à TA
Batterie de 63 kWh, moteur synchrone à CA de 214 chevaux, couple de 221 lb-pi, autonomie estimée jusqu’à 346 km1.

ARIYA Evolve
à TI e-4ORCE
Contrôle intégral à